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1. Mode opératoire
2. Objectifs
3. Application
L’outil est surtout adapté pour la caractérisation des sols fins contenant
peu de gravier et de cailloux, car ces derniers peuvent limiter la
pénétration de la tige et même occasionner un refus.
Pénétromètre statique
Par calcul, on peut obtenir la résistance de pointe statique qc : qc= Qp /
Ac avec Ac la surface du cône et la force de frottement Qf : Qf= Qt - Qp.
Le résultat des mesures permet d’établir un diagramme de l’effort total
et/ou de la résistance de pointe en fonction de la profondeur.
2. Application :
Essai pressiométriques
Peut être réalisé dans tous les types de sols, saturés ou non et dans les
remblais.
Recommandé par l’USG dans les calculs de tassements et capacité
portante.
Adaptable à tous types de sols Précision de l’essai Optimisation des
valeurs de capacité portante.
1. PRINCIPE ET OBJECTIFS DE L'ESSAI
Essai scissomètre
2. Mode opératoire
La vitesse de rotation angulaire du moulinet est normalisée à une vitesse faible
de 0,3 degré par seconde. Cette vitesse est obtenue en effectuant de manière
continue et régulière un tour de manivelle du couplemètre toutes les 20
secondes. Les mesures sont effectuées toutes les 10 secondes soit pour un demi-
tour de manivelle. L'essai est poursuivi jusqu'à un maximum de la contrainte de
cisaillement (soit cu). Une mesure de la résistance résiduelle du sol (résistance
du sol après sa rupture) peut être effectuée: il faut procéder à une rotation rapide
afin que le moulinet effectue dix tours dans le sol (soit 600 tours de manivelle)
avant de refaire une série de six lectures espacées de 10 secondes avec une
vitesse de rotation normale.
Essai le franc
1. PRINCIPE ET OBJECTIFS DE L'ESSAI
Essai PIÉZOMÉTRIE
Dans le cas où la nappe est captive (en charge), la réalisation d’un bouchon
étanche s’impose autour du tube piézométrique au niveau des couches
imperméables traversées.
Dans le cas d’une nappe captive, la valeur de la remontée d’eau donne une
mesure indirecte de la pression d’eau existant dans la nappe.
2. Application
Permet de connaître la profondeur du niveau de la nappe phréatique dans les sols
au voisinage de l’ouvrage, mais aussi dans les barrages en terre, digues, etc.
sondage a la tarière
2. Application
Lorsque le dispositif est à vide, c'est à dire que la zone de sol à tester n'est
soumise à aucune charge, la ligne de report de déformation est confondue avec
la ligne de référence. C'est normal. Sans charge appliquée sur la plaque, la
déformation du sol sous la plaque d'application de charge est nulle, comme le
montre le schéma ce dessous.
ESSAI DE LABORATOIRE
Equivalent de sable
2. Mode opératoire
3. Application
Teneur en eau
le calcul de teneur en eau peut se faire sur chantier avec du matériel courant
2. Mode opératoire
3. Application
Analyse granulométrique
• REFUS sur un tamis : la quantité de matériau qui est retenue sur le tamis.
Les masses des différents refus et tamisats sont rapportées à la masse initiale du
matériau. Les pourcentages ainsi obtenus sont exploités sous forme graphique.
2. Mode opératoire
Masse volumique
2. Mode opératoire
1 Peser le récipient mesure vide (m1 en kg). Le volume net V du récipient doit
être connu précisément (V en m3)
Limite D’Atterberg
2. Mode opératoire
3. Application
Essai de gonflement
2. Mode opératoire
On prépare l’éprouvette avec la bague oedométrique que l’on place ensuite dans
une cellule oedométrique drainée des deux extrémités par des disques revêtus de
papier-filtre.
Le dispositif de répartition d’effort est mis en contact avec l’éprouvette et le
système mesurage de la variation de hauteur est mis en place.
Dans un premier temps, on applique la contrainte sur l’éprouvette sans eau,
jusqu’à une certaine stabilisation de la hauteur et ensuite on met l’éprouvette en
immersion.
Une fois la stabilisation de la hauteur atteinte, on procède à la pesée de
l’éprouvette pour pouvoir obtenir sa teneur en eau.
3. Application
Essai a l’oedomètre
2. Mode opératoire
2. Mode opératoire
3. Application
2. Mode opératoire
2. Mode opératoire
Le diamètre (50 mm) des éprouvettes doit être au moins égal à 10 fois la
taille du plus gros grain de la roche de façon a intégrer au mieux les
hétérogénéités minérales et les discontinuités du volume poreux. Il est
préférable de garder le diamètre constant pour toute la série d’essais.
L’élancement L/D (L hauteur, D diamètre) doit être voisin de 2 pour
diminuer les zones d’influence du frettage de l’éprouvette et ainsi avoir une
distribution des contraintes non perturbée au centre de l’éprouvette.
Le montage peut intégrer le dispositif de mesures de la vitesse des ondes
P et S. Ce dispositif implique le changement du piston d’origine. Après la
mise en pression isotrope à la valeur souhaitée, l’essai est conduit par
chargement monotone croissant en déplacement (ou en force) dans l'axe de
l'éprouvette, jusqu'à sa rupture, pour une durée d’essai de 10 à 45 minutes.
Le procès verbal indique le type de rupture (pleine masse, sur
discontinuité, etc)
3. Application
Pour tester la dureté d’un matériau, on le soumet à une épreuve de chocs dans un
tambour.
Il se pratique sur les classes granulaires 4/6, 6/10 et 10/14 (gravillons pour
chaussée et bétons hydrauliques)
2. Mode opératoire
La friction des granulats entre eux et des granulats contre les boulets et les
parois du tambour provoque leur dégradation plus ou moins accrue.
L’ échantillon est ensuite retiré est lavé au dessus d’un tamis avec des mailles de
1.6 mm . On pèse le refus après séchage (M1).
3. Application
45% est la limite entre les sols durs et les sols friables
2. Mode opératoire
2°) Mise en place dans un tambour avec 5kg de billes métalliques calibrées et
2.5 litres d’eau.
3°) Appliquer une rotation de 12 000 tours au tambour à la vitesse de 100
tours/minute.
4°) Retirer alors la prise de l’essai, pour lavage au-dessus d’un tamis de 1.6mm.
3. Application
Essai Deval
Essai qui permet de mesurer la résistance à l'abrasion des granulats. Il s'agit
d'une procédure normalisée qui consiste à introduire une fraction
granulométrique prédéfinie de ballast ou de gravier à l'intérieur de deux
cylindres rotatifs à axe incliné.
Essai CBR
Au cours de cet essai, le matériau est poinçonné par un piston de 19,3 cm² de
section enfoncée à la vitesse constante de 1,27mm/min.
Les particulières des deux forces ayant provoquées les enfoncements de 2,5 et 5
mm sont alors rapportés aux valeur 13,35 et 20 kn qui sont les forces observées
dans les mêmes conditions sur un matériau de références.
2. Mode opératoire
On prépare le matériau à une teneur en eau égale à W on le pulvérise en brisant
les mottes mais en prenant soin de ne pas briser les graviers et pierres
éventuelles on écrête alors le matériau 20 mm en enlevant les grains supérieurs à
20 mm et en les remplaçant par une même masse compris entre les tamis de 5 et
20 mm.
- le but d'opération (mesure de gonflement) est de placer le sol dans les plus
mauvaises conditions hygrométrique qu'il est susceptible de rencontrer dans la
pratique. Les conditions opératoires doivent être précisées sur me procès verbal
d'essai :
ä d = ä h/ 1 + w
3. Application
Géotechnique routière – dimensionnement de chaussées
Essai Proctor
L’essai est répété plusieurs fois de suite sur des échantillons portés à différentes
teneurs en eau. On définit ainsi plusieurs points d’une courbe (γ #ω) ; on trace
cette courbe qui représente un maximum dont l’abscisse est la teneur en eau
optimale et l’ordonnée la densité sèche optimale.
Pour ces essais on peut utiliser, selon la finesse des grains du sol, deux types de
moules :
Avec chacun de ces moules, on peut effectuer deux types d’essai (choix par
rapport à l’énergie de compactage) :
2. Mode opératoire
a/ Préparation des échantillons pour essais :
Quantités à prélever :
La réalisation de la courbe nécessitera au moins 5 essais (1 point (ω ; γd)
par essai).
6 essais sont préférables. Pour 6 points de mesure, on prélèvera :
Moule PROCTOR : 15 kg,
Moule C.B.R. : 33 kg.
Contrôle de l’échantillon pour la faisabilité de l’essai :
Si D ≥ 20 mm, il faut tamiser à 20 mm le sol et peser le refus :
Si le refus est ≤ 25%, l’essai doit être réalisé dans le moule CBR,
mais sans intégrer le refus (échantillon écrêté à 20 mm),
Si le refus est > 25%, l’essai PROCTOR ne doit pas être réalisé
(compactage hasardeux).
Préparation de l’échantillon :
Ecraser les mottes à la main ou au malaxeur, mais pas les éléments
pierreux, et homogénéiser soigneusement le matériau (sa teneur en eau
doit être homogène). Sécher le matériau à l’air ou à l’étuve (3 à 5 heure à
60°C), pour faciliter le tamisage et pour débuter l’essai avec une teneur
en eau inférieur à la teneur en eau optimale Proctor (l’essai est fait à
teneur en eau croissante ).
Ecrêter à 20 mm l’échantillon (le cas échéant).
Détermination de la teneur en eau de départ :
L’expérience montre qu’il est bien d’avoir 2% de différence de teneur en
eau environ entre chaque point (courbe harmonieuse). 4% est un
maximum.
3. Application
En travaux publics, lors de la construction d'un stock de terre
(un remblai), l'objectif va être de compacter le sol afin à la fois de stocker
un maximum de matériau dans le volume donné, et aussi d'augmenter la
stabilité du remblai pour éviter les phénomènes de glissement. L'essai
Proctor permet de connaître la densité maximale possible d'un matériau,
et sa teneur en eau nécessaire pour aboutir à cette densité