LA VÉNUS D’ILLE

L’histoire se passe dans une petite ville du Roussillon, il s’agit donc de la ville d’Ille. Le
narrateur est archéologue. En effet, il et son guide veulent découvrir les monuments
antiques et du Moyen Âge de la région. Ils doivent rencontrer un vieil antiquaire. Cet
antiquaire est de Monsieur de Peyrehorade. Ce monsieur a beaucoup d’argent et que
son fils doit épouser dans les jours prochains avec une jeune fille d’une famille encore
plus riche. M.de Peyrehorade a déterré une lourde statue, de cuivre au pied d’un
olivier, une statue de Vénus, La Vénus d’Ille. La promise de son fils se nomme
Mademoiselle de Puiygarrig. Il s’agit d’une jeune femme assez fortunée de la région
du Roussillon.
La Vénus d’Ille daterait de l’époque romaine. La statue est d’ne grande femme noire à
moitié dévêtue et aux yeux blancs. Elle est parfaitement conservée. De ce fait, la statue
aurait un aspect étrange, ses yeux blancs qualifiés d’angoissants effrayeraient plus
d’un personnage de la nouvelle. La Vénus est l’origine d’un accident, elle est retombée
juste sur la jambe de Jean Coll, sa jambe cassée nette. Il est un jeune ouvrier qui a
participé à sa découverte. Suite à cet accident, la jambe du jeune homme a été brisée.
Le soir le narrateur est invité chez les Peyrehorade. Le dîner est déjà copieux. Durant
le dîner, M. de Peyrehorade ne tient pas en place. Il s’enthousiasme à l’idée de lui
montrer toutes les antiquités de sa région. L’antiquaire est fier de raconter à son tour
l’histoire de la Vénus d’Ille qui se trouve dans son jardin. Il est tellement excité à l’idée
de cette découverte, qu’il propose au narrateur de lui montrer dès le lendemain matin.
Le narrateur accepte de bon cœur. Il décide d’aller se coucher. Sa chambre est située
au bout du couloir du premier étage.
Une fois seul, il aperçoit la Vénus d’Ille de sa fenêtre. Il regarde deux garçons s’arrêtent
devant la statue, et ils provoquent la statue dans le jardin. Le plus grand attrape une
pierre et la jette sur la statue et rebondit le front du garçon immédiatement. Il pense
que la Vénus l’a rejetée a lui. Ils prennent la fuite. ***** FIN du chapitre 1 *****
La nuit est passée et l’antiquaire vient réveiller le narrateur. Il est pressé de lui montrer
son trésor. Le narrateur pense qu’en effet La Vénus d’Ille est d’une merveilleuse
beauté et que l’artiste y a représenté sa figure avec un aire de malice, de méchanceté
même. On y voit le dédain, l’ironie et la cruauté, mêlés a une formidable beauté. Des
yeux brillants et argentés qui semblent réels.
Le temps passe et il est désormais temps de déjeuner. Alphonse, le fils de l’antiquaire,
discute avec le narrateur durant le repas. Il parle amoureusement de sa future épouse.
Il en vient même à lui montrer la bague qui lui a réservée. Le repas se déroule chez les
parents de la fiancée d’Alphonse. La soirée se passe sans encombrement. Alphonse lui
montre une grosse bague qu’il lui donnera le lendemain.
Le jour du mariage arrive enfin. L’antiquaire fait une offrande et il dépose des roses à
pieds de la Vénus d’Ille. Le vieil homme demande à sa statue de protéger le jeune
couple de mariés. Alphonse regarde une partie du jeu de paume. Ce sont des espagnols
qui jouent contre l’équipe du Roussillon et les espagnols sont sur le point de gagner.
Alphonse décide de jouer lui assis pour inverser la tendance. Mais, sa bague de
diamants le gêne, il n’arrive pas à jouer avec. Il décide de la mettre au doigt de la Vénus
d’Ille plutôt que de la poser par terre. L’équipe du Roussillon finit par gagner. L’équipe
espagnole est furieuse. L'un des joueurs lui dit qu’il lui paiera. ******** FIN du
chapitre 2 *********
Alphonse prend la route pour rejoindre sa bien-aimée. En chemin, il s’aperçoit qu’il a
oublié de récupérer la bague.
Il ne veut pas qu’on le sache et se dit qu’une autre bague sera aussi bien, parce que la
Vénus fait peur et personne n’osera s’en approcher et il a l’autre bague. Pour célébrer
cette nouvelle union, un dîner est organisé chez l’antiquaire.
Le narrateur va se coucher. Il y a des bruits mais le narrateur pense que ce sont ceux
de la mariée. Le matin, il entend de nouveau ces pas suivis de cris. Il découvre alors le
corps du jeune marié et sa femme hystérique. Alphonse et retrouvé assassiné dans la
chambre. Le narrateur découvre la bague que devrait porter la statue d’après le récit
d’Alphonse. Les seules empreintes sont celles qui vont à la Vénus d’Ille. On déclare la
mariée folle car elle affirme que c’est la statue qui a étouffé son mari.
Le narrateur décide de rentre à Paris après l’enterrement d’Alphonse. Peu de temps
après, on lui apprend que l’antiquaire est mort. Et sa femme a voulu faire fondre la
statue en cloche pour finalement le mettre dans une église. Mai, la malédiction semble
persister. Depuis que la cloche sonne dans le Roussillon, les vignes ne cessent de geler
sans raison. ******** FIN du chapitre 3 *********