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𝑺𝒄𝒊𝒆𝒏𝒕𝒊𝒇𝒊𝒒𝒖𝒆
POLYCOPIE :
Vibrations et Ondes Mécaniques
Module : PHYSIQUE 03
Niveau : 2eme Année Licence
Présenté Par :
Vibrations
1.1.1 Exemples
Le nombre de tours par seconde est appelé pulsation (notée ω, mesurée en rad/s.)
2𝜋
𝜔 = 2𝜋𝑓 = (1.2)
𝑇
• Le déplacement 𝑥.
• L’angle𝜃.
• La charge𝑞.
• Le courant𝑖.
• La tension𝑈.
• Un champ𝐸.
1.2.1 Exemple
𝜋𝑟𝑎𝑑
𝜔 = 2𝜋𝑓 = .
𝑠
Pour faciliter les calculs, nous transformons les grandeurs sinusoïdales en des
exponentielles qui sont plus simples à manipuler. Ceci possible grâce à la formule d’Euler
(1748)
1.3.1 Exemples
1.4.2 Exemple
1.4.4 Exemple
1.4.6 Exemple
𝑎) Soit les deux grandeurs sinusoïdales : 𝑔1 (𝑡) = 5 cos(5𝑡 + 2) , 𝑔2 (𝑡) = 2 cos(7𝑡 + 3).
2𝜋 2𝜋
𝑇=𝑚 =𝑛 = 2𝜋𝑠.
5 7
Il est possible d’exprimer une grandeur périodique par une somme de sinus et de
cosinus qui sont plus simples à manipuler physiquement et mathématiquement. Cette
somme est appelée série de fourrier (1807).
La série de Fourier d’une fonction f (t) périodique de période T, est définit par :
Dans la série de Fourier des fonctions paires, il n’y a que les termes en cosinus
et parfois la constante a0 qui est la valeur moyenne de la fonction : 𝑏𝑛 = 0 .
Dans la série de Fourier des fonctions impaires, il n’y a que les termes en sinus :
a0 = 𝑎𝑛 = 0.
1.5.1 Exemple
0 𝑠𝑖 𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑖𝑟
cos 𝜋𝑛 − 1 (−1)𝑛 − 1
= = = { −2
𝜋 2 𝑛2 𝜋 2 𝑛2 𝑠𝑖 𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑚𝑝𝑎𝑖𝑟.
𝑛2 𝜋 2
2 𝑇 2𝜋𝑛𝑡
𝑏𝒏 = ∫ 𝑓(𝑡) sin 𝑑𝑡
𝑇 0 𝑇
2 1 2
= [∫ sin 𝜋𝑛𝑡𝑑𝑡 + ∫ (−𝑡 + 2) sin 𝜋𝑛𝑡𝑑𝑡 ]
2 0 1
1
= .
𝜋𝑛
Un système oscillant en absence de toute force d’excitation, est appelé oscillateur libre.
Le nombre des grandeurs indépendantes intervenant dans le mouvement est appelée
degré de liberté.
En mécanique, on appelle oscillateur harmonique qui, dés qu’il soit écarté de sa position
d’équilibre d’une distance 𝑥 (ou angle 𝜃), est soumis à une force de rappel opposée et
proportionnelle à l’écartement 𝑥 (ou 𝜃) :
𝐹 = −𝐶𝑥. (2.1)
2.2.1 Exemples
𝑞̈ + 𝜔02 𝑞 = 0 (2.2)
ω0 est appelée pulsation propre car elle ne dépend que des grandeurs propres à
l’oscillateur.
2.3.1 Exemples
𝑆𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛
• L’équation horaire est : 𝑧(𝑡) = 𝐴 sin( √3𝑡 + ∅). Utilisons les conditions
initiales pour trouver 𝐴 et ∅ :
2𝜋
𝑧(0) = 𝐴 sin ∅ = 2𝑐𝑚 𝑡𝑎𝑛∅ = −√3 ⇒ ∅ = 3
{ ⇒ {
𝑧(0) =̇ 𝐴√3 cos ∅ = −2𝑐𝑚 /𝑠
2 2
𝐴 = sin ∅ ≈ 0.87 ≈ 2,3𝑐𝑚
1
La pulsation propre est donc 𝜔0 = .
√𝐿𝑐
𝐸 =𝑇+𝑈 (2.5)
1
𝑈𝑟𝑒𝑠𝑠𝑜𝑟𝑡 = 𝐾𝜃 2 . (2.11
2
2.4.1 Exemple
1 1
𝑇= 𝑚𝑧̇ 2 . 𝑈 = 𝑘(𝑧 + 𝑧0 )2 − 𝑚𝑔(𝑧 + 𝑧0 ).
2 2
1 1
= 2 𝑘𝑧 2 + 𝑘𝑧0 𝑧 − 𝑚𝑔𝑧 − 𝑚𝑔𝑧0 + 2 𝑘𝑧02 Grâce à la condition d’équilibre
1
= 2 𝑘𝑧 2 + 𝐶 𝑡𝑒 .
1 1 𝑑𝐸 𝑘
𝐸 = 2 𝑚𝑧̇ 2 + 2 𝑘𝑧̇ 2 + 𝐶 𝑡𝑒 . = 0 ⇒ 𝑚𝑧̇ 𝑧̈ + 𝑘𝑧𝑧̇ = 0 ⇒ 𝑧̈ + 𝑚 𝑧 = 0. qui est bien l’équation
𝑑𝑡
du mouvement trouvée à l’aide du PFD.
𝜕𝑈
Pour une force dérivant d’un potentiel ( − ) , la condition d’équilibre s’écrit :
𝜕𝑥
𝜕𝑈
⃒𝑥= 𝑥0 > 0. (2.13)
𝜕𝑥
𝜕2 𝑈
⃒𝑥= 𝑥0 > 0. (2.14)
𝜕𝑥 2
L’équilibre d’un système est instable si le système ne regagne pas son équilibre lors d’un
écartement, c.-à-d. si 𝐶 < 0. la condition d’équilibre instable s’écrit donc :
𝜕2 𝑈
⃒𝑥= 𝑥0 <0. (2.15)
𝜕𝑥 2
𝜕𝑈 𝜕2 𝑈
(pour les rotation, (2.13), (2.14), et (2.15) deviennent 𝜕𝜃 ⃒𝜃= 𝜃0 > 0. , 𝜕𝜃2 ⃒𝜃= 𝜃0 > 0.
𝜕2 𝑈
⃒𝜃= 𝜃0 < 0.)
𝜕𝜃2
2.5.1 Exemple
𝑆𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛
𝑈 = −𝑚𝑔ℎ = −𝑚𝑔(𝑙 − 𝑙 cos 𝜃). Les positions d’équilibre sont données par
𝜕𝑈
0.
𝜕𝜃
𝜕𝑈
= 0 ⇒ −𝑚𝑔𝑙 sin 𝜃 = 0 ⇒ sin 𝜃 = 0.
𝜕𝜃
Les positions d’équilibres sont donc : 𝜃 = 0 𝑜𝑢 𝜃 = 𝜋.
𝜕2 𝑈
∗ ⃒𝜃=0 = −𝑚𝑔𝑙 cos 𝜃 ⃒𝜃=0 = −𝑚𝑔𝑙 < 0 ∶ 𝜃 =
𝜕𝜃2
0 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑 ′ é𝑞𝑢𝑖𝑙𝑖𝑏𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒.
𝜕 2𝑈
∗ ⃒ = −𝑚𝑔𝑙 cos 𝜃 ⃒𝜃=𝜋 = 𝑚𝑔𝑙 > 0 ∶ 𝜃 = 𝜋 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑 ′ é𝑞𝑢𝑖𝑙𝑖𝑏𝑟𝑒 𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒.
𝜕𝜃 2 𝜃=𝜋
2.6 Equation de Lagrange (1788)
2.6.1 Exemple
1 1
𝑇 = 2 𝑚𝑧̇ 2 . 𝑈 = 2 𝑘𝑧 2 + 𝐶 𝑡𝑒 .
1 1
Le lagrangien est : 𝐿 = 𝑇 − 𝑈 = 2 𝑚𝑧̇ 2 − 𝑘𝑧 2 + 𝐶 𝑡𝑒 .
2
𝑑 𝜕𝐿 𝜕𝐿 𝑑 𝑘
( )− =0 ⇒ (𝑚𝑧̇ ) + 𝑘𝑧 = 0 ⇒ 𝑧̈ + 𝑧 = 0.
𝑑𝑡 𝜕𝑧̇ 𝜕𝑧 𝑑𝑡 𝑚
Qui est bien l’équation obtenue à l’aide du PFD puis à l’aide de l’équation de conservation.
2.6.2 Exercices
Exercice n° 1 :
Exercice n° 2 :
Exercice n°4 :
Une masse m est suspendue par un fil inextensible et non glissant enroulé
autour d’un disque de masse M. Le disque, pouvant tourner librement autour de
son centre, est suspendu par un ressort de raideur k.
Exercice n°5 :
Deux disque de taille différents et relies par un fil non glissant et inextensible,
peuvent tourner librement autour de leurs axes fixes. Le grand disque porte a sa
périphérie une masse ponctuelle m. A l’équilibre la masse était a la
verticale (représenter en pointillé).
Un système soumis à un frottement est dis amorti. Le frottement le plus simple est le
frottement visqueux. Les frottements visqueux sont de la forme
𝑓 = −𝛼𝑣 (3.1)
L’équation du mouvement des systèmes linéaires amortis par 𝑓 = −𝛼𝑞̇ est de la forme
La solution de l’équation (3.3) est de la forme 𝑞 (𝑡) = 𝐴𝑒 𝑟𝑡 . En injectant ceci dans (3.3)
on obtient 𝑟 2 𝐴𝑒 𝑟𝑡 + 2𝛿𝑟𝑒 𝑟𝑡 + 𝜔02 𝑒 𝑟𝑡 = 0 ⇒ 𝑟 2 + 2𝛿𝑟 + 𝜔02 = 0
∆́= 𝛿 2 − 𝜔02 .
𝑟1 = −𝛿 − √𝛿 2 − 𝜔02 .
Deux solutions réelles pour l’équation caractéristique {
𝑟2 = −𝛿 + √𝛿 2 − 𝜔02 .
𝑟1 = −𝛿 − 𝑗√ 𝜔02 − 𝛿 2 .
{
𝑟2 = −𝛿 + 𝑗√𝜔02 − 𝛿 2 .
⇒ 𝐷= 𝛿𝑇 (3.7)
3.5.1 Exemples
𝑆𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛
• A l’aide du Lagrangien :
1 1 1
Le Lagrangien est : 𝐿 = 𝑇 − 𝑈 = 2 𝑚𝑥̇ 2 − 2 𝑘𝑥 2 . 𝐷 = 2 𝛼𝑥̇ 2 .
𝑑 𝜕𝐿 𝜕𝐿 𝜕𝐷
L’équation de Lagrange s’écrit alors : ( )− = − ⇒𝑚𝑥̈ + 𝑘𝑥 = −𝛼𝑥̇ ⇒ 𝑥̈ +
𝑑𝑡 𝜕𝑥̇ 𝜕𝑥 𝜕𝑥̇
𝛼 𝑘
𝑥̇ + 𝑚 𝑥 =0.
𝑚
• A l’aide du Lagrangien :
1 1 1
Le Lagrangien est : 𝐿 = 𝑇 − 𝑈 = 2 𝑚𝑥̇ 2 − 2 𝑘𝑥 2 . 𝐷 = 2 𝛼𝑥̇ 2 .
𝑑 𝜕𝐿 𝜕𝐿 𝜕𝐷
L’équation de Lagrange s’écrit alors : ( )− = − ⇒𝑚𝑥̈ + 𝑘𝑥 = −𝛼𝑥̇ ⇒ 𝑥̈ +
𝑑𝑡 𝜕𝑥̇ 𝜕𝑥 𝜕𝑥̇
𝛼 𝑘
𝑥̇ + 𝑚 𝑥 =0.
𝑚
• A l’aide du Lagrangien :
1 1 1 1
𝐿 = 𝑇 − 𝑈. 𝑇 = 𝐼/0 𝜃̇ 2 = ( 𝑀𝑅 2 ) 𝜃̇ 2 . 𝑈 = 𝑘(𝑅𝜃)2 .
2 2 2 2
1 1 1 1 1
𝐿 = ( 𝑀𝑅 2 ) 𝜃̇ 2 − 𝑘(𝑅𝜃)2 𝐷 = 𝛼𝑣𝐵2 = 𝛼(𝑟𝜃̇)2 .
2 2 2 2 2
L’équation de Lagrange nous donne alors l’équation du mouvement :
𝑑 𝜕𝐿 𝜕𝐿 𝜕𝐷 1 2𝛼𝑟 2 2𝑘
( )− = − ⇒ 2 𝑀𝑅 2 𝜃̈ + 𝑘𝑅 2 𝜃 = 𝜃̈ + 𝑀𝑅2 𝜃̇ + 𝑀 𝜃=0.
𝑑𝑡 𝜕𝜃̇ 𝜕𝜃 𝜕𝜃̇
3.5.2 Exercices
Exercice n° 1 :
Soit le système amorti ci- contre. A l’équilibre la tige était verticale (en pointillé) et
le ressort au repos. Le fil autour du disque est inextensible et non
glissant.
Exercice n°3 :
Exercice n°4 :
Pour vaincre les frottements responsables des pertes d’énergie et des ralentissements des
systèmes en mouvements, il faut appliquer une force externe qu’on appelle excitation.
𝑑 𝜕𝐿 𝜕𝐿 𝜕𝐷
( )− = − + ℳ ( 𝑡 ) (En rotation. ℳ est le moment de la force𝐹.) (4.1. 𝑏)
𝑑𝑡 𝜕𝜃̇ 𝜕𝜃 𝜕𝜃̇
L’équation du mouvement des systèmes linéaires amortis par 𝑓 = −𝛼𝑞̇ et excités par
𝐹 ( 𝑡 ) est de la forme ( 𝑎 est une constante)
𝐹(𝑡)
𝑞̈ + 2𝛿𝑞̇ + 𝜔02 𝑞 = . (4.2)
𝑎
La résolution de l’&équation (4.2) est très simple pour une excitation sinusoïdal 𝐹 ( 𝑡 ) =
𝐹0
𝐹0 cos 𝜔𝑡. Dans ce cas ( 4.2 ) s’écrit : 𝑞̈ + 2𝛿𝑞̇ + 𝜔02 𝑞 = cos 𝜔𝑡. La solution générale
𝑎
de cette équation est : 𝑞 ( 𝑡 ) = 𝑞𝑇 ( 𝑡 ) + 𝑞𝑃 ( 𝑡 ).
𝐹0 cos 𝜔𝑡 → 𝐹0 𝑒 𝜔𝑡 .
𝐹0 𝐹0
𝑞̈ + 2𝛿𝑞̇ + 𝜔02 𝑞 = cos 𝜔𝑡 → 𝑞̈ + 2𝛿 𝑞̇ + 𝜔02 𝑞 = 𝑒 𝑗𝜔𝑡
𝑎 𝑎
𝐹0
⇒ - 𝜔2 𝐴𝑒 𝑗𝜔𝑡 + 2𝛿𝑗𝜔𝐴𝑒 𝑗𝜔𝑡 + 𝜔02 𝐴𝑒 𝑗𝜔𝑡 = 𝑒 𝑗𝜔𝑡
𝑎
⇒ (- 𝜔2 + 2𝛿𝑗𝜔 + 𝜔02 ) = 𝐹0 /𝑎
𝑞 (𝑡) = 𝐴Cos (ωt+ φ). (Avec 𝐴 donné par (4.4) et 𝜑 donné par (4.5)) (4.6)
4.5 Résonnance
La pulsation d’excitation 𝜔 pour laquelle l’amplitude 𝐴 atteint son maximum est appelée
𝜕𝐴
pulsation de résonance (d’amplitude) ωR . 𝐴 est maximale lorsque = 0 .D’après
𝜕𝜔
(4.4) :
𝐹
𝜕𝐴 [−4𝜔 ( 𝜔02 − 𝜔2 )+ 8𝛿 2 𝜔] ( 0 )
=0 ⇒ 𝑎
3/2 = 0 ⇒ −4(𝜔02 − 𝜔2 ) + 8𝛿 2 = 0 , soit
𝜕𝜔 2[[(𝜔02 − 𝜔2 )2 + 4𝛿 2 𝜔2 ]]
1
𝜔 = √𝜔02 − 2𝛿 2 ≡ 𝜔𝑅 ⇔ 𝜔𝑅 = 𝜔0 √1 − 4𝑄2 . (4.7)
1 1
Pour qu’il y ait résonance il faut que : 𝜔02 − 2𝛿 2 > 0 ⇒ 1 − 2𝑄2 > 0 ⇒ Q > :
√2
1
Le facteur de qualité doit donc être supérieur a ⇒ l’amortissement doit être faible.
√2
𝜋
D’après (4.5), tan 𝜑 = − ∞ ( 𝜑 = − ) lorsque
2
𝜔 = 𝜔0 . (4.9)
1 𝑇 1 1 𝑡𝑎𝑛𝜑
La puissance moyenne est 〈Ƥ〉 = 𝑇 ∫0 Ƥ𝑑𝑡 = − 2 𝜔𝐴𝐹0 sin 𝜑 = − 2 𝜔𝐴𝐹0 . D’après
√1+𝑡𝑎𝑛2 𝜑
(4.4) et (4.5) :
𝜔 2 𝛿( 𝐹02 /𝑎 )
〈Ƥ〉 = 2 . (4.10)
(𝜔0 − 𝜔2 )2 + 4𝛿 2 𝜔2
𝜔 = 𝜔0
𝜕〈Ƥ〉
〈Ƥ〉 est maximale lorsque =0 ⇒ { 𝐹02 (4.11)
𝜕𝜔 〈Ƥ〉𝑚𝑎𝑥 =
4𝜔𝑎
La pulsation 𝜔𝑐1 et 𝜔𝑐2 pour lesquelles 〈Ƥ〉 est à moitié de son maximum sont appelées
pulsations de coupure. La largeur 𝜔𝑐2 - 𝜔𝑐1 = B est appelée la Bande passante. D’après
〈Ƥ〉𝑚𝑎𝑥
(4.10), 〈Ƥ〉 = (à faible amortissement : 𝛿 ≪ 𝜔0 ) pour 𝜔𝑐1 ≈ 𝜔0− 𝛿 et 𝜔𝑐2 ≈
2
𝜔0− 𝛿 .Donc
𝐵 = 2𝛿. (4.12)
𝜔0 𝜔0
= = 𝑄 est le facteur de qualité (voir chap. III).
𝐵 2𝛿
Exercice n° 1 :
Le fil autours des disques ci-contre est inextensible et non glissant F (t ) = F0 sin t .
Exercice n°2 :
Soit le circuit excité ci-contre E (t ) = E0 cos 0t. système amorti ci-contre. A l’équilibre le
ressort K1 était comprimé et K2 allongé chacun d’une distance y0.
Exercice n°4 :
2
bande passante B = C1 − C 2 . (On suppose que ( 0 ). amortissement très
faible).
11. Trouver la puissance moyenne r dissipé par frottement.
𝑑 𝜕𝐿 𝜕𝐿 𝜕𝐷
( )− = − + 𝐹1 ( 𝑡 ),
𝑑𝑡 𝜕𝑞̇ 1𝜕𝑞1 𝜕𝑞̇ 1
𝑑 𝜕𝐿 𝜕𝐿 𝜕𝐷
( )− = − + 𝐹2 ( 𝑡 ),
𝑑𝑡 𝜕𝑞̇ 2𝜕𝑞2 𝜕𝑞̇ 2
.
.
𝑑 𝜕𝐿 𝜕𝐿 𝜕𝐷
( )− = − + 𝐹𝑁 ( 𝑡 ).
{𝑑𝑡 𝜕𝑞̇ 𝑁 𝜕𝑞𝑁 𝜕𝑞̇ 𝑁
1 1 1 1 1
Le lagrangien est : 𝐿 = 𝑇 − 𝑈 = 𝑚1 𝑥̇ 12 + 𝑚2 𝑥̇ 22 - 2 𝑘1 𝑥̇ 12 − 𝑘0 (𝑥1 − 𝑥2 )2 − 𝑘2 𝑥22 .
2 2 2 2
𝑥1 = 𝐴1 cos(𝜔𝑡 + 𝜑1 ).
𝑥2 = 𝐴2 cos(𝜔𝑡 + 𝜑2 ). (5.2)
𝑥2 = 𝐴2 cos( 𝜔𝑡 + 𝜑2 ). → 𝑥2 = 𝐴2 𝑒 𝑗𝜔𝑡
(5.1) devient
𝑘1 +𝑘0 𝑘
(−𝜔2 + ) 𝐴1 − 𝑚0 𝐴2 = 0. (−𝜔2 + 𝑎)𝐴1 + 𝑏𝐴2 = 0.
𝑚1 1
{ ⇔{ (5.3)
𝑘 𝑘0 +𝑘2 −𝑐𝐴1 + (−𝜔2 + 𝑑)𝐴2 = 0.
− 𝑚0 𝐴1 + (−𝜔2 + ) 𝐴2 = 0.
2 𝑚2
Pour que (5.3) soit vrai sans que 𝐴1 et 𝐴2 soient tous les deux nuls, il faut que son
déterminant caractéristique soit nul :
2
∆ (𝜔) = |−𝜔 + 𝑎 −𝑏 | = 0.
−𝑐 −𝜔2 + 𝑑
Dans le cas général, le système vibre dans une superposition de ces deux modes propres.
1 1
Le lagrangien est : 𝐿 = 𝑇 − 𝑈 = 2
𝑚1 𝑥̇ 12 + 2
𝑚2 𝑥̇ 22 -
1 1 1
𝑘 𝑥̇ 2 − 𝑘0 (𝑥1 − 𝑥2 )2 − 𝑘 𝑥2.
2 1 1 2 2 2 2
1 1
( 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝐷 = 𝛼1 𝑥̇ 12 + 𝛼2 𝑥̇ 22 𝑒𝑡 𝐹0 cos 𝜔𝑡.)
2 2
𝑑 𝜕𝐿 𝜕𝐿 𝜕𝐷
( )− =− + 𝐹 𝑚1 𝑥̈ 1 + (𝑘1 + 𝑘0 )𝑥1 + 𝛼1 𝑥̇ 1 − 𝑘0 𝑥2 = 𝐹0 cos 𝜔𝑡 .
𝑑𝑡 𝜕𝑥̇ 𝜕𝑥1 𝜕𝑥̇ 1
{ 𝑑 1𝜕𝐿 ⇒{ (5.4)
( )−
𝜕𝐿
=−
𝜕𝐷 𝑚2 𝑥̈ 2 + (𝑘0 + 𝑘2 )𝑥2 + 𝛼2 𝑥̇ 2 − 𝑘0 𝑥1 = 0.
𝑑𝑡 𝜕𝑥̇ 2 𝜕𝑥2 𝜕𝑥̇ 2
𝑥1 = 𝐴1 cos(𝜔𝑡 + 𝜑1 ).
𝑥2 = 𝐴2 cos(𝜔𝑡 + 𝜑2 ). (5.5)
La représentation complexe :
. Cas où : 𝑚1 = 𝑚2 = 𝑚 𝑒𝑡 𝑘0 = 𝑘1 = 𝑘2 = 𝑘.
𝐹
𝑘 (−𝜔2 + 2𝜔02 )𝐴1 − 𝜔02 𝐴2 = 0 .
En Posant = 𝜔02 , (5.6) devient { 𝑚
𝑚
(−𝜔2 + 2𝜔02 )𝐴2 − 𝜔02 𝐴1 = 0.
𝐹 |2𝜔 2 −𝜔2 |
⇒ 𝐴1 = 𝑚0 |(2𝜔2 −𝜔
0
2 )2 −𝜔4 |.
0 0
𝐹0 𝜔02
𝐴2 = |(2𝜔0 −𝜔2 )2 −𝜔04 |
2 . (5.7)
𝑚
D’après (5.7)
• 𝐴1 = 𝐴2 = ∞ lorsque
𝑥1 → 𝑥1 = 𝐴1 𝑒 𝑗𝜔𝑡 . 𝑥2 → 𝑥2 = 𝐴2 𝑒 𝑗𝜔𝑡 .
𝑣1 𝑣2
𝑣1 = 𝑗𝜔𝑥1 ⇒ 𝑥1 = . 𝑣2 = 𝑗𝜔𝑥2 ⇒ 𝑥2 = .
𝑗𝜔 𝑗𝜔
𝑥̈ 1 = 𝑗𝜔𝑣1 . 𝑥̈ 2 = 𝑗𝜔𝑣2 .
(5.6) devient
𝑘 𝑘 𝑘
𝑚1 𝑥̈ 1 + (𝑘1 + 𝑘0 )𝑥1 + 𝛼1 𝑥̇ 1 − 𝑘0 𝑥2 = 𝐹 (𝑗𝜔𝑚1 + 𝑗𝜔1 + 𝑗𝜔0 + 𝛼1 ) 𝑣1 − 𝑗𝜔0 𝑣2 = 𝐹.
{ ⇒{
𝑚2 𝑥̈ 2 + (𝑘0 + 𝑘2 )𝑥2 + 𝛼2 𝑥̇ 2 − 𝑘0 𝑥2 = 0 𝑘 𝑘 𝑘
(𝑗𝜔𝑚2 + 𝑗𝜔2 + 𝑗𝜔0 + 𝛼2 ) 𝑣2 − 𝑗𝜔0 𝑣1 = 0.
𝑘 𝑘 𝑘
En Posant 𝑗𝜔𝑚1 + 𝑗𝜔1 + 𝛼1 = 𝑧1 , 𝑗𝜔𝑚2 + 𝑗𝜔2 + 𝛼2 = 𝑧2 , 𝑗𝜔0 =𝑧0 . on obtient
5.3.4 Exercices
Exercice No1 :
Exercice No2 :
Exercice No4 :
Exercice No5 :
Ondes Mécaniques
▪ L’onde mécanique est une perturbation locale temporaire qui se déplace dans
un milieu matériel élastique, homogène et isotrope sans transport de la
matière, comme le montre la figure 6.1.
❖ Les ondes émises par deux hauts parleurs comme le montre la figure 6.7 :
Applications :
Probléme1 :
Une source émet une onde mécanique ѱ de fréquence ν se propageant dans la direction
𝑜𝑥 avec une vitesse 𝑉 constante.
𝜕2 ѱ 𝜕2 ѱ
= 𝑉2
𝜕𝑡 2 𝜕𝑥 2
C’est une équation aux dérivées partielles unidimensionnelles.
▪ Les solutions générales en utilisant la méthode du changement de
variables sont :
𝜕2 ѱ
𝑝=𝑡+
𝑥 = 0 ⇒ ѱ1 (𝑞)
𝑉 𝜕𝑝𝜕𝑞
⟨ 𝑥 ⟩ ⇒{ 𝜕2 ѱ ⇒ѱ 𝑇 = ѱ1 (𝑞) + ѱ2 (𝑝)
𝑞=𝑡−𝑉 = 0 ⇒ ѱ2 (𝑝)
𝜕𝑞𝜕𝑝
𝜔
ѱ(𝑡, 𝑥) = 𝐴 cos 𝜔(𝑡 − 𝑥)
𝑉
Probléme2 :
Solutions :
▪ L’équation de propagation :
𝜕2 𝑆
= 𝑉 2 ∆𝑆
𝜕𝑡 2
▪ La solution générale dans le cas d’un régime sinusoïdal :
1 𝑟 𝑟
𝑆(𝑟, 𝑡) = 𝑟 [𝑓 (𝑡 − 𝑉) + 𝑔(𝑡 + 𝑉)] Avec 𝑟2 = 𝑥2 + 𝑦2 + 𝑧2
▪ La solution générale dans le cas d’un régime sinusoïdal :
1 𝑟
𝑆(𝑟, 𝑡) = 𝑟 cos 𝜔(𝑡 − 𝑉) Avec 𝑟 2 = 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2
▪ On obtient une onde sphérique incidente sinusoïdale comme le montre la figure
1
Le facteur 𝑟 représente l’amortissement de l’amplitude de l’onde sphérique qui est due à
la répartition énergétique de l’onde dans toutes les directions de la même manière.
Probléme3 :
Soit une onde mécanique ѱ de fréquence ν se propageant dans le plan (𝑂𝑥𝑦) avec une
vitesse 𝑉 constante.
𝜕ѱ
ѱ(𝑥 = 0) = (𝑦 = 0) = 0
𝜕𝑦
▪ Déterminer les solutions générales.
Solutions :
𝜕2 ѱ 𝜕2 ѱ 𝜕2 ѱ
= 𝑉 2( + )
𝜕𝑡 2 𝜕𝑥 2 𝜕𝑦 2
▪ Les solutions de l’équation différentielle par la méthode de séparation des
variables :
▪ L’espace de propagation est limité (fini) , on obtient des ondes stationnaires dans
les trois directions.
❖ En appliquant les conditions aux limites on obtient :
ѱ(𝑥 = 0) = 0 𝐴 = 0 𝑛𝜋
(𝑛)
𝐴(𝑥) = 𝐴2 sin 𝑘𝑥 𝑥
1 (𝑛)
{ 𝜕ѱ ⇒{ et 𝑘𝑥 = 𝑎 ⇒{
(𝑦 = 0) 𝐵2 = 0 𝐵(𝑦) = 𝐵1 cos 𝑘𝑦 𝑦
𝜕𝑦
(𝑛) (𝑚)
𝑆𝑇 (𝑥, 𝑦, 𝑡) = ∑𝑛 𝛬 sin 𝑘𝑥 𝑥 cos 𝑘𝑦 𝑦𝑇(𝑡) 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝛬 = 𝐴2 𝐵2
7.1Rappel théorique :
Nous allons voir comment une onde peut progresser dans une corde.
Soit un fil de longueur 𝑙 et de masse 𝑚 , la masse linéique du fil (supposé constante
le long de celui-ci) est alors :
𝑚 𝑑𝑚
𝜇= =
𝑙 𝑑𝑥
Par un léger choc, créons une petite perturbation transversale (afin de ne pas
déformer le câble et maintenir constant sa masse linéique). Isolons, dans la zone
perturbée, un élément de fil, de longueur𝑑𝑙 :
Approximations :
▪ La corde est considérer comme déformable mais non allongeable donc la norme
des forces dans la corde est constante en tout point quelque soit la déformation.
Pour la suite du raisonnement, nous nous servons de la figure ci-dessous :
Ce que signifie qu’il n’y pas de déplacements selon 𝑥 , et 𝑎⃗ représente l’accélération selon
𝑦 . Si les angles sont vraiment petits , nous avons le premier terme du développement qui
donne :
𝜕𝑦
sin 𝑥 ≅ 𝑡𝑎𝑛𝑥 ≅ 𝜕𝑥
𝑑𝑙 ≅ 𝑑𝑥
Les tangentes sont données par les dérivées partielles de la fonction 𝑦(𝑥) :
𝜕𝑦 𝜕𝑦 𝜕2 𝑦
𝐹[ ⃒𝑥+𝑑𝑥 − ⃒𝑥 ] ≅ 𝜇𝑑𝑥
𝜕𝑥 𝜕𝑥 𝜕𝑡 2
𝜕2 𝑦 𝐹 𝜕2 𝑦 𝐹
= ⇒𝑉 =√
𝜕𝑡 2 𝜇 𝜕𝑥 2 𝜇
𝐹
𝑉 = √𝜇
7.2 Applications :
Probléme1 :
Soit une corde vibrant transversalement dans le plan𝑂𝑥𝑦. L’équation de mouvement est
de forme𝑦 = 𝑓(𝑥, 𝑡). Soient 𝑇et 𝜇 la tension et la masse linéique de la corde à l’équilibre.
Maintenant la corde est fixée par les deux extrémités de distance 𝑎 , lâchée sans
vitesse initiale.
▪ Calculer la tension de cette corde pour qu’elle puisse émettre le son fondamental
𝑓1 = 147𝐻𝑧 (𝑛𝑜𝑡é 𝑟é).
Solutions :
▪ L’équation de propagation :
𝜕2 𝑦 𝑇 𝜕2 𝑦 𝐹
= ⇒𝑉 =√
𝜕𝑡 2 𝜇 𝜕𝑥 2 𝜇
▪ Les solutions de l’équation de propagation de l’onde libre :
𝜔 𝜔
𝐴̈(𝑥) 𝐵̈(𝑥) 𝐴(𝑥) = 𝐴1 cos 𝑉 𝑥 + 𝐴2 sin 𝑉 𝑥
𝑦 = 𝐴(𝑥)𝑇(𝑡) ⇒ 𝐴(𝑥) = 𝑉 2 𝐵(𝑥)⇒{
𝐵(𝑡) = 𝐵1 cos 𝜔𝑡 + 𝐵2 sin 𝜔𝑡
▪ La corde est maintenant fixée, les conditions aux limites nous donnent :
(𝑛)
𝑦(𝑥 = 0) = 𝑦(𝑥 = 𝑎) = 0 𝐴1 = 0 (𝑛) 𝜔 𝑛𝜋 𝐴(𝑥) = 𝐴2 sin 𝑘𝑥 𝑥
{ ⇒{ et 𝑘𝑥 = ( 𝑉 )𝑥 𝑎 ⇒{
𝑦̇ (𝑡 = 0) 𝐵2 = 0 𝐵(𝑡) = 𝐵1 cos 𝜔𝑛 𝑡
(𝑛) 𝜔𝑛 2𝜋𝑓𝑛 𝑛𝜋 1 𝑇
𝑘𝑥 = = = ⇒ 𝑓𝑛 = 𝑛𝑓1 avec 𝑓1 = √
𝑉 𝑉 𝑎 2𝑎 𝜇
▪ Application numérique :
1 𝑇
𝑓1 = √ ⇒𝑇 = 4𝑎2 𝜌𝑆𝑓12 ⇒ 𝑇 = 17.3𝑁
2𝑎 𝜇
Une corde vibrante homogène et sans raideur, de masse linéique 𝜇 , tendue par une force
de tension d’intensité 𝐹 constante. La corde au repos et horizontale et matérialisation par
l’axe 𝑂𝑥 .
Solutions :
▪ L’équation aux dérivées partielles du déplacement 𝑦(𝑥, 𝑡):
𝜕2 𝑦 𝜇 𝜕2 𝑦 𝑏 𝜕𝑦 𝐹
= + avec 𝑉 = √
𝜕𝑥 2 𝐹 𝜕𝑡 2 𝐹 𝜕𝑡 𝜇
▪ La relation de dispersion :
𝜔 𝑏 𝐹 𝑏
𝑦(𝑡, 𝑥) = 𝐴𝑒 𝑗(𝜔𝑡−𝑘𝑥) ⇒𝑘(𝜔) ≅ (1 − 𝑗 2𝜇𝜔) 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑐 = √𝜇 𝑔(𝜔) = 2𝜇𝜔
𝑐
Probléme3 :
A l’instant 𝑡 , la tension 𝑇(𝑥, 𝑡) exercée par la partie de la corde à droite de 𝑀 sur la partie
de la corde à gauche de 𝑀 , fait un petit angle 𝜃(𝑥, 𝑡) avec l’horizontale.
Soit une tranche d’une cellule électrique sans perte représentée dans la figure comme
suit :
2 2 𝐹
𝜕 𝑦 𝐹𝜕 𝑦
∑ 𝐹⃗ = 𝑑𝑚𝑎⃗ ⇒ 𝑇(𝑥, 𝑡) = 𝑇(𝑥 + 𝑑𝑥) = 𝐹 ⇒ 2 = 2 avec 𝑉 = √
𝜕𝑥 𝜇 𝜕𝑥 𝜇
Partie B :
▪ L’équation de propagation de l’onde dans la cellule électrique :
2 2
𝜕𝑖 ∗ 𝜕𝑢 𝜕 𝑖 ∗ ∗ 𝜕 𝑖
𝜕𝑥
= −𝐶𝑎𝑝 𝜕𝑡
⇒ 2 = 𝐿𝑖𝑛𝑑 𝐶𝑎𝑝 2
𝜕𝑥 𝜕𝑡
𝜕𝑢 𝜕𝑖
= −𝐿∗𝑖𝑛𝑑 𝜕𝑡
𝜕𝑥
▪ L’équivalence mécanique-électricité :
𝜕2 𝑖 𝜕2 𝑖 𝜕2 𝑦 𝜇 𝜕2 𝑦
= 𝐿∗𝑖𝑛𝑑 𝐶∗𝑎𝑝 ⇔ =
𝜕𝑥 2 𝜕𝑡 2 𝜕𝑥 2 𝐹 𝜕𝑡 2
Avec
𝐿∗𝑖𝑛𝑑 ⇔𝜇
∗ 1
𝐶𝑎𝑝 ⇔
𝐹
𝜕𝑦
𝑖(𝑥, 𝑡) ⇔ 𝜕𝑡
Probléme4 :
Deux cordes, de masses linéiques 𝜇1 et 𝜇2 sont attachées à la jonction 𝑂 pour former une
longue corde tendue horizentalement suivant l’axe 𝑂𝑥 avec une force de tension
d’intensité𝐹. On choisit l’abscisse 𝑥 = 0 à la jonction O des deux cordes.
𝑦𝑖 (𝑥, 𝑡) = 𝑎𝑖 cos(𝜔𝑡 − 𝑘1 𝑥)
Application numérique : On attache en O un fil d’acier (1) vers le fil(2), les coefficient
𝑅 et 𝑇.
Probléme4 :