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SOMMAIRE

13. La normalisation
- las normes et leur rôle dans l’économie de marché
- las principaux documents de normalisation
- les institutions de normalisation
- -la certification
-la défense du consommateur. Le consommateur – partenaire
-en quoi consiste la protection du consommateur ?

14. La bourse
- classification
- éléments caractéristiques
- bourses des valeurs

15. Les banques


- la banque dans la politique économique et dans l’équilibre économique
- l’intervention par des taux d'intérêt dans la politique économique
- types des banques
- relations client - banques
-services bancaires
-les crédits bancaires

16. L’inflation
- phénomènes d'inflation
- qui est coupable de l'inflation?
- politique contre l'inflation
17. Le chômage
- les diverses formes de chômage
- la charte communautaire des droits sociaux des travailleurs

Glossaire
Bibliographie
Dans le final ?
13. LA NORMALISATION
1. Les normes et leur rôle dans l'économie de marché

Vise à fournir des documents de référence et apportent des réductions à des problèmes
techniques ou commerciales qui se posent de façon répétée lors des relations entre les partenaires
économiques et sociaux. (Définition donnée dans le Décret français du 26 janvier 1984)

La définition internationale, formulée par ISO/CEI 2 est la suivante La Norme "document établi
par consens et aprobé par un organisme reconnu qui fourni pour usage commun et répété des régies,
lignes directoires ou des caractéristiques pour les activités, ou des résultats, en garantissant un niveau
optimal pour la communauté dans son ensemble.

En fonctionne de leur contenu, les normes sont classifiées en :

• générales

• de terminologie

• de produits

• des services

• des essayes

• de technologies ;

Les normes représentent des documents d'information synthétique, largement accessibles au


public, et ils sont diffus spécialement pour ça.

La nécessité de la documentation de normes est une conception obligatoire pour la


connaissance des demandes du marché. Dans l'absence de ces informations minimales de l'exigence
des bénéficiers.
Comment peut-on projeter et assimiler un produit ou une technologie compétitive?

Par les normes, on réglemente la « doctrine technique » l'accord sur les demandes, les
méthodes, les définitions, etc. Celles-ci ne limitent pas la capacité des producteurs de réaliser des
produits, services avec des performances supérieures.

Tenant compte du dynamisme de la modification des normes, il faut accentuer :

a) la demande que les producteurs soient réceptifs en modifiant, adaptant, et réorientant tes
produits ou leurs technologies.

b) étant en mesure d'anticiper les évolutions et demandes futures.

Dans les conditions des nos entreprises, le problème est très difficile, il faut nous intégrer sur un
marché fortement concurrentielle, et très dynamique. On doit nous aligner aux exigences du marché.
Seulement comme ça on peut bien utiliser notre potentiel économique industriel.

La grande majorité des normes a un caractère facultatif, optionnel. Ils font exception les normes
envisageant la vie, la santé des gens, la protection de l'environnement. Le passage à cette pratique
internationale, après quelques dizaines d'années de régime dans lequel les normes d'état étaient
obligatoires, ont eu "puissance de loi", est surprenant, et peut avoir un effet derutant pour quelques
spécialistes.

A coté de l'aspect naturel de la démocratie, laissant l'option de l'application des normes


presque totalement au choix des producteurs, en réalité la pénétration sur le marché et la concurrence
réelle se fonde exclusivement par normes, a essaye par qualité et prix. En d'autres mots, même si est
obligatoire, la norme a en vue l'organisation dans un moyen cohérent des relations entre les agents
économiques et les facteurs intéressés, mettant avant l'intérêt individuel celui collectif. En
conséquence, l'ignoration des normes à cause de leur caractère facultatif optionnel est équivalente
avec un aventurisme technico-économique. Les normes comprennent les conditions minimes de
l'accès sur le marché, et les rapports réciproques entre unités.

1.1 Les principaux documents de normalisation


Les guides ISQ
- ont un caractère impératif dans l'esprit de l’harmonisation dans l'Union
Européenne
Les directives
- contiennent les exigences essentielles, les conditions générales qu'ils doivent satisfaire certaines
familles de produites. Les plus importantes sont pour le récipients sous pression, les constructions, les
machines (les outillages et équipements industriels), les jouets, les appareils et équipements
électroniques, les appareils médicaux.
Les documents d’armonisation
-assurent l'intégration des normes nationales, laissant la liberté ceux avec contenu technique différent
de répondre a la volonté et à la pratique spécifique a chaque pays,
Les normes européennes (EN)
-documents "de base" de la réglementation d'un espace européen commun.
Les normes nationales
- concrétisent l'expérience et la pratique nationale
Les normes de l’entreprise
-laissent la liberté des entreprises remarquables de définir leurs propres normes "référentiels de la
qualité et de la compétitivité de leurs produits et services.

1.2 Les institutions de normalisation


On présente la structure des institutions de normalisation sur quatre niveaux et des courtes
définitions des principales activités des deux organismes représentatifs : ISO et CEN.

Niveau international :

ISO CEI CCITT


L’ORGANISATION COMISSION LE COMITÉ CONSULTATIF
INTERNATIONALE DE ELECTOTECHNIQUE INTERNATIONAL POUR
NORMALISATION INTERNATIONALE ( 1908 ) TÉLÉPHONIE ET
TÉLÉGRAPHIE

Niveau européen :

CEN CENELEC ETSI


LE COMITÉ POUR LE COMITÉ EUROPÉEN L’INSTITUT EUROPÉEN DE
NORMALISATION ( 1961 ) POUR NORMALISATION NORMALISATION POUR
DANS TELECOMUNICATIONS (
L’ELECTROTECHNIQUE 1988 )

ISQ => favoriser le développement de la normalisation dans le monde en vue de faciliter


entre les nations les échanges des marchandises et les prestations de survivre, de réaliser une
entente mutuelle dans les domaines technique, scientifique et économique :
Activités principales :
- coordination et unification des normes nationales;
- les membres comités membres, 160 comités techniques;
- organisation non-guvernamentale, jouit du statut consultatif (en relation avec prés
de 400 organisations internationales);
-publication de documentes : "Normes internationales" ou "Normes ISO".

CEN => Comité Européen de Normalisation Objets:


- établir des normes européennes;
- organisme intergouvernamental

ORGANISMES NATIONAUX :
ANSI - American National Standards Institute
BSI- British Standards Institute
DIN - Deutsches Institut fur Normung
- 100 -
AFNOR- Association Française de Normalisation
JISC - Japanese Industrial Standards Commitee
UNI - Ente Nazionale Italiano di Unificazione
IBN - Institut Belge de Normalisation
SNV - Swiss Association for Standardization
GOST - Committee of the Russian Federation for Standardisation Metrology and
Certification
IRS – Institutul Roman de Standardizare.
De celles-ci à titre d'exemple on met en évidence :
AFNOR (Association Française de Normalisation)
-crée en 1926 dès l'origine a eu lie statut d'association privée, défini par la Ioi de 1901,
service public par l'autorité – gouvernementale ;
-centralise et coordonne, sous l’autorité et le contrôle du commissaire à la normalisation,
tous les travaux et études concernant la normalisation;
-a un rôle général de diffusion d'informations et de propagande pour tout

La normalisation dans l’entreprise :


-survive "spécialise" de normalisation de l'entreprise;
-définir ou préciser une politique de normalisation au sein de l'entreprise;
-établir des documents de normalisation ;

1.3 Les principales étapes pour élaboration des normes


a) mise au programme une initiative dictée par un intérêt distinct de l’intérêt proprement
national à un texte que l’on puisse valablement considérer comme un titre du plus large
consensus.
b) le document est examiné par une commission des représentants des producteurs,
distributeurs, administrations publiques, etc., une large consultation pour mise au point le texte
final.
c) l’holomogation de la norme.
d) la diffusion, l’application de la norme comme document officiel.
e) le perfectionnement dans éditions successives des normes ; aussi leur republication.
2. La certification

Représente une attestation donnée en écrit par un organisme qualifié et indépendant par
laquelle on établit qu’un produit ou un service pressente régulièrement certaines caractéristiques
en conformité avec des spécifications énonces par une norme ou un cahier des charges officiel. Ils
existent les suivantes types des certifications.
- pour des produits/services (obligatoires s’il se referant aux produits ou service qui
peuvent affecter la qualité la santé ou la socquette du personnel, peuvent affecter la qualité de
l’environnement etc.)
- pour systèmes (structures organisatrices) entreprises, qui attestent par exemple, la
conformité du système d’assurance de la qualité ou de l’entreprise respective face a une norme.
- pour personnes attestent la qualification des gens dans un domaine
L’accreditation est une forme de certification qui confère une "autorité" reconnue à un
organisme de certification, aux laboratoire d’essaye aux institutions de santé, d’éducation, etc.
La marque de certification est un symbole (graphique ou littéral) distinctif, applique sur un
produit qui a été certifié. Elle atteste que lie produite respective comprenne certaines
réglementations, normes, en attirant l’attention des consommateurs ou des potentiels utilisateurs.
A ne pas confondre avec le "certificat de qualité" - document qui fourni des épreuves
objectives en liaison avec les activités déroulées, du fait que les résultats obtenus sont conformes
aux sollicitations les demandes des bénéficiera, des clients.
Dans lie mécanisme de la CONFIANCE, essentiel dans une économie de marche, est
représente dans la figure suivante le fait que, en partage des certaines normes, représentatives,
acceptées et reconnues sur le marche :
a) d'une part le fournisseur certifie ses produits ou ses systèmes, prouvant le fait qu'il
respecte les normes
respectives et fait appel pour cela aux organismes reconnus
b) de l’autre part, les clients fondamentent leur confiance dans les produits, services
ou dans le fournisseur qu'ils le choisissent
Pour tous le référentiel l’étalon est représente par la norme.

3. La défense du consommateur. Le consommateur –partenaire

Le fait que le marché pourrait se permettre la concentration de l'attention des entreprises


pour la compétition organisée avec tout le professionnalisme possible, en sacrifiant le
consommateur dans une "jungle" que celui-ci ne peut pas la comprendre, ou il ne peut pas
intervenir, il ne peut pas actionner sur les prix ou services est fausse
Peuvent devenir les "pauvres" consommateurs des "victimes " du marché? Qui les
protège? Au debout du siècle en France, - époque ou fut votes la loi du 1er août 1905 sur les
fraudes - 50 000 des enfants en bas âge mouraient chaque année par suite des fraudes sur le lait.
Les abattoirs et les bouchers recevaient des quantités considérables des vaches tuberculeuses.
Le service de la répression des fraudes fut crée en 1907 pour constater les infractions, confier les
missions de contrôler les caractéristiques des produits vendues et préserver l’hygiène alimentaire.
Ce service, dont les tâches essentielles n'ont pas change, dépend du Ministère de l’Agriculture. Il
est compétent dans des secteurs aussi de vers que les fruits et légumes, le textile, les alcools, les
meubles, les voitures d'occasion.
Sur la base des quatre droits des consommateurs, formules par le Président John F
Kennedy en mars 1962, concernant le droit à la sécurité, le droit d'être informé, le droit de choisir
et celui d'être pris en considération ils ont été élabores par ONTL en avril 1985 six principes
généraux, qui prévoient :

la protection des consommateurs face aux dangers pour leur santé et leur sécurité ;
la promotion et la protection des intérêts économiques des consommateurs ;
l’accès des consommateurs aux informations adéquates que permet de fondamental leur
choix en fonction de ce qu’ils désirent et de leurs besoins ;
l’éducation des consommateurs.,
l’assurance effective des consommateurs ;
la liberté d'association et de présenter ses points de vue dans le procès i élaboration des
décisions qui les affectent ;
Sur la plane internationale l’attention accordée à la protection des consommateurs ne
se résume pas aux simples déclarations. L’accent se met sur la responsabilité des
producteurs et la préoccupation pour celle-ci. On met en évidence la création du Comité
Consultatif des Consommateurs (CCC) formé par 25 membres des différents pays. A
Bruxelles il fonctionne le Bureau Européen des Unions de Consommateurs BEUC en
représentant les associations des pays membres. Comité des Organisations Familiales des
Consommateurs Européens (COFACE) et la Coopérative des Consommateurs de la
Communauté Européenne (Eurocoop)
Dans notre pays le procès législatif et manageriel de consacrer la responsabilité des
producteurs est en cours et va durer encore au moins quelques années. Les entreprises
doivent consacrer une partie des efforts pour essayer et s’engager avec leur entière
responsabilité sur le marché.
L’organisme national dans ce domaine est la commission pour la protection des
consommateurs (1992), avec des filiales dans les diverses régions du pays. A part de celui-ci,
il fonctionne aussi comme organismes non-gouvernamentales « L’association de protection
des consommateurs » doublés par un réseau de laboratoires de spécialité et par une série
des organismes concernant contrôle sanitaire vétérinaire, la protection de l'environnement, etc.

En quoi consiste la protection du consommateur ?


II s’agit de la conformité, respectivement la non-conformité des produits aux
services aux exigences sociales, face aux normes.
Mettre sur la marche des produits ou services crée des devoirs à la charge des
professionnels qui participent à cette fonction économique. Il s'ensuit que la responsabilité
des producteurs est quelque fois mise en cause. Dans un but préventif, l’Administration a été
investie d'un pouvoir général de contrôle des produits dangereux. La sanction judiciaire (civile
et pénale) et la prévention administrative constituent les deux pierres d'un même dispositif de
protection.
La prévention se réfère au :
détection des produits dangereux ;
élimination des produits dangereux ;
élimination par les producteurs des produits avec des défections majores ;
combattre les méthodes agressives de vente et de publicité ;
la publicité fausse ou de -nature à induire en erreur ;
la surveillance du marché ;
I’éducation des consommateurs dans l’esprit de l’information et de leur formation commerciale
active sur te marche et dans la vie de l’entreprise ;
On donne un exemple de la préoccupation d’un des producteurs des tracteurs du monde -
Cubotca (Japon) situe près d’Osaka - qui pour le contrôle permanent écologique d'un lac ne s
est pas limité aux contrôles de laboratoires. Dans ce lac, ils vivent des poissons qui sont
contrôlés périodiquement par I’agence nationale de protection de l’environnement. Si un
des poissons meurt, un entier procès entre l’agence et I’entreprise va se déclencher. La
protection de "environnement est confirmée par les vies de ces poissons. En général, la
composante des activités et d'engagements des producteurs de respecter environnement
va représenter une préoccupation de plus en plus importante, sera un corollaire de la
protection des consommateurs.
THEMES DE REFLECTION

Commentez :
•"On ne remarque jamais ce qui a été fait, on voit seulement ce qui reste à faire.
Maries CURIE
•"Je ne connais pas la clé du succès, mais la clé de l’échec c’est de tenter de plaire à tout
monde
Bill COSBY
• "Un objectif sans temps limite n’est pas réellement un objectif… c’est un rêve
Harold R. MCLINDON
•"C’est votre attitude non vos aptitudes, que détermine votre altitude dans la vie.
-inconnu.
"Aime la vérité, mais pardonne à l’erreur. Voltaire.
"Vous ne pouvez servir mais de quelqu’un avec un poing on comprend ce qui se passe "
Harold S. KUSHNER

QUESTIONS

Comment interprétez-vous le fait que dans le l’engage curant de presse, en littérature et


même dans des textes juridiques ils s’utilise le terme de norme en sens de référentiel
d'étalon d’un niveau même s’il n'existe pas une certaine norme'' Par exemple, dans le texte
de la nouvelle foi de renseignement (juin 4995) i existe une série des références a ce terme
(art 12, H^, 129, 155) même s'il existe pas aucune norme nationale dans ce domaine
Comment organisez-vous dans une entreprise moyenne les activités destinées a l'étude
des normes dans le domaine et a I’élaboration des normes d’entreprise ?
Commentez "On constate que nombreuses sont les freines à la normalisation. La
normalisation suppose une relatif centralisation des décisions qui elle-même risque d’entrer
en conflit avec la souplesse, donc la décentralisation, nécessaire lorsqu'on veut s'adapter a
des marches locaux. Elle ne peut s'appliquer à toutes variables du marketing. On ne peut
que se satisfaire de tentatives partielle plus ou moins complètes qui dépendent aussi des
périodes de la cycle de vie du produit "
Comment voyez-vous possible a protection des consommateurs face a l’évolution
exagérée des prix des produits et services ? Ca n’entre pas en contradiction avec la fonction
de réglage de la marche par l’intermède des prix ?
Est-il correcte l’expression "La certification de la qualité " et justifiez la réponse.
Comment justifiez-vous le fait qui une entreprise est capable de payer des sommes
considérâmes pot certifier un système de la qualité, c’est-à-dire pour prouver qu’elle respecte
les normes dans le domaine (les normes de la série ISO 9000) ? En i993 ces sommes en
France étaient de l’ordre de 225 milles FF pour les petites entreprises, de 400 milles FF, pour
celles moyennes, et d’environ 2100 pour les grandes. La certification s’accorde pour 2-3 ans.
Que va se passer quand toutes ou le plus part des entreprises aura certifies les systèmes de
la qualité ? Ne sont ceux-ci que des dépenses inutiles, et de moins.
Dans la '"Livre Vert - Nouvelle approche- de a commission de Bruxelles il est prévu pour la
normalisation européenne :
• La principale raison de la promovation de chaque activité de normalisation est d’ordre
économique. La motivation concernant la normalisation des produits, des procèdes ou
services sue échelle nationale – la réduction des coûts pour les producteurs et l’amélioration
de la transparence du marche pour es producteurs et tes consommateurs - existe
clairement a l'échelle européenne. Etant donne a fragmentation actuelle du marche
européenne, les profits provenant de la normalisation européenne doivent être plus
importantes que celles qui peuvent provenir d'une normalisation nationale. Les normes
européennes communes réduisent les coûts de recherche, de production et de distribution
pour les producteurs, et simule une concurrence dans le bénéfice des consommateur en ce
qui concerne les aspects non-normalises des produits.
"La promotion des activités de normalisation européenne est en même temps motivée par le fait
que dans l’absence des réglementations techniques imposée par le gouvernement, les
normes nationale restrainent le commerce intercommunautaire et élevé les prix aux
producteurs. Une normalisation européenne plus ample peut élimer progressivement
ces barrières techniques cachées, qui mentent des obstacles au commerce en
établissant un degré d'homogamie au niveau des spécifications technique, si la marche
a besoin de celles-ci ".
14. La Bourse

- dénigre tout marche organise ou se négocient tout sortes de produits on de services.


- terme dérive du nom de famille Van der Bourse dont hôtel, situe a Bourges a servi au XVeme siècle
de lieu de rencontre au commerçants locaux et est devenue le symbole d'un marche de
capitaux et d'une Bourse de marchandises L'historie des Bourses reflet e celle du capitalisme
financier puis industriel.
Bourse d'Anvers - a été publié pour la première fois en 1592
Bourse de Londres - supplantée après la Première Guerre mondiale par celle de New York (Wall
Street)
Bourse de Pans -est logée depuis 1808 dans le palais construit par l’architecte Brongniart
-elle concentre la quisi-totalité des transactions opéré en France

Autres bourses représentatives : Tokyo, Singapour, Chicago

- En Roumanie l’ouverture de la Bourse du Commerce de Bucarest a été fondé en 1882


sur une loi de 1881. Une contribution spéciale est donnée de" Loi Madgearu" en 1929.

Après 1904 elle fonctionne une bourse des merchandisings de Bucarest, Braila Constanta, Iasi,
Craiova.
Jusqu’à 1937 la Bourse de Bucarest a fonctionné dans le «Palais du Commerce et Industrie »
(actuelle Bibliothèque Nationale Rue „Doamnei /en 1937 dans le Bloc Sutu Rue Batistei) en
1949 a été supprimé.
Après 1992 elles fonctionnent comme Bourses de merchandises de
Bucarest, Constanta, Arad.
Et les suivantes
♦ Bourse Roumain des merchandises de Bucarest
♦ Bourse Maritime et des merchandises de Constanta
♦ Bourse Transilvania de Cluj Napoca
♦ Bourse du bois de Piatra Neamt
♦ Bourse Agricole et des marchandises de Arad
♦ Bourse des merchandises de Sibiu
♦ Bourse Universalle de Brasov

- Bourse des cerealles et des merchandises, agroalimentaire de Constanta

1. Classification

1.1. Bourses générales

Les transactions ont une gamme varie de marchandises et aussi des titres de propriété, des
devises. Elle s'appelle simplement la bourse.
1.2. Bourses spécialisées

Bourses des marchandises, appelées encore Bourses de commerce


a) des marchandises - pour les marchandises périssables de même qualité, qui peut être substitué
l’une à l’autre.
Examples internationalles:
- du cotton: ao Paolo, New York
- du laine : Sidney
-du animaux : Chicago
- du sucre : Londres, Paris, New York'
- du métaux non ferreux : Londres, New York
- du cacao, café, thé: Paris
b) Bourses des valeurs - pour papier de la valeur, actionnes, obligations, titres du propriété
industrielle, métaux précieux.
1.3. Les principaux facteurs qui déterminent la fonctionnalité de bourses
-la densité de la concurrence
- simplification (facilitation) des opérations de transaction sur la marche
-élimination des payements de la circulation
-l’obtention des prix bons
-l’asiguration pour périls

2. Eléments caractéristiques
2.1. La bourse constitue une marche des marchandises et des valeurs
-il y a des lieux concentrés sur le demande et d'offre dans une manière différent pour les
marchandises et pour les papiers des valeurs
- 105.1 -
- il existe du marches réglementé et dont les opération se réalisent soit par exécution effective du
contracte soit par paiement de la différence entre les cours du jour du contracte et celui du
jour du terme.
Les marchandises :
-sont des bons généraux qui peut être définir par mesurage, énumération, pesage ;
-sont standardisables;
-en général ils ont un grade réduit de prelucration ; ils sont exécutés en production grande, de masse
(produits agroalimentaires, métaux, l’huile) ;
-il existe, aussi avec une grade accroisse de périssabilité (fleurs, chair, œufs) ;
-peut être des services et asigurations.

Les opérations de la bourse peuvent être :


-cash - soit la livraison, soit le paiement de marchandises sont faite immédiatement après le
contracte est fait.
- au terme - à livration des marchandises est fait au terme pas ètoigneé ou éloignée (dans le
moment de l'opération, le vendeur ne possède pas les marchandises). Au terme de livration
le prix peut être plus grand que le prix du moment quand on fait le contrat, donc il y a une
spéculation « à la hausse », ou le vice versa « à la baisse » et ça est en avantage d'une
partie.

2.2 Elle est une marché symbolique : dématérialisé, les opérations sont fait avec des documents
représentatives. A la bourse se réalise des contrats entre partenaires, la circulation au
dehors de ce marché.
En sachant, les transactions peuvent être:
- SPOT' ou « au disponibilité » - avec le payement immédiatement.
- FUTURES ;
- au terme (forward) -fermes (sans réserves de payement au terme établit) ;
- facultatives (avec une prime) une partie réserve le droit d'annuler le contrat dans le jour de
payement pour l'autre parte voire une sommé appelé "'prime'".
Dans le commerce « future » on pratique les dépôts des garanties pour les deux partenaires dans
une « cleaning house ».
L'essence de l'activité boursière n'est pas la vendange l’achat mois de consoler le risc du prix.
Le volume des contracts de conts personales est considérablement accroît dans le forme
représentatif pour les produits sont les céréales sont autre 150 marchandises.
La transmission et l'exécutions d'un ordin au bourses des marchandises au terme représentent une
opération vite et efficiente qui peut être fois en quelques minutes au meilleur prix. L'opération
peut être foit au téléphone au fax l'opérateur qui est dans le ring de la bourse. Celle-ci
réalise cette opération en rapport des autres brokers qui sont là.
2.3 Elle est une marche libre
La bourse est opposée à l'idée de monopolisation. Il faut exister un nombre suffisant des
vendeurs et des clients :
- le demand il faut être solvable et relativement considérable;
- les prix n'ont pas un caractère administratif, ils ne sont pas contrôlables arbitrairement,
- elle assure la transparence des informations vis-à-vis de marché.
Les prix au quelles sont réalisé les transactions s'appelle CONTATIONS au COURSES. Ils sont
des prix représentatifs pour les produits, les services.
Les opérations peuvent être :
- « à la housse», « à la baisse » eu fonction de l'évolution au thermes,
- cotations effectives - à la base des toutes transactions faites dans
une période, il participe la base, le référentielle du prix mondiale pour les
marchandises de la bourse. II constitue le prix d'équilibre pour le marché
mondial dans les conditions données.
- cotations nominales - convrets le prix réel du marché ;
- cotations moyennes - définis par soit même.
- cotations limite - le moyenne entre les prix maximaux et les
prix minimaux
- cotations de liquidations - les différences entre les courses pour
les transactions au terme.
2.4. Elle est un marché organise
La bourse fonctionne comme une system d'assurance d’un caractère libre et ouvert des opérations
(transactions) commerciales.
Cette ne limite pas le droit des entreprises pour commercialiser. Les produits ont les
services dans une manière directe, comme s’il veut.
Les opérations au bourse sont basées sur une réglementation qui :
-conféra crédibilité des partenaires ;
-donne des garanties des seriosité (il élimine ou réduit beaucoup les risques du prix)
Les clients (vendeurs ou acheteurs) ne négocient pas directement le prix dans le ring
(trading floor), mais par l’intermède d’un broker qu’il représente. Cette une profession
spécialisée celle de broker au control stricte d’une agence fédérale. Pour pouvoir négocier au
bourse une entreprise il faut être membre d'elle
Dans ces cas des bourses de valeurs l’orgasion et la régulation sont conférés au
Conseil des Bourses de Valeur(C B V), organisme professionnel donc d'un commissaire au
gouvernement
En France l’enregistrement et la publicité des transactions sont annulés par Société
des Bourses Françaises (S B F). L'ensemble de se dispositif et la totalité des intervenants en
Bourse sont places sous le contrôle de la Commission des opérations de Bourse (C. O.B.)-une
autorité administrative Dans notre paye - Commission Nationale du Valeurs Mobiles.
Les Bourses permet le financement des sociétés cotée longue celle-ci procendent à
une augmentation de capital.
-Elles constitues un cadre bien adapte à la restructuration des entreprise.
Le fait que les produits, les marchandises peut être vendus avant à Farde du bourse
(ex céréales) avec beaucoup de temps avant de réalisation, ça constitue une source importante
et bien organise de financement directe.
Se potage en deux manières au résultat de flux du prix dans ces intervalles de temps
a) I’opération de hedging - en essence par finalisation d'une opération inverse vis à vis
de celle initiale et qui atténue le désavantage de le décroissement du prix dans une période
(en. moment du livraison de marchandises en asigurant un meilleur protection.
b) l’opération de spéculation avec une grande amplitude dans le cas des bourses
occidentales, et des perdes grands (en S.U.A entre 70 à 90% des participantes perdent son
argent) mais aussi des profits tentantes à cause des difficultés de prévoir révolution du prix « à
la hausse »et « à la besse »
Une forme plus compliqué, qui est en même temps, une opération de hedging et de
spéculation s’appelle STRADDLING.

3. Bourses des valeurs.

- permettent la transaction rapide de capital réel en capital monétaire et vice-versa, la


mobilité grande des ressources financières pour l’activité d’enrichesse.
Les valeurs mobiliers se refer à :
- les titres représentatifs d’un droit de propriété (les actions)
- les titres représentatifs d'un droit de créance – (essentiellement les obligations). Aux
Etates-Unis les obligations ne sont pas introduites en Bourse. Elle font l’objet d’un commerce
de gré à gré exercé par des marchands des titres spécialistes ;
- les titres mixtes, qui combinent les particularités des deux catégories précédentes.
Les dimensions et le rôle de ces bourses sont de plus en plus importants soit sur les
marches internes sois sur les marchés internationales.
Quelques éléments caractéristiques des principales Bourses à la fin de l'année 1989
(enciclopedia Universalis 1993, vol 4, page 459).

Bourse Nombre de sociétés Capitalisation Transactions


cafées boursière des actions annuelles sur
(miliards de FF) actions
Sociétés Sociétés (milliards de FF)
nationales étrangeres

Paris 608 223 1952 667


Londres 2015 544 4796 2950
Frankfurt 372 348 1928 2335
New 1633 87 17535 8925
York 1597 119 24574 140003
Tokyo
La marche primaire est réserve à l'émission initiale des titres.
La marche des devises internationale est constituée par un system des relation entre
les banques et les clients des eux par l’intermède de lequel se effective vendange/acheté des
devises libres convertibles.
Sur la marche nationale des devises s’établie des relations interbancaire, se
rencontre les courses des devises et celle de la monnaie nationale (une rôle important la
banque centrale nationale).
La marche financière première

investitions

Transfert de capital

Financement L’emission de titre La marche financiere Capitale monaitaire


des investitions de valeur primaire
des profits du Transactions à valeur
developpement nominale

Depots bancaires

Le transfer des titres aux posseurs du capital

Le marche financier secondaire

Les emetents La marche L’offre des titres La marche financiere


du titres primaire sencondaire
Transactions des valeurs du
marché

Capital
Speculation du manetaire
source

La cotation sur la marche d'entreprise ; l’apreciation de management d’entreprise


Le changement des devises est défini par le rapport du changement. II est déterminé de
demande/offre a un temps bien défini et il est exprime par :
- la cotation d'acheteur des devises de la monnaie nationale
- la cotation, de "vendeur"
La différence entre ceux deux s'appelle "spread" et représente l'avantage de qui fait
la cotation meilleur.
La cotation est détermine avec la participation de plus imposantes banques qui fait de
transactions sur la marche valutaire s'appelle fixing.
Pendant la quasi-totalité de leur existence historique, les marché boursiers ont
fonctionné sans la forme de séances de cotation (fixing) où tous les ordres collectes devaient
faire I’objet d'une conformation générale laquelle aboutissait à la constatation d'un "première
cours", suivi de nouveaux cours en fonction de l’arrivée successive de nouveaux ordres.
Parmi les facteurs a inridenne générale le plus manifeste sont:
-l’évolution des taux d'interner,
-la conjecture économique, qui commande les résultats bénéficiaires des entreprises
et s'efforce d'en anticiper les fluctuations (ex. les chocs pétroliers de 1973 et de 1979 la crise
du Golfe en 1990)
L'effet du temps.
Vis-à-vis des problèmes d'actualisation (voir le cours) dans le cas des évolutions des
sommes des actions dans une définition rigoureuse, le cours instantané c’est l'évaluation de la
chine des divedents d à venir pendent les n année d'une action, majorée de sa valeur
résiduaire Rn en fin de vie, le tout actualisé au taux d'intérêt t du moment, ce qui n'écrit.
n

∑d + R
1
n
C=
(1 + t )n

Commentez :
• "La bourse est le temple du capitalisme."
• "La bourse est le dernière niveau d'une marché, mais une marché spéciale qui ne se
ferme jamais". Fernard Brandel
• "Que tu ne peut pas imagines, quelque fois tu peut acheter." Stamislar Jerzy Lee

Questions :
1. Quelles sont les avantages d'une entreprise :
a) -d'être membre dans une bourse pour étalonner les valeurs de ses actions sur la marché du
capitale?
b) -pour participer dans une bourse des marchandises et du vendre dans ce manière une
partie du ses produits par l'intermède du bourse? Limite-t-elle les transactions directes qui
l'entreprise respective peut effectuer sur la marche ?

2. Vous êtes dans une association de 10 fermiers qu'ils ont ensemble une surface de 200 ha
ou on cultive du blé. Quels sont des avantages de la
participation à la bourse et de vendange en Janvier de production de 2000 kg/ha. Nous
pensons à une production de 400 kg/ha. Le prix est de 130 $/t.
Comparez avec la situation des même opérations mois "spot" à une prix de 139$/t.
Mais dans la sollicitations d'un crédit en Janvier de 90 mille Iei avec un profit 80% qu'il est
nécessaire pour les travaux agricoles.
15. LES BANQUES

1. La banque dans la politique économique et dans l'équilibre économique.


Le passage de l’évaluation de la valeur des produits en or à laquelle en argent
(monnaie) ne peut pas nous faire d’oublier le fait que le travail de l'homme donne là valeur
pour l’or et pour l'argent. A. Smith, le fondateur de l’économie nationale moderne disait "Tout
qui s'achète avec d'argent s’acquiert par travail, comme s’il aurait été crée par des propres
bras. Le travail a représenté la valeur initiale, " la monnaie " initiale d'acquisition, avec laquelle
tout était payé. Toutes les richesses ont été acquises par travail, pas avec d'or et d'argent ".
Ludwig Erhard, " le parent du miracle économique allemand ", a tiré l'attention :
"L'argent se peuvent dépensés un seule fois ".
Le rôle extraordinaire des banques, comme des institutions, et du système bancaire,
comme un enchaînement logique d'opérations économico-financiares, c'est d'être :
• le créateur de la monnaie - par la banque centrale – c’est lui qui garant de sa
valeur comme moyen de payement - " le lubrifiant de l'économie ". En monnaie il "doit exister
de CONFIANCE (le mot clé de l’économique privée).
• il assure la conservation en sécurité du capital des clients (des personnes piques
et juridiques). Ce n'est pas un rôle de gendarme, mais économique, comme dans révolution
de la vie économique commerciale;
• le capital, le troisième facteur de production (après travail et terre) doit être
protégé pour ne se gaspiller pas, opération exécutée par des banques. Pas inutilement
Lénine tirait rétention: "Pour détruire la société capitaliste doit détruite son être financière". Les
régimes communistes, en général, ont imposé la centralisation des banques dans une seule
banque nationale et le contrôle par son étatisation. Le traditionnel rôle des banques intervient
dans les opérations de payement : l’évidence des conts, les opérations d'un conte à l'autre,
émissions des billets et des instruments de payement.
• le quatrième rôle est l’un de plus cherché dans un système économique moderne:
cel d'envoyer ou pas, d'accepter ou de refuser un crédit, ainsi de soutenir ou de bloquer un
projet, un programme. Ainsi, par propre argent, par cel qui appartient aux déposants et par cel
qu'une banque peut attirer et. Inclusivement, créer peut être soutenus des projets, des
programmes de développement ayant ses risques et ses profits.
Dans le suivante schéma sont évidents les interventions, les corrélations dans le
cadre de la politique économique entre différentes politiques, dans lequel intervient les
banques et principalement la banque centrale.

1.1 L’intervention par les taux d'intérêt dans la politique économique.


1.2
En schématisant, sont deux pouvoirs subissent l’influence de deux courants de pensée
d'inspiration Iitérale les économistes de l'offre ("supply side économies") et récole
monétariste.
Les principales idées sont :
a) des taux d'intérêt élevés induits par une baisse de la pression fiscale
(la déréglementation, la limitation des dépenses publiques et une baisse de la pression
fiscale)
Base des impôts Hausse
plus forte que -—► Déficit budgétaire ► des taux
celle des dépenses d'intérêt

b) des taux d'intérêt élevés induits par une politique monétaire rigoureuse.
Une priorité absolute doit être accordée à la lutte contre l'inflation, la stimulation de la
croissance ou de remploi ne constituent pas des objectifs immédiats, mais des objectifs de
moyen terme. Une dernière option s'applique aux moyens de la politique monétaire, alors que
certaines pays utilisent, pour limiter la création de monnaie, l’encadrement du crédit qui est
une méthode de contingentement - les autorités monétaires américaines mettent en oeuvre
une pratique plus indirecte de l’régulation - qui consiste a rendre la monnaie centrale doit les
banques ont besoin plus rare et plus chère, et donc à favoriser une hausse des taux d’intérêt :
Comme principe la politique monétaire seule ne peut pas solutionner une situation
économique critique. Elle doit être complétée immédiatement par une politique industrielle
d'orientation économique, elle doit stimuler la production et l'export.

2. TYPE DES BANQUES

2.2.1 Banques internationales


2.1.1 Le Fond Monétaire International (F.M.I.)
Le FMI a commencé à fonctionner au 27.12.1945, ayant en 1996 I78 de pays. Son
intervention est, principalement, pour :
- l'encouragement d'un commerce équilibré.
- le soutien pour lès pays membres de garder l’équilibre de la balance des payements
externes,
- libéralisation du commerce et des accords de payements.
FMI n'a pas aucune autorité effective pour la politique économique interne des pays
membres. Les emprunts pour honorer les obligations financières sont conditionnés d'adoption
des réformes économiques. Ne font pas des reconditionnements que les mesures avec un
caractère général : la réduction des frais de gouvernement, la pratique des cours d'échange
réalistes, la libéralisation des activités économiques. Comme exemple, c'est le "traitement"
appliqué au Grande Bretagne au commencement de l’année ‘80 et pour notre pays en 1995.

2.1.2. La Banque Mondiale


Les caractéristiques des trois principales institutions du Banque Mondiale sont
présentées
dans le tableau suivant :

Institutions de Banque mondiale


ASSOCIATION
BANQUE INTERNATIONALE
INTERNATIONALE DE SOCIETE
POUR LA DEVELOPPEMENT FINANCIERE
RECONSTRUCION ET -IDA- INTERNATIONALE
LE DEVELOPPEMENT -SFI-
-
BIRD-
Promouvoir le progrès des pays en
Objectifs développement par l’apport d’une technique et Mobiliser des
financière destinée principalement à des capitaux intérieurs
projets spécifiques et étrangers pour
encourager la
croissance du
secteur privé
Année de 1945 1960 1956
création Roumanie-1971 Roumanie-1990
2.1.3. Les institutions régionales
La Banque Européenne pour Reconstruction et Développement
Objectif : le soutènement financière du programme de développement de l'Union
Européenne, du secteur privé.
Année de création: 1991, Roumanie 1992
* Autres banques régionales :
La Banque Interaméricaine (1954) de Développement
La Banque Africaine (1963) de Développement
La Banque Asiatique (1966) de Développement
La Banque Céntro-américaine d'Intégration Economique (1959)
La Banque Internationale de Coopération Economique (1959)
La Banque de Développement des Caraïbes (1969)
Le Fond Monétaire Arabe (1976)

2.2 La Banque Centrale (La Banque Nationale)


Elle est spécifique pour chaque Etat.
Exemples représentatifs :
Banque Anglaise (1694), initialement a été fondée comme une banque privée pour envoyer
chargeant au Gouvernement. En 1946 le Parlement l’a posée sous le contrôle du Gouvernement.
Deutsche Bundesbank, ayant le siège à Frankfurt, l'une des plus importantes institutions
bancaires mondiales, indépendante dans ses décisions et le garant de la stabilité monétaire pour l’une
des plus fortes monnaies européenne : la marque allemande.
Banque de France, crée en 1880, a été nationalisée en 1945.
Banque Nationale de Roumanie, crée en 1880 avec un capital initial de 30 mil. lei dans lesquels
10 mil appartenaient à l'Etat. En 1901 l’Etat s'a retiré son crédit, mais il est revenu en 1925. A la fin
de Tannée 1946 BNR a été étatisée.
Le rôle de la Banque Centrale.
- émet la monnaie nationale et établit la politique monétaire,
- superviseur des banques et de la place monétaire ("établit les régies du jeu)
- soucient la politique du Gouvernement et la position de la balance des payements
Nous présentons dans le suivant graphique l'intervention de la Banque Nationale pour que par une
intérêt réelle positive (supérieure que la tranche d'inflation) elle peut changer le cours d'évolution de
l'inflation dans la période nov'96-jari.'97

Terme
550% d’inflation
L’intérêt de
refinancement
200

S O N O 96 J F M A M J J A S O N O 97
L'évolution de l'inflation.
Apres un interview pris a Mugur Isarescu le gouverneur de BNR –Adevarul
Econimic, nr. 13/28.03.1997

- 114 -
Pédant le mois du mars ‘97 la structure de refinancement de BNR dans tout le système
bancaire était la suivante :
1. Refinancement de BNR 11%
2. Fonds propres 7%
3. Autres " . 29%
3 . Dépôts publics 4%
4 . Disponibilités, et dépôts
des personnes juridiques 18%
6. Disponibilités et dépôts
de la population 28%
7. Des passives interbancaires 3%

2.3 Les banques de dépôt - sont celles dont l'activité principale consiste à effectuer des
opérations crédit et à recevoir du publique des dépôts de fonds à vue ou à terme.
2.4 les banques d'affaires - ont pour activité principale la prise et la gestion de
participations dans des affaires existantes ou en formation. Ce type de banque n'existe guère qu'en
France s'explique par des rations historiques.
Partout ailleurs, il existe des banques mixtes menant de paire l’activité d'affaires et celle de
banque de dépôts.
Dans une période caractérisée par des taux d'intérêt réels, les entreprises manifestaient une
préférence pour les opérations en capital a priori moins coûteuses que l'endettement direct auprès
des banques
Par ailleurs, la primauté donnée à la croissance extrême ainsi que le phénomène de
restructuration industrielle entraînant fusions et acquisitions (perspectives du grand marche européen
unique), le montant des commissions afférentes à attisé la concurrence.
Les services que rend le banquier d'affaires relèvent d'une information précise, d'une grande
expérience, très spécialisée acquise par ion état major, d'un réseau de contracta nationaux et
internationaux. Son activité principale est la réorganisation de l’entreprise. Le rôle d'un chef
d'entreprise est d'innover, de découvrir le besoin latent qui n'est pas satisfait et d'assembler en une
entreprise tous les éléments humains, financiers, matériels qui permettront de répondre à ce besoin.
La notion de groupe, au sens de réseau d'influence, joue aussi un rôle capital dans le
fonctionnement d'une banque d'affaires. Le groupe est constitué partout des entreprises aux quelles
elle a apporté ses services et dans lesquelles eue conserve une influence. Le groupe industriel
(comme holding) suppose un lieu de subordination plus ou moins étroit, mais qui subsiste toujours,
entre la cellule centrale et les éléments périphériques. Les relations entre une banque d'affaires et
les entreprises de son entourage sont beaucoup moins structurées.
Une banque d'affaires est presque un ensemble capable de capter et d'analyser le maximum
d'informations et de tirer ensuite la meilleure partie :
- informations sur l’économie générale,
- informations sur les conditions d'exploitation à court, à moyen et à long terme de chaque
branche industrielle ;
- informations sur les entreprises ;
- informations sur les idées et les techniques.
Avec des moyens restreints une banque d'affaires peut ainsi jouer un rôle de catalyseur et
déclancher des réactions créatives par la seule diffusion, dans un milieu réceptif, d'une information
d'haute qualité.
2.5 Les banques commerciales.
En constituant une catégorie beaucoup plus large on peut inclure des banques consacrées
proprement-dit pour les relations financières, les établissements du secteur mutualiste et coopératif
(crédit agricole, crédit mutuel), les banques populaires.
En présent, les économies de population sont beaucoup plus concentrées par l’intermède
des investisseurs institutionnels qui sont par exemple les banques qui s'assument la responsabilité
de garder ces économies et de gagner par un taux.
2.4.1 La Maison d'Economies et de Consemnations (CEC)
Crée en 1880, elle a un réseau d'agences dans tout le pays ayant la garantie d'Etat pour les
sommes déposées. Les opérations de consemnation consistent dans des dépôts qui font l'objet des
litiges (les retenues de salaires, les honoraires pour les experts, les garanties enfargent déposées
des personnes qui géstionnent des valeurs etc.). Les sommes en/argent consignées au CEC ne sont
pas porteurs de taux.
2.6 Les banques d'investition pour le soutènement des projets des programmes de
développement pour un moyen et un long terme.
3. RELATIONS, CLIENT- BANQUES
3.1. Services bancaires – (les services bancaires sont assez de nombreux ainsi que dans un
pays comme France, les banques doivent avoir le même nombre d'embauchés comme dans
l'industrie d'automobiles)
Voila quelques d'entre eux :
-l’évidence des opérations en coûts courants ;
-on accorde des crédits pour des personnes physiques et juridiques pour terme court,
moyen, long ;
- on génère des dépôts bancaires ;
- le service de caisse - désigne l'ensemble des services matériels que les banques offrent
pour leurs fonds à leurs clients;
- des opérations en ce qui concerne les instruments de payement et de crédit ;
- l’émission des saisisseurs de garantie bancaire ;
-accorde de diverses placements (des fonds communes, des payement des sociétés
immobiliers). Les placements à terme sont caractérisés par une certaine indisponibilité des noms
déposés. Les placement financiers se font individuellement ou collectivement, a travers les SICAV
(Société d'Investissement i Capital Variable);
- enregistre les ordres de bourse ;
- propose des conts ou des plans d'économie en scope immobilier;
- les opérations à l'étranger le change (pour procurer des devises), d'obtenir des chèques de
voyage etc. ;
- activités de consultance dans le domaine bancaire, fiscal, juridique, de placement ;
-le louage des coffres-forts pour des documents importants ou pour des valeurs
matériels.
Un exemple pour la réduction du numéraire dans circulation la plus parte des payements
s'effectue par des chèques. Comme ordre de grandeurs les opérations de compensation centralisée
des chèques, qui provient de 3000 de guichets en Paris, représente le changement de 3 millions des
chèques par jour. C’est un système électronique modem avec collage magnétique de caractères (10-
150 opérations / sec.). Le système SIT (Le Système Interbancaire de Télécommunications) inclut
dans le schéma logique suivante se place dans un ample circuit de communications inter-bancairès :

L'ordre de transfert
La banque du
client A

'
Chambre Calcul de Système
De compensation Système SWIFT
compensation (virement des SIT pour des transferts
(chèques) fonds) Système internationaux
Interbancaire de
Telécopensation


f
La banque du citent B

Transfert effectué

Schéma logique pour un mouvement des fonds entre 2 banques

3.1.1. Les crédits bancaires


Les crédits bancaires sont des opérations contractuelles par lesquelles une banque transmet
à une société commerciale ou à une personne une somme d'argent pour l'utilise une période du
temps pour un but (affaires, investigations), avec l'obligation de restituer l'argent et les intérêts
afférents conformément aux prévoyances convenues.
Types des crédits :
-comme durée : pour terme : court (<1année), moyen (1-5 années), long (5-10 années) ;
-comme cautions : negarantis, garantis (par gage/hypothèque)
-comme zone géographique : internes, externes (internationales)
- Crédits accordés des, institutions financiarés, internationales. (FMI, BiRD etc.)
- Crédits gouvernementaux - accordés par des institutions gouvernementales.
- Crédits rendving - qui se renouvellent pour une courte période, en permettant ainsi la
mobilisation d'un emprunt pour moyen terme.
- Crédit hypothécaire - pour, les propriétaires d'immeubles, l’immeuble - même constituant la
garantie (ils peuvent accordés pour 10-30 années).
- Crédits techniques - dans le cadre d'un clearing avec un ou deux conts.
- Le crédit lombard -crédit de refinancement (des règles entre les banques), garanté par
des feuilles de valeur.
-Crédit lie – l’accordage du crédit est conditionné de créditeur par des achats des produits.
- Factoring - même si l'entreprise, les unités productives peuvent être accordées pour des
périodes de temps déterminées à une société de spécialité et après ça elles reviennent par un
contracte habituel.
- Le crédit documentaire - accordé par une banque ou donnant à l’exportateur comme à
l'importateur toutes garanties, le système reposant sur des documents et sur l'intervention des
banques
- Crédit – bail, contracte de louage – l’équivalent d'un louage pour des produits industriels
comme des valeurs très grandes.
Opérations préliminaires pour octroyer un crédit :
a) Il est nécessaire de connaître :
- la situation économique et financière, révolution de solliciteur du crédit (mode d'administration,
l’évolution de production, la situation d'équipements techniques, le bilan comptable le conte des
profits et des pertes) ;
- le projet, le programme proposé, le plan d'affaires, l’étude de faisabilité;
- l’évolution des relations avec la banque (confiance, sérosité, perspective);
b) La garantion du crédit se peux faire par:
Gage- la garantie par des biens mobiles qui est constituée dans les marnes du créditeur ou d'un
tert, en général, pour des obligations d'une valeur réduite. Il peut être constitué et par des contrats
d’export, des actions, des obligations ou des autres titres des valeurs.
Il peut être effectuer - avec dépossession - les biens sont données à la banque créditeur;
-sans dépossession - les biens confèrent la garde de propriétaire.
Hypothèque - une garantie réelle, immobilière avec un droit pour l'un immeuble du débineur.
Dans le cas qu’on ne peut pas payer le créditeur a le droit de demander l’exécution forcée pour
l’immeuble même si, dans cette période, il a été aliéné. Avec la somme obtenue on se couvre
premièrement les obligations pour les créditeurs et les taux afférentes.
Dépôts en lei et en devises.
Lettres de garantie - émis par des autres banques ou par des autres institutions financiers
nationales ou internationales, qui sont agrées par de créditeur.
b) L'octroi d'un crédit
dans le contrat effectué on doit mentionner :
- la somme créditée, la durée, l’échéance;
- le but dans lequel sera utilisé ;
- les graphiques de remboursement;
- le taux accordé ;
- les garanties en ce qui concerne l’assurance du crédit ;
- les pénalisations, la juridiction.
Principales types de taux :
- est fixé par des négociations entre les parues;
- invariable - pour la durée du crédit ou du dépôt constitué;
- réel positif - plus grand que la tranche d'inflation;
- variable - le pourcentage de taux se change pendant la période du crédit en fonction de la
politique bancaire.
- usuel - le taux pratiqué sur le marchées crédits;
• Les commissions - représentent la valeur des services pratiques d’une conte du client (ex.
pour les dépôts environ 0,5-1%)
• Les dépenses bancaires des diverses dépenses effectuées de banque pour le client sont
récupérées de lui (ex. formulaires, téléphones, fax etc.)
-Le chèque, le chèque au porteur
-Accréditif documentaire l'acheteur veut être sur que le payement à son fournisseur ne sera
effectué qu'après livraison de la marchandise c'est pourquoi il exige des documents apportant la
preuve d'expédition. Le vendeur souhaite également avoir la certitude d'être paye aussitôt qu'il aura
expédié les marchandasses dans des conditions requises.
- Le billet à ordre - il émane de l'initiative du débiteur
- La lettre de change - un créancier donne à son débiteur l’ordre de payera une troisième
personne une somme déterminée, à une échange donnée,
- La traite (un lettre de change a jour fixe)
• La banqueroute et le moratoire :
- La banqueroute - représente l’état de cesse les payements à côté des créditeurs par une
entreprise, déclarée ainsi d'instance de jugement.
- peut être I - simple (des dépenses plus grandes pour l’état économique).
I - frauduleuse - tous qui ont éloigné intentionnel, ont soustrait une partie des
marchandises ou ont falsifié l’évidence comptable.
-Le moratoire :
- l’ajournement des payements pour des dettes, accordées dans des
circonstances dans des zones par une instance juridiques, jusqu'au 6 mois; il ne peut pas admet un
deuxième moratoire pour la même période de 6 moins.

THEMES DE REFLEXION :

La Banque Eclatée - par Lowell BRYAN. Inter Editions, Paris, 19E9


L'étude a été édité en SUA en 198S et traduit en France Tannée suivante. Il se réfère à une
série des problèmes des banques américaines dans les dernières décennies et leur applicabilité est
discutable pour France. La reproduction de ce text a été réalisée pour la connaissence des points de
vue actuels et, évidemment, par une perspective moderne, même si l'applicabilité en notre cassera
plus dure.
La volonté d’agir
Je n'ai pas défini jusqu'ici que les grandes lignes de la banque éclatée le système dans son
ensemble, son intérêt pour le grand public et la nécessité de modifier la réglementation de fond en
comble.
Mais, en vérité, les changements de grande amplitude, à l’échelle nationale’
n’interviendront sans doute pas de si tôt. La tache est trop vaste, et le sentiment de l’argence n'est
pas encore assez fort pour galvaniser le législateur et l’autorité réglementaire. Pendant ce temps,
beaucoup des banques et de caisses d'épargne volent leurs perspectives d’assombrir. Que peuvent-
elles faire pour améliorer leur situation en attendant un assouplissement réglementaire qui risque de
tarder? Par chance, elle viraient prendre ne dépendent en réalité pas d'une modification de la foi, ni
des règlements.
Le problème est que la plupart des grands responsables de banques sont actuellement mal
préparés à agir. Ils se sentent désorientés. Les activités confortables, traditionnelles au sein des
queues vous avez fait votre carrière, sont en train de changer, au point que vous les reconnaissez a
peine. Beaucoup d'entre vous s'en sont tires jusqu'à présent en niant que les choses aient réellement
changé et en faisant comme si un jour, miraculeusement, les marges sur les prêts devaient se
reconstituer, la concurrence s'atténuer, et les nouvelles technologies disparaître. Vous vous
comportez comme si les événements en cours relevaient d'un phénomène cyclique, plutôt que
mutation-fondamentalle des structures.
Je crois que vous devriez procéder par étapes. Premièrement, ayez le courage de refuser
les risques de prêt antiéconomique ou les risques des taux excessifs. Deuxièmement, adoptez, la
technologie du crédit titré au lieu de rester à l’écartes. Troisièmement, entreprenez le dur travail
d'analyse qui permettra de mettre à la réalité économie de votre institution, ainsi que ses forces
et ses faiblesses foncières. En fin, prenez votre courage à deux mains et allez de l'avant.
Si vous refusez l’échec, vous devez trouver le courage de résister aux tentations de routine.
Ce qui peut vouloir dire, refuser des crédits quand les risques est supérieurs en rendement. Par
exemple, les prêts aux grandes entreprises comportent pour là plupart des banques les risques
supérieurs à leur rémunération...
L'une des tentations aux quelles succombent les perdants est de compenser l'érosion des
marges par l'accroissement des volumes. Tout ce qu'il parvienne à faire est alors de développer plus
encore une offre improductive, ce qui aggrave le problème de la surcapacité.
Aller de l’avant.
Dans un secteur ou l'offre est pléthorique, comme c'est aujourd'hui le cas du secteur bancaire
l’une des pires erreurs serait d'appliquer la même stratégie que vos concurrents...
Quand la concurrence est rude, l'élimination des activités et des fonctions qui ne sont pas
compétitives est en tous points aussi importante que le renforcement de celles qui le sont
Au cours de ce processus, il est essentiel de dépasser l'idée reçue selon laquelle votre
institution doit être un fournisseur intégré. Les banques ont tendance a tout faire elles mêmes toutes
les fonctions qui vont de la. conception à la livraison d'un produit, en passant par le marketing, la
vente, la production et l’après-vente, alors qu'elles paraient aire d'énormes économies en sous-
traitant ,une partie du travail ...
Nous avons vu une banque prendre 30 millions de dollars par an el la transformer, en
dix-huit mois seulement dans une affaire de deux mille personnes dégageant 25 millions $ bénéfice
annuel.
La marche à suivre pour les petites institutions
L'un des aspects originaux du système financier américain était et est toujours le rôle qu'y
jouent les petits établissements. Les petites banques à sucoursale unique sont des entreprises
relativement simples. Celles qui fonctionnent bien dépendent généralement d'une seule personne -
d'habitude leur président - qui souvent est aussi factionnaire principal. La valeur ajoutée dégage ou
non par rétablissement dépend largement de la compétence de ce dirigeant...
Le choix essentiel, pour la plus part des banques locales ou de communauté, est de savoir s'il
faut se consacrer aux seules emprunteurs en tant qu'initiateur ou aux seuls épargnants en tant
qu'initiateur ou aux seuls épargnants en tant établissement de dépôts « hors risque », ou bien
continuant à servir à la fois emprunteurs et les épargnants ...
Guidés par la rationalité économique, la plus part des dirigeants de petites banques locales à
guichet unique devraient les vendre à des banques de communauté ou régionales pour en faire des
succursales. Après quoi, ils pourraient envisager de jouer un rôle d'initiation au sein de ces succursales, en
travaillant à la façon des petits courtiers en prêt hypothécaires ou en assurance. Je pense que la plus part
des dirigeants de banques de communauté dotées de bons réseaux de guichet continueront à se consacrer
à la collecte des dépôts, beaucoup jouant un rôle important d’initiateur, mais avec une gamme des produits
plus restreinte. Tels devraient être le cas le plus fréquent mais nombre des petits banquiers titéront sans
doute part de compétence particulier en s'investant des rôles spécialisés. Par exemple, les bons
gestionnaires de patrimoine pourraient se spécialiser dans de courtage de titres auprès des particuliers, ou
dans la gestion et le placement des parts d'organisme de placements collectifs en valeurs mobilières.
• « L'argent sont la liberté matricée»
Dostoïevski
• « Tout est à distance de marche lorsque vous avez le temps. »
Steven WRIGHT
• »Un fanatique est quelqu'un qui ne peut pas changer d’idée de ne veut pas changer de sujet. »
Sir CHURCHILL
• « Aucune occasion d’affaires n'est jamais perdue; si, vous la bousillies vous compétiteur
n'en emparera. »
-Inconnu-

QUESTIONS

1. Commentez l’utilité, la nécessité, de soutènement de majeurs programmes au niveau


macroéconomique par FMI, La Banque Mondiale ou dés banques régionales (BERD). Elles n’intervient dans
les "problèmes Internes " d'État, dans la politique nationale?
2. Comment peuvent les banques de stimuler la politique économique, la production et
l'exportation? Donnez un exemple !
3. Comment s'est possible que (l’industrie, l'agriculture, les transports, les services - en générale
toute l'économie - se peuvent mentir dans une grande sous-développement, d'être un régression, de souffrir
dé décapitalisation et les banques de prospérer?
4. Comment expliquez vous les grandes retardes en ce qui concerne la privatisation des banques ?
Comment s'explique l'intervention des facteurs de nature économique dans ce cas?
5. Expliquez la ration, la motivation d'une activité productive dans les conditions quand la tranche
du profit est plus petite que la tranche du taux?
- Comment peuvent les banques de soutenir des taux réels positives dans les conditions d'une
forte inflation et d'un modeste rythme de croissance économique ?
6. Comment procéderiez vous pour bénéficier d'un important crédit, pour une activité productive.
Présentez :
- l'algorithme des étapes parcoure ;
- l’assurance des garanties bancaires ;

7. Argumentez les avantages et suggestionnez une faveur d'une banque d'affaires pour la
restructuration d'une banque commerciale dans une banque d'affaires.
8. Formulez votre initiative, votre offerte pour soutenir le système bancaire pour :
a) - une informatisation massive par des réseaux d’ordinateurs ;
b) - la généralisation dans un court intervalle de temps des opérations bancaires pour le
dépôt des salaires, des revenus, des impôts et la réduction massive de la circulation du monétaire
9 . VOUS avez une économie de 25 millions lei pour acheter une voiture. Vous vous ajournez
l’achat avec une année pour des taux avantageux pratiqués d'une banque.
a) Quel sera le profit que vous obtenez par le dépôt d'argent dans cette banque avec des
suivantes conditions des taux :
-2 mois 65% ; - 3 mois 85%
-3 mois 135% ; - 3 mois 60%
-1 mois 45 %
b) Quel devrait être le profit moyen mensuel que vous l’obteniez par l’exploitation de voiture
pour dépasser le profit par le dépôt bancaire ?
c) Dans des conditions d’inflation à quel prix de la voiture après une année l’ajournement est
avantageux pour vous?

15. L'INFLATION
1. Phénomènes d'inflation
L'inflation désigne le phénomène qui pousse l'ensemble des prix à la hausse.
Mais, toute hausse du prix n'est pas inflationniste. Elle devient inflationniste au moment où :
• les prix nationaux augmentent plus vite que les prix étrangers.
En effet, à ce moment-là les exports sont freinés et les imports facilités.
La différence entre les prix nationaux et les prix étrangers est nommée écart
inflationniste
Dans l'image on présente lès influences contradictoires dans la maintenance de
I’équilibre du prix:
Fig. 100. L’équilibre du prix
Conc
urrenc
e

PRIX
Benefi
ces+
couts

a) l'augmentation des coûts et du taux de profit pousse les prix en haut;


b) la concurrence interne et externe limite les augmentations possibles.

Le taux d'inflation représente l'augmentation en pourcentage du niveau du prix:


Taux d'inflation =(P1-P0)/P0*100 ou:
P1 - représente le niveau des prix de l’année courante (ou autre période, comme un mois);
P0- désigne le niveau des prix de l’année dernière.
• la hausse des prix se généralise et parait devoir se prolonger indéfiniment. Ainsi la hausse des
prix des jouets durant les fêtes du fin d'année ne peut être considérée comme inflationniste;
• la hausse des prix a des aspects économiques et sociaux pathologiques.

Toujours l'inflation a été vue comme une « désordre des désordres" de l'économie. Un exemple :
celui de l'Allemagne des années 1922-1923. Les salaires ont été payés chaque jour. Les prix ont
augmentés en quelques mois exponentiel. Avec les sacs d'argent gagnés on marchait directement au
marché avant l'augmentation des prix de l'après-midi. Un paquet de beurre (450 g) qui coûté 3400 DM
en février 1923 a atteint 26 milliards en 29 octobre et 280 milliards a 5 novembre.
On mentionne deux aspects :
a) - l'effet de l'action sur le cours de change
b) - la correction du taux de chômage

a) L'effet de dévalorisation du cours de change* déclenche un mécanisme économique :


- le premier moment de croissance du prix des produits importés;
- le deuxième moment : le prix des produits nationaux à l'étrangère se diminue (est payé
avec moins de dévisses);
- le troisième moment: les quantités exportées augmentent. C'est la telle dite
"compétitivité par prix" ;
- le quatrième moment : l’équilibre économique général est perturbé. On peut dire "plus
d’inflation moins d’augmentation"
La représentation graphique se fait par la "courbe en J ".
Une présentation schématique (10) est faite dans la: fig. 102 ce qui met en évidence une
attention vers équilibre monétaire et les conséquences de
l'amplification par le mécanisme de l’inflation
Fig.101 Les effets de la dévalorisation du taux de change sur
la balance commerciale.
Le coût supplémentaire des importa (10%) entraîne
premièrement un déficit commercial supplémentaire. Plus la
croissance des ventes à l’étranger et la réduction des quantités
importées compensent le déficit initial, en créant un excédent. Mais
pour ce-là on doit attendre environ 18 mois.
• Le cercle vicieux des monnaies faibles réponses sur un enchaînement du type:

Dépréciation Baisse des prix Failbe hausse


des exportations des volumes

Hausse des prix Maintien des


Déficit Inflation
des exportations volumes importés

Alors que les cercles vertueux reposent sur des enchaînements inverses:

Compétivité
Hausse(faible)
Appréciation des prix à
l’export
Maintien des
volumes
Excédent Inflation Baisses des
continue prix des
importations Maintien des
volumes

Fig.102 Cercles vicieux, cercles vertueux


b) La corrélation de l'inflation avec le taux de chômage
En 1958 A.W. Philips, ingénieur en électricité devenu économiste explique par la courbe de
Philips une relation entre la réduction du rythme d'inflation et hausse du taux de chômage, qualifiée
d'inflation réelle par opposition à l'inflation monétaire (le terme "réel" désigne ici les mécanismes de
production ou de répartition des revenus).
Selon Philips, le taux de chômage est un indicateur de la pression exercée par la demande sur l'économie
chômage est faible, le P.I.B. réel excède sort niveau à long terme, la congestion augmente et l'inflation s'accélère. L
chômage est élevé, le P.I.B. réel se trouve en deçà de son niveau à long terme et l'inflation diminue.

Taux d’inflation
14

10

2 4 6 8 10 Taux de chômage
Fig. 103 Trois courbes de Philips
La courbe de Philips était rénsée représenter les choix possibles en matière de chômage et d'inflation, c'est
possibilités qui s'offraient aux responsables de la politique économique. Ces dernières pouvaient opter (au milieu
pour un taux de chômage faible au prix, cependant d'une inflation élevée, ou encore pour une inflation f
un chômage élevé.
Une remarque: l'ordonnée de la courbe de Philips concerne les salaires réels. Dans cette hypothèse, les suje
s'attendent à une stabilité des prix. De par cette "illusion monétaire", ils considèrent un salaire nominal comme un sa
L'abordation est incomplète et on ne la recommande pas du point de vue applicatif managérial, même dans le
actuelles d'une évolution importante des mouvements syndicales et des standards de civilisation.
1. Quelques données pour notre économie
Le tableau ci-dessous présente la situation de notre pays pour l’année 1996 (selon La Commission Nationale
Ministère des Finances)

Indicateurs UM Nov ‘95 Dec '95 Oct’ 96 NOV '96


macroéconomiques

1.Production industrielle Mrd lei 4.712,0 4.507,5 7.475,2 7.418,3


variation mensuelle (%) 1,2 -15,4 8,0 -3,1

2.Commerce intérieur (%) 0,3 -1,0 5,4 1,2


ventes de marchandises -10,3 9,1 -5,1
services commerciaux
(%)
pour la population
3. Nombre de mil pers 983,0 998,4 659,5 644,6
chômeurs quote-part (%) 8,7 8,9 6,3 6,1
du chômage

4 Gains par 252.217 282.995 374.633 380.375


salaires moyenne Lei/pers 4,0 12,2 9,7 1,5
nette variation (%)
mensuelle
5. Quota - part
mensuelle d'Inflation (%) 4,1 3,7 3,4 5,8
- produits alimentaires (%) 3,8 4,5 3,6 5,8
- produits ne alimentaires (%) 4,2 2,9 3,2 6,8
-services (%) 4,9 3,0 3,4 3,0
Sommes cumulées du (%) 23,3 37,8 34,5 42,2
début d'année

(%) 25,8 27,8 45,1 47,4


Par rapport à la même
période de l'année
précédente

1.1. Evolution des objectifs du politique économiques met en valeur une succession historique.

Equilibre de la
I. « AXE » de la politique classique Stabilité des
balance des
prix

Plein-emploi
II. « TRIANGLE » Keynésien
Stabilité des Equilibre de la
prix balance des

III. « CARRE » de la croissance


Harmonisée
Equilibre de la
Stabilité des
balance des
prix
paiements
Croissance
IV. « PENTAGONE » d’une nouvelle
Société
Plein-emploi

Equilibre de
Stabilité des
la balance
des

Fig. 104. Objectifs des politiques économiques et l’inflation.


Egalisation
Croissance
des revenues
et chances

2. Qui est coupable pour l’inflation?


Il est curieux qu'un phénomène économique si difficile, pratiquement, tous les "joueurs" sont impliques. Tou
plus ou moins, les conséquences de l'inflation et pourtant on contribue à son développement.
• Les gouvernements déclarent la lutte contre l’inflation; l’Etat devrait être innocent. En réalité,
augmentation des prix et on touche des revenus fiscaux, les cotisations sociales indexées par rapport
augmentant la fiscalité les gouvernements relancent délibérément l’augmentation des prix et le maintien de l'i
• Les banques reçoivent des intérêts plus grands que la quote-part d’inflation et elles profitent de toute
d'intérêts étant coupables du maintien de l’inflation.
• Les entreprises sont celles qui créent les produits et les services; ici se forment les coûts qui donnent les p
Coûts + bénéfice = prix
Dans le désir, d'une part de "camoufler" dans les coûts toutes ses différences (d'organisation, managéri
technologiques, d'approvisionnement intérêts etc.) et de l'autre, d'obtenir un profit plus facile, l’intérêt immédiat; surto
d'un management modeste - c'est d'augmenter les prix et d’entretenir cette manière le processus inflationniste.
Pour la population, l'inflation, apparemment est bénéfique pour ceux qui peuvent s'endetter. En réalité elle dév
économies.
Par exemple, par les syndicats, apparemment même dans la lutte contre l'inflation,on demande de grands sa
indexations,des protections sociales etc., qui se retrouvent en grande partie dans l'augmentation des prix et continue
Michel DIDIER (9, p.237) dit: "Chercher le coupable pour l’inflation, c'est se demander quelle est, dans
la goutte d'eau qui pousse les autres.
En fait, si on regarde autour de nous, on constate qu’un pays peut supporter long terme une bonne do
Chacun s'y habitue et s'organisé a telle manière, pour ne pas résoudre les problèmes. C'est le grand danger de l'infl
comme une drogue. Avec le temps il est très difficile d'y renoncer et pour sentir ses effets bénéfiques il faut ajouter p
une dose supplémentaire.
Au delà d'un certain seuil il y a le risque de la perte complète du contrôle, non seulement sur l’augmentation
aussi sur l'ensemble de l’économie.
En ce qui concerne la drogue inflationniste, on pont dire qu'une vie normale doit être sans drogues et su
actions qui luttent contre ces situations fortement perturbatrices du point de vue économique.

3. Politique contre l'inflation (11)


La définition - ce terme n'est pas l’antonyme d’inflation, il désigne non un état de fait mais un ensemble de me
différence de l’inflation et la déflation est, elle, une politique.
Dans les instruments qui peuvent être mis en œuvre, on peut distinguer quatre types de mesures.
3.1. Le contrôle des prix
Le problème est assez difficile car:
a) pas toute augmentation de prix détermine l'inflation; il faut envisager la
corrélation entre les prix et les revenus:
• une explosion des prix pour les matières premières importantes augmente les coûts, entraîne l’augm
active la spirale inflationniste;
• inversement, une baisse forte des prix pour les matières premières, pour l'énergie, peut être déterminante po
l'inflation,
• une augmentation excessive de monnaie (par ex. par un excès de crédit) agit sur la demande, donne I
augmentation du prix et active l'inflation.
b) " La courbe de l'expérience" (fig. 105) montre que par l'augmentation de la qualité des produits les coûts ba
donc les prix peuvent baisser. Il s'agit d'une production demandée par le marché, qui doit se vendre, non pas rester e
Couts

Production cumulée
Fig.-105 - Variation des prix du volume de production "la courbe d’expérience"
Quand la production augmente - deux fois les prix de production descendent de 20 jusqu'à 30%.

3.2. La politique budgétaire


Un aspect est ce du type d'impôt sur lequel faire fond. Tous les impôts n'ont pas la même efficacité. Si les biens fr
n'entrent pas dans les indices du coût de la vie (prix des automobiles par exemple), ces imports peuvent exercer une
dissuasive. On en a préconisé l'usage en cas d'inflation "par les coûts lorsque l'on redoutait l'effet déprimant pour les inve
d'un accroissement des imports directs. Mais ce qui semble le plus nécessaire c'est un import sur les revenue largement
l'ensemble de la population et qui soit doublé d'une taxation modérée des plus-values en capital réalisées a court terme

3.3. La politique monétaire


Elle est possible par les pouvoirs publics de trois orientations:
a)- s'en tenir -à une limite dans l'augmentation de la masse monétaire.
b)- s'enforcer de maintenir l’équilibre du budget public;
c) - laisser le taux de change flotter d'une façon "pure" (sans une intervention délibérée d’autorités monétaire sur
de façon qu'il rejoigne son niveau d’équilibre.
La restriction des crédits confort les chefs d'entreprises dans leur résistance des capitaux nationaux qui demeu
l'étranger.

3.4. D'une politique des revenus


Les mesures budgétaires ou monétaires comportent un risque de chômage; elles s'inspirent aussi du principe qu'i
un relèvement des flux réels par rapport aux flux monétaires; et que ceci suppose la modération de la hausse des rémun
Dans une économie en rapide croissance, la politique des revenus visait à partager ses acquêts entre salaires e
en préservant la part des profits d'aujourd'hui c'est-à-dire les possibilités d'investir demain et d'entretenir la croissance
Le but de la politique économique serait d'abaisser la moyenne arithmétique des salaires nominaux et
deux augmentations faute de parvenir en réserver l’écart. En appellent R les revenus nominaux et P l’indice des prix, l
réels demeureraient constants: ∆R/∆P=1. C'est la politique le maintien du pouvoir d'achat.

Commentez:
• " Mieux vaut l'inflation que le chômage ", notre pays ne connaissait ni le chômage élevé, ni rapide inflation, m
chômage et inflation sont associés, le problème ne se pose plus en termes de balance entre deux maux dont on pou
moindre. »
G. Pompidou
• " Ce rôle des anticipations collectives, c'est-à-dire des prévisions qui, par extrapolation, annoncent la hauss
à ce point déséquilibrant que l'on a pu soutenir qu'il suffirait - pour que l'inflation soit sans grand danger - que son tau
prévisible sans trop d'inexactitude. Un taux régulier et modéré d'inflation serait, en quelque sort, intégré dans l'expect
sujets; il aurait un caractère probable, pris en compte dans leurs calculs, mais un tel système serait en réalité instable
explosif; les erreurs constatées, c'est-à-dire écarts effectifs observés par rapport aux estimations, peuvent alors exer
"pervers". La croyance a une inflation modéré et prévisible, si elle est déçue, se relève comme un accélérateur d'infla
l'hyperinflation est précisément le cas ou les anticipations de hausse sont, quand à leur montant, imprévisible.
[11,p.75-76]
• "Dans des conditions inflationniste on recommande - si on n'est pas contrainte par certains obligations spéc
pas vendre des produits d'une certaine valeur (par exemple une maison, un terrain, un automobile. bijoux,oeuvre d'a
N'est pas cette affirmation en contradiction avec même l'essence de l'activité commerciale ?

• La stabilisation des salaires" - comme mesure contre l'inflation.»


P. Haine (Univ. Washington - Le modèle économique de réflexion)

Thèmes de réflexion.
•« La volonté dit: "Je fais". La paresse répond: « Je ferai! » »
François GERVAIS
•"Il y a toujours du pensé dans le présent".
Alphonse de LAMARTINE
•"Ne pas prendre les décisions, c'est en prendre une mauvaise".
Proverbe berbère
• « La plus belle chose que nous puisons éprouver c'est le mystère des choses! »
Albert EINSTEIN

QUESTIONS
1. Pour la situation de notre pays durant les derniers années présentez un exemple d'inflation et des ses
a) - du point de vue du citoyen (rémunéré ou pensionnaire);
b) - du point de vue d'une entreprise par le prisme de ses relation avec le marché et avec la possibilité de soutenir de
programmes de développement des projets internationale; "
c) - du point de vue d'une banque inclusif de son offre pour protéger les dépôts de ses clients contre l'inflation.
d) - du point de vue de la politique gouvernementale.

2. Vous êtes confronté à la situation suivante dans une entreprise: l'organisation syndicale sollicite à cause de l'in
l'augmentation, jusqu'à la fin de Tannée, des salaires avec 60%.
L'affirmation des directeurs est que cette situation augmentera l'inflation.
D'autre part l'organisation syndicale vous assure et s'engage à réduire quelques frais matériels, pour l'énergie,
la productivité du travail telle quelle compense l'augmentation des salaires en proportion de 80% (donc prend 48% de
l'augmentation des salaires).
Comment est-ce que vous procédez? Quelle analyse vous effectuez?

3 Commentez, en faisant abstraction des aspects juridiques la situation du prochain produit inflationniste: un no
d'environ 12.000 personnes ont déposés durant 5 ans (avant 1989) la somme dé 70.000 lei, ce qui représentait le prix d
autoturism "DACIA 1300". La programmation s'était pour une période de 2-3 ans. En 1990 la possibilité d'acquisit
été annulée; les personnes en cause pouvaient retirer ses argents. Pendant cette période le processus inflationniste e
Après 7 ans les différences de prix sont complètement défavorables à cette situation. À l'époque (1989) les revenus d
d'environ 840 mil. lei. l'équivalent de plus de 100 immeubles (plus de 600 appartements); en 1997 la même voiture co
lei.
17. LE CHOMAGE

Le chômage est défini comme un excédent de main d’œuvre, c'est à dire une offre
supérieure a la demande sur te marche du travail.
Selon la définition statistique du Bureau Internationale du travail, est considéré comme
chômeur un actif sans emploi, en quête d'un travail rémunéré, et étant immédiatement
disponible.
1. Les diverses formes de chômage
• Le chômage par insuffisance de la demande il se manifeste quand une entreprise ou
plusieurs entreprises doivent réduire leur production à la suite d'une diminution de leurs ventes
(fig.1)

Moins de demande

ENTREPRISE
FAMILLE
Moins de travail
Amplification de l’insuffisance de la production

• Le chômage par insuffisance de la production contrairement au cas précédent, la demande existe, e


parfois supérieure à l'offre et cependant, les entreprises ne peuvent ou ne veulent pas produire plus et embaucher de
-les entreprises diminuent leur production et abandonnent certaines productions jugées pas rentables, dans là
la compétitivité des produits, de la qualité, ou à cause des erreurs managerielles. Il peut être sur des périodes pl
caché (le "chômage technique")

La demande existe La production n’augment pas

ENTREPRISE
FAMILLE
Moins de travail
Risque d’effet dégressif sur la demande

• on appelle le chômage structurel une inadaptation de la population active aux besoins de l'économie par le
technique qui cause un chômage technologique.
Le chômage par inadaptation du travail a plutôt un caractère assez général (législation du travail, coût de la m
alors que les inadaptations du travail seraient plutôt limitées à certaines catégories de main d'œuvre et d'entreprises

La demande existe La production peut s’accroître

ENTREPRISE
FAMILLE
Une partie de demandeurs
d’emploi est inemployable

La théorie de la recherche d'emploi formalise le comportement des travailleurs en chômage. L'idée essentielle
ces derniers ne disposent pas d'une information complète sur la localisation des emplois vacants auxquels ils peuve
En conséquence, ils sont obligés de s'engager dans une activité de prospection coûteuse en temps et en argent

La théorie du chômage de recherche a pu être considérée comme un essai de formalisation du concept de ch


frictionnel, introduit par W BEVERIDGE et étant perçu comme un chômage incompressible, correspondant au délai m
associé à tout changement d’employeur

2. Quelques mesures pour In diminution du chômage


- la préparation, la qualification, l’orientation des employés dans les secteurs (domaines) d'activité sollicité
marché
- la réalisation des nouveaux lieux de travail, en spécial dans le domaine privée
- le développement des services
- autres formes du régime de travail
- horaire flexible
- temps partiels
-la promovation des formes de protection sociale
-aide de chômage
-indemnisations
-le développement des organisations et activités syndicales aux différents niveaux

THEMES DE REFLEXION
Extraites de « La charte communautaire des droits sociaux des travailleurs ».
Libre circulation
1 Tout travailleur de la CE a le droit à la libre circulation sur tout le territoire de là Communauté, sous rés
limitations justifiées par des raisons d'ordre public, de sécurité publique et de santé publique.
2 Le droit à la libre circulation permet à tout travailleur d'exercer toute profession ou tout métier dans la
selon des principes de l'égalité de traitement, pour l'accès au travail, les conditions de travail, ainsi que la protec
pays d'accueil
3 Le droit à la libre circulation implique également
- l’harmonisation des conditions de séjour dans tous des Etats membres, notamment pour le regrou
familial;
- la suppression des obstacles résultant du non - reconnaissance de diplômes ou de qualifications
professionnelles équivalentes,
- l’amélioration des conditions de vie et des travailleurs frontaliers.

Autres chapitres :
Emploi et rémunération
Amélioration des conditions de vie et de travail
9. Les conditions de travail de tout salaire de CE doivent être précisées, soit dans la loi, soit dans une conven
collective, soit dans un contrat de travail selon les modalités propres à chaque pays.

Protection sociale (selon les modalités propres à chaque pays)


10.Tout travailleur de la CE a droit bénéficier, quel que soit son statut et quelle que soit la taille de l'entreprise
il travaille» de prestations de sécurité sociale d'un niveau suffisant. Les personnes exclues du marche de travail soit
n'aient pu y avoir accès, sort qu'elles n'aient pu s'y insérer et qui sont dépourvues de moyens de subsistance doivent
bénéficier de prestations et de ressources suffisantes, adaptées à leur situation personnelle.

Liberté d'association et négociation collective


11. Les employeurs et les travailleurs de la CE ont le droit de s'associer librement en vue de constituer les org
professionnelles ou syndicales de leur choix pour la défense de leurs intérêts économiques et sociaux. Tout employe
travailleur à la liberté d'adhérer ou de ne pas adhérer à ces organisations, sans qu'il puisse en résulter pour lui un do
personnel ou professionnel.
12. Les employeurs ou les organisations d'employeurs d'une part, et les organisations de travailleurs d'autre p
droit, dans les conditions prévues par les législations et les pratiques nationales, de négocier et de conclure des conv
collectives. Le dialogue entre partenaires sociaux au niveau européen qui doit être développé peut déboucher, si ceu
souhaitable, sur des relations conventionnelles, notamment au plan interprofessionnel et sectoriel.
13. Le droit de recouvrir en cas de conflits d'intérêts à des actions collectives inclus le droit de grève sous rése
obligations résultant des réglementations nationales et des conventions collectives. Afin de faciliter le règlement des
travail, il convient de favoriser conformément aux pratiques nationales, l'institution et l’utilisation, aux niveaux appropr
procédures de conciliation, de médiation, et d'arbitrage.

Formation professionnelle
14. Tout travailleur de la CE doit pouvoir avoir accès à la formation professionnelle, et en bénéficier tout au lon
active. Il ne peut y avoir dans les conditions d'accès à cette formation de discrimination fondée sur la nationalité. Les
publiques compétentes, les entreprises ou les partenaires sociaux, chacun dans la sphère de ses compétences, dev
en place les dispositifs de formation continue et permanente, permettant à toute personne de se recycler, notammen
bénéficiant de congés - formation, de se perfectionner et d'acquérir de nouvelles connaissances, compte tenue notam
l'évolution technique.
Egalité de traitement entre les hommes et les femmes
Information, consultation et participation des travailleurs
18. Information, consultation et participation doivent être mises en œuvre en temps utile, notamment dans le
suivants
- lors de l'introduction dans les entreprises de changements technologiques ayant des incidences importantes
travailleurs en ce qui concerne les conditions de travail et l'organisation du travail,
- à l'occasion de restructuration ou de fusion des entreprises affectant l'emploi des travailleurs;
- lors de procédures de licenciement collectif ;
- lorsque des travailleurs, en particulier transfrontaliers, sont affectés par politiques l’emploi menées par l'entr
sont affectes ;

Autres chapitres:
Protection de la santé et de la sécurité dans le milieu du travail
Protection des enfants et des adolescents
Personnes âgées
Personnes handicapées

Commentez :
"Si la protection de l’environnement est un impératif catégorique, la création de lieux de travail n'a que un cara
temporaire pour faire plus supportable la disparition des lieux de travail à l'aide de la reconversion et des stages de fo
long terme, après un moment où te travail des gens sera nécessaire pour réparer les dommages causés au l'environ
peut croire que la protection de l’environnement sera incorporée directement dans les procès productives, et ça est la
modalité de lui assurer une bonne productivité."
Les amis de la Terre. L'écologie contre le chômage, Editions La Déco

"Notre plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de nous lever après chaque chute."

Questions
Argumentez votre implication dans le cas d'une offre pour une ligne technologique robotisée de soudure, qui v
des ceux 60 travailleurs qui sont dans le présent, et de leurs salaires on récupère en proportion de 75 % en trois ann
Argumentez dans le cas d'une entreprise les conséquences de la réduction de la production, respectivement
Ça justifiera :
a) qu'on supporte une réduction des salaires du personnel ;
b)qu'on déclenche un chômage en proportion de 10 - 12 % dans l'entreprise.
GLOSSAIRE
A

Accumulation du capital - l'ensemble des moyens disponibles pour produire des biens et des services.
Accréditif documentaire (118) - l'acheteur veut être sur le payement a son fournisseur ne sera effectué qu'après liv
marchandée, c'est pourquoi il exige des documents apportant ta preuve d'expédition.
Actif - ensemble des choses de la valeur possédées par une entreprise.
Action (24) - un papier de valeur qui met en valeur le droit de propriété du celui qui détienne sur une partie du capital so
entreprise organisée comme "société sur action".'
Activité économique - ensemble des actions entreprises pour contrer la rareté.
Actualisation- (30-33) - la technique de correction pour la détermination de l'équivalent dans le présent d'un résultat éco
futur ou l'équivalent en futur de l'effort économique.
Affaire (55)- chose qu'on doit faire pour gagner d'argents, ou "une transaction avec finalité financière"
Amortissement - une estimation consommation du capital fixe; il est égal à la dépréciation qu’à subit le capital fixe au
période par suite de son usure opus de son obsolescence.
Analogique- genre du calcul effectué au moyen d'un dispositif mécanique, électrique ou électronique et dans lesque
sont transformées en valeurs physiques continues (longueur, angles, intensités ou tension de courant, etc.) avant d'êtr
S’oppose au calcul traditionnel sur des quantités discontinues correspondantes à des nombres et qui est qualifié du nu
analytique
Anticipations rationnelles d'un agent - sont, s’il utilise pour prévoir la valeur de la variable toute information dont il di
Auditive- fonction d'inspection (interne ou externe) par l'audit et ayant pour but d'éclairer, en tout indépendante,
d'entreprise sur le fonctionnement des différents rouages de l'entreprise.
Autofinancement (78-79) - financement d'un investissement ou d'une augmentation de trésorerie disponible à
ressources financières propre à une entreprise (environ en proportion de 25-30 %). La capacité de cet autofinance
appelée "cash-flow".

Banque -(110-121) institution des crédits privés ou publiques


Banque centrale - autorité publique chargé de réglementer et de contrôler les institutions et les marchés moné
financiers d’un pays
Base monétaire - la somme des billets émises par la banque centrale et des réserves constituées auprès d'elles par l
second rang
Banqueroute (117)- l'état de figurément des payements pour les créditeurs par une entreprise déclaré comme ça par u
de jugement non-solvable.
Bénéfice - (aussi le profit, 77) - l'indicatif synthétique qui met en valeur la finalité de chaque procès productif respective
revenu obtenu. Pour le total de l'activité on détermine avec une relation de la forme: B=Σqj* (pi -cj)
- qj représenta la quantité du produit fini j ;
- pi le prix du produit ;
- cj le coût commercial.
Bilan - liste des éléments d'actif et de passif d'une entreprise.
Billet à l'ordre (62) - lettre de change par laquelle une "souscripteur" (le signataire du billet) s'engage à payer à une da
le bénéficier du billet ou une personne désignée par le bénéficier
Bourse (104-106) - le lieu où se rencontre ceux qui achètent et vendent des produits, des actions et obligations déjà ém
• Bourse de commerce ou de marchandise - lieu publique où ont lieu des
opérations sur des matières premières ou des produits
• bourse des valeurs - lieu publique où se négocient les valeurs
Budget de l'Etat -énoncé du plan financier du gouvernement dans lequel on énuméra les divers programmes et leurs
respectif, les revenus ainsi qu'elle décrit ou le surplus anticipé
Budget équilibré - égalité entre le total des recettes et te total des dépenses.

Capacité de paiement de l'entreprise (65) - la possibilité de payer intégral et à terme tous les obligations de paye
moyens financières dont disposes (propres, attirés, empruntés)
Capital - ensemble des biens (bâtiments, machines et outillages) destinées à produire de nouveau bien.
Capital fixe – l’ensemble des biens durables utilisés dans la production. Elle exclut ainsi de cet agrégat les biens de co
durables
CEI (99) - institution de normalisation "Commission Electronique Internationale"
CENELEC (99) - institution de normalisation de niveau européenne: "le Comité Européenne pour Normalisation dans l'E
Cercles vertueux et cercles vicieux (113) - des variations dès taux d'échanges.
Certification (100) - une attestation donnée en écrit par un organisme qualifié et indépendant par laquelle on établit qu'u
un service présente régulièrement certaines caractéristiques en conformité avec une norme ou un cahier de charges off
Charges directes / Indirectes (73) - une charge est indirecte par rapport au coût du produit recherché si son affectation
sans calcul intermédiaire grâce à un moyen de mesure.
Chèque (62) - est un inscrit par lequel une personne emitent) donne un, ordre a une banque de payer une somme d'arg
l’émetteur dispose dans son compte en faveur d'une troisième personne (le bénéficiaire) . Une catégorie spéciale (avec
de sécurité) sont les Eurochèques .
Chômage(131) - situation d'une personne sans emploi à la recherche d'un emploi. Le chômage est qualifié de Keynésie
dû à l'insuffisance de la demande effective .
Circulation des capitaux (64) - la fonction de l'argent comme moyen de paiement, un "circuit sanguin" de l'économi
Concurrence (6) - lutte pour obtenir de la maîtrise des ressources devenues rares. La concurrence est dite parfaite l
l'information- circule librement (hypothèse de transparence); les acteurs sont parfaitement mobiles (hypothèse courbe
(18) de mobilité) graphique montrant la relation entre la quantité demandée d'un bien et son prix, tous les autres fact
d'influence étant maintiens constants.
de l’offre (19) - graphique montrant la relation entre la quantité offre d'un bien et le prix de ce bien ( = cateris
de Laffer (8) - courbe qui relie les recettes fiscales au taux d'imposition.
de Philips (124) une relation décroissante entre le taux de chômage et variation de l'inflation (ou du taux de sala
Coûts (72) -contient la totalité des charges nécessaires pour production:
Coût caché (79) - les coûts des dysfonctionnements, des incidents financiers.
Coût fixe (74) - coûts indépendant du niveau de production.
Coût variable (74) - coût variant avec le niveau de production.
Coût marginal (74) - variation du coût lorsque la production augmente d'une unité et le coût de la dernière un

Coût opportunité - prix à payer chaque fois que, face a des ressources limitées, on doit faire un choix (syn. c
valeur;; renonciation).
Crédit (116-117) - opération contractuelle par laquelle une banque (ou une institution) transmet une somme d'argent
utilisée une période de temps ayant l'obligation de restituer la somme et l'intérêt afférents conformément aux lois conv
Croissance économique - expansion soutenue des possibilités de production.
Cycle de vie du produit (20) - traduit les évolutions au cours du temps du chiffre d'affaire et des résultats réalisés pa

Défense du consommateur (101) - structure organisée pour: la protection des consommateurs aux dangers, pour le
leur sécurité; promovation des intérêts économiques des consommateurs; l’accès aux informations adéquates ;
l'assurance effective des consommateurs.
Déficit budgétaire - excédent des dépenses totales sur les recettes au cours d'une période donnée.
Déflation (126) modification a la baisse du niveau moyen des prix.
Demande (17) –la quantité d'un bien ou d'un service que les consommateurs s’envisagent d'acheter à un prix déterminé au
période donnée. Relation globale qui existe entre la quantité, "demandée" d'un bien et son prix.
Dépréciation - en régime de taux de change flexibles, une baisse du cours de la monnaie.
Dépression - en régime de taux de change fixes - la décision de la banque centrale d'offrir moins de devises étrangères co
de la monnaie nationale.
Dette monétaire privée - ensemble des prêts que les emprunteurs promettent tente de rembourser en monnaie sur dema
Développement - ensemble des transformations économiques et sociales qui conditionnent la croissance a moyen et lon
production et l’accompagnent.
Directives (99) - documents de normalisation internationale contiennent « les exigences essentielles », les conditions gé
doivent satisfaire certaines familles de produits.
Drainage monétaire (67) - phénomène se produisant lorsque les fonds prêtés par les banques et autres institutions financ
à l'extérieur du système bancaire, entre les mains du public.
Droits de tirages spéciaux DST (63) - crédit ouvert automatiquement par le FMI a chaque pays membre et dont les pay
servir pour régler leurs paiements. Équivaut ainsi à une monnaie scripturale internationale créée par le FMI. Il sert comme

Economie (3, 10, 11,15) - la manière dont sont organisés la production, la consommation, la répartition des revenus et les
si l’on préfère les luttes contre la rareté. Certains économistes étudient les flux de biens et de monnaie entre les grands fac
l’économie. D'autres, préfèrent étudier les facteurs qui expliquent les transformations de l'organisation de l’économie.
ECU (Européen Current Unit, 63) - unité de compte européenne qui a été créée dans le cadre de l’accord instituant le s
monétaire européen. La valeur de l’ECU, comme celle des OST est une moyenne pondérée de la valeur des différentes m
Efficience économique (27) - exprime la corrélation entre les effets économiques obtenus et l’effort consommé.
Elasticité de la demande (de l'offre) d'un bien - le rapport de la variation relative de la demande (ou de l’offre) à la varia
prix.
Entreprise (22-26) - organisme qui produit des biens ou des services.
Equilibre (19) - situation atteinte quand tous les individus ont optimisé leur choix et quand les décisions des uns et des aut
coordonnées et compatibles; c’est la solution d’un modèle économique.
Equipe de performance(87-89) - une mixte entre: compétences; responsabilité, engagement.
Etude de faisabilité (57) - pour fondamental les investissements, définie, en principal, l'analyse des aspects commerciau
du projet.

Facteurs de production - ensemble des ressources productives de l’économie: le travail, la terre, le capital.
Fonction d'une entreprise (26, 82): dans la conception classique de l’école managerielle (Taylor, Fayol) les cinq fonctions
recherche - développement la production; commerciale; financière -comptable, ressources humaines (ou de personnel). Leu
se fait en totalité, dans une conception systémique et pour toutes les entreprises.
Fonction de la monnaie (62-64) - sont: instrument d'échange, unité de compte, moyen de paiement, réservoir de valeu
Flux monétaires (cash - flow, 53) – la différence entre les revenus Vn et les dépenses Cn de l’année respective. La condit
d'acceptation d’un programme est le flux monétaire positif
Fonds Monétaire Intemartonal (FMI,112) - organisme international qui supervise les activités liées à la balance de paiem
taux de change.

Holding (25) - un ensemble organisé par des sociétés commerciales avec personnalité juridique destiné pour assurer la
a la relation,l’écoulement des marchandises.

Indexation - technique qui relie au niveau des prix les paiements effectués en vertu d'un contracte (comme les salaires
Indice des prix - moyenne arithmétique exprimant le rapport, en pourcentage, entre le niveau moyen des prix a une péri
le niveau moyen des prix a une période antérieure.
Inflation ( 122 - 130 ) –la hausse du niveau général des prix
Inflation anticipée - part du taux d'inflation correctement prévue.
Instruments managériales (82) - sont: le système de renseignement ; les structures d'organisation; le système de
méthodes de gestion; le cadre normatif
Investissement - sommes consacrées à l’achat des nouveaux biens, qu'elle va agrandir une installation, la modernis
nouvelle entreprise ou encore augmenter ses stocks. Une décision d'investissement comprend toujours un risque d'e
Investissement spécifique (29) - indicateur économique qui représente l'investissement qui revient sur l'unité de pr
ISO L'organisation Internationale de Normalisation (99) - favoriser le développement dé la normalisation dans le
vue de faciliter entre les nations, les échanges des marchandises el de réaliser une entente mutuelle dons les domai
technique, scientifique et économique.

J - la courbe qui aurait la forme d'un J (123) - les études empiriques, montrent qu'une dévaluation entraîne d'ab
détérioration, puis une amélioration du solde de la balance commerciale.

Keynésiens (11) - macroéconomiques dont les travaux sur le fonctionnement de l’économie s’inscrit dans la foulée
élaborées par J.M. Keynes dans son livre "La théorie générale".
L

Laffer - la courbe de Laffer (8)


Lettre de change (62) - titre par lequel un tireur donne l’ordre à un de ses débiteurs, le tiré, de payer a l'échéance d
bénéficiaire de lettre.
Libre échange - définition de base sur les politiques d’ouverture: suppression de tous les obstacles a la libre circulat
hommes, des capitaux et de biens entre les nations. La mise en place a été facilitée pour l'intégralisation européenne
Liquidité (65) - degré de facilité avec laquelle un élément d'actif peut être instantanément converti en un instrument
un prix connu.

Macroéconomie - étude des phénomènes économiques globaux


Marché - ensemble de dispositions prises en vue de faciliter le commerce de biens, de services ou de facteurs de prod
produits - marché ou s'échangent les biens et les services.
Marketing (84, 90,91) - une série de techniques qui cherchent à satisfaire dans les meilleures conditions la clientèle et fina
le distributeur les besoins.
Management (82) - action ou art ou manière de conduire une organisation, de la diriger, de planifier son développement,
s'applique a tous les domaines d'activité de l'entreprise. L'association de managers américains définit comme : " assures et o
résultats par autres"
Masse monétaire (66) - la somme dés moyens d'échanges ou des moyens de paiement mis à la disposition des agen
économiques utilisant la même monnaie (billets de banque, monnaie divisionnaire et monnaie scripturale quelle représente
parte).
Microéconomie - étude de phénomènes économiques limites (entreprises et ménages) et du fonctionnement des différen
ainsi que des répercussion qu’impôts et réglementation entraînent dans la répartition de la main-d'œuvre et la distribution de
services.
Mix-marketing (84) - une combinaison adéquate dans l'entreprise des: produit, prix, promovation et distribution.
Monétarisme (69, 71) - la théorie développée par Milton Friedman selon laquelle la croissance de la masse monétaire expl
variation du niveau général des prix. Cette thèse reprend les conclusions de la théorie quantitative de la monnaie: les variatio
quantité de monnaie constituent le déterminant principal de la demande agrégée.
Modelés économétriques (53) - des expressions mathématiques qui mettent en valeur la dépendance entre les résultat
la grandeur des facteurs de production.
Monnaie (61-69) - instrument d'échange par excellence, puisque toujours accepté en contrepartie d'un bien ou d'un serv
monnaie de compte - monnaie qui ne circule pas et n'a pas de véritable concrétisation mais qui sert simplement à
certains avoirs ou a mesurer les avons exprimés on unité différente. Peut devenir un étalon monétaire "lorsque cette unité de
comparer la monnaie de différents pays. L’ECU européen est une monnaie de compte.
monnaie électronique - devrait être le nouveau nom de la monnaie scripturale mais est abusivement utilisée
désigner les cartes de paiement ou de crédit qui ne sont que des instruments de transfert la monnaie scripturale.

Norme (93) - document établi par consens et agrée par un organisme reconnu qui est fourni pour usage commun et
régies, lignes directoires ou des caractéristiques pour les activités, ou des résultats, en garantissant un niveau optima
communauté dans son ensemble. Par les normes, on réglemente la "doctrine technique", l'accord sur les demandes,
méthodes les définitions etc.

Passif - dettes de l’entreprise envers les ménagers ou d'autres entreprises.


PIB - produit intérieur brut - valeur de tous les biens et services finis produits dans l’économie au cours d’une
PIB nominal - valeur de la production des biens et services finis calculée aux prix courants.
réel - idem, calculée aux prix d'une période de référence donnée.
Plan d'affaire (57 - 60) - est utilise pour: la Fondamentation de l’affaire (peut remplacer l'étude de faisabilité); - la dire
l’affaire; - l'évaluation des conséquences de l’affaire (on recommande l’abordation d'une analyse économique pour 3
Politique commerciale - ensemble de mesures prises vis-à-vis des échanges extérieurs. Elle peut être moins protec
libre échangiste. Ses instruments sont les droits de douane, les limitations quantitatives d’importation ou d'exportation
accords commerciaux les crédits et les assurances d'exportation.
Politique monétaire (111) - ensemble de mesures visant à contenir l’inflation le taux de change la valeur de la devis
atténuer les fluctuations économiques en modifiant la quantité de monnaie en circulation et le taux d'intérêt.
Prédiction (48) - une certe évaluation d'un phénomène (avec un degré absolu de probabilité )
Prévision (47 - 53) - une évaluation: probabilistique, quantitative et qualitative de l’évaluation prochaine d’un phénom
la base de l’interprétation des quelques informations du passé.
Prix (75-76) - quantité de monnaie permettant d'acquérir un bien. Le prix d’équilibre est celui qui assure l’égalité de l’
demande.
prix relatif- rapport entre le prix d’un bien et celui d’un autre
Production - activité économique qui permet d'obtenir des biens et des services grâce a la combinaison de ses facteurs: le
capital (pour la production agricole et la terre).
Profit - voir bénéfice (77)
Productivité - volume de la production que l’on peut obtenir avec une unité de facteur de production pour une période don
exemple, pour un homme travaillant une heure on une année. Au niveau de l'entreprise et concernant le travail, la notion de
se confond avec celle de rendement
- productivité apparente - productivité qui n'est par obtenu en mesurant véritablement le résultat, mais en divisant de
par exemple le PIB par une estimation du nombre d'heures de travail que la population active fournit en une année.
- productivité marginale -c'est l'augmentation de la production obtenue par une unité de facteurs de production su

Seuil de rentabilité - le niveau d'activité (le volume de production) duquel l’entreprise réalise un profit.
Stratégie (13 - 14) – est une combinaison de fins (des objectifs) que s'efforce d’atteindre la firme et des moyens par lesque
cherche à les atteindre. La stratégie est un instrument que les responsables d'une entreprise formulent pour influencer l
de ses membres et orienter leurs efforts dans la direction choisie.
Sociétés a responsabilité limité (SRL, 23) - forme d'entreprise d’associations dans laquelle les obligations sociales son
par le patrimoine social, mais les associés, de nombre limité, rendent compte seulement avec leur parties sociales.
Société par actions (75) - entreprise caractéristique aux grands capitaux (le capital social ne peut pas être moins d’un m
Solvabilité - reflète la correctitude des opérations financières-comptables (l’égalité entre les actives et les passives) l'existen
activités dont on obtient du profit.

Taux d'inflation - variation, en pourcentage, du niveau des prix.


anticipé - taux d’augmentation du niveau des prix prévu antérieurement.
Taux de change - taux auquel la devise d'un pays est échangée contre celle d'un autre.
Taux de chômage - pourcentage de chômeurs par rapport a la population active.
Taux de rentabilité interne (TRI) - quote-part interne de rentabilité, pour laquelle la valeur actuelle nette (VAN) est zéro.
THM (tarif heure-machine) (77) –méthode de détermination des coûts avec les valeurs des temps technologiques d'usina
l'exécution d'un produit.

V
Valeur actuelle nette (VAN, 33) - est la somme des flux monétaires actualisés. La condition d'acceptation d'un projet e
Valeur de la monnaie - quantité des biens et services qu'on peut acheter avec une quantité donnée de monnaie.
DANS LE FINAL ?

Est ce que les aspects économiques ont une fin? Comment est-ce qu’on peut la définir?
Destiné aux étudiants - débutants dans l'étude économique, le cours présent peut être envisagé
comme un premier pas. Ce dépend de chacun, quand les pas seront faits, avec quelle vitesse et
surtout dans quelle direction.
Un bon travail a été fait par une équipe d'étudiants qui s'est impliquée dans le traitement
de texte sur l'ordinateur ci partiellement dans la traduction, ainsi que dans la présentation analytique
qu'on peut faire seulement quand on travaille pour une étude synthétique.
Nous nous excusons pour certaines fautes lexicales. La plus grande faute, que d'ailleurs
nous ne "recommandons" passerait de "sacrifier" l'économique en faveur de l'étude technique, plus
rigoureuse. Celui qui ne comprend pas l'essence, sera puni par les réalités imposées par les autres
et tout d'abord par le marché. Ce serait dommage. C'est comme on chercherait dans les années
1997-2000 la réalisation d'un perpetuum - mobile.
Nous voudrions que les aspects applicatifs soient développés mais aussi les aspects
législatifs. Nous voulons qu'on travaille sur des cas concrets dans nos entreprises et dans l'esprit
d'une coopération avec les partenaires français. Peut-être, ce sont les autres qui vont continuer, peut-
être nous allons développer le cours. En tout cas il y a beaucoup de choses à faire et il ne faut pas
rester au premier pas. Les réalités de la vie, du marché nous obligent à continuer notre travail, avec
beaucoup de soin et de courage. Bonne Chance !

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