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DEPARTEMENT DE LA SOCIOLOGIE-ANTROPOLOGIE
(DS-A)
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SOCIOLOGIE LICENCE 1
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Réalisé par:
Le Collectif des Responsables d’Amphi
Unités Matières
d’enseignement
UE 1101 -Introduction à la sociologie générale
-Histoire de la sociologie
UE 1102 -Introduction à l’anthropologie générale
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UE1101 : INITIATION À LA SOCIOLOGIE GÉNÉRALE
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pays en voie de développement ; la renaissance de la religion ; la santé publique ; les
rapports entre le privé et le public.
Que font les sociologues?
Les sociologues réalisent la collecte et l’analyse des informations (données) pouvant
contribuer au changement social en synthèse documentaire, entretiens, questionnaires,
sondages, récits de vie, études de cas, analyses statistiques, analyses de discours,
évolution de programmes et de politiques etc…
Les pères fondateurs de la sociologie
- Auguste Comte (1798-1857)
-Émile Durkheim (1858-1917
- Karl Marx (1818-1883)
-Max Weber (1864-1920)
-Alexis Tocqueville (1805-1859)
-Marcel MAUSS (1872-1950)
Les précurseurs de la sociologie
-Montesquieu (1689-1755)
-Rousseau (1712-1778)
-Aristote (384-322)
-Platon (428-347)
Normes : ensemble des règles, des lois, des principes qui régulent les actions des
individus dans la société.
Selon Émile Durkheim, les normes sont des règles de conduite socialement
sanctionnées, engendré par une conscience collective.
Valeurs : ce sont des principes moraux qui orientent l'action des individus dans la
société.
Selon Guy Rocher, les valeurs sont des manières d'être ou d'agir propre à une
personne, collectivité qui reconnaît comme idéale.
HISTOIRE DE LA SOCIOLOGIE
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Démarche : hypothético-inductive
Type de sociologie : compréhensive (Subjective et individualiste)
Modèle d'analyse : individualisme.
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UE1102 : INITIATION À L’ANTHROPOLOGIE GÉNÉRALE
L’Anthropologie est une science, située à l’articulation entre les différentes sciences
humaines et naturelles, qui étudie l’être humain sous tous ses aspects, à la fois
physiques (anatomiques, biologiques,
morphologiques, physiologiques, évolutifs, etc.) et culturels (social, religieux,
psychologiques, géographiques, etc.).
Au terme d’une histoire qui retrace les différentes théories de l’anthropologie, il est
nécessaire de s’interroger sur l’apport ou le bien-fondé de ces théories
anthropologiques.
Qu’est-ce-que l’anthropologie ? Quelles sont les différentes sortes de
théorie en anthropologie ? Quelles sont les théories qui sont complémentaires ?
Quelles sont les théories qui s’opposent ?
Qu’est-ce-que l’Anthropologie ?
Le mot anthropologie vient de deux mots grec‘’anthropos’’, qui signifie « homme », et
‘’logos’’, qui signifie science, parole, discours. Elle constitue jusqu’au XIX siècle une
branche du savoir philosophique, mais avec la naissance des sciences sociales le terme
change de sens pour désigner essentiellement la nouvelle science. La démarche
anthropologique prend comme objet d’investigation des unités sociales de faible
ampleur à partir desquelles elle tente d’élaborer une analyse de portée plus générale,
appréhendant d’un certain point de vue la totalité de la société où ces unités s’insèrent.
L’anthropologie est une science qui étudie l'homme dans toutes ses dimensions socio-
culturelles.
En effet, l’anthropologie est née avec la découverte de la connaissance d’autrui, avec
la reconnaissance de l’altérité. Cette naissance correspond à la prise de conscience de
la verticalité, dans l’espace et dans le monde. L’homme a répugné pendant longtemps
à se prendre pour objet d’étude.
L’anthropologie est devenue une science de l’homme qu’à la 2ème moitié du 19ème
siècle, vers 1860, 1890.
Celle-ci s’est dotée d’une méthode, d’une problématique et d’une conscience
professionnelle. Cette période correspond à l’évolutionnisme. Au 18ème siècle a existé
une pensée pré-ethnologique par des naturalistes, des philosophes qui voulaient saisir
l’homme dans sa diversité. Certain ont qualifié la renaissance de préhistoire de
l’anthropologie.
L’anthropologie étudie dans son acception la plus large le genre humain.
L’anthropologie en ce sens pendant longtemps une branche du savoir philosophique.
Descartes, Hobbes, Rousseau ou encore Kant avec l’anthropologie du point de vue
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pragmatique participent de cette forme première de l’anthropologie. Elle s’est ensuite
développée au cours du XIX siècle en tant que science pour répondre aux observations
faites sur la diversité physique et culturelle de l’espèce humaine. Le terme même
d’anthropologie a changé de sens au fil des découvertes et en suivant les différents
courants de pensée : l’évolutionnisme, le fonctionnalisme, le diffusionnisme, le
culturalisme et structuralisme.
L'anthropologie est également née des conquêtes coloniales et de l'étude des peuples
dit primitif, recherche des traces de révolution de l'homme comme espèce dans le cas
de l'évolution physique de la société dans celui de l'anthropologie sociale. L'objet
d'étude de l'anthropologie est l'homme à travers ses dimensions sociales et culturelles.
Les différentes phases de l'évolution de l’anthropologie :
-l'ethnographie : c'est la première phase de l'évolution de l'anthropologie qui consiste
à une description ou transcription des données premières de la recherche.
- l'ethnologie : c'est la deuxième phase de l'évolution de l'anthropologie qui consiste à
l'interprétation et d'analyse des données de la recherche. Elle étudie les mœurs ou
ethnies des peuples.
- l'anthropologie : c'est la phase de comparaison et de
généralisation des données du terrain (phase de théorisation)
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Sauvagerie, barbarie et civilisation ; chacun de ses stades se subdivise en 3 sous
stades : inférieur, moyen et supérieur (Henry Morgan)
Magie, Religion et Science (James Frazer)
Communauté primitive, Société esclavagiste, Féodale, Capitaliste, Socialiste et
Communiste (Marxiste).
L’ambition de tous ces travaux visait à montrer que l’évolution de l’humanité constitue
un processus unique et linéaire de changements progressifs, cumulatifs et irréversibles.
Les critiques ou limites de l'évolutionnisme :
-l’ethnocentrisme (c’est la considération de sa culture comme étant sa référence)
- considération europo-centrique
Les Acteurs de l’évolutionnisme :
o Lewis Henry Morgan (1818-1881)
o Edward Tylor (1832-1917)
o James George Frazer (1854-1941)
Le Diffusionnisme a été théorisé par des auteurs tels que Boas, Kroeber, Grabner,
Frobenius. Il est procédé d’une critique de l’évolutionnisme et du fonctionnalisme. Il
est fondé sur le postulat que les inventions naissent dans les cercles culturels restreints
à partir des quels elles se diffusent. Par conséquent, les sociétés se développent
beaucoup plus par emprunt et
par imitation à la suite des contacts culturels provoqués par les migrations ou par les
guerres.
Les critiques ou limites du Diffusionnisme :
Considération parcellaire des emprunts culturel qui sont par ailleurs fragmentaires.
Le culturalisme a été développé aux USA à partir des années 30 du siècle passé. C’est
un courant qui tend à expliquer la culture comme système de comportements appris et
transmis par l’éducation, l’imitation et le conditionnement dans un milieu social
donné.
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Les critiques ou limites du Culturalisme :
Simplification de la formation de la personnalité à la culture c'est à dire, à part la
culture, il y a l'école, les institutions qui influencent aussi l'homme.
Les Acteurs du Culturalisme :
o Margaret Mead (1901-1978)
o Christopher Alexander (1936-)
Système de parenté
La parenté est une relation sociale privilégiée, consanguine ou non, fondée sur
l'existence réelle ou supposée d'une filiation commune, d’une alliance, ou sur une
adoption.
Les types de parenté
- la filiation (lien du père au fils)
- la germanité (lien entre frère et sœur d'un même couple)
- l'alliance (lien du mariage)
Les types d'alliance
- La monogamie
- La polygamie
- La polyandrie
- Le lévirat
Les formes de parenté
-Relations de plaisanterie (par exemple amusement violant entre nago et bariba)
- Relation évitable (la relation qui existe entre un homme et sa belle-mère)
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- la relation classificatoire
Les piliers de la parenté
- le lien biologique
- le lien social
- le lien juridique
Les types de résidence
- la patrie localité
- la matrie localité
- la néo-localité
- uxuro-localité.
Les huit termes de la parenté.
- père-mère ; épouse - mari ; fils-fille ; frère-sœur.
FILIATION
Père (pe)
Mère (me)
Fils (fs)
Fille (fe)
GERMANITÉ
Frère (fr)
Sœur (sr)
ALLIANCE
Épouse (ep)
Mari(Ma).
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UE1103 : INTRODUCTION A LA DEMOGRAPHIE SOCIALE ET LES MOBILITES
SOCIALES
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Les facteurs de production sont :
-la force
-La nature
-Le capital.
Les éléments de la reproduction sociale :
- reproduction des positions
- reproduction des structures
-reproduction elle-même en tant que mode d'analyse.
Identité sociale : l'ensemble des traits distinctifs qui
permettent de catégoriser ou de classer les individus dans la société.
La classe sociale : c'est l'ensemble des d'individus qui partage les mêmes conditions
de vie, les mêmes connaissances, les mêmes croyances et qui ont même traits sociaux.
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Âge révolu : c’est l'âge au dernier anniversaire. Il se distingue ainsi de l'âge exact.
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UE 1104 : INTRODUCTION À LA PSYCHOLOGIE GÉNÉRALE ET
LINGUSTIQUE SOCIALE APPLIQUEE
INTRODUCTION À LA PSYCHOLOGIE GÉNÉRALE
Définition de la psychologie
Le mot psychologie vient de deux mots grecs « psukhê » qui veut dire ''âme'' et
« logos » qui signifie ‘’connaissance, science et étude''.
Étymologiquement la psychologie est là science qui étudie l'âme. De façon
générale, la psychologie est l'étude scientifique du comportement humain et de
ses processus mentaux qui les sous-tendent.
Les courants de la psychologie.
- le structuralisme, qui est la compréhension de l’esprit
qui devrait nécessairement passer par une meilleure
connaissance des éléments qui le constituent.
- le fonctionnalisme, est né en tant qu’approche à la compréhension des processus
mentaux internes.
-Le béhaviorisme ou comportementalisme qui a vivement critiqué l’utilisation de
l’introspection comme méthode préconisé par les structuralistes.
-Le Cognitivisme défend que la psychologie est bien l’étude du mental et non du
comportement.
Quel est l’objet de la psychologie ?
L'objet d'étude de la psychologie est d'expliquer, modifier, et de prédire le
comportement de l'homme de façon vérifiable.
Les Perspective de la psychologie
-La perspective biologique qui repose sur le postulat que tous les comportements, les
sentiments et les pensées sont associés à des activités physiologiques.
Elle est centrée sur l’analyse des changements biologiques associés aux
comportements.
-La perspective psychodynamique met l’accent sur la dynamique inconsciente des
forces intérieures, conflictuelles et instinctives, qui orientent le comportement de
l’individu. Cette perspective essaie de comprendre la vie intérieure des individus en
s’intéressant à l’analyse de leur appareil psychique composé des instances
intrapsychiques que sont le ça, le moi et le surmoi.
-La perspective humaniste favorise l’étude des caractéristiques uniques de l’être
humain, comme le libre arbitre et le concept de soi et ne cherche pas les causes du
comportement. Elle accorde une place prépondérante aux caractéristiques qui nous
distingueraient des autres animaux.
-La perspective comportementale met l’accent sur l’étude du comportement
objectivement observable et du rôle de l’environnement comme facteur déterminant du
comportement humain et animal
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-La perspective cognitive étudie les processus mentaux dans la perception, la
mémoire, le langage, la résolution de problème et d’autres aspects du comportement.
-La perspective socio culturelle est considérée comme une approche majeure en
psychologie, car elle se penche sur l’analyse des influences que pourraient avoir le
milieu social et les valeurs culturelles sur le comportement social.
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LA LINGUISTIQUE SYNCHRONIQUE ET LA LINGUISTIQUE
DIACHRONIQUE
Définition :
La linguistique synchronique étudie le fonctionnellement de la language dans un état
donné tandis que la linguistique diachronique étudie l'évolution de la langue dans le
temps. Autrement dit, la linguistique statique et la linguistique évolitive.
L'axe paradigmatique et l'axe syntagmatique
Les énoncés linguistiques s'organisent de l'axe paradigmatique et l'axe
syntagmatique. Le premier axe concerne le choix des mots et la seconde se réfère à la
place des mots danseurs énoncé grammaticales.
Exemple : un mot peut être remplacé par un autre mot de la même catégorie au
moyen d'un déplacement sur l'axe paradigmatique.
Les composantes du language : La langue et la parole.
La langue : est un système de communication conventionnel qui permet à l'être
humain de communiquer. Elle est acquise.
La parole : Elle est l'expression de la langue.Elle est individuelle.
*Le langage* est tout système de signe qui permet la communication.Il est une
faculté *innée*
*La sociolinguistique* est là science qui s'occupe de l'étude de la covariance entre la
structure de la société et la structure de la langue.
*La différence entre la linguistique et la sociolinguistique*
La sociolinguistique s'occupe de l'étude de la la langue dans son contexte social ce que
réfute la linguistique qui envisage la langue hors du contexte social.
La méthode de la linguistique est l'observation ; l'administration du questionnaire ;
l'entretien.
Comparaison de concept de f. saussure et de Noam Chomsky :
Noam Chomsky a développé la notion de compétence qui est la langue chez Chomsky,
et la parole chez Chomsky est égale à la performance de Ferdinand de Saussure.
LE SIGNE LINGUISTIQUE
Pour SAUSSURE, la langue n'est pas le reflet de la réalité ni de la pensée, les mots
de la langue ne sont pas des décrets mise sur la réalité du monde et le langue le traduit
par la pensée qui aurait une forme précis. L'argument de SAUSSURE est la traduit les
mêmes, procédé les noms différents dans diverse langue.
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Les signes linguistiques sont:
-Le signifiant (image apoustique )
-Le signifié (le concept)
-La référence (image concrète, palpable)
*Les caractéristiques du signe linguistique*
- L'Arbitraire
- La linéabilité
- L'immutabilité
- La mutabilité
La valeur : c'est la signification ou le sens d'un mots dans un contexte donné .
*La double articulation du langage humain selon André Martinet ( parole moneme)
Il distingue deux articulations:
Première articulations que sont les Morphèmes : sont doués de sens( unités
significatives).
Deuxième articulations que sont les phonèmes : sont des unités non doué de sens, mais
linguistiquement pertinente ( unités non significatives).
Les différentes branches de la linguistique = les différents branches de la
linguistique
Les branches traditionnelle de la linguistique ou branches interne de la
linguistique:
- La syntaxe
-La morphologie
-La sémantique
Les branches modernes de la linguistique ou branches externe de la linguistique :
- La sociolinguistique;
-L'éthnolinguistique ;
- La psycholinguistique;
- La géolinguistique ;
-La neurolinguistique;
-Etc
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Les outils de la communication:
-Émetteur
-message
- récepteur
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UE1105 : INITIATION AUX MÉTHODES DE RECHERCHE DES SCIENCES
SOCIALES
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Particularités des sciences sociales :
- Champ du savoir où le comportement du chercheur s'applique à d'autres
comportements humains ( l'objet de recherche);
- Chercheurs n'étant pas considérés comme les seuls producteurs de discours et
d'analyses ;
- Rupture épistémologiques, conditions fondamentales de la scientificité du discours.
Obstacles subjectifS et objectifs des sciences sociales
Nature intrinsèque des faits étudiants
- les phénomènes à généraliser ne sont pas, par essence, directement perceptible ;
- impossibilité de les observer au télescope ou de les mesurer au moyen du
dynamomètre ou du thermomètre.
Nature du chercheur en tant qu'observateur de ces faits
- Manque de spécificité des méthodes d'observation et de raisonnement des chercheurs
en sciences sociales.
- Connaissance jamais immédiate et pleine.
Relation particulière dans laquelle le chercheur est placé à l'égard des faits à
observer
- L'observateur est ici aux phénomènes qu'il étudie comme est une cellule isolé,
faisant partie d'un organisme vivant
Implication du chercheur, posture ou outil épistémologique
L'implication est une notion qui traduit la résultante d'une situation d'immersion
soit consciente ou inconsciente, volontaire ou involontaire.
C'est une attitude qui devient scientifique lorsqu'elle est engagée, consciente,
volontaire et critique.
Selon Lourau (1997), La question de l'implication est celle de la relation du chercheur
à son objet, du praticien à son terrain, de l'homme à sa vie.
La rupture épistémologique
C'est un concept élaboré par Gaston BACHELARD qui met l'accent sur la différence
de nature entre la connaissance non scientifique et la connaissance scientifique.
La rupture épistémologique intervient à deux niveaux :
- Dans l'histoire de chaque science, elle marque le passage entre les conceptions
préscientifiques et des conceptions scientifiques ;
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- Dans la vie sociale, elle marque l'opposition entre connaissance ordinaire et
connaissance savante . La connaissance scientifique s'oppose à l'opinion, à la doxa , au
sens commun.
La majorité des sociologues contenporains considère la rupture avec la connaissance
ordinaire est un préalable de la démarche sociologique.
Principes d'interprétation épistémologiques de recherche en sciences sociales
Positionnement constructiviste
Selon Jean-Louis Le Moigne, l'épistémologie constructiviste remette en cause l'idée
de vérité objective, mettent l'accent sur l'interaction entre l'objet et le sujet soulignent
la dimension éthique de toute connaissance.
La recherche repose sur les principes de :
- représentabilité ou d'hypothèses relativistes;
- l'univers construit ou d'hypothèses intentionnaliste ;
- l'objectivité ou d'interactions sujet- objet (Brachet, 1998);
- l'argumentation générale où la recherche engage l'homme par tous les caractères de
sa sensibilité (BACHELARD, 1938);
- et principes de l'action intelligente.
Sur le plan épistémologique, le constructivisme s'oppose au positivisme, car il
considère la réalité sociale comme un processus en construction permanente, et
proposant des modèles d'analyse correspondant à cette perspective.
Le positivisme est une doctrine philosophique qui considère que la science doit
avoir comme objectif l'observation des faits et la description des régularités qui
caractérisent ces faits.
Le positivisme permet un mariage l'expérience et le raisonnement.
Principes fondamentaux guidant le chercheur :
1- Principes ontologique ou l'hypothèse réaliste :<< ce qui est, est et tout chose
connaissable a une essence>>
2- Principes de l'univers câblé ou d'hypothèse déterministe : <<non
seulement, la réalité est, mais elle est nécessairement déterminés>>
3- Principes d'objectivité ou d'indépendance du sujet et de l'objet : <<si le
réel est, il doit exister indépendamment du sujet, qui déclare le percevoir ou
l'observer,et l'observation de l'objet réel par un sujet ne doit pas modifier la nature de
cet objet>> ( Moigne , 1990).
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4- Principes de la naturalité de la logique ou rationalité : le procédé de la
recherche se base sur trois règles universelles : l'analyse, la synthèse et le
dénombrement (Brachet, 1998).
5- Principes de moindre action : c'est le principe du minima qui se base sur la
simplicité comme critère de scientificité.
L'objet de la recherche est conçu comme système. La connaissance du système
doit être trouvée non seulement dans le système lui-même, mais aussi dans sa relation
avec l'environnement.
Pratique épistémologiques en sciences humaines :
Portée épistémologique des sciences sociales
Premièrement, la société constitue une condition préalable indispensable à
l'épistémologie : elle est <<une condition préalable essentielle de la science et même
de toute pensée>> (Durkheim, 1979).
Pour Weber, la pensée rationnelle n'a pas une présence uniforme et son
explication n'est pas coextensive à la société en tant que telle, mais à l'émergence et à
la nature distinctives d'un certain type de société, en l'occurrence celle qui nous
intéresse le plus, notre société.
Deuxièmement, il y a non seulement la présence d'une société mais d'un certain
type de société (Kuhn).
La société ne suffit pas il faut l'esprit critique pour engendrer les sciences sociales
(Popper).
Nécessité critique : implication et engagement :
L'importance des rapports entre l'épistémologie et l'implication du chercheur en
matière des sciences humaines est heuristique et critique :
- heuristique parce qu'il s'agit d'une expérience du terrain ;
- critique parce qu'il nécessite une distance dans la triple opération de
vérification, d'intervention et d'explication.
Explication : opération par laquelle l'environnement de recherche nous devient
intelligible.
Vérifications : opération par laquelle le chercheur éprouve la conformité avec les
observations (Chalmers, 1997).
Intervention : opération technique conçue comme le véritable critère
d'appréciation de la qualité de la recherche.
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Les éléments fondamentaux d'implication du chercheur comme engagement
:
Emergence : en sciences sociales, les phénomènes humains et globaux sont
imprévisibles à partir des phénomènes élémentaires. Cela résulte de la complexité de
l'être humain et social.
Contingence : les sciences sociales sont confrontées à des indéterminations. On
ne peut faire des prédictions à l'échelle humaine et sociale.
Réflexivité : la connaissance de l'humain et du social n'est jamais statique. Elle
est instable, dynamique, réflexive.
Marc Jacquemain parle d'une épistémologiques des sciences<<multi-
paradigmatiques>> (Jacquemain, 2004) autrement dit : l'implication du chercheur est
irréductiblement un cheminement critique et réflexif.
Cheminement réflexif du chercheur
Ses outils sont :
-L'observation;
-La participation;
-La compréhension théologique;
-La parole;
-La relation.
Son objet d'intervention est l'être humain, la dualité homme et femme, la culture
et les cultures, les sociétés qui parlent par des signes et des symboles, un système qui
est également en situation d'implication.
Le but de la science : est de découvrir la vérité sur le monde empirique.
L'épistémologie en tant que étude critique analytique des sciences concourt à
l'atteinte de cet objectif.
La réflexivité permet une implication consciente du chercheur. Elle s'articule sur
les moments de l'intuition, de l'explication, de la description-contextualisation et
confrontation- de l'analyse.
Pour un chercheur, le cheminement réflexif atteste le projet scientifique de :
-Décrire;
-Comprendre;
-Et comparer.
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Son implication dans la recherche lui permet de surmonter les malentendus et de
transformer le réel.
INTRODUCTION AUX MÉTHODES DE RECHERCHES EN
SCIENCES SOCIALES
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recherche pour aboutir aux résultats réalistes, fiables. Autrement dit, elle représente les
étapes d’opérations limitées liées à des éléments pratiques, concrets, adaptés à un but
défini.
Techniques en science sociales :
- la recherche documentaire,
- l ' Entretien, l'observation,
- le questionnaire.
Les outils de recherche en sciences sociales :
Fiche de lecture, guide d'entretien, grille d'observation et questionnaire.
Les techniques et les outils appropriés
- la recherche documentaire pour la fiche de lecture
- l'entretien pour guide entretien
- l'observation pour la grille d'observation
- le questionnaire
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- l'intérêt général
- l'utilité du sujet de recherche
- le développement de la science.
Les caractéristiques de la démarche scientifique sont :
L'affirmation du déterminisme, La recherche de l'objectivité et la nature spécifique du
fait ou phénomène à étudier.
1- LA QUESTION DE DÉPART
Les critères d'une question de départ :
La clarté, la faisabilité, la pertinence.
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Les qualités d'une question de départ :
Précision, concision, univoque, réaliste, la véracité,
explicative.
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UE 1106 : INTRODUCTION A L’HISTOIRE NATIONALE ET ECONOMIE
SOCIALE
COURS SUR L'HISTOIRE NATIONALE
I- La mise en place du peuplement du plateau d'Abomey et la première structure de la
gestion politique
A- L'installation des peuples yoruba
La première partie de la migration
Les yoruba ou les Guédévi sont considérés comme les premiers occupants connu du
plateau-d'abomey deux grandes bases migratoire concours à la des yoruba.
Les Guédévi constitue la première vague des yoruba du plateau d'Abomey.
Lieux et Période d'installation
Il ce serait installé dans la région de hwawé entre le VII èmes et IX ème siècle.
Sens de Migration
C'est une migration d'EST vers L'ouest en Provence de OYO.
La deuxième partie de la migration
Elle est lié à la dispersion des enfants Odudua à cause des conflits liée au pouvoir à la
cour ILE-IFÈ.
Sens de migration
Ils ont fait une migration de l'EST vers L'OUEST à partir de ILE-IFÈ.
Lieux et Période d'installation
Leurs installations sur le plateau d'Abomey datent de la fondation OYO pour
OLANTAN.
B- L'installation des peuples Adja
a- Les Za
Origine
Des Za serait des anciens Ahizo qui aurait pris le départ Awansori sur les rives du lac
Nokoué pour le plateau d'Abomey .
Raison de leur départ
Rivalités interne
Sens du migration
Il prenne la direction du SUD vers le NORD.
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Lieux et Période d'installation
Ils se retrouve à TADO dans la région Agado . Ils changent le nom Ahizo et
deviennent DAA ou Za entre le XIV ème et le XIV ÈME SIÈCLE.
B- Les Wémenou
Origine
Ils appartiennent aux groupes Adja . Les Wémenou se ne se reconnaissent pas des
Tado comme la grande maison d'où il serais partie.
Raison de leur départ
La recherche de nouvelles terres cultivables ou une zone de chasse et sécurité.
Sens du migration
Ils prennent pour repère la migration Adja d'EST en OUEST .
Lieux et Période d'installation
Ces peuples s'installe sur le plateau d'Abomey autour du XIV ème siècle.
c- Les Houéda
Origine
Ils sont issues du mélange entre les Ahizo et Tori et aussi des Adja .
Raison de leur départ
À la suite des problèmes familiales
Sens du migration
Du sud vers le nord
Lieux et Période d'installation
Ils s'installent sur le plateau d'Abomey vers la fin XVI ème siècle et du début de XVII
ème siècle.
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c- Les structures politiques pre-Agasuvi
1- LE LIGNAGE
Le parilignage est la première institution Socio politique dans laquelle les pre-Agasuvi
se reconnaissent.
Les membres du LIGNAGE
Nous avons 3 membres à savoir : le Chef de le lignage ; le Vigan et le tasinon .
Leurs rôles
*Le Chef de lignage
Il a le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel puis préserve l'unité du lignage.
Il dirige le culte des ancêtres et convoque le nom de l'ancêtre fondateur ou l'ancêtre
éponyme et au respect des différentes lois qui registre la vue d'ensemble.
* Le Vigan
C'est lui le responsable des enfants de l'enclos-parentale.
Il incarne la force, il convainque les réunions et organise les travaux d'intérêt collectif.
C'est lui qui punit tout ce qui traverse les lois.
*Le Tasinon
Encore appelé la mère de tous les enfants, mère des tantes paternelles.
Elle est chargée de faire des prières à l'occasion des grandes cérémonies organisée par
le chef de lignage. Elle appelle le bonheur sur tous les membres de l'enclos et appelle
le malheur sur tous les ennemis de l'enclos parental pouvant aller jusqu'à la mort.
La plus importante des cérémonies est celle du début de la grande saison sèche qui se
déroule devant la case sacré.
L'espace habité par l'enclos parentale est appelé XWÉ qui sont des représentants des
chefs de lignage dans les enclos fille.
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mènent à chaque enclos parentale qui le compose, l'enclos parentale qui le compose
plusieurs chemins conduise à la case et chaque famille NUCLÉAIRE>>.
Le Chef du village dirige le village et est élu, le chef du village dirige un village ou
TOGAN dirige le village dirige le village.
II - LE PROCESSUS DE LA MISE EN PLACE DU ROYAUME DE
DANXOME
A- L'installation des Agasouvi à ALLADA-XONU
Le roi KOKPON d'Allada une querelle de susession divise ses héritiers. DOGBAQHI
un des héritiers prend la tête d'une importante migration vers le nord malgré tous ce
qui à été écrit jusqu'à ce jour, des incertitudes persiste sur le moment précis de leur
départ.
Vers XVII éme siècle, dans sa migration à HWAWÉ DOGBAQHI était accompagné
de cinqs (5) de ses fils : Ganyehésu ; Zanvo ; Dako ; Jebo ; Zulu.
Ayinon soliste auprès de son hôte KPAXÉ des terres pour s'installer. Il réussit donc à
lui céder et sa troupe un espace à ZUNGOUSA contre une référence symbolique de
201 coris glace à Gbaguidi le chef des hwéda.
Cette intervention de Gbaguidi créé entre les Agasouvi et les hwéda LA
CONFIANCE PARTICULIER.
B - La volonté des Agasouvis de construire un État centralisé
Les Agasouvis constituent le mode gestion villageois à HWAWÉ, TADO et Allada
constitue leurs références, leur modèle politique dans la gestion des Allada avide du
pouvoir. Ils acceptent mal l'anonymat pour régner il leurs faut un royaume comme
TADO ou Allada. Il conçoit le pouvoir des plus forts " ganwiwé donc de domination".
On retrouve cette aspiration dans cette séquence du proverbe dahomeen qui dit <<
Quand le roi envoie son fils au marché, il ne lui demande pas de lui acheter du sel, du
piment, des perles, il lui dit de l'acheter le pouvoir de domination>>.
L'amitié et les alliances matrimoniales sont les moyens pacifiques utilisés par les
Agasouvis pour la conquête du pouvoir de domination.
En assurant l'amitié de Gbaguidi à travers un pacte de sang, les houéda ne constituent
plus un danger pour les Agasouvis. De son côté "Ganyehésu" renforce son amitié avec
Ahodomin un chef Wémenou qui vis de façon durable leurs destin avec Celui des
Agasouvis.
Se voyant dans la peau d'un roi d'un royaume naissent, il retourne à Allada pour
recevoir les attributs à la howléus du nouveau statut qu'il se donne. Allada étant un
modèle pour eux, les Agasouvis veulent installer sur le plateau d'Abomey un modèle
de pouvoir centralisé.
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Le prince Dako élimine Adengi qui voulut incarner la présence de KPAXÉ. Le
meurtre de ce dernier facilite la réconciliation de Aho et son oncle Dako.
Il attaque un autre chef qui s'appelle Dan. Avec la participation du prince Akaba, Dan
fu tué. La mort de Dan constitue un repère dans le changement du statut juridique de
Ahonaga-hwawé et le royaume naissent.
Ce meurtre donne au nouveau royaume le nom de DANXOME, c'est-à-dire
"DANS LE VENTRE DE DAN"
La deuxième version : seul une dizaine de lois ont été retenus, ces lois n'atteint pas 41
en réalité. Ce chiffre est choisir pour donner un caractère sacré aux lois.
3- LE CONSEIL DU TRÔNE
Le conseil de trône est la structure la plus importante de la gestion du royaume au côté
du roi, ça mise en place s'est faite progressivement de DAKO a GUÉZO .
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Le deuxième : les hommes non héréditaires de la charge que les princes ministres
occupent.
Avantages de ces critères : cela laisse l'attitude au souverain d'hisser les hommes
nouveau au rang des dignitaires de royaume.
Le troisième : le porte-feuille à vie.
Le roi de DANXOME tiens à assurer la fidélité de ses ministres. Pour cela le roi fait
recours à la tradition du pacte de L'eau et aux relations matrimoniales.
Le Pacte de L'eau : au lendemain de son intronisation, le roi contracte avec ces
ministres et ces confiants un pacte de l'eau mélangé à la terre du royaume. Avant le
partage de L'eau dans une calebasse placé dans la case des ancêtres à la veille, les
paroles que voici sont prononcés :<<malheur à celui lié à cette écru, commettra la folie
de la violé. Quel remplisse son ventre d'amertume>>.
Les alliances matrimoniales : afin d'assurer le contrôle des ministres, le roi donne en
mariage sans compassion des princesses à ces ministres.
Avantages : La présence des princesses au domicile des ministres rassure le roi qui en
profite pour élargir sa famille sur le plan économique.
c- LA COMPOSITION DU CONSEIL DE TRÔNE
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À côté de Migan HOUEGBADJA crée un autre poste de ministre chargé des affaires
intérieures.
Rôle :
Il est chargé des affaires intérieures du palais et à la famille des souverains. Ces lui qui
à les yeux sur les princes pour permettre au roi de s'occuper essentiellement des
problèmes relatifs au royaume.
Adjaxo : Le ministre du culte et de la sécurité
Il est créé par Agadja qui lui donne le nom Adjaxo. À partir de glèlè ce poste connais
un changement fondamentales et devient héréditaire. C'est la première fonction à
connaître des mutations au DANXOME.
Biragnon : le ministre des économies
Pour réussir les réformes les réformes économiques obligatoires et sortie de la crise
Guézo créent le poste de responsable des finances.
d - LA Place du conseil de trône dans les institutions du DANXOME
L'entrée des princes dans le gouvernement fait la rencontre entre deux catégories
sociales du DANXOME : les princes représenter par le roi et les sons vidagho du
règne de Guézo puis les Routiers.
Dans le strict respect des lois de HOUEGBADJA, les ministres exercent un pouvoir
non moin négligeable dans leur domaine d'intervention.
Tout tentative d'abus d'autorité de la part des ministres est sanctionnée par la
destitution et parfois la peine capitale.
Avantages
- la fidélité des ministres à leur Roi
- Assure la continuité du pouvoir
- il n'y a jamais de rupture dans la vie de l'Etat
B - LES INSTITUTIONS RELIGIEUSES
Avantages : les rois du DANXOME se servent du sacré pour consolider leur pouvoir ;
trouver des solutions à certains problèmes spécifiques.
a- L'INSTITUTION DU ZOMADONOU
Le règne D'Adjaga est très perturbant avec les susession de malheur. Celui-ci solicite
l'aide du BABALAWO Adélèyè, qui lui conseille de faire recours au culte .
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Le culte ZOMADONOU a été ramené du pays Maxi. Son esprit repose dans une case
ou un communément appelé Xoga . Seul celui installé par HOUEGBADJA est dans
une case ronde situé à Adjaxoto.
b- L'APPROPRIATION DE MULTIPLES VODOUM
Les VODOUMS comme Xu ou Agbé , Dangbé , Mawu , Lisa , Hevioso etc sont
ramenés à travers des expéditions étrangers.
Le ministre Adjaxo est le responsable des cultes, les adeptes sont placés sous son
autorité.
C- LES INSTITUTIONS SOCIOÉCONOMIQUE
1- La structure sociale du DANXOME
Plusieurs inégalités existent dans le royaume de DANXOME à savoir :
- La persistance d'un héritage pre-Agasuvi;
- L'existence de plusieurs classes sociales au sommet de la hiérarchie sociale.
2- LES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES
Les ressources économiques du royaume :
- L'agriculture est l'économie principale :
-La chasse :
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✓Les règles applicables à la personne morale qui exploitation de l'entreprise prévoit
qu’en cas de dissolution.
2-LES CONDITIONS DE DÉVELOPPEMENT DE L'ÉCONOMIE SOCIALE
2-1 Les conditions de nécessité
Il s'agit des coopératives des mutualités ou autres initiatives associative l'histoire nous
apprend que d'abord qu’elles sont le plus souvent née sous la pression de besoin
important non satisfaite pour répondre à des besoins aigus.
2-2 L'existence d'une collectivité collective et d'une communauté
Si la pression de la nécessité suffisait à fait naître des institutions social celles-ci
pourrait bien pus être développée. Au XIX ème siècle et dans la première moitié du
XIX ème siècle le dynamisme de l'économie sociale était l'expression d'une culture
mais dominée largement par la SOLIDARITÉ.
L'histoire de l'économie sociale nous apprend également que ce facteur joue un rôle
moteur et constitue une condition tout aussi essentielle que la première.
Une analyse convergente peut-être facile pour une économie sociale d'origine rural
(agricole, les caisses rural de crédit, les associations paysane).
3- LES DIFFÉRENTES FORMES D'ENTREPRISES D'ÉCONOMIES
SOCIALE:
- Les organisations à but non lucratif (OBNL) : sont des regroupements de personnes
physiques qui poursuivent une mission sociale et non pas l'intention de réaliser des
gains pécuniaire dans l'objectif de se les partager en constituent une personne morale à
but non lucratif le groupe (minimum 3 personnes), créé une entité juridique qui détient
des droits et des obligations qui lui sont propres.
4-LES CARACTÉRISTIQUES DES ENTREPRISES SOCIALES :
- Une existence distincte de celle de ses membres (personnes morales);
- La possession des biens en son nom propre (patrimoine) ;
-Elles ont des droits et assure des obligations ainsi que des responsabilités ;
- Elles signent des contrats par l'entremise de ses admirateurs ou ses représentants
officiel ;
- Elles peuvent intenter des poursuites où être poursuivi au même titre qu'une personne
physique.
5- Les entreprises sociales ne sont pas toutes des entreprises d'économie
sociale certaine d'entre elles ne respectent pas les critères prévus dans la lois sur
l'économie sociale.
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Les entreprises sociales regroupent les activités économique exercer par des sociétés
principalement réunie en coopération dont l'etique se traduit par des principes suivants
:
- La collectivité plutôt que de profit qu'empocherais un capitaliste ;
- Autonomie de gestion ;
- Processus de décision démocratique ;
- Primauté des personnes et du travail sur la capitale.
6- L'ÉCONOMIE SOCIALE FACE À LA QUESTION DE TRAVAIL ET DE
L'EMPLOI :
La question de l'emploi dans les organisations de l'économie sociale et solidaire
apparaît comme un chantier prioritaire en raison de son développement récent et des
interrogations vons des inquiétudes qu'elle suscite.
7- L'ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE FACE À LA QUESTION DE
DÉVELOPPEMENT :
7-1 Développement économique :
Les entreprises économique et sociale ont une forte implication dans le
développement en ce sens. Elle favorise une indépendance financière et des
investissements dans la création des entreprises face au chômage grandissant.
7-2- Développement personnel
L'économie sociale et solidaire permet d'élargir son réseau social d'amitié, de travail
et d'échange fructueuse, elle facilite la satisfaction des besoins essentiels et met
l'homme au cœur de ses besoins de préoccupations majeures en lui permettant de
valoriser sa personne humaine sur le plan familial, national et international.
7-3- Le développement durable
L'économie sociale et solidaire est un élément du développement durable.
L'économie sociale et solidaire est présente dans toutes les formes de développement
de sorte que si le développement était considéré comme des escaliers elle permet de
grimper un bon nombre d'escalier.
Nous pouvons retenir que l'économie sociale et solidaire ne refuse pas le profit mais
elle redistribue ce profit à quatre entité distincte à savoir : génération, territoire
entreprise et les membres.
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