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FRANCK LOZAC’H

PETITES HISTOIRES EROTIQUES

1
Scénario DESIRS ET FANTASMES

AMANDA

Scène I

La première image montre une femme, 35-40 ans, femme dynamique,


conduisant sa voiture - grosse voiture - BMW, récente. Cette femme est PDG. Elle
roule assez vite dans la ville - bourgeoise désirable, visage intelligent.

Scène II

Tout en roulant, Amanda regarde côté passager et voit un homme nu, assis sur
sa droite. Il lui sourit. Il est décontracté. Beau playboy. Elle n'en croit pas ses yeux,
fixe à nouveau son attention sur la circulation. Il est toujours là. - L'homme nu
symbolise le désir inconscient de cette femme.

Scène III

Amanda sort de sa voiture, monte les marches d'une belle architecture avec
prestance et assiste à un congrès. Elle est entourée de personnes d'un certain âge qui
ne l'intéressent guère. Elle regarde sur sa droite, et aperçoit l'homme qui était assis
dans sa voiture. Il est nu, à ses côtés. Elle n'en croit toujours pas ses yeux, et décide
avec discrétion de caresser son sexe pour vérifier si oui ou non elle a affaire à un
mirage. L'homme semble bien réel...

2
Scène IV

Amanda quitte la réunion qui se clôture et va aux toilettes. Elle entre dans les
WC, ferme la porte, - et voit l'homme nu face à elle qui l'invite à pratiquer une
fellation sur sa personne. Elle s'accroupit et s'exécute. Tout en pratiquant la caresse,
elle titille son clitoris et quand elle atteint son propre spasme, une main à caresser
son sexe, l'autre à activer le pénis de l'homme pour le faire éjaculer, - l'homme
disparaît comme par enchantement...

Scène V

Elle rentre à la maison. Maison cossue. Son mari, grisonnant l'attend dans un
fauteuil, lisant le journal, en pantoufles. Banalités de mariage, causeries
insignifiantes.

Scène VI

Elle va à la salle de bain, ouvre les robinets, se déshabille. L'homme nu est dans
la salle de bain. Elle feint de ne pas le voir. Il lui sourit.

Scène VII

Elle va se coucher. Son mari est dans le lit, en pyjama. Bavardages avant le
sommeil. Elle se retourne de l'autre côté, et voit encore l'homme - beau mec 25-30
ans. Musclé, souriant, sympathique, brun, séduisant. On voit son sexe au repos, ses
cuisses, ses fesses, sa poitrine, son visage etc.

3
Scène VIII

Elle se lève et gagne la salle de bain. Elle va au lavabo se rafraîchir, il est


derrière elle et la prend. On la voit éprouver du plaisir, et accéder aux spasmes tout
en se tenant aux parois du lavabo. Elle va se recoucher.

Scène IX

Elle va voir son Psy, et lui explique son désir de se faire Big Bang. Au fur et à
mesure qu'elle raconte son désir, l'on voit la personne appliquer son propre fantasme
avec six hommes nus autour d'elle qui la prennent et la reprennent. Elle suce, reçoit,
gémit, masturbe, etc. - éjaculations faciales, pénétrations rectale et vaginales,
masturbations, fellations et doubles.

Scène X

L'image revient sur le Psy ---) elle lui explique qu'elle craint en opposition à
ses fantasmes de trop dominer les hommes sur le plan professionnel dans son
entreprise. Le Psy la rassure.

Scène XI

Elle s'en retourne dans son entreprise et essaie de séduire un collaborateur qui
refuse. En revanche, une collaboratrice intriguée par le jeu, lui montre son désir.

4
Scène XII

Elle a une relation homosexuelle avec la collaboratrice qui lui fait connaître les
goûts pervers de la domination, de la soumission, du fouet et de l'orgasme etc...

Scène XIII

Elle a donc accompli un cycle de plaisir qui va de l'homme nu - à son mari


pantouflard qu'elle rejette, au Big Bang en passant par le lesbianisme et la
soumission. Elle s'aperçoit que son équilibre passe par l'ensemble de ces situations.

Scène XIV - Scène dernière -

Elle roule en voiture, tout comme au commencement du scénario, mais cette


fois-ci, ce n'est pas un homme nu qui est assis à côté d'elle et lui sourit pareillement
mais une femme - et dans la logique des scènes le même cycle va se reproduire avec
cette femme.

La boucle est bouclée.

5
AMANDA

II

Scène première

Une femme nue dans sa voiture assise à la place du passager avant se caresse et
atteint l'orgasme. La conductrice trouve la situation étrange mais cela l'amuse. La
femme délire violemment toutefois malaxant ses siens, s'introduisant des doigts dans
le vagin et jouissant fortement.

Cela l'étonne toutefois. Elle continue et roule. Elle s'interroge. "Qu'est-ce ?


Bizarre, mon esprit !" Circulation. Droite, gauche. Elle semble assez agacée, veut
atteindre une destination.

Scène II

Elle sort de sa voiture. Elle est présidente. Grosse voiture - Mercedes 300 ou
BMW 5-7. Récente. Elle va à la réunion. 40-50 hommes et certaines femmes autour
d'elle. Table ovale. Immense.

La réunion commence. Monotone et ennuyeuse. Elle jette un coup d'œil sur sa


droite, et voit toujours la femme nue , en porte-jarretelles noires avec un fouet qu'elle
caresse de sa main tout en lui souriant.

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La Présidente est sidérée. Que fait cette fille ici ? Est-ce un fantasme ? Une
illusion visuelle ? La femme se glisse sous la table, lui retire sa culotte, lui embrasse
le sexe et lui soulève ses jupes.

Amanda frémit de plaisir sous l'effet de la manipulation experte mais devant


cette assemblée elle ne peut exprimer aucun signe de jouissance. Elle tente de se
retenir mais n'en peut plus. Quand elle réalise, la femme a disparu dans un nuage de
fumée, - qui symbolise l'évanouissement de l'orgasme dans le fantasme.

Scène III

La séance terminée, elle décide d'aller aux Toilettes. Elle se pomponne, se


repoudre etc. La fille-femme est derrière elle, toujours en cuir. La porte des chiottes
s'ouvre, toutes les deux y entrent. La fille en cuir écarte son sous-vêtement, apparaît
une superbe pilosité tapissée d'épais poils noirs. La Présidente, en tailleur classique
s'exécute, la lèche et la relèche avec plaisir et ravissement. D'une main délicate, elle
caresse son propre pubis. Quand elle atteint son propre orgasme, la fille s'est
évanouit...

Scène IV

Elle rentre à la maison, son mari joue aux échecs seul, s'essayant à des coups,
déplaçant certaines pièces, refusant des solutions. Elle lui parle de banalités et décide
d'aller se faire couler un bain.

7
Scène V

Le bain est très chaud. Elle se décontracte un maximum, semble jouir de ce


bien-être. Puis des mains se posent sur ses épaules, - c'est encore la femme-fille, qui
lui masse délicatement le dos. Elle se laisse bercer par ce sentiment très agréable.

Scène VI

Amanda va se coucher, embrasse son mari qui lui donne un peu d'affection. Ils
parlent ensemble. Complicité, rires, plaisanteries mais nulle relation sexuelle.

Scène VII

Elle se trouve chez son Psy, et lui explique son désir d'avoir un harem de
femmes, de se déplacer au milieu de femmes nues, de les caresser, de les lécher, de
se faire masser, de se faire prendre avec des godemichés, de prendre également. [Les
différentes scènes doivent être montrées avec réalisme] Le Psy la rassure et trouve
une explication satisfaisante.

Scène VIII

Elle se confie à ce médecin et lui avoue ses craintes de chercher à dominer ses
collaboratrices dans le monde du travail. Son statut de Présidente lui permettant de
telles audaces... Le Psy continue à la rassurer...

8
Scène IX

Elle essaie de séduire une collaboratrice qui se refuse, en revanche un homme


amusé, intrigué par ce jeu parvient à séduire la Présidente.

Scène X

Ils dînent ensemble, - complicité. Puis elle l'entraîne dans un studio aménagé,
qui est une sorte de donjon raffiné. Il obéit, et se fait dominer. Fouet, pal,
humiliation, soumission, éjaculations abondantes etc.

Scène XI

De retour dans l'entreprise. Ils font comme si rien ne s'était passé. Il lui propose
une soirée dans son donjon. Il y amène des femmes qui vont la prendre, la dominer,
l'attacher, la fouetter de manière très jouissive. La femme-fille du début réapparaît, et
l'ensemble des acteurs du donjon disparaissent. Pourtant le lieu étrange semble bien
réel. Mais elle est seule avec la fille. Elle se met à genoux devant elle et cherche
encore à se faire fouetter.

Scène XII

Une sorte de kaléidoscope d'images se déroule et les différentes scènes qui ont
marqué le film se succèdent. Le spectateur n'y comprend plus rien. Il ignore si la
femme a véritablement connu ces situations, si certaines sont réelles et d'autres
imaginaires, ou encore si la fiction s'est mêlée à la réalité.

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L'ensemble doit représenter le panorama d'une pensée sexuelle assez
audacieuse où le doute, l'interrogation et la partie imaginative animent constamment
la femme.

En vérité, chaque femme doit à un moment ou un autre se sentir concerné par


ce possible, et ne jamais culpabiliser concernant ses projections sexuelles,
comprendre encore qu'une partie du réel s'applique quand l'autre partie reste à l'état
spéculatif.

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III

Marcello

Scène I

La scène première montre un homme - quarante quarante-cinq ans, conduisant


sa voiture - BMW ou Mercedes. La circulation est dense, il semble assez pressé.
PDG d'une entreprise moyenne - ou quelque chose d'équivalent.

Scène II

Tout en roulant, il regarde côté passager, et voit un playboy sur sa droite.


Homme un peu équivoque, sorte d'homosexuel qui lui sourit. Il se demande : " Que
fait ce con, à poil dans ma voiture ? " Il laisse tomber, car cela est trop absurde. Il
hoche la tête, et fixe à nouveau son attention sur la circulation. (L'homme qui
apparaît symbolise ou représente le désir inconscient homosexuel du conducteur.)

Scène III

Il descend de son automobile, gravit les marches d'une structure assez


importante. Monte de manière alerte, il tient un attaché-case. Il serre des mains de
collègues. Cordiales présentations. Ils se sourient etc.

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Scène IV

Toujours au Congrès. Il consulte son ordinateur portable. Il regarde vers la


droite, et voit encore le gars torse nu portant un pantalon en cuir très collant. John lui
sourit et passe la main dans sa braguette. Intrigué le PDG se laisse caresser. Puis
discrètement, il remet sa braguette en place - John a disparu.

Scène V

Il se dirige vers les Toilettes, va à l'urinoir, referme les boutons de son pantalon
et le voit face à lui, qui d'un sourire engageant l'invite à s'accroupir. L'homme prend
sa tête et la colle contre son cuir moulant. Le PDG avide défait le pantalon. Un vit
gonflé, énorme en surgit. Avec avidité le voilà qui suce, tète, mordille les testicules
et mange à nouveau l'ensemble. Puis sous l'effet de l'excitation, il parvient tout en
étant accroupi à extraire son pénis de son pantalon. Il le branle nerveusement. Le
sexe durcit, enfle et semble prêt à éclater. Au plus fort de l'excitation et de la
jouissance, répandant sur le sol des Toilettes des gouttes de sperme, le jeune homme,
comme par enchantement a disparu.

Marcello regarde avec étonnement sa semence sur les carreaux du sol. Il prend
enfin conscience qu'une personne aurait pu surgir à l'improviste et semble tout
confondu de cette observation. Il se regarde dans la glace, rajuste sa cravate et quitte
les lieux après avoir essuyé avec ses pieds les traces indélicates.

Scène VI

Le voilà chez lui. Sa femme âgée d'une quarantaine d'années l'accueille avec
gentillesse et courtoisie. Il l'embrasse, se débarrasse de son attaché-case et retire

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prestement la veste de son costume. A présent il dénoue sa cravate et permet à sa
gorge de mieux respirer. Il va au bar et se sert un whisky, bien tassé. Il lui parle
mécaniquement de sa journée harassante - elle l'écoute - bonne et respectueuse
épouse.

Scène VII

Il se dirige vers la salle de bain et fait couler un bain tiède. Il jette un coup d'œil
dans le miroir et voit subrepticement le play-boy des Toilettes qui le regarde et lui
sourit. Puis il se déshabille et laisse apparaître de splendides muscles huilés. Un sexe
au repos s'offre à la bouche désireuse qui n'ose le happer. Il se lave et sort de son
bain. John a une nouvelle fois disparu.

Scène VIII

Le voilà en pyjama et couché, regardant sa femme, jolie à souhait qu'il apprécie


et aime. Il l'embrasse délicatement sur l'épaule, la caresse et lui offre une grande
affection. On la voit sourire dans son sommeil. Elle semble dormir. Elle dort.

Scène IX

Il se lève et se dirige vers la salle de bain. Il cherche un verre d'eau pour se


rafraîchir. Il fait couler un peu d'eau dans le lavabo et négligemment jette un coup
d'œil dans la glace. Le jeune homme se tient derrière lui. Il lui met les mains autour
de la taille et fait glisser son pyjama qui n'offre aucune résistance. Doucement, tout
en lui souriant il fait entrer son pénis dans sa zone rectale, qui reçoit aisément l'objet
érecté. Des va-et-vient sensuels puis agressifs pénètrent sa chair. Il gémit de plaisir,
offre ses fesses plus tendues, plus complices encore. Une main sur le lavabo, l'autre

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masturbant son sexe, il essaie d'accéder au paroxysme qu'il atteint toutefois. Quand
John après grand nombre de buttoirs exceptionnels éjacule en lui, l'homme répand de
bonheur sa semence sur les carreaux du sol de la salle de bain. Comme par
enchantement le sodomite disparaît...

Scène X

Il va voir son Psy. Il lui explique qu'il a de grosses difficultés pour gérer sa vie
d'homme rangé avec épouse, responsabilités professionnelles et pulsions sexuelles
radicalement opposées. Le voilà entouré de sept ou huit homosexuels qui le prennent
en Bing Bang, qui le fouettent, l'engodent et lui en font voir par tous les trous. Le Psy
le rassure... (L'on doit montrer l'ensemble de ces scènes qui se succèdent. Elles sont
relativement crues et osées. Beaucoup de Hard et de cuir...Communauté gay)

Il ajoute encore qu'il craint dans son contexte professionnel de se comporter en


petit dictateur auprès de ses collaborateurs ou inférieurs. Le Psy le rassure...

Scène XI, scène dernière

L'on comprend aisément le conflit qui anime l'esprit de cet homme - il vit dans
la conformité d'une existence très bien balisée mais le désir homosexuel est si
puissant en lui qu'il abandonnera toutes ses structures traditionnelles pour vivre
pleinement son homosexualité dans une communauté gay.

Il finira hélas ravagé par le virus du sida, grabataire sur son lit de mort ayant
vécu toutefois le parcours qu'il avait souhaité et que jamais il ne reniera.

Fin

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Amélie

13/18

Nous sommes dans une salle de Body-Building. Après avoir fait ses exercices, un jeune homme de
18 ans, beau de corps et de visage va à la douche.

Une jolie gamine d'à peine 13 ans captivée par la qualité de sa plastique le suit subrepticement.

Lui se déshabille et commence par se laver. Il utilise un savon, se rince puis s'essuie. Il ignore qu'il
est observé.

Amélie apparaît. Il est nu. Hypnotisée par la beauté de son corps d'athlète, elle le touche
délicatement. Lui se laisse faire, un peu amusé. Elle caresse ses pectoraux, ses hanches et la forme de
ses cuisses. Elle semble subjuguée.

Elle frôle de ses mains frémissantes ses fesses musclées. Le sexe d'Antonin est au repos.
Délicatement, en la regardant avec une attention soutenue et un léger sourire en coin, il lui prend le
pouce et simule une fellation. Il la convint d'agir de la sorte.

Admiratrice et obéissante, elle s'exécute et lui pratique maladroitement une fellation.

Le sexe se gonfle de sang et grossit rapidement dans sa bouche. Le voilà tendu à l'extrême. Amélie
tente de le besogner de son mieux.

Il lui dit d'en cesser là. Il se dirige vers un banc de bois, s'allonge et lui demande de quitter ses habits.

Il y a un immense contraste entre ses formes développées de culturiste et la faible nudité de la gamine
nubile aux seins immatures, au fessier inexistant et aux cuisses ridicules.

Il s'allonge sur un banc de bois identique à ceux que l'on trouve dans les vestiaires des salles de
gymnastique. Son pénis est encore en érection.

- Viens sur moi et glisse-le dans ton vagin.

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Elle s'assoit sur son sexe et le dirige vers la cavité de son vagin. Elle hésite, a un peu mal, semble
vouloir se retirer mais accomplit les gestes de va-et-vient.

La pénétration est plus ample. Elle semble jouir quelque peu. Le voilà à son comble. Il projette son
liquide au plus profond de ses muqueuses. Elle reçoit le jet brûlant dans sa matrice et se réjouit d'aise.

C'en est fait du dépucelage d'Amélie excitée et contemplative du corps magnifique d'Antonin, à la
plastique vraiment magnifique ...

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Synopsis

Catherine Ha

Une femme, style Catherine Harris, forte à l'extérieur, juge, tendue, bien
habillée, possédant le vrai - se transforme et se métamorphose de retour dans son
appartement en soumise. Se met nue, s'attache avec des chaînes, se fouette,
s'autopunit, à genoux, vit dans le dénuement - dans une chambre sordide spécialement
aménagée à cet effet,

- mange du riz, boit de l'eau, urine dans un bassin. Puis passe dans une autre
pièce, se coiffe, se peigne, s'habille, se change, parvient à gérer ses contradictions
comme une boulimique anorexique qui à l'intérieur se fait vomir et à l'extérieur semble
fine et équilibrée.

Double vie.

Trouve un homme, l'entraîne dans son espace, lui montre sa médiocre pièce, veut
l'attacher, lui donner de la jouissance, lui faire essayer ses plaisirs, - dans un premier
temps joue le jeu - puis refuse - n'admet plus, l'engueule - la traite de perverse -

Elle se retrouve seule, en souffre.

Rencontre une femme. Essaie de lui expliquer ses contradictions. A une relation
avec elle. La femme semble la comprendre. Fait venir son mec qui s'en occupe
fortement, fouet, coups, violences.

Jouissances et soumissions extrêmes dans l'appartement. Catherine veut expulser


tout le mal qui est en elle, toutes les contradictions qui l'animent.

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En vérité, femme-juge, femme-qui-juge, qui est dans l'obligation de punir et de
condamner et qui s'inflige à elle-même les applications qu'elle inflige aux hommes
qu'elle envoie en prison.

Va jusqu'au bout de cette démence. Elle commence par voler dans des magasins
de luxe puis essaie un casse dans une Banque avec des malfrats et des voyous. Se fait
arrêter. Se retrouve dans une prison de femmes.

Fouillée, engodée, enculée avec des bâtons - chaînes, soumissions réelles - à


quatre pattes, prend des coups de pieds dans la gueule, souffre, saigne, - déchéance
absolue.

En vérité, expulse, se nettoie - sorte de lavement mental, de purgatoire.

Totalement transformée - sort de prison, non maquillée, visage blafard, amaigrie.

Et ?...

Soit retrouve son activité de juge avec ses contradictions,

Soit change de profession et redevient une femme moyenne ---) CAD directrice
cool et simple dans une agence matrimoniale et s'assume en tant que lesbienne soft
aimant se faire lécher et doucement dominer...

Fin

18
Erotisme japonais Synopsis

L'action se déroule au Japon dans les années 30 et l'un des premiers plans surplombe un village
traditionnel composé de toits en bois typiques.

Lentement la caméra s'approche et se focalise sur une maison précise. L'œil de la caméra avance et
entre dans la maison. Puis l'on accède assez rapidement à une pièce.

Fragments et notes

Je cherche : Erotisme nippon - Huis clos - H et F - Tatouages - Profondeur de couple - Lumière


claire/obscure - Sensualité - Domination mentale - Rapports de l'un à l'autre - Retenues longues
- Orgasmes extraordinaires - De l'intérieur.

Peut-on faire entrer un troisième personnage ?

Est-ce une femme ? Est-ce un homme ?

Je vois plus facilement un homme.

Alors ?

---) Tatouage + SM + rapport amoureux subtil ---) Mental/Corporel + Narcissisme + Domination


mentale

Le mental est un lieu - La beauté des corps n'intervient que fort peu - Les seins peuvent être petits -
Les cuisses de hommes sèchent - etc.

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Premiers plans : un homme, une femme - Lumière tamisée. Tous les deux s'accouplent sur le sol
l'un face à l'autre.

Puis entre un second personnage. Il s'assoit face à l'homme - Lui ressemble - ils se masturbent pour
se mettre en état d'érection. Lentement l'un des deux fait une fellation à l'autre. La femme dans
un angle observe.

Seconds plans : Les sexes sont tendus à l'extrême. Ceci n'est toutefois pas de l'homosexualité -
mais une sorte de projection de soi vers soi - assez narcissique - les deux personnages, en
vérité, ne font qu'un...

La femme soumise dans un angle les observe discrète mais attentive.

Autre remarque : Dans cet érotisme, la longueur du sexe, le volume des seins, la quantité expulsée
n'interviennent pas - Ce qui importe :

---) Le subtil, le délicat, la lumière, le lieu, le maquillage, le temps passé à l'acte, la lenteur, le
cérémonial, le tendu des formes, le mobilier traditionnel, la musique aigre que l'on entend en
fond sonore.

Une scène : L'un peut pénétrer l'autre avec calme, sérieux, concentration, en position assise.

Autre scène : L'un peut attacher l'autre - toujours dans ce clair-obscur japonais. Il le fouette
méthodiquement - puis il le pénètre - jouissances extrêmes.

La femme à genoux ne dit mot mais observe la scène. Expressions du visage.

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Nouvelle scène : Celui qui a sodomisé le visiteur le détache. Ce dernier se dirige vers la femme.
Elle regarde le premier homme puis se penche. Il soulève son kimono. On voit ses fesses. Il la
prend par derrière à son tour. Elle ne dit mot.

Scène suivante : Elle va chercher un objet de domination et les soumet tous deux à une masse de
bois qui les entravent à la tête et aux poignets. Ils sont soumis et penchés, culs tendus, l'un à
côté de l'autre.

Ils ne prononcent aucun mot. On entend toujours cette musique aigre et criarde qui semble provenir
d'une autre pièce de la grande habitation.

Elle prend un olibos traditionnel en bois sombre et lentement, délicatement pénètre l'un des deux
hommes sur une grande longueur. Il reçoit et semble apprécier. Le second compagnon connaît
la même récompense. Par une sorte de massage, elle tourne les deux gourdins dans le cul en
même temps - tourne et retourne - s'arrête. Ils jouissent, soumis et pris.

Scène à venir : Elle se lève délicatement et va chercher une trique. Elle les frappe méthodiquement.
Ils sont entravés, enculés avec le gourdin de bois et se font fouetter.

Elle cesse de les fouetter, les désengode lentement puis les détache.

Nouvelles actions : Elle en suce un et se fais prendre par un autre puis l'acte inversé s'accomplit.
Elle semble une poupée prise et reprise.

Ils obtiennent enfin l'orgasme et déchargent en elle.

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Les trois dorment repus.

Compléments : Les deux hommes et la femme peuvent avoir de beaux tatouages sur l'ensemble du
corps. Erotisme de ces tatouages avec lenteur des plans.

Remarques : Il ne s'agit pas ici d'homosexualité masculine. C'est quelque chose de plus subtil.

Le deuxième homme qui entre dans les situations est en vérité un doublon du premier - C'est dire
s'il doit lui ressembler fortement.

L'homme ne pouvant se faire une fellation, mais cherchant à accomplir un acte narcissique, par
l'intermédiaire d'un homme qui lui ressemble peut en ce sens se faire une fellation à soi-même.

Raisonnement identique pour ce qui est de la sodomie : l'homme en réalité s'auto-pénètre, se prend
lui-même.

Autres remarques :

Il y a un peu de fond sonore. La musique est composée d'airs traditionnels. On entend parfois un
chant lointain et aérien d'une jeune fille qui semble se languir.

Les gestes doivent être réfléchis, pensés, presque protocolaires - raffinement et maîtrise - une
sensualité de retenues. Les respirations sont profondes et les soupirs viennent de très loin.

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Scènes complémentaires :

---) Il y a une scène où elle pourrait se mettre en geisha et jouer de la guitare.

---) Scène de massage également. Elle pourrait les masser tous deux. Etirer lentement les testicules.

---) Autre scène. Chaque homme l'embrasse, lui mordille et lui lèche un pied. Dans le même temps,
elle se caresse le clitoris et accède à l'orgasme.

---) Autre scène érotique. Avec minutie et précision, on la voit raser les poils des sexes et des
testicules de ses deux amants. Et l'anus également.

---) Scène de voyeurisme avec deux jeunes filles qui observeraient les hommes nus ou en érection
sur le point de jouir.

---) Scène où ils mangent et boivent de l'alcool fort.

---) En mi tamisée, il y a une scène intimiste à filmer. On la voit devant les deux hommes uriner et
déféquer dans un petit sceau en bois qu'elle referme aussitôt après. Elle se fait un petit lavement
accroupie, et éjecte le liquide dans le sceau. Elle se rince à l'eau puis elle passe sur son corps
une crème pour purifier les zones utilisées.

Autres notes :

---) La caméra se déplace lentement sur les tatouages.

23
---) Il est préférable toutefois que les visages et les corps soient beaux. Visages d'hommes et de
femmes.

---) Il faut penser à la signature de L'Empire des sens pour réaliser ce long métrage.

Fin du film : L'homme entré en dernier sort. Les deux amants s'embrassent doucement. Le second
homme sort également. Elle reste seule. Range la pièce, fait coulisser le battant. La caméra
reste au centre de la pièce. En refermant le battant le mot fin apparaît.

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Evelyne ou La tentation d'Hérode Synposis

Situation

L'ensemble des scènes se déroule dans un appartement - une sorte de T2 ou


T3. L'on y voit un vieux monsieur dans un fauteuil d'handicapé. Il semble avoir 70 ans, et
vit seul.

Scène première

Tant bien que mal, il vaque à ses affaires, va dans la cuisine y chercher un
verre d'eau. Il revient dans le salon et allume le récepteur avec la télécommande. En
vérité, il semble s'impatienter et regarde subrepticement du côté de la porte.

Scène seconde

Un petit coup de sonnette retentit.

-Entrez ! dit-il avec empressement. Je ne puis vous ouvrir.

La porte s'entrebâille et apparaît Evelyne, une assez jolie blonde, bien en


chair, d'une quarantaine d'années mais simplement habillée. Coquette toutefois.

- Bonjour, dit-elle. Je me présente, je suis votre nouvelle aide personnelle. Je


m'appelle Evelyne et je viendrai vous rendre quelques services à raison de deux fois deux
heures par semaine.

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- Vous ne pouvez pas savoir comme cela me fait plaisir. Avec ce handicap,
tout devient difficile. Prendre un verre d'eau à la cuisine ou chercher un gâteau sec dans
un placard.

- Je suis justement là pour vous aider. Vous êtes Monsieur Habil ?

- Ecoutez ! Cela sera plus sympathique si vous m'appelez Georges.

Evelyne se déshabille pour mettre sa blouse et excite l'œil voyeur du


paralytique.

Scène troisième

Ils se parlent. Il lui fait comprendre qu'il est seul, qu'une présence féminine
lui serait très agréable. Il n'a pas vu une poitrine de femme depuis des années... Il se met à
pleurer. Elle le prend en pitié et lui montre ses seins. Il les caresse un peu. Essaie de les
lécher. Elle en cesse là. Fou de joie, il va à son bureau et dans un des tiroirs cherche une
enveloppe remplie de billets.

- Ne croyez pas que c'est pour vous remercier que je vous donne ceci. Vous
achèterez quelque chose à votre petite fille.

Elle l'embrasse sur la joue et s'en va.

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Scène suivante

Il va donc la regarder faire le ménage, se pencher, dépoussiérer, déplacer les


masses charnelles de son corps. En lui monte un fort désir pulsionnel malgré
l'impuissance dont il est victime.

Autre scène

Evelyne petit à petit devient intéressée par l'argent que Georges détient mais
ne veut toutefois pas tendre vers la prostitution. Elle fait venir une de ses amies - Linda -
qui également a des problèmes financiers. RMI ou RMA avec enfants à charge.

Pour plaisanter, elles décident toutes deux de se mettre en slip et soutien-


gorge avec chaussures hautes. Puis Linda continue son striptease devant les yeux de
Georges tout ébahi. Elle retire son slip puis monte sur le bureau et accroupie offre son
sexe et ses fesses à la langue de Georges qui se délecte copieusement. Lui qui n'avait pas
connu de chatte splendidement tapissée de poils noirs et luisants depuis des lustres, - il est
aux anges.

Nouvelle scène

Un jour Linda fait venir sa petite fille âgée de 8 ans. Elle la présente à
Georges qui la trouve très jolie. Il s'empresse de lui offrir des bonbons. Les deux femmes
font du ménage ou préparent des repas. Du coin de l'œil, Linda surveille Georges qui
semble fasciné par la gamine en train de jouer sur le sol ou à quelque jeu.

Le balancement de la lumière sur les cuisses de la petite qui est vêtue d'une

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robe légère excite le regard pervers du vieillard.

Encourageant la générosité de Georges, Linda décide en toute fausse naïveté


de montrer à ce dernier une tache de vin que sa gamine a dans le bas des reins.

- Stéphanie, viens ici.

La petite cesse de jouer et obéit à sa mère.

- Tu vas montrer à Georges la grosse tache rouge que tu as dans le dos.

Stéphanie approche et Linda doucement retire une partie de la robe pour que
Georges puisse apprécier la délicatesse de la peau et la fraîcheur des lignes. Il se repaît du
ravissant spectacle et exprime deux ou trois phrases insignifiantes pour accompagner son
étonnement. La petite ne porte pas de culotte et Georges sait apprécier.

Justifications

Georges qui n'a pas de famille ni d'enfant à gâter mais qui possède quelque
argent à la Banque n'hésite pas à se montrer assez généreux avec ces deux femmes qui lui
égaient la vie, transforment sa sinistre existence en période agréables et joyeuses. Il
retrouve le sourire et plaisante parfois.

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Scène érotique pour Evelyne

Le désir sexuel s'est déplacé. Le tétraplégique est impuissant. En revanche, ce


sont ses lèvres et ses pointes de seins qui deviennent sensibles. Le désir s'est déplacé. Il y
aura donc des massages d'Evelyne sur ces zones corporelles...

Scène complémentaire

Pour plaisanter et pour lui offrir un spectacle nouveau, elles font semblants
d'être lesbiennes. Elles se lèchent, s'embrassent, se caressent, dansent l'une contre l'autre
dans des gestes langoureux et très équivoques....

Scène d'analyse réaliste

Elles abordent le problème financier et les faibles revenus qui leur sont
alloué. Ils parlent à trois. Il comprend aisément leurs difficultés. Ayant peu d'argent il
n'hésite pas à les aider.

Scène dernière

Le paralytique a une attaque et il est sur le point de mourir. Ne sachant


comment donner les premiers soins et craignant des poursuites ou un contrôle négatif de
l'Administration, elles décident de s'enfuir rapidement en ayant toutefois pris soin de
prendre le contenu de l'enveloppe - CAD environ 6 000 euros qu'elles décideront de se
partager de manière équitable.

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Note personnelle

Problèmes que j'ai souhaités abordés dans ce petit récit érotique :

- Les personnes handicapées

- Les personnes âgées

- Les difficultés financières des petits revenus

- La sexualité des personnes du troisième âge

- La prostitution déguisée

- La pédophilie

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Hard Nurse - Synopsis -

Scène première -

Un homme est allongé nu sur un lit métallique dans une chambre d'hôpital. Il attend.

Il dresse l'oreille et entend faiblement des coups de talon-aiguille qui proviennent du couloir. Les
bruits sont de plus en plus pressant et semblent cingler plus fortement. Son cœur s'accélère, il
s'interroge et s'angoisse. Il se crispe et tient fermement les barreaux de son lit.

Scène seconde -

L'infirmière pousse la porte - belle, sexy, agressive, dominatrice.

L'homme attend. Elle saisit des aiguilles, prépare un produit. Elle lui injecte dans les testicules un
produit liquide. Puis lui enfonce une aiguille dans le sexe. Elle le regarde souffrir et se tordre.

- Mets-toi sur le ventre.

Elle prend une autre aiguille - longue - et la lui enfonce dans le cul. Il geint, gémit, s'accroche aux
barreaux du lit, se crispe de douleurs.

- Quand je serai partie, branle-toi doucement pour faire évacuer la douleur. Pense à moi. A mon cul.
A ma chatte. Branle-toi. Je reviendrai.

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Scène troisième -

Elle revient. Elle l'attache avec des bandelettes blanches. Lui bouche les lèvres et l'empêche de parler.
Elle le fouette violemment. Il se tord comme un vers ligoté.

Elle prend son pénis et le branle. Il semble jouir. elle s'assoie sur son pénis. Le suce un peu.

Elle ouvre sa trousse et en sort des seringues et des aiguilles. Avec technique et art, elle lui injecte un
produit dans les testicules.

Il gémit, pleure, implore et tombe en extase.

Elle sort de la chambre.

Scène dernière -

Elle pousse à nouveau la porte. Le détache. Lui branle un peu la queue. Il éjacule sa semence.

- Tourne-toi. Mets-toi à quatre pattes.

Il s'exécute.

Elle va à sa trousse. Prend une paire de gants blancs, les passe, les enduit d'un produit et pousse
fortement pour le fister jusqu'à l'avant-bras.

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Elle lui tire les testicules et le branle avec l'autre main. Il tremble de tout son corps et s'écroule
presque mort d'extase sur le lit.

L'infirmière disparaît.

Autre scène à intercaler -

Il attend, écoute, espère sur son lit.

- Va-t-elle venir, s'interroge-t-il ?

Il entend le bruit des talons aiguilles qui claquent dans le couloir central et s'approchent.

La porte s'ouvre énergiquement.

Toujours sans rien dire, elle prépare ses aiguilles et commence par lui prélever du sang qui se répand
dans un ustensile évasé et métallique. Elle lui pratique une saignée.

- Mets-toi à genoux, cul tendu, sale chien.

Elle l'assainie de petits coups dans les flancs.

Il gémit, obéissant comme un animal servile.

- Lèche ton sang, lape et vite !


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Il s'exécute.

Avec son pied, elle lui plaque la tête dans l'ustensile. Il en est tout barbouillé et lèche encore.

Elle le fouette violemment, puis quitte la pièce.

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Karine et Sylvie Historiette en trois mouvements

Premier mouvement

Deux femmes d'une trentaine d'années, à la terrasse d'un café, regardent des gens passer.

- Vois ce type, il est superbe ! Quel beau petit cul ! J'te parie qu'il a une grosse paire de couilles.
J'aimerais les avoir dans ma bouche comme des prunes à avaler.

- Et celui-là, regarde-le. Il doit avoir une superbe bonne bite. C'lui-là, je te le tire à fond. J'avale
tout son jute pour rassasier ma gorge.

- Je suis en feu. Je n'en peu plus. J'ai envie de me faire enculer et de ressentir de méchants coups
de buttoirs pour m'envoyer au septième ciel.

- T'as raison ! Un gros machin pour me faire couiner et m'enfoncer toute la caisse.

- Dis-moi, Sylvie, tu t'es déjà fait fouetter ou c'est un fantasme ?

- Tu parles ! Ce sont tous des tafioles. Quand j'aborde le sujet, ils me traitent de désaxée et
d'anormale. Ils ne veulent pas comprendre le pulsionnel sexuel qui m'alimente.

- Moi, c'est la même chose avec Georges. Je voulais pour le faire plaisir lui engoder le trou,
histoire de le faire jouir, - ce con de dégonflé a joué les saints hommes et m'a traitée de salope !

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- C'est ainsi, ma chérie, les hommes ne valent rien. C'est moi qui vais m'occuper de tes petits
orifices. Je saurai te faire jouir - tu gémiras et supplieras.

- Ne plaisante pas, Karine - c'est plusieurs mecs qui m'excitent. De belles bites tendues, des
muscles et des flots de jute pour abreuver ma gorge en feu... J'ai envie de les violer, de me mettre à
genoux devant eux et de les pomper à mort puis de les chevaucher tout en leur claquant la gueule,
histoire de les faire réagir !

- Non ! Moi le viol, ce n'est pas mon truc. J'ai d'avantage envie d'avoir un sérail de mecs à poil,
soumis à tous mes désirs - des mâles esclaves et obéissants.

- Moi, je préfèrerais me faire fouetter et fortement défoncer, répond Sylvie. Je suis


essentiellement suceuse, sodo et soumise. Mais je rêve de plusieurs mecs à la fois.

- Regarde celui-là comme il est mignon ! Il me suce le cul, je travaille ses couilles avec ma
bouche et je le piétine avec mes cuissardes. Ho ! Oui ! Son sperme sur mes cuissardes et qu'il lèche
jusqu'à la dernière goutte...

Puis de réfléchir :

- Tu te rends compte quel type de salopes nous sommes ! On a le cul en feu, on n'en peut plus.
On ne va tout de même pas se branler le clitoris pour calmer nos désirs. Ou encore utiliser le
pommeau de la douche pour s'apaiser quelque peu...

Sylvie de dire : - Vois c’lui-là. Il est jeune et bien fait. Discutons quelques instants.

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Second mouvement

Bertrand : - Il n'y a plus rien dans vos verres, puis-je vous offrir quelque chose ?

Sylvie : - Vous êtes très aimable, Monsieur, mais nous ne savons si nous devons...

Karine : - Elle est timide, Monsieur. Ne l'écoutez pas. Oui, venez vous asseoir à nos côtés et
offrez-nous un verre.

Sylvie : - Tu y vas fort. Monsieur n'a aucune idée en tête...

Bertrand : - Mais si ! Mais si ! Deux belles idées m'animent tout à coup. Je connais les femmes et
j'ai pu éprouver l'intensité de votre désir. Ne tardons pas et suivez-moi.

Le trio quitte la terrasse. Ils marchent quelques centaines de mètres et gagnent l'appartement de
Sylvie.

Bertrand dans la montée de l'escalier pelote le cul de Karine qui pousse son volume arrière pour
le mieux faire caresser...

Troisième mouvement

Les trois sont à poil et Sylvie va chercher une badine pour travailler Bertrand qui soumis et à
genoux quémande la jouissance en recevant de longs coups de lanière sur le dos.

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Sylvie en profite pour fouetter également Karine qui comble de plaisir reçoit le manche du fouet
dans ses vagin et anus. La voilà femme-crinière de cheval, les lanières balançant de chaque côté de
ses fesses.

Elle retire le manche et empale à son tour Bertrand qui gémit de plaisir. Ses grosses boules sont
des offrandes sexuelles et Karine s'empresse de les gober avidement tandis que Sylvie le branle
pour le faire juter.

La jouissance après de sublimes va-et-vient explose enfin, et toutes deux lèchent le vit toujours
en érection implorant encore de nouvelles caresses...

C'est à présent Karine qui fouette son dos rouge de plaisir. Il gémit, supplie, implore la fin de son
superbe calvaire. Les deux filles se regardent et s'amusent de le voir incapable de poursuivre l'acte
sexuel.

- L'une le vilipende : - Habille-toi, connard, tu ne sais pas même faire jouir deux gonzesses !

- C'est assez, dit Sylvie, tes moyens sont trop faibles. Va te faire enculer par des mecs. T'es pas à
niveau. Jette-toi, tire-toi à présent.

Bertrand, tout penaud, n'y comprenant rien, renfile son pantalon et passe sa chemise sous l'œil
pervers des filles qui se lèchent les trous et s'amusent joyeusement. Elles se doigtent la bouche et les
différentes fentes.

Bertrand se retire, et les deux filles après avoir pris un bain de plaisir décident de s'en retourner à
la terrasse de l'établissement pour trouver un nouveau compagnon qui cette fois saura les satisfaire..

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La belle chaumière Synopsis

Petit avertissement

Faut-il rester constamment avec une vision sadique ou sadomasochiste des


rapports audacieux entre les sexes ? Faut-il prétendre que les acteurs sont soient
consentants soient victimes de leurs bourreau ? Et que penser de ces bourreaux eux-
mêmes qui, à leur tour, pourraient épouser ces deux habits de la sexualité ?

Je me devais de trouver une nouvelle voie permettant à des couples de moduler


toutes ces facettes des comportements physiques allant de l'hétérosexualité à
l'homosexualité en passant par le lesbianisme épanouis.

Il est vrai que le tout forme un ensemble de relations surprenantes que nulle
morale n'accepterait de déployer. Mais on est ici dans le règne de rapports physiques
entre personnes consentantes et ceci est encore une fiction - non pas une réalité
admise.

Scène première

Une belle propriété. De nuit. 20 heures. Une voiture arrive. Une berline. La
voiture s'arrête. Un couple bien habillé sort de l'auto accueilli par une autre coupole.
Sourires. Embrassades. Amitiés. Eclats de joie. Paroles insignifiantes.

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Scène II

Nous pénétrons dans la demeure. Intérieur cossu. Le dîner est prêt. Grand feu de
cheminée. Le repas. Propos de circonstances échangés. Beautés des couples, hommes
et femmes. Lumières rouges et profondeurs noires. Les plans réalisés montrent le désir
lentement monter en eux.

Scène III

Fin du repas. La maîtresse de maison propose aux invités le jeu de la courte


paille. Pierre, le propriétaire de la berline a perdu.

Il se lève, sourit à ses amis et à sa concubine et commence par se déshabiller. Le


voilà à présent entièrement nu. Il se met à quatre pattes, le cul tendu près de la
cheminée. Adrienne se dirige vers une armoire, l'ouvre précieusement et dans la
collection savamment ordonnée et rangée, elle choisit un fouet.

Avec une énergie de prestance, elle s'approche de Pierre et laisse tomber le


premier coup qui s'abat sur son fessier comme un plaisir libérateur. D'autres coups
sont donnés avec finesse, subtilité ou détermination grandissante. Les soupirs
s'échappent de sa gorge, il gémit d'aise sous l’œil aiguisé des autres convives.

Scènes IV

Pierre se rhabille tandis qu'Adrienne retire lentement les effets qui la paraient. La

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voilà en porte-jarretelles avec ses talons aiguilles. Elle semble vouloir rester dans cette
tenue mais Sophie lui intime l'ordre de se dévêtir entièrement.

Scène V

Sophie utilise un stick et frappotte le fessier d'Adrienne. Elle glisse l'objet entre
ses lèvres intimes puis elle l'agite avec plus de virulence. Adrienne soupire sous les
regards remplis de convoitises de ses deux compagnons.

Scène VI

Sophie à présent se fait délicieusement lécher la fente par Adrienne, toutes


jambes ouvertes. Adrienne, à genoux déguste avec plaisir l'entrecuisse blond de la
douce et perverse Sophie. Les deux hommes nus debout se font indistinctement sucer
le gland et les bourses. Sophie se régale. La combinaison à quatre est succulente.

L'ambiance est lourde et chaude. le feu de bois toujours crépite dans la


cheminée. Les lumières rouges offrent un plaisir intensif et réel aux personnages et
noient leur passion dans de superbes jouissances.

Scène VII

A son tour, François intime l'ordre aux trois autres de se mettre à quatre pattes,
côte à côte. Ils obéissent avec dextérité. Et culs tendus, ils attendent patiemment un
bonheur rectal.

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François commence par prendre Pierre. Il enfonce son vit rouge jusqu'au
tréfonds de ses entrailles. Pierre se cambre et gémit tandis que les deux femmes sans
réagir espèrent avec délivrance leur tour.

Puis Sophie et enfin Adrienne se font pénétrer. N'en pouvant plus, François
décharge toute sa semence sur les reins de cette beauté rousse. Son dos est parsemé de
gouttes transparentes qu'il s'empresse aussitôt de lécher.

Scène VIII

Les quatre, à présent habillés se dirigent vers une sorte de garage-cave


parfaitement aménagé. Les deux femmes sont attachées à des poutres et reliées par des
menottes et des cordes. Les hommes défont leurs robes et commencent par les
caresser. Ils introduisent leurs doigts et leurs langues dans tous les trous.

Scène VIII

Pierre et François délaissent pour un temps leurs compagnes. Pierre s'agenouille


et suce François qui à présent lui rend ses salutations. Les pénis sont épais, lourds et
rouges remplis de semence et prêts à expulser. Mais les femmes s'impatientent et le
couple d'hommes décide de s'occuper de leurs compagnes.

Scène IX

Elles se font fouetter, engoder et pénétrer avec des ustensiles. On les entend
gémir d'aise. Tous en les fouettant, Pierre et François se masturbent mais conservent
en eux leur semence. Le stick de Pierre fait supplier Adrienne qui implore d'être enfin

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délivrer. Pierre la détache et François agit de même avec Sophie.

Scène X

Les femmes à présent chevauchent leurs compagnons tout se masturbant le


clitoris. Adrienne, femme fontaine, décharge plusieurs fois sur François tandis que
Sophie introduit le pénis de Pierre dans son rectum. Les quatre atteignent un
paroxysme et s'envolent vers des orgasmes libérateurs.

Scène XI

Les femmes sont à présent dans la salle de bain et se refont une beauté. Pierre
attend que Sophie pose sa dernière touche de maquillage. La nuit a été longue et il
souhaite rentrer rapidement. Les quatre amis descendent l'escalier et vont jusqu'au hall
d'entrée. Tous s'embrassent et se regardent avec remerciements et convoitises futures.

Scène dernière

La berline s'éloigne doucement de la belle propriété. Les roues crépitent sur le


gravier clair de l'allée. Dans le lointain, le jour semble poindre. Après un dernier au
revoir, la porte se referme derrière le couple.

Fin

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EROS 99

AVANT PROPOS

Ce texte " La Togolaise " a été écrit pour exprimer mon indignation devant l'affreux
comportement de ce couple de parisiens, qui d'ailleurs a été jugé et condamné à verser une
amende et des indemnités à cette pauvre fille qu'ils exploitaient et maltraitaient. Les Chroniques
en ont fait leur pain, et ce fait divers choquant a été rappelé régulièrement sur les chaînes de
télévision au moment des informations :

Un couple infligea des mauvais traitements à une Togolaise venue travailler en France,
pour gagner quelque argent. Elle subissait des sévices, dormait sur une natte dans la cuisine, à
même le sol, s'était fait confisquer ses papiers, mangeait comme on nourrit un chien, ne sortait
jamais évidemment et n'était pas payée. C'était de l'esclavage moderne dans toute sa honte et son
déshonneur. La jeune fille profitant d'un moment d'inattention alla se confesser chez une voisine,
qui immédiatement a prévenu la Police pour arrêter ce couple détestable.

J'ai donc décidé, par réaction, d'inverser la situation et de tourner à l'avantage de la


victime, puis par dérision de ridiculiser ce couple de français.

44
LA TOGOLAISE

Il faut toujours se méfier des gens que l'on fait travailler chez soi. A moins de passer
par l'ANPE ou de connaître quelqu'un de sérieux par recommandation, la prudence est de
rigueur. Nous habitons le XVIe et formons un couple plutôt aisé, nous avions besoin d'un
personnel de maison. Je n'étais pas tout à fait d'accord pour employer cette Togolaise, me
méfiant des gens de couleur et refusant toute immigration clandestine. Je décidai pourtant de la
prendre à l'essai pour quelques jours, car elle me semblait sérieuse, propre, jeune et correctement
éduquée. Elle logea donc dans une petite pièce simple mais suffisante.

Je la voyais discrète, travailleuse et sans problème. J'en étais fort satisfaite. Un jour
que j'étais à me laver, je discutais avec elle, et lui dis que j'avais une douleur dans le dos, elle me
spécifia qu'elle savait masser et me conseilla de m'allonger sur la table. Elle prit un peu d'huile et
massa, ma foi, fort bien mon dos qui récupérait d'aise.

- Où avez-vous appris à faire cela ?

- On masse l'homme dans notre village !

- Et ici vous n'avez pas d'homme ?

- Non, alors je m'amuse toute seule. On fait aussi un jeu : on leur donne des ordres et
ils obéissent. Ils adorent qu'on leur donne des ordres : fais ci, fais ça, lèche, à quatre pattes,
marche, fais le chien, obéis, sous la table, on les tapote avec des badines, ils's branlent, ils lèchent
la semence, faut pas gâcher, c'est un vrai jeu.

J'avais trouvé son explication d'un drôle, et je voulais en savoir d'avantage - je lui
demandais une démonstration. Elle cessa de me masser et me dit :

- Il faut faire ce que je demande. Amusée, je répondis : oui.

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- Viens par ici, Maîtresse. Mets-toi à quatre pattes. C'est ça, penche bien ton cul, très
haut, et fais-le frétiller.

Elle retira sa blouse, se mit pieds nus, seins nus et en slip.

- A présent, tiens mes chevilles, penche-toi, plus,...encore...lèche mes chevilles,


doucement, obéis. C'est ça, fais la chienne.

J'embrassais lentement cette peau moite et noire à la fois curieuse et amusée. Je me


trouvais dans une situation totalement cocasse et inversée. J'étais la blanche, la française, la
bourgeoise, et je devenais par convenance sexuelle, l'obéissante qui tremblait et mouillait.

D'une main, elle prit mes cheveux doucement et tira ma tête vers son slip.

- Avec tes dents, retire mon slip.

Maladroitement, j'essayai de glisser ma bouche sur les bordures des élastiques.

- Fais-le glisser jusqu'à mes pieds.

Lentement, je parvins tant bien que mal à le faire glisser.

- A présent, approche et lèche.

J'avais devant mes yeux un énorme buisson noir, épais nourri de muqueuses et de
sécrétions vaginales. Je tentais d'y introduire ma langue avec toute l'ignorance dont j'étais dotée,
n'ayant jamais eu l'occasion d'en embrasser. Je m'exécutais encore.

- Maintenant, bourgeoise de merde, reste-là, les yeux fermés, j'arrive dans une
minute, et que je te retrouve cul en l'air et suppliante.

J'attendais, elle revint rapidement.

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- Penche-toi, dit-elle, penche-toi encore. Elle mouilla son doigt et l'introduisit dans
mon vagin, elle le mouilla encore et l'introduisit dans l'autre trou.

- Très bien, ça rentre. Puis lentement je sentis quelque chose d'étrange se glisser dans
l'anus. C'était très fin, rigide mais pénétrant;

- Qu'est-ce que c'est ? lui dis-je.

- Je t'avais dit que tu étais une bourgeoise de merde ? Regarde, c'est le balai des
chiottes !

J'étais totalement sidérée, humiliée, choquée, mais fort satisfaite au fond de moi-
même du tour que m'avait jouée ma Togolaise. Elle pour qui j'avais une certaine forme de
suffisance et de hauteur, voilà que je me retrouvais ridiculisée et abaissée.

- Et encore, ajouta-t-elle, tu as de la chance. Si j'avais eu un Polaroïd, j'aurais montré


la photo à ton mari. Je suis certaine que cela lui aurait plu.

Mon mari, parlons-en. Depuis déjà longtemps, je suis obligé de l'attacher, de le


fouetter et de le traire sur la table comme une vache à quatre pattes après l'avoir laissé huit jours
sans se branler. Il me supplie et me quémande, et je vous assure qu'il n'y a pas besoin d'attendre
longtemps pour que ça sorte : deux minutes de branlette, et la vache est traite.

Ce fameux samedi soir-là, tandis que nous jouions mon mari et moi comme à notre
habitude, je fis sortir d'une sorte de placard telle d'une boîte à Pandore ma splendide togolaise
harnachée, en porte-jarretelles rouge avec fouet et bottes en cuir que je lui avais achetés. La
réaction de mon époux fut stupéfiante. Il n'en croyait pas ses yeux. Le contraste le laissait
pantois. Lui accoutumé à voir cette servante docile, discrète, effacée,...il assistait à une inversion
de choses totalement inexplicable. Sa position ridicule de branlé sur la table de séjour, à quatre
pattes et le trou du cul offert avait quelque chose d'hallucinant dans son regard.

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- Tais-toi ! Ne dis rien. Reste dans cette position, attends, lui dis-je. Ecoute un peu :
notre remarquable employée de maison m'a fait comprendre qu'elle possédait des dons et des
qualités insoupçonnées dans le domaine de la sexualité. Tu vas dès à présent pour bénéficier de
ses nouvelles prestations de service et pour la remercier du grand bien qu'elle va t'octroyer lui
doubler ses gages pour bonne conduite.

Mon mari, tremblant et jubilant à la fois acquiesça en guise de réponse.

Elle lui ordonna de descendre de la table et de rester à quatre pattes sur le sol. D'un
geste du regard, elle me fit comprendre que je devais me déshabiller également. Je me mis en
slip et en soutien-gorge.

- Retire tout, dit-elle. Je m'exécutais.

- Toi aussi, Maîtresse, à quatre pattes, cul contre cul avec ton mari. Frottez-vous le
cul l'un l'autre. Toi, tu miaules et lui aboie.

C'était cocasse et ridicule, mais cela nous amusait. Elle alla chercher dans la penderie
le balai. Elle retira la brosse et nous obligea à lécher l'un l'autre les deux extrémités. Elle nous
espaça d'un bon mètre et commença à introduire le manche dans le cul de mon mari, et l'autre
bout se plaça dans le mien.

- Allez ! Reculez maintenant, et défoncez-vous la rondelle, enculés de patrons de


merde ! C'est ça, plus fort, encore. Tout au fond.

On reculait comme des débiles, en s'empalant l'un l'autre sans trop savoir comment
nous réagissions, ne pouvant observer nos visages. Je l'entendais grogner et gémir

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simultanément. Elle accompagnait nos va-et-vient rectaux avec de petits coups de fouets
dispensés sur le dos et le fessier.

- Plus vite, plus fort, allez plus loin. Encore, couinez et jouissez !

Après s'être empalés l'un l'autre, elle exigea que l'on tienne dans notre bouche le bout
du bâton enfoncé. Nous obéîmes rapidement. Puis je dus branler mon mari à fond, bite par-
derrière et couilles collées au cul. Il suppliait, gémissait et rapidement d'importantes saccades de
sperme se répandirent sur le tapis.

- Fais-lui bouffer toute sa décharge.

Il lécha à toute vitesse le liquide répandu sur le tapis.

- A présent, à toi de jouir. Elle prit le manche du fouet et l'introduisit dans mon vagin
tandis que j'étais à quatre pattes. Le va-et-vient rapide après toutes ces phases d'excitation firent
monter dans mon bas-ventre les spasmes du plaisir. Ma matrice se contracta plusieurs fois et je
sentis l'orgasme me libérer sous l'effet des coups de buttoir. Je m'étendis de tout mon long repue
et satisfaite, et finis contre la chair de mon mari.

La Togolaise se retira, nous laissant tous les deux à la fois remplis de bien-être et
prêts à nous accoupler une nouvelle fois,- ce que nous fîmes d'une manière plus traditionnelle
après avoir regagnés notre chambre à coucher.

Régulièrement nous faisons appel à ses sublimes services, et ne manquant jamais


d'imagination et de créativité, elle propose à notre sexualité une audace particulière pour le plus

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grand renouveau de notre couple. Tout nous semblait répétitif et ennuyeux, et la venue de cette
perle noire dans notre intimité a relancé et bouleversé un quotidien devenu lassant.

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Petit scénario Le jeune amant

Figure I

Tous les mercredis matins, Stephan visite son ami Paul. La façade de la maison est entourée
de rosiers. De l'extérieur, l'on peut subrepticement essayer de voir ce qui se trame. Des ombres
fugaces apparaissent ici et là, et laissent supposer une activité interne.

Stephan comme à son habitude pousse le petit portail de bois et appuie sur la sonnette.
Personne ne répond. Il sonne à nouveau. Personne n'ouvre. Il pousse la porte à moitié gêné - il
avance toutefois. Il entre dans le corridor. Se dirige vers la chambre de Paul. Ce dernier est absent.
D'un regard circulaire, il regarde la chambre. Il sort. Il tente de regagner le couloir.

Figure II

Dans le couloir. Il entend des bruits d'eau qui coule. Une porte est entrebâillée. Il regarde
rapidement. Il voit la mère de Paul qui se lave. Elle est recouverte par la mousse de son savon
liquide et l'on ne peut supposer quoi que ce soit de sa nudité.

Géraldine est une très jolie femme d'une quarantaine d'années. Rousse et sympathique, aux
formes remarquablement dessinées. Il détourne les yeux et semble regagner la porte d'entrée.

Figure III

La mère de Paul, Géraldine a toutefois entendu quelque chose. Elle semble s'inquiéter, sort
un peu de son bain, tourne les yeux à droite à gauche.

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- Y a-t-il quelqu'un ? Interroge-t-elle. Puis se parlant à voix basse : J'ai bien entendu quelque
chose… Fait-elle moitié inquiète, moitié surprise.

Stephan revient sur ses pas.

Stephan : Il s'agit de moi ! Je cherche Paul. Il m'a dit de passer. Et je ne le vois pas.

Géraldine : Il s'est absenté. Il ne reviendra pas avant une heure. C'est une urgence. Il est parti
chez le dentiste. Tu es toujours là, Stephan ?

Lui : Oui, Madame.

Géraldine : Peux-tu me rendre un petit service ? Viens. Approche. Pousse la porte.

Stephan pousse délicatement la porte.

Géraldine, toujours dans son bain : Veux-tu , s'il te plaît, me donner le peignoir accroché à la
porte d'entrée ? Prends-le. Tends-le moi.

Tandis qu'il le saisit - c'est un peignoir épais et blanc crème - Géraldine se dresse hors de la
baignoire. On entend le bruissement de l'eau. Elle apparaît au jeune adolescent comme une déesse
sortie des eaux. Ses sens en sont tout émoussés. Il feint de détourner les yeux en lui tendant
maladroitement le peignoir. Il voit toutefois son dos, ses fesses, ses jambes et la beauté de sa
chevelure blonde rouler ses épaules luisantes.

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Figure IV

Elle sort un pied, puis l'autre.

- Merci Stephan. Tu ne peux savoir comme c'est agaçant de mettre de l'eau partout sur le sol.
Tu l'as remarqué : nous avons un bain bulles. Tu ne peux pas imaginer comme c'est agréable !...Tu
devrais l'essayer. Moi, je quitte la pièce. Essaie-le. Déshabille-toi. Tu vas voir, c'est très relaxant.

Lui, stupéfait, balbutiant quelques mots informes dans le genre : ...je ne sais si je dois, - non,
mais pourquoi ?... stupide et nigaud.

Elle sort de la salle d'eau.

- Allez ! Déshabille-toi !

La porte se referme. Il s'interroge puis sous l'effet de l'impulsivité commence par retirer ses
habits. Le voilà nu, son slip et ses chaussettes sur le sol. Il se glisse rapidement dans la baignoire
pour éprouver le bien-être de la tiédeur de l'eau.

Il appuie sur le bouton pour accélérer la vitesse des bulles. Une sensation agréable l'envahit.
Il regarde encore tout autour de lui.

Figure V

Géraldine est assise à sa coiffeuse, dans sa chambre. Elle se maquille et se prépare. Mais elle
est nue sous sa robe de chambre légère.

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Elle se lève rapidement, d'un pas autoritaire et va à la porte de la salle d'eau.

- Stephan, dépêche-toi, sors de l'eau. Vite. Prends une serviette, et viens me rejoindre dans la
chambre.

Stephan, totalement sidéré s'exécute. Le voilà à moitié mouillé, pieds nus, serviette autour
du corps à l'entrée de la chambre.

- Viens vite, lui dit-elle. Glisse-toi sous les draps et attends un peu.

Il regarde le lit qui semble fort accueillant, mais ne comprend pas.

- Allez, te dis-je... Dépêche-toi.

Le voilà qui passe de l'entrebâillement de la porte à la fraîcheur des draps. Il est tapi et n'ose
bouger.

Elle se rassoie à sa coiffeuse, se maquille et se pouponne. Il fait semblant de dormir. Elle


éteint la lampe et va s'asseoir sur le bord du lit.

- Tu dors, Stephan ?

Il ne répond pas.

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Elle se glisse sous les draps. Elle a mis ses bas, son soutien-gorge et rentre délicatement.

Il fait semblant de dormir.

Tout semble éteint. Lentement elle approche sa main droite et commence par le toucher. Elle
accède à son petit sexe qu'elle branle doucement. Il ne dit mot et feint d'ignorer la caresse.

Elle le branle plus fortement. Le pénis durcit. Elle accélère, s'arrête. Ses beaux ongles rouges
se déplacent sur les testicules et la hampe de la verge.

Stephan est sous l'effet d'une excitation tendue. Enfin n'en pouvant plus, des saccades
épaisses et blanches s'expulsent hors de son sexe lui procurant un bien-être extrême.

Il se repose remerciant des yeux sa superbe maîtresse. Le bonheur est de courte durée.

- Dépêche-toi. J'ai l'impression qu'ils vont arriver. Rhabille-toi. Reviens la semaine


prochaine à la même heure. Je t'attendrai. Il se précipite dans la salle de bain, enfile ses affaires et
quitte la maison.

Figure VI

Le mercredi suivant, Stephan est au rendez-vous. Bien à l'heure. Impeccable et propret. Il


pousse à nouveau le petit portail de bois et appuie sur la sonnette.

- Entre, souffle-elle et va te glisser sous les draps.

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Figure VII

La semaine écoulée, il s'est réellement demandé ce qui lui arrivait comprenant mal, très mal
le comportement de la mère de son meilleur ami. Il a tenté de ressasser tout cela dans son esprit,
mais n'a pu savoir ce qui se tramait dans la pensée de Géraldine. Il se laissait emporter par cette
folie passagère ne sachant véritablement où cela allait le mener. Il avançait insouciant avec la
légèreté de la jeunesse.

Figure VIII Retour à la Figure VI

Stephan est sous les draps. Géraldine pousse la porte et va à la coiffeuse. Elle passe une
brosse dans ses cheveux, puis se maquille. Elle porte un kimono noir et semble nue dessous. Elle
entre dans son lit. Le jeune adolescent est pris de frayeurs.

- N'aie crainte. Il ne s'agit que de moi.

Géraldine lui retire rapidement son slip blanc, se penche sur son bas ventre et lui pratique
une agréable fellation. Elle passe sa main sur ses testicules. Il est pétrifié et dans le même temps
sous une tension prononcée.

Elle happe plus violemment le gland du pénis. Ne pouvant plus se retenir, Stephan fait
s'écouler d'imposantes rasades de sperme. Géraldine boit goulûment et tire encore son le gland qui
à présent semble fatigué.

Elle est satisfaite de sa pratique accomplie et se délecte encore des gouttes chaudes et
blanches qui ont rempli sa gorge avide.

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Le jeune homme prend conscience de l'immense possibilité sexuelle et physique que
représente la femme à travers Géraldine. Il découvre un outil de jouissance jusqu'alors inconnu.

Le voilà qui se met à fantasmer sur ses propres capacités se demandant s'il ne pourrait pas...

Géraldine, le réveillant d'un coup :

- Dépêche-toi ! L'heure a tourné.

Elle le presse hors du lit. Le voilà encore ébouriffé, quittant le doux coton et se rhabillant
prestement.

- Reviens la semaine prochaine, à la même heure. Lui dit-elle.

Il s'exécute et quitte la pièce, prend à nouveau le couloir et referme la porte d'entrée derrière lui.

Figure IX

Géraldine, consciencieusement se nettoie la bouche avec du dentifrice pour retirer toute


trace de sperme entre ses gencives. Discrète, légère et indifférente, elle essaie une panoplie
sexuelle que lui avait offerte son mari. La voilà qui se ceinture d'un harnais rose tendre et glisse un
godemiché dessus. Elle feint à des gestes secs et nerveux de pénétrations annales en se regardant
dans la glace.

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- Tout cela pourrait lui plaire.., ce soir, suppute-t-elle. Moi qui n'ai jamais enculé un homme,
cela me fera tout drôle de lui défoncer la rondelle.

- Comment puis-je parler de la sorte de mon mari ? Se dit-elle, puis doucement elle se met à
sourire.

Figure X

La veille, l'occasion de faire quelques achats s'était présenté à sa personne. Un nouveau


magasin érotique exclusivement réservé aux femmes venait d'ouvrir ses portes. Intriguée, étonnée
mais ravie, Géraldine vint y découvrir les dernières nouveautés." Si tu trouves un jour quelque
chose d'intéressant, achète-le.", lui rappelait régulièrement son mari. Se promenant dans les
différents rayons, ayant essayé quelques tenues vestimentaires, son choix s'arrêta sur ce délicieux
petit harnais rose conçu pour y glisser un godemiché.

Figure XI

Le soir venu, après avoir échangé de douces caresses amoureuses, par jeu Géraldine bande
les yeux de son mari qui mi amusé mi intrigué la laisse faire. Elle lui demande de se mettre à
quatre pattes. Il obéit derechef. La voilà qui se dirige vers l'armoire et sort de dessous une pile de
linges les fameux ustensiles achetés dans la journée même au magasin érotique. Rapidement elle
enfile son harnais rose agrémenté d'un godemiché assez volumineux. Elle pointe délicatement
l'anus de son mari avec l'aide d'une vaseline appropriée et commence par pénétrer le trou qui
s'élargit facilement.

Maurice comprend très vite ce qui lui arrive et remercie sa femme d'avoir pensé à lui donner
du plaisir de cette façon. Il couine de bien-être et déjà une forte érection accompagne le va-et-vient

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rectal. Elle s'engaillardit de plus belle et propose à présent un geste saccadé du bassin plus violent
à présent.

Tout en poursuivant ce va-et-vient elle lui assène quelques coups de fouet sur les reins pour
amplifier plus encore chez son époux la perception de la stimulation. Fouetté et enculé, il conserve
sa main droite pour se masturber. Enfin dans un dernier râle d'épuisement, il laisse exploser son vit
qui répand grand nombre de gouttes blanches sur le lit.

- Merci, lui dit-il. Tu as été formidable ! Comment cette idée t'est-elle venue à l'esprit ? Là,
je t'avoue, tu m'étonnes.

Figure XII

Stephan comme à son habitude en cette belle matinée hivernale, léger et guilleret pousse le
portail du jardin et va sonner prestement à la porte d'entrée. Géraldine lui indique la chambre et lui
demande de se déshabiller immédiatement. Il s'excite. La voilà à nouveau se coiffant, se
maquillant assise devant sa glace, feignant à l'indifférence mais soucieuse en vérité de faire
monter le trouble et le désir.

Discrètement elle observe son regard et cherche à connaître son degré d'émotion. Enfin elle
se lève et laisse glisser sa robe de chambre noire. Elle apparaît splendide en talons aiguilles, slip et
porte-jarretelles foncés. Le contraste avec la blancheur de sa peau est saisissant.

Géraldine s'assied sur le rebord du lit, et commence délicatement par défaire sa chaussure
droite puis la gauche. Elle retire ses bas et lentement son soutien-gorge - deux ravissants petits
seins sont à présent à portée de lèvres amoureuses. Enfin glisse son dernier rempart. La voilà nue.
Elle s'allonge dans le lit et fait venir Stephan qu'elle dépucèle maladroit mais ravi de cet excellent
service rendu par une femme de qualité.

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Figure XIII

L'heure tourne. Géraldine ne voit pas les aiguilles de l'horloge se déplacer rapidement.
Quand elle réalise le temps passé pour accomplir ce travail midi trente a déjà sonné.

Son époux pousse la petite porte en bois et rentre chez lui. Il se dirige immédiatement vers la
chambre cherchant à parler à sa compagne, supposant pouvoir la trouver dans cette pièce.

Mais poussant la porte de la chambre, il voit le jeune Stephan à sa place dans le lit nuptial.

Complètement stupéfait :

- Qu'est que fait ce petit con dans mon lit ? Géraldine, veux-tu me dire ?...

Elle, balbutie quelques mots incohérents sans être capable de former la moindre phrase
logique.

Il tire rapidement les couvertures et comprend que Stephan vient d'accomplir un acte sexuel
avec sa femme.

- Non ! Mais je deviens fou ! Qu'est-ce que cela veut dire ?

- Mais Monsieur...Mais Monsieur...

- Petit branleur de trou du cul, je vais t'apprendre à être dans mon lit, avec ma femme de
surcroît.

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Appelant sa femme,

- Géraldine, viens ici. Tiens-moi ce garçon.

Stephan, traumatisé, à quatre pattes, le derrière en l'air, bouche buée ne sait plus où il en est.
Le mari rapidement défait sa braguette, baisse son pantalon et le vit en pleine érection pénètre d'un
coup violent le trou de Stephan qui pousse un cri de douleur. Le mari s'acharne en va-et-vient
profonds tandis que Géraldine tient l'enfant pour l'empêcher de fuir.

- C'est ça, en voilà dans ton cul, petit salaud ! Ça t'apprendra à sauter ma femme. Comme ça
tu auras la rondelle de défoncer.

Puis dans un ultime mugissement, il déverse sa semence dans la sinistre fente de l'enfant.

- Ça t'aura servi de leçon ! Ne reviens plus jamais. Et laisse ma femme tranquille,


maintenant.

Le garçon, encore effrayé essaie de ramasser prestement ses affaires. Il s'habille dans le
couloir sans demander son reste.

Stephan parti, le mari et la femme se regardent intensément et laissent éclater un immense


rire de complicité de couple.

Fin

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*

CFNM

Synopsis - Le professeur de Mathématiques -

- D'ailleurs, vous n'êtes toutes que des connasses - vous ne comprenez rien à rien !..

Huit filles se lèvent d'emblée, sexy, black et costauds.

- Comment ça : des connasses !

Les filles s'avancent vers le prof et le poussent contre le tableau noir. L’une lui chope les testicules. Il
est ahuri et sidéré. Elles forment un bouclier par leur présence et il ne peut leur échapper.

Elles ont des formes avantageuses et leurs jupes moulent harmonieusement leur cul.

Elles le plaquent contre le sol. L'une lui arrache ses lunettes et les jette à travers la salle.

Il est à terre. Son pantalon est baissé. Son slip est à la hauteur de ses genoux.

L'une répète : - Comment ça : des connasses ?

L'une commence par le branler frénétiquement. Sa petite bite est ridicule quand les filles ont un
volume fessier impressionnant.
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Il finit par éjaculer ses trois gouttes de sperme qui se répandent sur la main d'une des blacks. Elle
essuie sa main sur le visage du professeur apeuré.

Une autre répète : - Comment ça : des connasses !

Sans se presser, elles rangent leurs affaires et quittent la salle. Lui tout penaud et ridicule attend leur
départ et se rajuste médiocrement.

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Les repentirs du patron indigne

Vous ne pouvez pas vous rendre compte de l'immense difficulté que l'on éprouve
aujourd'hui pour trouver un emploi. Et l'on est prêt à faire des concessions, des suppliques, des
zèles d'obéissance pour le plus souvent gagner des sommes dérisoires. Je travaille dans une
PME en région parisienne qui offre des services de Design Industriel. J'ai été toute heureuse de
me savoir embauchée, mais petit à petit je me suis rendue compte que les exigences du patron
se faisaient de plus en plus précises, et qu'il fallait en quelque sorte coucher avec lui, le sucer
dans son bureau, se faire tripoter le cul pour conserver sa place ou espérer gagner un peu plus.

Dans cette petite entreprise, j'ai vite compris le détestable rapport de force qui
opposait le patron à ses employés. Les hommes étaient constamment humiliés, mouchés pour
des bêtises et des babioles, et certains de mes collègues, je vous assure, se retenaient pour ne
pas lui foutre un coup-de-poing dans la gueule, tant il était cynique et détestable. Il profitait de
son statut de patron, et vous rappelait que si vous n'étiez pas content vous pouviez prendre la
porte, que cent personnes attendaient derrière pour prendre votre place.

Parfois le hasard est étonnant, - je parlais un jour à l'une de mes meilleures amies
qui pratique une sorte de prostitution discrète, - après tout elle fait ce qu'elle veut !, elle reçoit
chez elle des hommes avec lesquels elle a des relations sexuelles, mais des rapports de
dominatrice et d'obéissants. Elle les attache, les fouette, ils lèchent ses bottes, elle frotte son
pubis contre leur visage, elle urine dans leur bouche, ils éjaculent sur ses bottes, elle les force à
lécher etc... enfin toute la panoplie du relationnel sexuel moderne.

J'étais donc à parler avec Suzie du détestable patron que nous avions, et au fur et à
mesure que je lui en faisais le descriptif elle pensa à l'un de ses clients qui correspondait trait
pour trait à l'image que je lui en donnais. C'est-à-dire que notre salaud de patron allait se faire
fouetter chez elle, il se faisait humilier et ridiculiser, puis par conflit freudien, il se vengeait sur
ses employés et leur infligeait indirectement ce qu'il recevait d'une femme. Enfin j'ignore de

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quel ordre était son problème. Toujours est-il que nous étions victimes de sa pulsion sexuelle
déplacée...

Suzy qui ne perd pas le nord, mais est très pratique et pragmatique, décida de lui
jouer un bon tour pour lui remettre les choses en place. Comme à son habitude, elle le reçut
chez elle un lundi soir mais elle nous fit venir tous également à son insu. Sa séance commença
comme à l'habitude,- il se mit à genoux, nu, l'embrassa, lécha ses chevilles, rampant couilles
contre sol etc. puis elle lui banda les yeux et lui mit un casque de musique sur la tête pour qu'il
ne puisse rien entendre. Elle nous fit, les sept employés rentrés. On se mit tous à poil, et chaque
fille commença à le fouetter. D'abord, il aima puis il se mit à gémir. La seconde le fouetta
également, et lui enfonça un énorme plug dans le cul, la troisième lui tira à fond sur les
couilles, - je peux vous dire qu'on l'a entendu hurler de douleurs.

Ensuite Suzy récupéra son esclave et le fit avancer vers les hommes, - ils étaient
debout et nus. Elle approcha son visage de chaque bite qu'il dut sucer avidement. Il suça chaque
employé, il pompait comme un malade. Quand on considéra que la séance avait assez duré, l'on
décida de lui retirer son casque Musicam et le bandeau de ses yeux.

Je vous assure que la surprise valait le coup d'être filmée. Quand il nous a tous vus
à poil devant lui, avec des bites de mecs à moitié en érection, nous avec nos fouets et le plug, il
resta comme momifié,- totalement sidéré par ce qui lui arrivait. Il n'en croyait pas ses yeux. En
l'espace d'une seconde, il a véritablement compris toutefois la raison de cette situation, et le
paradoxe c'est qu'il a fait amende honorable en s'exprimant de la sorte :

- OK, je reconnais mon erreur et mon injustice. Vous avez eu raison de m'infliger
cette leçon. J'étais véritablement coupable, je me suis comporté comme un dégueulasse envers
vous.

Les hommes se taisaient. Les femmes également. Tous l'écoutaient.

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- Voilà ce que je vous propose. Je vais totalement changer l'ambiance dans
l'entreprise. Ce ne sera pas une petite dictature avec promotion-canapé et obéissance zélée pour
les hommes, mais ce sera une sorte d'amitiés totale avec complicité et compréhension. Nous
allons former une équipe,- c'est-à-dire un ensemble cohérent certes hiérarchique mais
comparable à une équipe sportive où des résultats sont nécessaires dans une bonne ambiance de
travail. Nous nous soutiendrons pour obtenir des résultats. Voilà.

Effectivement il a tenu ses promesses. Les conditions de travail ont changé du tout
au tout. Certes nous bossons mais dans une ambiance, oserais-je dire, joyeuse.

Si du moins ce témoignage pouvait servir d'exemple contre le harcèlement sexuel et


la tyrannie de bureau qui, hélas se développent de plus en plus avec les mauvaises conditions
économiques et sociales que nous connaissons aujourd'hui !

66
Les Tournantes Synopsis

Avertissement

Il s'agit ici d'aborder le fameux problème des tournantes - cet abominable fait de société
dont sont victimes certaines femmes et jeunes filles dans les cités difficiles.

J'ai tenté avant tout de malaxer l'ensemble des situations qui pouvaient engendrer cette
finalité judiciaire : jeunesse désœuvrée, quartiers d'immigrés, précarité sociale, trafic de drogue,
structure monoparentale.

Je ne me porte pas en juge opposant l'un ou l'autre groupe d'individus. Je prétends que
chacun tient en lui une part de culpabilité et que le nuancier d'analyse doit être plus subtil que
réactif.

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Première image

Une femme âgée de 35-37 ans marche dans un quartier difficile. Elle rentre chez elle.
Marche assez vite. Vient de faire quelques courses au supermarché du coin.

Seconde image

Elle approche de la cage d'entrée. L'endroit assez zone. Une voiture calcinée. Une autre
démontée. Des noirs et des arabes dans la cage d'escalier. Ambiance " quartier dangereux ".
Beaucoup de mômes et d'ados qui la reluquent et la siffle quand elle passe. Elle salue un arabe. Il
vaque à ses occupations, revend du shit à droite, à gauche. Il nourrit l'endroit. Elle pénètre dans
la cage et monte à pied, l'ascenseur ne fonctionnant plus. Deux étages à monter à pied.

Troisième image

Elle pousse la porte. Va au frigo. Plan sur le frigo. Totalement vide. Elle y place des oeufs
sortis du panier. Deux, trois salades et quelques tomates. Elle referme le frigo. Ouvre les placards
qui également sont vides.

Quatrième image

Josy habite la région lilloise avec sa fille âgée de 13 ans. Elle est monoparentale, au

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chômage et vit des aides sociales. Tant bien que mal, avec d'énormes difficultés, elle essaie
d'offrir à sa fille un cadre d'existence satisfaisante mais elle n'y parvient guère.

La gamine est dans sa chambre avec les posters de ses vedettes préférées. Quand sa mère
ouvre la porte, elle tourne doucement la tête dans sa direction et poursuit toutefois ses devoirs.
Le lieu est modeste mais la petite semble assez heureuse. Jolie visage de préadolescente.

Cinquième image

La mère ne dit mot et retourne à la cuisine. Elle repousse délicatement la porte et ouvre à
nouveau le frigo. Il est désespérément vide. Son visage change, elle prend un coup de sang et
descend rapidement les escaliers. Elle tombe sur la bande de bouniouls qui traînassent à faire des
graffiti ou à casser ce qui reste encore de la cage. Elle appelle Saïd, le revendeur de drogue.

- Saïd, viens ici, il faut que je te parle.

Lui, se déplace de manière débonnaire, peu pressé à entendre son conseil. Viens, insiste-t-
elle. Suis-moi.

Sixième image

Ils vont dans un endroit discret au fond du bâtiment, dans une sorte de réduit ou de cave.
Elle s'agenouille devant lui.

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- Laisse-moi te sucer, Saïd, laisse-moi te sucer.

Elle lui ouvre la braguette et pratique une fellation rapide. Puis elle se retourne et baisse
son pantalon en toile fine.

-Viens. Encule-moi. Je suais que tu mattes mon cul depuis longtemps. Prends-moi, Saïd,
prends-moi.

L'autre se laisse faire. Elle saisit son pénis et l'enfile dans son trou. Après quelques va-et-
vient, on l'entend décharger et gémir. Elle se rajuste rapidement.

- C'est cent euros, Saïd. Donne-moi cent euros.

Elle fouille dans les poches de sa veste. Il se laisse faire. Il a une grosse liasse de billets.
Elle prend rapidement cinq billets de vingt euros. Merci, dit-elle, merci.

Septième image

Elle remonte à son appartement.

- Putain, cet espèce de connard est capable de m'avoir refiler le SIDA. Je vais me faire un
lavement très chaud pour détruire les microbes. Enfin le virus.

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Elle s'injecte plusieurs poires dans l'anus et va expulser le tout au WC.

Huitième image

Elle retrouve Saïd en bas de l'escalier.

- Saïd, je suis trop juste. Peux-tu m'aider ? J'ai rien, rien, rien. 400 euros pour moi et ma
fille. Comment veux-tu que je m'en sorte ?

- Je te propose 1500 euros, voilà ce que tu devras faire...

Il lui glisse quelques mots à l'oreille. Elle baisse les yeux un peu honteuse, un peu choquée.

- Laisse-moi réfléchir, Saïd.

- Tiens ! En attendant. Il lui donne un billet de 100 euros. Elle est folle de joie et lui fait
une bise sur la joue pour le remercier.

Neuvième image

La scène se déroule dans l'appartement de Josiane. Cinq garçons sont dans la salle à
manger. Alignées les uns à côté des autres. Saïd se situe en premier, les jeunes ont entre 16 et 18
ans. Le petit dernier a 12 ans. Tous sont maghrébins, un seul est noir.

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Josiane se met à genoux devant Saïd et pratique une fellation. Les autres alignés ne disent
mot et attendent leur tour. Elle suce patiemment et obtient parfois des éjaculations. Elle crache le
sperme dans un mouchoir puis poursuit sa tache avec application. Le petit également est
parfaitement sucé et il obtient sa jouissance avec soupirs de bien-être.

Enfin Josiane se relève, les quatre jeunes disparaissent et quittent l'appartement. Saïd sort
une liasse de billets. Il lui remet les 1500 euros. Rapidement elle compte l'argent.

Merci, dit-elle, merci.

Dixième image

L'ensemble des garçons dans l'escalier s'ennuie, désœuvré.

Le petit : -Maintenant je sais ce qu'est une salope, une belle salope.

Saïd : - Tais-toi, tu t'es fais sucer, cela t'a plu ? Ne critique pas.

Le second : - C'est toujours bien de voir une française agenouillée qui suce. Qui est
l'esclave ? Qui est le dominant ?

Le troisième : - Cela nous change de nos parents colonisés pendant 132 ans par la France.

Le quatrième : - La mère est pas mal mais la fille est encore mieux.

Saïd : - Laisse tomber, c'est une pucelle ! Elle est gamine, elle a du retard.

Le quatrième : - Raison de plus pour l'éduquer !

Le cinquième : - On a connu la mère, on devrait connaître la fille : on pourrait comparer


comme ça !

Saïd : - OK ! Je veux bien lui en parler mais il faudra en placer des barrettes de shit et en

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aligner des euros pour convaincre la mère de nous refiler la fille...

Le troisième : - T'inquiète pas. On va t'aider à trouver de nouveaux marchés. C'est pas la


demande qui manque dans les quartiers limitrophes.

Au même moment rentre la gamine dans la cage de l'escalier. Elle porte un Jean's moulant
et semble les ignorer. Eux la chambrent quelque peu. Elle poursuit la montée des marches et
s'engouffre dans les étages.

Saïd : - Vous avez raison, les gars : mignonne, bien mignonne. C'est clair.

Chacun se tire de son côté avec des gestes conventionnels de salut.

Onzième image

Saïd à nouveau parle avec Josy qui s'enfuit outrée...

Douzième image

Dans son appartement Josy discute avec sa fille. Elle lui monstre des cassettes érotiques et
lui explique la façon dont elle doit s'y prendre pour accomplir une fellation sur plusieurs
individus.

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La gamine parfois éberluée parfois attentive essaie d'écouter avec perspicacité les leçons
promulguées par sa mère.

Elle prétend n'avoir jamais accompli ce genre de scène mais se sent capable de le faire
toutefois.

- Maman ! Ne t'inquiète pas. Cela ne durera pas longtemps. Ils vont faire vite. D'ailleurs il
n'y aura pas d'intromission vaginale. N'aie crainte. Si cela te permet de résoudre nos problèmes
financiers, pourquoi pas ? Tu as tant galéré, je veux bien t'aider quelque peu. Je sais ! C'est
difficile. C'est un peu avant l'heure et c'est différent. Mais je sais que l'on s'en tirera. Maman ! Je
t'aime...

Et la gamine se précipite dans les bras de sa mère et l'embrasse...

- Maman, tu te rends compte ? Si Saïd te donnait tout cet argent, l'on pourrait partir, fuir ce
quartier pourri... de merde.

- Non ! Ma fille, il faudrait encore y rester. Ici, je suis endettée. Mais il est vrai que cela
soulagerait ma peine...

La petite baisse la tête, comprend qu'accomplir cette aberration ne sera pas suffisant, mais
elle adore sa mère et semble prête à toutes les concessions charnelles pour l'aider toutefois.

Treizième image

L'on voit la fille de Josy se comporter à l'identique de sa mère et faire des fellations au cinq

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garçons dans l'appartement.

La gamine après avoir accompli ces actes sexuels va immédiatement se faire vomir dans la
salle de bain. Pendant ce temps, les garçons se rajustent et Saïd glisse une enveloppe dans la
main de Josy. L'ensemble des jeunes s'éclipse. Elle se précipite dans la salle d'eau pour y
réconforter sa fille.

- Merci, me chérie, merci. Je crois que l'on s'en tirera. J'espère que tu pourras tout oublier.

- Comment, maman, pourrais-je oublier une chose pareille ?

La mère court dans la chambre, se jette sur son lit et pleure amèrement.

Quatorzième image

Saïd va à la rencontre de Josy qui rentre de ses commissions. Il lui propose une soirée Big
Bang avec trois ou quatre gars en plus. Devant la somme très importante proposée, elle accepte
illico presto.

Quinzième image

Huit ou neuf garçons tous arabes ou blacks sont autour de Josy qui suce, pompe et prend
par tous les trous. Elle reçoit de longues bites dans le cul, e, branle un autre qui lui éjacule sur le

75
visage etc. Les scènes sont assez crues et hard. Certains se branlent en la regardant et lui jutent
sur le corps. Elle est recouverte de sperme mais poursuit sa tache. A la suite ils la pénètrent.
L’ensemble des scènes dure une bonne dizaine de minutes. La voilà éclaboussée de partout
chancelante. Ils la tirent à nouveau jusqu'à ce qu'elle s’affale totalement épuisée, presque à
l'agonie.

Les garçons se retirent et Saïd jette sur le corps évanoui de Josy un paquet de billets qui
s'étale sur l'ensemble de la chair.

Seizième image

Petit à petit, elle semble reprendre ses esprits. Elle se dirige vers la salle d'eau. Quelques
billets avec le sperme sont collés à sa chair. Elle chancelle malgré elle, et se dirige vers la
douche. L'eau coule. Elle respire. Aspire de l'eau, la recrache. Elle frotte son corps, le nettoie
avec une attention extrême comme pour le purifier. Puis elle prend une poire vaginale et rectale
et s'introduit de l'eau dans les orifices pour laver son humiliation.

La voilà à présent en robe de chambre, sereine et ragaillardie en train de compter les


nombreux billets de la liasse.

Dix-septième image

A nouveau, Josy et sa fille rentrant de commissions et croisant la bande en bas de l'escalier.

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Saïd appelle Josy tandis que la gamine (Evelyne) monte les escaliers seule. Saïd lui fait une
proposition. Elle semble choquée mais prétend qu'elle en parlera à sa fille.

Dix-huitième image

On voit Evelyne dans la même situation que sa mère et se faire prendre en Big Bang. Elle
lèche, elle suce, se fait enculer, se fait prendre par-devant, se retourne pour une double etc...
Toutes les variantes sexuelles y passent. Pendant deux heures l'ensemble des jeunes jouit,
éjacule, décharge et recommence. La voilà exténuée, fatiguée, demandant grâce et la fin de la
séance. Les jeunes s'éclipsent et Saïd laisse une enveloppe épaisse et bien en vue sur la table de
la salle à manger.

Dix-neuvième image

Josy a acheté une voiture - une sorte de R5 rouge dont elle semble fort satisfaite. Elle va à
son balcon pour voir si la voiture est encore à sa place. Sur le toit de la voiture et s'achevant sur
le capot est écrit en caractères gras avec de la peinture blanche :

PUTES DE MERE EN FILLE !

...Ce qui faire rire les habitants du quartier sachant ce qui s'était passé.

77
Son sang ne fait qu'un tour. Voyant cela, elle décide avec sa fille d'aller au Commissariat
de Police et de porter plainte pour tournantes sur mineure.

Toute la procédure judiciaire est déployée. L'ensemble des garçons est convoqué. Tous
prétendent au consentement de la fille mais aucun n'ose invoquer les sommes d'argent offertes
pour l'accomplissement de ces orgies - conscients que cela les entraînerait dans la justification de
revenus obtenus de manière illicite...

Vingtième image

Le jugement tombe. On apprend que Saïd prend 8 ans dont 3 avec sursis. Ses autres
codétenus prennent 6 ans, certains 4.

La foule des parents assistant à l'audience s'indigne, hurle, crie à l'injustice, prétendant
qu'Évelyne était consentante. La dernière image s'arrête sur les hurlements et les vociférations de
la foule qui demande vengeance...

Fin du synopsis

27 août 2003, Franck Lozac'h

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Marie-Lise ou de la Pédophilie

Avertissement

J'ai essayé ici d'aborder le problème de la pédophilie de manière humoristique. Comme la plupart
de mes contemporains je ne puis que m'indigner des excès de toutes sortes dont on nous parle à travers
le média Internet ou encore à travers les différents faits divers recueillis ici et là. Je propose donc une
saynète de quelques dizaines de lignes pour tenter de tourner en ridicule un client dont le portrait a été
caricaturé.

Je vois une entremetteuse perverse donnant des ordres à une gamine de 13 ans, déguisée en petite
dominatrice et frappant le cul d'un gros dégueulasse à quatre pattes et en caleçon multicolore -
l'entremetteuse donnant des ordres à travers une glace sans tain quand la gamine reliée par écouteur
répète les ordres de la tenancière du bordel.

Ça donne :

- La tenancière : Allez ! Marche à quatre pattes !

- La petite, recevant l'information dans l'oreillette gauche :

Allez ! Marche à quatre pattes !

La tenancière, observant la scène à travers la glace :

- Maintenant Marie-Lise, frappe-lui le cul, et dis-lui d'avancer. Allez ! Ne le ménage pas. Tu vois
bien que ça l'excite.

79
- Donne-lui des coups de pieds dans les côtes. Va s'y, plus fort. Regarde comme il apprécie ! Il
faut qu'il en ait pour son argent !

- Maintenant, Marie-Lise, prends le stick qui est accroché au mur. Non pas celui-là, l'autre. Fais-
lui retirer son caleçon; Regarde-moi ce salingue. Allez ! Occupe-t-en fortement !

Il aime ça. Frappe-le. Fais-lui rougir le derrière.

Dis-lui de se branler. D'astiquer sa biroute. Plus vite. Plus vite. Frappe-le encore. Regarde comme
il en redemande. Il grogne de plaisir.

Qu'il cesse maintenant ! Il risque de larguer tout de suite, ce salaud !

Allez Marie-Lise, fais-lui lécher tes bottines.

Qu'il s'allonge sur le dos. Donne-lui l'ordre. Retire le bas de ton cuir, et fais-lui un face fucking.

La petite s'exécute, Emile renifle, lèche, suce le cul de la petite qui se frotte sur son nez et va et
vient rapidement.

- Tes talons aiguilles, enfonce-les dans ses testicules. Interdis-lui de bouger. Tu vas voir, il bande
comme un âne.

A présent qu'il se retourne et reste bite contre le parquet. Prends le fouet, et fouette. Vas-y, Marie-
Lise. Il ne sent absolument rien avec sa cuirasse de graisse ! Ne le ménage pas. Tape et tape, et tape !

80
Marie-Lise le frappe fortement, - le gros Emile écume, râle, se retourne sur le dos et supplie la
petite de le branler avec ses gants noirs. Elle s'exécute, il, se tord, aime, se tortille et enfin jouit. Le voilà
ébahi, et plein de reconnaissance. Il lèche avidement le foutre, répandu sur les gants de la petite.

Scène dernière

L'homme descend les marches de l'escalier du bordel.

La tenancière, tout sourire dehors :

- Alors, Monsieur ? Cela vous a-t-il convenu ?

- Parfaitement chère amie ! Mille mercis ! Mille mercis !

Fin

81
Sentiments modernes

Note. Il s'agit ici de revisiter le rapport classique du mari, de la femme et de l'amant.


De lui donner un sérieux coup de rajeunissement, et de proposer autrement ces situations
tant de fois répétées sur le Théâtre de Boulevard.

82
Synopsis Sentiments modernes

Première image

Une femme jeune de 28 ans, brune, les cheveux assez cours, habillée en cuir noir
avec des bottes, chemisier noir fin laissant voir ses épaules - souriante, jolie en
discothèque - se fait séduire - rencontre un homme 37-38 ans, début de calvitie - mais bien.

Ils s'amusent, dansent, parlent.

Seconde image

Ils sont dans sa voiture. Toujours sourires, amusements. Elle se fait raccompagner.
Descente de la voiture. Immeuble bourgeois. Ils montent les escaliers. Elle l'invite dans son
appartement. Balustre noire torsadée noire. Il suppose. La regarde monter. Le désir.
L'espoir.

Troisième image

Elle ouvre la porte à clé. Entrée cossue. Elle marche. Miroir. Elle atteint le vestibule.
Du vestibule l'on voit le salon-salle à manger. Il reste dans le vestibule, debout. Elle revient
avec deux whiskies. Elle lui sourit. Ils se frottent, complices. Dans le placard près des
alcools des sticks, des fouets, des menottes pendent...

83
Quatrième image

Son mari, mal réveillé, en pyjama apparaît. Le type sidéré. Ne s’attendait pas à voir
le type dans le vestibule. Assez pauvre gars en fait. Maigrichon, mal, foutu, une sorte de
Woody Allen.

Cinquième image

- Reste-là. Mets-toi à genoux. Déshabille-toi, dit-elle à son mari, qui s'exécute


immédiatement. Elle déboutonne la braguette d'Adrien et oblige son mari à le sucer. Il
s'exécute immédiatement. Adrien est interloqué mais se laisse faire tout en souriant à Eva.

Sixième image

Les deux amants sont dans la chambre. Ils baisent. Exaltations internes. Puis la
femme regarde vers la porte, et s'aperçoit que son mari les observe à travers
l'entrebâillement. Elle se lève, décidée. Va au placard et revient avec une paire de menottes
et un stick. Elle attache son mari et lui assène des coups sur le corps. Il gémit, implore,
supplie, supplie, jouit.

Elle dit à Adrien : encule-moi ce voyeur.

Il s'exécute et défonce le cul de son mari.

84
Septième image

L'amant de passage se retire et s'en va. Apparaît le mari, impeccablement habillé.


Droit. Avec énormément de prestance et de dignité.

Elle : - J'en ai assez de rabattre pour toi. Tu te les chercheras toi-même dorénavant.

Huitième et dernière image

Ils rient, plaisantent et font l'amour en s'éclatant. Il la prend, la pénètre, l'encule, la


fait jouir etc.

Fin de Sentiments modernes

85
*

Synopsis - Sublimation du harem -

Un homme - a porn man - lors d'une seule prise prend à la suite entre 70 et 120 femmes.

Plan I :

Il est sur un lit en érection.

Un défilé de filles dans le couloir - totalement nues - attend. La première entre et s'assoie sur son
sexe. Il accomplit quelques va-et-vient. Puis elle quitte le champ. On a eu le temps de la dévisager
d'observer ses formes.

Une seconde prend sa place. choisir entre plusieurs plans. L'homme en reçoit une douzaine de cette
sorte.

Plan II :

Il quitte le lit et marche un peu toujours en érection. il change de pièce. Douze filles nues, à quatre
pattes attendent de se faire enculer.

Il se place derrière la première et glisse son sexe dans son anus. Il agit quelques secondes, se retire et
pénètre la seconde qui se situe juste à côté. Travail de la caméra qui montre les douze filles à enfiler.
Les filles en attente etc.

86
L'on peut également placer les filles en cercle, chacune sur une heure d'un cadran imaginaire allant de
1 à 12.

Il peut en lécher certaines pour laisser son pénis se calmer et reprendre peu après.

Plan III :

Après les avoir enculées assez rapidement - 10-12 secondes par trou - l'intérêt étant de lui permettre
de changer de trou à sa guise avec filles soumises attendant d'être prises - il change à nouveau de
pièce.

Plan IV :

Là d'autres filles nues, accroupies ou agenouillées l'attendent. Toues, les unes après les autres lui
pratiqueront une fellation assez rapide de quelques instants avec prise en bouche, léchage des boules
ou faibles masturbations du pénis.

Plan V :

Se déplaçant à nouveau, il se dirige vers la piscine. Et là, de splendides créatures allongées dans des
fauteuils bronzent, boivent et discutent ou feignent de dormir.

Il doit toutes les honorer, cuisses béantes, introduisant son pénis dans leur chatte.

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Il est essentiellement important lors de la réalisation du film qu'il n'y ait pas de coupures - ou du
moins que le spectateur ait l'illusion du continu dans les scènes -

Plan VI :

Il entre à présent dans une des pièces de la propriété située au premier étage. Il pénètre douze filles
dans des positions différentes. il faut garantir une homogénéité de composition des formes, des filles
et des positions et proposer une composition gestuelle d'ensemble.

Plan VII :

Il terminera dans une dernière pièce où une black, une latine, une asiate, une indoue, une blonde, une
rousse, une brune l'attendent en cercle et à genoux. Elles seront bouche ouverte et quémandantes. Il
se masturbera à sa guise pour enfin éjaculer sur leur visage selon son abondance et l'intensité de ses
jets.

Il est important d'utiliser plusieurs caméras activées simultanément pour offrir la meilleure
construction de plans possibles lors du montage du film.

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Sylvia ou la fin des conventions - Historiette à achever

Premier mouvement

Nous sommes dans une discothèque. Sylvia est une femme de 35 ans. C'est une
assez jolie brune, cheveux courts. Elle est seule. Elle porte une jupe noire qui moule ses
fesses. Un chemisier raffiné et des escarpins noirs. Elle observe les hommes et veut s'en
choisir un. La série des slows arrive.

Audacieuse ou peut-être effrontée, elle se dirige vers un homme jeune - de son âge
en vérité. Il est brun, bien fait, tonique.

- Voulez-vous danser les slows ? dit-elle.

Patrick acquiesce à moitié étonné.

Ils parlent de choses et d'autres. Paroles insignifiantes. Mais le contact physique


semble fonctionner.

Elle lui fait comprendre qu'elle souhaiterait aller ailleurs. Ils quittent la discothèque.

Malgré qu'il ait une automobile, il monte dans sa voiture. Ils font quelques
kilomètres et trouvent un endroit tranquille.

Elle sort de la voiture. Se penche contre la carrosserie. Soulève sa jupe. Elle est en

89
position penchée. Il sort de la voiture. Baisse sa culotte et goulûment lui lèche l'entre-
fesses, l'anus et la pilosité vue de derrière.

Enfin il la retourne et travaille avec sa langue son clitoris. Trois, quatre minutes
s'écoulent.

- Viens, viens, lui dit-elle.

Il obéit, la prend avec plus de fermeté. Il s'active, pénètre son sexe et enfin éjacule.

Second mouvement

Les voilà à présent dans la voiture. Elle lui avoue avoir besoin de faire l'amour
plusieurs fois par jour. Elle se masturbe souvent.

Ils sont sur le chemin du retour. Il doit récupérer son auto. Elle, conduit.

- Que fais-tu dans la vie ?

- Et toi ?

- Je travaille dans une Agence immobilière. Et toi ?

- Je travaille dans une Grande surface. Je suis magasinier.

- Tu es seul.

- Et toi ?

- Moi, oui.

90
- Moi, je peux l'être, lui réplique-t-il.

Ils se sourient.

De retour sur le parking de la discothèque,

- Tu me suis ?

- OK.

Troisième mouvement

Ils font une dizaine de kilomètres. La ville. Les immeubles. Enfin elle gare sa
voiture. Il trouve une place. Chacun ferme consciencieusement son véhicule.

Le bas de l'immeuble. L'appartement. Le code digital. L'ascenseur. Elle cherche sa


clé et ouvre la porte.

- Est-ce bien raisonnable ? lui dit-il avec une petite pointe humour.

- Au point où nous en sommes...lui répond-elle.

L'appartement est un T2-T3 à la décoration conformiste et banale.

- Si ça ne te dérange pas, je voudrais prendre une douche. Avec cette discothèque,


j'ai un peu transpiré.

91
Elle lui indique la douche et lui prépare une serviette propre. Ils s'embrassent sur les
lèvres.

- Tu veux que je te serve un verre ?

- Un whisky, si tu veux mais léger. A moitié.

Il se frotte, se nettoie, se rafraîchit.

La serviette autour du ventre, il apparaît et vient s'asseoir sur le canapé.

- Ce qui m'a étonné, c'est que tu aies pu m'inviter à danser. Cela ne fait pas partie
des conventions.

Sylvia : Les conventions ! Les conventions ! Il est vrai que ce vieil adage :
L'homme propose, la femme dispose est totalement dépassé. La vie est ainsi faite, - et
bêtement faite. C'est incroyable le nombre de personnes qui jamais ne s'est connu par
ignorance, par retenue ou par convention...

Elle se dirige vers la commode et en sort un godemiché assez imposant.

- Tu vois les conventions ? - Je m'en balance. Je te le prouve.

Tout en lui montrant l'attirail agressif, elle se hâte de placer autour de sa taille le
sexe artificiel déjà tendu et prêt à l'emploi..

92
- Penche-toi, lui dit-elle. J'ai envie de t'enculer.

Lui, à moitié sidéré mais jouant le jeu toutefois se met à quatre pattes, le cul bien
tendu et retire sa serviette. Son trou est bourré de poils noirs, - il le balance de droite à
gauche, amusé, provoquant quelque peu sa compagne.

- Permets-moi de sucer le gode, lui dit-il. Cela servira de lubrifiant. Mets-toi à ma


place. Imagine l'écartement que cela représente...

- Tu sais, lui dit-elle, j'aime enculer les hommes.

Il pensait qu'elle plaisantait. Elle était sérieuse et réaliste. D'un geste nerveux, elle
rabat sa nuque et le penche cul en l'air. Son coup de reins est précis, elle place le
godemiché dans le petit orifice. Il reçoit effrayé l'engin dans sa matrice et couine de
douleurs.

- Je t'avais dit que j'aimais défoncer le trou des mecs...

D'un second coup de reins plus sévère, elle enfonce l'objet au plus profond de Marc.
Il se crispe et se tord comme un ver sur une plaque chauffante. (A achever...)

93
Trente et un petits synopsis

Synopsis

Deux filles 20-22 ans Routardes punkettes discutent avec un type de 65 ans dans un café. Il leur offre
un verre, elles sont sans fric. Il leur propose 100 à 200 euros pour passer l'après-midi avec lui. Elles
acceptent.

Autre idée

La dompteuse - Le cirque

Exploiter l'espace du cirque pour concevoir un film érotique. Jamais cet environnement n'a été
exploité.

La dompteuse ne domine plus des tigres mais des hommes obéissants et soumis.

Belles femme avec des cuisses, de l'autorité et du fouet...

Synopsis - Sexualité des Seniors

Un groupe de femmes âgées - disons 60-65 ans. 6 ou 8. Assises dans un salon. L'une d'elles, la
propriétaire des lieux, prétend leur faire une surprise. Apparaissent deux stripteaseurs qui font leur
numéro. Ils se déshabillent etc. puis offrent leur pénis à la bouche des femmes qui les sucent à tour de
rôle.

L'organisatrice de mande à l'un des hommes de l'accompagner dans sa chambre. Elle se penche pour
se faire enculer. Il s'exécute.

94
Nouveau sexe - Les paradis blancs

Idée de sexe pur - blanc

Code vestimentaire - le blanc

Sexe doux - tendresse - gentillesse

Sublimation toutefois du sperme - éjaculation, gouttes, fluides

À l'inverse du rapport SM - cuir rouge noir Donjon

Là, chambre pure - boissons claires - alcool toutefois - maquillage adapté

Sous-vêtements blancs

Couple - à deux ou à plusieurs mais toujours gentillesse, délicatesse

Douceur - amour clair - subtil - distingué

Synopsis - Film érotique -

Actions se déroulant dans un asile psychiatrique où des infirmiers et des infirmières - le corps
médical - abuseraient de patients. Quelles situations ?

Synopsis - Gens du voyage

Nul film n'a traité de la société gitane - quel type de relations sexuelles dans un camp gitan ?

Jeunes filles - jeunes hommes - dépucelage - viols -


Ambiance feu de camp - flamenco -

95
Synopsis - L'immeuble

Trois appartements à droite et trois appartements à gauche.

En haut, au second, femme de 30 ans. Fourrure, dominatrice, vit seule. Adore faire venir des hommes
chez elle pour les dominer. Bien équipée.

Au premier étage, sur l'autre palier, jeune homme seul, 25 ans. Sans femme. Assez gauche, sorte de
grand puceau.

Au rez-de-chaussée, de l'autre côté, un jeune couple marié, un bébé, ont tout le temps envie de faire
l'amour.

Au rez-de-chaussée, en face - un couple d'homosexuels.

Au-dessus, au second étage, un couple de personnes âgées - 65 ans.

Au-dessus du jeune couple, une jeune fille célibataire.

Le numéro 1 est attiré par le numéro 3 - il aura une relation de domination avec le 3. 3 lui demande
de faire venir sa femme. Il lui en parle sans lui avouer sa relation. Elle est profondément choquée.

Le couple homosexuel s'entend très bien avec le 3. Elle prend l'apéritif chez eux. Chacun tolère
l'autre avec ses comportements variants.

L'homme marié va voir les homosexuels. Il en pipe un et se fait enculer par l'autre. Revient tout
émoussé de sa nouvelle expérience.

Le couple homosexuel essaie de draguer le 5 mais ce dernier décline l'offre. Serait attiré par le 2 qui
pour l'instant ne s'y intéresse pas.

6 - Le couple 65 ans. Lui assis sur un tabouret dans la baignoire. Toujours vert mais sa compagne ne
s'intéresse plus à la chose. A des visées de voyeur sur la jeune femme du numéro 2.

96
4 - S'éclatent entre eux - ont des relations hard cuir, god, fouet - s'éclatent.

La femme du 1 discute avec 2. Il s'entendent bien. La femme du 1 essaie de convaincre 2 de se laisser


séduire par le 5.

Morale : c'est avant tout un lieu de tolérance où chaque type de sexualité doit pouvoir s'épanouir
librement sans offusquer l'autre. Où la chair est une chose et l'âme des hommes une autre. Apprendre
à vivre ensemble au-delà des comportements sexuels différents.

Auto-domination Synopsis Elsa

Une femme seule dans sa maison éprouve du plaisir à s'auto-dominer.

Elle éprouve du plaisir à se stimuler avec un petit fouet. Elle s'attache également à une croix - les
pieds et la main gauche sont entravés quand la main droite peut difficilement libérer les autres
membres. Ses seins sont percés et reliés par une petite chaîne. Elle s'engode, s'introduit des objets
dans l'anus et le vagin. Elle porte des chaînes et marche nue. Elle a confectionné une petite cage et y
habite des heures durant. Dans une cave, une paillasse ou de la paille, un broc, du pain sec et de l'eau.
Elle peut gémir, jouir ou pleurer. Son plaisir est toutefois dans sa propre sévérité.

C'est une sorte de sadomasochisme avec une seule personne. Ce qui ne lui interdit pas d'avoir des
relations sexuelles dites normales avec des hommes ou des femmes, ou encore des relations SM.

Explications psychanalytiques de tels agissements.

Flashing - id

Une grande femme 35-45 ans, cheveux blonds tirés en arrière.

Où le rencontre-t-elle ? Dans une discothèque. Ils sortent de l'établissement.

Un mur. Un pan de mur.

97
D'abord elle accomplit une fellation. Belle, bonne pipeuse. Puis se retourne et introduit le pénis dans
son vagin. Le fait monter. Puis reprend le pénis, se penche d'avantage et le glisse dans son anus.

- Viens. Prends-moi à fond. Fais exploser toute ta semence contre mes parois internes. Que ta
semence chaude tapisse ma cavité !
Explose !

Puis, le regardant avec complicité :

- Alors que penses-tu de ma fellation ?

(Remarque - L'on pourrait supposer la même idée mais inversée homme

CAD : cunnilingus - vagin - anus - prise dans le vagin pour terminer en éjaculation rectale.)

Otto - Personnage à créer - histoire à compléter - Synopsis à grands traits -

Un séducteur bisexuel ---) mais pas de tendances visibles homosexuelles - style Brialy - qu'il fasse
mec.

On lui dit : " Si tu veux te tirer ces six filles, il faut que tu suces ces six mecs ! ", et il le fait.

Aime les hommes, aime les femmes - pareillement.


Encule et se fait enculer. Possède toutes les tendances de la soumission à la domination. Séducteur.
Bel homme.

Cherche à entrer dans la High Society - sorte de Bel ami des temps modernes.

Ressemble à Jean Piat. Cocaïne de temps en temps.

On pourrait imaginer Otto faire l'amour avec de jeunes asiates de 15 ans ou encore des femmes de

98
soixante-dix ans.

Il y a une image à faire : on le voit en plongeur sous-marin caressant sensuellement des poissons ou
des coraux.

Il éjacule dans des fleurs après les avoir caressées doucement, en se masturbant. Il se met à genoux,
les embrasse lentement. Il frotte son gland contre leurs corolles.

Il se nourrit de la force des arbres. Nu, assis, contre l'arbre il recrée une énergie personnelle. Il est en
osmose avec la nature.

Il n'hésite pas à prendre du Ginseng, du Gingembre et d'autres plantes pour augmenter son potentiel
sexuel. Ceci fait partie de sa logique amoureuse. Souhaite avoir constamment une aptitude élevée.

Tout est possible. Rien n'est interdit. Le meurtre toutefois est banni...

Otto avec un jeune homme, l'initie, et vont ensemble dans un Big Bang homo. Vont se faire enculer
par un grand nombre de gays à la suite. Lui fait connaître les plaisirs SM dans des lieux très
spécialisés de Paris.

Otto fait l'amour avec un couple - se fait sucer par le mari et pénétrer par la femme qui s'est attachée
un god ceinture.

Otto cherche à réussir. Rencontre un PDG banquier. L'initie à l'homosexualité. Le fait jouir. L'encule.
Le fouette. Devient son secrétaire. Essaie de gravir les échelons de la hiérarchie sociale. Veut
s'enrichir.

( Note personnelle - Réarchitecturer Otto de I à II par exemple.

- Démarrer et construire. Faut-il des dialogues ? Est-ce pour un scénario ? Plutôt oui. Donc doser
entre l'explicatif et l'action. Il faut repenser le possible puis la fin.

A la fin, un amoureux éconduit le tue - pour rien, crime passionnel insignifiant)

99
Idée de roman ou de movie

François, Christiane et Sylvie...

François vit avec Christiane et Sylvie.

François a 40 ans, Christiane 35 et Sylvie 28.Christiane et Sylvie sont lesbiennes, elles aiment
toutefois le même homme, François.

Les trois vivent ensemble. Sylvie se fait faire un enfant par François. Christiane est heureuse
également.

Les trois s'éclatent sexuellement - domination, jeux, soumission, orgasmes multiples - rien n'est
interdit - le plaisir règne.

Les trois dorment dans le même lit. Il s'agit d'un triolisme accompli. Les deux femmes s'aiment et ne
s'opposent pas.

Elles aiment aussi de tout leur cœur et de toute leur âme François.

François est heureux et totalement épanoui. Il a deux jolies blondes dans son lit, des reins, des fesses,
des pieds, des chevelures. Il se rend parfaitement compte de la chance qu'il possède. Il prend son
plaisir car il a une double chair à côté de lui... Mais les deux femmes l'aiment.

Toutefois un autre homme entrera dans la vie de Sylvie et elle partira avec lui tandis que François et
Christiane resteront ensemble.

Id de scénario - 20 mn - synopsis -

Deux femmes 60-65 ans, blondes, vieilles salopes, vicieuses un peu. Elles se gouinent en porte-
jarretelles et en bas noirs.

100
Un jeune homme de 18 ans arrive. L'une l'encule avec un god, l'autre le suce.

Arrive une jeune fille de 16 ans qui se fait doigter, sucer le cul et engoder également par les deux
vieilles.

Puis les deux jeunes font l'amour ensemble devant les deux vieilles.

Hard + - Synopsis -

Une fille se fait coincer par trois gars dans le coin d'une rue. Ils la frappent violemment. Elle a peur.
Ils se déboutonnent. Elle suce. Se fait enculer. Violer. Gémit. Hurle.
Ils la frappent. Du sang gicle de son visage. Elle obéit encore. Les trois déchargent. Puis repu, l'un
des trois enfonce son poignard à plusieurs reprises dans son ventre. Les trois disparaissent. La fille
est morte.

Une petite histoire - Études et mœurs de société - Synopsis -

Il s'agit d'une jeune fille de 23-25 ans, rousse clair ou blonde avec des yeux bleus ou verts - vraiment
un joli visage et un joli corps - 1,60 - 1,64. Parfaitement équilibré avec un joli tour.

Elle vit chichement avec sa mère. Elle s'est faite violée par son beau-père. Clara habite une petite
maison dans un quartier en périphérie de ville. Elle n'a pas d'enfant. En vérité, elle fait de temps en
temps la pute pour avoir un peu de blé - quelques passes pour la semaine.

Un jour, elle a l'occasion de rencontrer un jeune cadre 27-28 ans qui tombe amoureux. Il comprend
toutefois assez rapidement quelle est sa condition sociale. Il doute, il hésite.

Il la revoit. Il fait l'amour avec elle. Clara souhaiterait mettre le grappin dessus, poussée par sa mère
qui voit dans ce cadre un bon parti. Il prend énormément de plaisir et commence à l'aimer
éperdument.

101
A présent, elle travaille comme serveuse dans une bodega. Elle porte un chapeau espagnol, un
pantalon noir qui moule bien son cul. Elle se fait de bons pourboires et semble se satisfaire de cette
condition.

Ils vivent ensemble, mais ses besoins financiers exigeants. Et petit à petit, elle recommence
discrètement à faire une fellation, un acte vaginal, une sodo rapide pour vivre plus agréablement, en
vérité.

Alors comprenant que la situation est impossible, il va la laisser à d'autres et à sa destinée de pute.
Lui, poursuivra son ascension professionnelle et trouvera une femme avec laquelle il aura un enfant.

Quelques années plus tard, il la retrouvera par hasard avec sa déchéance de vieille pute droguée et lui
sera directeur dans l'entreprise où il aura progressé.

Id de synopsis -

Josette + 5 mecs - handicapée - d'abord seule puis cinq mecs - beaux, bronzés, puissants, virils et
tendus.

Elle pompe à toutes les bites. Elle déplace son fauteuil. Les mecs en demi-cercle.

Éros - Vidéo -

Un homme est à genoux devant six femmes assises dans un canapé. Elles sont en jupes courtes et
offrent leurs pieds à lécher.
Il les lèche goulûment et prend du plaisir à les embrasser, à les lécher.
Elles enfoncent leurs pieds dans sa bouche. Il est couché sur le sol, elles passent leurs pieds sur son
visage, sur son sexe, sur son ventre etc.
Elles rient, s'amusent, lui tripotent le sexe, lui masturbent les testicules. L'une d'entre elles s'assoie sur
son visage. Il boit, lèche avec avidité quand son sexe branlé avec de jolis petits pieds rouges ou roses
le font éjaculer avec jouissance.
De larges gouttes blanches bariolent leurs petits pieds - fin de la vidéo.

102
*
Elle.

Elle lui a donné rendez-vous dans une chambre d'hôtel. Il l'attend, fébrile, assis dans un fauteuil. Il est
de noir vêtu. II a trente ans.

Elle, arrive enfin. Avec sa sacoche trop lourde pour sa personne. Assez petite. Fine. Mais
superbement proportionnée.

Avance avec sa démarche nerveuse. De belles jambes fusent dans l'entremise de son tissu fendu.

Elle dépose son sac et le regarde méchamment, avec une cruauté vicieuse qui l'excite diablement.

- Déshabille-toi. Dépêche-toi. Vite. A poil.

Il s'exécute. Retire Son pantalon et son pull noir.

- Mets-toi à quatre pattes, cul tendu vers le haut.

Elle va chercher un fouet dans son sac et commence par lui donner de petits coups de pieds avec ses
bottes et ses cuissardes dans ses flancs osseux.

Il semble gémir assez difficilement. Elle le piétine avec ses talons. Les premières traces significatives
apparaissent sur son dos et sur ses fesses.

Enfin le fouet libérateur s'abat sur ses fesses et sur ses reins. Il se tourne et se retourne, et dans la
volée se fait frapper le visage, le ventre et les épaules.

Il se tord et se retord comme un asticot brûlé par la passion. Enfin, il offre un sexe à moitié en
érection et des testicules gros et lourds.

Le fouet s'abat sur les parties génitales, et le voilà qui implore et gémit des violences plus fortes...

De longs coups se répandent sur ses zones physiques - il pleure, supplie et demande encore...

103
Munie de gants noirs, avec le pouce et l'index elle écrase minutieusement ses testicules tandis que le
pénis semble à chaque instant prêt à exploser.

Il lui lèche l'anus et la fente et demande encore de plus belles jouissances. Enfin elle enfonce dans
son cul sa main gantée près l'avoir recouverte de vaseline spéciale.

Tout en lui enfonçant la main gantée au plus profond du cul, elle le branle méthodiquement jusqu'à ce
qu'il éjacule dans le bien-être de la libération physique.

Il gémit et la remercie encore.

Mais elle, grande professionnelle récupère un fouet dans son fameux sac rouge et le frappe
violemment avec de forts coups qui s'abattent sur son corps pour le faire hurler et gémir encore.

Synopsis - Profession : Esthéticien

Un jeune homme décide de faire des études pour devenir esthéticien. Il est le seul dans une
promotion de jolies filles. Il décroche son diplôme, ouvre un salon et exerce son activité, fort bien ma
fois.

Soins du visage, cire, nettoyage de peau. Professionnel très compétant dans ce monde très féminisé.

Certaines clientes éprouvent du bien-être à se faire épiler le pubis ou tout autre zone érogène.

Historiette ou Synopsis - De la sexualité d'une femme de 65 ans -

Il s'agit ici d'une femme assez âgée, d'une soixantaine d'années qui a des rhumatismes et des douleurs
lombaires mais qui éprouve un certain plaisir à se faire fouetter. Elle oriente le bras de son jeune
maître pour la stimuler sur ses zones douloureuses.

104
Ce dernier la frappe et l'a fait jouir : "- Je cesserai de te soumettre quand j'aurai éjaculer, quand je me
serai branlé avec plaisir. En attendant, tends ton cul." Et d'abattre les lanières de plus belle sur son
fessier, sur sa chatte luxuriante et ses seins en érection.

Tout en l'enculant à sec, il enfonce le manche du fouet dans son con qui soupire d'extase et en
demande un plus gros.

Il la frappe au visage en lui balançant des gifles à droite et à gauche.

" - Vieille salope, jouis ! Oui, jouis, encore !", dit-il tout la chevauchant.

Elle semble insensible à ses revers répétés. Elle se retourne et s'approchant du feu de la cheminée
veut y chauffer ses vieux os. Elle se frotte contre les flammes et paraît à son aise. Nue, elle se
chauffe.

" - Grille-toi. Plus près. Jouis."

Elle offre ses seins, ses fesses. Laisse la chaleur nourrir sa chair. Tends son trou en écartant son corps
avec ses mains.

" - Approche de la cheminée."

Nue, elle offre son cul tendu et se retire rapidement asphyxiée par la chaleur.

Black sodo - Synopsis -

Combien tu prends et combien tu mugis d'extase et de jouissance ! C'est cela, en elle, pour une
sublime sodo. Combien encore, encore !

Mais là derrière toi arrive le mâle, le superbe black dressé à l'extrême qui va t'enculer à ton tour. Qui
va aller et venir infiniment dans ton cul pour te faire gémir de plaisir.

105
Te voilà pris par son machin énorme. Il va, il vient - c'est cela : encule encore ta copine - vous êtes à
trois.

Mais il se retire et t'oblige à le sucer - et tu suces, suces à fond cette énorme bite noire que tu
contemples avidement.

Enfin il se retire et se branle, branle à fond et jute son sperme blanc sur ton visage ébahi. Remercie-le
et lèche son trou du cul de nègre. Lèche. Lèche encore.

Film 10-12 mn à réaliser Hard - La divine maîtresse -

- Bois mon urine, nourris-toi de mes excréments, lèche mes règles. Consacre-moi dans ma beauté de
femme et je saurais te foutre dans le cul, te fouetter jusqu'à te faire gémir d'aise et d'extase.

Soumis tu es, soumis tu gémiras. Tu quémanderas l'orgasme. Tu n'auras que le feu pour te brûler la
chair. Fouetté, fouetté encore je saurais te libérer en te suçant ou te branler pour faire exploser ton vit
d'extase.
*

Nouvelle idée du trio - autre visitation de Feydeau -

Une femme fouette et oblige son mari à se faire enculer par son amant...

Un mari soumis - femme et amant s'accouplant -

Nouveau rapport - autre trio -

Ensuite la femme et l'amant s'accouplent devant les yeux passifs du mari…

106
Synopsis - Une femme de 50 ans domine des vieux - des faibles - elle se comporte en véritable tyran
- Ils obéissent à poil, fascinés par son pouvoir, sa puissance et la beauté de son cul. Elle leur prend
leur pognon, les fouette et les oblige à se branler.

Domination + Vieux -

Uniformes + pour clips vidéo

Une pervenche se fait enculer par un automobiliste sur le capot de la voiture après rédaction de
l'amende.

Une inspectrice des impôts se fait fouetter par un contribuable en colère après un redressement fiscal.
Il déboule dans le bureau et lui en fait voir pendant un quart d'heure.

Synposis

Trois jeunes typesses de 18-20 ans dominent un vieillard de 75. Que lui imposent-elles ? Que
décident-elles ?

Il est nu. Elles ont des fouets. Elles s'amusent avec lui. Que se passe-t-il ?

Elles lui pissent dessus, le battent, le frappent. Lui chient dessus. Lui fouettent la gueule. Il bouffe
leur merde. En redemande. Leur suce le trou du cul.

Avec leurs pieds, elles lui donnent des coups au visage. elles lui crachent à la gueule. Cela le fait rire.

Lui toujours attaché.

Elles se déshabillent, se mettent nues. Il les trouve sublimes.

107
Elles prennent un gros bâton et lui tape le visage. Il semble s'amuser. Puis petit à petit tombe dans le
coma. Il meurt.

Elles le branlent mais le sexe ne fonctionne plus.

L'une fouette le visage violemment mais il semble mort.

Enfin elle cesse.

Les trois le laissent tel quel dans sa jouissance interne. Elles s'enfuient et partent se branler
ailleurs...pour l'oublier à tout jamais.

CFNM

Synopsis - Exercices de gymnastique

Quatre filles nues dans une salle de gym font des exercices d'assouplissement. Grand écart, positions
pyramidales, sexes largement ouverts. Un voyeur les observe, elles le découvrent. L'attrapent, le
récupèrent, l'entraînent de force dans leurs vestiaires, le déshabillent sous la douche, le branlent
violemment, lui pissent dessus et lui enfoncent du papier-cul dans la bouche pour le punir de son
voyeurisme.

Synopsis - Le bouquet de fleurs

Un coursier via Internet sonne et apporte un bouquet de fleurs sur le seuil d'un appartement.

Quatre filles jolies et sexy fêtent l'anniversaire de l'une d'entre elles. Hélas pour le jeune homme, le
bouquet ne semble pas du tout mais du tout leur convenir.

Elles le déshabillent. Il est apeuré. Elles le mettent à terre. Elles écrasent avec leurs pieds le bouquet

108
sur le visage du garçon. Elles lui baissent la culotte et le branlent énergiquement. Le fouettent avec le
bouquet. Quand elles l'ont bien branlé et fait juter maladroitement, à poil, elles le jettent sur le palier
avec ses habits et le reste du bouquet.

Le Pissing bar

Nous sommes en 2030 dans un bar look très design avec cuir blanc, moquette, énorme travail des
lumières etc. mauve tendre.

Certaines filles sont sur le zinc du bar*, rasées entièrement*, talons aiguilles et nues, cuisses
ouvertes, aguicheuses, accroupies se masturbant les lèvres et le clitoris.

D'autres pissent dans des ustensiles adaptées à cet effet. On récolte l'urine qui est bleue ou rose, ou
d'autres couleurs. Les hommes boivent des cocktails à base d'urine avec glaçons et vodka.

*Le zinc est fait de bulles qui descendent et montent - le zinc est lumineux.

*Chercher la coiffure, le maquillage, les tatouages ou autres accessoires du moment.

D'autres senteurs sont proposées : urines de blacks, de rousses, de jaunes etc.


Black pissing, golden black, golden asiat etc.

Ce n'est pas une décadence à la Fellini Roma - non, c'est un assemblage amusant sans risque pour la
santé car l'urine est "nettoyée" de sa dangerosité.
*

Id de synopsis - 13/18 -

Une jeune fille de 1" et un garçon de 19 qui fait de la muscu.


Il est nu et debout. Elle est impressionné par la beauté de son corps.

Elle lui touche les pectoraux, passe ses mains sur ses hanches, considère ses cuisses.

109
Il lui prend la main, lui suce le pouce et lui dit :
- Fais pareil !

Elle s'exécute et apprend à sucer.

Elle reste habiller. Lui est nu. Clair/Obscur.

Id de Synopsis Porn

Deux filles viennent dans les vestiaires honorer leur équipe fétiche.
Elles vont remercier les joueurs pour leurs remarquables prestations.
Elles vont donc sucer, lécher, se faire prendre sur les bancs, sous la douche par les onze gars prêts à
satisfaire ces étonnants supporters.

Possibilité de synopsis

Il s'agit d'une vision de groupe composée de six garçons et de six filles.

Chaque garçon pratique une position avec une fille. Il change de partenaire et change également de
position six fois.

La composition cinématographique intègre la qualité du mouvement sexuel.

110
Un mari modèle Petit théâtre érotique

Scène I

On voit un homme dans une cuisine, il fait la vaisselle. Il est nu - un pan en skaï devant, un
pan en skaï derrière. Il a des chaussons aux pieds et des gants Malpa rose aux mains. Il a l'air un peu
con. Style Woody Allen sans les lunettes. Il est concentré sur son travail...

Scène II

Sa femme, - une superbe femme. 30 ans. Grande, puissante et belle, brune, chevelure bouclée,
apparaît. Elle est en noir, bottes et longue robe noire.

Elle descend les quatre marches qui mènent à la cuisine. Lui, toujours de dos continue à
astiquer les plats. Il l'a entendu entrer mais fait semblant de rien.

Elle s'approche de lui et lui frotte le cul. Il fait toujours semblant de rien, concentré sur son
travail.

- Chéri, j'ai une petite surprise pour toi !...

Lui, poursuit inlassablement sa tâche.

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Scène III

- Regarde qui vient...

L'on voit dans l'entrecroisement de la porte un homme d'une trentaine d'années, grand,
superbe, portant un pantalon en cuir et une chemise noire.

Le Pseudo Woody Allen continue son travail...

Il marmonne un bonsoir qui fait sourire de biais le nouvel arrivant.

Elle : Figure-toi que j'ai trouvé Philippe par hasard dans une discothèque...Tu sais cette
fameuse discothèque au quartier latin. Je lui ai expliqué notre problème. Je crois qu'il a très bien
compris. Il peut nous aider.

Elle s'adressant à lui :

- N'est-ce pas que tu peux nous aider, Philippe ?

D'un hochement de tête, le bras dans l'embrasement de la porte, il répond : oui !

- Viens et ferme la porte, Philippe...Philippe est formidable, Joé - tu vas comprendre tout de
suite.

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A peine a-t-il refermé la porte qu'elle s'agenouille et déboutonne le pantalon en cuir. Elle met
son sexe dans la bouche et commence par le pomper. Lui se laisse faire, impassible. Elle tète
goulûment l'objet tendu.

- Regarde un peu, Joé - il est formidable Philippe !

Lui se retourne avec indifférence et mépris - et continue à nettoyer ses plats.

Scène IV

Elle se dresse, va vers lui et lui tire les cheveux.

- Je t'ai dit qu'il était formidable ! Viens et suce-le.

Il est tout con avec ses deux pans en skaï, ses chaussons et ses gants Malpa.

Lentement il retire ses gants - consciencieusement - puis se déchausse. Enfin il fait glisser ses
deux pans de skaï et à genoux suce et suce l'amant.

- Ca suffit maintenant ! lui hurle-t-elle. Tu ne vas tout de même pas lui happer son appareil
génital !

Elle s'adresse à nouveau à son amant qui se reboutonne.

113
- As-tu vu ce que je lui ai fait tatouer sur la fesse gauche ? Regarde. C'est ravissant. Il a honte.
Mais j'ai la certitude qu'au fond de lui-même ça l'excite fortement.

Le mari se penche et l'amant lit :

- Je suis une salope ? !! Non. Tu es folle ou quoi ? Comment as-tu pu aller jusque là ? Tu ne
crois pas qu'il y a des limites à la perversité, au ridicule ou à l'humiliation ?

Il s'adresse au mari :

- Et vous vous êtes laissé faire ? Mais répondez ou quoi ? Vous êtes gauche et stupide. Parlez
du moins !

Le mari ne dit toujours rien. Il ramasse ses affaires et quitte la pièce.

Scène V

La femme et l'amant s'éclatent dans le salon. Ils font l'amour, boivent, rient, s'esclaffent,
s'amusent.

Scène VI

La porte du salon s'entrouvre subrepticement. Il s'agit du mari qui essaie par voyeurisme
d'assister aux ébats de son épouse et de l'amant. Mais Cathie se doute de quelque chose. Soudain
elle s'aperçoit qui son mari l'épie.

- Entre, vite, dépêche-toi, lui crie-t-elle

114
Il se presse maladroitement, tout penaud.

- Espèce de petit salaud, tu nous espionnais ! Tu te branles en cachette en regardant son cul
aller et venir...dans ma chatte. Approche un peu.

Il s'exécute et referme doucement la porte derrière lui.

Scène VII

Assise sur le divan, elle prend sa tête en étau. Son amant lui baisse le pyjama.

Elle s'adresse à son amant.

- Dans le petit meuble qui est sur ta droite, tu trouveras un fouet. Apporte-le et utilise-le.

Ce dernier se hâte et trouve dans l'armoire basse les lanières qu'il actionne nerveusement.

Il frappe le mari qui se tord et se tord sous l'effet de la jouissance et de la souffrance mêlées.

Cathie : - Tu ne vois pas qu'il a assez joui ? Défonce-lui le cul à ce vicieux. Cela lui apprendra
à regarder les gens faire l'amour.

Philippe avec sa grosse bite en érection pénètre violemment le mari qui supplie et hurle dans
un moment de déchirement qu'on le libère enfin.

115
- Mais non ! Mais non ! Plains-toi. Tu es une bonne encaisseuse. C'est pour toi tout ça !

Et l'épouse d'inciter son amant à agir de plus belle.

- Plus loin ! Plus vite ! Encore ! Encore !

Enfin l'amant n'en pouvant plus se vide les couilles dans le cul du mari qui semble à moitié
mort. L'amant se retire.

Le mari épuisé semble groggy. En vérité, il ne bouge plus.

Scène XIII

Cathie : - Quel salaud ! Cela lui aura servi de leçon ! Tu te rends compte le vice que ce pourri
génère ne lui ? Vouloir nous regarder faire l'amour ! Ce n'est qu'un péteux qui chie dans son froc, un
vicelard malade ! Je me demande comment j'ai pu épouser ce minable. Ce n'est qu'un médiocre
inutile.

L'amant tout en écoutant Cathie vilipender son mari essaie toutefois de lui faire reprendre
connaissance. L'époux ne réagit toujours pas.

Scène dernière

116
Il semble mort. Est-il mort ? Le voilà qui se dresse d'un bond, se précipite sur son épouse et
l'étrangle violemment. Celle-ci sidérée suffoque, tente de résister, mais ne peut lutter contre la force
surhumaine de son adversaire. Toutes les rancœurs explosent d'un coup. L'amant refuse d'intervenir.
Petit à petit l'on voit la femme perdre ses capacités. Elle semble de plus en plus faible. La voilà qui
vacille, semble ivre, trébuche et tombe.

L'époux est satisfait. Un immense rayonnement éclaire tout à coup son visage.

L'amant le regarde, lui pose délicatement la main sur son épaule et lui dit d'un air complice :

- Maintenant, il nous faut faire disparaître le corps, n'est-ce pas Joé ?

Le rideau tombe

117

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