NJUTAP VOUIT FENDJU Jean Didier

Cheminement B

DEVOIR DE SOCIOLOGIE DE LA SANTE

SUJET N°01 : La sociologie de la santé postule que les problèmes de santé (maladies, traumatisme,
etc..) ne sont pas réductibles à leurs aspects biologiques ou physiologique, mais qu’ils supposent et
engagent aussi des phénomènes ou mécanismes spécifiques sociaux. Pour quelles raisons ?

Depuis l’évolution de l’homme à travers les âges, les sociologues ont pris le temps d’observer
le comportement de l’hommes dans sa société et le rapport qu’il entretien avec ces confrères et son
environnement d’où la sociologie. Tout comme l’homme, la maladie à subit des mutations au fil des
années et lutter contre celle si constitue un problème majeur qui perturbe l’existence de l’homme. La
sociologie de la santé quand t’a elle est une branche de la sociologie qui étudie les relations qui
existe entre l’homme, la maladie et son environnement raison pour laquelle il sera question pour
nous de parler de la maladie comme phénomène sociale.

Compte tenu du développement des sociétés, nous pouvons observer que la maladie ne peut
plus être seulement vue dans son aspect biologique mais doit être aussi vue comme un phénomène
social car le comportement et les habitudes des hommes en matière d’hygiène favorise plus
l’apparition de celle-ci. Ici en Afrique il est fort de constater une recrudescence des certaine
pathologie tel que le choléra, la plyomiélite qui sont causés par la mauvaise condition de vie de cette
population or en Europe ou les conditions de vie et règle hygiénique sont très respecter il est
impossible des retrouver ces maladies. Le personnel de santé doit s’imprégner de cette science ou
cette discipline afin de mieux prendre en charge un patient car les maladies peuvent être récidiver du
fait de l’environnement du patient.

En résumé nous pouvons dire que la maladie provient plus de l’environnement du patient et
son mode de vie raison pour laquelle la sociologie de la santé porte plus un intérêt sur la maladie en
t’en que fait sociale qu’à sa biologie.

https://www.cairn.info/introduction-a-la-sociologie-de-la-sante

https://fad.univ-lorraine.fr/pluginfile.php/23857/mod_resource/content/1/co/PlaceSocio.html

https://www.universalis.fr/encyclopedie/sociologie-de-la-sante/
SUJET N°02 : à partir de vos expériences de terrain, et tant que professionnel de la santé, montrez-en
quoi la sociologie de la santé pourrait vous amener à comprendre vos patients, à soulager leur
souffrance, à guérir leur maladie ou à les accompagner dignement vers la fin de vie.

L’expérience de la maladie n’est pas seulement individuelle. Chaque société a ses maladies,
mais elle a aussi ses malades. A chaque époque et en tous lieux, l’individu est malade en fonction de
la société où il vit, et selon des modalités qu’elle fixe. La ligne du temps nous a montré les victimes
anonymes de l’épidémie, considérée comme fléau collectif envoyé par Dieu. Puis sont apparus les
patients aliénés et passifs devant la technique et le savoir du médecin. Enfin, aujourd’hui, mais ce
n’est pas fini, prennent leur place dans le système les groupes de malades chroniques capables de
prendre en charge leur traitement.

Selon la répartition de la société, des conditions climatiques, nous pouvons constater une
répartition des maladies en fonction des certaines localités. Pour le cas de l’Afrique nous savon qu’il
existe des pathologies à forte morbidité tel que le paludisme, le choléra etc… qui sont plus causé par
un quasi manque du respect des règles d’hygiène dont le personnel de santé doit prendre en compte
quand il s’agit de travailler dans cette localité. Ici, il ne va pas seulement suffire de traiter la maladie
du patient mais aussi de lui prodiguer les conseils sur les règles d’hygiènes et cela ne peut pas se faire
si le personnel de santé n’intègre pas le côté social du malade et son environnement ce qui relève de
la sociologie de la santé.

Au vue de tout cela la sociologie de la santé permet au personnel de la santé de comprendre

que le malade est capable d’apprendre sa pathologie et de participer à sa guérison.