Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Préambule
Le monde contemporain à tendance d’appartenir aux urbains.
La population urbaine (citadins) mondiale à franchit le seuil des 50% en 2007, et actuellement elle représente
54% de la population de la planète, équivalent de 3.880 M de personnes vivent en villes, et ce taux est appelé à
évoluer à l’horizon. Nous assistons à un phénomène majeur
o Les populations
o Les constructions
Le discours autour des densités et formes urbaines a été maintes fois revu, suite à l’avènement de la vision
écologiste, ayant remis en cause certaines pratiques d’urbanisme et avoir introduit de nouvelles mesures en
urbanisme et en gestion urbaine.
« un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des
générations futures à répondre aux leurs »
Le développement durable est composé d’un ensemble de principes, d’une idéologie visant à concilier les
dimensions environnementale et économique du développement des sociétés, souvent antagoniques .
(HART, 2002)
1.Effets de l’activité économique sur l’environnement : utilisation des ressources, rejets de polluants, déchets.
3. Services apportés à la société par l’environnement : accès aux ressources et contributions à la santé et aux
conditions de vie
4. Effets des variables sociales sur l’environnement : changements démographiques, modes de consommation,
modèles de constructions et d’urbanisme
5. Effets des variables sociales sur l’économie : structure de la main-d’œuvre, de la population et des ménages,
niveaux de consommation.
La notion La ville durable est, de manière paradoxale difficile à définir car elle constitue plutôt un projet
qu’une théorie.
La ville durable est une ville qui se réapproprie un projet politique collectif.
La ville durable est une ville qui offre une qualité de vie en tous lieux et des différentiels moins forts
entre les cadres de vie. L’un des principes de constitution de cette ville est la mixité fonctionnelle
(urbanisme fonctionnel1960), l’émergence de nouvelles proximités et la diminution de la mobilité
contrainte.
Une ville cohérente; selon la charte d’Athènes Lisbonne 2003, une ville cohérente est
celle qui assure;
4. Ville compacte; favorisant les déplacement sans voiture, et les moyens de transport
doux, et en commun
6. Ville sécurisé: ou les risques sont bien gérés, en particulier ceux qui ont trait à l’eau;
7. Ville nature; conservant les espaces naturel en forme, en taille et en usage, elle pour
objectif la qualité paysagère et la biodiversité.
La compacité de la ville met en évidence la question de la densité urbaine, et de la lutte
contre l’étalement urbain
La ville nature est une ville ou l’urbanisation est dense et dans laquelle les espaces verts
ont une place structurante dans les aménagement et mode de vie.
Différents auteurs académiques ou appartenant aux mondes professionnels proposent des essais sur la
ville durable, décrivent des opérations, en particulier d’éco-quartiers, en dégagent des bilans, voire, dans
certains cas, des guides d’action pensés comme recueils de bonnes pratiques .
La charte d'Alborg en est un exemple; La Charte d’Aalborg émane d’une conférence réunie sous l’égide de
la Commission européenne et d’associations de villes et gouvernements locaux à la suite de la publication
du Livre vert européen sur l’environnement urbain en 1990.
Lors de la conférence d’Aalborg en 1994 se retrouvent ainsi les représentants de 80 villes européennes
ainsi que 600 participants (agents gouvernementaux, universitaires, personnalités des milieux écologiques,
militants) dans le but de réfléchir aux principes fondateurs d’un urbanisme durable.
La « charte des villes européennes pour un développement durable », dite « Charte d’Aalborg »,
synthétisant des principes d’action communs, est issue de ces échanges. Les villes signataires s’engagent à
les respecter. Un réseau fédératif se constitue et se développe,
Donc elle se veut une nouvelle vision, un modèle ou tout simple un nouveau urbanisme , qu’il est
primordiale d’évaluer sa pertinence et consistance devant ceux le précédant;
une forme urbaine est un tout indissociable, sa description doit s’appuyer sur les différents éléments «sus-
cités », mais ne pas confondre entre forme globale et addition de l’ensemble des éléments.
¤ La morphologie normative: lien entre valeur humaine, qualité de vie et forme urbaine
¤ La typo-morphologie: comprend les types d’édifices et leurs distribution dans la trame viaire.
b) le cadastre
Le plan cadastrale permet de visualiser le détail des tracé, et le système parcellaire; son évolution,
caractère du bien, son prix
C) La représentation en 3D
urbaine et des édifices afin de s’assurer à propos de la cohérence, et l’intégration des interventions.
D)La typologie : méthode et résultat, permet un classement descriptif des éléments( maillage, parcellaire,
immeubles)
toutes les produit de leurs civilisation » ; la lecture de leur physionomie relève de la géographie urbaine et ré
Une Forme De Société
a. l’approche paysagiste: Elle résulte de la perception de la forme urbaine sous ses trois dimensions et ses
matériaux (couleurs, matériaux, volume, forme, style). Porteuse par (G.CULLIN, K. LYNCH, C.SITTE).
b. L’approche sociologique: Elle s’intéresse à la distribution des groupes sociaux par rapport aux aspects
socio-économiques, ethniques, rapport sociaux (violence ,,,). Ses auteurs ( Y. Grafmeyer), école de
Chicago, E. Durkheim
c. L’approche bioclimatique: elle s’intéresse aux variations climatiques des micro-zones( ilots, fragments)
d. L’approche sous forme de tissu: consiste à illustrer les rapport dialectique(raisonnés, cohérent) entre
les éléments (parcellaire, voirie, bâti, espace libre) structurant l’espace urbain
La macro forme
L’ échelle de la macroforme:
Aire urbaine : c’est l’agglomération centrales et ses périurbaines actives qui comporte elles-mêmes
des pôles secondaires plus au moins important (redynamisés ou nouveaux). Selon l’INSEE, une aire
urbaine est un pôle urbain qui doit offrir plus de 5000 emplois, et plus de 40% des actifs des
couronnes périurbaines travaillent dans l’aire urbaine.
Elles jouent un rôle prépondérant dans l’aspect formel d’une ville, les obstacles physiques (mont, piémont,
mer, fleuve) déforment la tache urbaine et imposent une adaptation de forme urbaine.
Dans plusieurs cas, l’obstacle lui-même et potentiellement attractif ( mer) devient pole de croissance.
Les axes de transports conditionnent les développements urbain, de faite il modifient les macroforme.
(ville de transition)
ces mêmes axes de transports sont conditionnés par les caractéristiques du site(topographie
,hydrographie)
L’ évolution des systèmes de transport façonnent d’une manière significative la genèse des macroforme. Et
leurs caractéristiques.(densité, degrés de diffusions urbain, aspects sociaux…).
La ville piéton: se résume à la ville centre, leur distance d’extension se limite au parcours domicile-travail
,elle ont un périmètre de 1 à 2km et d’une densité élevée.
La ville de tramway: au début du xix siècle sous l’égide de la révolution industrielle, la délitation urbaine
s’est amorcée, grâce d’abord aux omnibus et tramway (1840/1880). Le tramway électrique (rapide, moins
cher) dissocie les activités économiques et résidentielles tout en prônant un étalement rapide et la genèse
des banlieue industrielle…
La ville digité : l’usage de chemin de fer reliant les zones suburbaines à la ville, a germé des pratiques aux
alentours des gares terminus (commerce, artisanat, prix du foncier), mais aussi le phénomène de
l’allongement des banlieues.
Cette théorie, loin d'être uniquement descriptive, tient compte d'éléments économiques dynamiques.
L'ascension sociale se traduit par une migration géographique. Les groupes sociaux favorisés, représentant
souvent la bourgeoisie urbaine ancienne, se font construire de nouvelles résidences dans le cadre plus
agréable de la périphérie de la ville. Ils sont remplacés dans leurs anciennes maisons par des gens moins
aisés, qui à leur tour cèdent la place à d'autres, plus pauvres. Ce processus est qualifié par les sociologues
d' « invasion » et de « succession ».
Cours :La ville compacte
L’avènement du concept du développement durable, à formellement orienter les politiques d’aménagement
et d’urbanisme dont le but de concilier les opérations d’aménagement et d’urbanisme les enjeux écologiques.
Face à des enjeux globaux tels que l’effet de serre, ou locaux tels que la pollution, le bruit et la
sécurité, le développement urbain durable affirme la nécessité de limiter la place de l’automobile
dans la ville.
Qu’est ce que le
DUD?
Des lors, la ville compacte devient un modèle retenu
communément
Pour Vincent Fouchier; la densité « le rapport entre une quantité ou un indicateur statistique
(habitats, populations…)et l’espace occupé (logement, surface….) »
Mais cette définition est simpliste pour représenter une notion complexe, relative et sensible
devant les perceptions et les implications du sujet considéré.
La ville compacte consiste à; « utiliser mieux et d’avantages les espaces existants…c’est donner
plus de destinations et plus de croisements, plus de possibilités d’activités, plus de monde »
Vincent Fouchier
La ville compacte est une; « politique menée pour enrayer les effets négatifs du desserrèrent des
population et des activités des génération précédentes » F.choaye/ P, merlin
Donc la densité ne suffit pas à elle seule de définir les caractéristiques de la ville compacte. C’est un
indicateur statistique et statique, dont le haussement résout les problématiques de mobilité et de
consommation d’énergie,
La ville compacte repose sur les politiques d’intensité et d’intensification urbaine, car elle la
mixité fonctionnelle et sociale et enrayer le zonage, elle se veut une ville qui offre les même
conditions à tous, qui utilise l’espace avec efficacité et efficience, qui promeut la rencontre, la
sociabilité et principalement elle réduit les distance de mobilité, donc l’usage de l’automobile et la
réduction de la pollution.
l’intensité urbaine est consiste à l’articulation des différentes composantes urbaines ‘’ densité,
accessibilité en transports collectifs, formes urbaines attractives, qualité des espaces publics, mixité
sociale, articulation et diversité des fonctions, présence de la nature en ville’’ (IUA. Collectif,
2009)
Les avantages de l’intensification urbaine ne sont effectifs que si elle est intégrée dans une approche
globale qui en mesure les divers impacts économiques, environnementaux et sociaux.
La ville compacte, par son incidence sur la mobilité, permet une économie d’énergie due aux
déplacements.
Cet argument est basé sur la courbe de NEWMAN et KENWORTHY, qui relie de façon inverse la
densité résidentielle et la consommation d’énergie.
Les deux auteurs obtiennent cette relation à partir d’une comparaison de 32 grandes villes dans le
Newman et Kenworthy ont en effet démontré par une analyse statistique que la consommation
annuelle de carburant par citadin dans le cadre de la mobilité quotidienne est en relation inverse
très marquée et exponentielle avec la hausse des densités urbaine
Ville compacte et mobilité
Résultat et discussion
• Los Angeles, ville très étalée aux
densités urbaines relativement faibles et
conçue autour de la mobilité
automobile est caractérisée selon les
résultats par une consommation de
carburant par habitant beaucoup plus
importante.
• Hong-Kong, ville très dense ou la
mobilité est plutôt caractérisée par
l’utilisation de modes de transports
moins gourmands en énergie.
Les indices classiques d’étude des formes utilisé pour le commun sont au nombre de trois ; de
Miller, Morton et Gravélius.
Pour les trois formules, S désigne la surface de la forme, P le périmètre de la forme et T désigne
l’étalement de la forme, c’est à dire la longueur maximale dans toutes les directions.
Plus une forme est compacte, plus son indice tend vers 1
CARACTÉ RISTIQUES DE LA VILLE COMPACTE
elle est:
Le rapport entre un indicateur statistique( population, logement, emploi…etc.) et
une surface. F.choay
La densité est le rapport entre un élément quantifiable ; habitant, emploi, mètre
carré de plancher et la surface d’un espace de référence. M. LEFEBVRE
« le rapport d’une quantité à une autre, notamment d’un poids à un volume. À un sens
très général en mathématiques ; en géographie, c’est toujours le rapport d’un nombre
d’objets à une surface définie : habitants par kilomètre carré, [ …]. Les densités de
population sont dites fortes ou faibles, mais ces termes vagues ont peu de sens. »
R. Brunet
À la population
Au logement
À l’emploi
Aux activités
Par exemple, un COS de 1 peut produire des formes urbaines très contrastées : pour 100
m de surface bâtie sur un terrain de 100 m, il peut y avoir un bâtiment d’un seul étage sur
toute la surface du terrain, ou un bâtiment de deux étages sur la moitié du terrain, ou de
quatre e étages sur le quart du terrain.
Donc Un même COS peut produire des formes urbaines très différentes, selon la taille et
la forme des parcelles
Densités et formes urbaines
La dimension hygiéniste
L’arrivée de l’hygiénisme urbain au XIX siècle, suivi des recommandations de l’OMS, visent à
réduire l’entassement des populations pauvres dans certaines villes du tiers monde. Ils considèrent
l’entassement comme étant un préjudice à la santé des populations et à leurs cadre de vie.
Ces recommandations se traduisent par des incitations au retour à la terre, une limitation de l’exode
rural. Donc ça concerne des seuil de population à ne pas dépasser, variable selon le cas.
La dimension psychosociologique
• La densité sociale ( école de Durkheim): s’intéresse au nombre de relation entre individus,
rapporté au volume de la société.
• La densité perçue: (école de Chicago) : qui fait référence à la proximité sociale, qui est
indépendante de la distance spatiale. La proximité physique peut favoriser les relation sociale
ou, au contraire, aviver les tensions.
• Le sentiment d’entassement ou (crowding) : concept mis en avant par D. stokolspour décrire
un stresse lié la perception trop élevé des personnes par rapport à l’espace disponible. La
réaction à ce stress oscille entre l’ouverture aux autres ou le repli selon le niveau de contrôle
exercé sur l’environnement social, pour éviter un environnement contraignant.
L’espace résidentiel
Il peut être définit comme:
« lieu d’activités privées de repos, de recréation, de travail et de vie familiale, avec leur
prolongement d’activités publique ou communautaires, d’échange sociaux et d’utilisation
d’équipements et de consommation de biens et services »
Z. Alberto
L'étalement est une croissance incontrôlée dans une zone urbanisée, comprenant aussi
bien le développement « par bonds », de grandes zones d’urbanisation monotone et
uniforme, et parfois une urbanisation tout simplement banale. Da Cunha & V. Ungern-
Sternberg
l’étalement urbain est l’avancement de la ville sur les zones agricoles et forestières, la
transformation des zones « naturelles » en zones construites (que se soient des
bâtiments, des routes, des voies de chemin de fer, des parcs urbains, etc.) Da Cunha & V.
Ungern-Sternberg
« L’extension toujours plus poussée de l’habitat non agricole dans les campagnes est sans
doute le trait le plus remarquable de l’évolution du peuplement dans les pays riches. » «
Ce phénomène, qui semble voué à se répandre avec la progression des niveaux de vie, a
reçu des noms divers selon que les auteurs insistent sur tel ou tel de ses aspects : fin des
villes, rurbain, périurbain, métropolisation, exurbanisation, campagnes urbaines, ville-
pays, ville territoire, città diffusa, ville émergente, ville-campagne, ville franchisée, etc. »
Augustin Berque
Les causes de l’étalement urbain
Les causes du phénomène d’étalement urbain sont diverses et difficilement mesurables;
Désir de la compagne, Le désir de la vie plus proche de la nature, la possibilité d’une propriété
recherche du bien être immobilière de grande surface (sol moins onéreux) et le désir d’éloignement des
désagrément et ennuis des centre-ville.
Apport des Avec la réalisation des réseaux autoroutiers, parfois même des
entreprises chemins de fer, des entreprises viennent s’installer tout autour, et
favorisant ainsi la constitution de nouveaux regroupements humains.
Apport de
La disponibilité et la généralisation de la voiture a principalement
l’automobile
contribué à l’amplification du phénomène d’étalement urbain,
La ville compacte
Pour Vincent Fouchier; la densité « le rapport entre une quantité ou un indicateur statistique
(habitats, populations…)et l’espace occupé (logement, surface….) »
Mais cette définition est simpliste pour représenter une notion complexe, relative et sensible
devant les perceptions et les implications du sujet considéré.
La ville compacte consiste à; « utiliser mieux et d’avantages les espaces existants…c’est donner
plus de destinations et plus de croisements, plus de possibilités d’activités, plus de monde »
Vincent Fouchier
La ville compacte est une; « politique menée pour enrayer les effets négatifs du desserrèrent des
population et des activités des génération précédentes »
F.choaye/ P, merlin
Donc la densité ne suffit pas à elle seule de définir les caractéristiques de la ville compacte. C’est
un indicateur. auquel il faut inclure l’intensification urbaine.
La ville compacte se veut une ville qui offre les même conditions à tous, qui utilise l’espace avec
efficacité et efficience, qui promeut la rencontre, la sociabilité et principalement elle réduit les
distance de mobilité, donc l’usage de l’automobile et moins de pollution.
Concept et définition
‘’Le paysage est une portion du territoire vu par un observateur, ou s’inscrit une combinaison
de faits et des interactions dont on perçoit à un moment donné que le résultat global’’ J.Tricart
Il est une réalité qui reflète un système spatial qui n’est pas seulement naturel mais de plus en
plus urbaine.
Donc il est une vision partielle est subjectivede cette réalité, perçue et vécue.
L’étude des formes urbaines doit être replacé dans le système urbain global, des lors que la
ville est un système spatialisé complexe et ouvert.
‘’ un ensemble complexe d’éléments en interaction organisés en fonction d’un but’’
J. Rosnay
Le but est la recherche d’une prospérité pour la ville
Le système implique la cohérence entre les éléments
Le système urbain s’exprime dans une structure socio-spatiale, un tissu dont on peut
decrypter les logiques, et representer le fonctionnement via un sagittal
ELEMENTS: tracé, parcellaire et bâti STRUCTURE : modes d’organisation
Le système morphologique
Le système morphologique est un des sous systèmes du système urbain, il peut être
décomposé en trois composantes ; des éléments qui forme une structure (mode
d’organisation de ces éléments)qui elle-même obéit à des logiques spontanée ou
réglementées qu’on appelle moyens.
1. Les éléments
Plan Parcellaire
Maillage
Usage
Site Bâti
1. Les éléments
Pour M.R.G Cozen, la forme urbaine est ; le plan, le bâti et l’usage du sol, mais qui peuvent être
détaillés en cinq principales:
La plan: il implique la forme générale(plan général) de l’agglomération ou la macroforme,
qui est polygénique structurée par la trame viaire(le maillage), et le maillage de détail
(secteur de la ville, lotissement) souvent aussi polygénique.
Le parcellaire: c’est le découpage du sol en lots ou parcelles pour son appropriation ou
son utilisation , il est très déterminé par le maillage, son évolution est lente mais il subit
des subdivisions multiples, il sert du support au bâti.
Le bâti ou le tissu constructif : est composé d’immeubles caractérisés par leur âge, style,
leur élévation, mais aussi par les vides urbains et les espaces publics, c’est la combinaison
des plein et vides qui engendre une structure qu’on appelle tissu urbain.
L’utilisation des sols: l’usage définit des ensembles fonctionnels dans la ville ‘’indus, il
triel, résidentiel, loisir, tertiaire’’, il détermine un parcellaire et des formes adaptées.
Le site: influence considérablement les trois structures précédentes, il se définit par la
topographie, l’hydrographie ….
2. La structure
Elle concerne le mode d’organisation des éléments entre eux. Donc on parle de tissu
urbain, dont la constitution en découle. Il peut être continu ou discontinu, dense, étiré
suivant des axes routiers, ou parfois rompu par des obstacle physique, administratif
déterminant de densité………….
Elle concernent les idéologie, les décision ou les processus à l’œuvre qui contribuent à la
création et formation d’une structure ou d’une combinaison plutôt qu’une autre.
Plan et maillage
La notion de plan véhicule un certain floue dans l’usage courant, il désigne à la fois ;
la structuration générale de la forme de la ville
au sens technique, l’expression graphique d’un schéma d’organisation
une opération volontaire d’organisation, de planification
en étude historique d’une ville, le plan est complexifié par juxtapositions et ajouts
successifs
Donc , il est préférable de parler de maillage
Le maillage: est l’élément de la forme urbaine constitué par la les réseaux de voiries.
Le maillage se manifeste en sous deux catégories; général et de détail
Le maillage général
C’est la première expression de la ville, le support structurelle du tissu urbain, bien qu’en
évolution permanente, il est l’élément stable de la forme urbaine.
Par son caractère de structure générale et globale de la ville, le maillage générale peut se
traduire par deux types:
mailles et ilots
Le système du tracé des rues détermine un découpages en unités spatiales de tailles variables;
la maille, l’ilot et la parcelle.
La maille
La taille d’une maille, qui est elle même une unité spatiale de surface plus grande que celle d’un
ilot, dépend de la densité du maillage’ ’tracé des voies’’. À chaque fois le maillage est dense ; la
maille se rétrécie. Les grande mailles sont délimitées par des avenues et boulevard. Du centre vers
la périphérie leurs tailles varient entre 120m/60m , 60m/30m presque la taille d’un ilot moyens.
Dans les périphéries elles sont de 250m/500m à 250m/100 à 120 m.
DONT:
M1,M2,M3,,,,,, sont des mailles
I1,I2,,,,,,,,,, SONT DES ILOTS
Z1,Z2 SONT DES ZONES
D’ACTIVITES CONCERTEES
L’Ilot
• La plus petite unité de l’espace urbain entièrement délimitée par des voies ’’ pâté de
maisons’’
• La première réflexion sur le rôle de l’ilot et sur la division de l’espace urbain est due à Cerda
dans son projet de l’extension de Barcelone 1859
• Domaine de residence relié au monde extérieur, la nature, la société par les voies.
• L’ilot, lui-même divisé en parcelles de tailles et formes variables.
parcelles