Guide Virtualisation de Stockage

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Virtualisation de Stockage
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« Virtualiser consiste à permettre, par des mécanismes Pourquoi mettre en place une
logiciels l’agrégation et le partage transparent des
infrastructure de stockage
ressources physiques d’une infrastructure.
Les ressources virtualisées s’offrent alors sous forme de
virtualisée ?
services utilisables de manière concurrente par des La virtualisation du stockage est motivée par un
clients multiples totalement isolés entre eux avec des ensemble de ressorts et bénéfices attendus.
garanties et/ou restrictions de quotas de ressources
et/ou de QOS (qualité de service) ».
Bertrand Quillevéré - Alcane Un bénéfice important est la souplesse apportée par la
capacité à stocker la donnée sur le support le mieux
adapté à ses contraintes d’accès et à la déplacer, sans
Les domaines de la virtualisation (Serveurs, stockage, impact pour l’application, suivant les évolutions de ces
applications, poste de travail…) différant très contraintes durant tout son cycle de vie.
significativement l’un de l’autre, le présent guide porte
exclusivement sur la virtualisation du stockage.
La virtualisation du stockage permet aussi de mieux
utiliser les capacités de stockage. On estime que les
capacités de stockage des entreprises sont utilisées à
hauteur de 30% et 50%. Un audit préalable de l’existant
est essentiel pour évaluer la situation, identifier les
bénéfices attendus, matérialiser la viabilité économique
du projet et son retour sur investissement.
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Certains experts estiment en effet qu’il est réaliste de La contribution de la virtualisation et la pertinence de
pouvoir diviser par 4 les coûts de stockage en chacun des points ci-dessus dépendent
combinant deux stratégies : considérablement du contexte et des objectifs propres à
• « Thin provisionning » : Il s’agit de combiner les chaque entreprise. Une étude d’opportunité préalable
supports de stockage et de placer ces données ou est recommandée pour éclairer les perspectives
les déplacer au mieux selon les besoins, sans économiques et techniques, et les impacts
impacter les applications. On peut ainsi mettre en organisationnels d’un projet de virtualisation du
place des disques rapides ou du stockage sur stockage.
mémoire flash en se limitant aux réelles
nécessités (supports coûteux ou très coûteux), et Environnements technologiques
disposer par ailleurs de disques plus lent (SATA)
mais adaptés aux usages attendus et La virtualisation du stockage concerne plusieurs
considérablement moins cher. écosystèmes technologiques se distinguant par des
approches différentes :
• « Tiers storage » dynamique : On ne réserve plus
de l’espace disque alloué à un utilisateur par • Tête de virtualisation (HDS USP-V, HP XP,
défaut et souvent non utilisé, mais on alloue les Datacore SAN Symphony). Le stockage externe à
ressources en fonction de la nécessité. la tête est géré comme le stockage interne.
• Couche intermédiaire (IBM SVC, Symantec Veritas

VxFS). Cette couche se situe entre le serveur et les
D’autres postes de contribution sont possibles, mais les
baies de stockage.
bénéfices doivent être nuancés selon chaque contexte :
Augmenter les capacités de continuité d’activité (PRA par • Intégration dans le SAN (EMC Invista). Le SAN joue
exemple), performance, gain d’espace, diminution de la un rôle étendu avec des fonctions dédiées
puissance électrique, facilité d’administration et auparavant aux baies de stockage.
d’exploitation…

• Intégration dans la baie (IBM XiV, 3PAR). La baie Approche stratégique et conduite
se comporte comme une « boîte noire » avec une
administration du stockage très simplifiée.
de projet
Le choix d’une ou de plusieurs solutions de
virtualisation du stockage s’appuie naturellement sur
Une même solution peut avoir des affinités plus ou
des critères technologiques. Mais ce choix prend aussi
moins importantes avec les différentes approches.
en compte un ensemble d’orientations ou de choix
Généralement la virtualisation s’appuie sur des logiciels
stratégiques :
permettant d’utiliser les technologies du marché pour
• Stratégie multi vendeurs pour l’acquisition du
les disques (FibreChannel, SATA, SSD) et les baies.
stockage
Cependant, certaines solutions sont totalement
logicielles et se déploiement sur des matériels banalisés • Stratégie de définition des classes de services par
(Datacore SAN Symphony, Symantec Veritas VxFS). Enfin rapport aux besoins « Métier »
d’autres solutions requièrent un matériel plus • Stratégie d’intégration du stockage existant
spécifique.
• Stratégie d’intégration de tout ou partie des
domaines du stockage (SAN, NAS, Near-Line,
VTL, …)
• Stratégie de reprise du stockage
• Stratégies de systèmes d’exploitation de
l’entreprise.
Il est donc relativement fréquent pour les entreprises

d’associer projet de virtualisation et définition de plan
stratégique et technologique (road map).

Glossaire
Acronyme/Terme Terme complet Signification
Annualized Failure Taux de panne annualisé, découlant du MTBF par rapport à la durée
AFR
Rate d’exploitation de la ressource informatique sur une année.
Plus généralement appelé SMB, protocole de communication réseau
Common Internet visant à organiser le partage d’ordinateurs, d’imprimantes ou de tout
CIFS
File System dispositif informatique. C’est notamment le protocole utilisé par
Microsoft Windows.
Technique de sauvegarde qui limite l’espace requis par stockage
Déduplication
unique des redondances de données.
Désigne de façon générique les opérations de lecture et d’écriture
E/S Entrée/Sortie
sur un matériel informatique.
Protocole de connexion à haut débit généralement exploité sur de la
fibre optique, très utilisé dans les salles machines pour les
FibreChannel
connexions entre des ressources informatiques nécessitant les plus
hautes performances (entre serveurs et SAN par exemple).
Fibre optique non encore activée ou utilisée, donc dans laquelle la
Fibre noire
lumière ne circule pas.
Carte d’extension permettant d’accéder à un réseau de stockage. Le
HBA Host Bus Adapter cartes HBA sont déclinées par norme (SCSI, FibreChannel, SATA, SAS,
IDE…)

Protocole de communication informatique, base d’Internet,

IP Internet protocol notamment associé à TCP (Transmission Control Protocol) pour
former TCP/IP.
Internet Small Adaptation du protocole SCSI pour un transport par TCP/IP, le
iSCSI Computer System protocole d’Internet et des réseaux d’entreprise, permettant de
Interface s’affranchir de la connectique spécifique de SCSI.
Identifiant d’unité logique, désignant un espace de stockage. Cette
notion est comparable à l’identification sur un PC des disques durs,
LUN Logical Unit Number des clés USB, lecteurs DVD etc… par des lettres de l’alphabet. Dans
un SAN, les ressources sont distribuées sur des groupes logiques
(LUN) que l’on affecte aux serveurs utilisateurs du SAN.
Mean Time Between Temps moyen qui s’écoule entre deux pannes d’un périphérique ou
MTBF
Failure plus généralement d’un système informatique.
Périphérique de stockage indépendant relié au réseau, généralement
Network Attached
NAS point d’entrée d’un SAN (un SAN peut être composé de plusieurs
Storage
NAS).
NFS Network File System Protocole d’accès à des fichiers par un réseau.
Dispositif organisationnel et procédural permettant à une entreprise
Plan de Reprise ou une organisation de se remettre en un minimum de temps en
PRA
d’Activité situation de production après un sinistre. Les PRA incluent
généralement un volet informatique conséquent.

Qualité de service. Fonctionnalité permettant de définir des niveaux

minimaux de qualité, par exemple pour limiter une perte de données
QoS Quality of Service transmises sur un réseau, avec des priorités liées aux types de
services utilisateurs du réseau, ou plus généralement d’une
ressource informatique.
Dispositif de gestion normalisé d’une grappe de disques durs visant
à sécuriser le stockage grâce à une tolérance de panne. Le numéro
Redundant Array of
RAID-n associé au terme (RAID-1, RAID-5…) désigne les évolutions
Independant Disks
successives de la norme, chacune apportant de meilleures
fonctionnalités que la précédente.
Recovery Point Perte maximale ou acceptable de données suite à un incident,
RPO
Objective exprimée en durée (généralement en heures).
Recovery Time
RTO Temps maximal de restauration d’un système après un incident.
Objective
Dispositif de stockage informatique composé de plusieurs ressources
Storage Area
SAN de stockage fédérées en réseau et mutualisé entre plusieurs
Network
serveurs.
Bus de données de disques durs, basé sur SCSI et SATA, apportant de
SAS Serial Attached SCSI meilleures performances et moins de limites (en nombre de disques
et en longueurs maximales de cables).
Serial-ATA (ATA
Bus de données entre ordinateurs et disques durs, ou lecteurs de
pour « Advanced
SATA CD/DVD. Les disques SATA ont supplanté les IDE au cours des
Technology
années 2000 sur le marché du matériel informatique.
Attachment”)

Bus de données entre ordinateurs et périphériques, très souvent des

Small Computer
SCSI disques durs, réputé pour sa fiabilité, ses performances et son
System Interface
universalité.
Protocole de communication généralement utilisé pour superviser
les ressources informatiques d’un réseau. SNMP peut émettre des
alertes sur le réseau en cas de panne ou d’événements plus courants,
Simple Network
permettant aux autres ressources de réagir. Par exemple, un
SNMP Management
onduleur compatible SNMP peut « prévenir » lorsqu’il prend le relai
Protocol
en cas de coupure électrique, permettant aux serveurs de s’arrêter
« proprement » avant la perte définitive du courant.
Les messages SNMP relatifs aux alertes sont appelés « trap ».
Désigne les périphériques de stockage à mémoire flash, tels que clés
SSD Solid State Drive USB ou certains disques durs externes amovibles, par opposition aux
supports magnéto-optiques (disques durs « classiques »).
Bibliothèque de bandes virtuelles : émulation d’un système de
bandes magnétiques au moyen d’un serveur et d’autres ressources
VTL Virtual Tape Library
de stockage. Ce dispositif apporte certains avantages par rapport à
de vraies bandes magnétiques, notamment la déduplication.
Mot à mot « Ecrire une seule fois, lire plusieurs fois ». Désigne les
périphériques de stockage non effaçables, comme par exemple les
Write Once Read CD et les DVD.
WORM
Many Le principe est repris sur certains systèmes de stockage, pour
interdire la possibilité d’écraser des données, bien que le support
sous-jacent le permettrait physiquement.

Sommaire
1. Contexte et projet
1.1. Objectifs
1.2. Actifs informatiques et infrastructure
1.3. Eléments économiques
2. Architecture
3. Disponibilité
4. Performance
5. Evolutivité.
6. Compatibilité
7. Administration / Exploitation.
8. Fonctionnalités avancées
9. Intégration NAS
10. Migration
11. Développement durable

1. Contexte et projet
1.1. Objectifs
Quels sont les objectifs économiques du projet (plusieurs réponses possibles) ?

Réduction globale des coûts
Réduction de la consommation électrique ou allègement électrique des salles
informatiques
Réduction des charges de climatisation
Réduction d’espace ou désencombrement de la salle machine
Réduction des coûts d’hébergement ou d’infogérance externe
Réduction des coûts d’exploitation ou d’infogérance externe
Autres objectifs, préciser :
Quels sont les objectifs de service associés au projet (plusieurs réponses

possibles) ?
Réduction du délai de mise à disposition de ressources de stockage pour les
projets informatiques
Refacturation interne ou externe des coûts de stockage
Pérennisation d’actifs / Allongement de la durée de vie du matériel
Déménagement de data center
Flexibilité d’administration des ressources de stockage
Plan de reprise d’activité (PRA)
Autres objectifs de service, préciser :
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Le projet a-t-il fait l’objet d’une étude d’opportunité préalable ?

Non
Oui
1.2. Actifs informatiques et infrastructure

L’entreprise a-t-elle établi de manière détaillée l’inventaire des éléments
suivants ?
Baies de stockage
Equipements SAN (FibreChannel / iSCSI)
Serveurs
Systèmes d’exploitation en place sur les différents serveurs
Répartition de la volumétrie de stockage sur les serveurs
Infrastructure de sauvegarde
1.3. Eléments économiques
Dans le cadre d’un objectif économique, quels sont les postes pour lesquels
l’entreprise dispose des éléments de coûts (plusieurs réponses possibles) ?
Coûts d’acquisition
Coûts de maintenance
Coûts d’exploitation
Plans d’amortissements et/ou mode de financement

2. Architecture
Quel est le principe technique général de virtualisation de stockage proposé par
la solution ?
Quel est l’impact technique de la mise en œuvre de la solution sur

l’infrastructure existante ?
Quel est le mode de définition des classes de stockage ?

Par type de matériels (baie, disque, …)
Par définition et contrôle du niveau de service
Quels sont les types de disques supportés (plusieurs réponses possibles) ?

FibreChannel
SATA
SAS
SSD
Est-il possible de faire un retour en arrière ?

Non
Oui
Si Oui, quel est l’impact sur les données virtualisées ?

La virtualisation est-elle intégrée dans toutes les fonctionnalités de la solution

proposée ?
Non
Oui
Si Non, quelles sont les limites et les contraintes ?
3. Disponibilité
Quelle est la disponibilité généralement constatée de la solution proposée
(valeur de MTBF, ou valeur d’AFR de la solution) ?
Les opérations de maintenance sont-elles toutes réalisées sans arrêt de service

(par exemple : remplacement d’un disque, d’un contrôleur, de cache, montée de
microcode…) ?
Non
Oui
Si Non, quelles sont les contraintes des opérations de maintenance ?

La solution permet-elle de mettre en place des classes de service orientées

disponibilité, en fonction des niveaux de RPO et de RTO requis ?
Non
Oui
Quels sont les niveaux de sécurisation des données ?

RAID-1
RAID-5
RAID-6
Autre(s), préciser :
De quelle façon la solution gère-t-elle la redondance de chemins d’accès aux

données, depuis le serveur jusqu’au stockage (plusieurs réponses possibles) ?
En équilibrage de charge
En bascule
Avec des outils natifs
Avec des outils spécifiques

De quels moyens de réplication de données dispose la solution (plusieurs

réponses possibles) ?
Synchrone
Semi-synchrone
Asynchrone
Avec mixité de réplication synchrone/asynchrone
Avec une gestion de points de cohérence applicative
Avec « resynchronisation » incrémentale
Vers combien de sites
Avec compression des données sur un lien IP
Combien de sites de réplication la solution peut-elle gérer ?
4. Performance
La solution permet-elle de mettre en place des classes de service orientées
performance, en fonction des niveaux de services requis ?
Non
Oui

A quels niveaux la solution propose-t-elle une gestion de la qualité de service

(QoS) (plusieurs réponses possibles) ?
Au niveau des contrôleurs
Au niveau du cache
Au niveau des disques
Comment est organisée la gestion de la qualité de service ?

Par seuil
Par quota
Par priorité
Par profil d’E/S (Entrée/Sortie)
Par application
Par serveur
Décrire les moyens de partitionnement des ressources matérielles (cache,

contrôleur, …) ?
Quels sont les moyens de répartition des E/S pour tirer parti de la performance
de chaque élément ?

La mise en œuvre de ces moyens est-elle transparente ?

Non
Oui
Quels sont les limites de la solution en termes de :

Volumétrie :
Performance :
Nombre de serveurs :
5. Compatibilité
Lister avec leur version les principaux systèmes d’exploitation supportés par la
solution :
Lister les baies les plus courantes supportées par la solution :
Quels sont les pré-requis de la solution sur les serveurs ?
Quels sont les pré-requis de la solution sur les cartes HBA ?

Quels sont les pré-requis de la solution sur les switches/directeurs

FibreChannel ?
Quels sont les pré-requis de la solution sur les switches Ethernet ?
Quels sont les pré-requis de la solution sur les équipements de

télécommunication ?
Quels sont les pré-requis de la solution sur la gestion d’une fibre noire ?
La solution est-elle compatible avec la norme FCoE (« FibreChannel over

Ethernet ») ?
Non
Oui

6. Administration / Exploitation
La gestion de l’ensemble de la solution (baie / tiroir / disque / adaptateur /
cache) est-elle assurée via un outil unique d’administration et/ou une console
centralisée ?
Non
Oui
Les composants connexes tels que les switches/directeurs du SAN, les liens
inter sites ou une passerelle NAS sont-ils gérés ?
Non
Oui
Est-il possible de définir différents profils d’administration (exploitant, support,

expert,…) avec des droits adaptés ?
Non
Oui
Est-il possible de créer des volumes en s’affranchissant des éléments physiques

(baie, groupe de disques, …) ?
Non
Oui

Le déplacement des données d’une classe de stockage à une autre peut-il être
automatisé ?
Non
Oui
Si Oui, sur quels franchissements de seuils peut-il se déclencher

(plusieurs réponses possibles) ?
Débit E/S
Temps de service
Taux d’occupation
Autre, préciser :
Si Oui, avec quel niveau de granularité (LUN, Sub-LUN, …) ?
Le stockage peut-il se réorganiser automatiquement (plusieurs réponses

possibles) ?
Après la perte d’un disque
Après l’ajout de volumétrie
La solution permet-elle de piloter la mise en cohérence des données des bases

de données ?
Non
Oui

La solution permet-elle de piloter la mise en cohérence des machines

virtuelles ?
Non
Oui
La solution permet-elle d’automatiser la mise à disposition des ressources de

stockage de « bout en bout » (des cartes HBA aux disques) ?
Non
Oui
Si Oui, par quels moyens cette automatisation est-elle assurée (plusieurs

Par un script
Via une interface graphique
La solution permet-elle de suivre et de contrôler les performances de « bout en

bout » (des cartes HBA aux disques) ?
Non
Oui
Si Oui, de quelle façon ce suivi et de contrôle sont-ils disponibles (plusieurs

En mode bloc
En mode fichier (CIFS/NFS)
…

…
Avec historisation des données
Sans limitation de durée
Par composant de la chaîne de liaison
Quels sont les composants connexes dont les performances peuvent être suivies
et contrôlées par la solution (plusieurs réponses possibles) ?
Les switches/directeurs du SAN
Une passerelle NAS
Les liens inter sites
Vers quelle destination la solution permet-elle de paramétrer la remontée

d’alertes (plusieurs réponses possibles) ?
Vers les administrateurs
Vers l’outil de supervision (trap SNMP)
Vers le centre de support du fournisseur (télémaintenance)
Est-il possible de mettre un œuvre un mécanisme de refacturation ?

Non
Oui

Si Oui, selon quel critère cette refacturation peut-elle calculée (plusieurs

Au nombre de Go alloués
Au débit en E/S ?
7. Fonctionnalités avancées
La solution propose-t-elle une gestion par clichés (copie des blocs modifiés
uniquement) ?
Non
Oui
La solution propose-t-elle une gestion par clones (copie totale) ?

Non
Oui
La solution dispose-t-elle d’un « provisioning » fin de l’espace (allocation

uniquement des blocs écrits) ?
Non
Oui

Si Oui, la récupération d’espace sur les volumes existants après virtualisation

est-elle possible ?
Non
Oui
Si Oui, quelles sont les contraintes et les limites de ce mécanisme de

récupération, notamment en termes de :
Compatibilité avec les autres fonctionnalités de la solution :
Prise en compte par les outils d’administration et de gestion de la capacité :
Compatibilité avec l’accès en mode fichier (CIFS/NFS) :
Compatibilité avec les réplications synchrone/asynchrone :
Compatibilité avec les clichés :
Compatibilité avec les clones :
Compatibilité avec les niveaux de RAID ?:
Compatibilité avec les types de disques (FC, SATA, SAS, SSD) :
De quelle façon la solution permet-elle la déduplication (plusieurs réponses

possibles) ?
En temps réel
En temps différé
A la demande
Avec déclenchement sur événement

Les volumes (LUN) peuvent-ils être migrés à chaud d’une classe de stockage à
une autre ?
Non
Oui
De quelle façon les volumes (LUN) peuvent-ils être étendus ou réduits (plusieurs
A chaud
Sur événement
Sur dépassement de seuil
Les composants matériels inutilisés peuvent-ils être arrêtés électriquement ?

Non
Oui

8. Intégration NAS
De quelle façon les protocoles CIFS/NFS (accès NAS) sont-ils supportés par la
solution ?
En direct
Via une passerelle
Quelles sont les fonctionnalités en mode fichier (CIFS/NFS) (plusieurs réponses

possibles) ?
Réplication synchrone des données
Réplication asynchrone des données
Clichés
Clones
Partitionnement logique multiserveurs de fichiers
La fonction WORM en direct
La fonction WORM via une passerelle

9. Migration
La migration des données des baies actuelles vers la solution proposée impose-
t-elle un mécanisme matériel/logiciel complémentaire ?
Non
Oui
Si Oui, lequel ?
La migration des données peut-elle se faire sans interruption de service ?

Non
Oui
La migration des données permet-elle de récupérer l’espace libre ?

Non
Oui

10. Développement durable

Quelles sont les caractéristiques environnementales de la solution proposée, en
termes :
D’énergie (en kVa) :
De climatisation (en BTU/h) :
D’espace au sol (en m2) :
De poids (en kg) :

Utiliser les guides et droits d’usage
Utiliser les guides bâtir une grille d’évaluation personnalisée dont le

remplissage et la lecture conduiront au choix
Les guides proposés en téléchargement sont des technologique.
introductions aux principales fonctionnalités des
En résumé, un projet de choix et de mise en œuvre
solutions technologiques. La structure et le contenu
d’une application de gestion intégrée s’appuie sur
de ces guides constituent une excellente base pour
une démarche d’analyse, de compréhension et de
la prise en main de ce sujet et pour disposer de
modélisation des métiers de l’entreprise et de leurs
bases de préparation d’un cahier des charges ou
interactions : ce guide a pour principale vocation de
d’un comparatif.
faciliter l’appropriation d’une telle démarche.
Ce guide a pour principale vocation de faciliter
l’appropriation d’une telle démarche par les acteurs
du projet. Ils représentent le meilleur compromis Notations et classements d’offres
entre une démarche standardisée et une démarche
Les guides n’intègrent pas de notation, classement
personnalisée de choix.
ou jugement de valeur sur les offres.
En matière de projet d’entreprise, tout classement

Un projet de choix et de mise en œuvre d’une universel est inadapté et faux : une offre est parfois
solution s’appuie sur une démarche d’analyse, de plus adaptée que d’autres au contexte d’un projet
compréhension et de modélisation des besoins. ou d’une entreprise. Cette même offre sera peut-
être moins adaptée que les autres pour un projet
Chaque critère présenté se doit d’être qualifié,
différent.
personnalisé et soumis à une évaluation
comparative, au plus près des spécificités de
l’entreprise.
En fonction de ces analyses, il sera possible de

sélectionner et pondérer les critères du guide et de

Utiliser les guides et droits d’usage
C’est en ce sens que les guides ont été conçus. La société guidescomparatifs.com se réserve
Sélectionner et pondérer les critères du guide en néanmoins la possibilité de poursuivre sur le
fonction de chaque projet permet de bâtir une grille fondement de la contrefaçon de ses droits d’auteur
d’évaluation personnalisée dont le remplissage et la toute personne physique ou morale utilisant ces
lecture orienteront au choix technologique. documents dans le cadre de son activité à des fins
commerciales (facturation de prestations de conseil
Il n’y a donc volontairement aucune note ni
sur la base des documents, vente de la réalisation
classement dans les documents, comme on peut en
d’un cahier des charge reprenant les documents
trouver dans les comparateurs d’appareils
guidescomparatifs.com...).
numériques, caméscopes, matériels
électroménagers…
Les ateliers
Reprendre les textes des guidescomparatifs.com propose une gamme
documents d’ateliers spécifiques.
Les ateliers d’une journée permettent de balayer et

La société guidescomparatifs.com autorise toute
d’expliquer les critères du guide avec comme
personne physique ou morale, à utiliser et
objectif une première approche technologique et
reproduire lesdits documents pour son propre
méthodologique de l’environnement. Il est réalisé
usage. Nous vous invitons à citer les sources
par un expert de l’accompagnement d’entreprises
utilisées en faisant mention du nom
dans le choix et la mise en œuvre des solutions
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concernées.
La société guidescomparatifs.com est titulaire de
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des articles L.111-1 et suivants du Code la Propriété
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Bus de données entre ordinateurs et périphériques, très souvent des

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Quels sont les objectifs économiques du projet (plusieurs réponses possibles) ?

Quels sont les objectifs de service associés au projet (plusieurs réponses

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Le projet a-t-il fait l’objet d’une étude d’opportunité préalable ?

1.2. Actifs informatiques et infrastructure

1.3. Eléments économiques

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Quel est l’impact technique de la mise en œuvre de la solution sur

Quel est le mode de définition des classes de stockage ?

Quels sont les types de disques supportés (plusieurs réponses possibles) ?

Est-il possible de faire un retour en arrière ?

 Si Oui, quel est l’impact sur les données virtualisées ?

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La virtualisation est-elle intégrée dans toutes les fonctionnalités de la solution

Si Non, quelles sont les limites et les contraintes ?

Les opérations de maintenance sont-elles toutes réalisées sans arrêt de service

Si Non, quelles sont les contraintes des opérations de maintenance ?

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La solution permet-elle de mettre en place des classes de service orientées

Quels sont les niveaux de sécurisation des données ?

De quelle façon la solution gère-t-elle la redondance de chemins d’accès aux

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De quels moyens de réplication de données dispose la solution (plusieurs

Combien de sites de réplication la solution peut-elle gérer ?

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A quels niveaux la solution propose-t-elle une gestion de la qualité de service

Comment est organisée la gestion de la qualité de service ?

Décrire les moyens de partitionnement des ressources matérielles (cache,

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La mise en œuvre de ces moyens est-elle transparente ?

Quels sont les limites de la solution en termes de :

Lister les baies les plus courantes supportées par la solution :

Quels sont les pré-requis de la solution sur les serveurs ?

Quels sont les pré-requis de la solution sur les cartes HBA ?

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Quels sont les pré-requis de la solution sur les switches/directeurs

Quels sont les pré-requis de la solution sur les switches Ethernet ?

Quels sont les pré-requis de la solution sur les équipements de

La solution est-elle compatible avec la norme FCoE (« FibreChannel over

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Est-il possible de définir différents profils d’administration (exploitant, support,

Est-il possible de créer des volumes en s’affranchissant des éléments physiques

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 Si Oui, sur quels franchissements de seuils peut-il se déclencher

 Si Oui, avec quel niveau de granularité (LUN, Sub-LUN, …) ?

Le stockage peut-il se réorganiser automatiquement (plusieurs réponses

La solution permet-elle de piloter la mise en cohérence des données des bases

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Si Oui, quel est l’impact sur les données virtualisées ?

Si Oui, sur quels franchissements de seuils peut-il se déclencher

Si Oui, avec quel niveau de granularité (LUN, Sub-LUN, …) ?

Si Oui, par quels moyens cette automatisation est-elle assurée (plusieurs

Si Oui, de quelle façon ce suivi et de contrôle sont-ils disponibles (plusieurs

Si Oui, selon quel critère cette refacturation peut-elle calculée (plusieurs

Si Oui, la récupération d’espace sur les volumes existants après virtualisation

Si Oui, quelles sont les contraintes et les limites de ce mécanisme de