Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide
range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and
facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact support@jstor.org.
Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at
https://about.jstor.org/terms
is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to Revue des Deux Mondes
(1829-1971)
Vie de Rossini , par M. Betle. - Joachim Rossini , von Maria Ottingüer, Leipzig i 85-2.
I.
(1) « Le bruit des ondes de la mer qui venaient briser à vingt pas de la porte du palais
ajoutait encore sous ce climat brûlant au sentiment de bien-être. Notre âme était admi-
rablement disposée à parler musique et à reproduire ses miracles, soit par cette discus-
sion vive et partant du cœur qui fait renaître pour ainsi dire les sensations, soit par le
moyen plus direct d'un piano qui était caché dans un des coins de la terrasse entre trois
caisses d'orangers. » Voyes Beyle, Vie de Rossini , t. JI, p. 400.
(!) Ce livre eut plusieurs éditions : la troisième parut à Rome en 1715 sous le patro-
nage du comte Philippe de Lamberg, cardinal-évèque de Passau, à qui elle est dédiée.
ti) « U oe nous efface pas, il nous fait oublier, » disait vingt-cinq ans plus tard un des
chefs de l'école française.
(1) J'ouvre le premier volume des Promenades dans Rome , et j'y trouve la remarque
suivante, qu'on prendrait pour une mauvaise mystification, si une note mise par l'édi-
teur au bas de la page n'indiquait que M. Beyle a la prétention d'être sérieux. « Les
Allemands se sont dit : Les Anglais vantent leur Shakspeare, les Français leur Voltaire
ou leur Racine, et nous, nous n'aurions persomie ! - C'est à la suite de cette observation
que Goethe a été proclamé grand homme. Qu'a fait cependant cet homme de talent?
Werther, car le Faust de Marlowe vaut mieux que le sien. »
(1) Pietro Bonaventura Trapassi, dit Metastasio (né le 3 janvier 1698 à Assise, mort
à Vienne le 12 avril 1792). Il avait à peine quatorze ans lorsqu'il composa son premier
poème, Il Giustino. En 1724, il écrivit pour Domenico Sarro sa Didone abbandonata , qui
fut représentée à Naples, puis, pour les divers maîtres de son temps, Ar taxer ces, Attilio