sur: ent l’acc ra mett ion entat prés e Cett Modifiez Le quoi, les styles du texte du masque Deuxième niveau Illustration Troisième niveau du concept par des exemples, Quatrième niveau Cinquième niveau Ses composantes, Métacognition et émotions, Son attribution. ? ition cogn méta « méta » les Modifiez : au-delà, styles du après, texteàdu l’extérieur masque ; un changement, une réflexion, un niveau supérieur,niveau Deuxième Troisième niveau Quatrième niveau « cognition » : faculté de connaître, l’acte mental par lequel on acquiert une Cinquième niveau connaissance ou on traite des informations. Psychologie: l’ensemble des processus relatifs aux facultés mentales : mémorisation, raisonnement, attention, etc. La métacognition concerne donc ce qu’il y a au-delà de la cognition. C’est en quelque sorte une mise en abîme de celle-ci ainsi qu’un aspect purement réflexif du fonctionnement mental. e: posit com aine hum té facul Une Modifiez C’est une les autorégulation styles du texteconsciente du masquede ses cognitions et de ses comportements. Deuxième niveau La métacognition Troisième niveau regroupe ainsi la planification de l’activité, le suivi de celle-ci, les Quatrième niveau stratégies d’apprentissage et de résolution de Cinquième niveau problèmes ainsi que la régulation d’aspects « clés » de la cognition, du comportement, de la motivation et des affects. Lorsqu’on s’autorégule, on s’appuie donc à la fois sur des compétences (régulation de la cognition et du comportement) et des connaissances (stratégies, fonctionnement personnel, influence du contexte, rôle des émotions, capacités cognitives, expériences passées de réussite ou d’échec, etc.) et on vit des expériences particulières. la métacognition est donc la capacité de l’individu à appréhender une situation- problème en s’appuyant sur ses compétences, et ce afin d’atteindre un objectif spécifique. n… ratio Illust Les sportifs, Modifiez lesàstylestitre d’exemple, font appel à la métacognition dans la perspective de leurs du texte du masque exercices sportifs. Notamment lorsqu’il s’agit d’améliorer leurs performances. Elle sert ici à Deuxième niveau faire unniveau Troisième bilan des performances passées, à planifier l’entraînement (fréquence, contenu), à décider niveau Quatrième du régime alimentaire adapté… Dans les sports collectifs, la métacognition permet Cinquième niveau également d’analyser les stratégies de l’adversaire et de planifier les siennes. En apprentissage, Dès qu’on cherche à apprendre quelque chose de nouveau, on mobilise la métacognition. Elle nous sert à identifier nos erreurs, nos réussites, et leurs origines respectives. Par son biais, on peut alors décider de ce qu’il convient de faire pour améliorer nos performances (relire des exemples d’exercices, se replonger dans des points de théorie, poser des questions à l’enseignant, etc.). La métacognition est en effet sollicitée dans tout apprentissage et dans toute tâche qui va au-delà de simples automatismes. Nous l’utilisons donc tous, quotidiennement. : ition cogn méta la es de phar ntes posa com Les Modifiezlales styles du texte métacognition du être peut masque découpée en trois grandes composantes : Deuxième niveaules connaissances, les compétences et les expériences. Troisième niveau Quatrième niveau Cinquième niveau
1. Les connaissances métacognitives :
Ces connaissances regroupent tout ce que l’on sait sur notre manière de fonctionner, et sur la manière dont l’environnement peut influencer notre cognition. Ces connaissances ne sont pas composées exclusivement de faits, mais aussi de croyances et de souvenirs. o Les connaissances sur la cognition et les stratégies cognitives : Cela se traduit par exemple par le fait de savoir que la mémoire est limitée et que la répétition d’un numéro de téléphone permet de le retenir plus facilement. Modifiez o Les les stylesdes connaissances du tâches texte duetmasque contextes : Vous savez si vous êtes un bon bricoleur Deuxième niveau ouTroisième un bricoleur niveau moyen. De même vous savez d’expérience si vos capacités dans un domaine particulier se dégradent quand vous vous trouvez en situation d’évaluation Quatrième niveau Cinquième niveau (par exemple) ou si cela a plutôt tendance à vous stimuler. o Tout ce qu’on sait sur soi-même : Ici, les connaissances vont du général au particulier. Il s’agit de ce que la personne sait de sa personnalité, du fonctionnement de ses émotions et de sa motivation, etc. De plus, ces informations sont « classées » les unes par rapport aux autres. Par exemple, on peut savoir que l’on est meilleur joueur de guitare que de piano (différences intra-individuelles), mais également que notre professeur de guitare a un meilleur niveau que le nôtre (différences inter- individuelles). Nota bene : Ces Modifiez connaissances métacognitives sont activées les styles du texte du masque volontairement, Deuxième niveau Troisième niveau ou au contraire automatiquement, en fonction Quatrième niveau Cinquième niveau de ce que l’on perçoit et vit. Enfin, il est important de préciser que ces connaissances et croyances peuvent être inexactes ou encore partiellement activées et donc faciliter ou entraver l’atteinte d’objectifs. Dans certains cas, cela va même affecter le sentiment d’efficacité personnelle. 1. Les compétences métacognitives : Cette composante de la métacognition regroupe tout ce qui a trait à la régulation de la cognition. Et cela repose sur deux piliers : o Le suivi ou monitoring métacognitif : C’est le suivi conscient de l’activité en cours, et l’évaluation de celle-ci. Pour faire simple, on vérifie que ce qu’on fait colle bien à nos objectifs. C’est cette compétence qui nous permet de détecter nos erreurs. Le monitoring Modifiezainsi constitue les styles la du texte colonne du masque vertébrale de la métacognition, puisque c’est sur cette base Deuxième niveau que vontniveau Troisième se construire les connaissances métacognitives, l’ajustement des processus et des stratégies, Quatrième niveau ainsi que l’autocorrection. Cinquième niveau o Le contrôle métacognitif : Si le suivi métacognitif consiste à observer, le contrôle consiste à agir. On va ainsi décider de poursuivre, de modifier ou d’arrêter certains processus cognitifs en cours. Le contrôle implique également la planification des tâches, toujours dans la perspective d’atteindre un objectif. Elles nous permettent donc de vérifier que l’on avance bien comme prévu et que l’on met en place les comportements pertinents. Le monitoring permet de rendre l’information cognitive consciente, alors que les processus de contrôle permettent de modifier volontairement l’activité cognitive sur cette base. 1. Les expériences métacognitives : Dernier aspect de la métacognition mais non des moindres, les expériences métacognitives correspondent à l’expérience consciente de ce que l’on est en train Modifiez de les styles faire. Elles du texte peuvent du masque par l’activation consciente de connaissances être déclenchées Deuxième niveau métacognitives Troisième niveau ou par la régulation volontaire de la cognition. Quatrième niveau Lesdites expériences Cinquième niveau permettent ainsi aux connaissances et aux compétences métacognitives de s’articuler au mieux autour d’un objectif précis, tout en tenant compte de l’état émotionnel et motivationnel. A travers cette dernière composante de la métacognition, on voit clairement que la conscience et le fait de prêter attention à notre propre activité, sont au centre du concept de métacognition. En cela, la métacognition est une dimension essentielle des pratiques de pleine conscience. : ions émot / ition cogn Méta Même si une partie de la recherche ne s’intéresse à la métacognition que par rapport Modifiez au raisonnementles styles et du à latexte du masque mémoire, l’autorégulation ne se limite pas à ces aspects. En Deuxième effet, il niveau est évident que pour être performant et efficace, la métacognition doit Troisième niveau également Quatrième niveauêtre en mesure de réguler les émotions et la motivation. Et si on manque de stratégies Cinquième niveau d’autorégulation efficaces dans ce domaine, les émotions ou l’absence de motivation peuvent alors prendre le dessus et empêcher l’atteinte des objectifs préalablement définis. Par ailleurs, les émotions (positives ou négatives) influencent le vécu des expériences métacognitives. L’effort, la satisfaction et la difficulté ressentis par rapport à une tâche sont directement liés à l’humeur dans laquelle on se trouve à ce moment-là. La régulation mise en place et les connaissances générées vont aussi être altérées par les émotions. Une métacognition efficace implique donc de les réguler. Cet aspect de l’autorégulation est d’ailleurs une composante essentielle de l’intelligence émotionnelle. : ition cogn méta de la ion ribut L’att Modifiez Pour résoudre les styles les problèmes du texte du : masque Deuxième niveau Troisième niveau Quatrième niveau Cinquième niveau La capacité à réguler sa propre activité a ainsi un impact fort sur l’habileté d’apprentissage (capacité à acquérir de nouvelles compétences facilement) et la capacité à résoudre des problèmes. Les personnes qui apprennent « facilement » sont celles qui sont capables de transférer les connaissances et compétences métacognitives d’une situation à une autre. Enfin, la compétence la plus nécessaire à un apprentissage de qualité consiste en une réflexion sur sa propre activité d’apprentissage afin de l’ajuster en fonction du contexte. : ve ati tul api réc le nta me rte Ca Les connaissances métacognitives les compétences métacognitives (manière Modifiez de lesfonctionner : faits, styles du texte du masque (régulation de la cognition ; suivi et contrôle) Deuxième niveau Troisième niveau croyances, Quatrième niveau souvenirs…) Métacognition : Cinquième niveau
Réflexion du fonctionnement mental.
Les expériences métacognitives
(l’expérience consciente de ce qu’on est entrain de faire) es : renc Réfé Pintrich, Modifiez P.les R. styles (2000). The du role of texte du goal orientation in self-regulated learning. In M. Boekaerts, P. masque R. Pintrich, & M. Zeidner (Eds.), Handbook of self-regulation (p. 451–502). Academic Press. Deuxième niveau Efklides,niveau Troisième A. & Petkaki, C. (2005). Effects of mood on students’ metacognitiveexprience . Learning and Quatrième niveau Instruction, 15(5), 415-431. Cinquième niveau Salovey, P. & Mayer, J. D. (1990). Emotional Intelligence. Imagination, Cognition and Personality, 9(3), 185-211. Panaoura, A., Philippou, G., & Christou, C. (2003). Young pupils’ metacognitive ability in mathematics. European research in mathematics education III. Zimmerman, B. J. (2000). Self-Regulatory Cycles of Learning. In: Gerald A. Straka (Ed.), Conceptions of Self-Directed Learning (p.221-234). Münster: Waxmann. Wang, M. C., Haertel, G. D., & Walberg, H. J. (1990). What influences learning? A content analysis of review literature. The Journal of Educational Research, 84(1), 30-43. Wagener, B. (2013). Autogenic training, metacognition and higher education. Educational Psychology, 33(7), 849‑861.
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