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de la langue elle-même, il existe d raits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes

combinatoires ;
ique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importan raits n raits

non-pertin

ents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;


cette
e de syntagmes et de
variations non-
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ce partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des evs « écritures » fortement stéréotypées. Enfin
de la langue elle-même, il existe déjà certains syntagmes figés (Saussure cite
un mot composé comme magnanimus) ; le seuil qui sépare la langue de la parole
peut donc raits n raits

non-pertin

ents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;


cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des evs « écritures » fortement stéréotypées. Enfin
de la langue elle-même, il existe d raits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes
combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue être fragile, puisqu'il est ici constitué par « un certain degré de
combinaison » ; voici dès lors introduite l'analyse des syntagmes figés, de nature
cependant linguistique (glottique), puisqu'ils s'offrent en bloc à la variation
paradigmatique (Hjelmslev appelle cette analyse la morpho-syntaxe) ; Saussure
avait noté ce phénomène de passage : « II y a aussi probablement toute une série
de phrases qui appartiennent à la langue, que l'individu n'a plus à combiner luimême
» 6. Si ces stéréotypes appartiennent à la langue, et non plus à la parole,
le troisième problème
qu'on indiquera ici concerne les rapports de la langue et de la pertinence (c'est-àdire
de l'élément proprement 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m. de nombreux systèmes sémiologiques en font grand
usage,
c'est donc une véritable linguistique du syntagme, qu'il faut prévoir, nécessaire
pour toutes les « écritures » fortement stéréotypées. Enfin
de la langue elle-
,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
95
Roland Barthes
langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des scrites du Cours de Linguistique générale,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
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Roland Barthes
langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le
,
raits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de raits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des evs « écritures » fortement stéréotypées. Enfin
de la langue elle-même, il existe déjà certains syntagmes figés (Saussure cite
un mot composé comme magnanimus) ; le seuil qui sépare la langue de la parole
peut donc être fragile, puisqu'il est ici constitué par « un certain degré de
combinaison » ; voici dès lors introduite l'analyse des syntagmes figés, de nature
cependant linguistique (glottique), puisqu'ils s'offrent en bloc à la variation
paradigmatique (Hjelmslev appelle cette analyse la morpho-syntaxe) ; Saussure
avait noté ce phénomène de passage : « II y a aussi probablement toute une série
de phrases qui appartiennent à la langue, que l'individu n'a plus à combiner luimême
» 6. Si ces stéréotypes appartiennent à la langue, et non plus à la parole,
le troisième problème
qu'on indiquera ici concerne les rapports de la langue et de la pertinence (c'est-àdire
de l'élément proprement 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que signifiant de l'unité) ; on a quelquefoiune
l'existenc la parole, on l'a vu, peut être définie, outre les amplitudes de phonation,
comme une combinaison (variée) de signes (récurrents) ; cependant, au
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que signifiant de l'unité) ; on a quelquefoiune
l'existenc la parole, on l'a vu, peut être définie, outre les amplitudes de phonation,
comme une combinaison (variée) de signes (récurrents) ; cependant, au niveau
et s'il est avéré que de nombreux systèmes sémiologiques en font grand usage,
c'est donc une véritable linguistique du syntagme, qu'il faut prévoir, nécessaire
pour toutes les « écritures » fortement stéréotypées. Enfin
de la langue elle-
,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
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langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des scrites du Cours de Linguistique générale,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
95
Roland Barthes
langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le
,
éjà certains syntagmes figés (Saussure cite
un mot composé comme magnanimus) ; le seuil qui sépare la langue de la parole
peut donc être fragile, puisqu'il est ici constitué par « un certain degré de
combinaison » ; voici dès lors introduite l'analyse des syntagmes figés, de nature
cependant linguistique (glottique), puisqu'ils s'offrent en bloc à la variation
paradigmatique (Hjelmslev appelle cette analyse la morpho-syntaxe) ; Saussure
avait noté ce phénomène de passage : « II y a aussi probablement toute une série
de phrases qui appartiennent à la langue, que l'individu n'a plus à combiner luimême
» 6. Si ces stéréotypes appartiennent à la langue, et non plus à la parole,
le troisième problème
qu'on indiquera ici concerne les rapports de la langue et de la pertinence (c'est-àdire
de l'élément proprement 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que signifiant de l'unité) ; on a quelquefoiune
l'existenc la parole, on l'a vu, peut être définie, outre les amplitudes de phonation,
comme une combinaison (variée) de signes (récurrents) ; cependant, au niveau
et s'il est avéré que de nombreux systèmes sémiologiques en font grand usage,
c'est donc une véritable linguistique du syntagme, qu'il faut prévoir, nécessaire
pour toutes les « écritures » fortement stéréotypées. Enfin
de la langue elle-
,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
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langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des scrites du Cours de Linguistique générale,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
95
Roland Barthes
langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le
,
on-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des evs « écritures » fortement stéréotypées. Enfin
de la langue elle-même, il existe déjà certains syntagmes figés (Saussure cite
un mot composé comme magnanimus) ; le seuil qui sépare la langue de la parole
peut donc être fragile, puisqu'il est ici constitué par « un certain degré de
combinaison » ; voici dès lors introduite l'analyse des syntagmes figés, de nature
cependant linguistique (glottique), puisqu'ils s'offrent en bloc à la variation
paradigmatique (Hjelmslev appelle cette analyse la morpho-syntaxe) ; Saussure
avait noté ce phénomène de passage : « II y a aussi probablement toute une série
de phrases qui appartiennent à la langue, que l'individu n'a plus à combiner luimême
» 6. Si ces stéréotypes appartiennent à la langue, et non plus à la parole,
le troisième problème
qu'on indiquera ici concerne les rapports de la langue et de la pertinence (c'est-àdire
de l'élément proprement 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que signifiant de l'unité) ; on a quelquefoiune
l'existenc la parole, on l'a vu, peut être définie, outre les amplitudes de phonation,
comme une combinaison (variée) de signes (récurrents) ; cependant, au niveau
et s'il est avéré que
niveau
et s'il est avéré que de nombreux systèmes sémiologiques en font grand usage,
c'est donc une véritable linguistique du syntagme, qu'il faut prévoir, nécessaire
pour toutes les « écritures » fortement stéréotypées. Enfin
de la langue elle-
,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
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langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des scrites du Cours de Linguistique générale,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
95
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langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le
,
probablement toute une série
de phrases qui appartiennent à la langue, que l'individu n'a plus à combiner luimême
» 6. Si ces stéréotypes appartiennent à la langue, et non plus à la parole,
le troisième problème
qu'on indiquera ici concerne les rapports de la langue et de la pertinence (c'est-àdire
de l'élément proprement 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que signifiant de l'unité) ; on a quelquefoiune
l'existenc la parole, on l'a vu, peut être définie, outre les amplitudes de phonation,
comme une combinaison (variée) de signes (récurrents) ; cependant, au niveau
et s'il est avéré que de nombreux systèmes sémiologiques en font grand usage,
c'est donc une véritable linguistique du syntagme, qu'il faut prévoir, nécessaire
pour toutes les « écritures » fortement stéréotypées. Enfin
de la langue elle-
,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
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langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des scrites du Cours de Linguistique générale,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
95
Roland Barthes
langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le
,
T1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que r1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique
généralengages de masse, et chaque fois que oubetskoy
lui-même) identifié la pertinence et la langue, rejetant ainsi hors de la
1. Cf. infra, II,
des
variations non-signifiantes forment un corps a langue, ce qui a pour avantage, comme on va
le voir à
l'instant, de lever lampour toutes lepour toutes les « écritures » fortement stéréotypées.
Enfin
de la langue elle-même, il existe déjà certains syntagmes figés (Saussure cite
un mot composé comme magnanimus) ; le seuil qui sépare la langue de la parole
peut donc être fragile, puisqu'il est ici constitué par « un certain degré de
combinaison » ; voici dès lors introduite l'analyse des syntagmes figés, de nature
cependant linguistique (glottique), puisqu'ils s'offrent en bloc à la variation
paradigmatique (Hjelmslev appelle cette analyse la morpho-syntaxe) ; Saussure
avait noté ce phénomène de passage : « II y a aussi probablement toute une série
de phrases qui appartiennent à la langue, que l'individu n'a plus à combiner luimême
» 6. Si ces stéréotypes appartiennent à la langue, et non plus à la parole,
le troisième problème
qu'on indiquera ici concerne les rapports de la langue et de la pertinence (c'est-àdire
de l'élément proprement signifiant de l'unité) ; on xrévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des ale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique générale,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
95
Roland Barthes
langue, tous les traits non-pertinents, c'est-à-dire les variantes combinatoires ;
cette
e de syntagmes et de
variations non-signifiantes qui soient cependant « glottiques », c'est-à-dire qui
appartiennent à la langue ; cette linguistique, peu prévue par Saussure, peut
prendre une grande importance partout où régnent les syntagmes figés (ou
stéréotypes), ce qui est sans doute le cas des otypées. Enfin
de la langue elle-même, il existe déjà certains syntagmes figés (Saussure cite
un mot composé comme magnanimus) ; le seuil qui sépare la langue de la parole
peut donc être fragile, puisqu'il est ici constitué par « un certain degré de
combinaison » ; voici dès lors introduite l'analyse des syntagmes figés, de nature
cependant linguistique (glottique), puisqu'ils s'offrent en bloc à la variation
paradigmatique (Hjelmslev appelle cette analyse la morpho-syntaxe) ; Saussure
avait noté ce phénomène de passage : « II y a aussi probablement toute une série
de phrases qui appartiennent à la langue, que l'individu n'a plus à combiner luimême
» 6. Si ces stéréotypes appartiennent à la langue, et non plus à la parole,
le troisième problème
qu'on indiquera ici concerne les rapports de la langue et de la pertinence (c'est-àdire
de l'élément proprement signifiant de l'unité) ; on a quelquefois (et Troubetskoy
lui-même) identifié la pertinence et la langue, rejetant ainsi hors de la
1. Cf. infra, II, 1, 3.
2. Cf. infra, II, 1, 3.
3. t La mécanique de l'analyse quantitative en linguistique », in : Études de
linguistique appliquée, 2, Didier, p. 37.
4. A. Martinet : Éléments de Linguistique générale, Armand Colin, 1960, p. 30.
5. Cf. infra, sur le syntagme, ch. m.
6. Saussure, in : R. Godel : Les sources manuscrites du Cours de Linguistique générale,
Droz, Minard, 1957, p. 90.
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Roland Barthes
langue, tous les t

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