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Entourez la réponse correcte ou répondez dans les cases prévues à cet effet.
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Questions sur les fonctions aléatoires
3. La 2ème fonction de densité établit un lien statistique entre deux évènements se passant à des
temps différents.
A : vrai ;
B : faux.
5. Une fonction aléatoire X(t) est stationnaire au sens large (c’est-à-dire possède une
stationnarité faible) si toutes ses lois de probabilité (Fi et fi, avec i = 1, 2, …, n) sont
invariantes pour tout changement de l’origine des temps, c’est-à-dire pour tout changement
de variable de la forme t’=t+h, h quelconque.
A : vrai ;
B : faux.
6. Quelle grandeur mesure le lien stochastique entre deux fonctions aléatoires X(t) et Y(t), non
stationnaires et statistiquement dépendantes ?
A : 𝐶𝑋𝑌 (𝑡, 𝑡′);
B : 𝐶𝑋𝑌 ()
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C : 𝑅𝑋 (𝑡, 𝑡′) ;
D : aucune des réponses précédentes n’est correcte.
7. Une fonction aléatoire est à valeurs non corrélées si pour tout couple (t1,t2), t1≠t2, la
covariance des deux variables aléatoires X(t1) et X(t2) est égale à zéro.
A : vrai ;
B : faux.
8. Quelle est la longueur maximale de la période de la suite issue d’une séquence binaire
pseudo aléatoire classique comportant 4 registres ?
A : 14 ;
B : 15 ;
C : 16 ;
D : aucune des réponses précédentes n’est correcte.
Dans le cas de cette figure, si la valeur initiale est 1100, quelles sont les 18 premières valeurs
de la séquence binaire de sortie x(t) ?
1 1 1 0 0 1 1 1 1 0 0 1 1 1 1 0 0 1
10. En général, X(t) et X(t-τ) tendent à devenir non corrélés quand τ tend vers l’infini.
A : vrai ;
B : faux.
11. On parle de bruit blanc si la covariance de ce bruit est une impulsion de Dirac α.δ(τ),
localisée en τ = 0 et d’intensité α constante.
A : vrai ;
B : faux.
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12. La densité spectrale de la variance ΦX(ω) définit la distribution de la puissance moyenne
sur l’axe de fréquences.
A : vrai ;
B : faux.
13. Si l’on considère un système linéaire invariant dans le temps H(), la densité spectrale de
variance de la sortie Y() est égale à la densité spectrale de variance à l’entrée X()
multipliée par le module de la transformée de Fourier de la réponse impulsionnelle du
système.
A : vrai ;
B : faux.
17. Un modulateur IQ réalise l’opération suivante, où x(t) et y(t) sont des signaux passe-bas
correspondant aux parties réelles et imaginaires de l’enveloppe complexe g(t)
A : 𝑚(𝑡) = 𝑥(𝑡) cos(2𝜋𝑓𝑐 𝑡) + 𝑦(𝑡) sin(2𝜋𝑓𝑐 𝑡) ;
B : 𝑚(𝑡) = 𝑥(𝑡) cos(2𝜋𝑓𝑐 𝑡) − 𝑦(𝑡) sin(2𝜋𝑓𝑐 𝑡) ;
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Questions sur le changement de fréquences et la reception
18. C’est une opération linéaire qui permet de réaliser le changement de fréquences
A : vrai ;
B : faux.
19. Le récepteur hétérodyne opère une transposition de fréquences vers une fréquence
intermédiaire avant la démodulation.
A : vrai ;
B : faux.
21. Pour un récepteur superhétérodyne, si l’oscillateur local vaut 982 kHz et la fréquence
porteuse de la radio à écouter vaut 527 kHz, la fréquence image vaut :
A : 455 kHz;
B : 527 kHz ;
C : 1509 kHz ;
D : aucune des réponses précédentes n’est correcte.
Réponse : D – cf. partie II_C transparent n° 19 (2.fOL – fu = 2 . 982 – 527 = 1437 kHz)
22. Un modulateur IQ peut être utilisé pour la démodulation à condition de filtrer passe-bas à
la sortie.
A : vrai ;
B : faux.
23. La dynamique d’un récepteur définit sa capacité à recevoir des signaux faibles.
A : vrai ;
B : faux.
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Questions sur les transmissions en bande de base
24. Pour un nombre de symboles M, le débit binaire D est lié à la rapidité de modulation R par
la relation suivante :
A:D=R;
B : D = M. R ;
C : D = log2(M).R ;
D : D = log10(M).R ;
E : aucune des réponses précédentes n’est correcte.
26. Le calcul de la relation présentée à la question 25 est immédiat par le biais d’une
transformée de Fourier directe, le signal d’entrée uE(t) étant toujours faiblement
stationnaire.
A : vrai ;
B : faux.
27. Dans la relation de la question 25, le terme de droite représente un spectre de raies à des
fréquences multiples entier de la rapidité de modulation.
A : vrai ;
B : faux.
29. Dans la relation de la question 25, le terme Ca(0) représente la moyenne de la suite aléatoire
considérée :
A : vrai ;
B : faux.
30. L’efficacité spectrale d’un code en bande de base décrit le rapport entre, au numérateur, la
bande passante nécessaire pour le transmettre et, au dénominateur, le débit binaire qu’il est
possible de transmettre.
A : vrai ;
B : faux.
31. Dans le cas d’un code à 16 niveaux, l’efficacité spectrale du code vaut :
A : 1/4 ;
B:1;
C:4;
D : aucune des propositions précédentes n’est correcte.
32. Dans le cadre d’un code à quatre niveaux {+3,+1,-1,-3}, lequel des codes suivant utilise le
codage de Gray ?
+3 +1 -1 -3
A 11 10 01 00
B 00 11 10 01
C 11 10 00 01
D Aucune des propositions précédentes n’est correcte.
Réponse : C – en effet, deux symboles voisins ne different que par un seul bit
34. Le code AMI (Alternate Mark Inversion) est un code redondant utilisé afin de détecter une
erreur simple de transmission.
A : vrai ;
B : faux.
37. La récupération de l’horloge (dont le nom est identifié à la question 36) par une boucle à
verrouillage de phase fonctionne d’autant mieux que le code possède de nombreuses
transitions dans l’évolution temporelle du signal uE(t) à l’entrée du canal :
A : vrai ;
B : faux.
38. Au contraire de la récupération de l’horloge (dont le nom est identifié à la question 36) par
une boucle à verrouillage de phase, la récupération de l’horloge par filtrage d’une raie
présente à la fréquence 1/ permet de récupérer parfaitement celle-ci, c’est-à-dire qu’elle
ne présentera pas de jitter.
A : vrai ;
B : faux.
41. Le diagramme de l'œil consiste à observer le signal numérique reçu et égalisé u'R(t) au
moyen d'un oscilloscope dont la base de temps est synchronisée sur l'horloge symbolique.
A : vrai ;
B : faux.
42. Dans un diagramme de l’œil d’un code polaire, l’impact de l’interférence entre symboles se
manifeste uniquement par une dispersion des passages par zéro.
A : vrai ;
B : faux.
44. Dans la formule de la capacité au sens de Shannon, 𝐶 = 𝐵. 𝑙𝑜𝑔2 (1 + 𝑋𝑋𝑋), que représente
le paramètre XXX ?
A : la largeur de bande du signal en bande de base transmis ? ;
B : le niveau du signal émis, exprimé en dBm ? ;
C : le rapport signal à bruit disponible exprimé en valeurs linéaires ? ;
D : le niveau de bruit, exprimé en W ?;
E : aucune des propositions précédentes n’est correcte.
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45. Soit la comparaison suivante entre différents codes en bande de base.
Si le filtrage de Nyquist avait utilisé une valeur plus grande du paramètre d’arrondi (= roll-
off factor), comment se serait modifié le graphe
A : rien ne se modifierait ;
B : l’efficacité spectrale s’améliorerait pour tous les codes ;
C : l’efficacité spectrale se dégraderait pour tous les codes ;
D : le rapport signal à bruit s’améliorerait pour tous les codes ;
E : le rapport signal à bruit se dégraderait pour tous les codes ;
F : aucune des propositions précédentes n’est correcte.
Réponse : C – en effet, si augmente, alors la bande passante occupée augmente (cf. partie
III_C transparent n° 8) et donc, pour un même debit binaire, l’efficacité spectrale diminue
(cf. partie III_B transparent n° 22)
46. A l’analyse de la figure présentée à la question 45, quel est le code le plus efficace en terme
de rapport signal à bruit pour des performances fixées à un taux d’erreur binaire de 10-5 ?
A : le code NRZ polaire ;
B : le code NRZ unipolaire ;
C : le code polaire (M=4) ;
D : le code polaire (M=8).
Réponse : A – en effet, c’est le code qui requiert le rapport signal à bruit le plus faible pour
la performance indiquée
47. A l’analyse de la figure présentée à la question 45, quel est le code le plus performant en
terme d’efficacité spectrale pour des performances fixées à un taux d’erreur binaire de
10-5 ?
A : le code NRZ polaire ;
B : le code NRZ unipolaire ;
C : le code polaire (M=4) ;
D : le code polaire (M=8).
Réponse : D – en effet, c’est le code qui possède l’efficacité spectrale la plus grande pour
la performance indiquée
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Questions sur les transmissions avec modulation
Parmi les modulations MPSK et MQAM présentées sur le graphique, quelle est la
modulation la plus performante en terme d’efficacité spectrale pour des performances fixées
à un taux d’erreur binaire de 10-5 ?
Modulation QAM Nombre de symboles 256
49. A l’analyse de la figure présentée à la question 48, quelle est la modulation la plus
performante en terme de rapport signal à bruit pour des performances fixées à un taux
d’erreur binaire de 10-5 ?
Modulation FSK Nombre de symboles 64
50. A l’analyse de la figure présentée à la question 48, si le choix se présentait librement entre
la modulation 16-QAM et la modulation 16-PSK, laquelle choisiriez-vous ?
A : 16-QAM ;
B : 16-PSK.
Réponse : A – en effet, pour une même efficacité spectrale, elle nécessite un rapport signal
à bruit plus petit que la 16-PSK pour la même performance de transmission
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