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Métacognition
L’autoévaluation
Il faut repenser la formation des enseignants qui doivent être former afin de se développer
Contexte :
A l’origine : Recherche sur le cognitivisme, mais dans un contexte de recherche sur la pédagogie
active 1
Une connaissance des processus cognitifs que j’utilise dans une tâche déterminée
La réussite des capacités régulatrice de l’apprenant ne peut être imaginer sans les pratiques
enseignants (nécessité de la situation pédagogique)
FLAVELL, 1976 : La métacognition est un monitoring et une régulation des processus cognitifs,
distingue la connaissance métacognitive et l’expérience métacognitive (1981). Cette distinction est
devenue : connaissance VS régulation. Une sorte de dichotomie.
o Les capacités que cet individu a de délibérément contrôler et planifier ses propres processus
cognitifs en vue de la réalisation d’un but ou d’un objectif déterminé (Gombert 1990)
Deux dimensions :
Regard sur = prise de conscience, analyse, surveillance, auto-évaluation (raison pour laquelle le
3ème concepts clés est l’auto-évaluation)
Les dimensions :
Connaissances de la cognition
Régulation de la cognition
Evaluation : évaluer les produits et les processus régulatoires de l’apprentissage (on ne peut
réguler sans évaluer)
FLAVELL a créé la métacognition, en 1985 il dit que les connaissances métacognitives peuvent se
diviser en deux types :
Déclaratives et procédurales
Déclaratives : Savoir qu’Elles incluent les connaissances sur l’apprentissage en général, mais surtout
les connaissances sur soi ex : je sais que j’ai une bonne mémoire pour les dates, je trouve des
difficultés à retenir les noms des chercheurs …
Procédurales : Savoir comment (stratégie) ex : je sais comment faire surmonter une difficulté en
lecture.
Lorsqu’on dit connaissance de soi, on doit inclure les connaissances de soi en relation avec
les autres (connaissances interindividuelles)
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