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NDLR:
Dès le tout début du Nouveau Testament, nous lisons à propos de Jean Baptiste qu’il était : «
La voix de celui qui crie dans le désert » Mat. 3.3. Il était un prédicateur en plein-air. Il n'a eu
aucune chaire, mais il avait certainement un message, et il n'avait pas PEUR de le prêcher
publiquement ! La même chose est vraie avec les Apôtres et les premiers Chrétiens. Ils ont
non seulement prêché dans le temple, mais également en plein air même après que l’église ait
été fondée (Actes 8. 1-5,14.6-7, 17.17, 20.20). Quand le Seigneur Jésus-Christ a commencé
son ministère de prédication, comme tous les autres, il a prêché aux grandes foules (Marc
1.14-16). Il a prêché à ceux qui se réunissaient sur le rivage de la mer (Mat. 13.1-2). Il a
prêché à ceux qui étaient dans la cour externe du temple (John 7.28). Il a prêché sur une
montagne (Mat. 5.1-3). Jésus était un prédicateur en plein-air. Sommes-nous meilleurs que
lui ? Non, pas du tout ! Je considère que c’est un privilège de pouvoir prêcher publiquement
comme mon Sauveur ! Je VEUX être identifié avec lui et les grands hommes de la Parole de
Dieu qui n'avaient pas peur d’élever leurs voix comme une trompette en présence dans le
monde : John Wesley a dit : « Le monde est ma paroisse ».
Tout Chrétien peut remplir un siège le dimanche matin ou partager un repas fraternel ou tenir
un stand biblique, mais il faut être un Chrétien courageux pour soutenir l’opposition et
reproche qui s’accroche à la prédication en plein-air. Après la prédication, il y a toujours un
esprit de joie et de contentement quand on commente ce qui s’est passé. La prédication en
plein-air donnera aux Chrétiens plus d'ardeur et de hardiesse que toute autre ministère. Si
vous voulez que votre église soit zélée et engagée, amenez ses membres dans les rues.
Est-ce que Dieu peut dire cela de votre communauté? Cher frère, vos rues sont pleines de gens
qui n'assisteront jamais à un culte ou ne franchiront jamais les portes de vos églises pour un
campagne d’évangélisation et un bon nombre d'entre eux n'ont jamais clairement entendu
présenter l’évangile. Plusieurs de ces personnes que vous ne rencontrerez jamais ailleurs. La
rue est votre seule chance de les avertir. Paul, le plus grand prédicateur en plein–air a dit :
C’est pourquoi je vous prends aujourd’hui à temoin, que je suis net du sang de tous : car je ne
me suis point épargné à vous annoncer tout le conseil de Dieu. » Actes 20.26-27.. Pouvez-
vous faire cette constatation au sujet des membres de votre communauté? Frère, si vous ne
prêchez pas publiquement, qui le fera ? QUE FERAIT JÉSUS ?
(B. Roberts) ajouté le 18/12/2001
Islam: Le pouvoir familial dans l’islam, l'histoire de Yousef - rapporté par Maison de la
Foi
NDLR:
Yousef Chalder (nom fictif) était à la tête de l’une des plus importantes entreprises du Koweït
productrices de programmes de télévision. Devenu chrétien, il a voulu partager sa foi au sein
de sa famille.
Encore jeune homme, il avait appris par cœur de longs extraits du Coran. Il se montrait
généreux avec les pauvres et à sept reprises il avait entrepris le pèlerinage à La Mecque.
Malgré tout, il n’a jamais trouvé la paix dans son cœur. Alors qu’il était en voyage d’études
dans un pays de l’Ouest, lors de la dernière semaine du ramadan, il n’arrivait pas à
s’endormir. Il a crié à Allah et lui a dit: «Dieu, pourquoi me punis-tu?» Dans sa chambre
d’hôtel, il a trouvé une Bible (Gédéon). Au travers des Ecritures et par des rêves, Jésus s’est
révélé à lui. Heureux de sa découverte, Yousef a reconnu que Jésus est vraiment le Fils de
Dieu et le seul chemin qui conduit au Père.
Peu après sa conversion, Yousef a eu à cœur de partager sa foi aux membres de sa famille.
«Tu racontes des histoires!», lui a dit son père. «Non, papa, ce n’est pas une plaisanterie.»
«Renonce donc à Jésus!», a insisté le père. «Jamais!», a été la réponse de Yousef. «Alors, à
partir de maintenant, nous n’avons plus rien en commun; nous ne voulons plus entendre parler
de toi. Ne nous écris pas, ne nous téléphone pas!» Là-dessus, sa famille a confisqué toute la
fortune de Yousef et son entreprise. Il ne possédait plus rien. Quelques mois plus tard, il a reçu
une lettre: «Maman est malade, tu es en train de la tuer à petit feu; renonce à ta foi.»
Peu après cet événement, Yousef s’est marié. Douze mois plus tard, il a appris que sa sœur
allait se marier à son tour et qu’il était invité aux festivités. Alors qu’il se tenait en prière, il a
entendu la voix de Dieu qui lui disait: «Ne prends pas ta femme avec toi!» En lieu et place, il
a pris son beau-frère Abdallah. Arrivé chez ses parents, Yousef a été accueilli avec
empressement et, pendant la première demi-heure, tout s’est merveilleusement déroulé. Tout à
coup, les choses ont mal tourné. Les membres de la famille, même sa mère, se sont mis à le
frapper et à le piétiner. Yousef était tombé dans le piège. «Maintenant, tu vas renoncer à Jésus-
Christ et réintégrer l’islam!», a ordonné le père. Gémissant, Yousef a déclaré: «Je ne peux
pas.» «Qui va te délivrer de ma main?» , a crié le père. «Mon Dieu a le pouvoir de me
protéger; mais je préfère mourir avec Jésus que de vivre sans lui!» , a répliqué Yousef. «Alors,
meurs!», s’est écrié le père. Saisissant son fusil, il a voulu tirer. «Es-tu devenu fou?», a crié
l’oncle de Yousef. Pris de colère, il a pris le père dans ses bras quelques secondes avant que le
coup ne soit tiré.
Yousef raconte: «J’ai alors été capturé comme un prisonnier; partout ils avaient placé des
gardes qui ont détruit mes Bibles, mes photos de mariage et tous mes livres; mon beau-frère a
été chassé de la ville». Dans son désespoir, la prière était son seul secours. De temps en
temps, la famille l’emmenait en visite. Un jour, Jésus lui a parlé ainsi: «Aujourd’hui, il est
temps que tu quittes ta famille, pars...» En effet, le moment était propice. Yousef a pris un
taxi, s’est enfui et est retourné vers sa femme.
«Maintenant, je sais que Dieu existe!»
Quelques années plus tard, Yousef a contacté sa mère par téléphone. L’enfant de sa sœur était
mourant. La famille avait été à la mosquée et avait prié... en vain. Les médecins ne pouvaient
plus rien faire pour la fillette. «Que puis-je faire?», a demandé Yousef. «Prie», lui a répondu
sa mère. Yousef lui a conseillé de prier à son tour pour la petite, et le Seigneur la guérirait.
«Mais ne te fais pas attraper!», a-t-il ajouté. La mère a commencé à prier et, d’une manière
miraculeuse, l’enfant s’est complètement rétablie. Récemment, Yousef a eu l’occasion de
parler à son père. Ce dernier a déclaré: «Je sais maintenant que ton Dieu est vivant et que tu le
connais personnellement.» «Comment le sais-tu, papa?», a demandé Yousef. «Parce que
depuis dix ans, tous les plans que nous avons élaborés pour te liquider n’ont pas abouti.»
Plus tard, Yousef pouvait dire: «Le prix à payer pour suivre le Dieu vivant est élevé, mais
c’est Jésus qui l’a payé!»
(Voix des Martyrs) ajouté le 13/12/2001