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CLAUSES
TECHNIQUES
PARTICULIERES
(C.C.T.P)
ARTICLE 1 - DEFINITION DES TRAVAUX.
Les stipulations du présent cahier des clauses techniques particulières (C.C.T.P.) s'appliquent aux travaux de GENIE
CIVIL entrant dans le cadre de la Construction des villas jumelées sise à la soukra, propriété sté de promotion
immobilière ‘’LES AIGLES ARABES‘’ selon le dossier de plans et conformément aux délais stipulés dans la
Soumission .
Tant qu'il n'y est pas dérogé ou précisé par le présent C.C.T.P. l'Entrepreneur se référera au C.C.T.G applicable, aux
marchés publics des travaux de l'état, des collectivités publiques locales, des Etablissements publics à
caractère administratif, et des Entreprises publiques.
Les travaux objet du présent lot concernent :
La dépose et le transport des matériels en vue du réemploi.
La réalisation des terrassements.
L'amélioration du sol s’il y a lieu.
La réalisation des travaux de génie civil.
La réalisation des fondations.
La réalisation du béton armé et béton divers.
La réalisation des maçonnerie –briquetage.
La réalisation des enduits et ravalements
La réalisation des revêtements divers.
La réalisation des ouvrages divers.
La réalisation de l’étanchéité et supports.
La description établie pour chaque corps d'état a pour but de définir l'ensemble des travaux à exécuter. Cette
description n'est pas limitative: l'entrepreneur, pour les arrêter dans le présent marché, doit non seulement
l'intégralité des travaux nécessaires au complet achèvement des ouvrages, mais également ceux qui sont
indispensables pour satisfaire aux exigences de la réglementation en vigueur et ce, même si le présent C.C.T.P.
ne le décrit pas ou si les indications (côtés ou autres) portées au C.C. T.P. et aux plans doivent être modifiés pour
atteindre ce résultat.
1.4.2. AUX NORMES ET REGLEMENTS EN VIGUEUR DONT NOTAMMENT (LISTE NON LIMITATIVE)
Les règles suivantes en application en Tunisie :
Normes tunisiennes (N.T)
Commission technique (C.T.)
Centre des essais et de Techniques de la construction (C.E.T.E.C.)
Les N.T. dans leur dernière mise à jour et leurs additifs dont notamment (liste non limitative)
- terrassements
- fondations
- Béton armé.
Cahier des charges pour la construction d'ouvrages particuliers établis par la chambre syndicale des
constructeurs en ciment armé ou autre organisme officiel traitant ce type d'ouvrages, et tous autres
règlements et normes auxquels se réfère l'ensemble des documents ci-dessus.
Tout point non couvert par les prescriptions du contrat ou par les différents codes ou règlements applicables
en Tunisie sera fixé selon les règles de l'art et soumis au Maître d'Oeuvre pour toute dérogation envisagée.
ARTICLE 2 - DONNEES TECHNIQUES DE BASE.
2.1.2. ACCES
Les chemins et pistes d'accès provisoires aux différents chantiers seront construits par l'Entrepreneur, sous sa
responsabilité et à ses frais ; le Maître d'Ouvrage pourra demander que tout ou partie d'entre eux soient réalisés
dès le début des travaux. Son agrément sera demandé sur les accords à intervenir avec les tiers. Ces chemins
et pistes seront, dans toute la mesure du possible, établis en dehors de l'emprise des ouvrages définitifs. Si par
exception, un accès devait empiéter provisoirement sur l'emprise des ouvrages, les modifications ultérieures
nécessaires pour l'exécution des travaux seraient à la charge de l'Entrepreneur.
2.3. CERTIFICATION
Les produits suivants utilisés doivent faire l'objet d'une certification :
Les entrevous en béton
les blocs en béton
les briques creuses en terre cuite
le béton prêt à l'emploi
les liants hydrauliques, les adjuvants, les produits spéciaux destinés aux constructions en béton hydraulique (
réparations, collages, injections, calages, scellements )
plaques de parements en plâtre
boisseaux en terre cuite, boisseaux en béton pour conduits de fumée
éléments industriels pour murs en béton fabriqués en usine, éléments en béton manufacturé pour
constructions à ossature légère
les poutrelles préfabriquées en béton armé ou précontraint
Les pré-linteaux, les pré-dalles en béton armé ou précontraint
les blocs en béton spéciaux pour maçonnerie
les éléments industriels pour murs en béton préfabriqués en usine
les enduits extérieurs d'imperméabilisation à base de liants hydrauliques
les complexes et sandwiches de doublage isolant
les mortiers adhésifs de pose de complexes plaque de plâtre-isolant
Les conduits d'évacuation de produits de combustion.
3.3. VERIFICATIONS
Elles seront menées conformément au chapitre 4 du DTU 21.
MINIMALE
DOSAGE DIMENSIONS RESISTANCE
CLASSE (EN BARS)
DESIGNATION MINIMALE DES A 28 JOURS
DU UTILISATION
EN AGREGATS
CIMENT TRACTION
TYPE CIMENT KG/m3 EN MM COMPRIS.
CPC II
B1 150 5/25 Béton de propreté
A-L 32,50
CPC II
B2 250 25/65 Gros béton
A-L 32,50
Béton banché,
CPC II Fondation et massifs
B3 300 5/20 230 22
A-L 32,50 d’ancrage légèrement
armés
CPI Béton armé pour
B5 350 5/20 270 22
A-L 32,50 fondation
Béton armé en
CPI
B6 350 5/20 270 22 élévation et pour
A-L 32,50
planchers
CPCI 45 Béton armé pour poutre
B7 400 5/15 330 24
32,50 cloison
- Le contrôle
Les essais de contrôle ont pour but de contrôler la résistance intrinsèque du béton à sa fabrication, indépendamment
des conditions ultérieures de transport, de mise en oeuvre, de vibration, de cure et de conservation.
Les essais de contrôle sont réalisés sur des éprouvettes prélevées au malaxeur et conservées dans des conditions
normalisées ; ils permettent notamment de vérifier que les caractères intrinsèques du béton sont conformes aux
prévisions et de déceler d'éventuelles défectuosités de certains composants (ciment, granulats, adjuvants) ou
même certaines erreurs de dosage.
- L'information
Les essais d'information ont pour but d'évaluer, avec la meilleure approximation possible, la résistance du béton de
l'ouvrage.
Les essais d'information sont réalisés sur des éprouvettes prélevées au chantier, lors de la mise en place du béton dans
les coffrages, et conservées dans des conditions aussi voisines que possible de celles de l'ouvrage ; ils
permettent notamment de décider de l'opportunité d'un décoffrage, d'un décintrement, d'une manutention,
d'une mise en charge ou en précontrainte.
Toutes les opérations nécessitées par les essais doivent être exécutées par du personnel qualifié et les essais effectués
sur des éprouvettes de dimensions conformes aux prescriptions des règles B.A.E.L.
Essais au scléromètre
Le Maître d'œuvre pourra faire effectuer des essais au scléromètre sur tous les bétons mis en oeuvre.
Carottage
Dans le cas où les résultats d'essais sur éprouvettes et contre essais au scléromètre donneraient des résultats non
conformes, le Maître d'Oeuvre se réserve le droit de faire exécuter aux frais et à la charge de l'Entrepreneur des
essais de contrôle sur éprouvettes prélevées par carottage.
Affaissement
Pour la vérification de la consistance du béton frais, trois essais d'affaissement au cône d'Abrams seront effectués à
chaque prise d'éprouvettes de compression ou de traction. L'affaissement maximal sera :
Béton pour fondation en présence d'eau de la nappe phréatique : 30 mm
béton pour fondation en dehors de la nappe : 70 mm
structures en béton pour ouvrages en élévation : 80 mm.
Les quantités d'agrégats, de produits et d'eau feront l'objet d'essais minutieusement exécutés visant à déterminer les
résultats optimaux en ce qui concerne les points suivants :
- résistance à la compression et à la traction, compacité,
- affaissement compatible avec les applications,
- Qualité du fini après enlèvement des coffrages.
1 2 3 4 5 6
Désignation Résistance à 7 Résistance à 28 Résistance à 90
N° de l'essai Date de la coulée
coulée jours jours jours
Ce cahier sera visé par le Maître d'Oeuvre et le Représentant du Bureau de Contrôle, à chacun de leur passage.
Dans le cas où une série d'essais donnerait des résistances inférieures au minimum prévu, l'Ouvrage correspondant sera
considéré comme douteux et l'Entrepreneur sera tenu de proposer une solution de remplacement.
En ce qui concerne le béton mélangé sur bétonnage porté, et lorsque le malaxage se fait entièrement dans ces
bétonnières portées sur le chantier, les moments précis des additions d'eau seront consignés par écrit à la
disposition du Maître de l'Ouvrage.
Les heures d'arrivée de tous les camions doivent être soigneusement enregistrées au chantier et tenues en
permanence à la disposition du Maître de l'Ouvrage pour inspection.
Un dossier des travaux devra être tenu sur le chantier et contiendra les informations suivantes :
heure d'arrivée des camions
heure et lieu de mélange des matériaux de bétonnage
plaque minéralogique du camion et nom du dépôt
heure et lieu d'addition du camion et nom du dépôt
heure de coulage du béton sans retouches ultérieures
qualité du mélange
position de coulée du béton
prélèvements éventuels d'éprouvettes sur ce lot de livraison
Généralités
Les exigences énumérées dans les paragraphes relatifs au béton et au ferraillage seront respectées en ce qui
concerne le béton pré-moulé, dans la mesure où elles sont applicables. Seront également observées les
exigences suivantes, qui concernent particulièrement les ouvrages en béton pré-moulé.
Tous les ouvrages pré-moulés seront soumis à des vibreurs, à moins de spécification contraire.
Aire de pré-moulage
L'aire dans laquelle seront effectués les travaux de pré-moulage sera propre, avec des couches d'appui fermes et de
niveau, en béton de préférence, et avec des rigoles d'écoulement entre les couches.
Lorsque les blocs pré-moulés présentent des ferraillages faisant saillie hors du béton, les moules devront, le cas
échéant, être surélevés sur des supports par rapport au niveau général de l'aire de pré-moulage.
Moules à béton
Les moules seront de construction solide, dotés de joints exécutés avec soin, parfaitement conformes aux formes
requises, les angles et surfaces devront être conçus de manière à pouvoir être facilement démontés.
Repères
Toutes les pièces devront porter, sur une face qui ne sera pas à nu dans les ouvrages permanents, la date de
fabrication et tous les chiffres ou lettres de repère éventuellement indiqués par le Maître de l'Ouvrage.
Généralités
Le compactage total du béton sera exécuté sur toute l'épaisseur des couches. Le béton devra être compacté à fond
contre les coffrages et autour des ferraillages et des couches successives devront être amalgamées avec soin.
Toutes bulles d'air se formant au cours du malaxage devront être éliminées et le compactage sur sucrases en
pente devra être exécuté avec un soin particulier.
A moins d'instructions contraires communiquées par le Maître de l'Ouvrage, des vibrateurs à aiguilles automatiques
seront appliqués de manière à assurer un compactage optimal et uniforme du béton. Il faudra éviter des
vibrations trop importantes risquant d'entraîner une ségrégation, un suintement en surface ou des fuites hors du
coffrage. Les vibrateurs à l'immersion devront être retirés doucement afin d'empêcher toute formation de
poches d'air. Les vibrateurs ne devront pas être utilisés pour compacter le béton contre les coffrages et leur
utilisation ne devra entraîner aucun risque d'endommagement des coffrages ou d'autres parties des ouvrages,
ni de déplacement des ferraillages. L'utilisation des vibrateurs externes sera interdite, sauf avec autorisation du
Maître d'Oeuvre.
Vibration interne
Les vibreurs devront présenter des dimensions telles qu'ils puissent pénétrer dans les parois des moules où cela aura été
prévu de façon à pouvoir agir sur la totalité du béton, compte tenu de leur rayon d'action.
Un vibreur ne sera jamais employé à étaler le béton ou le pousser dans les angles du coffrage.
L'épaisseur des couches à vibrer sera au plus égale à quarante cinq centimètres. Lorsque l'épaisseur du béton à
mettre en place dans la phase de bétonnage en cause est au plus égale à trente centimètres ce béton sera
en place en une seule couche.
La superposition d'une couche de béton frais à une couche déjà mise en place ne sera pas considérée comme une
reprise si cette dernière couche peut être vibrée à nouveau (on pourra généralement reconnaître qu'il en est
ainsi jusqu'à ce que l'aiguille d'un vibreur pénètre sans difficulté dans cette couche et que son logement se
referme lors de son enlèvement). Dans ce cas, il conviendra en vibrant la nouvelle couche de faire pénétrer les
vibreurs dans la couche inférieure. Si la couche déjà mise en place n'est pas susceptible d'être vibrée à
nouveau, la superposition d'une couche de béton frais à la première sera traitée comme une reprise sur béton
durci.
Vibration superficielle
L'épaisseur des couches serrées par vibration superficielle au moyen de dames, règles ou taloches vibrantes sera
limitée à vingt centimètres. La vibration sera poursuivie en chaque emplacement d'appareil jusqu'à reflux du
mortier sur les bords et par les jours éventuels de son plateau. Les emplacements successifs d'un appareil
devront se chevaucher.
Reprises de bétonnage
Le tracé des lignes de reprise de bétonnage disposées sur les plans d'exécution acceptés par le Maître d'œuvre sera
matérialisé au moyen de règles provisoirement fixées au coffrage, sur lesquelles on arrêtera le béton mis en
place en premier lieu, et qui seront enlevés avant ou après la mise en place du béton de seconde phase.
Dans les sections horizontales, et à chaque reprise sur béton durci, la surface de l'ancien béton sera repiquée et
nettoyée à vif. Ce nettoyage sera parachevé à l'air comprimé. La surface de reprise sera mouillée longuement
et abondamment de façon que l'ancien béton soit saturé avant d'être mis en contact avec le béton frais.
Cependant, sa surface ne devra ni être ruisselante ni retenir des flaques d'eau. L'élimination d'eau en excès
sera assurée par l'air comprimé.
La première couche de béton frais coulé ne devra pas dépasser 15 cm d'épaisseur et devra être compactée avec un
soin particulier afin d'assurer une bonne adhésion.
En ce qui concerne les sections verticales, le béton non terminé devra être fini avec une surface propre, puis on le
laissera sécher durant 24 heures avant de couler une autre couche de béton.
Il faudra alors débarrasser la surface de toutes particules non adhérentes et de tous corps étrangers et suintement
pouvant exiger la dépose temporaire du coffrage avant le coulage du reste du béton.
La pose de faibles épaisseurs, dalles de sol par exemple, en deux couches ne sera autorisée que si spécifiée ou
commandée par le Maître de l'Ouvrage.
4.4.2. GRANULARITE
Les tolérances sur le refus et le tamisât sur les passoires ou tamis qui définissent chaque classe granulaire seront égales
à 10% en poids.
La granularité des sables sera telle que la courbe représentative de leur analyse granulométrique soit contenue à
l'intérieur du fuseau suivant (tolérances comprises) :
Tamisât
Tamis
% du poids total du sable
Module Maille en mm Minimum Maximum
38 5 100 -
35 2,5 85 95
32 1,25 65 85
29 0,635 40 30
26 0,315 20 30
23 0,16 5 10
4.4.3. PROPRETE
L'équivalent de sable des granulats fins devra être de 80 au minimum et de 95 au maximum. La quantité d'éléments
très fins tels que vase, argile alcali, schiste, felds path, mica ou matière organique susceptible d'être éliminée
par décantation déterminée conformément aux dispositions de l'article 244 de la norme AFNOR P 18301 ne
devra pas dépasser 2%. Les sables devront avoir une teneur en calcaire inférieure à 30%.
4.4.4. STOCKAGE
Chaque catégorie de sable sera stockée séparément de manière à ne pouvoir se mélanger.
Les aires de stockage seront drainées et revêtues d'une couche de béton de dix centimètres d'épaisseur au dosage
de 150 kg/m3.
Toutes les précautions seront prises pour empêcher les boues de s'accumuler sur les aires de stockage.
L'Entrepreneur ne pourra utiliser que des sables approvisionnés depuis au moins une semaine. En conséquence, la
capacité de stockage des différents sables devra correspondre au moins à la plus forte consommation prévue
d'une semaine de bétonnage. Cette quantité sera avisé par le maître de l’ouvrage.
4.4.5. ESSAIS
Les essais à la charge de l'Entrepreneur comporteront :
Une mesure de l'équivalent de sable par deux cent (200) mètres cubes de sables (Processus AFNOR) avec une mesure
au moins par mois d'activité de chantier.
Un contrôle de granularité par deux cent (200) mètres cubes de sable (Processus AFNOR) avec un essai au moins par
mois d'activité du chantier.
Des mesures de la teneur en calcaire à raison d'une série d'essais par nature de matériaux (Processus LCPC).
4.4.6. RECEPTION
En cas de résultat négatif d'un essai effectué en application du paragraphe précédent, le Maître d'Oeuvre fera
procéder aux frais de l'Entrepreneur à deux contre-essais. Si le résultat de l'un d'entre eux n'est pas satisfaisant,
les matériaux correspondants seront rejetés. Dans le cas contraire, ils seront acceptés.
4.5.2. DURETE
La dureté des granulats sera définie à partir du coefficient Deval ou du coefficient Los Angeles qui seront
respectivement supérieurs à 10 et, inférieur à 25.
4.5.3. GRANULARITE
Les seuils de granularité des granulats pour béton sont les suivants :
Inférieur Supérieur
Béton (tamis : mm) 5 20
Le poids des granulats retenus sur le tamis correspondant au seuil supérieur et le poids des granulats passant à travers
le tamis correspondant au seuil inférieur seront l'un et l'autre inférieur à dix (10) pour cent du poids initial soumis
au criblage.
En outre, la granularité des granulats devra être contenue dans le fuseau proposé par l'Entrepreneur après son étude
granulométrique de composition des bétons et agréé par le Maître d'Oeuvre.
4.5.4. PROPRETE
La proportion maximale de matières organiques susceptibles d'être éliminées par décantation suivant le processus de
la norme AFNOR NFP 18301 ne devra pas dépasser un (1) pour cent.
4.5.5. STOCKAGE
La constitution des aires de stockage et les précautions à prendre sont identiques à celles du stockage du sable. Les
granulats moyens et gros seront stockés en lots séparés.
L'Entrepreneur ne pourra utiliser que des granulats approvisionnés depuis au moins deux (2) jours. Il indiquera alors au
Maître d'Oeuvre les possibilités de stockage des différents granulats qu'il envisage d'installer compte tenu des
cadences maximales de bétonnage prévues au programme des travaux.
4.5.6. ESSAIS
Les essais à la charge de l'Entrepreneur comprendront :
Une analyse granulométrique (Processus AFNOR) par 300 m3
Un essai de propreté (Processus AFNOR) par 300 m3.
Une série d'essai Deval (Processus LCPC) par nature de matériaux.
4.5.7. RECEPTION
En cas de résultat négatif, les contre-essais se dérouleront de manière analogue que pour les sables.
Pour chaque lot réceptionné, l'Entrepreneur fera les prélèvements pour les essais suivants :
Temps de prise (NT : 47.11) un essai
Expansion à froid (NT : 47.12) trois essais
Expansion à chaud (NT : 47.12) trois essais
Essai de retrait dans l'air (NT : 47.13) trois essais
Essai de fissurabilité (NFP 15 434) deux essais
Essai de rupture par traction et compres (NT 47.14) trois essais
Les résultats de ces essais doivent être communiqués au Maître d'Oeuvre dans les soixante douze heures qui suivent les
prélèvements et en tout état de cause avant l'emploi des ciments.
Si le résultat des épreuves est favorable, la réception sera prononcée. Si les résultats sont défavorables, le lot de
ciment sera rebuté et enlevé des lieux de stockage.
En principe, le lot en cours d'emploi sera le plus ancien parmi les lots reconnus satisfaisants.
4.9.4 STOCKAGE
Tous les fers et treillis à armature seront stockés sur le chantier et reposeront sur des supports en bois ou en béton
convenablement espacés et suffisamment levés pour que l'acier ne soit pas en contact avec le sol. Les aciers
à haute résistance à la rupture seront stockés sous abri.
4.9.5. ESSAIS
Une série d'essais à la charge de l'Entrepreneur pourra être demandée par le Maître d'Oeuvre afin de contrôler leur
conformité. Ils seront exécutés suivant les prescriptions suivantes :
NFA 03.002 Mode de prélèvement
NFA 03.101 Essai de traction
NFA 03.107 Essai de pliage à 180°
Essai de pliage-dépliage.
Des procès verbaux d'usine pourront éventuellement être exigés par le Maître de l'Ouvrage.
Les lots n'ayant pas satisfait les prescriptions seront enlevés du chantier.
4.9.6. NETTOYAGE
Tous les aciers de ferraillages seront nettoyés à fond avant inclusion dans les ouvrages, par élimination de la calamine
au marteau, grattage et brossage à la brosse métallique pour enlever toutes traces de rouille et corps
étrangers nuisibles. Après ces traitements, l'acier devra demeurer dans les limites de poids spécifiés. L'acier ne
devra être enduit d'aucune graisse, huile peinture ou agent de conservation.
4.9.7. FAÇONNAGE
Les armatures seront façonnées de façon à présenter exactement les longueurs et les formes prévues par les dessins
d'exécution. Les abouts des armatures en acier doux longitudinales seront retournés en demi-cercle dont le
diamètre intérieur sera égal à 5 fois celui des armatures. Ils seront arrêtés au delà de ce diamètre à une
distance au moins égale à 3 fois le diamètre des armatures. Ces dernières seront cintrées et coupées à froid. Le
cintrage devra être entièrement conforme aux exigences de la norme appropriée et sera complètement
terminé avant le positionnement dans les ouvrages. Aucun chauffage ni soudage ne sera autorisé.
Pour les aciers mi-durs, le cintrage sera effectué avec un mandrin à vitesse limitée.
En aucun cas, l'Entrepreneur ne devra redresser ou plier les barres à haute adhérence.
4.9.10. RECEPTION
Les aciers seront exempts de tous défauts préjudiciables à leur résistance.
Ils seront livrés par un producteur agréé qui garantira la qualité de la production.
L'Entrepreneur devra fournir au Maître d'Oeuvre tous les certificats authentifiant l'origine et la classe des aciers
approvisionnés.
Les ronds lisses de diamètres au plus égal de 6 mm pourront être acceptés en couronnes de diamètre minimum de 2
mètres.
Les armatures à haute adhérence seront approvisionnées en barres de 12 mètres de longueur minimale.
4.10. COFFRAGES
Les bois de coffrage seront en sapin équarri à arêtes vives. Les bois pour blindages, échafaudage et supports seront
choisis dans le cadre des prescriptions de la norme NF B 52.001 et dans les catégories correspondantes aux
contraintes calculées.
Les panneaux de contre-plaqué pour parement fin seront du type à imprégnation spéciale pour béton, leur épaisseur
minimum sera de 15 mm.
La construction des coffrages, définie compte-tenu de la qualité des parements à obtenir, dépendra de leur
emplacement et de la nature des finitions envisagées.
Les coffrages seront d'une qualité et d'une résistance permettant de maintenir une rigidité nécessaire durant le
coulage, le compactage, la vibration et la prise du béton conformément aux positions, formes et niveaux, soit
à partir des niveaux et côtes indiqués sur les plans ou comme prescrit dans la spécification appropriée. Si l'on
utilise des coffrages en bois, les bois utilisés devront être sans défaut, bien séchés et sans nœuds risquant de se
détacher.
Les ouvrages inclinés, dont l'angle avec l'horizontale serait supérieur à 35°, seront coffrés en partie haute.
Tous les joints devront être suffisamment étanches pour empêcher les fuites de mortier. En cas de mouvement ou
d'affaissement des coffrages ou de perte de mortier, et si le Maître de l'Ouvrage le décide ainsi, l'Entrepreneur
découpera et remplacera à ses propres frais le béton supporté par ces coffrages.
En ce qui concerne toutes les faces exposées au regard ou aux liquides, le coffrage sera construit ou revêtu du contre-
plaqué ou autre matière approuvée, afin d'obtenir des surfaces intérieures uniformes, planes et sans
irrégularités.
Pour toutes les autres surfaces, sauf celles qui sont posées contre des structures existantes, on pourra utiliser des
coffrages plus rudimentaires en bois ordinaire scié.
Les surfaces intérieures des coffrages seront nettoyées et enduites d'huile de coffrage appropriée, sauf contre
indication, en prenant soin d'éviter toute contamination des ferraillages.
Sur les structures à nu, il faudra tenir compte de la possibilité d'un fléchissement éventuel des membrures sous des
charges statiques ou mobiles. Dans ce cas, il y aura lieu de pré-cintrer le coffrage selon le fléchissement
maximal anticipé des membrures en question.
Toutes les parties d'ouvrages en superstructures dont les coffrages seront déplacés en cours de bétonnage seront
démolies et refaites.
Tout ragréage est interdit, sauf dérogation particulière à présenter au Maître de l'Ouvrage. Dans ce cas, les ragréages
seront exécutés aux frais et à la charge de l'Entrepreneur suivant une procédure à soumettre au Maître de
l'Ouvrage.
L'Entrepreneur devra mettre en oeuvre des quantités suffisantes de coffrage, compte tenu du rythme imposé par les
délais d'exécution. Le Maître de l'Ouvrage pourra imposer d'augmenter ces quantités s'il est constaté que le
planning de bétonnage n'est pas respecté.
4.10.1. ENTRETOISEMENTS
Lorsqu'il y a lieu d'utiliser des tirants et entretoises intérieurs, leur type, espacement et utilisation devront être approuvés
par le Maître de l'Ouvrage. Aucune partie de ces tirants ou entretoises devant demeurer noyée en
permanence dans le béton ne devra à plus de 50 mm de la surface de finition du béton. Les ligatures de fil
faisant saillie à travers la face du béton sont prohibées.
TEMPS MODERE
DESIGNATION
(JOURS)
Dalles (les étais demeurent) 3
Soffites (les étais
7
demeurent)
Etais de dalles 21
Etais de poutres 21
Par temps froid, un accord préalable à propos des délais de dépose de coffrage doit être établi avec le Maître
d'Oeuvre.
Après dépose des coffrages, toutes les saillies et projections seront éliminées du béton, sur les surfaces à nu des
ouvrages permanents et, si ces surfaces nécessitent un apprêt, celui-ci sera conforme aux normes appropriées.
Le revêtement au mortier du béton défectueux sera prohibé sauf en cas de faible porosité superficielle, cas dans
lequel le Maître de l'Ouvrage pourra, s'il le désire, autoriser un traitement superficiel consistant à passer un
enduit de ponçage au mortier de ciment possédant le même rapport agrégats fins/ciment que le béton. Ce
traitement devra être appliqué dès le décoffrage.
Le béton présentant des alvéoles, grosses poches d'air ou défauts semblables sera découpé et remplacé aux frais de
l'Entrepreneur, selon les instructions du Maître de l'Ouvrage. Il ne sera procédé à aucune réparation sans le
consentement du Maître de l'Ouvrage.
Toutes les arêtes de béton à nu seront chanfreinées systématiquement sur 25 mm.
5.2. ARBRES
L’entrepreneur est tenu de conserver tous les arbres se situant dans le terrain ou à proximité.
Si le maître de l’ouvrage juge que les conditions du chantier le nécessitent, l’entrepreneur est tenu de :
Protéger les arbres aux frais de l'entrepreneur.
Abattre les arbres sur avis écrit du maître de l’ouvrage aux frais de l'entrepreneur.
Les arbres endommagés seront remplacés aux frais de l'entrepreneur, en fin des travaux.
5.3. DEBOISEMENT
Dans tous les cas, les arbres ne seront abattus qu'après accord du maître d’œuvre.
Les arbres restent la propriété du maître de l’ouvrage, l'ébranchage et l'évacuation des branches sont à la charge de
l'entreprise titulaire.
Les grumes seront stockées à un emplacement prévu par le représentant du maître d’œuvre, pour être vendues
ultérieurement.
5.4. DESSOUCHAGE
Il comprend l'arrachage, le débitage et l'évacuation des souches à la convenance de l'entrepreneur.
5.4.1. DEBROUSSAILLEMENT
Il comprend l'enlèvement de toutes les broussailles, végétations, ligneuses, taillis et arbustes ainsi que l'arrachage des
racines.
Les produits enlevés seront évacués hors du chantier, à la convenance de l'entrepreneur.
ARTICLE 6 - TERRASSEMENTS.
6.1. TERRASSEMENTS GENERAUX
Ils seront réalisés au titre du présent lot. Les niveaux à atteindre après travaux sur l'emprise des bâtiments sont
mentionnés sur le plan.
Il est interdit à l'Entrepreneur de commencer les maçonneries et bétons sans en avoir reçu l'autorisation du Maître
d'Ouvrage, après vérification du fond de la fouille et faire l'objet d'un constat signé des deux parties.
6.3. FOUILLES
Elles seront exécutées conformément au chapitre I du DTU N° 12.
La nature des terrains dans lesquels seront exécutées les fouilles est exposée dans l'étude géotechnique jointe au
dossier de consultation des entreprises.
L'exécution des fouilles sera considérée au forfait.
6.6. REMBLAIEMENTS
Les sols seront débarrassés de tout ce qui pourrait nuire à la liaison du terrain en place avec les remblais : racines,
souches d'arbres, terre végétale,....
Les matériaux pour remblais proviendront des déblais; ils ne devront pas contenir de produits incompatibles tels que
débris animaux et végétaux, détritus et gravois, objets métalliques,....
Les matériaux pour remblais seront constitués de matériaux d'apport convenant à cet usage.
Les matériaux entourant les câbles et canalisations seront constitués de sables ou matériaux graveleux apportés et mis
en oeuvre conformément à l'article 5.421 du DTU N° 12.
Les remblais seront méthodiquement compactés avec les moyens adaptés en fonction des ouvrages situés à
proximité.
Les zones mentionnées sur le(s) plan(s) par des hachures de végétations seront recouvertes de terre végétale sur une
épaisseur jugée nécessaire par le maître de l’ouvrage.
7.2. PRECHARGEMENT
Selon les prescriptions de l'étude géotechnique jointe en annexe.
ARTICLE 8 - FONDATIONS
8.1. ETUDE DE SOL
Une étude de sol est fournie à l'entrepreneur à titre indicatif. L'entrepreneur étant responsable de la stabilité de
l'ouvrage il peut à l'ouverture des fouilles :
accepter les conclusions de cette étude; L’acceptation sera considérée comme acquise dès que
l'entrepreneur aura entamé l’exécution des fondations.
faire exécuter une nouvelle étude aux frais du maître de l’ouvrage;. Le bureau d'étude devra être qualifié et
accepté par le maître d’œuvre. Les méthodes d'investigation devront être agréées par le maître d’œuvre.
L'entrepreneur préviendra le maître d’œuvre suffisamment à l'avance des périodes d'exécution des opérations.
Les résultats de l'étude géotechniques devront être acceptés par le maître d’œuvre avant l’exécution des fondations.
Elémentaire Pas de spécification particulière Pas de spécification particulière Pas de spécification particulière
Ordinaire 15 mm 6 mm Uniforme et homogène Nids de cailloux ou zones sableuses
ragréés Balèvres affleurées par meulage Surface individuelle des
bulles inférieures à 3 cm2, profondeur inférieure à 5 mm
Courant 7 mm 2 mm
Etendue maxi male des nuages de bulles 25% Arêtes et cueillies
rectifiées et dressées
Soigné Identiques au parement courant l'étendue des nuages de bulles
5 mm 2 mm
étant ramenée à 10%
10.2. POUTRES
Ils seront réalisés en béton armé; les sections portées sur les plans seront respectées.
L’entrepreneur devra faire soigner les aspects de surface des poutres : courant ou plus soigné.
10.2.1. LONGRINES
En béton armé, réalisées en place, mises en place dans les cas suivants :
L'arrêt ou le support de dallage intérieur.
Le support de voiles non fondés ou de bardage.
Besoins de redressement dans le cas de semelles excentrées
11.1.1. CHAINAGES
Les chaînages verticaux seront réalisés conformément aux prescriptions des DTU 20.1 et 23.1
11.1.2. RESERVATIONS
Les réservations sont dues au titre du présent lot.
11.1.3. FORMES
Les formes seront monolithes en béton armé et adhérentes à l'élément porteur.
11.1.4. ACROTERES
Ils seront de type acrotère bas en béton armé conformément aux plans et avis du maître de l’œuvre.
11.1.5. RAVOIRAGE
Les niveaux seront rattrapés par ravoirage constitué ainsi :
En mortier maigre dosé à 150 kg de ciment par mètre cube.
Les épaisseurs permettront les mises à niveaux mentionnées sur les plans.
ARTICLE 12 - BRIQUETAGE
12.1. GENERALITES
Les briques utilisées seront exclusivement des briques cuites avec des caractéristiques de qualité conformes aux
normes (NF.P.)(13.301),(13.403), (13.404) ou aux normes locales homologuées.
Les briques doivent être bien cuites sans être vitrifiées, dures non friables, sonores, sans fêlure et sans parties siliceuses
ou calcaires, leur proposité ne doit en aucun cas dépasser 13% de leur poids, leur résistance moyenne doit être
égale ou supérieure à 15 bars.
Les travaux de briquetage doivent être conformes au DTU N°20.
Les briques seront posées à bain soufflant de mortier, (de sorte à éviter le jointoiement ultérieur) par assises réglées
horizontalement à joints croisés, le recouvrement sur l'assise inférieure étant de 0,05m au moins, les joints seront
de 0,5 à 20m. Les briques cassées, fendues ou déchaussées ne seront pas utilisées. Lorsqu'il sera nécessaire de
tailler les briques, cette opération s'effectuera par sciage. Les angles, les extrémités des trumeaux, les retours de
tableaux et d'angles seront exécutés en blocs à alvéoles verticales, ils auront un encastrement de mur vertical
à mur vertical de 0,010m au moins.
Les briques doivent être trempées dans l'eau avant leur emploi, et ce, en vu d'éviter le brûlage du mortier et parfaite
l'adhérence du joint. Deux minutes suffisent. Les briques prévues pour la protection d'éléments en béton armé
devront dans la mesure du possible être positionnée en coffrage perdu.
Le mortier de pose de toutes les maçonneries en briques sera composé comme suit :
Dosage pour 1m3 de mortier
Sable 1m3 (ne devant pas contenir d'éléments fins au-dessous de ciment 300kgs (CPA)
13.1.2. SABLES
Le sable utilisé doit être conforme à la norme NFP. (18.301).
La granulométrie du sable employé sera celle définie dans chaque catégorie de mortier.
15.1. CUVELAGES
Les types de cuvelage à réaliser dont définis comme suit :
15.5. ACROTERES
Les acrotères seront réalisés selon détails fournis, en béton B6 armé pour éléments coulés sur place avec bandeau à
becquet côté terrasse ou non selon le cas. Le dessus de l'acrotère aura une pente légère vers l'intérieur.
Les carrelages seront payés au mètre carré, sans plus value pour calpinage en damier ou autre.
15.7.6. ETANCHEITE:
La surface des chapes d'étanchéité sera mesurée à surface
apparente finie sans pluvalue pour relevés des parties
courantes.
enduit
ELABORE ET APPROUVE PAR LE LU ET APPROUVE PAR LE MAITRE LU ET ACCEPTER PAR
MAITRE DE L’ŒUVRE DE L’OUVRAGE L’ADJUDICATAIRE DU MARCHE
Les prix du présent chapitre comptés au mètre cube s’entendent à des cubes mesurés au vide des fouilles nettes de tout
talutage.
Les fouilles s’entendent à toutes profondeurs, dans toutes natures de terrain, même rocheux, y compris démolition et
dépose des anciennes fondations.
Toutes les fouilles seront exécutées dans les conditions suivantes :
Proximité des rues, voies piétonnes et mitoyens
Présence de la nappe phréatique
Les prix du présent chapitre comprendront outre ce qui est précisé dans les recommandations générales, les sujétions ci-
après :
Les épuisements des eaux de la nappe ou de tout autre origine y compris fourniture transport et mise en oeuvre
d’une couche drainante en matériaux de carrière, chemins raccordés à des puisards, pompes, tuyauteries, wells
points ou tout autre système de pompage
Les fouilles en déblai y compris manutention, chargement et transport hors chantier ou pour réutilisation des déblais
jugés sains et exempt de gypse par le M.D.O. comme remblais dans les vides non occupés par les bétons ou dans
l’emprise du chantier ;
Le nivellement très soigné des plates-formes.
Les ouvrages complémentaires, éventuels nécessaires au soutènement, blindage et étayage des parois ;
La démolition des anciens ouvrages de gros béton, de maçonnerie, de béton armé ou autres rencontrées dans
l’emprise du chantier.
Les déblais provenant des fouilles jugé sain et exempt de gypse seront répandus et damés par couche de 20cm soit
dans l’emprise du chantier ou à l’intérieur des bâtiments sous béton de propreté ou film polyane ou dans les parties
non occupées par les bétons après exécution des travaux de fondations.
Le béton pour tous les ouvrages en fondation, étanche et béton pour divers ouvrages sera compté au mètre cube de
béton mis en oeuvre sauf autres indications.
Les fouilles devront être réceptionnées par l’Ingénieur Conseil de la structure ou le représentant du bureau de contrôle
technique ou le représentant du Maître de l’Ouvrage.
Les calibres, les pourcentages et les qualités des agrégats (gravier, sable, caillasse) mis en oeuvre devront être agrées
par l’Ingénieur Conseil de la structure et le bureau de contrôle technique. Des échantillons d’agrégats seront
entreposés dans des éprouvettes dans le bureau de chantier durant toute la durée des travaux.
L’entrepreneur fournira les résultats d’analyses granulométriques (eau, sable, gravier,...) à mettre en oeuvre avant
l’exécution de tout ouvrage en fondation
N.B. Les fouilles seront décomptées suivant la section correspondante au plan d’exécution conformément au détail des
plans de béton armé. La profondeur des fouilles en puits sont à compter suivant le cas à partir du fond de fouille en
pleine masse ou de nivellement des plates formes approuvées par le maître d’œuvre ou le bureau de contrôle
technique.
Tous les travaux du présent chapitre devront être exécutés, en ce qui concerne les normes pour la qualité des matériaux,
les modalités d’exécution, les contrôles et les essais sur les matériaux conformément aux règles BAEL 91 DTU y
applicables et les règles de l’art.
Les travaux en fondation concernent les ouvrages de béton armé telle que semelles isolées, semelles filantes,
longrines, chaînages, radiers, socles, voiles périphériques ou intérieurs enterrés ou semi-enterrés, voiles pour
surélévation des bâtiments par rapport au niveau terrain naturel, pré-poteaux, caniveaux, etc...
Les calibres, les pourcentages et les qualités des agrégats (gravier, sable, caillasse) mis en oeuvre devront être
agrées par le maître d’oeuvre et le bureau de contrôle technique. Des échantillons d’agrégats seront entreposés
dans les éprouvettes dans le bureau de chantier durant toute la durée des travaux.
Les prix des ouvrages faisant partie de ce chapitre comprennent :
La mise en oeuvre avec accès à l’oeuvre à toutes profondeurs et toutes hauteurs, pour grandes et petites surfaces
droites ou courbes.
La confection transport, manutention et mise en oeuvre des bétons, ainsi que des fournitures nécessaires, y compris
les adjuvants éventuels.
Le coffrage soigné et décoffrage exécutés conformément aux dispositions réglementaires. Le coffrage perdu en
brique ou autre ne sera permis qu’après approbation de l’architecte. Ce pendant le coffrage en bois est prescrit.
La réservation, pose de fourreautage.
La vibration des bétons.
Les essais tels qu’ils sont définis dans les documents techniques.
La fourniture, le façonnage, la mise en place des aciers.
Le ragréage et rebouchage des trous.
Les obligations demandées par le bureau de contrôle technique sans plus-value.
Tous les travaux du présent chapitre devront être exécutés, en ce qui concerne les normes pour la qualité des matériaux,
les modalités d’exécution, les contrôles et les essais sur les matériaux conformément aux règles BAEL 91 DTU y
applicables et les règles de l’art.
Les ouvrages en béton armé en élévation comprennent les poteaux, poutres, portiques, voiles, raidisseurs, dalles pleines,
dalles caissons, acrotères, linteaux, parois mince, tirants, poutrelles, marquises arcs, décrochement, corniches,
consoles, paillasses, meneaux de fenêtres, comptoir, banquette, costières et couvre joints, fond et parois de
caniveau, d’une manière générale tous les ouvrages de béton armé en élévation de toutes sortes et de toutes
formes et à toutes hauteurs.
Les prix des ouvrages faisant partie de ce chapitre devront tenir compte :
La mise en oeuvre avec accès à l’œuvre à toutes profondeurs et toutes hauteurs, pour grandes et petites surfaces
droites ou courbes.
De la confection, transport manutention et mise en oeuvre des bétons, ainsi que des fournitures nécessaires, y
compris les adjuvants éventuels.
Des échafaudages, du coffrage à parement fini ou soigné, manutention, décoffrage, exécutés conformément aux
dispositions réglementaires.
De la vibration et de la pervibration des bétons.
La fourniture, le façonnage et la mise en place des aciers.
Des essais tels qu’ils sont définis dans les documents techniques.
Des incidences des réservations éventuelles, ainsi que la fourniture et pose de fourreaux (de tout type et de toutes
dimensions) incorporés dans le béton armé selon plans de réservations.
L’entrepreneur devra avant chaque coulage s’assurer auprès du maître d’œuvre de l’existence ou non des fourreaux à
poser. Les prix ci-dessous tiennent compte de toutes les sujétions nécessaires à la livraison des ouvrages de béton
armé en élévation, planchers en parfait état d’achèvement. Les prix du présent chapitre tiennent compte de la
fourniture et mise en place du polystyrène d’épaisseur 0.02m pour remplissage des joints de dilatation entre les
ouvrages en béton.
ARTICLE 4 - PLANCHERS
L’entrepreneur devra soigner le parement supérieur des dalles coulées, pour que ces dernières puissent recevoir les
éventuels traitements acoustiques, thermiques ou autres, et ceci sans avoir recours à une chape de reprofilage et de
ragréage. Dans le cas ou l’architecte juge que les dalles ne sont pas adéquates pour recevoir le traitement cité,
l’entrepreneur est tenu de faire couler, à ces frais, une chape de ragréage et de reprofilage dans les parties
indiquées par l’architecte
DESIGNATION U. Q P.U HT P.TOTAL HT
4.1. PLANCHER EN HOURDIS CERAMIQUE
Plancher en hourdis céramique, AVEC TOUTE SUJÉTIONS, y compris coffrage,
décoffrage, mise en place des hourdis, fourniture du béton dosé à
350kg/m3 de ciment CPA-45, malaxage, transport et mise en oeuvre,
réglage, pilonnage, vibration mécanique du béton, incidence des
réservations éventuelles.
4.1.1 Plancher en hourdis céramique de 19cm + chape de 6cm
M2
LE METRE CARRE : SOIXANTE HUIT DINARS
TOTAL ARTICLE 4
ARTICLE 5 – MAÇONNERIE ET BRIQUETAGE
Les épaisseurs côtés sont celles des murs, après application des enduits. le prix inclus le polyester entre joints.
Les parties en contact avec les remblais seront remplies pendant l'exécution avec le mortier même de l'ouvrage, sans
plus value et on y appliquera un enduit au mortier de ciment numéro 5 sur lequel s'appliquera une chape étanche.
Toutes les briques doivent être trempées dans l'eau avant l'emploi. Elles seront posées à joints croisés sur au moins 10
mm d'épaisseur au mortier numéro 5.
Les assises doivent être parfaitement horizontales, les plans parfaitement d'aplomb, les liaisons ou les encastrements
assurés dans tous les sens. L'emploi de briques creuses ou boutisses, ainsi que le garni à sec sont rigoureusement
interdits.
Sont inclus dans les prix unitaires ci-dessous tous les ouvrages en béton armé, tels que chaînages verticaux, raidisseurs
horizontaux linteaux noyés dans la maçonnerie et exigés par les D.T.U. et autres règlements en vigueurs et ne faisant
pas partie de la structure porteuse des bâtiments.
Tous les travaux du présent chapitre devront être exécutés conformément aux dispositions prévues au chapitre
Maçonnerie du C.C. T.P. Les prix de tous les ouvrages faisant partie de ce chapitre tiendront compte outre les
prescriptions définies ci-dessus:
De l'exécution et la mise en œuvre du mortier de pose conformément au C.C.T.P.
Des précautions à prendre, engendrées par la complémentarité des dispositions prévues au C.C. T.P.
Des dispositions et sujétions impliquées par la juxtaposition des maçonneries avec l'ossature, par le passage des
canalisations ou la pose des fourreautages.
Des dispositions à prévoir, ou nécessaires, à la pose des fourreaux et de toute pièce encastrée, scellée ou
traversant les maçonneries.
Des retours de tableaux, des trumeaux et des angles, nécessitant l'utilisation de blocs à alvéoles verticales.
NOTA: les quantités qui seront décomptées à l'entrepreneur seront celles réellement exécutées. Les surfaces
d'application résulteront du mesurage des ouvrages nus d'enduit.
En tous cas, les prix unitaires des briquetages engloberont d’une manière catégorique : les niches (collecteurs, radiateurs
et autres…), les allures, les retraits, les saillis, les nez et tous autres modes et façons de briquetage. Ces éléments
seront mesurés en mètre carré nu d’enduit et multipliés par le prix unitaire de la cloison correspondante.
TOTAL ARTICLE 5
Les prix de tous les ouvrages du présent chapitre devront en outre tenir compte:
De la préparation des supports.
Des sujétions impliquées par la juxtaposition de supports de natures différentes
De l'accès à l'ouvrage à toutes hauteurs et toutes profondeurs.
De l'exécution des joints creux de façade suivant détail de façade.
De l'exécution de tous les angles sortant en mortier de ciment dosé à 350 kg 1m3.
De l'épaisseur des enduits tel qu'ils sont définis dans le C.C.T.P ainsi que sur les différents plans et détails des
documents dessinés.
Les quantités qui seront décomptées à l'entrepreneur seront les quantités réellement exécutées mesurées de nu
des ouvrages.
Des travaux de rebouchage des saignées pour encastrement des fourreaux électrique, de plomberie sanitaire,
câble volet roulant ou tous autres fourreaux ou conduits.
ARTICLE 7 – REVETEMENTS
Tous les travaux de revêtement devront être conformes aux dispositions prévues au C.C.T.P.
Les prix de tous les ouvrages du présent chapitre devront en outre tenir compte pour les revêtements proprement dit :
De la préparation des supports.
Des mortiers de pose des revêtements.
De tous les matériaux entrant dans la composition des ouvrages finis et tels que décrit dans le C.C. T.P.
Des coupes effectuées mécaniquement, des chutes etc
De l'exécution et la pose des revêtements suivants plans de détails de calpinage.
De toutes les précautions à prendre en compte et engendrées par la complémentarité des différents articles du
C.C. T.P et notamment celles impliquées par la juxtaposition de revêtements de natures différentes et le
passage de fourreaux de pénétration.
Les quantités qui seront décomptées à l'entrepreneur seront celles réellement exécutées et mesurées suivant les
surfaces vues après achèvement de tous les corps d'état. Sont compris dans le prix unitaire de chaque article
de revêtement Ies joints entre carreaux pour grande surface en produit imputrescible SIKA ou similaire.
La fourniture des différents carreaux de revêtement est à la charge du Maître de l'ouvrage.
La fourniture des revêtements de sol et muraux sera faite par le promoteur. Le supplément de quantités pour
casse sera de 5%, la fourniture sera réceptionnée par l'entrepreneur contre décharge suite à quoi il sera
entièrement responsable des matériaux qui lui sont remis. A la fin du chantier l'entrepreneur supportera le cas
échéant la différence de prix des quantités en plus des 5% de tolérance pour casse et autre, cette différence
sera calculée sur la base du prix d'achat du promoteur, facture à l'appui.
E. REVETEMENTS DIVERS.
7.E.1. POSE DES APPUIS DE FENETRES, REVÊTEMENT SDB, MAIN COURANTE
BALCON ET ESCALIERS EN MARBRE …
Pose de tablette en marbre différentes formes et tailles, posé sur les murets ou
appuis de fenêtre au mortier de ciment dosé à 350 kg/m3 et toutes
sujétions
Le prix du présent article comprendra en outre:
La coupe conforme à la surface recevant le revêtement.
Les évidements pour passage de canalisation.
Les évidements adaptés aux appareils sanitaires à encastrer s'il y a
lieu.
ARTICLE 8 –ETANCHEITE
Tous les travaux du présent chapitre devront être conformes aux plans et détails d'exécution ainsi qu'aux prescriptions
décrites au chapitre étanchéité du CCTP
Les prix de tous les ouvrages du présent chapitre devront en outre tenir compte de tous les matériaux entrant dans la
composition des ouvrages finis, tels que décrits dans le C.C. T.P et les plans, tels que:
Accès à l'ouvrage, à toutes hauteurs et toutes profondeurs.
De l'assurance chantier couvrant la garantie décennale exigée pour tous les travaux d'étanchéité.
Tous les travaux du présent chapitre seront exécutés conformément au D.T.U. N°43 (octobre 1975) le Cahier des Charges
"Derbigum" et autres additifs en vigueur à la date de la soumission.
Les travaux objet du présent titre comprennent le pare vapeur, l'isolation thermique, les étanchéités sur terrasse et sous
les revêtements de sol, les relevés, la protection de l'étanchéité, les moignons et crapaudines et toutes sujétions.
Les travaux d'étanchéité ne peuvent être commencés qu'après approbation par le Représentant du Maître de
l'Ouvrage, l'Architecte et le Représentant du Bureau de Contrôle, de la qualité des produits approvisionnés. Cette
approbation ne diminue en rien la responsabilité de l'Entrepreneur.
Le Maître de l'Oeuvre et le Représentant du Maître de l'Ouvrage peuvent à tout moment prélever en présence de
l'Entrepreneur ou son Représentant des échantillons de matériaux entrant dans la composition de la chape
étanche. Le Maître de l'Oeuvre ou le Représentant du Maître de l'Ouvrage peut s'il le juge utile, faire découper
des échantillons du complexe de 0.20 x 0.20m de côté pour analyses et essais au laboratoire aux frais et à la
charge de l'Entrepreneur. L'obturation du Complexe étanche est effectuée par l'Entrepreneur de l'étanchéité et à
ses frais, immédiatement après les prélèvements.
Après achèvement des travaux (chape d'étanchéité, protection, évacuation) il sera procédé aux épreuves d'étanchéité
des terrasses. A cet effet, les terrasses seront inondées dans la limite des surfaces imposées et sur une hauteur telle
que la nappe d'eau, soit à 3cm du niveau des engravures. Cette eau sera laissée en place pendant 48 heures. Il
ne devra être constaté aucune fuite ou trace d'humidité dans les plafonds sus jacents ou à l'extérieur des
acrotères. Les frais d'essai et d'épreuve de toute nature sont à la charge de l'Entrepreneur et notamment la
fourniture, l'amenée de l'eau et le bouchage des ouvertures, telles que par gargouilles, dauphine, pipettes,
chutes ou autres.
L'Entrepreneur d'étanchéité s'engage à garantir le Maître d'Ouvrage pendant une durée de dix ans (10 ans) à partir de la
réception provisoire du présent lot, contre toutes avaries, défauts, vices de fonctionnement des chapes étanches,
protections et évacuations. La réception provisoire du bâtiment ne sera prononcée qu'après la remise au Maître
d'Ouvrage de l'engagement de l'Entrepreneur spécialiste de l'étanchéité qui sera mentionné dans le procès
verbal de réception.
Les travaux de mis en œuvre des différents types d'étanchéité seront exécutés conformément au contenu du Bordereau
des Prix et aux Prescriptions du fabricant du D.T.U. et du Bureau de Contrôle.
L'entrepreneur ne peut se prévaloir d'une majoration de ses prix unitaires pour les instructions ou les observations faites
par le Bureau de Contrôle désigné.
DESIGNATION U. Q P.U HT P.TOTAL HT
8.1. ETANCHEITE SOUS REVETEMENTS INTERIEURS (SDB,SDE)
Etanchéité en monocouche sous revêtements de sols (salle d'eau, salle de
Bain, séchoirs et cuisine) en DERBIGUM SP4 mm y compris débordement de 30
cm de côté des cloisons et de 10 cm de côté des portes. Y COMPRIS
Fourniture et exécution d’une chape de ragréage et de reprofilage
pour support de sol mince recevant étanchéité sous carrelage, d’une
épaisseur de 1cm pour resurfacer une finition de dalle médiocre, y
compris piquage à vif des surfaces nettoyage à l’air comprimé, et
nettoyage des tâches grasses, brossage jusqu’à raturation badigeon
d’imprégnation à la brosse,exécution d’une barbotine au mortier
spécial, application après prise d’une chape de dressage, protection
de la chape terminée, dosage des mortiers selon les prescriptions du
fournisseur et toutes sujétions.
La surface décomptée sera celle du local sans plu value pour relevé des
parties courantes.
LE METRE CARRE : DIX SEPT DINARS M2
8.2. ETANCHEITE DES TERRASSES ACCESSIBLES (BALCON)
Etanchéité sur terrasse par application à la brosse après dilution à l'eau(1
volume d'émulsion pour ½ volume d'eau) d'une émulsion bitumineuse
à raison de 300 gr/m2, et pose d'un monocouche de 4 mm, (système
approuvé par les concepteurs et le bureau de contrôle) composé
d'une double armature en voile de verre et polyester non tissé
enrobée dans un mélange de bitume fluidifié, pose en adhérence par
soudure à la flamme, compris traitement en sandwich des platines en
plomb pour DEP toutes fournitures, mise en œuvre et toutes sujétions.
LE METRE CARRE : DIX SEPT DINARS
M2
8.3. ETANCHEITE DES TERRASSES INACCESSIBLES
L’étanchéité sur terrasses inaccessibles est constituée par (1 volume
d'émulsion pour ½ volume d'eau) d'une émulsion
bitumineuse type DERBIGUM, émulsion à raison de 300g/m2,
pose d’une monocouche préfabriquée auto protégée type
Chebidex SP4 composé d'une double armature en voile de
verre et polyester non tissé. Enrobé dans un mélange de
bitume modifié, posé en adhérence par soudure à la flamme
compris traitement en sandwiche des platines en plomb des
D.E.P. toutes fournitures et toutes sujétions.
Le prix du présent article comprend le relevé d'étanchéité en monocouche
préfabriqué DERBIGUM SP4 mm système approuvé par l’architecte et
le bureau de contrôle, exécuté et mis en œuvre jusqu'au nez
d'acrotère conformément aux prescriptions techniques du fabriquant,
aux détails approuvés compris support en enduit de ciment dosé à
400 kg/m3 et toutes sujétions.
Le mesurage des quantités d’étanchéités sera égal à la surface horizontale
apparente après tous travaux exécutés (tous les intervenants inclus)
LE METRE CARRE : VINGT DEUX DINARS M2
8.4. SOLIN GRILLAGE POUR PROTECTION DES RELEVES
Solin au mortier de ciment dosé à 350 kg/m3 de 0,03 à 0,04 d'épaisseur
moyenne de 0,25 de hauteur moyenne, armé d'un grillage métallique,
compris engravure de 0,02*0,02 goutte pendante, compris joint tous
les mètres, fournitures, mise en œuvre et toutes sujétions.
LE METRE LINEAIRE :TREIZE DINARS CINQ CENT MILLIMES ml
TOTAL ARTICLE 8
ARTICLE 10 – ASSAINISSEMENT
DESIGNATION
U. Q P.U HT P.TOTAL HT
10.1. CONDUITE EN PVC TYPE ONAS
Fourniture et pose de conduite en PVC type assainissement y compris fouilles,
remblais, enrobage compris assemblage, coudes et toutes sujétions.
10.1.1. conduite diamètre 160
LE METRE LINEAIRE : VINGT DEUX DINARS ml
10.1.2. conduite diamètre 250
LE METRE LINEAIRE :QUARANTE DEUX DINARS ml
10.1.3. REGARD SIPHOIDE 50 X 50 X HV
L’UNITE : DEUX CENT TRENTE DINARS U
10.2. REGARD DE VISITE INTERIEUR 60 X 60 X 70
Exécution et mise en eau de regard de visite de profondeur maximale de
1,20m comprenant déblais, radier en béton de 0.20m dosé à 250kg de
ciment/m3 parois en béton armé, posées à plat et hourdées au mortier
de ciment numéro 7, angles arrondis cornières en acier de 50 x 50 à ailes
égales, posée tout autour du regard et formant feuillure pour recevoir un
tampon hermétique de 10cm d’épaisseur, tampon préalablement armé
coulé et vibré dans le cadre en cornière de 50 x 50, muni d’un anneau
en acier galvanisé, l’ensemble présentant une surface visible pouvant
recevoir un revêtement de sol y compris fouilles, remblais, raccordements
aux canalisations forme des canaux et toutes sujétions.
L’UNITE : CENT VINGT CINQ DINARS U
10.3. REGARD DE VISITE CIRCULAIRE DE DIAMETRE 80 AVEC TAMPON SERIE
LOURDE
Regard de visite extérieur de diamètre 80 et de profondeur variable exécuté
et mis en œuvre conformément aux dispositions du C.C. T.P. y compris la
fourniture et la pose d'un tampon en fonte alvéolaire, enduit lisse
étanche dosé à 400 kg/m3 et toutes sujétions.
L’UNITE : HUIT CENT DINARS U
TOTAL ARTICLE 10
01 TERRASSEMENTS ET FONDATIONS
04 PLANCHERS
05 MACONNERIE ET BRIQUETAGE
06 LES ENDUITS
07 REVETEMENTS
08 ETANCHEITE
09 FORME ET RAVALEMENT
10 ASSAINISSEMENT
11 OUVRAGES DIVERS
12 AMÉNAGEMENT EXTÉRIEUR
13 GRATTAGE ET DEMOLITION
TOTAL HTVA
Remise 10%
Total net de remise HTVA
TVA18%
TOTAL TTC
SOUMISSION
ACTE D’ENGAGEMENT
Je soussigné....................................................................................................……………………..................……
Agissant en vertu des pouvoirs qui me sont conférés au nom et pour le compte de
l'Entreprise.........................................................................................................……………………..............…….
Faisant élection de domicile à……………………………………….……………..................................................
…………………………….………….tel.:………………..…...…………..……fax. :………………..………..………….
N° du registre de commerce…………………………………………….Lieu………………………………….………
Matricule T.V.A. ..........................................…………………………………………………................………………
Numéro de la C.N.S.S.………………………………………………………………..………………….……….………
Après avoir pris connaissance de toutes les pièces du marché relatives aux travaux de génie civil du
projet de Construction des villas jumelées sise à la soukra, propriété Sté de promotion immobilière
“LES AIGLES ARABES“
Dossier comprenant les documents suivants :
Le Bordereau des prix.
Le Cahier des Clauses Administratives Particulières (C.C.A.P).
Le Cahier des Clauses techniques Particulières (C.C.T.P).
Les plans d’exécution relatifs au présent lot.
Après m'être personnellement rendu compte des conditions dans lesquelles devront être exécutés les
travaux et après avoir apprécié à mon avis et sous ma responsabilité la nature et les difficultés des
travaux à exécuter.
Me soumets et m'engage à exécuter les travaux conformément aux règles de l'art et aux conditions du
dossier d'Appel d'Offres du Projet moyennant les prix unitaires fermes et non révisables établis par
moi-même pour chaque unité d'Ouvrage dans le Bordereau des Prix. Et ce dans un délai de ….
mois ……. jours)
Dont j’ai arrêté le montant à la somme du lot suivant :
SECOND OEUVRE: « T.T.C. »
(en chiffres)……………………………………………………………………………………
(en toutes lettres)....................................…………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………
Certifie que le bordereau des prix, détail Estimatif et le sous-détail des prix joints à ma soumission sont
corrects.
Je joins à la présente soumission le sous-détail de prix et le bordereau des prix ainsi que les pièces
demandées au Cahier des Charges.
L’Administration peut écarter mon offre au cas où une de mes pièces viendrait à manquer et au cas où
les dispositions des articles du marché ne seraient pas rigoureusement respectées par moi-même.
Je m'engage à respecter le planning général des travaux établi pour le Maître d'Ouvrage et assurer la
réalisation des travaux qui me seront confiés en fonction des travaux des autres corps d'état.
Je m'engage à commencer les travaux dans les délais prescrits dans l'ordre de Service.
Je reconnais avoir reçu, lu et approuvé une copie du Cahier des Clauses Techniques et Administratives
afférentes à ce marché ainsi que toutes les pièces constitutives du marché..
J'affirme, sous peine de résiliation de plein droit du marché, à mes torts exclusifs (ou aux torts exclusifs de
l'entreprise) que je ne tombe pas (ou que ladite Société ne tombe pas) sous le coup d'interdictions
légales édictées en Tunisie.
Cachet et Signature