PLAIDOIRIE DES JURISTES- PRUDENTS.

Pour le lancement officiel du club

La république de DUCAO est un Etat d’Afrique de l’ouest avec une superficie de 323,000 km2. Le
DUCAIS qui autrefois un Etat religieux. Mais à la suite à de sa nouvelle constitution adopté en
2010, il opte pour la laïcité. Il pour capitale économique ABUJAN et pour capitale administrative
Deux grandes régions souvent opposé en raison de leur idéologie politique coexistent dans l’Etat.
La présidente EWIBLA depuis l’acception à l’indépendance DUCAIS dirige des bras de fer cet Etat.
Elle obtempère dans les années 2000 suite à plusieurs manifestations et autorise le
multipartisme. Par ailleurs elle ratifie tous les traités relatifs au droit de l’homme et des peuples
du continent.
L’Etat ne reste pas en marge de l’émergence juridique en adhérant également à toutes les
conventions relatives au droit de l’homme. L’Etat a même fait la déclaration de reconnaissance la
cour pénale internationale (CPI) en 2003. La politique éducative depuis 2000 exige la gratuité de
l’école aux les enfants sans distinctions.
Dans la région du sud, précisément à de Roch-Villé vit un peuple Alama qui majoritairement
pratique l’Aslim. Tandis que dans la région du nord à la capitale économique Mora-Villé le Peuple
ALOMO est majoritairement Animiste. La suite des élections d’octobre 2010 des conflits éclatent
mais est résolu sur ordre de la présidente qui demande en ces termes « On ne discute pas avec la
rébellion, on agit »
Cette crise post-électorale entraina la fermeture d’universités publique de Conory, et d’autre
édifice pour leurs rénovations.

Un riche commerçant du nom d’Aladji et grand croyant envoie son unique fille Latifa compte tenu
des circonstances qui prévaut en terre Damaroisse étudié à l’étranger dans la République Libre du
Blofouè. Avec bénédiction de son épouse ADJA, Il ne manque sagement de conseiller à sa fille de
s’éloigner des vicissitudes de la culture du Blofouè, et de rester toujours en adéquation avec
l’aslim leur religion.
1- Cette religion interdire dans l’un de ses passage les relations hors mariage, et traite
d’abomination les relations entre personnes de même sexe. Chose que sagement elle
acquiesce et promet au parent de rester digne d’eux.
Mais, après l’obtention de sa licence en droit et surtout sa nouvelle compagnie et vivant dans un
nouveau monde ou vendredi tous est permis, Latifa semble assez mature pour décider de son
appartenance sexuelle. Son attirance envers les filles semble si grande qu’elle se dit juridiquement
outillée pour défendre ses droits et libertés pour sa préférence féminine.
 2- Elle milite alors au sein de l’association des lesbiennes gays bisexuels et transgenre
en acronyme (LGBT) pour une visibilité en Afrique des droits à libre orientation
sexuelle.
3- Invité sur un plateau télé de «Tous es permis » à cet effet, elle affirme publiquement
« je suis ducaise, je suis lesbienne et fière car c’est mon droit».
La nouvelle ne manque pas de défrayer la chronique de Roch-Villé avec comme titre « un père
pieux, une fille aux mœurs légères ». Cette nouvelle qui s’est répandu comme la peste était de
nature à ridiculiser la famille d Aladji qui portait le deuil d’une trahison de la part de leur fille. M.
Folly frère aîné d’Aladji réunit le conseil familial afin de décider du sort de Latifa.
4- Malgré l’opposition de son épouse ADJA qui souhaitait entendre leur fille sur cette
grande désobéissance et fait des rituels de purification. M. le conseil de famille avec
l’accord du Aladji décide de bannir l’unique son unique fille non seulement de la
famille du testament mais également de la famille. Il décide par conséquent de lege
tous ses biens revenant à Aladji à son neveu Uriel qui lui est militaire de profession
et fervent croyant de l’Aslim. Son épouse finit par donner son accord dit-elle si cela
peut effacer le malheur sur la famille.
5- Les pensées à l’égard de sa fille l’on fait piqué une crise à Aladji celui-ci est interné
dans une clinique de la capitale. Sa fille informer décide de venir voir son père et lui
accorder son soutien. Mai contre toute attente elle fut expulsée de l’hôpital sous
ordre de son père.
Réfugié à l’hôtel PRUDENCE elle reçue la visite d’association anonyme du mouvement des LGBT
vivant en terre Damaroisse. Cette association prévoyait de faire une marche pacifique pour de
montrer leur appartenance et orientation sexuelle. Aussi pour interpellé l’opinion publique sur les
justificatifs d’une telle orientation afin de ne plus faire objet de stigmatisation, de maltraitance ou
de violence.
6- Latifa en tant que militante internationale des droits des LGBT rallie sans difficulté
sa voix à la noble cause. Elle est donc nommée comme porte-parole ah doc pour
cette marche. Bien que la demande d’autorisation pour une marche pacifique n’ait
pas eu de réponse un mois après sa notification à l’administration l’association
prévoyait tous de même de faire sa marche le mois prochain. L’association décidait
d’interpréter le silence de l’administration comme valant acceptation et de faire
valoir leur droit à la liberté de manifestation de réunion et d’opinion L’administration
informée déploie un effective militaire parfaitement armée. On dira tel des soldats
au front le 14 juillet 2014 jour de la marche. Le mouvement des LGBT à réuni la
presse nationale et internationale afin de faire passer un communiqué à travers son
porte-parole.
7- Latifa affirmait sur la chaine kpakpato24 que l’Etat du Damarois méconnaissait les
droits à la protection de ses citoyens fut-ils minoritaires et contribuait
paradoxalement à la marginalisation de cette minorité en raison de leur orientation
sexuelle.
 8- Minorité qui est exclu de l’employabilité du secteur public et qui est le plus souvent
confrontés à des problèmes d’intégration sociale. Ce gouvernement est donc
médiocre.
Avec des panneaux, des banderoles et mieux dans des déguisements extraverti le mouvement des
LGBT compte effectués leur marche. A peine débutés la marche que s’ensuit d’abord les
hurlements virulents de certains riverains hostile au mouvement mais aussi quelque
encouragement moins perceptible de leur paire. Enfin c’est l’armée qui n’a pas manqué d’arroser
d’eau bouillante et de gaz lacrymogène tous les manifestants et sympathisants de ce mouvement.
Le chef de l’opération militaire ordonna l’ordre d’arrêter les manifestants. Pour riposter ils jetaient
à coup de pierre tous objets en leur possession contre la police qui les barricadaient mais
également vandalisaient tous les monuments, boutique et véhicules à proximité. Les arrestations
s’ensuivent avec de forte de violence. Latifa tentait de s’enfuit mais fut rattraper par un cargo dans
lequel se trouvait son cousin Uriel. Celui-ci pour laver l’affront familiale ordonna à ses subalterne
d’agir comme bon leur semble. L’un d’eux ne ménageait aucun effort pour lui logé une balle avant
de rejoindre la caserne la laissant à plein le sol agonisant. La panique gagnait la foule qui se
dispersait en jetant des projectiles à tous bord de route et immeuble occasionnant de nombreux
dégâts matériels.
9- Latifa retrouvé de justesse par ses confrères est amenée d’urgences pour des soins
palliatifs puis est évacuée de toute urgence à l’Etat à la République Libre du Blofouè
pour des opérations. Six mois après cet incident le mouvement des LGBT porte
plainte devant le tribunal contre l’Etat pour violation de ses droits. Elle porte plainte
devant la juridiction répressive contre Uriel pour tentative de meurtre sur la
personne de Latifa et réclame respectivement contre l’Etat et Uriel dans des
procédures distinctes 10 milliards et 10 millions à titre de dommage et intérêt. La
juridiction civile se déclarait incompétente pour connaitre d’une action en
condamnation contre l’Etat. Tandis que le procureur après avoir dit avoir lieu à une
infraction à la loi pénale me ne rejette la constitue de partie civile de l’association des
LGBT motif que ceux-ci ne sont ni victime indirecte encore moins victime directe. Au
regard donc de la politique criminelle de l’Etat me ministère publique décide de ne
pas poursuivre et classe l’affaire sans suite.
Il n’y a pas au Damarois ou les trouble sont fréquents
L’Etat voisin du Damarois, l’Etat du Tuerikistan est un Etat Aslimique est divisé en divisé en 4
Contré. Celle de l’ouest est extrêmement pratiquante de la charia quant aux Aslimique de région
de l’est, ils sont plus ou moins modérés. Dans la contré de nord et de sud on y trouve toute les
appartenances ethnique religieuse et idéologique. Ce peuple de l’ouest n’a qu’une seule idéologie
faire de toute les nations des pratiquants de l’Aslim et ceux par tous moyens conformément à
leur croyance mais prioritaire l’Etat du Fason. Les lois de l’Etat du Tuerikistan
La fornication, le rapport contre nature, la débauche, la dépravation des mœurs sont non seulement
des bonnes mœurs mais également de l’humanité. Surtout que la constitution de l’Etat du
Tuerikistan à la différence de celle du Damarois autorise chaque contré de prendre des lois
appropriées à la politique sociales environnementale et familiale de celle-ci. La contré du nord qui
 ville Allal est stricte sur l’observation de la charia. Mais tous les pratiquants de l’Aslim des contrées
voisines et ainsi que les non pratiquants ne voient pas ces moyens de conversion de bon augure et
les jugent de terroriste. Car, pour eux l’Aslim est une religion d’amour et de paix.
Dans le fin fond de la contré de l’ouest un mouvement armée révolutionnaire du nom de al aïd
dead nait qui se donne pour mission de faire la justice au non de l’Aslim. De nombreux attentat ont
été revendiqué par eux à travers le monde et eux ceux-ci ne manquent de fierté de le revendiqué
car ils le font dans l’intérêt du monde et dans le changement des mentalités et de la civilisation
emprunter au Etat étranger. Certaine civilisation inculque des valeurs qui sont néfastes en
octroyant trop de liberté à leurs citoyens. Liberté que les peuple Lou-Boutin de la contré du nord ce
sont déjà accaparé. Des fillettes à peine pubertes exhibent leurs nudités sur les réseaux sociaux en
vertu droit et liberté.
Il reproche même au gouvernement excentré au sud de se plier à califourchon aux idéaux chaotique
des nations dite civilisée qui en réalité ne font que spolié leurs sociétés pour la réalisation de leur
idéaux anticonformiste. Ce groupe pour montrer son mécontentement face à cette dépravation
éducative des mœurs dans l’Etat du Tuerikistan kidnappait dans la ville d’Al-Sib au nord 200 jeunes
filles lycéennes majoritairement âgé de moins de 15 ans pour les apprendre l’essentiel de la vie.
C’est à dire être des pieuse de l’Aslim et de bonne femme au foyer. Ces filles étaient séparées de
leur famille et gardées sans violence pendant 3 années dans la contre de l’ouest depuis avril 2014.
Certaines sont même devenues des mères et fervente croyante. D’autres par contre n’avait d’autres
pensées que de s’enfuir. Leur vie avait drastiquement changé s’inscrire dans les voies de l’Aslim.
L’Etat avec l’aide de la communauté internationale lance une l’opération Dragon, Elle permet de
repousser ce groupement armé vers la frontière de l’Etat de Damarois et de retrouverez toutes les
filles kidnappées. L’opération se solde par un succès toute les filles sont retrouvés en vie. Un
dixième des filles bien qu’heureux de retrouver leur famille ne souhaitait rester dans cet endroit et
approfondi leur connaissance de l’Aslim.
L’Etat réussit à saisi un membre actif de la bande du nom de YACOUB âgé de 20 ans. Arrêté, puis
violenté par les militaires très en colère de l’aptitude de ces mécréants.
Il est traduit devant le par le procureur Romeo qui lui directement le traduit devant le tribunal
criminel pour qu’il soit jugé des chefs de terrorisme.
Un avocat commis d’office en la personne de Maître Lagrace est constitué en conseil pour la
défendre ses intérêts. Me Lagrace fait observer que cette affaire ne peut être jugée
immédiatement car elle violerait le droit à la défense de son client. Elle oriente le juge sur la
nécessité d’une information judiciaire et sollicite du juge un placement sous contrôle judiciaire de
son client. Le président du tribunal saisi le 3e cabinet de la chambre d’instruction aux fins
d’information et sollicite le placement en détention préventive de celui qu’il qualifie de terroriste. Je
juge d’instruction après inculpation placement Yacoub sous mandat dépôt en juin 2017. Un mandat
d’arrêt est lancé contre tous les membres de cette bande
Si les tensions des mouvements des LGBT n’est plus l’information qui défraye la chronique au
Damarois c’est en raison d’un des tensions politico-militaire qui prévaut. Les partis d’oppositions
autorisées ont formés des milices ou des forces d’intervention vue d’assurer leur défense compte
 tenu des élections. Les élections du se déroule dans son ambiance quotidien dans le mois d’octobre
2015. La charismatique présidente EWIBLA conteste comme en 2010 les résultats proclamés par la
cour suprême donnant l’ex chef d’Etat-major des armées Kabili candidat de l’opposition vainqueur.
Elle demande donc la reprise des élections aux regards des différentes violences exercées à l’issue
des élections sur ces partisans dans plusieurs villes en majorité acquise par les partis d’opposition.
Mais les militaires s’emparent du pouvoir détiennent prisonnière la présidente Ewibla. La jungle
militaire installe au pouvoir Kabili celui qu’il appelle le candidat légitime
Le 03 janvier 2016 le président KABILI prévoit de prêter serment au stade Bandé 1er. Cette prestation
de serment devrait être retransmise en direct sur toutes les chaines nationales. Informer de cela les
partisans de la présidente déchue prévoit de faire une marche sur la radiotélévision damaroise
(RTD) pour contester également la légitimité de l’ex chef d’Etat-major et la détention arbitraire de
leur présidente. Malgré la défense préalable communiquée interdisant toute manifestation au cours
de cette journée. Les partisans de l’Affront Nationale Damaroisse (AND) partisans de Ewibla et
certains indépendants hostiles au président Kabili ont marchés drapeau en main en partance pour
la télévision nationale RTD. Malheureusement la gendarmerie en présence ouvrait le feu sur les
manifestants occasionnant une centaine de perte en vie humaine sur place. Des ripostes surgissent,
l’armée replient voyant la masse d’homme devenir imposante. La RTD est finalement pris d’assaut
par le manifestant dont le porte-parole Kognini secrétaire général de l’AND réclamait la démission
du président kabili, la mise en liberté d’Ewibla et la mise en place d’un gouvernement de transition
civile pour réorganiser les élections. Apres avoir aviser le président Kabili, le chef de l’armée le
général Zagazaga donne ordre d’éliminer cette vermine qui porte atteinte à la sécurité nationale.
Le président KABILI par la suite décrète l’état de siège.
Mais l’assassinat du secrétaire général du RTD loin d’apaiser les esprits soulevait les tensions. Des
barricade était mise à tout bord de route des pneus éclairait les voies par leur fumées. Les partisans
du président kabili étaient contraints aussi pour des questions de sécurité de fuir leur domicile.
L’armée quant à elle sévissait également et tous ceux qui semaient des troubles étaient abattus.
Une guerre civile éclata alors. Et en l’espace de 4 mois le constat faisait état de plus de 3,000 morts
selon le rapport de l’ONG Amnesty international. Le chao régnait au Damarois, la population civile
soutenue par des milices continuait à gagner du terrain. Il assiégeait l’assemblée nationale, ils y
mettaient du feu et déclaraient publiquement leurs mécontentements en vers le gouvernement
qu’il taxait de criminel. Il exigeait l’arrestation du président kabili et la formation d’un
gouvernement de transition civile en lieu et place de la junte militaire au pouvoir avec sa tête
Kabili, ex chef d’Etat-major et président du rassemblement patriotique Damaroisse (RPD) comme
l’exigeait feu KOGNINI, pour qui ils réclamaient aussi justice. L’ordre est encore donné d’évacuer ce
désordre qui semble prendre une allure hallucinante au point de compromettre les institutions de
la république. La garde républicaine pour disperser la foule n’hésite pas à tirer à balle réelle sur
ordre du général Zagazaga et atteignant mortellement 50 patriotes de l’AND.
La communauté internationale demande la cessation de cette barbarie et le retour au calme. Mais
cela reste lettre morte car, le président à demander le déploiement d’un offensif militaire pour une
intervention anaconda enfin de mettre un terme définitif à cette situation qui l’empêche de
développer son programme gouvernemental. Au vu de la proportion de cette situation et
l’acharnement criminel au dit du conseil de sécurité des nations unis, saisit le procureur de cour
 pénale internationale afin d’ouvrir une enquête sur la situation au Damarois. Le procureur de CPI
DOBIERIE YELE ouvre donc une enquête et conclut qu’il Ya des motifs raisonnable de croire que les
crimes commis en terre Damarois relève de la compétence de la CPI et qu’ils sont imputable au
président kabili. Le procureur de la CPI requiert donc au juge de la chambre préliminaire de décerné
par voie diplomatique mandat d’arrêt contre le président kabili. Le 19 septembre 2017 un mandat
d’arrêt mis sous scellé est adressé au ministre de la justice Damarois en vue de coopération pour
appréhender le président kabili. En mars 2018 alors qu’il est invité par son homologue du pays des
Tuerikistan pour trouver une issue heureuse à la situation qui prévaut au Damarois, Il est
appréhendé à l’aéroport Bobo, par police criminelle anti-terroriste du Tuerikistan. Le procureur
général de la cour suprême en informe la CPI dans le cadre d’une entraide judiciaire et procède à
son transfert. Devant la cour. D’autres mandats d’arrêts internationaux sont pris par la CPI contre
son aide de camp le général Zagazaga pour les crimes perpétués lors de la marche sur de la RTD qui
et l’assemblée nationale qui n’avait pour seul but d’exterminer les partisans de l’AND qui
s’insurgeait contre la politique nationale du président KABILI. La cour réclame également Ewibla
pour la crise de 2010.
Sous la pression de la communauté internationale, la junte au pouvoir cède après la chûtes du
président Kabili et met en place un forum de réconciliation et d’indemnisation des victimes. Elle
prévoit de nouvelle élection dans les deux prochains mois et se retirer du pouvoir pour l’accorder à
la population civile. L’exercice du pouvoir. Le général Zagazaga qui assure l’intérim à la chute à la
suite de l’arrestation de kabili organise dans les 2 mois des élections libre et transparent. Un
candidat indépendant nommé Baromé brigue la magistrature suprême de l’Etat. En juin 2018 ratifie
le statut de Rome. Il ordonne donc à la CPI d’enquêter sous tous les crimes afin relevant de sa
compétence au regard de la flexibilité actuelle de son appareil judiciaire. Il ordonne au procureur
général près la cour suprême d’arrêter et de transférer les personnes faisant objet d’un mandat
d’arrêt de la CPI devant la dite cour pour qu’il soit procédé à leur jugement en toute équité et selon
le règle du droit international.
Ewibla et Zagazaga sont tous transférés devant la cours pénale internationale en juillet 2018.
Le calme regagnait l’Etat du Damarois. En 2019 l’Etat entrepris de vastes travaux de construction tels
que la baie de Conory, une institut de formation judiciaire, un parlement et le 4e pont mais surtout
le bitumage de toutes les villes et villages car dit-on la route précède le développement.
La réforme législative très reluisante. La paix qui était véritablement la chose la mieux partagé en
terre Damaroisse permettait donc à Latifa en février 2019 d’intenter son action devant le tribunal
militaire contre pour tentative de meurtre contre son cousin Uriel. Elle sait le la cour africaine des
droits de l’homme pour les violences contre leur appartenance sexuelle au cours de la marche de
2013. Me AKATI est constitué pour conseil pour plaider en faveur de la première demande en
septembre 2019.
Apres l’audience de 1ere comparution la CPI décide d’une jonction des affaires kabili et Zagazaga, Et
de faire un procès unique contre Ewibla au retour des vacances judiciaires en octobre.
Vous êtes les conseils pour les parties en manquent, préparez donc vos plaidoiries pour assurer leur
défense.
Le barreau des juristes prudents.