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employé dans la confection du béton armé, dallages, enduits et mortiers. Les ciments sont
actuellement classés sous la dénomination "CEM" suivi d'un chiffre romain allant de I à V suivi
d'une lettre majuscule en fonction de leur teneur en clinker et d'autres composants (chaux,
fumées de silice, pouzzolane, laitier de hauts fourneaux, etc.). Le terme "ciment Portland" est
tombé en désuétude depuis la fin des années 1970, remplacé par les termes CPA (ciment
Portland pur) et CPJ (ciment Portland composé), termes abandonnés à leur tour lors du passage
à la norme européenne. Le mortier de chaux existe depuis l'Antiquité mais le ciment et ses
nombreuses applications est une invention du XIXe siècle
Il est le résultat, à l'origine, de la réaction endothermique entre du calcaire et de l'argile qui,
mélangé à de l'eau, fait prise et permet d’agglomérer entre eux des sables et des granulats.
Depuis de nombreux autres éléments sont incorporés en fonction de l'utilisation du ciment,
permettant ainsi constituer de véritables roches artificielles; les bétons et les mortiers.
En 2008, plus de 2 milliards de tonnes de ciment étaient produites par an dans le monde à 80 %
produits et consommés dans les pays émergents, avec une croissance de plus de 5 % par an de
1991 à 20081. Cette production est très énergivore, et la production du clinker son principal
constituant2, est responsable d’approximativement 5 % des émissions de gaz à effet de
serre (GES) anthropiques3,4, contribuant au réchauffement climatique5.wiki
Le ciment est un liant, une matière pulvérulente, formant avec l’eau ou avec une solution saline
une pâte homogène et plastique, capable d’agglomérer, en durcissant, des substances variées
appelées agrégat ou granulat11.
C'est une gangue hydraulique durcissant rapidement et atteignant en peu de jours son maximum
de résistance. Après durcissement, cette pâte conserve sa résistance et sa stabilité, même sous
l’eau. Son emploi le plus fréquent est sous forme de poudre, mélangée à de l'eau, pour agréger
du sable fin, des graviers, pour produire du mortier, ou encore du béton.
Un ciment est dit naturel lorsqu'il résulte de la simple cuisson à température modérée
(500 °C à 1 200 °C) d’une marne ou d'un calcaire argileux (ciment prompt, ciment romain, et les
premiers ciments Portland sont des ciments naturels) . Il est dit artificiellorsqu'il résulte de la
cuisson à plus haute température (1 450 °C) d’un mélange moulu de calcaire, de marne ou
d'argile12ou une autre définition : Un ciment « artificiel » est un produit provenant de la cuisson de
mélanges artificiels (de la main humaine) de silice, d'alumine, de carbonate de chaux, sur
lesquels l'eau n'a aucune action, ou qu'une action très lente avant la trituration, et qui, réduits en
poudre mécaniquement, font prise sous l’action de l'eau, dans un délai qui varie selon leur
wikiproportion.)
WIKIPIDAI
http://www.ecocem.fr/ciment/
https://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-et-travaux-publics-th3/les-
materiaux-de-construc
http://www.ecocem.fr/ciment-portland/
http://www.vicat.fr/Activites/Ciment/Qu-est-ce-que-le-ciment
CIMENT PORTLAND
Le ciment Portland fait partie des ciments les plus répandus dans
l’industrie de la construction. Mais que savons-nous exactement de
lui ? Ecocem vous a préparé une page très complète sur le ciment le
plus répandu dans le secteur du bâtiment.
CRÉATION ET FABRICATION
PRISE ET DURCISSEMENT
Le ciment Portland est un ciment à prise lente. Le commencement de la solidification, à
partir du moment du gâchage de la pâte de ciment pur avec de l’eau, ne se manifeste
jamais avant quarante-cinq minutes. Il faut en général attendre entre deux et quatre
1 volume de ciment
2 volumes de sable
3 volumes de graviers
PRISE ET DURCISSEMENT
Mélangée à de l’eau le ciment va former une pâte qui en séchant permettra d’assembler des
éléments entre eux. Il existe différents dosages de béton (voir notre tableau dosage béton) selon
chaque utilisation souhaitée.
Par exemple, pour obtenir du béton de fondation, il est recommandé d’utiliser les dosages suivants :
En règle générale, les proportions à respecter pour obtenir du béton à partir de ciment Portland sont
les suivantes :
• 1 volume de ciment
• 2 volumes de sable
• 3 volumes de graviers
En règle générale, les proportions à respecter pour obtenir du béton à partir de ciment Portland s En
règle générale, les proportions à respecter pour obtenir du béton à partir de ciment Portland sont les
suivantes ont les suivantes
e ciment est une poudre minérale fine, principal composant du béton, auquel il confère un certain
nombre de propriétés, et notamment sa résistance. Il s’agit d’un matériau de construction de haute
qualité, économique, utilisé dans les projets de construction du monde entier.
Le ciment est obtenu par broyage et cuisson à 1 450°C, d'un mélange de calcaire et d'argile. Appelé
clinker, ce matériau granulaire est pour l'essentiel une combinaison de chaux, de silice, d'alumine et
d'oxyde de fer.
Et chaque catégorie de ciment correspond à des applications spécifiques telles que la construction
résidentielle, la construction d'ouvrages d'art, les travaux souterrains ou encore la réalisation de
bétons soumis à des milieux agressifs.
Les principales catégories de ciments produites par le Groupe sont présentées et classées ci-dessous
selon les normes européennes :
CEM I (ciments Portland) et CEM II (ciments Portland composés) : ciments les plus couramment
utilisés dans les ouvrages d’art, les bâtiments industriels et commerciaux et dans la construction
résidentielle, pour réaliser des ouvrages classiques en béton armé. Certains de ces ciments,
spécialement formulés, sont également utilisables dans les travaux souterrains en milieux agressifs
ou sous la mer.
CEM III (ciments de haut fourneau) et CEM V (ciments au laitier) : ciments usuels à faible dégagement
de chaleur durant l’hydratation et à faible teneur en sulfates, utilisés dans les travaux souterrains en
milieux agressifs ou dans les travaux à la mer.
CEM IV (ciments pouzzolaniques) : ciments usuels utilisant des produits minéraux d’origine
volcanique ayant des propriétés hydrauliques. Le Groupe fabrique et vend ce type de ciment
uniquement en Italie.
Ciment naturel prompt: ciment spécifique à prise et durcissement rapides. Depuis 150 ans, le Groupe
produit son ciment prompt à partir d’une pierre alpine naturelle, d’une performance exceptionnelle,
offrant une résistance immédiate et élevée ainsi qu’un faible retrait. Ce ciment est utilisé pour les
travaux de maçonnerie rapide, dans l’eau et l’assainissement, mais aussi pour la restauration et la
décoration du patrimoine bâti ainsi que dans l’éco-construction.
Normes et contrôles
Ces différents ciments répondent à des normes précises. Ils font l’objet de contrôles réguliers et
approfondis à chaque étape du processus de fabrication, garantissant ainsi la conformité de produit
fini aux normes en vigueur.
Par ailleurs le Groupe mène des programmes de recherche et développement sur les produits et
leurs applications, permettant de faire avancer les connaissances de ces produits et d’optimiser leur
utilisation.
PROCESSUS DE FABRICATION DU CIMENT
On comptabilise au total 15 étapes qui peuvent intervenir dans le processus de fabrication du ciment
:
Le composant principal du ciment classique est le clinker. Il est obtenu à partir de la cuisson d’un
mélange de calcaire (environ 80 %) et d’argile (environ 20 %) appelé “cru”.
Silice (SiO2) 13 à 14 %
Alumine (Al2O3) 2 à 10 %
Le cru peut également être obtenu avec d’autres matières comme les laitiers ou les
pouzzolanes. Le recours à ces matières alternatives aide à préserver les ressources
naturelles.
ÉTAPE 3 : LA CUISSON
Après avoir été homogénéisé et broyé une première fois, le cru est filtré puis porté à
haute température dans un système de cuisson en deux parties :
1. Le cru est déversée dans un échangeur de chaleur dans lequel circulent en sens
inverse les gaz très chauds qui s’échappent du four. La matière progresse jusqu’à
l’entrée de ce dernier où la température avoisine les 800°C.
Ce préchauffage permet ainsi de faire débuter le processus de décarbonatation.
ÉTAPE 4 : LE REFROIDISSEMENT
Dès la sortie du four, les granules incandescentes doivent être brusquement refroidis. On obtient
alors des grains solides, il s’agit du clinker dont voici la composition :
Cette étape consiste à doser les différents constituants du ciment. Ainsi, plusieurs types de ciment
peuvent être créés selon les produits ajoutés, appelés “adjuvants”. En général, une petite quantité
de plâtre (3 à 5 %) et de gypse sont ajoutées au clinker afin de réguler les caractéristiques de prise du
ciment. Si le clinker constitue en général l’élément de base du produit fini, notamment pour les
ciments Portland, il peut néanmoins être mélangé et broyé avec d’autres minéraux industrielles ou
naturelles :
Ces constituants de substitution permettent de limiter les émissions de CO2 et de créer des ciments
dotés de propriétés variées
ÉTAPE 6 : LE BROYAGE
Le clinker enrichi de ses ajouts est ensuite broyé de façon à obtenir une poudre
homogène et très fine : le ciment. Lors de cette étape les cimentiers utilisent
traditionnellement un broyeur à boulets. Mais de nouvelles techniques de broyage sont
désormais disponibles, comme par exemple les broyeurs à rouleau et les broyeurs
verticaux. Ces nouvelles machines permettent de réduire la consommation d’électricité,
un autre facteur important de l’impact climatique de cette activité.
ÉTAPE 7 : L’EXPÉDITION
Enfin, le ciment est stocké dans des silos avant d’être expédié aux chantiers de
construction, soit en vrac dans des camions-citernes, soit dans des sacs conditionnés.
Il existe quatre méthodes de production de ciment différentes, selon la technique employée lors du
mélange du cru :
La fabrication du ciment par voie humide est la méthode la plus ancienne, la plus simple, mais aussi
la plus énergivore.
Le calcaire et l’argile sont broyés finement et malaxé avec une grande quantité d’eau de façon à
former une pâte assez liquide (28 à 42 % d’eau). On brasse énergiquement cette pâte dans des
bassins de 8 à 10 m de diamètre, dans lesquels tourne un manège de herses.
La pâte est ensuite stockée dans de grands bassins de plusieurs milliers de mètres cubes, où elle est
continuellement malaxées. Le cru peut être corrigé chimiquement avec des additions appropriées de
calcaire ou d’argile notamment.
Une fois homogénéisée, cette pâte est ensuite introduite à l’entrée d’un four rotatif, chauffé à son
extrémité par une flamme intérieure pouvant atteindre les 2 000°C. Ce procédé consomme
beaucoup de combustible pour évaporer l’eau excédentaire ; c’est la raison pour laquelle on lui
préfère d’autres méthodes de fabrication.
La fabrication du ciment par voie semi-humide est une dérivée de la voie humide. Elle commence
comme la précédente, mais avant d’être introduite dans le four, la pâte est débarrassée d’une partie
de son eau grâce à des filtres-presses.
Ce procédé de fabrication du ciment est le plus utilisé de nos jours. Le cru est d’abord homogénéisé
et éventuellement corrigé chimiquement par l’apport de bauxite, oxyde de fer ou autres matériaux
fournissant le complément d’alumine et de silice requis.
Puis, il est séché et finement broyé de sorte à obtenir une poudre appelée la “farine”. Cette dernière
est ensuite acheminée depuis le silo d’homogénéisation, vers l’étape de préchauffage et jusqu’au
four proprement dit.
La méthode de fabrication du ciment par voie semi-sèche est une dérivée de la voie sèche.
Les exigences chimiques relatives aux ciments courants concernent la perte au feu, le
résidu insoluble, la teneur en sulfate, trois paramètres qui sont contrôlés par les essais
de la norme NF EN 196-2, la teneur en chlorure (NF EN 196-21) et la pouzzolanicité (NF
EN 196-5).
Je me permets de préciser que la conformité des 27 ciments à la norme NF EN 197-1
doit être évaluée en continu sur la base d’essais effectués sur des échantillons
ponctuels. Propriétés, méthodes d’essai et fréquences minimales d’essais applicables
pour les essais d’autocontrôle du fabricant sont mentionnées dans cette norme.
LERM
Peux-tu nous parler du contrôle des ciments non couverts par la norme NF EN 197-1 ?
Calorimètres de Langavant
utilisés pour la mesure de
la chaleur d’hydratation des ciments
Jean-Pierre Commène
La norme NF EN 197-4 définit plus spécifiquement les exigences fixées pour les ciments
de haut fourneau à faible résistance à court terme. Aux méthodes d’essais décrites plus
haut, viennent ainsi s’ajouter la mesure de chaleur d’hydratation, effectuée selon les
normes NF EN 196-8 (méthode par dissolution) ou NF EN 196-9 (Méthode semi-
adiabatique).
Enfin, certains ciments déjà conformes à la norme NF EN 197-1 peuvent accéder à une
notification de qualité d’usage en relation avec la nature et la proportion de leur
constituants. Les exigences initiales de la norme NF EN 197-1 sont alors révisées ou
complétées par des exigences chimiques, physiques et minéralogiques supplémentaires.
Ces notifications sont définies par les normes NF P 15-317, NF P 15-318 et NF P 15-319
qui les rendent respectivement aptes, aux travaux à la mer ou en environnement
moyennement agressif vis à vis des sulfates (PM), en utilisation pour béton précontraint
(CP) et aux travaux en eaux à haute teneur en sulfates (ES).
L’aptitude générale à l’emploi est également établie pour le ciment prompt naturel
conforme à la norme NF P 15-314 et pour le ciment alumineux fondu conforme à la
norme NF P 15-315.
LERM
Avons-nous fait le tour des contrôles possibles des ciments en laboratoire ?
Jean-Pierre Commène
Non !… car les producteurs et les utilisateurs de ciments disposent d’essais
complémentaires, dont les méthodes sont normalisées ou non, d’ailleurs, méthodes qui
leur permettent une caractérisation encore plus complète des produits, sans que les
niveaux d’exigences ne soient obligatoirement indiqués dans la norme NF EN 197-1,
puisqu’il s’agit là du savoir-faire du producteur.
Ainsi, l’analyse chimique complète des matières premières de cimenterie, des crus de
fabrication et du clinker Portland, produit de cuisson à la base des ciments courants,
reste un préalable essentiel à une production adaptée de ces produits en vue de leur
normalisation. Par l’intermédiaire du calcul minéralogique de Bogue on peut alors revenir
à la composition potentielle des clinkers et des ciments Portland (CEM I).
Cette composition minéralogique peut être vérifiée par analyse diffractométrique aux
rayons X, qui permet, par ailleurs, de vérifier et quantifier l’état de vitrification des laitiers
de haut fourneau. L’examen au microscope optique des clinkers, des ciments et de leurs
constituants permet d’accéder à des informations sur l’aspect des minéraux présents,
leur distribution, leur association et leur porosité et de renseigner ainsi sur la qualité des
matériaux de production.
LERM
Il n’a pas été jusqu’ici question du contrôle de la finesse…
Jean-Pierre Commène
Tu as raison d’aborder ce paramètre qui est essentiel pour la qualité d’un ciment. En ce
qui concerne les mesures physiques, la connaissance de la finesse des ciments revêt un
rôle majeur lors des opérations de broyage. Les laboratoires disposent, dans cette
perspective, des appareils de mesure de type Blaine (NF EN 196-6) qui, couplés à la
mesure de masse volumique absolue des poudres (voluménomètre de Le Châtelier),
permettent d’évaluer ce paramètre. D’autres mesures de finesse par tamisage à la main
ou sous dépression d’air (méthode Alpine : X 11-640) existent, sans oublier la mesure de
granulométrie laser, que nous pratiquons au LERM. Elle a l’avantage de présenter la
distribution des particules selon leur taille.
N’oublions pas, enfin, le retrait en ambiance dessicative et le gonflement en eau. Ils sont
mesurés sur éprouvettes prismatiques de mortier normal équipées de plots à chacune
de leurs extrémités. Ces essais sont régis par la norme NF P 15-436. Cette méthode de
mesure est également à l’origine de nombreux essais de gonflements réalisés au
laboratoire en milieux agressifs (eau sulfatique, eau de mer, solutions acides…) sur pâte
de ciment ou sur mortier.
LERM
Dans un laboratoire comme le LERM, la norme règne donc en maître quant au contrôle
des ciments ?
Jean-Pierre Commène
Tu as pu le constater, on n’y échappe pas !… Et nos accréditation COFRAC sur les
essais sont là pour le rappeler.
Défini par la norme NF EN 206-1, le béton est un matériau formé par mélange de ciment,
de sable, de gravillons et d’eau, et éventuellement d’adjuvants et d’additions, et dont les
propriétés se développent par hydratation du ciment.
Cette norme précise encore que seuls les constituants dont l’aptitude à l’emploi pour
l’usage prescrit est établie doivent être utilisés dans les bétons qui lui sont conformes.
Le contrôle, par le laboratoire, des constituants du béton, dont le ciment qui nous occupe
aujourd’hui, est donc encadré par un dispositif normatif cohérent.
Dans un objectif de durabilité, ce contrôle s’effectue dans le cadre de la recherche de la
meilleure adéquation possible du béton aux fonctions et aux conditions
environnementales qui seront les siennes.
L’avant-propos de la norme NF EN 206-1 ( je m’y tiens ! ), précise que cette norme ne
peut être utilisée qu’en association avec les normes produits relatives aux constituants,
dont un fois encore le ciment… C’est ce que je viens d’essayer de montrer en répondant
à tes questions.
'industrie cimentière belge attache une importance primordiale à la qualité de ses produits. Chaque étape du
processus de production fait l’objet de contrôles continus. En effet, la fabrication de ciment est garantie par un
système de gestion de la qualité très strict fondé sur la norme ISO 9000. Les manuels de qualité décrivent
précisément les procédures de contrôle. Leur application effective est vérifiée par des audits internes et externes.
Sur base d'un certificat de conformité établi par un organisme notifié par les autorités belges, les producteurs
apposent le marquage CE sur tous leurs ciments courants. Ils se portent ainsi garants de la conformité de leurs
ciments à la norme européenne EN 197-1.
En outre, la qualité des ciment est attestée par la marque BENOR, propriété de l'Institut Belge de normalisation.
Celle-ci est attribuée par un organisme tiers en application de:
la norme belge NBN EN 197-1 et du document PTV 603 pour les ciments courants,
Normes et contrôles
Ces différents ciments répondent à des normes précises. Ils font l’objet de contrôles réguliers et approfondis à chaque
étape du processus de fabrication, garantissant ainsi la conformité de produit fini aux normes en vigueur.
Par ailleurs le Groupe mène des programmes de recherche et développement sur les produits et leurs applications,
permettant de faire avancer les connaissances de ces produits et d’optimiser leur utilisation.
Les magasins Les Matériaux vous proposent aujourd'hui un choix de ciments aux propriétés
diverses pour vos travaux de maçonnerie; des fondations jusqu'à la charpente.