LE B.A.

BA
Se lancer comme indépendant.e

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 1. Introduction :

Se lancer comme indépendant.e… toute une aventure !

La plupart du temps, c’est une idée qui germe en

arrière-plan dans sa tête depuis un certain temps.

Vous savez que vous avez des compétences à mettre

en avant pour offrir un service ou un produit.
Vous avez peut-être suivi des formations
complémentaires en ce sens.
Vous avez vraiment envie de travailler autrement, plus
en adéquation avec qui vous êtes maintenant.

Et votre envie va et vient.

Mais revient à chaque fois avec un peu plus de force, jusqu’au moment où vous n’y
tenez plus !

L’envie est là, pressante, mais en même temps quelque peu angoissante :

- Comment m’y prendre concrètement pour être indépendant.e ?

- Quelles sont les conditions légales ?
- Est-ce que j’arriverai à gagner suffisamment ma vie ?
- Comment vais-je trouver mes clients ?
- Comment vais-je me faire connaître ?
- Aurais-je les capacités d’être indépendant.e, de tout gérer tout. seul.e ?
- Etc.

Ces questions, si elles restent sans réponse, risquent de vous maintenir à l’arrêt.

Une seule solution : trouver des réponses à vos questions et bien préparer votre projet
afin de réussir à vous lancer avec le maximum de sécurité.

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 2. La clé de la réussite pour créer et réussir son entreprise…

LA PREPARATION !

Décider de créer son business ne s’attache pas seulement aux chiffres, il est également
nécessaire qu’il soit cohérent avec qui vous êtes et ce que vous voulez vivre.

Il s’avère donc essentiel de vérifier d’une part la viabilité de votre projet mais également
qu’il soit cohérent avec votre projet personnel.

Un nombre considérable d’indépendant.es se lancent à « l’arrache ». Ils.elles prennent un

n° d’entreprise et se lancent sans s’être penché.es sur les différents aspects de leur
business.

Conclusion : certain.es finissent par s’en sortir après bien des déboires et des remises à
niveau, les autres sont obligé.es de rapidement mettre la clé sous le paillasson.

Pourtant, bien se préparer à tous les niveaux n’est pas compliqué … quand on connaît le
chemin à suivre et qu’on n’en oublie aucune des étapes !

Ce chemin est pavé d’escales : introspection, réflexions, informations à acquérir et calculs

à effectuer.

Les voici en détail.

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 3. Introspection.

 Quelle est votre motivation ?

Il se peut que vous ayez une réelle envie de devenir indépendant.e ou que les circonstances
vous poussent à changer de statut : restructuration, licenciement, environnement
professionnel peu attractif, rémunérations insuffisantes, ras-le-bol général, chômage, etc.

Comme indépendant.e, il est vrai que vous aurez plus de liberté mais vous devrez pouvoir la
gérer en plus d’avoir certaines aptitudes indispensables :

 résistance au stress : aurai-je assez de clients,

de travail, vais-je être payé, aurais-je assez d’argent
pour vivre après avoir payé les cotisations et taxes
en tous genres,
 flexibilité,
 persévérance,
 précision,
 capacité de planification et d’organisation,
 sens commercial,
 audace,
 réalisme, …

Devenir indépendant.e parce qu’on est au chômage ou qu’on ne se sent plus bien dans son
job actuel sans avoir une réelle motivation à toute épreuve pour « être un travailleur
indépendant.e », c’est courir à la catastrophe.

Je vous invite à répondre par écrit à ces quelques questions qui sont des pistes pour vous
aider à y voir clair (voir Dossier de candidature : « Questionnaire Entrepreneur » qui fait
partie du dossier de candidature).

 Est-ce le bon moment pour vous lancer ?

 En avez-vous parlé à votre conjoint.e ?

 Avez-vous regardé ensemble si c’était réaliste au niveau de la famille : revenu, temps,

organisation, etc. ?

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 Ne négligez pas cet aspect.

En effet, quand on se lance, on ne compte pas ses heures et les revenus peuvent dans un
premier temps être plus bas que ceux qu’on avait comme salarié.e le temps que l’activité
prenne son rythme de croisière.

Vous allez avoir besoin du soutien de votre famille. Si elle n’est pas avec vous dans ce
projet, cela ne va pas vous simplifier les choses.

Ceci dit, si vous vous préparez correctement, comme nous vous y invitonts, et que votre
projet est en béton, vous aurez des arguments et un dossier solide à lui présenter.

Mais soyez réaliste, si par exemple, un bébé est en route, même si votre projet est en
béton, est-ce le meilleur moment pour démarrer votre business ?

 Etes-vous fait pour être indépendant.e ?

Cette question n’a l’air de rien mais c’est souvent la « non réponse » à cette question qui
fait que l’on ne démarre pas.

Je vous propose de répondre au questionnaire repris dans le dossier de candidature.

Il est essentiel que vous répondiez objectivement aux questions et que vous soyez le
plus précis et tranchant possible dans vos réponses.

Conclusion :
Ce test et ses résultats vous sont donnés à titre indicatif et surtout fait pour vous aider à
voir clair en vous.

Si vous êtes réellement motivé.e à vous lancer comme indépendant.e, ne laissez rien ni
personne se mettre au travers de votre chemin.

Soyez toutefois le plus réaliste possible. Et mettez toutes les chances de votre côté pour
réussir en vous préparant et analysant la viabilité de votre projet.

 Quel est l’adéquation entre vous et votre futur business ?

Quelles en sont les forces et les faiblesses ?

Voir questionnaire à remplir dans le dossier de candidature.

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 4. Les informations.

Il y a des informations qu’il va vous falloir

collecter pour pratiquer votre activité dans les règles.

Il est facile de les obtenir mais pour cela il faut savoir

quelles questions poser et où vous pourrez trouver
les réponses.

Nous avons repris ici un récapitulatif des points essentiels à

savoir et les endroits où vous pourrez obtenir de plus
amples renseignements.

Nous y avons ajouté quelques informations et définitions

qui nous semblent judicieuses.

Quelles sont les conditions légales pour devenir indépendant.e ou créer son
entreprise ?

 Majorité :
Vous avez au moins 18 ans

 Droits civiques :
Vous devez jouir de vos droits civiques. Par exemple, vous ne pouvez pas avoir été
condamné pour banqueroute frauduleuse, fraude ou faute grave ayant entraîné une
faillite.

 Nationalité :
Vous êtes citoyen de l’Union européenne ou vous avez une carte professionnelle.

 Gestion d’entreprise :
Vous devez prouver une connaissance de base de la gestion d’entreprise. La seule
exception concerne les professions libérales et celles régies par une autre législation à
ce niveau.

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 Les connaissances de gestion comprennent :

 l’esprit d’entreprendre et les compétences de l’entrepreneur,

 les connaissances élémentaires en :

 droit
 comptabilité, aspects financiers et fiscalité
 gestion commerciale
 législation spécifique

Comment prouver les connaissances de gestion de base ?

Il y a deux possibilités :

 soit pouvoir présenter un diplôme ou titre.

En voici quelques exemples :

 le certificat d'enseignement secondaire supérieur général, technique ou

artistique (délivré avant le 30.09.2000)
 le certificat d'enseignement secondaire supérieur professionnel délivré
dans une section "commerce, comptabilité ou vente" (délivré avant le
30.09.2000)

 soit justifier d’une pratique professionnelle suffisante

Qui doit prouver les capacités techniques pour la gestion d’entreprise ?

Quand l’entreprise est une personne physique, de préférence le chef d’entreprise lui-
même. Quand cela n’est pas possible, une des personnes suivantes peut prouver les
connaissances de gestion de base à sa place :

 le conjoint ou la conjointe,
 le.a cohabitant.e légal.e,
 le partenaire avec qui il/elle vit depuis au moins 6 mois,
 un.e salarié.e avec un contrat de travail à durée indéterminée,
 un.e aidant.e indépendant.e.

Quand il s’agit d’une entreprise en personne morale : la personne physique qui

exerce la gestion journalière.

Par exemple :

 dans une SRL : le.a gérant.e,

 dans une SA : l’administrateur.trice-délégué.e.

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 L’entreprise satisfait aux exigences dès que la personne physique prouve ses
connaissances de gestion de base et tant qu’elle y reste active. Quand elle quitte
l’entreprise, celle-ci doit régulariser sa situation endéans les 6 mois après le départ du
préposé, auprès d’un guichet d’entreprises.

Vous n’avez pas la gestion de base ? Pas de panique.

Il est possible de suivre des formations de « gestion de base » qui sont des cours de
gestion accélérée, en journée ou en soirée. Ceux-ci vous offriront un panorama de la
gestion des PME. Vous passerez un examen sur la matière vue et, en cas de réussite,
un diplôme relatif aux connaissances de gestion vous sera délivré automatiquement.

Vérifiez avant de vous inscrire que le diplôme que vous aurez ainsi obtenu est bien
accepté par l’état.

Remarque : ne soyez pas effrayé.e par cet examen. Si vous suivez correctement la
formation, vous devriez pouvoir passer haut la main.

Nous pouvons vous conseiller l’un ou l’autre opérateur chez qui vous pouvez suivre
gratuitement les cours pour accéder à l’examen de gestion de base.

 Connaissances professionnelles :
Pour certaines professions réglementées, les autorités imposent des obligations
concernant les capacités professionnelles. C’est, entre autres, le cas pour les
boulanger.es, les pâtissier.es, les entrepreneur.euses, les coiffeur.euses et les
garagistes. Il existe une liste précise des professions réglementées.

Vous avez besoin d’un accès à la profession ? Nous ne pourrons accueillir dans
notre programme que les personnes qui ont accès à la profession qu’ils veulent
pratiquer, renseignez-vous auprès d’un guichet d’entreprise (voir ci-dessous).

 Licences
Pour certaines professions, par exemple pour les entrepreneur.euses en bâtiment, les
maraîcher.èress et les restaurateur.tricess, il existe des obligations supplémentaires.

Idem – voir le point repris ci-dessus.

 Restrictions
Les policiers, les juges et les ministres du culte ne peuvent pas exercer d’activités
commerciales. Les fonctionnaires publics doivent d’abord demander l’autorisation de
leur hiérarchie.

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 Avertissement :

Chaque cas est particulier.

Il existe des dispenses pour ceci, des obligations dans tel et tel cas, etc.

Nous vous avons mis ci-dessus les grandes lignes pour vous donner une idée mais nous
vous conseillons fortement de :

 premièrement, visiter le site officiel de : http://economie.fgov.be/fr/entreprises

o sur lequel vous trouverez tous les détails en fonction des différentes
professions et conditions. Ainsi qu’une autre multitude d’informations très
intéressantes.

o Astuce : si vous ne trouvez pas directement les informations que vous cherchez
(le site est très complet), tapez vos mots clés dans « recherche », pour être
redirigé vers l’information que vous cherchez.

 deuxièmement : rassemblez tous vos certificats/diplômes et prenez rendez-vous dans

un guichet d’entreprise. Ils sont les seuls à pouvoir vérifier et accréditer si vous êtes
habilité à vous lancer comme indépendant.e dans la branche que vous avez choisie.

Quelles sont les démarches à effectuer :

a. Le guichet d’entreprise :

Le guichet d’entreprise est un organisme privé agréé par le gouvernement.

Il a pour missions, entre-autres :

 l’immatriculation des entreprises en personne physique à la Banque-Carrefour des

entreprises (les personnes morales sont immatriculées via le Greffe du Tribunal de
Commerce lors d’un dépôt de leur acte constitutif), en lui donnant un numéro
d’entreprise qui remplace les anciens numéros de Registre de Commerce et de TVA.

 la vérification du respect des conditions d’exercice d’activités pour les entreprises

commerciales et artisanales (dont les conditions d’accès à la profession, etc.)

 l’inscription des données relatives aux unités d’établissement (sièges d’exploitation)

et aux activités liées à ceux-ci,

 la fourniture aux intéressés des informations sur les données contenues dans les
fichiers de la Banque-Carrefour,

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  la perception des droits d’inscription,

 la tenue des archives.

Vous trouverez la liste des guichets d’entreprise sur le site mentionné ci-dessus :
https://economie.fgov.be/fr/themes/entreprises/creer-une-entreprise/demarches-pour-creer-
une/demarches-aupres-dun-guichet/les-guichets-dentreprises

Qu’est-ce que la Banque Carrefour :

La Banque-Carrefour des Entreprises désigne le registre central reprenant toutes les

données d'identification concernant les entreprises (dénomination commerciale, siège
d’exploitation, activités, …).

Elle assigne à chaque entreprise un numéro d’identification unique.

Grâce à cette immatriculation unique, les entreprises ne doivent accomplir qu’une seule fois
les mêmes formalités et les informations ainsi enregistrées sont mises à la disposition des
institutions intéressées par la Banque Carrefour.

b. La banque :

Ouvrez un compte bancaire exclusivement réservé à votre activité d’indépendant.e.

Cela parait évident pour une société. Cela l’est parfois moins pour un indépendant.e, qui
exerce seul en tant que personne physique et mélange dépenses privées et professionnelles
sur un même compte.

Le compte professionnel est indispensable pour clarifier votre gestion et éviter toute
confusion avec vos dépenses et rentrées non professionnelles. Que vous n’aurez peut-être
pas envie d’exhiber devant un contrôleur…

c. Immatriculation auprès de la TVA

Si quelques métiers ou certaines conditions en sont exemptés l’assujettissement à la TVA

est une obligation pour une majorité d’indépendant.es. Et ce, que l’activité soit exercée à
titre principal ou complémentaire, avec ou sans intention de profit, et qu’il s’agisse de biens
ou de services.

Les indépendant.es concernés par la TVA devront donc se faire attribuer un n°.
Le guichet d’entreprise leur remettra pour cela un document qu’ils transmettront, complété
et signé au bureau de TVA duquel ressort leur siège social.

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 d.. La caisse d’assurance sociale

Dès le premier jour de son activité, l’indépendant.e doit s’être inscrit auprès d’une caisse
d’assurances sociales. Les documents nécessaires sont fournis lors de l’inscription auprès du
Guichet d’entreprise.

Le confort du salarié, avec son revenu «net » versé à une date fixe et déjà amputé des
cotisations sociales (personnelles et patronales) est inconnu de l’indépendant.e.

Il va donc devoir payer, chaque trimestre, ses cotisations. Elles lui sont réclamées par la
caisse auprès de laquelle il est inscrit.

e. La mutuelle

Si vous êtes déjà affilié en tant que salarié auprès d’une mutuelle, prévenez-là de votre
changement de statut. Sinon, choisissez une mutualité, afin de garantir vos droits en matière
d’assurance et invalidité.

f. Les assurances

Le travailleur indépendant.e n’est pas couvert contre les accidents de travail et n’aura qu’un
maigre revenu à l’âge de la pension.

Voyez avec votre comptable et votre courtier, les disponibilités financières et les priorités
pour vous mettre, vous et vos proches, à l’abri.

Exemple : assurances « RC exploitation », « Revenu garanti », Epargne complémentaire,

Dirigeant d’entreprise, etc.

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 5. Réflexions chiffrées :

Afin d’avoir une idée de la viabilité de votre projet,

avez-vous déjà fait une projection chiffrée de
votre activité ?
(Voir tableau à remplir dans le dossier de candidature.)

Il faut compter tous les frais qu’un salarié n’a pas :

 location éventuelle d’un bureau,

 publicité (site internet, annonces, annuaires, mailing, etc.) : vous seriez étonné du
coût que tout cela représente
 prospection
 comptable
 lois sociales
 mutuelle
 matériel éventuel à acheter et à entretenir
 carte de visite, papier en-tête,
 taxes en tout genre « inventées » par l’état

N’oubliez pas :
Quand vous ne travaillez pas, vous n’êtes pas payé.e : vacances, congés maladies éventuels,
jours fériés, etc. !!!

Il y a aussi des heures pour lesquelles vous n’allez pas être payé.es : facturation,
comptabilité, prospection, etc…

Ceci pour attirer votre attention sur le fait de bien effectuer vos calculs quand vous allez
établir vos calculs et vos prix de ventes sinon vous risquez de travailler beaucoup et de ne
pas y arriver à la fin du mois.

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 6. Réflexions :

Un business plan solide est la clé de la réussite

de votre projet.

Il se constitue d’un ensemble de points sur lesquels

nous allons vous faire travailler pendant les workshops et
les coaching individuels.

 Quelles sont votre vision, mission et valeurs ?

 Quel est votre Business Model Canvas ?

 Quelle est votre clientèle cible ?

 Quels sont vos concurrents ?

 Quelle va être votre identité ? (logo, papier en-tête, etc…)

 Quel va être votre plan de communication ?

 Quelle est l’analyse Swot de votre activité ? (Forces et Faiblesses du projet)

 Comment allez-vous vendre votre service, votre produit et à quel prix ?

 Qu’allez-vous faire point de vue comptabilité ?

 Comment allez-vous établir votre plan financier ?

 Sous quel statut juridique ? (Indépendant.e, en société, laquelle ?)

 Etc…

Toutes ces réflexions vous permettrons de constituer et concrétiser

votre business plan complet

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 7. Prime indépendant

Il est possible si l’on se lance comme

indépendant à titre principal après le programme des 6 premiers mois de pouvoir bénéficier
d’une prime d’indépendant pour vous aider au démarrage de votre activité.

Vous trouverez ci-joint un document reprenant toutes les conditions pour l’obtention de
cette prime.

Important à savoir : si vous désirez cette prime par notre entremise, il faut d’une part avoir
fait le programme complet et d’autre part obtenir une validation positive de votre business
plan final sans quoi la prime vous sera refusée.

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 8. Conclusion :

Le choix de l’indépendance, c’est d’abord un choix de valeurs.

Celles de la responsabilité, de l’engagement et de la prise de risque.

Quand vous aurez suivi tout le chemin proposé dans ce programme et en aurez exploré les
différentes escales, vous arriverez à un carrefour et vous allez devoir prendre une décision.

 Mon projet est cohérent et viable : je me lance !

 J’ai une vue plus claire de mon projet mais il reste quelques zones d’ombre qu’il me faut
approfondir.

 Mon projet n’est pas cohérent/viable : quels sont les postes à ajuster pour le rendre
cohérent/viable ou quelle autre décision puis-je prendre ?

Quoique ce soit, le seul mot d’ordre est « action » !

Cependant, une chose est de SAVOIR ce qu’il faut faire, une autre est de le REALISER
concrètement.

Etre accompagné.e dans toutes ces démarches et devoir revenir de semaine en semaine avec
les démarches accomplies, les réflexions mises sur papier et les calculs établis vont vous
donner le coup de boost, l’étincelle qui manque souvent pour que vous vous mettiez
réellement en action et ainsi– enfin – créer votre propre business !

JUST DO IT !

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