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ВЕЛИКОТЪРНОВСКИ УНИВЕРСИТЕТ „СВ. СВ.

КИРИЛ И МЕТОДИЙ“
ФИЛОЛОГИЧЕСКИ ФАКУЛТЕТ
VI МЕЖДУНАРОДЕН СТУДЕНТСКИ И УЧЕНИЧЕСКИ КОНКУРС ПО ПРЕВОД
„ТРАНСФОРМАЦИИ 2021“
ФРЕНСКИ ЕЗИК – рубрика „Проза “

Име и фамилия (Мартин Минчев Станчев)


Държава, град (България,Русе)
Училище, клас (СУЕЕ „Св.Константин-Кирил Философ“ Русе)
Превод от френски език на български език
Рубрика “Проза“

СЕКАЧИТЕ –Les bûcherons


Деян Енев

Il y a quelques années en été ma femme et ma fille nous avons décidé


de s’échapper de la grande ville bruyante et nous nous sommes montes
pres d’un village haut dans les montagnes.Nous avons trouvés un
logement et nous nous sommes installés.Notre hébergement étaient
sur la rue centrale.“ Ranger la voiture près du mur” , m’a dit la
propriétaire. À cause des camions, le village avait déclaré pour une
réserve culturelle.Il s’est produite plusieurs siècles d’avant, à la suite de
deux vagues migratoires – de Macédoine et de Turnovo. Les citoyens de
Tarnovo étaient responsables de la vue unique du village, ressemblant
à l’ancien trône Tarnovo, les dulgers macédoniens – pour la
maçonnerie en pierre habile des maisons. Ici ,au fil des ans ,avaient
tournés des dizaines de films bulgares et le village en était fier. Le soir,
nous nous sommes assis sur la terrasse pour se voir avec la
propriétaire, une femme agile qui gardait la clé de l’église et tenait une
boutique de souvenirs.А un moment donné son mari s’est rentré. Ça
se voyait qu’il est battu par le travail. Il s'est assis avec nous,il a
mangé,il a bu deux verres de l’eau-de-vie qui l'a attrapé.“Ils ont
coupé la forêt” ,il disait.” Ils ont tout coupé.” Voici les
camions,vous ne les voyez pas.Ils ne s’arrêtent pas.C’est comme ça
depuis longtemps. Еn-haut c'est effrayant. Ils ont tout
dépouillé,des falises se révèlent. Ça me fait mal, tu sais, ça me fait
mal !Je souffre ici, mon âme fait mal. Et il attrapait son pull au
devant de sa poitrine, comme s’il voulait le déchirer. En effet,a
travers le village de gros camions s’empalent chargés des pieux
coupés. Sur les arbres, se voyagent des bûcherons, embrassant leurs
tronçonneuses. Le mari de la propriétaire a bu un autre verre et il
est allé se coucher. Le lendemain, nous nous sommes promenés
dans le village, nous nous sommes émerveillés par les belles
maisons, les nouveaux propriétaires s’etaient déjà installés dans
beaucoup d’eux – chefs de la télévision, banquiers, hommes
d’affaires. Les jeeps brillants ont facilement surmonté les rues
pavées escarpées. Au crépuscule, nous nous sommes assis sur la
terrasse du pub pour diner. La propriétaire a traversé la rue et est
venue nous voir.
- Que fait-votre mari? - je lui ai demandé
- Quoi d'autre ! Avec eux. Avec les bûcherons.
- Eh bien, il est désolé pour la forêt, n’est-ce pas?
– Que peut-il faire ? Il faut manger.
Cette histoire ne me sort pas de tête.

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