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LA RECEPTION DU REVÊTEMENT DE PUISSANCE.
Lecture : 2 Rois 2/1-18.
1 / EN COMMENCANT PAR LA FIN.
1.1 : Élisée manifeste la puissance de Dieu dont il
vient d’être revêtu.
2 Rois 2/13 : il releva le manteau qu'Élie avait laissé
tomber. Puis il retourna, et s'arrêta au bord du
Jourdain ; il prit le manteau qu'Élie avait laissé
tomber, et il en frappa les eaux, et dit : Où est
l'Éternel, le Dieu d'Élie ? Lui aussi, il frappa les eaux,
qui se partagèrent çà et là, et Élisée passa.
Question pertinente : « Où sont encore aujourd’hui
les Elie dont l’Eternel est le Dieu ? »
Note : Elie ouvrant les eaux du Jourdain est un type
de Christ triomphant des « eaux » de la mort.
Psaume 18/6 : les liens du séjour des morts
m’avaient entouré, les filets de la mort étaient devant
moi.
En suivant son maître dans le même chemin,
Elisée reçoit à son tour le même pouvoir.
Romains 8/11 : Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité
Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a
ressuscité Christ d’entre les morts rendra aussi la vie
à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.
1.2 : Les fils des prophètes interprètent le miracle
qui vient de se produire.
2 Rois 2/15 : Les fils des prophètes qui étaient à
Jéricho, vis-à-vis, l'ayant vu, dirent : l'esprit d'Élie
repose sur Élisée ! Et ils allèrent à sa rencontre, et se
prosternèrent contre terre devant lui.
Il faut préciser le commentaire des fils des
prophètes.
L'esprit dont Élisée vient d'être revêtu est l'Esprit
de Dieu.
Bible du Rabbinat à propos du désir d’Elisée qui a
demandé : «Une double portion de l'Esprit qui
t'inspire».
Il s'agit d'une puissance d'inspiration, de
révélation, de connaissance, de sagesse, de
miracle, de guérison, de discernement, de foi.
1.3 : Ce revêtement avait été l'objet de la demande
de Élisée.
2 Rois 2/9 : Lorsqu'ils eurent passé, Élie dit à Élisée :
demande ce que tu veux que je fasse pour toi, avant
que je sois enlevé d'avec toi. Élisée répondit : qu'il y
ait sur moi, je te prie, une double portion de ton esprit
! Proverbes 20/21 : Un patrimoine trop vite acquis dès
1.4 : En demandant la double portion de l'esprit
d'Élie, il formule la prière la plus adaptée à son
ministère.
«La double portion» est la part de l'héritier premier-
né, de celui qui a le droit d’aînesse (Deutéronome
21/17).
Élisée se reconnaît comme «héritier» d'Élie sur le
plan spirituel.
Il recherche une puissance le rendant plus
efficace pour servir et travailler pour Dieu.
Il ne ressemble pas à ceux qui ne recherchent que
des émotions dans des réunions qui deviennent
des rencontres d’agrément.
Quant à nous, nous sommes héritiers de Dieu, par la
foi en Christ.
Nous sommes aussi héritiers du travail de nos
prédécesseurs.
Serions-nous prêts à faire ce qu’ils ont fait ?
A imiter leur consécration ?
A payer le prix qu’ils ont payé à l’établissement
d’églises ?
Demander la double part était le signe de la volonté
de faire valoir cet héritage encore plus et non de le
dilapider, de le dénigrer, de le gaspiller ou de le
brader.
Elie avait travaillé, avec l’onction qui était sur lui, à
son acquisition.
En en demandant une double part, il démontre son
intention de faire fructifier l’héritage encore plus.
Il l’apprécie à sa juste valeur, contrairement à ceux
qui ne sont « fils des prophètes » que de nom sans
être entrés vraiment dans une réelle filiation
spirituelle.
Il se contentent d’être spectateurs de ce qui se passe
et ils suivent les événements avec étonnement.
Psaume 16/6 : Un héritage délicieux m’est échu, une
belle possession m’est accordée.
Quant à certains autres héritiers, ils se bornent à
dire que leurs pères n’ont pas su faire les choses
correctement, alors qu’ils n’ont encore produit
aucune preuve de leurs compétences.
le début ne sera pas béni par la suite.
Bordeaux le dimanche 19 juin 2005. Daniel Hébert.
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1.5 : Le don du Saint-Esprit fait partie de notre
héritage.
L'expression «double portion» est en rapport avec la
part que Dieu avait accordée à Élie.
Nous n'avons pas à l'utiliser pour nous, car elle
signifierait rien dans le vocabulaire du Nouveau
Testament.
1.6 : Notre part est la plénitude de l'Esprit
(Éphésiens 5/18).
Le disciple a la promesse de recevoir le Saint
Esprit, c’est-à-dire le don même de sa personne.
Luc 11/13 : Si donc, méchants comme vous l'êtes,
vous savez donner de bonnes choses à vos enfants,
à combien plus forte raison le Père céleste donnera -
t-il le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent.
Actes 8/17 : Alors Pierre et Jean leur imposèrent les
mains, et ils reçurent le Saint-Esprit.
Actes 19/2 : il leur dit : avez-vous reçu le Saint-Esprit,
quand vous avez cru ?
2 / LA RAISON QUI A PERMIS A ELISEE DE
RAMASSER LE MANTEAU D'ELIE.
2 Rois 2/13 : et il releva le manteau qu'Élie avait
laissé tomber. Puis il retourna, et s'arrêta au bord du
Jourdain ; il prit le manteau qu'Élie avait laissé
tomber, et il en frappa les eaux, et dit : où est
l'Éternel, le Dieu d'Élie ? Lui aussi, il frappa les eaux,
qui se partagèrent çà et là, et Élisée passa.
2.1 : Élie avait demandé la mort... (1 Rois 9/4) ; Il
ne devait pas la connaître.
Heureusement que Dieu n'exauce pas (ou exauce à
sa manière) certaines prières
Ses projets pour nous sont bien meilleurs que les
souhaits que nous pourrions formuler, même s'ils ne
sont pas, et heureusement, aussi morbides que le fut
celui d'Élie.
En ceci, il a manifesté sa nature humaine semblable à
la nôtre et il ne s'est pas comporté en type de Christ.
Jacques 5/17 : Élie était un homme de la même
nature que nous.
Pour ce qui concerne le Seigneur, il s’est
réellement livré lui-même à la mort afin de nous
acquérir notre salut et la possibilité de recevoir le
Saint Esprit.
2.2 : Dans le présent récit, Élie enlevé est le type
de Christ remontant au ciel (Actes 1/9).
Jean 16/7 : Cependant je vous dis la vérité : il vous
est avantageux que je m'en aille, car si je ne m'en
vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous ;
mais, si je m'en vais, je vous l'enverrai.
2.3 : Laissant tomber son manteau, symbole de sa
puissance spirituelle, il annonce Christ envoyant
son Esprit sur l'Église, le jour de la Pentecôte
(Actes 2/33) et par la suite.
Actes 2/33 : Élevé par la droite de Dieu, il a reçu du
Père le Saint-Esprit qui avait été promis, et il l'a
répandu, comme vous le voyez et l'entendez.
3 / LE CHEMIN QUI CONDUIT AU REVÊTEMENT
DE PUISSANCE.
Élisée a pu recevoir le double de la mesure d'Esprit
qui avait oint Élie parce qu'il l'avait demandée.
3.1 : Le Saint Esprit est donné à ceux qui le
demandent.
Luc 11/9 : Et moi, je vous dis : demandez, et l'on
vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez,
et l'on vous ouvrira. Le Père céleste donnera le Saint-
Esprit à ceux qui le lui demandent.
Cette prière doit s'accompagner d'attitudes
spirituelles et de dispositions également
spirituelles :
3.2 : La vigilance.
Élisée garde les yeux fixés sur son maître
jusqu'au bout (v.10), sans jamais le perdre de vue.
Il s'agit pour nous de conserver «le regard en haut»,
sans distraction.
Actes 1/14 : Tous d'un commun accord persévéraient
dans la prière, avec les femmes, et Marie, mère de
Jésus, et avec les frères de Jésus.
3.3 : Le respect.
L'expression «Mon père» (v.12) montre l'estime et
l'honneur dont Élisée gratifie Élie (Hébreux 13/17).
Ceci n'est pas à comprendre dans le sens que Élie
aurait été un dieu aux yeux de son disciple (Matthieu
23/9).
Il le considère comme son père spirituel dont il es t
l'héritier ( 1 Corinthiens 4/15).
Il ne faut pas confondre un père spirituel avec un
gourou ou un directeur de conscience.
«Chars d'Israël et sa cavalerie» fait allusion aux
séraphins.
3.4 : L'humilité.
Il déchire ses vêtements pour revêtir le manteau
d'Élie.
Ceci illustre le renoncement aux œuvres et aux
facultés charnelles, pour servir Dieu à travers celles
de l'Esprit (Philippiens 3/4 à 8).
Cependant, ne prendre que cet aspect des choses
en considération serait une erreur.
Bordeaux le dimanche 19 juin 2005. Daniel Hébert.
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Ce serait traiter la question des conditions pour
recevoir l'Esprit en la prenant par la fin.
C'est pourquoi nous allons devoir maintenant
reprendre la réflexion depuis le début, car c'est au
bout d'un parcours particulier le long duquel il a
suivi son maître que Élisée a reçu la puissance de
l'Esprit.
4 / LE PARCOURS OU BIEN LE CIRCUIT D’ELIE
AVANT SON ENLEVEMENT.
Parlant de Énoch qui avait précédé Élie dans la
même bénédiction, l'auteur de l'épître aux Hébreux
11/5 nous enseigne que son enlèvement a été
possible, grâce à sa foi.
La même chose peut être dite au sujet d'Élie et la
même condition sera requise pour les chrétiens
qui seront en vie au retour du Seigneur, afin qu'ils
soient enlevés à sa rencontre, car l'enlèvement
d'Élie est aussi l'anticipation d'un événement
unique, pas encore accompli, celui de
l'enlèvement de l'Église (1 Thessaloniciens 4/13 à
18).
Être dans la foi signifie être dans les conditions
spirituelles illustrées par les étapes successives de la
marche d'Élie suivi d'Élisée avant son départ vers la
gloire.
Élie emmène Élisée à sa suite dans ce périple.. Pour
ce qui nous concerne, c’est Jésus -Christ qui nous fait
courir dans cette carrière qu’il nous a ouverte
(Hébreux 12/1-3).
Les lieux visités par Élie et par Élisée
représentent les points forts de la foi.
Il sont incontournables et inévitables pour
quiconque désire la vie remplie de l'Esprit de
Dieu.
Sommes-nous désireux de recevoir la puissance
de l’Esprit ?
Alors, entreprenons le parcours du disciple fidèle,
sans couper à travers champs ni rechercher des
raccourcis.
Elie lui-même s’est soumis à ce pèlerinage.
A combien plus forte raison Elisée n’en était-il pas
dispensé !
Il arrive que nous rencontrions des disciples qui
se pensent être plus capables et plus spirituels
que leurs maîtres et que leurs aînés sans être
prêts à démontrer une consécration au moins
équivalentes à celle qu’ils ont manifestée !
Ils pensent qu’ils iront plus vite que lui et qu’ils
feront mieux !
En fait, ils n’ont jamais appris ni le travail ni la
souffrance ni l’amour de l’Eglise, ne sachant pas
combien elle a coûté à leurs pères.
4.1 : Le point de départ : Guilgual (2/1).
Selon Josué 5/7, c'est là qu’ont été circoncis les
enfants d'Israël nés au désert.
En ce jour l'Éternel dit : «Aujourd'hui, j'ai roulé de
dessus vous l'opprobre de l'Égypte» (Josué 5/9).
Guilgal veut dire : action de rouler.
Ce lieu représente la croix, sur Christ crucifié, Dieu a
roulé l'opprobre de nos péchés. En croyant en lui,
nous sommes déchargés de ce fardeau.
C'est en réalisant l'œuvre de la croix pour nous, que
nous pouvons commencer notre marche avec Dieu,
par la foi en son Fils crucifié et ressuscité.
Toute conversion authentique se double de la
circoncision du cœur du croyant (Philippiens 3/3 ;
Colossiens 2/11).
Cette œuvre spirituelle accomplie par le couteau
tranchant de la Parole de Dieu (Hébreux 4/12) est le
signe de notre appartenance au Seigneur (Romains
4/11).
4.2 : Béthel ou «maison de Dieu» (v.2).
Cet endroit pris ce nom après l'expérience de Jacob
relatée en Genèse 28/10 à 22.
L'échelle vue par le patriarche représente la
médiation opérée maintenant pour nous par Jésus -
Christ, pour que nous ayons un plein accès auprès du
Père (Éphésiens 2/18).
Il n'y a pas de vie chrétienne véritable sans cette
communion vivante avec Dieu.
La prière, l'adoration, l'intercession ne sont pas des
obligations religieuses pour l'enfant de Dieu, mais ce
sont des éléments normaux et spontanés, exprimant
indubitablement sa relation vivante avec le Père.
4.3 : Jéricho ou la victoire de la foi sur les
obstacles (v.4).
Hébreux 11/30 et Josué 6 nous le rappellent.
Ceci fait écho aux accents victorieux exprimés en 1
Jean 2/12 à 17 : victoire de la vie chrétienne normale
sur nos «Jéricho» ; le péché, le diable, l'esprit du
monde.
La vie de foi ne peut pas se concevoir autrement.
4.4 : Le Jourdain (v.6).
Franchi avant l'entrée en Canaan (Josué 3), lieu du
baptême de Jésus, il exprime en image ce qu'évoque
l'immersion : la mort (Romains 6).
C'est en ayant été immergé dans la mort et en l'ayant
vaincue par la résurrection que Christ est devenu
l'auteur de notre salut.
La vie chrétienne victorieuse consiste aussi à laisser
l'Esprit faire en nous... œuvre de mort (Romains
8/13).
Bordeaux le dimanche 19 juin 2005. Daniel Hébert.
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C'est cette volonté que nous avons exprimée en
ayant été baptisés (Romains 6/3 à 11) voir aussi
Colossiens 3/1 à 4.
Élie, frappant avec son manteau les eaux du fleuve,
annonce prophétiquement la victoire de Jésus sur la
mort.
Il l'a «ouverte en deux» et l'a franchie en vainqueur (1
Corinthiens 15/54 à 55 - 2 Timothée 1/10 - Hébreux
2/14 à 15).
C'est dans cette même position de «mort au péché»
et «au monde» (Galates 6/14) que se trouve la
garantie de notre propre salut.
4.5 : L'enlèvement (v.11)
Les chars et les chevaux de feu sont certainement
une manifestation visible des êtres célestes nommés
séraphins (c'est-à-dire «les brûlants») (Esaïe 6/2).
Les anges seront mis à contribution par l'enlèvement
de l'Église (Matthieu 24/30 à 31).
5 / ELISEE, LE DISCIPLE ATTACHE A SON
MAÎTRE.
Il représente le disciple qui suit son maître partout
où il va.
Cela faisait 9 ans qu'il était au service d'Élie d'une
manière bien humble : 2 Rois 3/11.
Rappelons cependant que «verser de l'eau sur les
mains de quelqu'un» veut dire être le serviteur
permanent et intime de cette personne.
Certaines traductions parlent « du collaborateur
intime » ou bien « du disciple le plus proche ».
Quelle leçon pour nous !
5.1 : Leçon de détermination :
«Je ne te quitterai point» dit-il à chaque étape, alors
qu'il reste libre de rester ou de poursuivre sa route
avec Élie (2 Rois 2/2 et 4).
5.2 : Leçon de motivation :
«L'Éternel est vivant et ton âme est vivante». C'est
pourquoi, nous aussi, nous persévérons dans notre
marche.
6 / LES FILS DES PROPHETES OU BIEN
L'ATTITUDE QUI ELOIGNE DE LA VIE DE
L'ESPRIT.
6.1 : Ils représentent les personnes qui se
prévalent du nom de disciples, sans en être
vraiment.
On est chrétien par conversion personnelle et non par
celle de nos parents.
De même, on n'est pas prophète... parce que «fils de
prophète».
Dans chaque ville visitée par Elie et Elisée, il y en
avait.
Alors que les deux prophètes veulent aller plus
loin, il est dit des fils des prophètes qu’ils étaient
établis là !
6.2 : Ils sont informés à propos de l'enlèvement
d'Élie et ils veulent même faire la leçon à Élisée
(v.16) !
La connaissance d'informations, même juste, n'est
pas suffisante pour faire de l'homme un enfant de
Dieu, encore moins de ses serviteurs.
6.3 : De toute façon, ce qu'ils savaient, ils ne le
croient pas quand c'est accompli (v.16).
Leur piété est empreinte de beaucoup d'incrédulité.
6.4 : Il y en a une «garnison» à Béthel et à Jéricho.
Mais ils sont curieusement absents de Guilgal et
réfractaires au franchissement du Jourdain, à
distance duquel ils s'arrêtent (v.7).
Les gens religieux peuvent être contemplatifs
(présents à Béthel) ou capables d'actes de foi
(présents à Jéricho), mais leur absence à Guilgal (la
Croix) et au Jourdain (« la mort à soi-même et la vie
crucifiée») nous indique que l'essentiel leur manque
(2Tim 3/5).
7 / LA VOIE DE LA VIE REMPLIE DE L'ESPRIT.
Le Saint Esprit est donné à ceux qui obéissent
(Actes 5/32).
L'obéissance requise est celle de la foi (Galates 3/2)
et les mérites n'y sont pour rien.
Cependant, qui pourra nier que sans piété véritable, il
est impossible de recevoir le Saint Esprit, d'être
revêtu de sa puissance et de vivre dans sa plénitude
permanente ? C'est ce que ce texte nous enseigne
principalement.
Vivons donc dans la réalité spirituelle de ce que le
pèlerinage d'Élisée représente par rapport à notre
foi en ayant pris l'habitude de demeurer dans ce
que la visite des lieux saints entreprise par Élie et
Élisée représente, sachant que l’un d’entre eux
est peut-être visité moins souvent que les autres.
A sa manière, Samuel en faisait symboliquement
autant.
1 Samuel 7/16 : Il allait d’année en année faire un
circuit par Bethel, le Guilgal et le Mitspa ; il était juge
d’Israël dans tous ces lieux.
Bordeaux le dimanche 19 juin 2005. Daniel Hébert.