Vous êtes sur la page 1sur 4

MP Lundi 25 mai 2020 2.

Montrer que l’application qui à M ∈ Mn (R) asso- On rappelle la notation : ch(t) =


exp(t) + exp(−t)
.
cie k M kop est une norme sur Mn (R). 2
Concours blanc
Montrer que pour tous x et y dans Rn , on a l’inégalité :
 2
t
Il vous est proposé deux sujets au choix : 8. Pour tout t ∈ R, montrer ch(t) 6 exp .
2
k Mx − Myk 6 k Mkop k x − yk . On pourra au préalable établir le développement de la fonc-
• niveau Mines/Centrale : problème 1 (pages 1 et 2) ;
3. Si M est symétrique, établir l’égalité tion ch en série entière sur R.
• niveau INP/e3a : problèmes 2 et 3 (pages 3 et 4).
9. Soit t ∈ R. Démontrer que si x ∈ [−1, 1], on a
Ceux qui le souhaitent peuvent traiter un deuxième k Mkop = max{|λ| ; λ ∈ σ( M)}.
l’inégalité de convexité :
sujet jeudi.
On pourra commencer par le cas où M est diagonale.
1+x 1−x
On note Jn la matrice de Mn (R) dont tous les coeffi- exp(tx ) 6 exp(t) + exp(−t).
2 2
Problème 1 cients sont égaux à 1.
4. Déterminer les valeurs propres et les espaces 10. Soit X une variable aléatoire réelle bornée par 1
L’objectif de ce problème est d’étudier une inéga- propres de Jn en précisant la dimension des espaces et centrée. Montrer que X est 1-sous-gaussienne.
lité de concentration pour la norme opérationnelle propres. En déduire la valeur de k Jn kop . En déduire que si X est bornée par α > 0 et centrée,
d’une matrice aléatoire dont les coefficients sont mu- alors elle est α-sous-gaussienne.
tuellement indépendants et « uniformément sous- Soit M = ( Mi,j )16i,j6n ∈ Mn (R).

5. Démontrer l’inégalité k Mkop > max{ Mi,j ; 1 6 11. Soit X1 , . . . , Xn des variables aléatoires mu-
gaussiens ».
tuellement indépendantes et α-sous-gaussiennes, et
Soit n un entier strictement positif. On identifie Rn à i, j 6 n}. n
l’espace Mn,1 (R) des vecteurs colonnes à n coordon- 6. Établir que : µ1 , µ2 , . . . , µn des nombres réels tels que ∑ (µi )2 = 1.
nées réelles. Pour tout x = t( x1 , . . . , xn ) dans Rn , on v i =1
n
note : u n n
s
n k Mkop 6 t ∑ ∑ ( Mi,j )2
u Montrer que la variable aléatoire ∑ µ i Xi est aussi
kxk = ∑ xi2 . i =1 j =1
α-sous-gaussienne.
i =1
i =1
et donner une condition nécessaire et suffisante sur le 12. Soit X une variable aléatoire α-sous-gaussienne
La sphère unité de Rn est notée
rang de M pour que cette inégalité soit une égalité. et λ > 0. Montrer que pour tout t > 0 :
S n −1 = { x ∈ Rn ; k x k = 1 } . On note Σn l’ensemble des matrices M = ( Mi,j )16i,j6n  2 2 
de Mn (R) telles que Mi,j 6 1 pour tous i, j ∈ J1, nK. α t
P( X > λ) 6 exp − tλ .
On identifie une matrice M ∈ Mn (R) à l’endomor- 2
7. Montrer que pour tout M ∈ Σn , k M kop 6 n.
phisme de Rn canoniquement associé et on note σ( M)
Caractériser et dénombrer les matrices M de Σn pour En déduire que :
l’ensemble de ses valeurs propres réelles.
lesquelles k M kop = n.
λ2
 
Les parties A, B et C sont mutuellement indépendantes. P(| X | > λ) 6 2 exp − 2 .
B. Variables aléatoires sous-gaussiennes 2α
A. Norme d’opérateur d’une matrice Dans la suite du problème, on admet qu’une variable
Dans toute la suite du problème, toutes les variables
aléatoires considérées sont réelles et discrètes, définies aléatoire X à valeurs dans N est d’espérance finie si
Soit M ∈ Mn (R).
sur un espace probabilisé (Ω, A, P). Soit α > 0, on dit et seulement si la série ∑ P( X > k ) converge et que
1. Montrer que Sn−1 est un compact de Rn et en dé- qu’une variable aléatoire X est α-sous-gaussienne si : dans ce cas :
duire l’existence de :  2 2 +∞
α t
k Mkop = max{k Mx k ; x ∈ Sn−1 }. ∀ t ∈ R, E (exp(tX )) 6 exp . E( X ) = ∑ P ( X > k ).
2 k =1
13. Si X est une variable aléatoire à valeurs dans R+ , 15. Montrer que l’on peut trouver un sous ensemble 18. Justifier l’existence d’une partie finie Λn de Sn−1 ,
montrer que X est d’espérance finie si et seulement si fini A de K tel que : de cardinal majoré par 5n , et telle que :
la série de terme génèral P( X > k ) converge et que [
K⊂ Ba, 2ε . S n −1 ⊂
[
dans ce cas : Ba, 1 .
2
a∈ A a∈Λn
+∞ +∞
∑ P( X > k) 6 E( X ) 6 1 + ∑ P( X > k) On pourra raisonner par l’absurde en utilisant le théo-
k =1 k =1 rème de Bolzano-Weierstrass. D. Norme d’une matrice aléatoire
On pourra pour cela considérer la partie entière b X c. 16. Soit Λ un sous ensemble de K tel que pour tous 1
x, y distincts dans Λ, k x − yk > ε. Montrer que Λ est On fixe un nombre réel α > 0 et on pose γ = .
+∞ 4α2
Pour tout s ∈]1, +∞[, on note ζ (s) = ∑ k−s . fini et que son cardinal est majoré par celui d’un en- Soit n un entier strictement positif. On définit une fa-
k =1 semble A du type considéré à la question précèdente. (n)
mille de variables aléatoires réelles Mi,j indexées par
14. Soit X une variable aléatoire α-sous-gaussienne Si de plus Λ est de cardinal maximal, montrer que : i, j ∈ {1, 2, . . . , n}, mutuellement indépendantes et
et β > 0. Montrer que pour tout entier k > 0 : [ α-sous-gaussiennes. On note M(n) la matrice aléatoire
 2 2 K⊂ Ba,ε (n)
( Mi,j )16i,j6n .
 
β X a∈Λ
P exp > k 6 2k−η
2 Si x ∈ Sn−1 , on note y = M(n) x qui est ainsi un vec-
On admet l’existence d’une fonction µ, appelée volume, dé-
teur aléatoire dont les composantes y1 , . . . , yn sont
où on a posé η = α−2 β−2 . En déduire que si αβ < 1, finie sur l’ensemble des parties compactes de Rn et vérifiant
des variables aléatoires réelles.
la variable aléatoire exp(
β2 X 2 les propriétés suivantes.
2 ) est d’espérance finie
majorée par 1 + 2ζ (η ). (i) Pour tout vecteur a de Rn et tout nombre réel r > 0, 19. Montrer que pour tout i ∈ {1, . . . , n}, la variable
µ ( Ba,r ) = r n . aléatoire yi est 
α-sous-gaussienne. En déduire que :
En particulier, en prenant αβ = √1 et en utilisant l’in-

2
(ii) Pour toute famille K1 , . . . , Km de compacts de Rn deux E exp(γ kyk2 ) 6 5n et que pour tout réel r > 0 :
égalité 1 + 2ζ (2) 6 5 (que l’on ne demande pas de
à deux disjoints on a :
justifier), on obtient immédiatement, et on l’admet, √   2 n

que si X est une variable aléatoire α-sous-gaussienne,
!
m
P kyk > r n 6 5e−γr .
∑ µ ( Ki ).
[
on a l’inégalité d’Orlicz : µ Ki =
16i6m i =1 20. Soit Λn une partie de Sn−1 vérifiant les conditions
2 de 18. Pour tout réel r > 0, montrer que
la question
  
X
E exp 6 5. (iii) Pour tous compacts K, K 0 de Rn , K ⊂ K 0 implique √
M > 2r n implique l’existence d’un a ∈ Λn
4α2 (n)
µ ( K ) 6 µ ( K 0 ). op √
Soit Λ une partie finie de Sn−1 telle que pour tous x, y (n)
tel que : M a > r n. En déduire :
C. Recouvrements de la sphère distincts dans Λ, k x − yk > ε.
17. Vérifier que les boules Ba, 2ε pour a ∈ Λ sont toutes √
 
2 n
Si a ∈ Rn , on note Ba,r = { x ∈ Rn ; k x − ak 6 r } la
 
P M (n) > 2r n 6 25e−γr .

boule fermée de centre a et de rayon r. Soit K une contenues dans B0,1+ 2ε . Montrer alors que le cardinal op
n
partie compacte non vide de Rn , et soit ε > 0. de Λ est majoré par 2+ε ε .

2
Problème 2 Partie I – Éléments propres I.2 – Calcul des valeurs propres de 10. Justifier que E est un espace vecto-
d’une matrice An (α, β). riel sur R et préciser sa dimension.
5. En utilisant la question 4, montrer 11. Déterminer l’ensemble des suites
Notations et définitions I.1 – Localisation des valeurs propres
que pour toute valeur propre λ de (uk )k∈N ∈ E telles que u0 = un+1 = 0.
On considère une matrice
An (0, 1), il existe θ ∈ [0, π ] tel que 12. En déduire l’espace propre de
- Soient n ∈ N∗ et ( p, q) ∈ (N∗ )2 ; λ = 2 cos(θ ).
A = ai,j 16i,j6n ∈ Mn (C).

An (0, 1) associé à la valeur propre
- R[ X ] désigne l’ensemble des poly- On note Un le polynôme χ An (0,1) (2X ). 2 cos(θ j ).
Soient une valeur propre λ ∈ Cde A  et
nômes à coefficients dans R ; si P ∈ x1 6. Établir, pour n > 3, une relation 13. En déduire, pour tout (α, β) ∈
..
R[ X ], on notera encore P la fonction un vecteur propre associé x = . ∈ entre χ An (0,1) , χ An−1 (0,1) et χ An−2 (0,1) . R2 , l’ensemble des valeurs propres de
x n
polynomiale associée ; n o En déduire, pour n > 3, une relation An (α, β) et les espaces propres associés.
Mn,1 (C) \ 0Mn,1 (C) . On distinguera le cas β 6= 0 du cas β = 0.
entre Un , Un−1 et Un−2 .
- M p (R) et M p (C) désignent respecti-
1. Montrer, pour tout i ∈ J1, nK : 7. Montrer que pour tout θ ∈]0, π [ :
vement les ensembles des matrices car-
Partie II – Système différentiel
rées de taille p à coefficients dans R n
sin((n + 1)θ )
et dans C, et M p,q (R) et M p,q (C) dé- λxi = ∑ ai,j x j . Un (cos(θ )) =
sin(θ )
.
II.1 – Matrices par blocs
j =1
signent respectivement les ensembles On considère A, B, C et D des matrices
des matrices à p lignes et q colonnes à 8. Déduire de la question précédente de Mn (C) telles que C et D commutent.
2. Montrer qu’il existe i0 ∈ J1, nK tel
coefficients dans R et dans C ; que :
que l’ensemble
n des valeurs
 propres de   


o A B D 0n
n An (0, 1) est 2 cos n+1 ; j ∈ J1, nK . 14. Calculer .
- on note I p la matrice identité de |λ| 6 ∑ |ai ,j |. 0 Déterminer la multiplicité des valeurs
C D −C In
M p (C) et 0 p la matrice de M p (C) ne j =1
propres et la dimension des sous- L’objectif des trois prochaines ques-
comportant que des 0 ; En déduire : espaces propres associés. tions est de démontrer la relation :

( )  
n Soit j ∈ J1, nK. Posons θ j = A B
- on note χ A le polynôme caractéris- n +1 . = det( AD − BC ).
tique d’une matrice A ∈ M p (C), c’est- |λ| 6 max
i ∈J1,nK
∑ |ai,j | . 9. Montrer que pour tout vecteur
det
C D
j =1 (1)
à-dire le polynôme det( XI p − A) ; x1
!
propre x = .. ∈ Mn,1 (R) de
Soient α et β deux nombres réels. . 15. Montrer l’égalité (1) dans le cas où
- étant donnée une matrice M ∈ On considère la matrice An (α, β) ∈
xn
D est inversible.
M p (C), on note Sp( M) l’ensemble des An (0, 1) associé à la valeur propre
Mn (R) définie par : 2 cos(θ j ), on a : 16. On ne suppose plus D inversible.
valeurs propres complexes de M.
 α β 0 ··· 0   Montrer qu’il existe p0 ∈ N∗ tel que
β α β . . ..
. . 
 −2 cos(θ j ) x1 + x2 = 0, pour tout p > p0 , la matrice D + 1p In
. . .
 
0 .. .. .. 0

An (α, β) =  . 
∀ k ∈ J2, n − 1K soit inversible.
 .. .. 
Objectifs . . β α β
xk−1 − 2 cos(θ j ) xk + xk+1 = 0, 17. En déduire que l’égalité (1) est éga-
0 ··· 0 β α 

lement vraie dans le cas où D n’est pas

xn−1 − 2 cos(θ j ) xn = 0.


Dans la partie I, on détermine les va- 3. Justifier que les valeurs propres de inversible.
leurs propres d’une matrice tridiago- An (α, β) sont réelles. Soit E l’ensemble des suites réelles Considérons une matrice M ∈ Mn (C)
nale symétrique réelle particulière. On 4. Soit λ ∈ R une valeur propre de (uk )k∈N vérifiant la relation de récur- et formons la matrice :
utilise les résultats démontrés dans la An (α, β). Montrer que l’on a : rence : pour tout k ∈ N∗ ,
partie I pour résoudre, dans la partie
 
0n In
II, un système différentiel. | λ | 6 | α | + 2| β |. uk−1 − 2 cos(θ j )uk + uk+1 = 0. N= .
M 0n
3
18. Montrer l’égalité : 23. En utilisant la question 19, détermi- 28. Justifier l’existence de 34. Existe-t-il une constante réelle d vé-
ner une matrice inversible P ∈ M4 (C) rifiant :
Sp( N ) = {µ ∈ C; µ2 ∈ Sp( M )}.
Z 1
dont la première ligne ne comporte que Jn = ln(1 − x n ) dx.
x 
1
des 1 et telle que B = PDP−1 .
0 ∀ f ∈E k f k ∞ 6 d k f k1 ?
..
19. Soient µ ∈ Sp( N ) et x = . ∈ Entre autres méthodes, on pourra utiliser
xn 24. Déterminer l’ensemble des solu- 35. Énoncer le théorème d’approxima-
Mn,1 (C) un vecteur propre de M asso- un changement de variable.
tions du système différentiel Y 0 = DY, tion uniforme de Weierstrass.
cié à la valeur propre µ2 .   +∞
π2
 y1 
1
x avec Y = y23 .
y 29. En admettant l’égalité ∑ k2 =
6
, 36. Montrer que l’ensemble des fonc-
Montrer que le vecteur ∈ y4 k =1 tions réelles continues sur [0, 2] et dé-
µx démontrer l’équivalent :
25. Déterminer la solution du sys- rivables en tout point x de la réunion
M2n,1 (C) est vecteur propre de N as-
tème différentiel (2) avec conditions π2 [0, 1[∪]1, 2] est une partie dense de l’es-
socié à la valeur propre µ. Jn ∼ −
initiales ( x1 (0), x2 (0), x10 (0), x20 (0)) = 6n pace vectoriel normé ( E, k · k1 ).
20. Montrer que si M est diagonali- (1, 0, 0, 0).
sable et inversible, alors N est égale- 30. Justifier, pour tout nombre réel né- 37. Montrer que, pour tout entier na-
ment diagonalisable et inversible. gatif ou nul, l’encadrement : turel strictement positif n, la fonction
Problème 3 gn définie dans l’introduction est un
II.2 – Application à un système diffé- u2 élément de E. En quels points est-elle
1 + u 6 eu 6 1 + u +
rentiel dans le cas où n = 2 2 dérivable ?
On considère le système différentiel : On note E le R-espace vectoriel des ap- 2
plications continues de [0, 2] dans R et
R 1 38. Montrer que la suite ( gn )n∈N∗
 00 Soit Kn = 0
ln(1 − xn ) dx. On ad-
x1 = −2x1 + x2 , k · k1 la norme de la convergence en converge simplement vers une fonction
(2) met que Kn existe et que lim Kn = 0.
x200 = x1 − 2x2 . moyenne sur E définie par : n→+∞ g que l’on précisera.
21. Déterminer (α, β) ∈ R2 tel que le 31. Établir, pour tout entier strictement 39. La suite ( gn )n∈N∗ converge-t-elle
Z 2
système (2) soit équivalent au système
∀ f ∈E k f k1 = | f ( x )| dx positif n la double inégalité : uniformément sur le segment [0, 2] ?
0
différentiel du premier ordre X 0 = BX, Pour tout entier naturel strictement po- Z 1 40. La suite ( gn )n∈N∗ converge-t-elle
x1
! Jn Jn Kn
x2 sitif n, on note gn la fonction définie sur 6 gn ( x ) dx − 1 6 + 2 uniformément sur l’intervalle [0, 1[ ?
où on a X = x10 et n 0 n 2n
x20 le segment [0, 2] par : 41. À l’aide du théorème de conver-
  q 32. Déduire des résultats précé- gence dominée, montrer que la suite de
02 I2 ∀ x ∈ [0, 2] gn ( x ) = n | x n − 1| dents un équivalent simple de R2
B= ∈ M4 (R). R1 terme général 0 gn ( x ) dx est conver-
A2 (α, β) 02 1 − 0 gn ( x ) dx lorsque n tend vers
Les deux parties sont indépendantes. gente et de limite égale à 52 .
Que déduit-on du théorème de Cauchy l’infini.
42. Montrer que la suite ( gn )n∈N∗
quant à la structure de l’ensemble des Partie I converge dans l’espace vectoriel normé
solutions de ce système ? Partie II ( E, k · k1 ) vers la fonction h définie par :
26. Montrer que la fonction x 7→
22. En utilisant la question 18, déter- On note k · k∞ la norme de la conver-
ln(1 − x ) (
miner les valeurs propres de B et en est intégrable sur ]0, 1[. gence uniforme sur E, définie par : 1 si 0 6 x 6 1
x h( x ) =
déduire que B est diagonalisable. x si 1 < x 6 2
27. Justifier soigneusement l’égalité : ∀ f ∈E k f k∞ = sup | f ( x )|
On considère la matrice : +∞ x ∈[0,2]
 √
Z 1
ln(1 − x ) 1 43. L’ensemble des fonctions de E qui
dx = − ∑ k2

−i 3 √ 0 0 0 s’annulent au point 1 est-il une par-
0 x k =1
33. Trouver la plus petite constante
 0 i 3 0 0 réelle c vérifiant tie fermée de l’espace vectoriel normé
D= .
 0 0 − i 0 On pourra utiliser un développement en
( E, k · k1 ) ?
0 0 0 i série entière. ∀ f ∈E k f k1 6 c k f k ∞
4

Vous aimerez peut-être aussi