Vous êtes sur la page 1sur 14

Sociologie 

:
 Il ne suffit pas de naitre un enfant humain pour en devenir un. Il faut que l’être humain
soit entraine donc socialise pour capte les comportements humains.
Donc quand on nait on est un être humain.
Quand on est socialise on devient un acteur sociale.

Inné : tout les éléments déterminé Acquis : Tout ce qui n’est pas rattache a
biologiquement des la naissance de l’individu par nature, mais qu’il a intégré au
l’individu. court de sa vie, qui relève de la culture. Ils
Ex  : couleur des yeux / certain besoin dépendent dans laquelle on vit.
comme dormir. Ex  : la manière de dormir est différente selon
les sociétés à laquelle elle appartient.

Manger est un besoin inné mais la façon de manger dépend da la société à laquelle on
appartient (assiette, fourchette, couteau, mangé avec ses doigts)

Valeur : principes, Norme : Règle explicites Rôles : comportement


idéaux, partages par les (formelles ou juridique. Ex  : attendus des individus en
membres d’un groupe. loi ne pas tricher, ne pas fonction de leurs statues.
Ex  : la propreté. voler) ou implicites Ex  : rôle de la mère.
(formelles ou sociales. Ex  :
dire pardon, dire bonjour, ne
pas couper la parole …) qui
fondent les conduites.
Donc se sont des règles que
l’individu doit respecter sous
peine ou sanction.

Forme la culture

En fonction des valeurs qui règnent dans une société, un certain nombre de règles
apparaissent qui corresponde à ces valeurs. Donc les valeurs renvoient à des
normes.
Ex : - La politesse (valeur)  dire bonjours, dire pardon (norme).
- L’honnêteté (valeur)  ne pas tricher, ne pas voler (normes).
Socialisation : Processus d’intériorisation des normes, valeurs, rôles sociaux qui dure au
tout long de sa vie.// Elle permet d’intégrer les individus dans la société par l’apprentissage
des normes, valeurs, rôles sociaux. (Pour qu’ils puissent vivre dans la société)

Socialisation primaire : socialisation qui a eu lieu pendant l’enfance.

Socialisation secondaire : socialisation qui se déroule a l’âge adulte.

Intériorisation : c’est quand l’acquisition va être oublie par l’individu (l’individu oublie le
processus d’apprentissage). L’individu, va tendre à penser que ses comportements sont
normaux, naturels. Les habitudes deviennent ancrées en lui, il n’a pas besoin de penser à la
manière dont il doit se comporter.
Ex :pour dormir on ne réfléchit pas qu’on va être en position allongée alors que d’autres
positions de sommeil sont possibles dans d’autres sociétés.

3 manières d’intérioriser les valeurs et les normes  :

Imprégnation/Imitation/id Interaction : L’échange Inculcation/Injonction :


entification: Les normes, les permet la transmission des Les normes, les valeurs et
valeurs et les rôles sont normes, valeurs et rôles : les rôles sont formellement
transmis silencieusement Ex : apprendre de ses erreurs prescrits et leur non-
(inconsciemment), on copie (l’individu interagit avec son respect est sanctionné (Elle
les comportements des environnement). consiste à obliger,
adultes: Ex  :le gout contraindre l’enfant à
pour la cuisine est transmis (L’apprentissage des valeurs adopter des
en observant ses parents et des normes par le biais comportements par le biais
faire la cuisine d’essais ou d’erreurs) de l’autorité et les sanctions
négatives) Ex : ne
(On imite le comportement pas être autorisé à sortir
de quelqu’un d’autre) après 22h (on reçoit des
ordres).

Ce sont les modalités de socialisation qui permettent de construire la personnalité de


l’individu.

 Les différentes instances de socialisation présentées dans ce schéma sont la famille,


l’école, le groupe de pairs et les médias.

Groupe de pairs: personnes d’âge équivalent fréquentant les mêmes lieux (écoles,
quartiers, etc.) ou partageant des loisirs similaires.

instances de socialisation (ou agents de socialisation : l’ensemble de groupes ou


institutions qui participent au processus de socialisation de l’individu.

Exemple d’apprentissage de règles dans la famille : les manières de table.

Exemple d’apprentissage de règles à l’école : lever la main pour prendre la parole.


. Exemple :la politesse (valeur) à dire bonjour (norme).

L’honnêteté (valeur) à ne pas tricher (norme).

Remarque : La socialisation secondaire vient compléter


la socialisation primaire, elle peut être en continuité ou
en transformation avec la socialisation primaire

L’intégration : est le fait d’intérioriser des rôles sociaux pour tisser des liens sociaux et vivre
en paix avec les autres membres de la collectivité.

 
Situation sociale  Modes de socialisation 
Applaudir à la fin du spectacle  Imitation 
Se rendre à un entretien d’embauche  Interaction 
Respecter les limitations de vitesse  Injonction 
Des amis qui mangent au restaurant  imitation 
Se vêtir comme le groupe de punk  imitation 
Faire ses devoirs  injonction 
Une fille jouant à la maitresse  imitation 
Se servir d’un ordinateur  interaction 
 
le rôle important joué par la famille dans le processus de socialisation. Ainsi la
famille peut :

- « être plus ou moins contrôleuse en matière de « fréquentations et de sorties » ;

-limiter « le temps passé hors de tout contrôle familial » ;

- « exercer un rôle de filtre par rapport aux médias » ;

- « se chargé […] d’un travail, insensible mais permanent, d’interprétation et de jugement »
dans tous les domaines.

Son rôle peut s’étendre dans tous les domaines :

-activités économiques : la profession des parents influence fréquemment la profession


choisie par les enfants.

- activités religieuses : les croyances religieuses sont souvent transmises des parents aux
enfants( même si moins fréquemment qu’auparavant).

-activités politiques : les préférences politiques sont fréquemment transmises aux enfants.
-activités domestiques : les comportements domestiques sont aussi fréquemment transmis
au sein de la famille et le modèle social traditionnel de répartition des rôles demeure
aujourd’hui encore largement dominant

Le rôle de la famille dans la socialisation peut être partiellement remis en cause par les
enfants. En effet, l’enfant joue un rôle actif dans sa socialisation. D’autre part, la
socialisation de l’enfant dépend également d’autres instances de socialisation (école,
médias, groupe de pairs) qui peuvent transmettre à l’enfant des valeurs et des normes
différentes de celles qui sont transmises par la famille.

Le climat affectif au sein de la famille joue un rôle primordial dans la socialisation de
l’enfant, car il rend l’enfant particulièrement réceptif aux apprentissages nouveaux.

La socialisation familiale marque fortement la personnalité de l’enfant car :


-elle intervient dès la naissance c’est-à-dire une période où la personnalité de l’enfant est
très malléable

-elle se déroule à travers des contacts quotidiens et de longue durée

-elle s’effectue dans un climat affectif qui rend l’enfant particulièrement réceptif aux
apprentissages nouveaux.

Synthese :

La famille joue un rôle essentiel lors de la socialisation primaire car elle intervient
précocement, durablement et, généralement, dans un climat affectif qui facilite la
transmission aux enfants de valeurs, normes et de savoirs.

1. La famille a peu de prise dans la socialisation par les groupes de pairs. 


Faux. La famille contrôle en partie les fréquentations des enfants et peut limiter le
temps passé avec le groupe de pairs. 

2. Différentes instances de socialisation peuvent entrer en concurrence.  


Vrai. La famille, l’école, le groupe de pairs et les médias ne délivrent pas
nécessairement des messages identiques et ne transmettent pas toujours des
normes et des valeurs similaires. Ainsi, par exemple, une famille attachée à des
valeurs traditionnelles ne transmettra pas les mêmes valeurs à ses enfants qu’un
groupe de camarades ayant reçu une éducation plus libérale. 

3. La socialisation familiale influence peu la personnalité de l’enfant. 


Faux. La socialisation familiale influence fortement la socialisation de l’enfant, car
elle intervient dès la naissance, se déroule au travers de contacts quotidiens et de
longue durée et s’effectue dans un climat affectif intense.
Economie :

-2/3 rémunération des


salaries

-Les impôts  état

-Aux entreprises pour


rembourse leur crédit et
rémunérer leur
propriété

-Investissement pour le future.

Le PIB n’est pas seulement la somme des VA c’est aussi la somme des
rémunérations versées.

Somme des VA = somme des rémunérations = somme des dépenses.


Le taux de croissance mesure la variation du produit intérieur brut, qui correspond lui
-même à la somme de toutes les valeurs ajoutées produites dans un
pays donné. (…) 
Chaque entreprise de notre pays minuscule crée une valeur ajoutée. La somme de c
es valeurs ajoutées, c’est le produit intérieur
brut du pays, dit aussi « PIB ». Et n’oublions pas aussi la valeur ajoutée
créée par l’Etat : lorsque l’État construit une route ou éduque
un enfant, c’est aussi de la richesse qui est créée. Le PIB, c’est la quantité de richess
es produites sur une année à l’intérieur d’un pays. 
Donc au niveau du pays, la création de richesses est mesurée par le PIB 
(indicateur de création de richesses d’un pays).
PIB = Produit intérieur brut = somme des VA de tous les acteurs productifs
résidant sur un territoire donné.

Exercice pour comprendre :


Sachant qu’en France le PIB en 2017 s’élevait à 2291.7 milliards d’euros et en 2018
à 2353.1 milliards d’euros, calculez le taux de croissance économique en 2018.

TV=Vf-Vi/Vi x 100

TV=2353.1-2291,7/2291.7 x 100=2.7%

Le taux de croissance économique est de 2.68%, donc le PIB a augmenté de 2.68%

entre 2017 et 2018.

Documents supplémentaires : La croissance française :  


 
Document 1 : Document 2 : 
 
1. Présentez les documents. 
Le document 1 est un graphe qui présente l’évolution du PIB en millions d’euros de
2014 de 1950 à 2017 selon l’Insée 
Ce document est un graphe qui présente l’évolution annuelle du PIB français en
pourcentage de variation entre 1950 et 2017 selon l’Insée. 
2. A l’aide de ces graphiques, complétez les phrases suivantes : 
→ « Selon l’INSEE, en 2010 le PIB français valait environ 2 000 000 millions d’euros
de 2014 » 
→ « Selon l’INSEE, entre 2009 et 2010, le PIB français a augmenté d’environ 2% 
 
Entre 1999 et 2000, le PIB français a augmenté de 4% alors qu’entre 2009 et 2010,
le PIB français a augmenté de 2%. Donc entre 1999 et 2000, le PIB a augmenté plus
rapidement qu’entre 2009 et 2010 de 2 pts de pourcentage. 
3. A l’aide du document 1 : comment a évolué le PIB entre 1950 et 2017 ? 
CM=Vf/Vi=PIB en 2017/PIB en 1950=2 246 672/293 400=7.66  
Entre 1950 et 2017, le PIB en France a été multiplié 7.66 fois.

1820 – 1840 : Première révolution industrielle au Royaume-Uni


après la mise au point d’une machine à vapeur de Watt en
1769 
1870 – 1910 : 2e révolution industrielle aux Etats-Unis et en
Allemagne 
1929 : Krach boursier de New York et début de la grande
dépression économique 
1939 – 1945 : 2e guerre mondiale 
1945 – 1973 : Les trente glorieuses 
1973 : Premier choc pétrolier et début de la crise des années
1970 
2008 – 2009 : La crise des subprimes aux Etats-Unis (crise
financière).
1) CM=VF/VI=16098/85=189.39

En 1700, d’après l’OCDE, le PIB de l’Europe occidentale s’élève à 85


milliards de dollars, et celui-ci augmente fortement pour atteindre 16
098 milliards de dollars en 2011 donc il a été multiplié par 189.39 entre
1700 et 2011

1700-1820 :CM=1.9

1820-1913 :CM=3.9

1913-1950 :CM=2.5

1950-1973 :CM=3.1

1973-2011 :CM=3.6

1913-2011 :CM=28.4

2) Avant le XIXe siècle, la production mondiale augmente peu : elle a


presque doublé en 120 ans(1700-1820).Les révolutions industrielles du
XIXe siècle sont marqués par une forte accélération de la production : elle
est presque multipliée par 4 en 93 ans(1820-1913). L’accélération de la
croissance se poursuit, notamment pendant la période des Trente
Glorieuses(1950-1973), puisque, en presque un siècle(1913-2011), la
production a été multipliée par 28.4

3) Certains pays connaissent une accélération de la croissance plus


tardive que d’autres :L’Europe occidentale démarre en premier, puis les
Etats-Unis, le Japon suivent à partir de la 2e révolution industrielle(1870),
enfin les pays émergents (Chine, Inde, Amérique Latine) entament leur
rattrapage à partir des années 2000.
Remarque : (PIB/habitant (ou par tête) = PIB/population du pays)  
(C’est un indicateur du niveau de vie d’un pays).  
 
6. En 2016, par combien les revenus des 10% les plus riches sont-ils
multipliés par rapport au 10% les plus pauvres ?  
En 2016, les revenus des 10% les plus riches sont 6.7 fois élevés que ceux
des 10% les plus pauvres, en France, d’après l’Insée. 
 
8. Pourquoi le PIB ne tient-il pas compte des inégalités de revenu ?  
Le PIB ne tient pas compte des inégalités de revenus parce que : 
 C’est la somme de toutes les productions ou de tous les revenus 
 Si on considère le PIB par habitant, il s’agit d’une moyenne qui ne
dit rien sur la répartition des revenus 
 
Question supplémentaire : En vous basant sur l’exemple du Danemark et
de Singapour montrez que le PIB est un indicateur qui comporte des limites.   
Le Danemark et le Singapour ont un même PIB par habitant mais la
répartition des revenus au Danemark est beaucoup plus égalitaire qu’à
Singapour, ce qui montre que le PIB est un indicateur qui comporte des
limites. 
 
Donc : le PIB est un indicateur qui comporte des limites :  
 
 Le PIB a une limite sociale :  
 Il ne mesure pas la qualité de vie. (Il doit être complété par
d’autres indicateurs)  
 C’est une moyenne qui ne tient pas compte des inégalités de
revenu (indicateur global) :  
(PIB/habitant (ou par tête) = PIB/population du pays)  
 

Le PIB par habitant est une estimation des richesses


disponibles dans un pays pour chaque habitant. Il est
calculé en divisant le PIB total d’un pays par le nombre
d’habitants du pays. L’objectif de cet indicateur est de
permettre de comparer les niveaux de vie entre différents
pays. Or, au sein d’un même pays, tout le monde n’a pas le même
revenu !  

Exemple : en 2018 : PIB/hab au Liban : 8269.79 $ par an (689 $ par


mois). Source : Banque mondiale 

 
Attention :  
 Un PIB élevé ne signifie pas un PIB/habitant élevé. 
 L'augmentation du PIB ne garantit pas une diminution des inégalités de
revenu. Exemple : l'Arabie Saoudite.  
Remarque : (PIB/habitant (ou par tête) = PIB/population du pays)  
(C’est un indicateur du niveau de vie d’un pays).  
Synthèse :

Le sigle PIB signifie « produit  intérieur brut ». On le calcule en


faisant la somme des valeurs ajoutées et non la somme
des productions Le PIB est un indicateur global qui ne tient pas
compte des inégalités de revenus et qui n’est pas adapté pour
apprécier la qualité de vie. 
6. La cause fondamentale de la dégradation de l’environnement est le
réchauffement climatique dû aux émissions de gaz à effet de serre, elles-
mêmes provoquées par la croissance économique et la surexploitation des
ressources naturelles. 

7. Le coût de la raréfaction des ressources naturelles est la hausse de leurs


prix. 

8. Il existe des freins à la croissance. La croissance telle que nous la


connaissons aujourd’hui ne peut pas se poursuivre car elle bute sur : 
 Un coût économique (prix des ressources naturelles, coût des
catastrophes écologiques) 
 Un coût social (ce sont les plus pauvres qui sont le plus victimes du
réchauffement climatique) 
 Un coût écologique (dégradation de l’environnement) 
 
Il faut trouver de nouvelles formes de croissance, plus respectueuses de
l’environnement et moins consommatrices de ressources naturelles. 
Les principales limites écologiques sont donc :  
-Pollution, émissions de gaz à effet de serre et dérèglement climatique 
-Epuisement des ressources naturelles renouvelables (faune et flore) et non
renouvelables (pétrole, sable) et surexploitation des ressources. 

SYNTHESE :
 
Le PIB est la somme des VA créées dans une économie. Un PIB élevé
n’est pas synonyme de faibles inégalités de revenus. En effet,
le PIB/habitant est une moyenne qui ne tient pas compte des inégalités de
revenu dans un pays.  
De même, un PIB élevé n’est pas synonyme de croissance élevée : ainsi
les pays développés ont, en moyenne, une croissance plus faible que les pays
émergents, mais un PIB souvent plus élevé La croissance économique se
mesure en calculant le taux de variation du PIB entre deux dates. Lorsqu‘on
observe la croissance mondiale sur le long terme, on s’aperçoit que celle-ci ne
commence à s’accélérer qu’à partir de la Révolution Industrielle (au début
du XIXe siècle). La croissance concerne d’abord l’Europe et les Etats-Unis puis
certains pays « du Sud » dans la 2ème moitié du XIXe siècle, qui rattrapent les
1ers (taux de croissance élevés). 
La croissance a enfin des limites écologiques car elle entraîne une
destruction du capital naturel : déforestation, épuisement des ressources
naturelles, pollution, déclin de la biodiversité, etc. Elle génère aussi une
hausse des émissions de gaz à effet de serre, responsables
du réchauffement climatique.  

FICHES OUTILS :
 Pourcentage de répartition :
valeur
PR= x 100
ensemble de valeur
En lieu, d’après référence , en date, PR% sont…
Ou En lieu, d’après référence , en date, sur 100…PR sont…
 Présentation d’un document :
-date
-lieu
-source
-champ
-type
-variable
-unité
 Taux de variation :
vf −vi
TV= x 100
vi
>Entre date initial et date finale, la variable a augmenté/diminué de TV%.
>La variable augmente moins/plus vite entre date initial 1 et date finale 1
qu’entre date initial 2 et date finale 2 de x points de pourcentage.
>Avantageux si la variation est petite.
 Coefficient multiplicateur :
vf
CM=
vi
Entre date initial et date finale, la variable a augmenté/diminué/été multipliée
de CM fois.
>Avantageux si la variation est grande.

Vous aimerez peut-être aussi