Réglementation et éclairagisme

Réglementation

Réglementation ÉCLAIRAGISME
ET éclairagisme
RÉGLEMENTATION et
Réglementation
RÉGLEMENTATION
Résistances aux agents chimique 708
Textes réglementaires 710
Choix d’un luminaire 712
Lumière d’environnement 714
éclairagisme 716
Projets type sportifs 723
Index produits 730
Réseau commercial 734

707
 Résistance aux agents chimiques et corrosifs
Pour toute installation, il est nécessaire d’envisager l’influence des substances chimiques sur le luminaire : éléments corrosifs dans l’atmosphère ou détergents utilisés sur site. Le tableau ci-dessous contient une
sélection des substances chimiques les plus utilisées dans les environnements où X-Force est susceptible d’être installé. Les informations contenues dans le tableau sont valables selon certaines conditions :
• Les substances chimiques contenues dans le tableau correspondent à des élements chimiques et non des composants d’un élément chimique • La température ambiante est de 25°C

Type de Caractéristique des AquaForce II ImpactForce CorrosionForce ColdForce HeatForce StormForce StormForce
produit produits chimiques
Corps en PC Corps polyester Corps polyester Corps polyester Corps polyester Corps polyester Corps polyester
chimique
armé fibres de verre armé fibres de verre armé fibres de verre armé fibres de verre armé fibres de verre armé fibres de verre

Diffuseur en PC Diffuseur en PC Diffuseur en PMMA Diffuseur en PC Diffuseur en PC Diffuseur en PC Diffuseur en PMMA

Verrou en PC Verrou en inox Verrou en inox Verrou en inox Verrou en inox Verrou en inox Verrou en inox

Acides acétique < 30 % ✔ ✔ - ✔ ✔ ✔ -

inorganiques
nitrique < 10 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

sulfurique < 20 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

chlorhydrique < 10 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

chromique < 20 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

phosphorique < 40 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Sels sels marins ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

sulfate de cuivre ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

chlorure de sodium ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Produits éthanol < 30 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

organiques
propanol < 30 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔
(aliphatiques)
méthane ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

propane ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

formaldéhyde/formaline ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

acide formique < 5 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

acide stéarique (savon) ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

urée ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

éthylène glycol (antigel) ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

(produits glucose (sucre) ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

aromatiques)
glycérol/glycérine ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Produits lait ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔
alimentaires,
jus de fruit ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔
produits de
cuisson et huiles végétales (froides) ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔
boissons
huiles végétales (chaudes) - - ✔ - - - ✔

viandes, boeuf, agneau, porc, gibier, volaille ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

poisson ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

graisse de porc - - ✔ - - - ✔

graisses de cuisson (froides) ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

graisses de cuisson (chaudes) - - ✔ - - - ✔

boissons alcoolisées (bière) ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

boissons gazeuses, limonade ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

vins et liqueurs ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

eau < 60°C ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

vinaigre ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Gaz ozone ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

dioxyde de soufre polluant industriel ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Matériaux de peinture à l’eau ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

construction,
peintures peinture à l’huile - - ✔ - - - ✔

white spirit/essence de térébenthine ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

ciment ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Huiles, huiles minérales ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

graisses,
graisses animales (froides) sauf porc - - ✔ - - - ✔
carburants
huile de silicone ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

diesel ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

kérosène/huile de paraffine - - ✔ - - - ✔

essence minérale/éther de pétrole ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Désinfectants, peroxyde d’hydrogène < 40 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

détergents
hypochlorite de sodium < 10 % ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

savons ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

agents mouillants/biocides (dilués) ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Attention : les exigences phytosanitaires en industrie agroalimentaire par exemple, conduisent à l’utilisation de certains nettoyants germicides et/ou fongicides qui, même très dilués, attaquent le polycarbonate.

Ces informations doivent vous aider à faire le bon choix en cas d’exposition prolongée à certains produits chimiques ou atmosphères agressives. Une exposition occasionnelle à de faibles concentrations de ces produits ne porte
nullement préjudice à ces luminaires. Le risque de dommage causé aux luminaires dépend de la concentration de l’agent, la durée, la fréquence d’exposition et l’environnement. En cas de doute quant à l’utilisation d’un luminaire dans
certaines conditions, veuillez nous envoyer la liste des produits chimiques utilisés ainsi que les conditions d’utilisation.

708 www.thornlighting.fr
www.thornlighting.fr
709
Résistance aux agents chimiques Réglementation et éclairagisme
 Textes réglementaires,
normes et règles de l’art*
Textes réglementaires, d’application obligatoire
Relatifs aux produits
• Décret N° 95-1081 du
3 octobre 1995 relatif à la
sécurité des personnes,
des animaux et des biens
lors de l’emploi des matériels
électriques destinés à être
employés dans certaines limites
de tension (transposition de la
directive européenne 73/23/
CEE du
19 février 1973, dite « directive
basse tension », modifiée par
la directive 93/68/CEE du
22 juillet 1993).
• Décret N° 2006-1278
du 18 octobre 2006
relatif à la compatibilité
électromagnétique des
appareils électriques et
électroniques (transposition de la
directive européenne
89/336/CEE du 3 mai 1989
modifiée par la directive
92/31/CEE du 28 avril 1992).
• Décret N° 2001-1131
du 28 novembre 2001 relatif au
rendement énergétique des
ballasts destinés à l’éclairage
fluorescent (transposition de la
directive européenne 2000/55/
CE du 18 septembre 2000).
• Décret N° 2006-603
du 23 mai 2006 relatif aux
certificats d’économies
d’énergie.
• Circulaire du 18 juillet
2006 relative à la délivrance
des certificats d’économies
d’énergie.
NB :
pour pouvoir vendre en Europe,
le fabricant ou l’importateur
a l’obligation réglementaire
d’apposer le marquage CE
sur son produit ou son emballage.
Il déclare ainsi, sous sa seule
responsabilité, que ce matériel
respecte les exigences des
directives qui s’y appliquent.
Relatifs à l’éclairage
(niveau, uniformité, commande,
entretien…)
• Décret 83-721 du 2 août
1983 (articles R. 232-7 à R.
232-7-10 du Code du travail) et
décret 83-722 du 2 août 1983
(articles R.235-1 à R. 235-2-3
710
du Code du travail) fixant les
règles relatives à l’éclairage
des lieux de travail
auxquelles doivent se conformer
les maîtres d’ouvrage
entreprenant la construction
ou l’aménagement de bâtiments
destinés à l’exercice d’une
activité industrielle, commerciale
ou agricole (+ circulaire
d’application du 11 avril 1984
relative au commentaire
technique des décrets).
L’INRS - Institut National de
Recherche et de Sécurité - a
publié un dossier juridique TJ13
présentant l’application pratique
de ces textes (document en pdf).
• Arrêté du 23 octobre
1984 relatif aux relevés
photométriques sur les
lieux de travail et aux
conditions d’agrément des
personnes et organismes pouvant
procéder à ces contrôles.
Relatifs au bâtiment
(sécurité)
• Décret 88-1056 du
14 novembre 1988 pris pour
l’exécution des dispositions
du livre II du code du travail
(titre III : Hygiène, sécurité et
conditions de travail) en ce
qui concerne la protection
des travailleurs dans les
établissements qui mettent en
oeuvre des courants électriques.
• Arrêté du 10 octobre 2000
fixant la périodicité, l’objet et
l’étendue des vérifications des
installations électriques au titre
de la protection des travailleurs,
ainsi que le contenu des rapports
relatifs aux dites vérifications.
• Décret n° 2001-222 du
6 mars 2001 modifiant le décret
n° 72-1120 du 14 décembre
1972 relatif au contrôle et à
l’attestation de la conformité
des installations électriques
intérieures aux règlements et
normes de sécurité en vigueur.
• Arrêté du 19 novembre 2001
(Ministère de l’intérieur) portant
approbation de dispositions
complétant et modifiant le
règlement de sécurité contre
les risques d’incendie et de
panique dans les établissements
recevant du public (ERP), et
notamment le chapitre VIII
(Éclairage).
• Circulaire interministérielle
N° DGUHC 2007-53 du 30
novembre 2007 relative à
l’accessibilité des établissements
recevant du public, des installations
ouvertes au public et des
bâtiments d’habitation
NOR : MLVU0766613C
Relatifs au bâtiment
(énergie)
• Décret N° 2006-592 du
24 mai 2006 relatif
aux caractéristiques
thermiques et à la
performance énergétique
des constructions et arrêté
du 24 mai 2006 relatif aux
caractéristiques thermiques
des bâtiments nouveaux et des
parties nouvelles de bâtiments
(RT 2005).
• Décret N° 2007-363 du
19 mars 2007 relatif aux
études de faisabilité des
approvisionnements énergie,
aux caractéristiques thermiques
et à la performance énergétique
des bâtiments existants et à
l’affichage du diagnostic de
performance énergétique.
• Arrêté du 3 mai 2007 relatif
aux caractéristiques thermiques
et à la performance énergétique
des bâtiments existants.
Relatifs à la composition
des produits et à leur fin
de vie
• Code de l’environnement,
articles L 541-1 à L 541-50.
• Directive 2002/95/CE du
27/01/2003 (RoHS)
• Décret 2005-829 du 20 juillet
2005 relatif à la composition
des équipements
électriques et électroniques
et à l’élimination des
déchets issus de ces
équipements.
• Arrêté du 23 novembre
2005 relatif aux modalités de
traitement des déchets
d’équipements électriques
et électroniques prévues à
l’article 21 du décret N° 2005-
829.
• Arrêtés du 25 novembre 2005
et du 6 juillet 2006 fixant les
cas et conditions d’utilisation
dans les équipements électriques
et électroniques de plomb,
de mercure, de cadmium,
de chrome hexavalent, de
polybromobiphényles ou de
polybromodiphényléthers.
• Arrêté du 6 décembre
2005 relatif aux agréments et
approbations prévus aux articles
9, 10, 14 et 15 du décret n°
2005-829.
• Article L. 541-10-2 du code
de l’environnement, introduit par
la loi 2005-1720 rectificative de
finance 2005 du 30 décembre
2005.
• Arrêté du 13 mars 2006
relatif à l’inscription et aux
déclarations des producteurs
au registre national prévu par
l’article 23 du décret 2005-829.
• Arrêté du 13 juillet 2006
relatif à l’article 2 du décret
2005-829 et étendant le régime
ménager à toutes les lampes
concernées par le décret.
• Arrêté du 9 août 2006, pris
en application de l’article 14 du
décret 2005-829 (agrément
de Récylum).
Relatifs aux marchés
publics
• Selon le décret N° 84-74
du 26 janvier 1984 fixant le
statut de la normalisation
(JO du 1er février 1984),
modifié par le décret N° 90-653
du 18 juillet 1990 (JO du 25
juillet 1990), décret N° 91-283
du 19 mars 1991 (JO du 20
mars 1991), décret n°93-1235
du 15 novembre 1993 (JO du 17
novembre 1993), la référence
aux normes est obligatoire dans
les marchés publics. Ce décret
précise également dans son
article 13 les fondements de
la mention « ou équivalent »
figurant dans les appels d’offres.
• Les installations d’éclairage
public doivent satisfaire aux
normes de la série NF C 17-200.
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NORMES
Relatives à l’installation
électrique et d’éclairage
• NF C 15-100 :
« Installations électriques à
basse tension ».
• NF C 17-200 :
installations d’éclairage public
Relatives aux luminaires
• Les luminaires doivent répondre
aux normes européennes
• NF X 35-103 : Principes
d’ergonomie visuelle applicables
à l’éclairage des lieux de travail.
• NF EN 13032-1 :
Lumière et éclairage - Mesure
et présentation des données
photométriques des lampes
et des luminaires - Partie 1 :
Mesurage et format de données.
• NF EN 13201-1à 4 :
Eclairage public
1. Sélection des classes
REGLES DE L’ART
Les règles de l’art en éclairagisme
sont définies dans les
« Recommandations »
de l’Association française de
l’éclairage. Consulter en particulier
les Recommandations
relatives à l’éclairage
intérieur des lieux de
travail, ainsi que Éclairage
et travail sur écrans de
visualisation.
Pour les acheteurs publics,
le ministère de l’écologie et du
Réglementation et éclairagisme
SITES UTILES
• ADEME
(Agence de l’environnement
et de la maîtrise de l’énergie) :
www.ademe.fr
• SYNDICAT DE L’ÉCLAIRAGE :
www.syndicat-eclairage.com
• AFE
(Association française de
l’éclairage) :
www.afe-eclairage.com.fr
• UTE
(Union Technique de l’Electricité

harmonisées de la série
NF EN 60-598.
Ces normes visent
essentiellement la sécurité des
luminaires.
Attention :
La marque de qualité européenne
ENEC est facultative,
mais elle garantit au
consommateur européen que
la qualité du produit, et en
particulier sa conformité aux
normes, est régulièrement
contrôlée par un laboratoire
indépendant des fabricants, et
que sa fabrication fait l’objet
d’une procédure d’assurance
qualité.
Relatives aux mâts
EN 40, nouvelle norme
européenne définissant le calcul
des mâts en éclairage public
et imposant le marquage CE
des candélabres (remplace les
anciennes normes françaises
NV65 et CM 66) applicable au
1er février 2005.
Relatives à l’éclairagisme
• NF EN 12464-1 :
Éclairage des lieux de travail
– intérieurs.
• NF EN 12464-2 :
Éclairage des lieux de travail
– extérieurs.
• NF C 71-121 :
Méthode simplifiée de
prédétermination des
éclairements dans les
espaces clos et classifications
correspondantes.
Textes réglementaires
d’éclairage développement durable a publié et de la Communication) :
2. Exigences de performances le « Plan national d’action pour www.ute-fr.com
3. Calcul des performances des achats publics durables ».
4. Méthode de mesure des * L iste non exhaustive donnée
performances à titre indicatif : ne saurait engager
photométriques la responsabilité du Groupe Thorn
• NF EN 13032-2 :
Mesure et présentation des
caractéristiques photométriques
des lampes et luminaires - Partie 2 :
Présentation des données
utilisées dans les lieux de travail
intérieurs et extérieurs
• NF EN 12193 : Éclairage
des installations sportives
Relatives aux exigences
énergétiques
• NF EN 15193 : Exigences
énergétiques pour l’éclairage
(performances énergétiques des
bâtiments).
LENI : Lighting Energy
Numeric Indicator
L’indice LENI est déterminé dans le
cadre du calcul énergétique selon
la norme EN 15193. Il est utilisé
en conjugaison avec les indices
de chauffage, de ventilation et de
production d’eau chaude pour
calculer les besoins énergétiques
globaux d’un bâtiment.
Consommation
électrique
de l’éclairage
LENI = kWh/m² an
Surface en m²

www.thornlighting.fr 711
 Réglementation - choix d’un luminaire
Le choix d’un luminaire et son raccordement électrique doivent être
effectués en se référant aux normes de construction (des luminaires) aux
normes d’installation (bâtiments ou installation d’éclairage public) et aux
textes réglementaires.
En dehors de leurs caractéristiques photométriques, les luminaires sont
classés et marqués en fonction de la lampe à utiliser (type et puissance) de
leur système d’isolation et de leur résistance à des influences extérieures.
Dans ce catalogue, un encadré, placé en général en tête de chaque
introduction de produit ou gamme de produit, résume sous forme de
texte très court et/ou de pictogramme ces caractéristiques tels que
indications portant sur le montage possible sur des surfaces normalement
inflammables, labels accordés par des organisations professionnelles
(ex : PROMOTELEC ), etc.

Lecture des IP (Indices de Protection des Luminaires)

1er chiffre 2e chiffre

Degrés
introduction corps solide pénétration de l’eau

0 Non protégé Non protégé

Protégé contre les corps solides de plus de 50 mm Protégé contre les chutes verticales de gouttes d’eau
1
IP 1x IP x1

Protégé contre les corps solides de plus de 12 mm Protégé contre les chutes d’eau pour une inclinaison maximale de 15°
2
IP 2x IP x2

Protégé contre les corps solides de plus de 2,5 mm Protégé contre l’eau en pluie pour une inclinaison maximale de 60°
3
IP 3x IP x3

Protégé contre les corps solides de plus de 1 mm Protégé contre les projections d’eau
4
IP 4x IP x4

Protégé contre la poussière Protégé contre les jets d’eau

5
IP 5x IP x5

Protégé contre la poussière Protégé contre les paquets de mer

6
IP 6x IP x6

Protégé contre les effets de l’immersion temporaire

7
IP x7

Protégé contre l’immersion prolongée

8
IP x8

N.B. : l’IP23 constitue la limite inférieure de protection des luminaires d’éclairage extérieur et IP55 est celle des luminaires dits “étanches”.

Choix des luminaires, application de la norme d’installation NF C 15.100

En fonction des lieux d’installation des luminaires et des influences
auxquelles ils sont soumis, la norme NF C 15.100 permet de
déterminer les classes d’isolation et les degrés de protection contre
les influences extérieures. En premier lieu, il convient de déterminer,
à l’aide de la norme Partie 3 - Chapitre 32 : Influences externes,
pour un environnement, une utilisation, et un type de construction
de bâtiment donné, les codifications qui correspondent à la nature
et au degré des influences externes. Ensuite, l’application des
règles contenues dans la Partie 5 - Chapitre 512 accompagné du
guide pratique UTE C 15-103 de mars 2004 permet de trouver la
classe d’isolation et le degré de protection adaptés. Pour certains
cas particuliers comme les locaux contenant une baignoire ou une
douche, la norme, dans sa Partie 7 - chapitre 701, édicte
des règles spécifiques.

Salles de bains - Volume de protection

L’installation de luminaires dans les salles de bains doit
impérativement respecter les règles de la nouvelle édition 2002 de la
norme
NF C 15.100 qui prévoit : Volume 3 Volume 2 Volume 1
2,25 m

• l’obligation de protéger tous les circuits électriques de la pièce par

un dispositif différentiel haute sensibilité de 30 mA.
Volume 0

• d’utiliser des luminaires classe II dont l’indice de protection est au 2,40 m 0,60 m

moins égal à IP x3 dans le volume 2 et IP x1 dans le volume 3. m 0,

60
60 m
0,

• d’employer des luminaires IP x4 au minimum dans le volume 1 et 2,

40
m

IP x7 dans le volume 0, ces luminaires étant alimentés en très basse

tension de sécurité 12 V (TBTS 12 V).
Dans le cas d’un local avec douche, les limites des volumes 1, 2 et 3 s’obtiennent
Les différents volumes sont définis dans l’édition 2002 de la NF C
comme ci-dessus à partir des dimensions extérieures du bac de douche.
15.100 suivant le schéma ci-contre :

712 www.thornlighting.fr
Réglementation

Réglementation et éclairagisme
Protection contre les chocs électriques 3 classes d’isolation sont définies.

Classe I Classe II Classe III

Isolation fonctionnelle avec mise à la terre des parties Isolation fonctionnelle complétée par une isolation supplémentaire ou une
Alimentation en très basse tension
métalliques accessibles. seule isolation renforcée, pas de mise à la terre.

Symbole : Symbole : Symbole :

Degrés de protection contre les chocs

Degré de protection contre les chocs IP xx1/AG1 IP xx5/AG2 IP xx7/AG3 IP xx9/AG4

0,225 joule 2 joule 6 joule 20 joule

Energie de choc (joules) 150 g 500 g 1,5 kg 5 kg

15 cm 40 cm 40 cm 40 cm

Degré de protection contre les chocs IK 01 IK 02 IK 03 IK 04 IK 05 IK 06 IK 07 IK 08 IK 09 IK 10

Energie de choc (joules) 0,15 j 0,23 j 0,35 j 0,5 j 0,7 j 1j 2j 5j 10 j 20 j

Choix d’un luminaire

Etablissement recevant du public (ERP)
Les dispositions concernant les établissements recevant du public se trouvent dans la publication N° 1 447-1 (édition 1993) publiée par la
Direction des Journaux Officiels. Elles ont été récemment modifiées par l’arrêté du 19 novembre 2001 publié au JORF en février 2002.
Les règles applicables au matériel d’éclairage se trouvent aux articles suivants :
• AM4 §1 pour ce qui concerne l’intégration des luminaires dans les plafonds (suspendus ou non).
• EL7 pour la nature et la quantité de diélectrique dans les condensateurs de compensation du facteur de puissance.
• EC1 à EC21 pour tout ce qui concerne l’éclairage : éclairage normal, éclairage de remplacement et éclairage de sécurité.
Ces règles concernent l’alimentation, la disposition, le montage, le flux lumineux, l’éblouissement et les caractéristiques de résistance au feu des
luminaires. Cette résistance au feu est évaluée par l’essai au fil incandescent tel qu’il est défini dans la norme NF C 20.455 :
“Essais relatifs aux risques du feu - Méthodes d’essai - Essai au fil incandescent et guide”.
Ces dispositions ont été complétées en novembre 2007 par une circulaire interministérielle N° DGUHC 2007-53 relative à l’accessibilité des
établissements recevant du public, des installations ouvertes au public et des bâtiments d’habitation : NOR - MLVU0766613C
Résumé : Cette circulaire vise à préciser les dispositions résultant de la loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la
participation et la citoyenneté des personnes handicapées, relative à l’accessibilité des établissements recevant du public, des installations ouvertes au
public et des bâtiments d’habitation, du décret d’application N°2006-555 du 17 mai 2006 modifié par le décret n°2007-1327 du 11 septembre 2007 et
des arrêtés du 1er août 2006 concernant d’une part les bâtiments d’habitation collective et des maisons individuelles lors de leur construction et d’autre part
les établissements recevant du public et des installations ouvertes au public lors de leur construction ou de leur création.
Texte abrogé : Circulaire N°94-55 du 7 juillet 1994 relative à l’accessibilité aux personnes handicapées des établissements recevant du public et des
installations ouvertes au public.

Tableau résumé des prescriptions de résistance au feu pour les cas usuels dans les E.R.P.
Situation
Type d’éclairage
Circulations horizontales
Autres
encloisonnées, escaliers
SI
surface apparente du luminaire < 1m2
ET
distance entre luminaires > 1m
ET
distance entre luminaires et matériau M4 ou non classé > 1m
Normal ET
Résistance au fil incandescent 850°,
ou surface totale des luminaires < à 25 % de la surface totale
pour les parties externes
remplacement du plafond
ALORS
Résistance au fil incandescent 750° pour les parties externes
SINON
Résistance au fil incandescent 850°,
(extinction en 30 sec.)
pour les parties externes&
Appareils normaux : Résistance au fil incandescent 850°, extinction en 30 sec. pour les parties externes.
Sécurité
Blocs autonomes : conformité aux normes spécifiques NF C 71.800...
Dans tous les cas, les appareils d’éclairage fixes ou suspendus doivent être reliés aux éléments stables de la construction.

Avertissement : les informations concernant la réglementation - extraites des textes normatifs ou publications officielles - sont communiquées à
titre indicatif et ne sauraient engager la responsabilité de THORN ; en cas de doute, se reporter aux documents cités en référence.

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 Lumière & environnement
Aspects environnementaux
HQE : Haute Qualité
Environnementale
Il s’agit d’une démarche qui vise
à inscrire les activités humaines
dans un développement durable,
souci qui s’affirme aujourd’hui
dans tous les secteurs économiques
et notamment dans le bâtiment.
La HQE est un état d’esprit à la
recherche des meilleures solutions
techniques qui s’applique non
seulement au bâtiment mais aussi
à l’urbanisme et à l’aménagement
du territoire. Il ne s’agit ni d’une
norme, ni d’une réglementation,
ni d’un label : c’est une démarche
volontaire qui existe aussi dans de
nombreux autres pays (appelée
“green building”). L’association
HQE développe actuellement
en partenariat avec le CSTB
(Centre Scientifique et Technique
du Bâtiment) un référentiel
de certification HQE pour les
bâtiments tertiaires. Adresse du
site internet de l’association HQE :
www.assohqe.org.
Gestion des déchets “éclairage”
(lampes et luminaires)
La directive Européenne DEEE
- 2002/96/CE du 27/01/2003
relative aux déchets d’équipements
électriques et électroniques est entrée
en vigueur dans l’ensemble de
l’Europe le 13 août 2005.Décret
N° 2005-829 du 20 juillet 2005.
Son but est d’éviter les déchets
provenant de la mise au rebut
des équipements électriques et
électroniques et de favoriser leur
réutilisation, leur recyclage ou
d’autres formes de récupération..
Elle fixe les champs d’application
ainsi que les modalités de collecte
et de traitement de ces déchets
(financement de la fin de vie
et contrôle). Elle distingue les
lampes des luminaires, les déchets
d’usage domestique des déchets
professionnels, ainsi que les
déchets “historiques” (c’est-à-dire
vendus avant le 13 août 2005),
des déchets “nouveaux” (vendus à
partir du 13 août 2005 ).
Luminaires
• Les luminaires “à usage
domestique”, sont exclus du champ
d’application.
• Les luminaires “professionnels”
seront en revanche tous concernés ;
pour les déchets historiques, la
responsabilité du traitement des
déchets incombera au détenteur final
(comme c’est le cas actuellement) et,
pour les nouveaux produits, elle
sera traitée par contrat : soit au cas
714
par cas, soit en étant directement Limitation de certaines matières, matériaux recyclables
intégrée dans les conditions substances dangereuses et facilitation du démantèlement
générales de vente (CGV). Directive 2002/95/CE du en fin de vie).
Lampes 27/01/2003 (RoHS)
Un décret de transposition en Nuisances lumineuses
• Les lampes à incandescence sont
droit français est également Le croquis ci-dessous (extrait
exclues du champ d’application.
prévu courant 2005. Si l’on des recommandations relative à
• Tous les autres types de source exclut les sources que le Groupe l’éclairage des voies publiques
qu’elles soient à usage domestique Thorn ne produit pas, seules 2 éditées par l’AFE –juin 2002),
ou professionnel et qu’il s’agisse substances posent des problèmes détaille la distribution de
de déchets historiques ou non sont de détection et de quantification lumière dans l’espace et illustre
concernés. dans les luminaires : la présence les rayon-nements gênants ou
Un système de financement de de retardateur de flamme (cas du indésirables provoqués par
collecte et de traitement de ces gainage de fils électriques) et de l’éclairage public fonctionnel
produits en fin de vie est en cours plomb dans les câbles et dans les ou d’ambiance, le cas des
d’étude. soudures (circuits imprimés par projecteurs d’illumination ou
A compter du 13 août 2005, exemple). Les obligations liées d’usage sportif étant différent.
tous les produits d’équipement à ce texte ne seront applicables Cette prise de conscience a
électrique et électronique destinés qu’à partir du 1er juillet 2006 et amené le Groupe Thorn à
aux ménages et aux professionnels notre société ne manquera pas intégrer ces considérations dans
(lampes et luminaires inclus) mis de prendre toutes les mesures ses nouveaux développements
sur le marché devront porter le nécessaires pour s’y conformer et a eu pour conséquence
pictogramme d’une poubelle et être prête à la date prévue l’apparition de nouvelles
barrée signifiant que par le texte. Pour de plus amples générations de luminaires
le détenteur final du informations consulter : dont les optiques contrôlent
produit a l’obligation www.syndicat-eclairage.com parfaitement le flux émis pour
(professionnel ou réduire les rayonnements
ménage) d’utiliser les gênants ou inutiles.
systèmes de collecte sélective mis Eco-conception Les plus belles illustrations de
à leur disposition. Le projet définitif Une directive proposée par cette démarche se concrétisent
de décret n’étant pas connu lors la Commission européenne dans les gammes suivantes :
de l’impression de ce catalogue en 2003 est en cours de
• DECOSTREET : lanterne
(novembre 2004), ces informations préparation sur ce sujet et porte
décorative avec optique
sont susceptibles d’être modifiées et le nom (provisoire) de Directive
d’éclairage public.
ne sont données qu’à titre indicatif EuP. Le Groupe Thorn intègre
; elles ne sauraient engager la déjà dans son processus de • PLURIO : lanterne urbaine
responsabilité du Groupe Thorn qui développement des nouveaux de standing sans émission de
ne manquera pas de se conformer produits ces principes qui visent lumière vers le haut.
aux obligations liées au décret à simplifier leur conception et • Développement des glaces
définitif et à sa date d’application leur fabrication (réduction du plates qui ne génèrent pas
(prévu pour le 13 août 2005). nombre de composants et de d’émissions dans l’hémisphère
halo lumineux
3
2
6
γ
β
1 α
x
z 5
6 4
5
y
nuisance vis à
vis des humains,
des animaux et
des végétaux
C B surface A surface B surface C
1 flux total sortant du luminaire (rendement luminaire) 5 flux émis sur les surfaces des abords α + β + γ flux réfléchi par toutes les surfaces
flux émis dans l’hémisphère inférieur (DLOR) repérées « B » (volontairement ou non)
2
x + y intensité lumineuse gênante voire nuisible
3 flux émis dans l’hémisphère supérieur (ULOR) 6 flux perdu générateur de nuisances pour les animaux, les hommes et les végétaux
4 flux utile (Fu) pour éclairer à la valeur souhaitée
(spill light et obstrusive light)
3 + α + β + γ = halo lumineux partiel du ciel
la surface utile repérée « A » nocturne (sky glow)
Pour quantifier le halo lumineux, la CIE a défini dans ses publications 126 et 150 (2003) l’ULR (Upward Light Ratio) par le rapport suivant :
ULOR/(ULOR+DLOR), valeur que Thorn peut calculer dans ses logiciels d’études. Cependant, cette valeur ne prend pas en compte la totalité des nuisances
comme la réflexion des surfaces. Aussi, l’indicateur UFR (Upward Flux Ratio) vient compléter le ULR (consulter le guide AFE sur les nuisances lumineuses).
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supérieure (CIVIC, ORACLE,
JET, etc).
• CHAMPION : projecteur
de stades dont l’optique
asymétrique contrôle 100%
du flux respectant ainsi
l’environnement, les riverains,
les joueurs et les spectateurs.
Les nouvelles normes
d’éclairagisme depuis 2007
(NF EN 12464-2 et NF EN
12193 dans sa dernière version
de 2008) intègrent la notion
de lumière indésirable :
Pour préserver et mettre en
valeur l’environnement nocturne
il est nécessaire de contrôler
la lumière indésirable qui
peut causes des problèmes
physiologiques et écologiques
aux alentours et aux personnes.
Réglementation et éclairagisme
Les limites des lumières
indésirables dans les installations
d’éclairage extérieures pour
minimiser les nuisances
apportées aux gens, à la flore,
à la faune sont données dans
le tableau ci-dessous.

Maximum de lumière indésirable autorisé pour les installations d’éclairage extérieur

Lumière dans les propriétés Intensité des luminaires Lumière dans l’hémisphère supérieur
Zone
Ev lux I cd ULR
environnementale
Avant couvre feu (a) Après couvre feu Avant couvre feu Après couvre feu %
E1 2 0 2500 0 0
E2 5 1 7500 500 5
E3 10 2 10000 1000 15
E4 25 5 25000 1500 25

a) dans le cas où il n’existe pas de règle pour le couvre feu, les valeurs maximales ne doivent pas être outrepassées et il est préférable de retenir les valeurs

Lumière d’environnement
faibles comme limite.
E1 : représente des zones intrinsèquement sombres telles que les parcs nationaux ou les sites protégés,
E2 : représente des zones de faible luminosité telles que les zones industrielles, résidentielles ou rurales,
E3 : représente des zones de luminosité moyenne telles que des quartiers industriels ou résidentiels,
E4 : représente des zones de forte luminosité telles que les centres-villes et les aires commerciales,
Ev : est la valeur maximale de l’éclairement vertical dans les propriétés en lux,
I : est l’intensité lumineuse de chaque source dans la direction potentiellement indésirable en cd,
ULR : est la proportion de flux du (des) luminaire(s) qui est émise au dessus de l’horizontale, quand le (les) luminaire(s) est (sont) installé(s) dans sa (leur)
position et réglage.

Certificats d’économie d’énergie

Mis en place depuis 2006,
les certificats d’économie
d’énergie (appelés plus
communément CEE) ont pour
vocation d’inciter les fournisseurs
d’énergie à réaliser, ou faire
réaliser, des économies
d’énergie.
Ces fournisseurs (appelés les
«obligés») ont eu l’obligation
d’économiser 54 TWh pour la
première période qui commence
en 2006 pour se finir en 2009.
Le CEE est un titre délivré par
l’état
(DRIRE). Il est remis à une entreprise
en mesure de prouver qu’elle a
réduit sa consommation d’énergie.
Sa valeur s’exprime en kWh
économisés, cumulés sur la durée
de vie économique de l’installation
(kWh cumac). Les obligés peuvent
mener des actions par eux même
ou acheter des CEE à d’autres
acteurs (personnes morales)
à 1 centime d’euro du kWh.
S’ils ne parviennent pas à
économiser leur «quota» de
kWh, ils devront payer une
pénalité de 2 centimes d’euros
par kWh non économisé à
la fin de la période. Pour
simplifier la démarche, des fiches
d’«opération standardisée» ont été
élaborées. Ces fiches mentionnent le
secteur d’application, la dénomination
de l’opération, les conditions
particulières à l’obtention du CEE
et le calcul d’économie réalisées
en kWh cumac. Un exemple
d’opération standardisée : la RES-
EC 04 qui concerne l’éclairage
public et qui permet d’économiser
6400 kWh cumac pour chaque
rénovation où le luminaire installé a
des caractéristiques bien précises
(IP 55, efficacité lampe + ballast
> 70 lm/W (4ème arrêté), ULOR
<3% ou 20% pour, respectivement,
les luminaires fonctionnels et
d’ambiance)

www.thornlighting.fr 715
 Éclairagisme
Grandeurs photométriques
Flux lumineux
Energie lumineuse rayonnée par une source par unité de temps :
c’est un débit de lumière.
Cette grandeur sert principalement à qualifier photométriquement
les lampes et est exprimée en lumens (lm), c’est leur puissance de
rayonnement visible.
Intensité lumineuse
Elle qualifie le flux élémentaire émis dans une direction de l’espace
par une source quasi ponctuelle. Elle s’exprime par :
I = dF
dΩ
où dF est le flux élémentaire issu de la source quasi ponctuelle dans
l’angle solide élémentaire dΩ (cône élémentaire).
La notion d’intensité peut être imagée par un rayon lumineux
transportant une certaine énergie. Son unité, la candéla (cd),
est la base photométrique du système SI (Système International d’unités).
La connaissance de l’ensemble des intensités lumineuses émanant d’un
luminaire permet de juger sa distribution photométrique.
Éclairement
C’est la densité de lumière sur une surface. Il s’exprime par la formule :
E= F
S luminance d’une source primaire (lampe ou luminaire) et celle d’une
où F est la valeur du flux lumineux atteignant la surface et S l’aire de
cette surface réceptrice. Son unité est le lux (lx) qui représente un flux
d’un lumen atteignant une surface d’un mètre carré.
Quand la surface S est étendue, on parle d’éclairement moyen sur la
surface. Si la surface est réduite à une surface élémentaire entourant
un point la formule précédente devient :
Ep = dE
dS
où dF est le flux élémentaire émanant d’une source quasi ponctuelle et
dS l’aire élémentaire réceptrice entourant le point.
On parle alors d’éclairement ponctuel qu’on peut calculer pour une ou
un ensemble de sources quasi ponctuelles comme c’est le cas dans les
projets d’éclairage.
Cette grandeur est intéressante du fait qu’elle se mesure facilement à
l’aide d’un luxmètre et permet le contrôle des installations.
Éblouissement
Constructeurs et utilisateurs, de plus en plus sensibles aux notions de
confort, ont développé des méthodes de calcul - basées plus sur les
luminances que sur l’éclairement - permettant d’évaluer la qualité des
installations en termes de visibilité et d’éblouissement.
Applications intérieures :
L’UGR (Unified Glare Rating) ou méthode unifiée d’évaluation de
l’éblouissement est défini par une échelle allant de 10 (absence
d’éblouissement) à 30 (éblouissement intolérable).
716
Evaluation de l’éclairement
en un point
Une source ponctuelle placée à une distance d d’un point P d’une
surface plane crée un éclairement Ep dont la valeur est :
Ep = I.cos
a
d2
où a est l’angle que forme la direction SP d’où vient l’intensité lumineuse
avec la normale N en P et I l’intensité en candéla dans cette direction.
Cette formule est universelle et permet d’exprimer des éclairements
horizontaux, verticaux ou sur des plans quelconques.
Le cas particulier où le plan de calcul est horizontal est souvent retenu
pour des considérations pratiques.
L’éclairement s’exprime alors par la formule :
Ep = I.cos a
3
S
h2 N
d
α
h
I
α
P
Luminance
La luminance est une valeur permettant de caractériser la qualité de
perception visuelle d’un observateur. On considère principalement la
source secondaire (surface éclairée qui réfléchit la lumière).
Elle s’exprime comme suit :
dF
L=
dS.cosq.dΩ
La luminance au point P est le flux transmis par un faisceau
élémentaire passant par le point P et se propageant dans sa direction
dans l’angle solide dΩ. dS est l’aire de la section du faisceau en ce
point.
q est l’angle entre la normale à cette section et la direction du
faisceau. Son unité est le candela par mètre carré (cd.m-2).
Lorsque le matériau réfléchissant est diffusant (mat), la luminance
s’exprime simplement en fonction de l’éclairement
rE
L=p
où r est le facteur de réflexion diffuse.
Applications éclairage public :
Le TI (Threshold Increment) ou incrément de seuil se substitue à l’ancien
indice G en tant que critère d’optimisation d’une installation. Il définit
l’éblouissement d’incapacité causé par une installation. Exprimée par
un pourcentage, cette valeur doit être inférieure à une valeur limite qui
est le plus souvent 10 ou 15 % suivant le type de chaussée éclairée.
Applications sportives extérieures :
Le GR (Glare Rating) ou taux d’éblouissement détermine le niveau
d’éblouissement (des joueurs) ; il est principalement utilisé en football.
Le GR peut prendre des valeurs allant de 0 à 100, la valeur de 50
étant la plus communément acceptée comme la limite supérieure.
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Eclairage intérieur

Réglementation et éclairagisme
Extrait de la NF EN 12464-1

Critères relatifs au projet d’éclairage

1) Distribution des luminances 2) Éclairement et uniformité
Les luminances de toutes les surfaces sont importantes et sont Toutes les valeurs d’éclairement prescrites dans la norme (extrait
déterminées par le facteur de réflexion et par l’éclairement reçu par page 717 - 718) sont les éclairements à maintenir nécessaires pour le
ou sur les surfaces. confort et la performance visuelle. Ces éléments concernent la tâche
visuelle. Cependant, les zones environnantes immédiates (bande de
0,5 m au moins entourant la zone de travail) et la totalité de la zone
Facteur de réflexion occupée doivent être en rapport avec la zone de travail dans les
proportions ci-dessous. Dans ce tableau, on trouvera également les
uniformités mini à respecter pour chacune de ces zones.

0,6 – 0,9

Éclairement de la tâche visuelle

Eclairagisme
0,3 – 0,8

0,2 – 0,6 tâche

0,01 – 0,5
Environnement
immédiat

Cœfficients de réflexion Zone occupée

Éclairement moyen (lux)

80 % 70 % 50 % 30 % 10 % Tâche
Environnement Zone
immédiat occupée
750 500 200
500 300 200
300 200 200
< 200 E tâche 200
Facteur d’uniformité (%)
80 % 70 % 50 % 30 % 10 % 0,70 0,50 0,50

3) Éblouissement
80 % 70 % 50 % 30 % 10 % L’éblouissement est l’ensemble des conditions dans lesquelles on
éprouve une gêne ou une réduction de l’aptitude à distinguer de petits
objets. Cette sensation est produite par des surfaces brillantes dans le
champ visuel.
Il est plus particulièrement décrit par l’éblouissement d’inconfort (UGR)
80 % 70 % 50 % 30 % 10 % décrit plus précisément page 717. De plus, les sources de lumière à
forte luminosité peuvent causer de l’éblouissement. On peut éviter ce
phénomène par le défilement convenable des lampes.

80 % 70 % 50 % 30 % 10 % s s s s

Luminance de Angle minimal Exemple

lampe (kcd.m-2) de défilement (S) de lampe
< 20 pas tube T8 36W ou T5 28W
20 à < 50 15° T5 54W
50 à < 500 20°
< 500 30° Sodium 250W ou IM 150W

www.thornlighting.fr 717
 Eclairage intérieur
Extrait de la NF EN 12464-1

4) Éclairage directionnel 7) Éclairage des postes de travail avec écran

Il ne faut pas que l’éclairage soit trop directionnel (ombres très Les écrans peuvent produire des réflexions causant de l’éblouissement.
contrastées) ni trop diffus (perte de l’effet de modelé). Il faut donc prévoir l’installation d’éclairage en fonction. La norme fixe
des limites de luminances des luminaires pouvant se réfléchir dans un
écran.

5) Aspect des couleurs

Éclairage sur écrans de visualisation (valeur limite de luminance (cd.m-2) pour g ≥65°)
Il est recommandé de ne pas utiliser des lampes d’indice de rendu Valeur de limite de
Classe d’écran Qualité
luminance moyenne
des couleurs (IRC ou Ra) inférieur à 80 dans les intérieurs où les gens
I Bonne < 1000 cd.m-2
travaillent. La valeur maximale de cet indice est 100, correspondant à II Moyenne < 1000 cd.m-2
un rendu “naturel” des couleurs des objets, apportant un sentiment de III Faible < 200 cd.m-2
confort et de bien-être.

Apparence Température de
colorée couleur proximale
Chaude < 3300K
Neutre 3300K à 5300K
Froide > 5300K

Dans cette zone, les radiations rouges,

oranges ou jaunes sont en excès. g
L’ambiance lumineuse est celle d'un
éclairage irréel. trop chaud. max
Lux 15ϒ
50000

20000

10000 Dans cette zone,

l’ambiance
5000
lumineuse est
2000
confortable.

1000

500
Dans cette zone,
200
les radiations
100 bleues, bleu-vert
ou vertes sont en
50 excès. L’ambiance
est celle d'un
20
éclairage
10 crépusculaire.
trop froid.
5
1750 2000 2250 2500 3000 4000 5000 10000 K
Diagramme
de KRUITHOFF
P549 graphique zone lumineuse

6) Facteur de maintenance
Il faut étudier le projet d’éclairage avec un facteur de maintenance
global. L’éclairement requis pour chaque tâche est considéré comme à
maintenir. Autrement dit, l’auteur du projet doit spécifier le programme
d’entretien permettant de conserver cette valeur d’éclairement
considérée comme une valeur minimale pour conserver le confort et la
performance visuelle pour la tâche concernée.
On pourra se baser sur la CIE 97 qui donne des valeurs de ce facteur
en fonction de tous les paramètres ayant une incidence sur celui-ci.
Les facteurs les plus couramment utilisés seront M = 0,7 (conditions
“standards” de la CIE 97) ou 0,8 (préconisation du syndicat de
l’éclairage pour un éclairage de bureau avec des luminaires directs).

718 www.thornlighting.fr
Eclairage intérieur

Réglementation et éclairagisme
UGR : NF EN 12464-1 (Éclairage du lieu de travail intérieur)
et CIE 117-1995 (éblouissements inconfortables en éclairage intérieur)

L’UGR représente l’éblouissement d’inconfort provenant directement Exemple

des luminaires d’une installation d’éclairage intérieur. Il doit être
évalué en utilisant la méthode tabulaire d’évaluation du taux Éblouissement d’inconfort (UGR)
d’éblouissement unifié. Il est basé sur la formule :
Type luminaire : OMEGA BD60 4X18

Lb (
UGR = 8log10 0,25 S L2w
p2 ) Fabricant : THORN
Lampe(s) : 4 x POLYLUX 18W
Flux nominal : 5400 lm
où :
Lb est la luminance de fond exprimée en cd x m-2 ; Indice d’éblouissement non corrigés par rapport à un flux lum. total de 1000 lm

L est la luminance des parties lumineuses de chaque luminaire dans r-plafond 0,70 0,70 0,50 0,50 0,30 0,70 0,70 0,50 0,50 0,30
la direction de l’œil de l’observateur en cd x m-2 ; r-paroi 0,50 0,30 0,50 0,30 0,30 0,50 0,30 0,50 0,30 0,30
r-util. 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20
w est l’angle solide (stéradian) des parties lumineuses de chaque

luminaire au niveau de l’œil de l’observateur ;
p est l’indice de position de Guth pour chaque luminaire se
rapportant à la position du luminaire par rapport à l’axe visuel ;
UGR varie, en pratique, entre 10 (éblouissement imperceptible) et
30 (éblouissement intolérable). Un pas d’UGR de 1 est la plus petite
différence détectable. Un pas de 3 est un pas acceptable en termes de
critère d’évaluation du taux d’éblouissement.
H est la hauteur au-dessus du regard (soit hauteur totale moins 1,20 m).
Méthodologie :
Dans une salle de classe type de dimensions 6 m x 9 m x 2,70 m
et de facteur de réflexion 752, on a donc,
[pour H = (2,70 m – 1,20 m) = 1,50 m], des dimensions 4H x 6H.
Eclairagisme
Dimensions du local Direction de visée oblique/axe de la lampe Direction de visée parallèle à l’axe de la lampe
X Y
2h 2H 5,9 6,9 6,2 7,1 7,3 7,9 8,8 8,1 9,1 9,3
3H 5,8 6,6 6,1 6,9 7,1 7,7 8,6 8,0 8,8 9,1
4H 5,7 6,5 6,0 6,8 7,0 7,7 8,5 8,0 8,7 9,0
6H 5,6 6,4 6,0 6,7 6,9 7,5 8,3 7,9 8,6 8,9
8H 5,6 6,3 5,9 6,6 6,9 7,5 8,3 7,9 8,6 8,9
12H 5,6 6,2 5,9 6,5 6,9 7,5 8,2 7,9 8,5 8,6
4H 2H 5,8 6,6 6,1 6,9 7,1 7,7 8,5 8,0 8,8 9,0
3H 5,6 6,3 6,0 6,6 7,0 7,5 8,2 7,9 8,5 8,8
4H 5,6 6,2 5,9 6,5 6,8 7,4 8,0 7,8 8,4 8,7
6H 5,5 6,0 5,9 6,4 6,8 7,4 7,9 7,8 8,3 8,6
8H 5,4 5,9 5,9 6,3 6,7 7,3 7,8 7,7 8,2 8,6
12H 5,4 5,8 5,8 6,2 6,7 7,3 7,7 7,7 8,1 8,6
8H 4H 5,4 5,9 5,9 6,3 6,7 7,3 7,8 7,7 8,2 8,6
6H 5,3 5,8 5,8 6,2 6,6 7,2 7,6 7,7 8,1 8,5
8H 5,3 5,7 5,8 6,1 6,6 7,2 7,5 7,7 8,0 8,5
12H 5,3 5,6 5,7 6,0 6,5 7,1 7,5 7,6 7,9 8,4

On lit la valeur non corrigée directement, grâce à la connaissance de

ces deux informations. A cette valeur, on ajoute la valeur supérieure
de correction pour un espacement entre luminaires de 1 x H,
pour pouvoir se mettre dans les conditions qui ont permis de donner
la valeurs limites (voir tableau ci-après). A cela, il faut encore ajouter
la correction de flux (les valeurs non corrigées sont données pour
1000 lm de la ou des lampes).
Dans notre exemple UGR = 7,4 + 2,3, + 5,9 = 15,6
12H 4H 5,4 5,8 5,8 6,2 6,7 7,3 7,7 7,7 8,1 8,6
6H 5,3 5,7 5,8 6,1 6,6 7,2 7,5 7,7 8,0 8,5
8H 5,3 5,6 5,7 6,0 6,5 7,1 7,5 7,6 7,9 8,4
Variation de position de l’observateur avec les distances des luminaires
S = 1,0H +3,2 / -14,9 +2,3 / -14,9
1,5H +5,0 / -21,1 +3,6 / -24,5
2,0H +7,0 / -25,9 +5,6 / -32,9

On peut donc affirmer que ce luminaire peut être utilisé dans les
conditions de confort les plus rigoureuses pour une salle de classe
(UGR <16 correspondant à une salle de dessin industriel, le reste des
locaux scolaires demandant habituellement seulement un UGR <19).
Tableau standard BK00 BK00
Correction -14,4 -12,5
Correction flux lumineux nominal 5400 lm = 5,9 = 8 log (flux total/1000)

Éclairement moyen à maintenir sur la surface de référence

Type d’intérieur, tâche ou activité Em lx UGRL Ra Type d’intérieur, tâche ou activité Em lx UGRL Ra

Bureaux Salles de repos, d’installations sanitaire et de premier secours

Classement, transcription 300 19 80 Cantines 200 22 80
Écriture, dactylographie, lecture, traitement de données 500 19 80 Salles de repos 100 22 80
Dessin industriel 750 16 80 Salles d’exercices physiques 300 22 80
Poste de travail de conception assistée par ordinateur 500 19 80 Vestaires, lavabos, salles de bains, toilettes 200 25 80
Salle de conférence et de réunion 500 19 80 Infirmerie 500 19 80
Réception 300 22 80 Salles de soins 500 16 90
Archives 200 25 80 Salles de commandes ou de contrôle
Zones de circulations Salles des matériels, salle de commutation ou distribution 200 25 60
Zones de circulation et couloirs 100 28 40 Télex, local courrier, tableau de distribution (standards) 500 19 80
Escaliers, escaliers roulants, tapis roulants 150 25 40 Entrepôts / entrepôts réfrigérés
Quais de chargement 150 25 40 Magasins et entrepôts 100 25 60
Zones de manutention, d’emballage et d’expédition 300 25 60

www.thornlighting.fr 719
 Eclairage intérieur
UGR : NF EN 12464-1 (Éclairage du lieu de travail intérieur)
et CIE 117-1995 (éblouissements inconfortables en éclairage intérieur)

Éclairement moyen à maintenir sur la surface de référence (suite)

Type d’intérieur, tâche ou activité Em lx UGRL Ra Type d’intérieur, tâche ou activité Em lx UGRL Ra

Zones de rangement en rayonnage Bâtiments scolaires (suite)

Allées centrales non occupées 20 - 40 Halls d’entrée 200 22 80
Allées centrales occupées 150 22 60 Zones de circulation, couloirs 100 25 80

Station de commande ou de contrôle 150 22 60 Escaliers 150 25 80

Magasins de vente au détail Salles communes pour les étudiants et salles de réunion 200 22 80

Zones de ventes 300 22 80 Salles des professeurs 300 19 80

Zones de caisses 500 19 80 Bibliothèque : rayonnages 200 19 80

Bibliothèque : salles de lecture 500 19 80
Tables d’emballage 500 19 80
Réserves pour le matériel des professeurs 100 25 80
Espaces communs
Cantines scolaires 200 22 80
Halls d’entrée 100 22 80
Cuisines 500 22 80
Vestiaires 200 25 80
Établissements de santé, salles à usage général
Promenoirs 200 22 80
Salles d’attentes 200 22 80
Guichets 300 22 80
Couloirs pendant le jour 200 22 80
Restaurants et hôtels
Couloirs pendant la nuit 50 22 80
Réception, caisse, concierge 300 22 80
Salles de jour 200 22 80
Cuisines 500 22 80
Salles réservées au personnel
Restaurants, salles à manger, salles de fonction - - 80
Bureaux du personnel 500 19 80
Restaurant libre service 200 22 80
Salles de détente 300 19 80
Buffet 300 22 80
Chambres de malade, de maternité
Salles de conférence 500 19 80 Éclairage général 100 19 80
Couloirs 100 22 80 Éclairage de lecture 300 19 80
Foires, halls d’expositions Examens simple 300 19 80
Éclairage général 300 22 80 Examens de traitements 1000 19 90
Bibliothèques Éclairage de nuit, éclairage de surveillance 5 - 80
Rayonnage 200 19 80 Salles de bains, toilettes pour les patients 200 22 80
Salles de lecture 500 19 80 Salles d’examens (général)
Postes de service au public 500 19 80 Éclairage général 500 19 90
Parcs de stationnement de voitures (couverts) Examen et traitement 1000 19 90
Rampes d’entrée et de sortie (de jour) 300 25 20 Cabinets dentaires

Rampes d’entrée et de sortie (de nuit) 75 25 20 Éclairage général 500 19 90

Voies de circulation 75 25 20 Sur le patient 1000 - 90

Places de stationnement 75 - 20 Cavité opératoire 5000 - 90

Salles d’encaissement 300 19 80 Appariement à la couleur des dents 5000 - 90

Écoles maternelles, garderies Laboratoires et pharmacies

Éclairage général 500 19 80
Salles de jeux 300 19 80
Contrôle des couleurs 1000 19 60
Crèches 300 19 80
Salles de décontamination
Salles de travaux manuels 300 19 80
Salles de stérilisation 300 22 80
Bâtiments scolaires
Salles de décontamination 300 22 80
Salles de classe en primaire et secondaire 300 19 80
Salles d’autopsie et morgues
Salles de classe pour les cours du soir et 500 19 80
Éclairage général 500 19 90
enseignement aux adultes
Table d’autopsie et table de dissection 5000 - 90
Salles de conférence 500 19 80
Orfèvrerie / joaillerie
Tableau noir 500 19 80
Travail des pierres précieuses 1500 16 90
Table de démonstrations 500 19 80
Confection des bijoux 1000 16 90
Salles d’art 500 19 80
Fabrication manuelle des montres 1500 16 80
Salles d’art dans les écoles des Beaux-Arts 750 19 80 Fabrication automatique des montres 500 19 80
Salles de dessin industriel 750 16 80 Aéroports
Salles de travaux pratiques et laboratoires 500 19 80 Halls d’arrivée et de départ, zones de livraison des bagages 200 22 80
Salles de travaux manuels 500 19 80 Zones de correspondance, escaliers mécaniques, tapis roulants 150 22 80
Ateliers d’enseignement 500 19 80 Comptoirs d’information, comptoirs d’enregistrement 500 19 80
Salles de pratique musicale 300 19 80 Comptoirs des douanes et postes de contrôle des passeports 500 19 80
Salles de pratique informatique (à commander par menu) 300 19 80 Zones d’attente 200 22 80
Laboratoires de langues 300 19 80 Salles de livraison des bagages 200 19 80
Ateliers et salles de préparations 500 22 80 Zones de contrôle et de sécurité 300 19 80

720 www.thornlighting.fr
Eclairage public

Réglementation et éclairagisme
Norme européenne NF EN 13201
Cette norme est applicable dès maintenant et se décompose comme suit :
13201-1 : Sélection des classes d’éclairage (non normative)
13201-2 : Exigences de performances
13201-3 : Calcul des performances (Méthodes de calcul et maillages)
13201-4 : Méthodes de mesure des performances photométriques

Une partie 5 est à l’étude donnant des critères énergétiques de référence en W/m²/lux ou W/m²/cd/m²

Comment utiliser cette nouvelle norme ?

Exemple de la partie RT (rapport technique) EN 13201-1 : les classes d’éclairage

Classification des situations d’éclairage

Vitesse typique
de l’usager principal
Type d’usager dans la zone d’étude
Groupe de situation d’éclairage
Type d‘usager principal Autre type d’usager admis Types d’usager exclus
Véhicules lents
Cyclistes A1
Piétons

Eclairagisme
Cyclistes
> 60 Trafic motorisé Véhicules lents A2
Piétons

Véhicules lents
Cyclistes A3
Piétons

Cyclistes
> 30 et <=60 B1
Piétons

Trafic motorisé
Piétons B2
Véhicules lents

Trafic motorisé
Véhicules lents
Cyclistes

Dans le cas d’une situation d’éclairage de groupe A1, par exemple, un second tableau doit être consulté afin de définir les plages d’éclairage
recommandées.

Situations d’éclairage type - Groupe A1

Tableau A1 – Plage des classes d’éclairage recommandées

Conditions
Séparation Ecoulement du trafic de véhicules en nombre
atmosphériques Type de croisement
des chaussées de véhicules par jour
principales
Echangeur Intersection < 15000 15000 < à < 25000 > 25000
Espacements entre
Densité
échangeurs, distance entre
d’intersections
ouvrages km
Intersections/km 0 0 0
>3 ME5 ME4a ME3a ME4a ME3a ME2 ME4a ME3a ME2
3 ME4a ME3a ME2 ME4a ME3a ME2 ME3a ME2 ME1
Oui
<3 ME5a ME4a ME3a ME5a ME4a ME3a ME4a ME3a ME2
3 ME4a ME4a ME3a ME4a ME3a ME2 ME3a ME2 ME1
Sec
>3 ME4a ME3a ME2 ME3a ME2 ME1 ME3a ME2 ME1
3 ME3a ME2 ME1 ME3a ME2 ME1 ME2 ME2 ME1
Non
<3 ME4a ME4a ME3a ME4a ME3a ME2 ME3a ME2 ME1
3 ME4a ME3a ME2 ME3a ME2 ME1 ME2 ME2 ME1

Tableau A2 - Sélection recommandée dans la plage appropriée

Complexité Difficulté de la tâche

Zone de conflit Niveau lumineux ambiant
du champ visuel de navigation

Faible Moyen Elevé

Non Normale 0
Normale
Supérieure à la normale 0 0
Normale 0
Elevée
Supérieure à la normale 0
Oui 2

² pour les zones de conflit, la luminance constitue le critère recommandé. Toutefois, lorsque les distances de perception sont courtes ou que d’autres facteurs s’opposent à l’utilisation du critère de
luminance, il est possible de se baser sur l’éclairement. Le tableau 3 indique des classes CE comparables aux classes ME recommandées.

www.thornlighting.fr 721
 Eclairage public

Il est bon de savoir, cependant, que l’AFE (Association Française de l’Eclairage), dans ses dernières recommandations, parues en 2002, s’appuyait
déjà très largement sur cette norme.

Valeurs photométriques recommandées à maintenir selon les

recommandations de l’Association Française de l’Eclairage,
avec équivalences à la NF EN 13201-1
Type
Sections courantes - Concept de luminance (1)
Équivalence Concept d’éclairement (1)

NF EN 13201-1
Usagers Situations d’éclairage Exigence Lmoy UOL ≥ UI ≥ TI ≤ Situations d’éclairage Exigence Emoy UOE≥ Emin≥
ROUTIER

Motorisés seuls
Autoroute, route express,
voie rapide urbaine,
rocade, pénétrante { Forte
Moyenne
Faible
2
1,5
1
0,4
0,4
0,4
0,7
0,7
0,7
10
10
15
ME1
ME2
ME3a

Motorisés,
cyclistes piétons

URBAIN
Artère interurbaine,
route principale,
route secondaire { Forte
Moyenne
Faible
1,5
1
0,75
0,4
0,4
0,4
0,7
0,7
0,6
10
15
15
ME2
ME3a
ME4a
Aires aménagées :
aire de repos,
aire de service { Forte
Faible
20
10
0,4

Motorisés,
cyclistes piétons
Boulevard, avenue, rue,
voie résidentielle,
traversée d’agglomération { Forte
Moyenne
Faible
1,5
1
0,75
0,4
0,4
0,4
0,7
0,7
0,6
10
15
15
ME2
ME3a
ME4a
Zones de conflit :
carrefour aménagé
giratoire, place { Forte
Moyenne
Faible
40
30
20
0,4

{ {
Aire de Forte 15 3
Dans ces espaces, stationnement Faible 7,5 1,5
Priorité piétons Petite rue, ruelle, place le concept de luminance n’est pas
retenu Espace
piétonnier { Forte
Faible
(1) Si l’un des paramètres est modifié lors de l’exploitation, il est du ressort du maître d’ouvrage de faire évoluer son choix dans les limites des valeurs retenues dans ce tableau.
15
10
0,4
3

Nota : La norme demande en plus, dans tous les cas, un SR minimum de 0,5.

Méthode du rapport
Nature de la chaussée Rapport 0 La méthode du rapport permet de déterminer le flux de lampe nécessaire pour atteindre le niveau moyen
Enrobés clairs 7 de luminance à maintenir requis (tableau ci-dessus), et de là, l’éclairement moyen initial :᠂
Bétons 10
Enrobés moyens 14 Type d’implantation Flux lumineux à installer (lm) Éclairement moyen initial (lx)
Enrobés sombres 18
Unilatérale
Lmoy. .l.e Fla.u
Bilatérale - quinconce Ft = Fla = Emi =
M.u l.e
Axiale - rétro-bilatérale

Lmoy. .l.e Fla.u

Bilatérale vis à vis Ft = 2Fla = Emi = 2
M.u l.e

Lmoy = luminance moyenne sur la chaussée

(valeur à maintenir obtenue dans le tableau précédent) l = largeur de la chaussée Ft = Flux lumineux total Fla = Flux lumineux de la lampe
e = espacement entre 2 foyers M = facteur de maintenance Emi = Éclairement moyen initial
u = facteur d’utilisation (u = 0,45 pour des lanternes fonctionnelles modernes et sans autre information)

Implantations types IMPlANTATIoNS TYPES

Unilatérale Bilatérale Rétrobilatérale Axiale

Vis à vis quinconce dos à dos

e e e e

l l l l l l

h ≥1 h≥1 h ≥1 h ≥1 h ≥1
l l 2 l l l
e = 3,5 à 4 h e = 3,5 à 4 h e < 3,2 h e = 3,5 à 4 h e = 3,5 à 4 h

722 www.thornlighting.fr
Eclairage sportif

Réglementation et éclairagisme
Extrait de la NF EN 12193 et des règlements de fédérations

Dans le tableau ci-après, on peut trouver les éclairements moyens horizontaux à la mise en service, en lux, demandés par la plupart des
fédérations sportives nationales. Elles sont extraites des règlements fédéraux et sont donc des valeurs à respecter impérativement
si l’on souhaite une homologation. Elles sont définies sur des semis spécifiques à chacun des sports concernés.

Fédérations sportives : Eclairements moyens à la mise en service

Discipline Eclairement Discipline Eclairement

horizontal (lux) horizontal (lux)

Athlétisme entraînement 200 Football entraînement économique 100 (2)

Athlétisme compétition nationale et régionale 250 à0625 Football entraînement normal 150 (2)

Athlétisme compétition internationale 1000 Football catégorie E5 150

Basket, Handball, Tennis, Volley, Badminton Football catégorie E4 250

Projets types sportifs

Brochure ministérielle) Football catégorie E3 400

Entraînement 300 Football catégorie E2 (3) 1000

Compétition nationale et régionale De 500 à 1000 (1) Football catégorie E1 (3) 1250

Compétition internationale De 1000 à 1500 (1) Judo entraînement 600

Boulodrome entraînement 300 Judo compétition nationale et régionale De 1100 à 1300 (1)

Boulodrome compétition 600 Judo compétition internationale De 1100 à 1300 (1)

Escrime compétition nationale et régionale 500 Squash entraînement 600

Escrime compétition internationale 800 Squash compétition 1000

Tennis de table entraînement 500

Tennis de table compétition 800

Les uniformités (Emini / Emoyen) à respecter doivent être généralement supérieures à 0,7 pour tous les sports.
(1) Valeurs liées au niveau de compétition : se reporter aux règles d’homologation fédérale.
(2) Non définie par la fédération.
(3) Il faut, de plus, avoir un éclairement vertical moyen compris entre 0,5 et 2 fois l’Eclairement horizontal moyen.

Boulodrome à Macon (71). © P. Crouzet

www.thornlighting.fr 723
 Eclairage sportif
Extrait de la NF EN 12193 et des règlements de fédérations

En l’absence de règlement fédéral, il convient de se référer à la norme Les valeurs sont données “à maintenir” avec une valeur du facteur
européenne en vigueur (l’AFE va prochainement faire paraître un guide de maintenance qui peut être prise par défaut à 0,8 s’il n’y a pas
d’application de cette norme) concernant l’éclairage des installations de valeur agréée entre le projeteur Niveau de Classe
sportives : la NF EN 12193, mise à jour en mars 2002 et qui a le statut et le demandeur. compétition d’éclairage
de norme française depuis cette date. Elle fixe les niveaux d’éclairement La norme a fixé 3 classes I II III
mais aussi le Ra (IRC) minimum des sources à employer ainsi que d’éclairage rendant compte des International et National *
le GR (taux d’éblouissement) à ne pas dépasser pour chaque sport différents niveaux de pratique Régional * *
Local * * *
répertorié dans cet ouvrage. Pour les valeurs d’éclairement, la norme du sport.
Entraînement * *
s’appuie sur un maillage régulier de points de calcul et de mesure Loisirs/Sports scolaires *
défini par un pas p = 0, 2 x 5 log d où d est la plus grande dimension (Éducation physique)
de l’aire de référence. La maille doit être définie de manière à avoir
Exemple d’un tableau des exigences de la norme : hockey sur gazon
un rapport longueur/largeur proche de 1.
Aire de Nombre de points
Extérieur
référence du maillage
Point de calcul Pw : Pas dans la largeur
Longueur (m) Largeur (m) Longueur Largeur
Point mesure et de calcul Pl : Pas dans la longueur
Hockey : aire principale 91,4 88 19 11
Éclairement horizontal indice
Pw
Classe GR de rendu
E moy (lux) E min/E moy des couleurs

I 500 0,7 50 60
II 200 0,7 50 60
III 200 0,7 55 20

Eclairements verticaux
Pour les hauts niveaux de compétition et en cas de retransmission
télévisée, il est nécessaire de calculer les éclairements verticaux, c’est
Pl
à dire sur des points orientés vers les lignes de jeu ou bien vers la caméra
d
lorsque sa position est fixée. Les points verticaux sont utilisés pour simuler
la lumière arrivant sur le corps d’un sportif. La plupart du temps,
les niveaux d’éclairement sont définis par rapport aux exigences
des caméras de TV couleur.
Norme NF EN 12193 : Eclairements moyens à maintenir
Discipline Eclairement Type de calcul
De fait, dans la norme, les sports sont classés en 3 groupes caractérisés
(lux) d’éclairement par la vitesse de l’action pendant la prise de vue de la caméra et de
Hockey sur glace I 750 la taille de l’objet (souvent une balle). A titre d’exemple, le football,
(intérieur, extérieur) II 500 horizontal ainsi que les sports du type basket, hand et volley, sont dans le groupe
Patinoire III 300 B alors que le squash, plus rapide, est dans le groupe C.
Escrime I 500 Le graphique ci-dessous donne les niveaux d’éclairement verticaux en
(Intérieur) II 300 vertical fonction de la distance de tir maximale des caméras et du groupe de
III 200
télévision du sport concerné.
Arts martiaux, lutte I 750
Cyclisme, sports scolaires II 500 horizontal E/lx 1600

(Intérieur) III 200 1400

Gymnastique, Patinage de vitesse I 750

1200
Sports équestres II 500 horizontal
C
(intérieur) III 300 1000
B
Natation (intérieur, extérieur) I 500 800

Course II 300 horizontal A

600
Water polo III 200
400
Bowling I 200
Tir à l’arc, Tir aux armes à feu II 200 horizontal 200

(intérieur) III 200

0
Bowling I 500 0 25 50 75 100 125 150 175 200
d/m
(intérieur) II 500 vertical
III 500
Le GR (CIE 112 – 1994 )
Cible 25 m 50 m
Tir à l’arc, Tir aux armes à feu I 1000 2000
Le GR (Glare Rating) est utilisé en éclairage extérieur des sports et
vertical
(intérieur) II 1000 2000 des grands espaces. Il représente l’éblouissement constaté à l’intérieur
III 1000 2000 ou très près de la zone éclairée mais ne tient pas compte de l’effet
Ring de boxe I 2000 de la lumière répandue au-delà de cette zone. De plus, la validité du
Eclairements verticaux > 50 % Eh II 1000 horizontal système est limité aux directions de vue au dessous du niveau de l’œil,
III 500 autrement dit, il n’est pas question de calculer l’éblouissement d’un
Billard I 750 observateur regardant vers le haut, en particulier vers les projecteurs.
II 500 horizontal
III 500 Lvl
GR = 27 + 24.log 0,9
Sports équestres I 500 Lve
Patinage de vitesse II 200 horizontal
Où Lvl est la luminance de voile équivalente produite par les luminaires
(extérieur) III 100
sur l’œil de l’observateur Et Lve la luminance de voile équivalente
Les uniformités (Emini / Emoyen ) à respecter doivent être généralement supérieures à 0,7
pour tous les sports en classe I et II et 0,5 pour la classe III. De même, l’IRC doit être au moins
produite par l’environnement devant l’observateur.
égal à 60 pour les classes I et II et supérieur à 20 pour la classe III. L’échelle varie entre 10 (éblouissement imperceptible) et 90
(éblouissement intolérable). La valeur de 50 est communément admise
comme étant la limite juste admissible de cet éblouissement.

724 www.thornlighting.fr
Terrain de Football

Réglementation et éclairagisme
2 x 2 mâts

Projets types sportifs

rt
dépo

Recu
l

m
68 105
m

rt
Aire de jeu : Football 105 x 68 m. dépo Point de calcul
Recu
l
Semis FFF : 25 points au sol.

terrain de football haut

Hauteur Uniformité
Nbre total Recul/ Départ/ E moyen Emini/
Catégorie Lampes moyenne Emin/
projecteurs touche but (lux) Emax
de feu Emoy
Mundial MHN-LA
Entrainement 100 lux MHN-LA 2000W 12 16 m 6m 17 m 136 0,83 0,64
Entrainement 100 lux MHN-LA 2000W 12 18 m 6m 17 m 137 0,83 0,65
Compétition régionale E5 MHN-LA 2000W 16 18 m 6m 18 m 192 0,85 0,74
Compétition nationale E4 MHN-LA 2000W 24 22 m 6m 18 m 279 0,91 0,80
Compétion nationale E3 MHN-LA 2000W 36 22 m 6m 18 m 429 0,93 0,81

Champion* HQI-TS arc long

Entrainement 100 lux HQI-TS 2000W/N/L 8 18 m 4m 15 m 100 0,74 0,55
Compétition régionale E5 HQI-TS 2000W/N/L 12 18 m 4m 17 m 163 0,83 0,63
Compétition nationale E4 HQI-TS 2000W/N/L 20 22 m 8m 18 m 272 0,80 0,68
* Pour les herses équipés de nombreux projecteurs, nous consulter.

www.thornlighting.fr 725
 Court de Tennis simple - Extérieur

2 x 2 mâts

Re
cu
l

10
,9
7 déport
m

m
23,77
Re
cu
l déport
Point de calcul

Aire de jeu : Tennis 23,77 x 10,97 m.

Semis FFT : 10 points au sol + 3 points sur le filet.

Court de tennis exterieur simple

Hauteur Recul/ Uniformité

Nbre total Départ/ E moyen
Catégorie Lampes moyenne ligne de Emin/
projecteurs fond (lux)
de feu double Emoy
Jaguar
Entrainement 300 lux HPI-T 400W (1)
8 10 m 3,5 m 4,25 m 314 0,82
Entrainement 300 lux SHP-T 400W 8 10 m 3,5 m 4,25 m 411 0,79
Compétition 600 lux HPI-T 400W (1)
16 10 m 3,5 m 4,25 m 628 0,82
Compétition 600 lux SHP-T 400W (2)
12 10 m 3,5 m 4,25 m 616 0,79

Troïka
Entrainement 300 lux HPI-T 400W 12 9m 3,5 m 4m 310 0,85

Mundial
Entrainement 300 lux HPI-T 1000W 4 10 m 3,5 m 3,6 m 351 0,82
Compétition 600 lux HPI-T 1000W 8 10 m 3,5 m 3,5 m 701 0,83

(1) Lampe sur ballast mercure.

(2) Attention : Ra < 65 (NF EN 12193 Éclairages des installations sportives).

726 www.thornlighting.fr
Courts de Tennis jumelés - Extérieur

Réglementation et éclairagisme
2 x 2 mâts

Projets types sportifs

Re
cu
l

10
,9
7
m

7
m

déport
10
,9
7
m

rt m
Re dépo 23,77
cu
Aire de jeu : Tennis 23,77 x 10,97 m. l

Semis FFT : 10 points au sol + 3 points sur le filet.

Point de calcul

Court de tennis exterieur double

Hauteur Recul/ Uniformité

Nbre total Départ/ E moyen
Catégorie Lampes moyenne ligne de Emin/
projecteurs fond (lux)
de feu double Emoy
Troïka
Entrainement 300 lux SHP XL-T 600W 12 12 m 3,5 m 4,25 m 410 0,75

Mundial
Entrainement 300 lux HPI-T 1000W 8 12 m 3,5 m 4m 362 0,81
Entrainement 300 lux SHP-T 1000W 4 12 m 3,5 m 4,3 m 372 0,76
Compétition 600 lux HPI-T 1000W 16 12 m 3,5 m 4m 724 0,81

Champion HQI-TS arc long

Entrainement 300 lux HQI-TS 2000W/N/L 4 12 m 3,5 m 3,25 m 397 0,81
Compétition 600 lux HQI-TS 2000W/N/L 8 12 m 3,5 m 3,25 m 794 0,81

www.thornlighting.fr 727
 Courts de Tennis simple - Intérieur

10
,97 7m
m 23,7

Point de calcul

Aire de jeu : Tennis 23,77 x 10,97 m.

Salle : 36 x 18 m.
Semis FFT : 10 points au sol + 3 points sur le filet.

Court de tennis exterieur simple

Recul/
Nbre total Hauteur E moyen Uniformité
Catégorie Lampes ligne de
projecteurs d’installation (lux) Emin/Emoy
double
DGA + GP
Compétition 500 lux SHP-T 400W (2)
14 7m 3,5 m 554 0,97
Compétition 500 lux HPI-T 400W (1)
20 7m 3,5 m 556 0,96
Compétition 500 lux SHP-T + HPI-T 400W (2)
20 7m 3,5 m 690 0,94
Haute compétition 800 lux HPI-T 400W (1)
30 7m 3,5 m 837 0,95
Haute compétition 800 lux SHP-T + HPI-T 400W (2) 28 7m 3,5 m 949 0,98

Sporting
Compétition 500 lux (2 tubes allumés) T8 3x58W 40 7m 0m 556 0,90
Haute compétition 800 lux (3 tubes allumés) T8 3x58W 40 7m 0m 834 0,90

Match + GP
Compétition 500 lux T8 3x58W 46 7m 0m 549 0,90
T8 3x58W 44
Haute compétition 800 lux + + 7m 0m 877 0,88
T8 2x58W 40

Titus
Compétition 500 lux T5 4x49W 30 7m 0m 532 0,90
Haute compétition 800 lux T5 4x54W 44 7m 0m 830 0,89

(1) Lampe sur ballast mercure.

(2) Attention Ra < 65 (NF EN 12193 : Eclairage des installations sportives).

728 www.thornlighting.fr
Salles polyvalentes

Réglementation et éclairagisme
h

Aire de jeu :

Projets types sportifs

Hand-ball 40 x 20 m.
Salle : 44 x 22 m.
20
Semis FFHB : 13 points à 1 m m
40 m
ancien semis AFE : 25 points au sol.
Semis choisi pour ses dimensions couvrant
Point de calcul FFhB
la totalité de la salle polyvalente.
Pour tout autre sport, nous consulter

Recul/
Nbre total Hauteur E moyen Uniformité
Catégorie Lampes avancée/
projecteurs d’installation (lux) Emin/Emoy
ligne de touche
DGA + GP Recul
Compétition 500 lux - FFHB SHP-T 400W (2) 24 7m 1m 570 0,80
Compétition 500 lux - AFE (1) - - - - 515 0,86
Compétition 500 lux - FFHB HPI-T 400W (3) 36 7m 1m 577 0,77
Compétition 500 lux - AFE (1) - - - - 530 0,90
Compétition 500 lux - FFHB SHP-T + HPI-T 400W (2) 28 7m 1m 596 0,78
Compétition 500 lux - AFE (1) - - - - 504 0,88
Haute compétition 800 lux - FFHB HPI-T 400W (3) 58 7m 1m 890 0,76
Haute compétition 800 lux - AFE (1) - - - - 817 0,93
Haute compétition 800 lux - FFHB SHP-T + HPI-T 400W(2) 48 7m 1m 918 0,79
Haute compétition 800 lux - AFE (1) - - - - 827 0,88

Lopak + Glace ( IM ) / + Grille ( SHP ) Avancée

Compétition 500 lux - FFHB SHP-T 400W (2) 26 7m 3m 553 0,86
Compétition 500 lux - AFE (1) - - - - 512 0,86
Compétition 500 lux - FFHB HPI-T 400W (3) 34 7m 3m 544 0,89
Compétition 500 lux - AFE (1) - - - - 516 0,84
Haute compétition 800 lux - FFHB HPI-T 400W (3) 56 7m 2,75 m 881 0,91
Haute compétition 800 lux - AFE (1) - - - - 834 0,85

Sporting Avancée
Compétition 500 lux - FFHB T8 3x58W 66 7m 4,1 m 537 0,80
Compétition 500 lux - AFE (1) - - - - 568 0,77
Haute compétition 800 lux - FFHB T8 3x58W 100 7m 1m / 7,1m 891 0,82
Haute compétition 800 lux - AFE (1) - - - - 823 0,81

Match + GP Avancée
Compétition 500 lux - FFHB T8 3x58W 80 7m 3,4 m 552 0,76
Compétition 500 lux - AFE (1) - - - - 521 0,80
Haute compétition 800 lux - FFHB T8 3x58W 128 7m 1 m / 5,9 m 857 0,86
Haute compétition 800 lux - AFE (1) - - - - 815 0,81

Titus Avancée
Compétition 500 lux -FFHB T5 4x49W 56 7m 3,8 m 553 0,80
Compétition 500 lux - AFE (1) - - - - 529 0,79
Haute compétition 800 lux - FFHB T5 4x54W 88 7m 3,9 m 863 0,78
Haute compétition 800 lux - AFE (1) - - - - 829 0,77

Troïka Recul
Compétition 500 lux - FFHB HPI-T 400W (3)
38 7m 1m 537 0,76
Compétition 500 lux - AFE (1) - - - - 508 0,74
Haute compétition 800 lux - FFHB HPI-T 400W (3)
60 7m 1m 844 0,77
Haute compétition 800 lux - AFE (1) - - - - 809 0,71

(1) Le semis AFE est donné à titre d’information.

(2) Attention : Ra < 65 (NF EN 12193. Éclairage des installations sportives.
(3) Lampe sur ballast mercure.

www.thornlighting.fr 729
 Index produits

4655 105 Chalice LV 555

Chalice LV - kits 556
A Chalice MV 554
Accessoires AquaForce et X-Force 476 Champion 246
Accessoires de suspensions 339 Chartor 104
Adélie 132 Cimi 380
Alu-Bay 492 Cinqueline 343
Alumet 136 Cinqueline SR 344
Amazon 119/594 Civic 214
Amigo 330 Coffrets de connexion 676
Appliques fonctionnelles : guide 374 ColdForce 468
AquaForce II 474 Concavia L 488
Areaflood 22 Concavia S 486
Areaflood 15 240 Concavia XL 490
Areaflood 40 241 Concept 115
Areaflood 7 239 Consoles 273
Arrowslim T5 435 Contrast 70
Avanti - applique 604 Contrast C 74
Avanti - lampadaire 591 Contrast C Extensif 80
Avanti - plafonnier 637 Contrast C Sportif 245
Avenue Déco 146 Contrast C Street 231
Avenue Déco - applique 111 Contrast LED 19
Avenue Déco - borne 97 Contrast MiniPinspot 73
Avenue F 150 Contrast Pinspot 72
Avenue F - applique 110 Contrast R 77
Avenue F/FM/Déco/XL 280 Contrast Spectra 81
Avenue Virtual 144 Contrast Spectra C 1 83
Avenue XL 148 Contrast Spectra C 2 84
Aviso 134 Corniche 88
CorrosionForce 465
B Crosses Decostreet 288
Band 86 Crosses et fûts 272
Band Intensive 85 Cruz 520
Bankett 622 Cruz - accessoires 536
Basalt 103 Cruz 115 531
Bat II 436 Cruz 160 532
BBC 581 Cruz 160 534
Bergame 610 Cruz 205 524
Bornoval 102 Cruz 210 535
Cruz 240 526
C Cruz 240 - Lèche-mur 528
CA 500 227 Cruz 280 529
CA 5000 226 Cruz Gyro 533
Cabas3 504 Cruz versions lampes horizontales dont “faible hauteur” 523
Caducee 390 Cruz versions lampes verticales 530
Candélabres en fontes 274 Cube 180
Capitale 20
Cash 438 D
Celest 225 Danube 124/644
Cesar 66 Decostreet 199
Cetus 544 Decostreet Europa 202
Chalice 190 - accessoires 540 Decostreet LB60 203
Chalice 190 - lampes à décharge 543 Déco Classique 284
Chalice 190 - plafonnier 542 Déco fonctionnel 296
Chalice 190 H/V 538 Déco Modern 282

730 www.thornlighting.fr
 Index produits
DGA 25 516 J
Diffundi 338 Jaguar 244
Disco - applique 600 Jalon 52
Disco - plafonnier 639 Jardin 183
Duoproof 396 Jet 220
Dyana 188 Johanna 160
Johanna - borne 101,
E Jupiter II 324
E/Fact 36
E/Fact LED 33 K
E/Fact Slim 30 Kit iodure métallique 25
Eclairage des fontaines 56
ECP 400 L
Ellipsis 619 L’éclairage “automobile” 495
EP 120 174 L’éclairage “hospitalier” 385
EP 130 175 L’éclairage “sportif” 507
EP 145 176 Lagon 378
EyeKon 25 Lampes aux halogènes 681
Lampes aux iodures métalliques à brûleur céramique 695
F Lampes aux iodures métalliques à brûleur quartz 698
Fata Morgana - lampadaire 588 Lampes à décharge 691
Fata Morgana - plafonnier 634 Lampes à incandescence 680
Fata Morgana - suspension 618 Lampes à vapeur de mercure 691
Folio 603 Lampes fluorescentes compactes 688
Fosses à projecteurs 92 Lampes sodium haute pression 692
Freesia 195 LCP 230
Legend Classic 140
G Legend Intro 138
Gamma Basique 166 Legend Modern 142
Gamma Modern 168 Lemnis 192
Garbo - applique 601 Leopard 127/652
Garbo - applique indirecte 602 Les appareillages 655
Garbo - plafonnier 641 Les appareillages pour lampes aux halogènes - TBT 662
Garbo - suspension 629 Les appareillages pour lampes à décharge 666
Gino - applique 598 Les appareillages pour lampes fluorescentes 656
Gino - lampadaire / lampe à poser 589 Les appliques 107
Gino - plafonnier 636 Les appliques “cuisine et salles de bain” 373
Gino - suspension 623 Les appliques décoratives 593
Gino Chandelier 624 Les armatures industrielles 481
Glacier II 626 Les bornes 95
Gotthard 258 Les Bouquets 276
Graffiti L 576 Les encastrés de sol 27
Graffiti M 574 Les encastrés décoratifs 519
Graffiti S 572 Les encastrés direct/indirect 359
Guide de compatibilité chimique 477 Les encastrés fonctionnels 341
Gyro 546 Les éclairages de tunnels 255
Les éclairages de tunnels 256
H Les étanches 459
HeatForce 470 Les hublots 643
Les immergeables 55
I Les lampadaires 587
ImpactForce 462 Les lampes 679
IndiQuattro 367 Les lanternes architecturales 131
Invincible II 394 Les lanternes de style 173
Les lanternes fonctionnelles 187

www.thornlighting.fr 731
 Index produits

Les lanternes résidentielles 163 Mirage - applique 605

Les plafonniers décoratifs 633 Molitor 56 59
Les prêts à poser 171 Monoï 21 376
Les projecteurs 571 Monoï 44 377
Les projecteurs d’illumination 61 Mundial 250
Les projecteurs fonctionnels 233
Les projecteurs sportifs 243 N
Les réglettes et lignes lumineuses 429 Nella 21
Les supports et mâts 271 Nerine 197
Les suspensions décoratives 617 Nouveautés Hiver 2008 17
Les suspensions et plafonniers 309
Les systèmes de gestion d’éclairage extérieur 261 O
Les systèmes de gestion d’éclairage extérieur 262 Oceano 370
Les systèmes de gestion d’éclairage intérieur 403 Oculus & Oculus Café 620
Les systèmes rails 561 Olympie A 612
Less 315 Olympie F 613
Less - applique 316 Olympie K 614
Lightstream 50 558 Omega T5 347
Line XS 318 Omega T8 353
Line XS - applique murale 322 Optus IV 328
Line XS - applique murale indirecte 323 OQ 1000 90
Line XS - circulaire 321 Oracle 212
Loire 121/646 Orus 208
Lopak 514 OSQ 89
LSB 398 Oyster 108

M P
Madison - applique 109 Palazzio 606
Madison - borne 96 Panther 129/651
Madison 700 152 Paprika 608
Mandi 383 Pescador 178
Mastertrack 564 Piazza II 112
Match 512 Pico IP 65 557
Matrix 545 Pilote 224
Mâts acier/aluminium 300 Plane 28
MCE3 501 Planor - applique murale 313
MCVR3 499 Planor - lampadaire 314
Medicalys 386 Planor - plafonnier 312
MenloSoft 363 Planor - suspension 310
MenloSoft SR 360 Planor - suspension XL 311
Mica A 44 Planor R 342
Mica B 49 Plazora 114
Mica I 47 Plurio 153
Mica S 43 Potelets et consoles 298
Mica Slim 39 Primata II 440
Micropak 430 Primata II - Accessoires de fixation 442
Micropak - Diffuseurs 431 Primata II - Accessoires et options complémentaires 452
Micropak - Optiques 432 Primata II - Accessoires pour rails 444
Micropak - Réflecteurs 433 Primata II - Bloc optique grille de défilement 456
Micropak - Réflecteurs Déco 434 Primata II - Bloc optique réflecteur 454
Milo 62 Primata II - Rails 443
Milo S 57 Primata II - Réflecteurs aluminium 450
Mini Dauphin 58 Primata II - Réflecteurs blanc 448
Miniflood 91 Primata II - Unité électrique T16 446
Minitrack 562 Primata II - Unité électrique T26 447

732 www.thornlighting.fr
 Index produits
Promenade 98 Tekno 164
PRT 10 235 Telea 264
PRT 15 236 Thames 596
PRT 16 236 Titus Industrie 482
PRT 2 234 Titus sport 508
PRT 3 235 Titus Tunnel 257
Puma 126/649 Tonic 548
Punch 334 Triumph 218
Troïka 248
Q Tronic 191
Qba 64 Tronic/Pescador/Lem/Cyprès 286
Qba LED 18 Tropic 549
Quattro T5 346 Tuba - applique 609
Tuba - suspension 631
R Tubes fluorescents 685
Radbay 484
RCP3 et RCS3 500 V
Reflex 437 Vénétie - applique 606
REMA 3 / REMA 5 496 Vénétie - suspension 236
Riviera 222 Via 51
Roller 117 Vigie 116
Roma 615 Vilanova 100
Virgule - pour lampes halogènes 12V 578
S Virgule - pour lampes halogènes 230V 579
S400 et S500 182 Virgule - pour lampes iodures métalliques 580
Salsa 118/650 Visor 6 505
SAS3 502
Satys 294 W
SensaAdvanced 419 Westminster - applique 611
SensaLite 406 Westminster - plafonnier 640
SensaLite Basic 415
Sienna 317 X
Sirios 111 585 X-Force 460
Sirios D 582
Sirios LV 583 Z
Sirios MV 584 Zoria 292
Smart Avenue Deco 24
Sonpak LX 15/25/40 238
Sonpak LX 7/15 237
Soul - plafonnier 638
Soul - suspension 625
Specline Alpha 349
Sphere 170
Sporting 510
Squadra 181
Starlette 382
StormForce 472
Stylo 381
Supertrack 566
Surf 2 478
Sylvan/Bilam/Eiffel 278
Système de gestion d’éclairage intérieur 404

T
Tampico 607

www.thornlighting.fr 733
 Réseau commercial

Lille
Tél. : 03 20 62 16 62
62 59

80 02
Rouen 08
Compiègne
Tél. : 02 35 69 74 74 Metz
76 60 Tél. : 03 44 85 17 23
50
51
Tél. : 06 77 02 36 64
14 Caen 27
93
Reims 55 57 67

Tél. : 02 31 34 66 88 Tél. : 03 24 38 29 30 54

Saint - Brieuc Paris

77
78
Strasbourg
Tél. : 02 96 76 79 12 61
28
Tél. tertiaire : 01 49 90 13 13 Tél. : 03 88 26 36 37
22 91 Tél. EP : 01 49 90 13 25
Brest Chartres 52
88

35
Tél. : 02 28 01 92 92 Rennes
53
Tél. : 02 37 33 06 76 10 68

29
Tél. : 06 11 85 57 49 72
Orléans
90
56 Angers 41 Tél. : 02 38 73 17 17 21 70
45 89
Tél. : 02 41 76 55 40 37
44 Dijon 25

Bourges
49 Tél. : 04 72 47 33 37
Tours Tél. : 02 48 70 54 49 58

Nantes Tél. : 02 47 42 53 13 39
Tél. : 02 28 01 92 92 79
86 36
18
71

85 Niort
03 74
Tél. : 06 07 89 86 45 Lyon 01

Limoges
23
Tél. : 04 72 47 33 33 Aix-les-Bains
Tél. : 05 55 75 86 44 63 Tél. : 04 72 47 33 49
17
16 Clermont-Ferrand 69
73
38
87
Tél. : 04 72 47 33 47 42
Angoulême
Tél. : 05 45 37 30 17 19 Grenoble
43 07
15
Valence 26 Tél. : 04 72 47 33 48
24
33
Tél. : 04 72 47 33 32 05

Bordeaux 46
48
Tél. : 05 56 75 57 00 12
Cavaillon
04
Nice
47
Tél. : 04 90 78 11 26 Tél. : 06 11 84 40 35
82
06
30 84
83
40 34
Toulouse 13 Marseille
Tél. : 05 34 25 27 27 81 Montpellier Tél. : 04 42 39 41 50
64 Pau
32 31 Tél. : 04 67 69 51 68
Tél. : 05 59 77 05 28 11

09
65
66
20B

Dom - Tom 20A

Antilles - Guyane Tél. : 06 90 40 68 00

Océan Indien - Pacifique Tél. : 01 49 53 62 75
06 61 38 44 02

734 www.thornlighting.fr

Siège Social
156 boulevard Haussmann
75379 PARIS CEDEX 08
Tél. : 01.49.53.62.62
Fax : 01.49.53.62.40
thorn.promotion@thornlighting.com
Service Prescription/
Grands Comptes
Directeur : Pierre MARTIN
156 boulevard Haussmann
75379 PARIS CEDEX 08
Tél. : 01.49.53.62.28
Fax : 01.49.53.62.23
thorn.prescription@thornlighting.com
DOM-TOM
Antilles - Guyane
Rémy RIFLE
Tél. : 06 90 40 68 00
Tél./ Fax : 05 90 25 38 88
Océan Indien - Pacifique
Nadine MESTRESSAT
Tél. : 01 49 53 62 75
Fax : 01 49 53 62 90
BORDEAUX
Agence Commerciale
Directeur : Philippe VORAIN
Parc d’activité Technoclub - Bât D
Avenue de la Poterie
33174 GRADIGNAN CEDEX
Tél. : 05.56.75.57.00
Fax : 05.56.89.28.93
thorn.bordeaux@thornlighting.com
Délégation d’Angoulême
Michel NOUHANT
Tél. : 05.45.37.30.17
Fax : 05.45.37.30.18
Délégation de Limoges
Daniel FOURGEAUD
Tél. : 05.55.75.86.44
Fax : 05.55.08.01.12
Délégation de Pau
Stéphane VILETIER
Tél. : 05.59.77.05.28
Fax : 05.59.77.05.30
LILLE
Agence Commerciale
Directeur : Bernard CABY
104 rue du Fort
59175 VENDEVILLE
Tél. : 03.20.62.16.62
Fax : 03.20.60.51.51
thorn.lille@thornlighting.com
Délégation de Compiègne
Marc GARREL
Tél. : 03.44.85.17.23
Fax : 03.44.85.17.24
Délégation de Reims
Laurent Mabilotte
Tél. : 03.24.38.29.30
Fax : 03.24.38.26.36
www.thornlighting.fr
LYON
Agence Commerciale
Directeur : Serge LALLEMAND
Genas Parc Affaires
11 rue André Citroën
BP 59
69743 GENAS CEDEX
Tél. : 04.72.47.33.33
Fax : 04.78.90.80.17
thorn.lyon@thornlighting.com
Délégation d’Aix-les-Bains
Gilbert louis
Tél. : 04.72.47.33.49
Fax : 04.78.90.86.07
Délégation de Clermont-Ferrand
François Fizelier
Tél. : 04.72.47.33.47
Fax : 04.78.90.80.17
Délégation de Dijon
Claude DESGRANGES
Tél. : 04.72.47.33.37
Fax : 04.78.90.80.17
Délégation de Grenoble
Jacques Collomb
Tél. : 04.72.47.33.48
Fax : 04.78.90.86.07
Délégation de Valence
Ivan Reynaud
Tél. : 04.72.47.33.32
Fax : 04.78.90.80.17
MARSEILLE
Agence Commerciale
Directeur : Jean-Luc ALLEMAND
Parc de la Robole - Bât A
13 rue Pierre Duhem
13856 AIX-EN-PROVENCE CEDEX 3
Tél. : 04.42.39.41.50
Fax : 04.42.39.41.92
thorn.marseille@thornlighting.com
Délégation de Montpellier
Bruno LEFEVERE
Tél. : 06.11.33.48.63
Fax : 04.67.69.51.68
Délégation de Nice
Cédric GHIGOU
Tél. : 06.11.84.40.35
Fax : 04.94.15.22.25
Délégation de Cavaillon
Frédéric BIANCHI
Tél. : 04.90.78.11.26
Fax : 04.90.78.11.57
Réseau commercial
NANTES ROUEN
Agence Commerciale Agence Commerciale
Directeur : Yannick SAINLEZ Directeur : Michel ABREDER
40 boulevard de la Beaujoire 64 boulevard Stanislas Girardin
BP 82626 B.P. 16
44326 NANTES CEDEX 3 76141 LE PETIT-QUEVILLY CEDEX
Tél. : 02.28.01.92.92 Tél. : 02.35.69.74.74
Fax : 02.28.01.93.00 Fax : 02.35.69.04.05
thorn.nantes@thornlighting.com thorn.rouen@thornlighting.com
Délégation d’Angers Délégation de Caen
Anne CHARRIER François LE GOFF
Tél. : 02.41.76.55.40 Tél. : 02.31.34.66.88
Fax : 02.41.76.56.58 Fax : 02.31.34.66.88
Délégation de Niort STRASBOURG
Jérôme BOUTENEGRE
Tél. : 06 07 89 86 45
Agence Commerciale
Fax : 05 49 27 22 10 Directeur : Fabrice BARBIER
9 rue Jacob Mayer
Délégation de Rennes 67200 STRASBOURG
Stéphane SORRE
Tél. : 03.88.26.36.37
Tél. : 06 11 85 57 49 Fax : 03.88.26.10.88
Fax : 02 99 55 55 07 thorn.strasbourg@thornlighting.com
Délégation de Saint-Brieuc Délégation de Lorraine
Didier RICHARD Stéphanie AUDINEL
Tél. : 02.96.76.79.12 Tél. : 06.77.02.36.64
Fax : 02.96.76.78.39 Fax : 03.83.73.40.31
ORLÉANS TOULOUSE
Agence Commerciale Agence Commerciale
Directeur : Eric BERTHOMMIER Directeur : Daniel FLORIANI
75 rue des Sables de Sary Z.A. de Montredon
Pôle 45 - 45770 SARAN 1 rue de Soyouz
Tél. : 02.38.73.17.17 31240 L’UNION
Fax : 02.38.73.46.39 Tél. : 05.34.25.27.27
thorn.orleans@thornlighting.com Fax : 05.34.25.27.20
thorn.toulouse@thornlighting.com
Délégation de Tours
Patrick PERRAULT Site Internet:
Tél. : 02.47.42.53.13
Fax : 02.38.73.46.39 www.thornlighting.fr
Délégation de Bourges
Claude BADOUX
Tél. : 02.48.70.54.49
Fax : 02.48.70.54.49
Délégation de Chartres
Damien ROUSSEAU
Tél. : 02.37.33.06.76
Fax : 02.37.33.06.76
PARIS - Ile de France
Agence Commerciale
Directeur : Charles ANGOT
Paris Nord II - 21 allée des Erables
Bât A - B.P. 53378 Villepinte
95942 Roissy-CDG Cedex
Service Industrie/Tertiaire
Tél. : 01.49.90.13.13
Fax : 01.49.90.13.00
thorn.paris@thornlighting.com
Service Éclairage Public
Tél. : 01.49.90.13.25
Fax : 01.49.90.13.57
agenceparis.ep@thornlighting.com
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 Conception Photos
Group Marketing AD’HOC - Karlt DESMOULINS
Communications Pierre CROUZET
et Marketing France Patrick DUMAS
Jean LACOMBE
Réalisation technique LIGHT MOTIV - Jean-Pierre DUPLAN
Juice Creative Alain-Marc OBERLÉ
www.juice-c.com STUDIO 1 + 1 - Jean-Pierre NEY
t’tan PASCUAL Photographie
Chris GASCOIGNE
Imprimeur Richard SEYMOUR
Ernst Kaufmann GmbH Anthony PICKHAVER
& Co. KG Danny MADDOCKS
Raiffeisenstraße 29, 77933 Lahr Joss GUEST
Postfach 1780, 77907 Lahr Pascal REHALLE
www.druckhaus-kaufmann.de Pilam
Alain TRICOT
Photogravure
Juice Creative Malgré le soin que Thorn a apporté au recensement des copyrights
www.juice-c.com des photos et des illustrations, certaines erreurs ou omissions ont pu
être commises. Nous vous prions de bien vouloir nous en excuser.

La description des appareils ainsi que les cotes, dimensions et caractéristiques photométriques
mentionnées dans ce catalogue,ne sont données qu’à titre indicatif et ne sauraient constituer
un engagement pour notre société qui se réserve d’y apporter,sans préavis, toutes les
modifications qu’elle jugera nécessaires.

Conditions générales de vente : se reporter à notre tarif en vigueur.

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