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Octobre 2008

FICHE PRATIQUE DE SÉCURITÉ ED 98


Les appareils de protection
respiratoire sont nombreux et
variés, différents types
correspondant à des domaines
d’intervention ou des situations de
travail spécifiques. Aussi le choix
en est-il délicat. Cette fiche se veut
une introduction à ce domaine
vaste qui requiert la connaissance
préalable des risques auxquels
sont exposés les salariés et des
conditions réelles de leur
utilisation. Après un rappel de la
réglementation et des
préconisations d’usage, les
différents types de modèle sont
présentés de manière synthétique
et illustrée. Ne sont pas traités :
les appareils de plongée
subaquatique ni, de manière plus
générale, les appareils destinés à
© A. Gonnin - EDF

intervenir à des pressions


différentes de la pression
atmosphérique.
Un équipement dont le choix est adapté à une situation de travail précise…

Les appareils
de protection respiratoire

Avant de recourir au port d’un appareil de pro- d’altération de sa santé par inhalation d’un air CHOIX D’UN APPAREIL
tection respiratoire, il est indispensable de s’as- pollué par des gaz, des vapeurs, des poussières, DE PROTECTION RESPIRATOIRE
surer que d’autres solutions de prévention sont des aérosols ou d’un air appauvri en oxygène
bien techniquement impossibles à mettre en (teneur inférieure à 17 % en volume). D’une manière générale, l’emploi des appareils
œuvre, comme la substitution des produits de protection respiratoire devrait être limité aux
dangereux, la suppression de la source de Il existe de nombreux types d’appareils, cha- situations exceptionnelles (nettoyages, transva-
l’émission des polluants ou le captage à la cun adapté à des situations très précises ; le sements, évacuations d’urgence...) car le port
source par des procédés d’encoffrement et de choix ne peut être fait que par une personne d’un tel appareil représente une gêne et rend le
ventilation (articles R. 4222-1 à 4222-26 du code compétente, lorsque la situation de travail a travail plus pénible ; il ne protège que l’utilisateur
du travail). été analysée. Certains types d’appareils de et non les personnes qui sont à proximité. Par
L’utilisation d’un appareil de protection respira- protection respiratoire disposent en effet ailleurs, la protection apportée par les appareils
toire est nécessaire à chaque fois qu’une per- d’une capacité d’épuration limitée pouvant filtrants et les appareils isolants autonomes (voir
sonne se trouve confrontée à un risque conduire à des situations de fausse protection. classification) est limitée dans le temps.
Le choix d’un appareil de protection respira-  si la concentration en poussières ou gaz de
toire ne peut se faire qu’après une étude toxicité aiguë (amiante, cyanure d’hydrogène,
sérieuse des conditions d’utilisation ; en chlore, hydrogène sulfuré…) atteint ou dépasse
particulier, il faut évaluer avec la meilleure des teneurs de l’ordre de 30 à 50 fois la valeur
précision : limite ;
 la teneur en oxygène ;  dans tous les cas, si la concentration en pol-
 la nature et la concentration des polluants luant dépasse des teneurs de 2000 fois la
(gaz, aérosols solides ou liquides) ; valeur limite et si elle est très élevée ou est
 les caractéristiques toxicologiques des pol- inconnue ;
luants, les valeurs limites de concentration  en présence de monoxyde de carbone ;
admises sur les lieux de travail ;  en cas d’incendie ;
 la dimension des particules s’il s’agit d’un  en cas d’intervention d’urgence sur une fuite
aérosol ; gazeuse ;
 les conditions de température et d’humi-  pour l’évacuation de zones contaminées,
dité ; lorsque les concentrations en polluants sont Fig
 l’activité physique de l’utilisateur ; élevées ou inconnues.
 la durée du travail à effectuer ; rieur de l’appareil. L’utilisateur doit l’ajuster cor-
 les conditions d’accès à la zone de travail. rectement. La présence de fuites rend inopé-
rante toute protection respiratoire.
Les niveaux de protection apportés par les A chaque utilisation, l'ajustement de la pièce
appareils de protection respiratoire se tradui- faciale est contrôlé : boucher les entrées d'air avec
sent par différents coefficients qui correspon- la main ou un film plastique, inspirer lentement
dent aux niveaux d’étanchéité : et vérifier que le masque tend à s'écraser. Sinon le
 le Facteur de Protection Nominal (FPN) est masque fuit et doit être mieux ajusté ou changé.
calculé d’après la fuite totale vers l’intérieur
de l’appareil de protection respiratoire com- L’étanchéité d’une pièce faciale peut être
plet. Il est mesuré selon des essais normali- ané antie par une barbe (même de deux
sés ; jours), des favoris, des cicatrices, des érup-
 le Facteur de Protection Assigné (FPA) est tions cutanées, des lunettes.
le niveau de protection atteint en situation de
travail par 95 % des opérateurs formés au port La pièce faciale peut être du type :
des appareils de protection respiratoire et utili-  demi-masque (fig. 1)
sant correctement, après contrôle, l’appareil Déconseillé aux barbus.
considéré bien entretenu et bien ajusté.  masque complet (fig. 2)
Déconseillé aux barbus et porteurs de lunettes
Pour une situation donnée, on doit rechercher Fig 6 (sauf masques spéciaux avec verres correcteurs
le facteur de protection requis, par exemple, le incorporés).
rapport de la concentration ambiante en pol-  casque (fig. 3)
luants à la valeur limite d’exposition. Ce facteur
est ensuite comparé aux FPN et, lorsqu’ils exis-
CLASSIFICATION DES APPAREILS Assure une protection mécanique du crâne
contre les chocs.
tent, aux FPA des différents appareils proposés. DE PROTECTION RESPIRATOIRE Utilisé avec des appareils filtrants ou isolants
Le choix se portera sur l’appareil dont FPN et munis d’un dispositif d’aspiration d’air.
FPA sont supérieurs au facteur de protection La protection respiratoire est assurée par deux Déconseillé par fort vent latéral.
requis. familles d’appareils : En cas de coupure d’air, le porteur doit immé-
L’annexe C de la norme NF EN 529 donne une  Les appareils filtrants diatement quitter la zone à risques et retirer
liste des FPA déterminés dans différents pays. Ils purifient l’air environnant par filtration. Ces son casque.
appareils ne doivent en aucun cas être utilisés  cagoule (fig. 4)
On choisira toujours un appareil isolant : dans une atmosphère pauvre en oxygène. Utilisée avec des appareils filtrants ou isolants
 si la concentration en oxygène est inférieure  Les appareils isolants munis d’un dispositif d’aspiration d’air.
à 17 % en volume ou risque de le devenir au Ils sont alimentés en air respirable à partir En cas de coupure d’air, le porteur doit immé-
cours des travaux (espaces clos confinés tels d’une source non contaminée. L’utilisateur est diatement quitter la zone à risques et retirer sa
silos, citernes...) ; indépendant de l’atmosphère ambiante. cagoule.
L’appareil est généralement  ensemble embout buccal (fig. 5)
constitué de deux parties : Réservé à l’évacuation.
une pièce faciale et, selon la
famille d’appareil sélection- Pour sélectionner le modèle et la taille de la
née, soit un dispositif de fil- pièce faciale la mieux adaptée à un porteur,
tration, soit un dispositif différentes méthodes existent. Les méthodes
d’apport d’air respirable. qualitatives consistent à exposer le porteur à
une atmosphère contenant une substance
Fig 1 Fig 2 d'essai dotée d'un goût ou d'une odeur
Pièces faciales particuliers. Si le porteur détecte la substance,
même après plusieurs réajustements de la
L’élément de l’appareil de pièce faciale, le masque testé doit être écarté.
protection respiratoire en Les méthodes quantitatives permettent de
contact avec le visage de mesurer l'ajustage. En cabine d'essai, le porteur
l’opérateur est la pièce est soumis à un aérosol de chlorure de sodium
faciale. Elle doit assurer ou d'hexafluorure de soufre et la concentration
l’étanchéité entre l’atmo- en aérosol d'essai à l'intérieur du masque est
Fig 3 Fig 4 Fig 5 sphère ambiante et l’inté- comparée à celle de la cabine. Il existe

2 Fiche pratique de sécurité ED 98


blanche leur est réservée. Les Type Couleur Domaine d’utilisation
filtres réutilisables sont mar- A marron gaz et vapeurs organiques dont le point
qués R et les filtres non réuti- d’ébullition est supérieur à 65 °C.
lisables après un poste de
travail sont marqués NR. B gris gaz et vapeurs inorganiques sauf le
monoxyde de carbone (ex. Cl2, Br2, H2S,
Filtres antigaz HCN...).
La nature des gaz qu’ils arrê-
tent détermine leur « type », E jaune dioxyde de soufre (SO2) et autres gaz
auquel est associé une cou- et vapeurs acides (ex. HCl…)
leur (cf. tableau ci-dessus).
K vert ammoniac et dérivés organiques aminés
Les filtres antigaz se répartis-
sent également en trois HgP3 rouge + blanc vapeurs de mercure
g7 classes en fonction de leur
NOP3 bleu + blanc oxydes d’azote
capacité de piégeage : classe 1
également des dispositifs portables de pour la plus faible capacité, AX marron produits organiques à point d’ébullition
comptage des particules. classe 2 pour une capacité inférieur à 65 °C
moyenne, classe 3 pour une
grande capacité. SX violet composés organiques spécifiques
Appareils filtrants désignés par le fabricant
Le filtre antigaz fonctionne
Les appareils filtrants peuvent être à «ventila- par adsorption du gaz pol-
tion libre» si l’air ne traverse le filtre que luant sur une surface de charbon actif. Les sites porte entre autres l’indication du type et de la
du seul fait des échanges respiratoires de d’adsorption disponibles sont progressivement classe : A2, E3…
l’utilisateur (fig. 6) ou à «ventilation occupés par le polluant. Le « temps de cla- Des filtres mixtes protègent simultanément
assistée» si l’air ambiant est aspiré au quage » d’un filtre correspond à la durée d’uti- contre plusieurs types de gaz ou vapeurs (ex :
travers du filtre par l’intermédiaire d’une lisation après laquelle le filtre se sature A2B2, A1K1...) ou sont combinés antigaz et anti-
pompe (fig. 7). rapidement. À saturation, le filtre laisse pas- aérosols (ex : A2P2, B2E2Pl, A2B2P2…).
Les « pièces faciales filtrantes » sont des demi- ser la totalité du gaz polluant.
masques jetables constitués du matériau fil-
trant lui-même. Ils ne nécessitent pas En situation industrielle, ce temps de claquage Appareils isolants
l’adjonction d’un filtre ; ils sont marqués FF est souvent difficile à évaluer. Il dépend sur-
(fig. 8). Les masques de chirurgiens ne sont pas tout de la concentration d’exposition, de la L’utilisateur peut être raccordé à une source
des appareils de protection respiratoire. température, de l’humidité et du rythme res- d’air respirable par l’intermédiaire d’un tuyau
Les filtres sont conçus pour la protection piratoire de l’utilisateur. Il n’existe pas actuel- (appareils « non autonomes ») ou porter la
contre des polluants spécifiques. Il existe des lement de dispositif fiable capable de détecter source d’air ou d’oxygène avec l’appareil (appa-
filtres contre les poussières (les aérosols la saturation d’un filtre antigaz. Il est donc pré- reils « autonomes »).
solides ou liquides), les gaz et contre des com- férable de les remplacer périodiquement. La
binaisons des deux types de polluants. norme NF EN 14387 fixe des temps minimum Appareils non autonomes
de claquage pour chaque type de filtre dans Le tuyau d’alimentation d’air peut être relié à
Filtres anti-aérosols (anti-poussières) des conditions données. On peut estimer que une zone où l’air est respirable (« appareil à air
Trois classes ont été définies en fonction la relation entre le temps de claquage et la libre ») ou encore à une source d’air comprimé
d’une efficacité croissante : concentration en polluant est linéaire. Par («appareil à adduction d’air comprimé») :
 Les filtres de classe 1 (marqués P1 ou FFP1 exemple, un filtre A2 qui, dans les conditions  les appareils à air libre sont «à assistance
dans le cas des pièces faciales filtrantes) sont à de la norme, a un temps de claquage mini- motorisée» (fig. 9) lorsqu’une pompe fait circu-
réserver pour protéger des aérosols solides mum de 35 min. dans une atmosphère conte- ler l’air dans le tuyau ou «non assisté» lorsque
et/ou liquides sans toxicité spécifique. nant 5 000 ppm de cyclohexane, aura, avec l’air ne circule dans le tuyau que du seul fait des
 Les filtres de classe 2 (P2 ou FFP2) sont à uti- une bonne approximation, un temps de cla- échanges respiratoires de l’utilisateur ;
liser contre les aérosols solides et/ou liquides quage de 350 min. face à une concentration de  les appareils à adduction d’air comprimé
(mention indiquée sur le filtre) dangereux ou 500 ppm en cyclohexane dans les mêmes (fig. 10) peuvent être «à débit continu» si le flux
irritants (carbonate de nickel, dioxyde de man- conditions de débit respiratoire, humidité rela- d’air est continu, «à la demande» s’il comporte
ganèse). tive et température.
 Les filtres de classe 3 (P3 ou FFP3) sont uti-
lisés contre les aérosols solides et/ou liquides En cas de réutilisation,
toxiques (béryllium, chrome, amiante, parti- un filtre doit toujours être
cules radio-actives). employé vis-à-vis du
même gaz. L’utilisation
À mesure de leur utilisation, les filtres anti-aéro- contre un gaz différent
sols se colmatent, opposant une résistance peut provoquer le relar-
croissante au passage de l’air pour une effica- gage du premier gaz
cité intacte. Cette piégé. Pour les gaz dange-
gêne respiratoire reux, un usage unique est
détermine la durée recommandé. Les filtres
d’utilisation d’un sont déconseillés lorsque
filtre. les concentrations en gaz
Les filtres anti-aéro- sont trop élevées.
sols font l’objet
d’un marquage nor- Le marquage des filtres
Fig 8 malisé ; la couleur est normalisé et com- Fig 9

ED 98 Fiche pratique de sécurité 3


LA RÉGLEMENTATION

Mise sur le marché Utilisation


(articles R. 4311-1 à Les articles R. 4321-4 à R. 4322-3, R. 4323-91 à
R. 4314-5 du Code R. 4323-106 du Code du Travail précisent les
du Travail) obligations des employeurs en matière
Les appareils de protection respiratoire doi- d'évaluation des risques, de sélection de
vent obligatoirement subir un examen de l'E.P.I. le mieux adapté, d'attribution et d'en-
conformité. Comme preuve de cette confor- tretien de ces équipements, d'information et
mité, les appareils portent le marquage «CE» de formation des salariés au port et à l'utili-
suivi du numéro de référence de l’organisme sation correcte des E.P.I.
chargé du contrôle qualité du produit.

Fig 10

un dispositif limitant l’introduction de l’air à la demande, à pression positive». Ils sont dits «à
quantité nécessaire à chaque inhalation, «à la circuit ouvert» si l’air expiré est rejeté dans l’at-
demande, à pression positive» s’il comporte le mosphère.
même dispositif et qu’une légère surpression  Les appareils autonomes «à circuit fermé»
est maintenue. éliminent le dioxyde de carbone et la vapeur
d’eau de l’air expiré grâce à un dispositif interne
Les appareils à air libre sont plutôt adaptés à à l’appareil et enrichissent l’air de la quantité
des travaux statiques avec un risque de pollu- d’oxygène nécessaire pour le cycle respiratoire
Fig 13
tion localisé alors que les appareils à adduction suivant. Il s’agit des appareils autonomes «à
d’air comprimé sont mieux adaptés à des tra- oxygène comprimé» (fig. 12) qui comportent
vaux mobiles avec une pollution diffuse ou mal une réserve d’oxygène, et des appareils «à géné- répertoriés et enregistrés. Chaque appareil qui
localisée autour du poste de travail. ration d’oxygène» (fig. 13) où une substance chi- n’est pas à usage unique doit faire l’objet d’une
mique (KO2 ou NaClO3) réagit avec la vapeur fiche de suivi. Les appareils doivent être entrete-
La prise d’air neuf doit être située dans un d’eau expirée pour former l’oxygène nécessaire nus régulièrement, nettoyés après chaque utili-
endroit propre, exempt de toute forme de pol- au cycle respiratoire suivant. sation et stockés dans un endroit propre. Ils
lution. La qualité de l’air respirable en adduc- Les appareils à génération d’oxygène sont doivent être désinfectés régulièrement et systé-
tion doit être conforme à la norme NF EN 12021. essentiellement utilisés comme appareils matiquement à chaque changement d’utilisa-
L’air ne doit avoir ni odeur ni goût significatif, sa d’évacuation (mines) ou de survie. teur.
teneur en oxygène doit être  Les appareils d’évacuation et de survie ne
de 21 ± 1 % en volume (air sec) doivent jamais être utilisés pour équiper un
avec des concentrations en Recommandations sauveteur ni pour effectuer des interventions,
impuretés ne devant pas même très brèves, dans une zone dangereuse
dépasser 0,5 mg/m3  Le personnel appelé à utiliser des appareils en raison de la consommation d’oxygène en
pour la teneur en huile, de protection respiratoire doit être informé sur phase d’effort qui réduit considérablement le
500 ppm pour le les risques encourus à son poste de travail. Il temps d’utilisation.
dioxyde de carbone, doit recevoir une formation délivrée par des
15 ppm pour le personnes compétentes et entraînées sur le
monoxyde de carbone. fonctionnement de son appareil et ses limites
Sur une ligne d’alimen- d’utilisation. LES PUBLICATIONS INRS
tation en air comprimé,  Un médecin peut
I Les appareils de protection respiratoire,
il peut être nécessaire être amené à juger au
choix et utilisation. ED 6106, INRS, 2011.
d’installer divers dispo- cas par cas de l’apti-
sitifs tels des pièges à tude d’une personne I Appareils de protection respiratoire et
Fig 11
eau, à huile, des systèmes de au port d’un appareil métiers de la santé. ED 105, INRS, 2003.
réchauffage ou de refroidissement... Le débit de protection respiratoire I Utiliser l’appareil de protection
d’alimentation doit au moins être de 120 l/min en fonction de l’état de respiratoire. Bande dessinée ED 901, INRS,
et pouvoir dépasser 200 l/min en cas d’effort santé et des contraintes 2003.
physique soutenu. liées à la tâche à effec-
I Animation « Masque jetable : comment
tuer. bien l'ajuster ? » à voir dans le dossier « pan-
Appareils autonomes  Les appareils dispo-
démie grippale » sur le site web de l'INRS
 Les modèles à air comprimé (fig. 11) peuvent nibles dans un établis-
Fig 12 www.inrs.fr.
également être « à la demande» ou «à la sement doivent être

Auteur : Michèle Guimon


Contact e-mail : michele.guimon@inrs.fr

Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles
• • •
30, rue Olivier-Noyer 75680 Paris cedex 14 Tél. 01 40 44 30 00 Fax 01 40 44 30 99 Internet : www.inrs.fr e-mail : info@inrs.fr •

Fiche pratique de sécurité ED 98 2e édition (2008) • réimpression décembre 2011 • 3 000 ex. • Infographie : Wag • Réalisation : Atelier F. Causse • Impression : Groupe Corlet S.A.

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