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La religion.

Se définit par trois caractéristiques : 1) relation de l’homme au sacré/plan transcendant


ou vertical 2) sens social : une communauté organisée/lien horizontal ou immanent 3) système de
croyances et de pratiques
Le sacré a une fonction qui tend à assurer l’existence du lien dont l’homme a besoin et entretient un
lien avec la nature puisqu’il propose un discours sur l’origine. C’est un complexe d’émotions qui
provoque l’effroi parce qu’il est à la fois promesse de puissance et menace de destruction. Effroi car
le sacré est incontrôlable. Quand on entre dans un lieu sacré on murmure car on est dans le respect,
il y a le monde profane le quotidien et le sacré et ce qui est hors de l’existence commune. Le sacré
est intense, il est présent dans les récits, et dans les mythes. Dieu est puissance et le sacré est sa
manifestation, ex : le buisson ardent. On va dans des lieux sacrés, chants et célébrations pour se
rapprocher de Dieu.
Le divin est celui que nous ne pouvons pas connaître et approcher.

A- Le Dieu des philosophes


On s’interroge sur la religion vue par la Raison car la Croyance est rationnelle. Voir citation p.1. Rien
de plus grand ne peut être conçu tant dans l’intellect que dans la réalité. Pour St Anselme

La croyance en Dieu est-ell rationnelle ?


La nature entière semble permettre la vie. Le vivant manifeste le plan divin.
L’argument cosmologique dit que la cause première de la création du monde serait Dieu mais quelle
serait la cause premiere de la création de Dieu ?
La science a remis en question des phénomènes naturels que les croyants renvoyaient à Dieu. Les
sciences de la nature sont fondés sur l’observation et l’explication. Or Dieu ne s’observe pas et n’a
pas de pouvoir explicatif.
On peut aussi se dmd pourquoi si Dieu est un être aussi parfait ; le monde est-il imparfait ? Renvoie
au pb du mal.
Le modèle des sciences de la nature est-il applicable à la Croyance ? L’homme est LIMITE et FINI il ne
comprend pas la puissance divine. Ainsi la question de Dieu ne releve pas d’un savoir rationnel mais
de la Croyance pr Pascal.

Pr Pascal, comprendre les textes religieux par la Raison et une perversion diabolique. On ne peut les
sentir que par le cœur car la revelation divine releve de la grâce. La religion pose l’Homme sous sa
tutelle, consentie pcq j’ai compris ma place d’impuissant dans l’univers. Il s’agit pr lui de mq la raison
ne peut pas intervenir dans la croyance. Je crois aveuglement mais je n’obeis pas aveuglement. C
aveugle ds le sens ou tu ne cherches pas a comprendre pcq tu peux pas et si tu essaies par la raison
c’est mal.

La religion est une institution sociale 

II- La critique de la religion


a) La superstition dérive naturelle de la religion
Comment diistinguer la superstition de la religion ?
Superstition : croyance qu’on admettrait sans jamais la soumettre au travail de la raison, sans la
vérifier. Empilement de préjugés qui montre que la raison a un fond irrationnel.
Fondamentalement les hommes sont ignorants et totalement désirants du monde qui les entoure. Ils
pensent spontanément que le monde est là pr nous. On imagine que Dieu obéit aux me^mes désirs
que les siens. Imagination prend le pas sur la raison. C un risque de la croyance : je dérive
insensiblement vers la superstition, donc Dieu devient cause de tout ce qui est négatif : je vis tout le
temps dans la crainte « oh mon dieu j’ai péché » etc. « Si y’a des poissons dans la mer, c’est qu’on
doit les manger » : l’anthropocentrisme. Cette pseudo connaissance plonge les croyants dans
l’illusion. Tant qu’on a compris que la raison a une histoire (illusion, superstition…) on peut et on doit
critiquer ce premier élan qui est le nôtre. Préhistoire de la connaissance (on est d’abord crédules et
ignorants, les évènements défavorables privilégiant cet élan).

b) Bergson : on nous a donné l’intelligence mais c’est une faculté froide. La religion crée ud liens
ocial : lien un fidèle à un groupe, se traduit par des cultes dans des églises, mosquées etc.
Social : aller à l’église, se rassembler, appartenir à commnté de fidèles ; on prie ensemble, rites ;
rendr grâce au divin. Pr les sociologues, les cultes et rites sont les CAUSES de la foi et non moyens
d’expressions.
Religion statique = social = horizontal
Religion dynamique= vertical= élan de la ie vers Dieu

c) Freud :
La religion cache d’autres fonctions, pour Freud c une névrose (troube psy = hystérie = conscient que
l’on souffre = obsession) # psychose
Névrose : projecton d dieucomme un père la religion est une illusion. Illusion que je v être protege,
sublimation qui n’apporte rien. Pq je crois en dieu car je ne supporte pas le réel. *
« la religion est l’opium du peupl » marx
Thès de Freud et marx : l’homme fait la religion – la religion montre un rapport inversé du monde
Réalité de marx : la classe bourgeoise opprime la classe ouvriere, la religion traduit ma misère

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