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I

LE
DERNIER CELINE
% PLEIN LOMEZ: •

VIVIER^ r^CHANT UN NOUVEAU


UN r À DISQUE
ET SPECTACLES
OPÉRA L;ESKABEL
Page D-2
\ _ Page D-6
Page D-8 LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 3 MAI 1980 GA] D

•3

Alfred Hitchcock. Hitch Je me souviens de son allure Comme Mae West, il s'était figé tel pourrait être le moteur de explications à plus tard, relan- té entre un coupable et un faux
pour les intimes, c'est-à- d'alors, l'allure d'un homme dans son moule mais, contraire- toute son oeuvre. Il cherchait çant le spectateur sur d'autres coupable. Empruntant systéma-
dire les cinéphiles du monde en- d'affaires prospère avec son ment à cette dernière, on sentait passionnément à communiquer pistes. tiquement à la structure du
tier. Avec lui disparait un monu- complet et sa cravate noires, cet des émotions à son public. « L a D'autres parmi les meilleurs roman policier, les films du maî-
ment du cinéma. Au cours d'une air de croque-mort chic, croque- salle de cinéma est vide, avait moments de ses films reposent tre du suspense mettent en scène
carrière entreprise en 1921, il a mitaine des temps modernes. Il bien compris François Truffaut, sur un montage extrêmement invariablement un faux coupa-
LUC
complété 53 longs métrages, soit avait tellement bien réussi la vous voulez la remplir, l'écran fouillé. Je songe à cette autre ble, lequel menacé dans sa per-
la plus longue carrière active de PERREAULT sonne 3t dans son intégrité, de-
est vide vous voulez le remplir. séquence célèbre, dans Psycho:
toute l'histoire du cinéma. Vous ne partez pas du contenu le meurtre de l'héroïne (Janet vient son propre redresseur de
«Je ne suis pas un gros mais du contenant.» Toute sa vie Leigh) qui survient dans le pre- torts, sous les yeux de la police
mangeur. Il y a que je suis et du véritable coupable.
Sur lui. on a déjà écrit une
tonne de matériel. Mais derrière gros et que je mange.»
9
& en effet Hitchcock s'est mis dans
la peau non seulement de ses
mier tiers du film. Toute cette
séquence du meurtre de la dou-
ses facéties, à travers une oeu- Dans ce mouvement qui con-
personnages mais également de che reste un exemple de virtuosi-
vre prolifique, plusieurs person- siste à faire ressortir l'innocence
nages se dissimulaient. Hitch- d'un présumé coupable, le met-
cock fut tour à tour ou simulta- teur en scène n'est pas lui non
nément un auteur de films, un plus à l'abri des soupçons. C'est
humoriste, un comédien, un pu- lui qui impose les règles du jeu,
blicitaire, un producteur et. bien mène l'action par personnages
i mm interposés, ne reculant derrière
entendu, le «maître du suspense».
aucun artifice pour mieux

Mais, derrière tous ces person-


nages, un homme se dissimulait. «La liberté, c'est après, à la
sortie du cinéma, que je la
remets au spectateur.»
«Je suis censé avoir décla-
ré, que les acteurs étaient du brouiller les pistes. M ê m e si la
béraii. j'affirme n'avoir ja- morale finit par triompher,
mais prononcé parole aussi Hitchcock sacrifie à une nécessi-
terrible et aussi sadique. Ce té d'un autre ordre, celle de la
vérité intrinsèque du film consi-
que j ' a i probablement dit, déré globalement et à la limite,
c'est que tous les comédiens au spectacle cinémato-
devaient être traités comme graphique.
du bétail!» Les Cahiers du cinéma au mi-
lieu des années 1950 ont consacré
Hitchcock auteur en même
L'homme. J'ai eu voici dix ans temps qu'ils créaient la mode de
la chance de le rencontrer face à la politique des auteurs. Leur
face. C'était à Toronto, lors d'u- choix ne pouvait mieux tomber.
ne conférence de presse organi- Alexandre Astruc l'avait parfai-
sée à l'occasion de la sortie de tement justifié dans cette
son 51e film. Topaz. phrase: «Quand un homme de-
puis trente ans et à travers cin-
«Il suffit de rencontrer Hitch- quante films raconte à peu près
cock en personne, écrivais-je à toujours la même histoire — cel-
cette époque, pour deviner qu'il le d'une âme aux prises avec le
n'est pas aussi méchant qu'il mal — et maintient le long de
cherche à le faire croire. Son cette ligne unique le même style
v i s a g e rubicond, semblable à fait essentiellement d'une façon
celui de Jean Renoir, transmet e x e m p l a i r e de dépouiller les
l'image d'un bon vivant, sarcas- personnages et de les plonger
dans l'univers abstrait de leurs
passions, il me paraît difficile de
«Mon amour du cinéma ne pas admettre que l'on se trou-
ve pour une fois en face de ce
est plus fort que n'importe qu'il y a après tout de plus rare
quelle morale.» dans cette industrie: un auteur
de films.»

tique par moments mais pas Mais l'auteur, hélas! a parfois


foncièrement cynique. Si cer- pris l'allure d'un baiion qu'on se
tains de ses propos paraissent relançait d'une chapelle à l'au-
tels, c'est sans doute le résultat tre. Certains n'arrivaient pas à
d'un effort appliqué, un masque
somme toute, recouvrant son
vntf visage, celui de l'enfant so- Dans un documentaire,
litaire, marqué par la peur synthèse de ses multiples per- encore sous ce monument vivant té par son impact émotionnel et c'est Dieu le metteur en scè-
éprouvée alors qu'il étudiait sonnages qu'il n'avait plus be- battre un coeur. «Si je tournais Cendril- un exemple d'écriture cinémato- ne, lui qui a créé le matériel
chez les Jésuites...» soin de cultiver son image. La passion selon Hitchcock: lon, «ils» ne seraient con- graphique parfaitement maîtri- de base. Dans le film de fic-
tents que s'il y avait un c a - sée. tion, c'est le metteur en scène
davre dans le carrosse.» Ce film, sans doute le plus cé- qui est un dieu, il doit créer
lèbre de Hitchcock, fignolé dans la vie.»
son public. «Le premier travail, tous ses détails, seulement dé-
affirmait-il, c'est de créer l'émo- passé dans l'horreur par les
tion et le deuxième travail c'est spectaculaires attaques des oi- lire à un second degré ce qui, au
de la préserver.» seaux dans The Birds, avait fait premier, leur paraissait le tra-
C'est ce qui explique que le dire à son auteur: «Je faisais de vail d'un habile illusionniste.
cinéma d'Hitchcock a toujours
Des fumeuses interprétations
été un cinéma d'effets, mais
«La séquence du sang s'é- psychanalytiques aux lectures
j a m a i s d'effets gratuits. Au structuralistes auxquelles l'oeu-
début du parlant, il a été le pre- coulant dans le renvoi d'eau vre de Hitchcock a donné lieu,
m i e r cinéaste à comprendre du bain dans Psycho: c'au- que reste-t-il aujourd'hui? Sans
l'importance du contrepoint so- rait été répugnant de mettre doute une imposante somme cri-
nore. Pour lui, l'apport du par-
lant n'avait j a m a i s remis en
ça en couleur.» tique qui reste toujours valable
C9l mais peut-être aussi, malheu-
question la suprématie de l'ima- reusement, une forêt de signes
ge. Il avait retenu de l'époque du la direction de spectateurs, qui dissimule ces arbres que
muet cette leçon que le cinéma exactement comme si j e jouais sont des films étalés sur plus de
est essentiellement un médium de l'orgue.» 55 ans de travail.
non verbal.
Ce jeu du chat et de la souris
Cette donnée de base a été il- Car, à l'exception des films
entre Hitchcock et son public a
lustrée avec brio tout au long de récents et de quelques classiques •

de quoi subjuguer tous ceux qui


ses meilleurs films. Prenons la relégués aux cinémathèques,
s'intéressent aux rapports entre
célèbre séquence de North by l'oeuvre de Hitchcock reste tou-
le cinéma et son auditoire. L e
Northwest dans laquelle Cary jours difficile d'accès, rarement
critique français André-S. La-
3 r a n t e t L e o G . Carroll, l ' h o m relancée dans les salles de ré-
: barthe é c r i v a i t avec justesse:
ne de la CIA, finissent par se pertoire.
«Hitchcock est le seul qui sache
rencontrer au carrefour de deux chaque fois: 1, nous surprendre;
routes rurales désertes. On pen- 2, nous tendre un trousseau de «Je fais des films parce
se que cette séquence sera enfin clés; 3, nous reprendre ces clés
celle des explications. Mais la que c'est ce que je fais le
une à une pour nous 1 a i s s c r de- mieux. Idéalement votre
conversation entre les deux vant cette évidence: une porte
hommes se trouve peu à peu en- toujours battante au seuil du passe-temps favori devrait
terrée par le bruit d'un avion. toujours être votre métier.»
même mystère.»
Dieu sait si les e x é g è t e s se
«Je fais du suspense et sont penchés sur ce mystère Le moment parait bien choisi
j'essaie de jouer avec les pour en scruter toutes les facet- pour r e v o i r les films de Hitch-
spectateurs comme le chat tes. L e s p r e m i e r s , Claude Cha- cock, pour les apprécier d'abord
avec la souris.» brol et E r i c R o h m e r dans leur au p r e m i e r niveau et peut-être
monographie publiée en 1957 ont pour rendre à ce dernier l'hom-
mis en lumière la notion mage qui lui est dû, celui d'un
L'action se trouve alors relancée d'«échange» qui prédomine dans cinéaste capital, un important
dans une direction complète- cette oeuvre et qui s'exprime à inventeur de formes, un illusion-
ment imprévue renvoyant les travers un transfert de culpaoili- niste de génie.

;*

de/ /cène/ de karaté Jamais vue/1


Commando Tigres Stairs *P v ft tm am ma um
avec CHUCK NORRIS-Anne Archer* Lloyd Haynes Dana Andrews
4
D 2 LA PRESSE, M O N T R É A L , SAMEDI 3 M A I 1980

dernier V i v i e r :
le proprement dite de Koper-
nikus: *
«J'utilise beaucoup le parlé et
le presque parlé, c'est-à-dire le
Claude Vivier vient de com- P o u r des raisons d'ordre musi- Sprechgesang. J e me sers d e i a
poser un opéra. cal, j e le représente par une voix d'une façon très naturelle...
Un opéra qui s'intitule Koper- femme. Autour d'Agni gravitent Non, ce n'est pas sériel. Disons
nikus et qui s e r a créé jeudi et des êtres mythiques. Il y a douze plutôt atonal. J'utilise beaucoup
vendredi soirs. C'est à 20h30, au personnages autour d'elle, et qui la tierce majeure et la tierce
Monument National de la rue sont interprétés par six chan- mineure.» b
Saint-Laurent. Le Monument teurs.» Il y a donc sept interprètes, et
National est une salle qui a — ou Ces douze personnages, Vivier ils sont accompagnés p a r un
plutôt qui a eu — une longue tra- les a recrutés un peu partout. ensemble de sept instruments.
dition de théâtre lyrique, ayant Cela va de Lewis Carroll, l'au- Mais chaque instrument ne cor-
servi pendant de nombreuses teur d'Alice in Wonderland, à respond pas n é c e s s a i r e m e n t à
années aux Variétés-Lyriques de Tristan et Isolde, en passant par une voix.
Charles Goulet et Lionel Dau- l'enchanteur Merlin, la Reine de «J'ai choisi 7 parce que c'est
nais. la nuit (déjà nommée), Mozart un très beau nombre. Deux fois
Quand on connaît Claude Vi- lui-même, un prophète aveugle 7, ça fait 14: ma date de naissan-
vier et quand on connaît sa musi- (il n'est pas nommé mais il s'a- ce. Mais, surtout, 4 + 3 , cela
que, on se doute bien que ce qu'il permet un meilleur équilibre que
i
appelle «un opéra» ne correspon- CLAUDE deux nombres égaux. Les sept
»
dra pas tout à fait, et probable- GINGRAS instruments m e p e r m e t t e n t d e
ment pas du tout, à ce que l'on jouer sur toute l'échelle musica-
entend habituellement par ce le. À l'aigu, j ' a i un violon et par-
terme... fois aussi trois clarinettes, les-
» L'opéra de Vivier: une quelles font surtout le médium,
» «histoire» racontée au moyen de avec le hautbois et la trompette.

g r a n d s a i r s ? . . . Cela m'éton- À la basse, j ' a i un trombone: Il y
nerait! Sa définition m ê m e du a aussi quelques percussions,
mot «opéra» nous met sur la pis- git d ' H o m è r e ) , un vieux moine jouées par les chanteurs.» .
te. (non identifié également mais il Claude Vivier explique encore
«Un opéra, c'est de la musique s'agit de Sarastro), il y a même que les instrumentistes sont sur
: mise en scène, d'une part. D'au- un personnage qui n'a pas de scène, au milieu, avec les inter-
t r e part, c'est une expression nom, ne fait rien et ne représen- prètes tout autour. Il n'y a ni
I excessive de passions humaines te rien, et puis, bien sûr, il y a e n t r é e ni sortie: tous les inter-
I et de rêves. Dans Kopernikus, il Copernic lui-même (celui qui prètes sont là du commencement
y a un d r a m e , plutôt: une dra- démontra que la t e r r e tourne à la fin. Ils portent tous des
maturgie, mais pas une drama- autour du soleil), ainsi que la m a s q u e s et sont costumés. Les
turgie qui est née d'une situation m è r e de Copernic... Il y a aussi musiciens sont costumés eux
l conflictuelle (c'est-à-dire une un personnage qui s'appelle le aussi, de même que le chef d'or-
: relation entre des personnages), Maître des eaux. chestre. C'est Lorraine Vaillan-
t
mais plutôt une dramaturgie qui «Ces personnages, explique court qui dirigera et Jocelyne
puise sa source dans son visage Vivier, sont peut-être les rêves Fleury-Coutu, mezzo-soprano,
propre.» d'Agni qui l'accompagnent dans qui sera Agni.
Les opéras préférés de Claude son initiation et finalement dans Claude Vivier insiste encore
? Vivier: Die Zauberflôte («La sa dématérialisation. Il n'y a pas pour dire que sa «féerie mysti-
F l û t e enchantée»), de Mozart, à proprement parler d'«histoire» que» a aussi une portée sociolo-
Tristan unci Isolde et Parsifal, m a i s plutôt une suite de scènes gique. «Dans une crise de civili-
de Wagner, et Edison, de Robert faisant évoluer Agni vers la sation aussi fondamentale que
1
Wilson. (Je n'ai pas demandé à purification totale. Ce sont les celle que Ton traverse actuelle-
t Vivier ce qu'était Edison ni qui personnages mêmes de ses rêves ment sur cette planète, l'être
*
était Robert Wilson!) Et ses rô- qui l'initient.» humain a peut-être besoin d'un
I
les d'opéras préférés? La Reine Claude Vivier décrit Koperni- retour à l'état foetal, je dirais
de la. nuit et le grand-prêtre Sa- kus c o m m e une «féerie mysti- intimiste.»
i rastro, dans La Flûte enchantée, que». Quand on l'interrogera Kopernikus a demandé à son
et Wozzeck, d a n s l'opéra du d a v a n t a g e , il p r é c i s e r a : «Une auteur un an et demi de travail.
même nom, de Berg. scène de mort qui dure une heu- C'est une production conjointe
Claude Vivier a écrit, à propos re e t demie.» Il ajoute: «Il ne de l'Atelier de Jeu scénique et de
i de Kopernikus, un petit texte, faut p a s e s s a y e r de lire une si- l'Atelier de Musique contempo-
imprimé sous forme de commu- gnification de ce qui se passe r a i n e de la Faculté de Musique
I
niqué de p r e s s e , et auquel il mais essayer de sentir ce qui se de l'Université de Montréal,
l ajoute quelques explications: p a s s e . Ne pas c h e r c h e r à com- avec la collaboration de l'École
f
t «Le personnage central est prendre, mais jouir de ce qui se Nationale de t h é â t r e (laquelle
Agni. Agni, c'est, le dieu hindou p a s s e . C'est pour ça que c'est fournit les décors, les costumes,
du feu; il est monté sur un bé- écrit en bonne partie en langue les éclairages et la salle). . >Q
lier. Le feu, c'est mon signe as- inventée. Le r e s t e est en fran- Ce n'est pas Tosca, mais cela
* trologique. J e suis né un 14 avril. çais.» « coûte moins cher aussi: e n t r é e
t Je suis Bélier. Agni, c'est moi...
« Concernant l'écriture musica- libre les deux soirs.
I
I p h o t o R o b e r t N A D O N • i i
4 L'opéra de Claude Vivier: « Une scène de mort qui dure une heure et demie».
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Des livres, des auteurs


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LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 3 MAI 1 980 D 3


IATURE
CARON, SA VOIE ET MORE A U

Livres d artistes 5
non
Un soir, par désoeuvre- invraisemblance invérifiable? déserté par toute la population et dont le déroulement exige du

ment, vous regardez un film Certes, cette histoire est pleine désormais annexée à une ville lecteur une bonne volonté que
à la télévision. Vous avez raté le de bons sentiments et de mau- anglophone où elle végète diffé- tous ne sont pas nécessairement
générique, vous avez le regard vais sentiments. Il y a les bons remment, c'est-à-dire dans une p r ê t s à offrir. Les bons souve-
n e u t r e , objectif. Parfois, vous qui n'ont pas eu de chance, les inaction subventionnée par nirs, ce sont ceux qui permettent
décidez très vite que le temps méchants qui n'en ont pas eu l'Etat. le rapprochement entre l'amour
qui vient sera du temps perdu: davantage, et puis ce personna- Déserté par tous sauf par un d'une fille et l'amour d'un pays,
vous tournez le bouton; ou au ge de réconciliation, qui devien- fou de village — on sait que c'est ceux aussi qui font ressortir,
c o n t r a i r e , le mot «fin» arrive dra le mari de la danseuse, le le fou de village qui est porteur sans démonstrations assomman-
avant que vous vous soyez rendu bon qui a eu de la chance. de la sagesse populaire —, Paci- tes, certaines dispositions heu-
compte que dans ce film, qui fique, qui refuse la mort de Mas- reuses du caractère acadien.
aurait pu être une oeuvre d'art, sabielle et s'installe dans la seu-
il n'y avait pas d'artiste.
1
REGINALD
le maison qui reste, l'église, où Moreau, joyeux
MARTEL par jeu il se moque de l'avocat pédagogue
Il en est des livres comme des de la compagnie minière que ce Autre type de livre, celui dans
films. Vous avez sous les yeux squatter indispose, plus fin que lequel l'auteur révèle ou prétend
un roman, un récit, de l'écriture, fou et capable de jeux qui échap- révéler des connaissances prati-
quoi! Ne connaissant pas l'au- pent aux gens qu'on appelle ques, utilisables pour la satisfac-
teur, vous lui faites confiance n o r m a u x . Jusque-là, tout va tion d'un désir, par exemple bâ-
pour vingt-cinq, cinquante pa- bien, et d'autant plus que le Pa- tir une cabane d'oiseaux ou deve-
ges. E t puis la lecture de la P i e r r e Caron pour autant ne cifique de J a c q u e s Savoie est nir le maître du monde. La forme
Vraie Vie de T/na Louise est fait pas de morale, ou si peu. Il bien campé, en éternel perdant importe peu, puisqu'il est ques-
t e r m i n é e . L'auteur vous a eu, raconte comment une petite fille qui joue son destin et celui de son tion avant tout de t r a n s m e t t r e
saris faire la preuve qu'il est un mal aimée tourne mal, comme pays comme d'autres jouent leur une connaissance. C'est le péda-
artiste. Il a seulement démontré on dit, et comment la fille de cel- chemise. gogue, plus que l'artiste, qui est
qu'il sait construire une histoire le qui a mal tourné tournera mal Quand Stella, fille instruite et à la barre. La forme qu'a choisie
et que son personnage, mélange elle aussi, la misère morale et un peu mystérieuse, vient rejoin- le philosophe André Moreau,
de fiction et de réalité, vous a intellectuelle générant la misère dre Pacifique pour le soutenir c'est celle de l'interview. Pas à
intéressé pendant quelques heu- morale et intellectuelle, sous la dans sa lutte absurde — mais il la m a n i è r e de Socrate! Notre
res. lutelle décisive de la pauvreté se méfie un bon moment! — e t philosophe jovialiste pose lui-
matérielle. aussi pour l'aimer, l'histoire qui même les questions, à lui-mê-
Le mot littérature e m b r a s s e Pierre Caron, manifestement, commençait à ralentir retrouve
une réalité bien vaste, ou bien m e . . . Plus d'une quinzaine de
n'a pas une très g r a n d e expé- un nouveau souffle et voici les ses ouvrages ont paru déjà. J e
vague, et il se trouve des tas rience du roman. On en juge sur- meilleures pages de Raconte-
d'ouvrages dont on ne sait trop n'en ai lu aucun. Plus d'une dou-
tout en se fondant sur des transi- moi Massabielle. Ensuite, peu à zaine sont annoncés déjà. J e
où les situer dans une hypothéti- tions m a l a d r o i t e s , sur une cer- peu de nouvelles familles s'in-
que et subjective échelle de qua- v e r r a i . . . Pour ce qui est de la
taine confusion dans le jeu diffi- stallent dans le village, défi poé- Folie de Dieu, je dirai que je m'y
lité. Le livre de Pierre Caron, il cile des séquences qui, dans le tique mais réel à la multinatio-
me semble, pourrait rejoindre suis a m u s é beaucoup, ce qui
temps de narration, débordent nale sourde et aveugle qui pré- n'est pas pour déplaire à l'au-
un très vaste public, l'instruire sur le passé ou sur l'avenir. Qu'à tendait, après avoir chassé tout
et l'émouvoir. C'est une très teur, même si je lui disais que je
cela ne tienne, le lecteur ne s'y le monde, chasser aussi l'iné- me suis arnusé à ses dépens,
grande qualité, celle que l'on perd pas et il a bien hâte de voir branlable Pacifique.
reproche à des écrivains-écri- pour son côté prophète surtout,
Tina Louise enfin heureuse, en Inébranlable? Pas tant que ça le prophète qui ne doute de rien.
vains, genre académiciens, autant qu'on puisse l'être après et tout d'un coup l'auteur, on ne
quand ils ont du succès. Qu'on Il n'est pas nécessaire d'être
avoir brûlé sa jeunesse sur le sait trop pourquoi, cherche à jovialiste ou jovialistologue pour
leur reproche, évidemment, plateau devant des voyeurs al- continuer une histoire terminée
parmi ies écrivains qui n'ont pas a p p r é c i e r l'aimable discours
cooliques et démunis, ou avec pour soumettre Pacifique à la d'André Moreau, qui dans une
de succès. des compagnons de travail ou de tentation décisive. À ce saint masse d'affirmations invérifia-
vie plus intéressés à exploiter Antoine heureux dans son dé- bles, s'amuse à dire des choses
I n s t r u i r e , émouvoir, c'est qu'à aimer. sert, et riche du triomphe de
communiquer. Et sans avouer qui pourraient scandaliser les
La simplicité et la fluidité des l'amour et de la résistance, on bons bourgeois. Par exemple (je
de g r a n d e s émotions esthéti- dialogues, leur vérité en somme, offre un téléviseur à piles dont il
ques, je reconnais que l'histoire ne cite pas en entier): «Q. N'y a-
sont le meilleur atout de l'au- devient peu à peu l'esclave... t-il pas chez vous une forme très
de cette danseuse de cabaret teur, qui peut aussi, p a r quel- mais le d é p a r t ( r a t é ) de Stella
«cheap» montréalais des années poussée d'immoralisme? R.
ques images pas nécessairement sauvera la situation. Vous avez raison! J e suis com-
soixante a la qualité qu'on at- neuves mais bien senties, créer Tout cet épisode de la télévi-
tend d'un document sociologique plètement immoral. Q. Mais, n'y
habilement le climat du Mon- sion, lourdement appuyé et qui a-t-il pas des dirigeants honnê-
et humain revu et refait par tréal d'une décennie déjà bien aurait eu plus d'efficacité dans
quelqu'un qui sait lier le réel et tes? R. Aucun ne l'est! Q.N'a-
loin, à petites touches discrètes la discrétion, découragerait le vez-vous pas au moins envers les
l'imaginaire, dans un récit pas- qui ensemble ont le bon effet. Où lecteur si Jacques Savoie n'avait
sablement cohérent. dirigeants le devoir de la vérité?
est l'artiste pourtant? Dans son ce talent très sûr qui lui permet, R. Quelle blague! Mentir aux
Des sentiments prochain livre, peut-être. quand il est dépassé par un sujet institutions, c'est se respecter! »
qu'il n'a pu circonscrire, d'ima- Que voilà des propos rafraîchis-
bons et mauvais giner des scènes qui mêlent adé-
La sagesse quatement la poésie et le loufo-
sants!
L ' a u t e u r a une chance au dé-
part: il y a peu de lecteurs qui du plus fou que, le rire et les grincements de LA VRAIE VIE DE TINA LOUISE,
dents. par Pierre Caron. Editions Libre
connaissent vraiment le milieu Il y a aussi le cas de l ' a r t i s t e Expression, Montréal, 1980.
des danseuses de cabaret, ce qui sans livre. J ' e x a g è r e un peu, Quand on referme le livre, on
RACONTE-MOI MASSABIELLE, par
rend plus ténue encore la fron- pour fins de contraste. C'est en en retient plusieurs bons souve- Jacques Savoie. Édition d'Acadie, 1979.
tière e n t r e ce qui a eu lieu et ce a r t i s t e que l'Acadien J a c q u e s nirs mais aussi celui, moins bon, LA FOLIE DE DIEU, par André Mo-
qui est inventé. Qui, alors, ose- Savoie aborde l'histoire d'un vil- d'une histoire construite avec reau. Éditions Jovialistes, Montréal, photo Pierre Côté, LA PRESSE
rait p r o t e s t e r contre quelque lage de son pays, Massabielle, plus de fantaisie que de rigueur 1980. André Moreau. Un aimable discours.

AU PLAISIR DE LIRE JJjJS BEST-SELLERS BE LA SEMAINE

J e a n Cavrol, a u soleil 1 Kramer vs Kramer A. Corman Laffont 6


2 Le Monde selon Garp John Irving Le Seuil 3
3 Le Cinquième Cavalier Lapierre
et Collins Laffont 9
Nous étions dans un restau- très courte. Un éclair. J'en 4 Le Tambour Gunter Grass Le Seuil 1
rant de Montréal, qui ser- prends une, au hasard: celle de
vait à l'époque des pattes de Gène, inoffensif, qui toutes les 5 Paloverde Jacqueline Briskin Belfond 2
crabe d'Alaska, un délice devenu semaines vient au commissariat 6 Le Guide impact Michel Desrosiers Flammarion 7
inarbordable. Comme toujours, s'accuser d'un c r i m e , ou d'un Gregg Dargaud 1
7 Achille Talon et l'âge ingrat
il reste de ce genre de rencontres larcin. Six ou sept pages. Ce
une p h r a s e ; un éclair, un coup n'est rien. Mais il y a la manière, 8 L'Oiseau de feu Edward Stewart Les Presses de la
de phosphore dirait un photogra- il y a l'écriture. Renaissance 1
phe vieux; un détail agrandi, et • 9 Ma Carrière et ma Vie Alys Robi Québécor 1
c'est cela qui, méritant le souve- Voici une bande miteuse de René Lévesque L'Homme 3
10 Oui
nir, véritable madeleine prous- petits voleurs, qui préparent un
tienne, fait revivre la soirée jus- coup dans un appartement. Dans Les liste» nous ont été gracieusement fournies par les librairies suivantes: Dussault. Garneau. Guérin. Martin
(Joliette) et Sons et Lettres. Notre dernière colonne indique le nombre de semaines «best-seller» de chaque
qu'au goût des pattes de crabe. cette bande, il y a Titou: orphe- titre.
Jean Cayrol dit: — Il ne faut pas lin maigrichon, myope (en trois
écrire un livre, il faut écrire une mots décrit une estafilade). Il
oeuvre, c'est - à - dire une écritu- fera le guet. L'affaire tourne mort? Cayrol, comme tous les j'avais vu cela. Grâce à l'art du
re. Plus tard, au cours des an- mal; m ê m e pas: elle reste au poètes, ne manie pas le scalpel, récit court, grâce à Cayrol cette
nées, nous avons lentement minable. mais le phosphène. Il donne fois, je découvre en lisant que la
mûri et précisé ce fruit vert. E t soudain, en une dernière simplement à voir; et encore, succession d'éclairs au magné-
Mais tout était dit, écrire une page, tout se renverse. Un coup c'est trop dire: il projette un sium, comme dans un vieux film
oeuvre, et convenons que Cayrol d'arc - en - ciel, tout se colore, de éclair de lumière, parfois il va- muet, suffit à donner la vie la
a fait cela. quelques mots nous sommes porise sur une image fixe dont plus passionnante qui soit, puis-
éblouis. On dirait qu'un sorcier quelques contours par-ci, par-là. qu'il s'agira de celle que j'insuf-
JACQUES FOLCH-RESÂS s'est amusé à tout transformer, se dessinent brusquement. Mais fle moi-même.
Collaboration spéciale d'un coup, pour nous laisser une lesquels? Ceux que nous avons •
seconde, une dernière seconde, choisis, nous, bien sûr, et c'est Tout cela est bien mieux ex-
Depuis 1944, si j ' a i bonne en présence de la fleur instanta- une évidence de voir l'auberge pliqué par Cayrol lui-même. A la
mémoire, cet homme n'a cessé née jaillie de la grisaille. Et espagnole dans tout récit court. fin du livre, il fait un petit Essai
d'ajouter pierre sur pierre à une puis, sur une dernière phrase Encore y a-t-il plusieurs sor- sur un art du récit court, dans
manière qu'on peut appeler très belle, tout s'éteint. Nous al- tes d'auberges espagnoles. Celle lequel il dit des choses fort perti-
comme on veut, style, couleur, lons rester en compagnie d'une où ce que j'apporte prend mau- nentes. Mais déjà nous étions
ton, et qui est la sienne, et qui est persistance dans la rétine: «... la vais goût; celle où l'on épice si gagnés, convaincus, subjugués
son art. Tant de livres, inclassa- buée fait sur les vitres des arbo- bien ce que j ' a p p o r t e que le par la poésie de ce genre. Une
bles ( r o m a n s , récits, poèmes? rescences qui rendent songeurs frelaté disparaît — mais j ' a i une poésie qui ne cherche p a s , qui
Ah ah, les belles et byzantines ces premiers amoureux du ma- indigestion; celle , heureuse- trouve. Une poésie végétale,
gloses...), tant de livres, qu'ils tin.» ment aussi, qui me fait décou- gonflée de frémissements de
lui font comme un divan profond vrir au fond de mon sac-à-dos sève, dans laquelle les «fleurs du
à l'odeur de sable et au goût de le voluptueux ultime morceau de
Voilà. Rien n'est jamais expli- saucisson que je croyais pour- gris» jaillissent en accéléré et
soleil. D'où, assis (depuis peu de qué. Il ne faut rien expliquer, il retombent aussitôt, avec un sou-
mois) il nous conte, de temps en tant avoir mangé.
ne faut rien démonter. Sous pei- rire d'excuse.
temps, une histoire a m u s a n t e , ne d'être le biologiste-mort. Y a- e
photo Pierre McCann, LA PRESSE ou curieuse, ou folle, ou bête. t-il quelque chose de plus ab-
Jean Cayrol. EXPOSÉS A U SOLEIL. 15
Ainsi: je ne savais pas que je récits courts, suivis d'un bref essai,
Jean Cayrol Une histoire courte, parfois, surde et bête qu'un biologiste- savais cela; je ne savais pas que 190 pages. Editions du Seuil.

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LITTERATURE
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'alternative fédéraliste, *
la cruauté • •«, ! • ( ,

dans la collection Papillon. A p a r t s e s q u a t r e ro-


Au début d e s a n n é e s 60, Juifs a u cours de la Seconde
lorsque Dalton T r u m b o Guerre mondiale de l'intérieur. m a n s , ii a aussi é c r i t pour Te
c o m m e n ç a à é c r i r e la Nuit de La Nuit de l'aurochs, c'est le théâtre.
F aurochs, sa femme menaça de cheminement personnel de Grie-
le quitter s'il se mettait dans la ben, depuis son enfance jusqu'à En 1947, il fut m i s en prison
peau de son p e r s o n n a g e a u t a n t Auschwitz et ensuite son retour pour avoir refusé de témoigner
qu'il l'avait fait en créant John- dans son village natal en Baviè- devant une commission du Con-
ny, d a n s Johnny s'en va-t-en g r è s a m é r i c a i n a u t e m p s du
guerre. maccarthysme et dut écrire pen-
FRANCINE OSBORNE
Cleo Trumbo avait bien raison, dant 13 ans sous un pseudonyme,

angèline car le «héros» de la Nuit de l'au-


rochs — The Night of t h e Au-
r e , F o r c h h e i m . La p l u p a r t du
temps, les auteurs qui abordent
Hollywood l'ayant mis à l'index.
Trumbo se savait très malade

de moirtbrusi rochs e n a n g l a i s — Ludwig Ri-


c h a r d J o h a n n Grieben, e s t un
être des plus répugnants. Né en
cette question parlent des événe-
m e n t s h i s t o r i q u e s , recueillent
des t é m o i g n a g e s d e s v i c t i m e s ,
quelques années avant sa mort
et, pour lui, a c h e v e r la Nuit de
l'aurochs est- un pari qu'il a per-
1898, il fait partie de cette géné- racontent la vie dans les camps du avec Grieben. C'est domma-
par Laure Conan ration d ' A l l e m a n d s e n t r a î n é e de c o n c e n t r a t i o n . T r u m b o , lui. ge, m a i s l'oeuvre v a u t quand
192 pages. $3 95 d a n s les milices à la fin d e la nous révèle ce qui se passe dans m ê m e la peine d ' ê t r e lue, pour
P r e m i è r e Guerre mondiale, qui la tête de Grieben lorsqu'il agit, faire l'expérience de cette « des-
en e s t r e v e n u e c o m p l è t e m e n t il nous fait part de ses réactions
cente aux enfers spirituelle».
désillusionnée et révoltée contre face au m a s s a c r e auquel il parti-
l'aristocratie. En 1926, Grieben cipe a c t i v e m e n t g r â c e à son
devient m e m b r e du P a r t i nazi, journal. Dalton Trumbo, LA NUIT DE L'AU-
En rappel puis p r o g r e s s e au sein d e s SS ROCHS. Éditions Alta, Paris, 1980, 239
Malheureusement, l'auteur est
dans la même collection 128 pages » J-gg pour devenir l'un des principaux mort avant d'avoir pu achever le
pages, $17.95.
a d m i n i s t r a t e u r s du c a m p d e l i v r e , e n s e p t e m b r e 1976. Bien
» •
Chansons pour • - - .» ' • 1 •• .. -
.* &\
concentration d'Auschwitz-Bir-
kenau, en Pologne.
qu'il a i t e n t r e p r i s l ' o e u v r e a u
débutdes années60, etqu'il ait
DALTON TRUMBO
tes yeux Dalton Trumbo nous raconte,
s a n s nous é p a r g n e r les d é t a i l s
continué à y travailler pendant
toutes c e s a n n é e s , T r u m b o l'a I
En vente chez votre libraire-ou laissée bien incomplète. Ainsi, le
les plus h o r r i b l e s , l ' e n f a n c e et
directement de l'éditeur. a* . » . J

l ' a d o l e s c e n c e de G r i e b e n , qui dénouement e s t incertain et il y


par Félix Leclerc m a n i f e s t e t r è s j e u n e un pen- a un n e t d é s é q u i l i b r e e n t r e les
148 pages, $3.50 chant prononcé pour la cruauté

les é d i t i o n s ÉDITIONS HÉRITAGE


ainsi qu'une soif intarissable de
pouvoir.
p r e m i e r s et les d e r n i e r s chapi-
tres du livre. L'enfance et l'ado-
lescence de Grieben sont racon-
t é e s d a n s les m e n u s d é t a i l s ,
La nuit
C'est cette envie de dominer,
de l'aurochs
fides du p o u v o i r absolu s u r les ani- m a i s on sait peu d e chose de sa
300, rue Arran, Saint-Lambert, Québec maux, les êtres, les femmes sur- vie d ' a d u l t e , n o t a m m e n t à
tout, qui m a r q u e r a toute la v i e Auschwitz avec Liesel.
du p e r s o n n a g e p r i n c i p a l d e la A cet égard, les notes et lettres par Maud u •> ci H » hutf v U i

de l'auteur qu'on a ajoutées à la


23b est boul
Montreal H2X 1N9
(!>14) 8 6 ! 96?»
Chester
Tél.; 672-6710 Nuit de Vaurochs. Ses relations
a v e c s a m a î t r e s s e Lieseî sont version f r a n ç a i s e d e l ' o e u v r e
très révélatrices à cet égard, c a r sont t r è s u t i l e s , c a r elles nous
il m e t t r a celle-ci dans une situa- renseignent sur les intentions de
tion telle qu'elle aura le choix de l ' é c r i v a i n et s u r les difficultés
lui o b é i r a v e u g l é m e n t ou d e qu'il a éprouvées à «accoucher»
mourir. de Grieben.
Il faut dire que Dalton Trumbo
L'originalité du livre de Trum- était un homme très occupé. Il a
bo tient surtout au fait qu'il trai- ROMAN
é c r i t le s c é n a r i o d e p r è s de 40
te la question du m a s s a c r e d e s AIJA
films, dont Exodus, Spartacuset

s
Faites-lui plaisir.,
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M O N I Q U E MIVILLE-DESCHÊNES c o m m e les boites à chanson qu'a


fréquentées Monique Miville-
M a i s Monique Miville-Deschê-
nes se défend bien d ' ê t r e «un
loin des préoccupations du mon-
de du spectacle.
interprétera quelques-unes de
ses vieilles chansons, «des chan-
D e s c h ê n e s , il y a quelques an- ê t r e f a b r i c a b l e » . A la v o i r , on «On me reproche de ne pas me sons qui m ' o n t i d e n t i f i é e , m a i s
n é e s , c'est un t r e m p l i n se dit v e n d r e . Je suis peut-être trop que j ' h a b i l l e de robes neuves»,

*€ j r i i i i © l'auteur-compositeur-interprète.
Ce spectacle à l'Imprévu, qui DENIS
polie. J'ai c o m m e une incompa-
tibilité avec la réussite, à cause
de mon tempéramment.
précise-t-elle.
La chanson o c c u p e une p l a c e
très importante dans sa v i e , sur-
m a r q u e un retour de M o n i q u e LAVOIE tout depuis une quinzaine d'an-

de chanter» Miville-Deschênes à Montréal, «Je ne m e prends pas pour une


artiste, mais c o m m e quelqu'un nées, alors qu'elle a pu côtoyer
elle a voulu le fignoler. Elle nous
qui chante, un masson qui cons- C h a r l e s A z n a v o u r et d ' a u t r e s , !
revient parce qu'elle a besoin de
truit son foyer.» Ainsi parle la lors d'un séjour en France avec
c h a n t e r en public, sachant que
«le temps a passé et qu'une géné- c h a n t e u s e , qui dit é p r o u v e r un F é l i x L e c l e r c et « L e petit b o n -
ration n'a pas entendu parler de besoin de se faire dire ce qui est heur».
« J ' a i le goût de c h a n t e r , Port-Joli, mais c o m m e le public
moi». bon dans ce qu'elle fait. «Je reviens à la chanson parce
bonguienne!* s'exclame est surtout i c i . . .
Monique Miville-Deschênes, d e v i n e d ' a i l l e u r s q u ' e l l e n'est C ' e s t donc pour cela q u ' e l l e qu'on aimera toujours « A la clai-
lorsqu'on lui demande pourquoi Monique Miville-Deschênes ne Du monde de la chanson, qui a pas dans le coup, qu'elle ne fait r e v i e n t toujours à la scène, r e f o n t a i n e » nous dit M o n i q u e
elle donnera un spectacle à l'Im- sait donc pas quoi attendre de sa bien changé depuis l'époque où pas parti de la colonie artistique. c o m m e l'été dernier alors qu'el- M i v i l l e - D e s c h ê n e s qui ajoute:
prévu, du 6 au 11 mai. série de spectacles, sinon que ça elle a commencé à chanter, M o - le a donné son tour de chant au « M e s chansons v o n t finir p a r
lui c o û t e r a si c h e r pour p a y e r nique M i v i l l e - D e s c h ê n e s dira T o u t e s i m p l e , v i v a n t f a c e au théâtre de l'île d'Orléans. voir le jour,» m a l g r é la désaffec-.
E l l e n'a pas de p r o j e t p r é c i s l ' é q u i p e m e n t de scène et les que «c'est vraiment un domaine fleuve avec pour toute musique B i e n sûr le public a c h a n g é , tion marquée par le public pour,
pour l ' a v e n i r et s e m b l e un peu m u s i c i e n s q u ' e l l e ne fera pas où on f a b r i q u e des g e n s » , pour d'ambiance le chant des oiseaux mais il y en aura sûrement qui se toute une génération d'artistes'
perdue en ville. A Montréal, elle d'argent. ne pas dire des vedettes aux plus et la nature qui l'entoure, Moni- souviendront de Monique Mivil- q u é b é c o i s qu'on a vu c h a n t e r
sèment bien loin d e Saint-Jean- Mais l'Imprévu, si ce n'est pas ou moins grands succès. que Miville-Deschênes est bien le-Deschênes. C'est pourquoi elle accompagnés de ieunguitare. ;
Monique Miville-Deschênes se
sent donc un peu amère et désul-
.... .* mm ! 4 !.. l u s i o n n é e face aux n o u v e l l e s
M
réalités du monde du spectacle,
ECKANKAR qui n'est plus ce qu'il était il y a
15 ans. M a i s e l l e se sent bieni
Un genre de vie. a v e c l e public, et c ' e s t c e q u i ;
Q u e l est le but d e la vie? d e v r a i t la s a u v e r pour lui per--
Ai-je vécu a u p a r a v a n t ? Q u ' y a-r-il mettre de nous revenir avec des
derrière le voile d e la mort? Nouvelle presentation
chaque semaine
chansons influencées par le con-j
PRESENTATION D'UN FILM DOCUMENTAIRE texte actuel.
TOUS LES DIMANCHES 14 HEURES C ' e s t le présent qu'a voulu
mettre Monique Miville-Deschè- :
Soirée d'information nés dans ses nouvelles chansons. #

(Entrée libre) 1319 est. rue Sainte-Catherine C'est aussi forcément ce qui l'en-'
(métro Beaudry)
Tous les lundis. 2 0 h 0 0 t o u r e , et l ' h o r i z o n , ainsi que.

Le Canada Montréal 521-6518 «l'histoire d'un malheureux que;


la société a poussé à se j e t e r au
bout du quai» que chantera M o -
nique Miville-Deschênes.
Cette semaine de spectacles à;
l ' I m p r é v u , ça semble toute une'
a v e n t u r e pour la chanteuse e t
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d'un m o n d e en c h a n g e m e n t .
Samedi, 24 moi Samedi, 7 juin M a i s a p r è s un t e m p s d ' a r r ê t
Espagne, Portugal France Monique Miville-Deschênes s'est
Dirranch*. 25 ffHN Samedi, 7 juin rtinrliio f w i m n t o O U ' e l l e
n
nnn. •
Grèce Art de voyager
vait pas se passer de la scène. 1
Dimanche, 8 juin C ' e s t c o m m e un h i s t o i r e d'a-
Samedi, 31 mai Suisse, Autriche, Allemagne
Italie mour qu'elle semble vouloir par-
Samedi, 14 juin t a g e r a v e c le public, a v e c c e u x
Dimanche, 15 juin Angleterre
qui l'ont vue il y a bien des années
Belgique, Hollande, lundi et Mer. 2 et 4 juin
photo P.H. Talbot et ceux qui savent encore s'arrê-
Luxembourg Art de voyager
M. Miville-Deschesnes : le présent ter pour écouter.
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LA PRESSE, MONTREAL, SAMEDI 3 MAI l y

THÉÂTRE
HUM

P L E I N C H A N T À l ' E S K A B E L
La mère a é t é
le premier un

or-

Un ballet t h é â t r a l « h o m m e » social
Si vous r a c o n t e z e n c o r e à que la chasse doit se fair0Tè)i si-]
> »

superbe et enlevé vos enfants ou à ceux d e s


a u t r e s l ' h i s t o i r e de p a p a o u r s ,
m a m a n o u r s et bébé ourson,
vous feriez mieux de changer de
l e n c e . ) Q u a n t a u x f e m m e s , M.
M o r r i s les r é d u i s a i t à l e u r rôle
de m è r e s et de c h e v e l u r e S par
l e s q u e l l e s l e s h o m m e s les traî-
naient.
d i s q u e ; la famille, modèle hu-
m a i n , ça n ' e x i s t e p a s chez les P o u r les a n t h r o p o l o g u e s du
PLEIN CHANT, d'après MORT A VENISE de avoir évolué récemment vers un a c c e s s o i r e d a n s le but de c r é e r ce, jouent les touristes et les
Thomas Mann. Conception et m/se en scène dv ours, pas plus d'ailleurs que chez g e n r e de M o r r i s , la m a t e r n i t é
m Jacques Crète. Eclairages de Robert Charron. impressionnisme esthétisant, une i m p r e s s i o n de m u r m u r e , badauds. est la «faiblesse» qui a toujours
Décors et costumes du groupe \ \ ce Michel Quel- qui s'exprime avec plus de force d'agitation, dans un univers qui les a u t r e s e s p è c e s a n i m a l e s ,
lette, Pierre Blackburn, Jacques Crète. Serge deux ou trois mises à part (dont empêché les femmes de jouer un
LeMaire, Richard Leclerc, Louise Cartier, Fran à travers le traitement visuel et se veut avant tout feutré et sug- On r e v i e n t au p l a t e a u princi- rôle aussi important que l'hom-
pictural de chaque production. gestif plutôt q u ' a f f i r m a t i f et les oies s a u v a g e s e t les c r e v e t -
cine Chabot, etc. Production de l'Eskabel. A l'af- pal et, en a p p e l a n t c h a c u n p a r m e d a n s la s o c i é t é . M m e Reed,
fiche jusQu'au 30 mai. e x p l i c i t e . Ce q u e l'on s u g g è r e , tes, je crois).
son n o m , on place les spec- u n e é v o l u t i o n n i s t e , prouve au
Quand on va à l'Eskabel, il y Ainsi Plein Chant, le d e r n i e r c'est la naissance du désir du tateurs dans les sections étagées contraire que l'instinct maternel
a t r o i s ou q u a t r e p e t i t e s s p e c t a c l e de l ' E s k a b e l , qui a c o m p o s i t e u r A s c h e n b a c k face de la salle à m a n g e r de l'hôtel
au j e u n e a d o l e s c e n t — et ulté- JOCELYNE LEPAGE qui permet aux espèces anima-
choses dont on e s t a s s u r é d ' a - demandé aux alentours de 5,000 qui, sur deux côtés entourent la
rieurement à sa mère — rencon- les de survivre est justemeht ce
v a n c e : q u e le j e u des p a r t i c i - h e u r e s de t r a v a i l et de r é p é t i - plage — ou ce qui en tient lieu —
pants p a r exemple sera hiérati- t r é d a n s le hall d'un hôtel de qui a permis à l'espèce htjTrtaine
tion, retiendra moins l'attention et débouchent vers le bas sur le E t si vous considérez que le
que, plein de pauses et de poses Venise e t côtoyé p a r la suite non seulement de survivre, mais
salon et vers le haut sur une es- lion est le roi des animaux parce aussi de se socialiser. La mère a
et au ralenti, que la mise en scè- p e n d a n t d e s j o u r s et des j o u r s , pèce de balcon-estrade. Ce décor qu'il se tape trois femelles qui le
ne se r a p p r o c h e r a du rite et du au g r é d e s m o u v e m e n t s quoti- donc é t é le p r e m i e r «homme»
% • MARTIAL r a p p e l l e un peu celui de India n o u r r i s s e n t e t le s e r v e n t , dé-
*t • c é r é m o n i a l , que le v e r b a l s e r a d i e n s d e s v a c a n c i e r s — et des Songdonné l'an dernier à pareil- social.
DASSYLVA spectateurs, puisque, ce coup-ci, trompez-vous, car pour chaque Au fil d e s p a g e s , nous décou-
» réduit — c'est le cas de le dire — le époque p a r l'Eskabel.
l'Eskabel tente d'intégrer com- mâle qui a trois femelles, il y en v r o n s le rôle c o n s i d é r a b l e que
à sa plus simple expression, si-
non en morceaux, que l'environ- p l è t e m e n t c e s d e r n i e r s dans le a deux qui n ' e n ont p a s et celui les femmes ont joué dans les so-
M* La «séance» continue ponctuée qui en a ne les a p a s pour long-
n e m e n t , l ' a t m o s p h è r e et le cli- rituel. de p r o c e s s i o n s , de j e u x s u r la ciétés primitives et comment il
mat seront généralement privi- temps car, dès que les femelles s e p o u r r a i t fort bien q u ' e l l e s
plage, de ritournelle chantée par j u g e r o n t le m â l e choisi trop
It
légiés. des gens du peuple ou encore de aient inventé l'agriculture
ramolli pour la reproduction, (pendant que les hommes chas-
scènes oniro-fantastiques — elles le chasseront et le rempla-
Il y a u n e m a n i è r e E s k a b e l , s a i e n t ) , le t i s s a g e , la peterie,
-A
9» •' comme il y a une manière Jean- par son contenu que p a r son en- Spectateurs intégrés comme celle des jeunes hommes ceront p a r un autre, plus jeune, découvert le feu et développé le
veloppe. E n effet, au niveau du entièrement nus accrochés à des plus beau.
Claude G e r m a i n , une m a n i è r e Au début de la représentation, langage. Il s e pourrait fort bien
contenu, Jacques Crête n'a con- cordes de gymnases et flottant
r Paul Buissonneau, une manière le spectateur assiste à la premiè- E n fait, le m o d è l e familial le q u ' e l l e s a i e n t é t é chimistes
s e r v é de Mort à Venise que les dans les airs — d'effets d'éclai-
André B r a s s a r d . La r e v u e Jeu re scène-séquence, debout der plus c o u r a n t chez les a n i m a u x a v a n t les h o m m e s e t il e s t cer-
g r a n d e s lignes de l ' a c t i o n , un rages particulièrement intéres-
c o n s a c r e d ' a i l l e u r s le dossier rière le rideau de tulle, puis les est la famille monoparentale où tain qu'elles furent médecins.
•M peu comme un chorégraphe qui s a n t s et de m o n o d i e s plus ou
** principal de son dernier numéro garçons de l'hôtel l'invitent à se le parent unique est, bien sûr, la Selon M m e Reed qui apporte
n'aurait gardé que le matériau moins fermes.
M*. p r é c i s é m e n t à l ' E s k a b e l , aux déplacer dans un local adjacent maman. de nombreuses preuves à l'appui,
p r é o c c u p a t i o n s de s e s princi- nécessaire à son argument, quit- les sociétés p r i m i t i v e s étaient
te, d a n s un d e u x i è m e t e m p s , à au hall et qui servait naguère de Un ballet théâtral, proclame la Dans Féminisme et anthropo-
paux a n i m a t e u r s et à la place garage intérieur. p u b l i c i t é - m a i s o n à p r o p o s de logie, la traduction du dernier m a t r i l i n é a i r e s plutôt q u e ma-
que c e t t e t r o u p e occupe d a n s mettre de «la viande» autour de t r i a r c a l e s . N ' e n d é p l a i s e aux
l'os. Plein Chant. Un ballet théâtral, e s s a i d ' E v e l y n Reed, une célè-
notre paysage théâtral. À c e t e n d r o i t , on nous fait a s - avec tous les tics, manies et be- bre anthropologue américaine auteurs de la Genèse, E v e n'est
•K
En simplifiant un peu, on peut Plein Chant d ' a i l l e u r s a b a n - s i s t e r au d é b a r q u e m e n t de P é - b i t t e s d e s g e n s de l ' E s k a b e l , d é c é d é e l ' a n d e r n i e r , bien d e s pas née de la côte d'Adam, mais
affirmer que l'Eskabel se fait ici donne à peu près complètement t r a n g e r - c o m p o s i t e u r : il n'y mais un ballet théâtral superbe, i d é e s r e ç u e s et des clichés du Adam e s t sorti du v e n t r e d'une
tout r e c o u r s aux é c h a n g e s ver- m a n q u e q u e l ' e a u g l a u q u e de et e n l e v é , p r é p a r é a v e c p a s - g e n r e de ceux que j e viens de femme.
le défenseur d'un certain baro-
m*
que. Mais ce baroque, qui, à cer- b a u x , les p h r a s e s utilisées Té- V e n i s e . L ' é t r a n g e r se fraie un sion, amour et souvent des m e n t i o n n e r p r e n n e n t un d u r Evelyn Reed était socialiste et
tains moments, a eu une colora- tant en italien et leur rôle n'étant p a s s a g e à t r a v e r s les s p e c - moyens de fortune, et qu'il faut coup. Evelyn Reed a consacré 20 f é m i n i s t e . S a t h è s e rejoint la
tion «espagnole» me s e m b l e à t o u t e fin p r a t i q u e a u ' u n rôle tateurs qui, pour la circonstan- voir absolument. a n n é e s de sa vie à faire des r e - théorie d'Engels selon laquelle la
sj i c h e r c h e s qui lui ont p e r m i s de propriété privée est l'origine du
M. -
r e m e t t r e en question les thèses p a t r i a r c a t e t d e la famille pa-
généralement admises et large- triarcale, la famille telle qu'on
ment diffusées de ses confrères la connaît aujourd'hui. Ce type
a n t h r o p o l o g u e s c o n c e r n a n t la de famille e s t le r é s u l t a t d'une
J u s q u ' a u 7 juin évolution historique et n'est donc
Le groupe de LA VEILLEE f a m i l l e et les rôles de l ' h o m m e
présente MOLIÈRE et de la femme dans les sociétés pas «naturelle» comme on l'a cru
primitives et préhistoriques. longtemps.
CORNE — MUSE Georges D a n d i n
et M m e Reed s ' a t t a q u e en pre- La contribution d'Evelyn Reed
Du 1er au 25 mai inclus: au m o u v e m e n t f é m i n i s t e est
à 20H30 précises, du jeudi au dimanche au LES PRÉCIEUSES m i e r lieu au tabou de l ' i n c e s t e
2281 est, rue Sainte-Catherine, angle Fullum
ILF STF HE IF NE
RIDICULES qui serait, selon certains anthro- considérable. Elle s'est attaquée
(métro Papineau) deux comédies avec pologues, à l'origine de la famil- aux fondements prétendument
Pour reservations: 5 2 5 - 8 5 2 9 entre 16h et 20h Jacques ZOUVI Alain GENDREAU le telle que nous la connaissons «biologiques» du rôle de la fem-
le» 28, 29, 30 et les jours de spectacle Gabrielle MATHIEU Beatrix VANTIL m e dans la société et elle a mis à
a u j o u r d ' h u i . Or, E v e l y n Reed
Elisabeth CHOUVALIDZE Jean ROSSIGNOL j o u r la participation considéra-
Jean DALMAIN Serge DUPIRE p r o u v e que cela est faux et q u e
Mise en scène/Jean DALMAIN • Décors'Guy BEAUREGARD le tabou sexuel i n t e r d i s a n t au ble des femmes dans les sociétés
Le\ ptécti Mfont |OvMt olf«rnativement en frorçoi» et en ongJoi» à partir du I 2 moi m â l e t o u t e s les f e m m e s de son p r i m i t i v e s e t d a n s celles de la
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RESERVATIONS: TÉLE-REScRVE
861 -8267-68 626-0621
SALLES COMPLETES
9 mai. 1 4 mai. 3 0 mai
clan et non seulement sa mère et
ses soeurs, était en réalité relié
préhistoire. De quoi faire rêver
les femmes d ' y retourner!
au tabou du cannibalisme. P a r a i l l e u r s , si vous;voùlez
1 / Préstnte P o u r un p r o f a n e , les p r e u v e s rire en regardant s'écrouler ces
a p p o r t é e s p a r M m e Reed sont fondements dont j e viens de par-
t o u t à fait c o n v a i n c a n t e s . On ler, lisez un a u t r e livre traitant
découvre avec elle combien l'in- de la préhistoire et de l'évolution
t e r p r é t a t i o n de la p l u p a r t d e s d e l'espèce humaine et écrit par
anthropologues a été biaisée et u n e f e m m e ; un petit bijou de
c o m b i e n les scientifiques ont l i v r e dont on n ' a p a s b e a u c o u p
distordu les faits pour leur faire parlé, il me semble, dans les mi-
De D. L Coburn avec dire ce qu'ils voulaient. lieux f é m i n i s t e s . Il s ' a g i t de la
Traduction de Fin du surmâle ( l e titre est mal
Albert Millaire Béatrice Picard Un exemple. Vous vous souve-
choisi) d ' E l a i n e M o r g a n , une
Mise en scene de nez de D e s m o n d M o r r i s et du
Daniel Roussel et Singe nu, ce b e s t - s e l l e r d e s an- t r a d u c t i o n d e T h e Descent of
Decor de nées soixante? Il ramenait tout à Woman e t u n e p a r o d i e d e The
^Marcel Oauptrinai l ' h o m m e c h a s s e u r . Si l ' e s p è c e Descent of Man, le Singe nude
G* .. . ».
humaine est intelligente, disait- D e s m o n d M o r r i s . Un chef-
•L • •V* ^ : d ' o e u v r e d ' h u m o u r e t un livre
il, elle le doit à l ' h o m m e (le
LA C R I T I Q U E mâle) qui a découvert la chasse qui a rallié bien des hommes à Ja
Très beau à voir! cause féministe.
L échange entre B
\
et les a r m e s . Si l'espèce humai-
Duce ne a développé le langage, c'est Evelyn Reed, FÉMINISME ET
encore grâce â l'homme chas- ANTHROPOLOGIE, Ed. Denovl
Gonthier, 1979, 272 pages.
seur. (Point n'est besoin d'être Elaine Morgan, LA FIN DU SIR-
Plein Chant. c h a s s e u r p o u r t a n t pour s a v o i r MALE, Ed. Calman-Levy.

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Gérard Poirier
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spectacles •

Scénographie:
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4 Illustration de différent*» techniques (Activité du district 3)
Marcradi 7 mai à 20hOO
AU THÉÂTRE DE LA VIEILLE PULPERIE»
socio-culturelles
Défilé de mode précédé d'un récital de la LA BHANM Hll
1 3h00 à 23h0O samedi et dimanche
18hOO à 23hOO sur semaine chorale du 2 6 | u i n cm 3 1 a o û t à 21 hOO
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SPECTACLES: (Activité du district 3)
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«THÉÂTRE DE CHAMBRE» de Jean Tardieu
Théâtre, marionnettes, danse, musique
Jeudi 8 mai à 1 9 H O 0 dans une mise en scène de Paul Buissonneau
13hOO à 2 3 h 0 0 tous les jours
Patin à roulettes «Dtsco-roule»
ANIMATION POUR E N F A N T S : (Activité du district 1 )
(les mere., jeud., vend., sam. et dimanche)
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T O U R N O I S D'ÉCHECS: Soirée ethnique du 2 5 j u i n au 3 1 août à 16h00
19h00 à 23hOO du 5 au 9 mai (Activité du district 4B)
ÉVÉNEMENTS P A R T I C U L I E R S : Vendredi 9 mai à lOhOO ville de Montréal, «LE THÉÂTRE DE PICCOLO»
S a m e d i 3 mal à lOhOO
Partie vivante d'échecs géants (les mere, jeud., vend., sam. et dimanche)
(Activité du district 7)
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Samadi 1 0 mai à 20hOO
Venez retrouver Piccolo, Colombine, Pantalon
Argent»
I Bal d'époque avec l'orchestre «Bibi la Macaroni et capitaine de police.
(Activité du district 4A)
ii ic crème»
Lundi 5 mai à 20h00 La Compagnie Franche de la Marine et le
Jam-session du 9 | u i l l e t a u 1 3 j u II I e> t à 2 3 h O O
groupe folklorique breton « T r i s k e l »
(Activité du district 6)
«LES MIMES ÉLECTRIQUES»
i ,« r-
'» .. I
Mardi 6 mai à 19hOO
Patin a roulettes — parents-enfants
(Activité du district 2)
(Pour le troisième âge admission: $ 2 . 0 0 ) (les mard., mere, jeud., vend., sam. et dim.)
*
•in (Activité du district 5) Din-isnche 1 1 m a i l
\
'i 9 Mardi 6 mai à 2 0 h 0 0 Hommage aux mamans
du 1 6 au 2 7 | u l l U t à 23hOO
r? Soirée québécoise avec «Les Loups-Garousi
(Activité du district 8)
Accueil fleuri
Soirée de clôture (sur invitation seulement) «RENÉE CLAUDE chante CLÉMENCE» dans
«MOI C'EST CLÉMENCE QUE J'AIME LE MIEUX»
(les mere, jeud., vend., sam. et dimanche)

"Bin
Retrouvailles d'Arlequin
.. u » Arlequin petit cousin de Piccolo au costume bigarré, y applaudir 1,600 participants dans un théâtre con- MALBAIE «LES FOLLERIES»
tor»*f
taillé à plein dans nos courtepointes les plus colo- tinu de 45 heures de spectacle. se poursuivront au
rées, vous invite du 3 au 11 mai au Centre Claude-
À l'étage supérieur: les créations d'Arlequin où T o n
> » » : 11Robillard... centre sportif extraordinaire situé à l'in-
pourra admirer 9 0 0 oeuvres d'art plastique présen-
«4'SOUS AU MANOIR RICHELIEU»
â r f l t i tersection des rues S a i n t - H u b e r t et E m i l e - J o u r n a u l t
tées comme une mosaïque de l'esprit artistique des du 19 juin au 3 1 août à 2 1 h 3 0 (let jeud , vend , sam. et dimanche)
Grandes retrouvailles de tous les citoyens de la ville Montréalais; au bastringue d'Arlequin on dansera
: de Montréal, placées sous le signe des différents sur les meilleures tounes, au Centre Claude-Robil-
BI quartiers de notre ville... On célébrera ces
retrouvailles du 3 au 11 mai prochain et les Mont-
lard du 3 au 11 mai prochain. Aux retrouvailles de
nous autres... JUSQU'AU 8 JUIN A 2 0 H 0 0
réalais se retrouveront aux séante* d'Arlequin pour Paul Buissonneau
LE 4'SOUS PRÉSENTE
no
• -' r • 1
4- * xftr^r^rt v
MMHHHI M El • EH 1 MRU
_ VSr_vr'
:
1 : »mÊmmmmmKmmmmMmBamm
.... v- v. •• / V , _ — . . .,. . . . . . . . . . . . . ^ «LES FOLLERIES DU SAMEDI SOIR»
Una comédie da Morcal
'}*•••> * f. , m m %
M r m o i t d'oprat G « n a Stona
dons una m i t a an tcana 6m
Poui Bvtsaennaou ov«<
A n d r é * Lochop«tla, Lania
Scoffté, Y v a n D u m o n t ,
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DU 3 A U 11 MAI '80 •
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direction: y vet te brind 'amour mercedes palomino THÉÂTRE
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mardi au samedi 20h ICE SOIRl


DEni5S-PEUETIER •

une mascapade de Jean-Claude Germain


dimanche 19h ^ O h l *

avec: NICOLE LEBLANC


âa ai » y T i ^ i f c w .
à^Bi & a^a^^^^^r^^^Bâ^BB^^aV / / -J * i^^a^kl a
^É^
aa^
^b—

Apprends-moi, MARCEL ROUSSEAU


C * £ k ] \ r % Ç k comédie de
VrfCllUC Maria Pacôme FRANÇOIS DUBÉ
mise en scène Danièle J Suissa .
DES TROIS V- v

d u l l au29juin

% Une compagnie de 400 jeunes


ORANGES M.-
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du mardi au dimanche

21 heures
chanteurs, danseurs et musiciens d'Alexandre Arnoux • «
M loti an vont* ou Théotra d'Aujour-
d'hui: 1297. ruo Pooinoou 523-1211
*' '- w
ai ou Théôtro ou Nouvoow-Mondo
Mise en scène: Gilles Pelletier S4 OUoat, rvo Sointo-Cath«rino of
Mise en scène et chorégraphie
oux Montreal Trvtt.
Décors: Claude Fortin
Oare Schaplro 27, 28 mai
à 20h00 ' Costumes: Pierre Perrault
Direction musicale
Éclairage: G u y S i m a r d
Laurie Lesk
5K Riii»t«*si.sn
Billets: *4.50, i$5.00, $*5ft $7.00, $8.50 Catherine Bégin Janine Sutto Musique: Pierre Voyer
QAIIF Guichet s :_du lundi J U Louise Deschâtelets François Trottier avec
WLIFRD
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-ELLETE
IR SÏÏSS^ïtSSV..
PLACE DES A R T S • réservations téléphoniques
de Jean Deschênes Pierre Thériault
Montréal (Québec) H2X 1/9 RenwRnement»: 842-2112 décor costumes
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Dlonne, Danielle F i l i o n , Marcel Gerald. Ronald
Guèvremont, Suzanne Langlois, Jacques _
L o r a i n , Aubert Pall^scio, Jean-Louis P a r i s , -
Rèserattms: 861-0563
Lorraine Pintal, Yvan Ponton, André S t - D e n i s ,
Renald Tremblay
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tnm Place d e s A r t s Tjfi]
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4353 est, Ste-Catherine .
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présente

? Jan IvueteIKp'S 8 4 o u e 8 t r u e s c a , h e r i n e
J Association du Theatre Multicultural du Quebec présente M o ?réàr n tnm
i
Festival de Théâtre
S * Multi-Culturel 1980
i| du 18 avril au 11 mai
^ impromptu
AU THÉÂTRE
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mise en scène G U Y S P R U N G Dernières


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3 20>30
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«VALU fNCLAN. (THéôlrt eipognal) MUSEO DEL P R A D O
por Rofoel AJbarti t
j d'ntitremont
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de Michel Tremblay
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MAI
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(Fronçoit) pnmnte
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"quelle fantaisie, quel sens à la fou CE SOIR MAI
9 20*30
CULTURAL ASSOCIATION 0 f STARTING P«0M THE END 1
mise en scène André Brassard Monique Mercure
poétique et dramatique dans et INDIA pr*i*nr* por: S. Bonarjea i
DEMAIN
spectacle , • « (pétillant) comme du
20 h 30 MAI «UMASCHEK» (Thafttra LU0M0. LA B£STIA E LA décors et costumas François Laplante Rita Lafontaine
champagne." 10 20M0 Itolif n) VIRTU
éclairages François Bédard Denise Morelle
s

(Jean-Paul Brousseau. La Pretta) 11 IfMOttMti prtiente por luigi Pirandello |


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453, rye Somt-f ronçon-jlovief
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288 3161 j Réservations: 8 6 1 - 0 5 6 3 G f / 9
D 8 LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 3 M A I 1 9 8 0

••X"

porte quoi
porte comment
Après quelques années de
silence, d'heureuses années,
Nestor, popularisé par Claude
Blanchard, de même que Patof

il
(Jacques Desrosiers), qui a ren-
du son c r é a t e u r millionnaire,
refont aujourd'hui surface. Pour
le temps d'un disque du moins,
car il me semble avoir entendu,
à la radio, qu'ils n ' a v a i e n t pas • A
l'intention de revenir définitive-
ment dans la peau de ces person-
nages, qu'ils ne voulaient plus > fi
s'embarquer dans d'intermina-
bles séries télévisées, comme ce
fut le c a s par le p a s s é . A une
époque où les héros et les succès
d'hier reviennent dangereuse-
ment à la mode, ils n'ont sans
doute voulu qu'avoir, eux aussi,
leur part du gâteau.

Celine Lomez photo Jean Goupil, LA PRESSE

D ' a i l l e u r s , et ils ne s'en sont


Après avoir fait du cinéma j a m a i s cachés, tous deux aiment
en anglais, il fallait bien que
Céline Lomez chante en anglais.
S O N PREMIER 33-TOURS bien et s a v e n t d'ailleurs com-
ment s'y prendre pour faire
C'est entre deux séances de tour-
S
beaucoup d'argent, à coup sûr et
nage, que la fille de Test de Mon- facilement. «Je ne travaille par Pon Pon, le ti-chien chien de la tables, les plus facilement drô-
tréal devenue vedette de l'écran
a e n r e g i s t r é r é c e m m e n t son
premier microsillon. Céline Lomez pour l'art, a déjà dit Blanchard à
un jourmaliste, mais plutôt pour
l'or». En ce domaine. Desro-
s i e r s , son p a r t e n a i r e d'un dis-
maison qui tombe en amour, un
j o u r , a v e c une vieille moufette
qui, devine quoi, l ' a r r o s e r a , et
d'autres qui sont davantage des-
les, les plus s e x i s t e s , souvent.
Dans Nanette, entre autres. La
chanson raconte les péripéties
de l'un de nos deux héros, qui
Penis LAVOIE
«Il aurait pu être en français
chante en anglais que, n'a lui non plus de leçons à
recevoir de personne. On se rap-
pellera l'exploitation énorme,'
éhontée diront certains, qu'il a
tinées aux adolescents et aux
adultes et traitent principale-
ment des relations entre ti-gars
et tit-filles. D'une façon ou d'une
tombe c o m m e bizarrement en
amour a v e c une j e u n e fille qui
ne répond pourtant pas aux cri-
tères, certains diraient les plus
c e premier 33 tours, explique François Guy. Elle aurait d'ail- m a r c h é anglais, ça m ' a pris faite d'un personnage pourtant autre, cependant, on utilise tou- s e x i s t e s . «Elle avait l ' a i r d'un
Céline Lomez lors d'une entre- leurs aimé que celui-ci puisse lui beaucoup de t r a v a i l » . Céline bien ordinaire, d'un clown de jours les thèmes, les images, ou dirigeable, dit le comique, fallait
vue, mais c ' e s t le sort qui en a composer au moins une chanson, Lomez parle ainsi franchement t r o i s i è m e ordre, en inondant les préjugés les plus faciles. ê t r e deux pour la bouger.» E t
décidé. En fait, ce sont des amis mais ça n'a pas pu se faire cette de ce disque qui lui a demandé rapidement le m a r c h é de dis- «Dis-moi pourquoi, mon ami puis, «elle avait un oeil b l e u e t
anglophones, dont le frère de fois-ci. d'être plus agressive et masculi- ques, de p y j a m a s , de brosses à Patof, demande le candide Nes- l'autre brun, si bien qu'on*ne
'Nanette, Billy Workman, qui Pour son 1er long j e u , Céline ne et de se dépasser dans sa per- dents et de divers gadgets, plus tor, t'es le plus beau et le plus savait vraiment pas si elle avait
m'ont approchée, probablement Lomez a pu s'entourer de très sonne. farfelus et insignifiants les uns dû chagrin,» etc, etc. £V .
fort? » « P a r c e que j e mange
séduits par le s u c c è s de Vol de bons musiciens dont Frank Ma- E l l e ne s'attend pas pour au- que les autres, à son effligie. bien, répond le sage petit Patof, E t puis B l a n c h a r d et Desro-
nuit, que j ' a i e n r e g i s t r é sur 45 rino et W a l t e r Rossi aux guita- tant à c e que ce soit un s u c c è s . Ce nouveau disque, le premier dont l'intérêt pour la qualité de siers exploitent évidemment fies
tours, pour accompagner le film res. Ça n'est pas ce qui s'est fait Elle attend de voir les réactions,
du même titre. si j e ne m'abuse qu'ils font con- la vie est maintenant légendaire. modes, le disco, «Disco time,
de mieux c o m m e disque, mais comme elle aimerait retourner j o i n t e m e n t , est à l ' i m a g e et au P a r c e que j e dors bien aussi et disco time, come on babe, John
«Ça me tentait, c'était un défi, ça se prend assez bien pour qui à la s c è n e , p a r c e qu'elle est niveau de c e que B l a n c h a r d et prens la vie du bon côté.» E t puis Travolta, etc»* ou encore les pa-
quelque chose que j e n'avais aime encore le disco et les chan- «curieuse de voir c ' e s t qui mon
sons d'amour. D e s r o s i e r s ont à peu près tou- ensuite, quelque part dans la tins à roulettes, dont l'immense
j a m a i s fait», raconte Céline public». même chanson j e pense, le petit popularité n'est d'ailleurs pas
L o m e z . E l l e ne fait ainsi que «Je ne dirais pas que c'est moi jours fait, c'est-à-dire facile et
insipide. Sauf peut-être qu'ils se Nestor demande encore à son étrangère au disco.
revenir à ses anciennes amours, tout à fait, p a r c e que c ' e s t en En attendant, il y a ce disque, ami Patof, pourquoi, dans un Un disque bête, plate, facile,
car dès l'âge de 11 ans, Céline et a n g l a i s » , d é c l a r e la chanteuse qui présente plusieurs facettes sont d a v a n t a g e souciés, c e t t e
fois-ci, de ne pas trop se faire bulletin, ses notes ont dégringo- pas drôle pour un sou et morali-
Liette (sa soeur) chantaient en qui aimerait revenir à la scène. de Céline Lomez qui a presque lé. P a r c e que j e n'ai pas étudié,
t r a i t e r d'exploitateur, c o m m e s a t e u r quand il t r a i t e de sujets
duo. Pour faire ce disque, Céline dû j o u e r pour c h a n t e r en fran-
c'est déjà arrivé, en raffinant — répond P a t o f qui à son tour re- plus i n t é r e s s a n t s . Un disque,
Céline Lomez, si elle est sur- L o m e z , la toute belle, c o m m e çais. Il en restera au moins une
le mot est peut-être un peu fort çoit des leçons de morale. «Mais malheureusement, qu'on devrait
tout connue par le cinéma, qui s'est é c r i é un j o u r n a l i s t e des bonne e x p é r i e n c e pour l'inter-
— leur produit. Mais si la forme si tu n'apprends pas tes leçons, s ' a r r a c h e r . C a r BlancharcP&t
demeure son principal gagne- pages sportives en voyant sa prète, qui est sortie d'elle-même
photo, a dû se dépasser. a changé, si l'enveloppe est lui dit en effet Nestor, on te don- Desrosiers, encore une fois, ont
pain, a aussi fait de la scène et et de ses craintes pour enregis- nera des punitions.»
maintenant plus subtile, le fond fait n'importe quoi pour vendre. *
des 45 tours, en plus de partici- «Moi j e suis plus blues ou bosa t r e r c e premier disque en an- Voilà pour le volet regardez -
reste cependant le même. Dans la prochaine chronique,
per à deux revues musicales de nova, mais pour a t t a q u e r le glais. comme - nous - mettons - notre - nous parlerons de choses plus
Si le disque s'adresse particu- popularité - au - service - de - la - sérieuses, intéressantes, qui en
lièrement aux enfants, bien sûr, bonne - cause. Tout est lieu valent d a v a n t a g e la peine, du
il vise néanmoins d ' a u t r e s ci- commun, en plus d'être fait sur dernier album de Paul Piché, dé
bles, l'auditoire le plus l a r g e un ton platement moralisateur. Stephen F a u l k n e r , qu'on appe
possible en fait, ce qui le rend un E t puis on continue aussi, de l a k autrefois Cassonade et c^u
peu bâtard. S'y côtoient donc des c h a r r i e r , dans d ' a u t r e s chan- dernier Ferland, qui s'est long-
Renseignements et Renseignements chansons c o m m e celle du petit sons, les plus facilement exploi- temps fait attendre.
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Le vendredi 16 mai Le samedi 17 mai ANTON KUERTIl
(a compter de 20h) (à compter de 19h) et ses amis
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• Edith Butler
• Claude Dubois
2.
3
Pauline Julien
Richard A. Séguin
4. Robert Paquette
5. Rêve du Diable
«OFFRANDE
• Purlaine
• Les danseurs de l école des Ballets
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7.
Jen-Marc Dalpé
Les danseurs de I école des Rallets
MUSICALE»
modernes du Québec modernes du Québec Salle Pollack
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Billet*: $ 8 t t $ 5 . 5 0

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Le dimanche 18 mai
(à compter de 14h)
Tncéphale (Découverte)
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Offenbach en fusion
Michel Vallières
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Denis Losier
\t DOU DOU BOICEL
L'après-midi rochelandaise 0 PRODUCTIONS INC V
Les danseurs de l'école des Ballets
modernes du Québec
Le Théâtre national de Mime du Québec
ÉÊf.
«LE FESTIVAL DE L'AIL DES BOIS» est une présentation de Les t
Productions Là Ste-Famille: Paul De Broeck, producteur. ' t • *v. .v 3m

EUEN McIL WAINE


Direction artistique et mise en scène: Hugo de Pot avec la collabora-
tion de: Les Danseurs de l'école des Ballets modernes du Québec et t b i t n - a i m é * d«s M o n -
tréalan chant* «t jove
sa guitar* «non-Mxi»-
le Théâtre de Mime du Québec. C* sot «t demain

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Laura Dean, du temps qu'el- corps, et plus particulièrement, Durham ( C a r o l i n e du N o r d ) en
q u a r a n t e minutes, et m ê m e ,
le é t a i t petite f i l l e , s'amu- de sa tète. j u i l l e t 1979. C ' e s t une o e u v r e
pour l'un d'eux ou l'une d ' e l l e ,
sait à tout c o m p t e r ce qui pou- C e t t e question d ' é n e r g i e de- d ' e n v i r o n 65 m i n u t e s dansée
quarante-cinq minutes, un j o u r ) .
v a i t ê t r e d é n o m b r é : le n o m b r e v i e n t c e p e n d a n t peu à peu cen- sans interruption ( e t ce sera U
Ce q u ' e l l e fait part toujours,
de m a r c h e s du p r e m i e r au se- trale dans toute sa vie créatrice, seule au p r o g r a m m e de Mon*
cond étage de la maison, !e nom- d'ailleurs, des mouvements les
et depuis q u ' e l l e c o m p o s e ses plus s i m p l e s du c o r p s , c o m m e t r é a l ) . Des éléments de mouve-
bre de pas de la maison à l'école. propres partitions, elle déclare ment relativement simples sont
Cela, d'abord, se verra en clair m a r c h e r , sauter, tourner sur
ne faire aucune différence entre présentés, arrangés géométri-
demain soir, lors de la représen- place.
le l a n g a g e et le c o r p s , e n t r e la quement en scène et développés
tation de sa dernière oeuvre cho- musique et le corps. «Je ne crois La progression de son oeuvre
sur le p r i n c i p e de la r é p é t i t i o n
régraphique (elle est aussi l'au- pas q u ' i l y ait de d i f f é r e n c e à créatrice consiste, si ce n'est pas
familière à la « N e w M u s i c » . \
teur de la musique): Music. parler des cycles du soleil ou de trop ironique de le formuler ain-
si, à... m e t t r e un pied devant Il est difficile à quiconque n'a
Je n'ai, pour parler d'elle, que l ' é n e r g i e de la t e r r e . Je ne fais
l'autre, à passer graduellement jamais vu Laura Dean d'en par-
la pochette de presse réunie par ler verbalement de façon conv
les soins de Christiane Charette, a l'étape suivante. L'un des arti-
cles du credo personnel de Laura préhensible. A en lire la chroni-
du service d'animation culturel-
D e a n , d ' a i l l e u r s , consiste à sa- que cependant, il faut comprend
le du Musée des Beaux-Arts, qui
v o i r e x a c t e m e n t ce qu'on veut dre que le d é v e l o p p e m e n t de
patronne cette visite en coopéra-
faire en danse avant de le faire. l'oeuvre, pour être lent, n'est pas
tion a v e c le T r i t o r i u m du C E -
( P o u r Tobi Tobias, elle cite aussi toutefois l é t h a r g i q u e ; q u ' e l l e
G E P du Vieux-Montréal, où cela
se d é r o u l e r a , d ' a i l l e u r s . Docu- deux autres articles de ce credo: fait appel à des figures achevées
ments fournis, certes, par Laura l'approfondissement de la tech- de la danse c l a s s i q u e , m a i s se
Dean Dancers and Musicians de nique et... la persévérance.) Elle r é f è r e aussi au m o u v e m e n t
New York, mais aussi réunis ail- a elle-même écrit de façon intel- dans sa forme la plus primitive;
pas de distinction entre les types
leurs par Christiane Charette — lectuellement très clair sur l'une et que c ' e s t la lente accumula-
d'énergie.» Laura Dean
dont ce sera l'une des dernières ou l ' a u t r e de ses o e u v r e s dans tion de transformations parfois
Mais à San Francisco, elle est
a c t i v i t é s au M u s é e avant son sur la logique. Elle pense cons- des revues ou publications à tira- subtiles qui finit par gagner l'au-
venue « f a i r e le m é n a g e du cer- J'ai découvert que par ce geste
départ dans quelques semaines, t a m m e n t en t e r m e s p a t h é m a - ge parfois limité pour la danse, ditoire et à le faire passer, avec
v e a u » et, e s s e n t i e l l e m e n t , se s i m p l e — ça m a r c h e aussi de
et par les soins de qui les Mon- tiques, et déclare que les mathé- et dans une e n t r e v u e à R o b Ba- les danseurs, à une sorte d'exta-
c h e r c h e r . C ' e s t c e q u ' e l l e fait, simplement sauter sur place —
tréalais ont pu voir notamment r é p é t é et r é p é t é sans c e s s e , on m a t i c i e n s sont les plus g r a n d s ker pour Dancemagazine (Nov. se énergétique.
dans un p e t i t studio, plusieurs 77), e l l e fait p a r t de sa
d ' a u t r e s s p e c t a c l e s de danse heures par jour, en se forçant à atteint un tout autre niveau d'é- philosophes et les ingénieurs de Il y a six d a n s e u r s : L a u r a
p o s t - m o d e r n e , tels Lucinda «numérologie» privée (le chiffre D e a n , A n g e l a C a p o n i g r o ( à qui
r e n o n c e r à tout ce q u ' e l l e a ap- nergie. L'esprit se d é g a g e et on l'expansion de la conscience.
Childs et Douglas Dunn. 8, par exemple, elle le voit com- Music est d é d i é e ) , P e r r y Sou-
pris en danse a u p a r a v a n t , à ne est en contact avec l'intérieur du
Ses chorégraphies sont mêmes me deux 3 c o l l é s e n s e m b l e — chuk, P e t e r H e a l y , E r i n M a N
L'évolution créatricede Laura pas faire un pas, un geste qui ne corps. E t alors, j ' a i su que j ' a l -
illustrées géométriquement sur sans oublier que couché de côté, thiessen et Ching G o n z a l e z — '
Dean est liée, sans doute, au fait soit pas d ' e l l e . Il en résulte d e lais faire de la chorégraphie.»
le 8 est le s i g n e m a t h é m a t i q u e tous ayant leur couleur de costu-
d'un p è r e a r c h i t e c t e et d'une longues heures où e l l e se con- L ' e n f a n c e de L a u r a D e a n , à papier. Jumping Dance, par
exprimant l'infini...). m e s — et trois musiciens: Peter
mère intéressée par les mathé- damne littéralement à rester c o m p t e r les m a r c h e s et peut- e x e m p l e , c'est douze danseurs
assise dans le milieu de la place, ê t r e les m o u c h e s , se p r o l o n g e arrangés en scène trois par qua- M u s i c , que nous v e r r o n s de- Wetzler ( p i a n o ) , Michael Levine
matiques et la linguistique, mais
e n c o r e à une suite i m p r e s s i o n - sur une chaise. Elle tente de fai- dans une v i e créatrice — et sans tre, et qui sautent sur place jus- main soir, a eu sa p r e m i è r e au (violon) et Nurit Tilles
nante de professeurs re le calme... doute une v i e tout court — basée qu'à épuisement (généralement A m e r i c a n D a n c e F e s t i v a l de (synthétiseur).
(notamment Lucas Hoving, Paul M a i s il s'ensuit q u ' e l l e f a i t . . .
T a y l o r et M e r c e C u n n i n g h a m ) les cent pas! E l l e a d ' a i l l e u r s
_— sans oublier non plus sa for- raconté à Tobi Tobias de Dance
mation très complète en piano et M a g a z i n e pour une e n t r e v u e L E S C O N C E R T S P R E M I E R Liée présentent
Les Concerts Premier Ltée présentent
c o m p o s i t i o n , non plus que son dans le New York Times (6 nov.
association pendant quelques
années avec le compositeur Ste-
1977) la fascinante suite d'événe-
ments qui d e v a i t ê t r e un point L'ORCHESTRE
ve Reich, créateur, avec Philip tournant dans son apprentissage
Glass, de la « N e w Music». de la danse:
M a i s c e q u ' e l l e r a c o n t e dans « M a r c h e r m ' a i d a i t à m e net- •I 6
plusieurs entrevues réunies dans toyer l'esprit. Mais après avoir EN
marché en avançant et en recu- dirigé par
ce d o s s i e r de presse de tantôt,
VENTE Jimmy
c'est son départ pour San Fran- lant, pour faire changement, j e
cisco — précédé d'un incident en me suis mise à marcher en cer- AUJOURD'HUI /Henderson
apparence sans importance du- c l e s . L e s c e r c l e s se r é t r é c i s - avec
rant une classe de Cunningham: saient en une s p i r a l e . Un j o u r ,
e l l e ne porte plus attention au j ' a i atteint le centre de cette spi-
The Moonlight
m o u v e m e n t qu'il tente de dé- rale, et j e me suis aperçu que j e Serenaders
v•••••>•.
• v- ..
montrer, mais à sa personne, à tournais sur moi-même c o m m e
l ' é n e r g i e qui se d é g a g e de son une t o u p i e . E t là, j ' a i vu c l a i r .
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D 11

v
V «Très mauvais!» ;
avait dit M. Schiff
CLAUDE GINGRAS bles. Et une grande maison, elle
aussi responsable, a mis sur lé
Deux disques de concertos marché cette chose qui, finalej-
de Brahms, avec le violonis- ment, se résume à une parodié
te Salvatore Accardo et le vio- du «Double» de Brahms.
loncelliste Heinrich Schiff, pa-
raissent au moment même où Est-ce bien grave? Je ne pense
ces deux musiciens étaient an- pas. L'industrie du disque étanj
noncéS'à Montréal au début du ce qu'elle est, c.-à-d. une indus-
mois, Schiff jouait l'OSM (le trie, s'adressant à un public quj
Concerto de Lutoslawski) ainsi achète tout, ou plutôt: n'importf
qu'au Ladies' Morning Musical quoi, dès que cela est nouveau, h
Club. Mardi et mercredi, à se trouvera une foule de gens
l'OSM é g a l e m e n t , Accardo de- pour ne rien entendre, ou encore
vait être l'une d e s vedettes du pour aimer ce Brahms
dernier «Concert du Maurier» de «différent», un certain goût du
la s a i s o n . . . Mais il ne s'est pas morbide sommeillant au fond de
présenté. chaque être...
Les deux musiciens se retrou- Moins sévère que M. Schiff, je
vent sur le même disque, dans le dois dire que j'ai décelé là, au
Concerto pour violon et violon- départ, une certaine pensée et!
celle; sur un autre disque, Ac- tout au long de l'exécution, un
cardo joue le Concerto ppor vio- certain plaisir (lire: du «fun») a
lon. Dans les deux cas, l'orches- jouer ainsi, en manches de che-
Leonard Bernstein: totale immersion dans le monde beethovénien. tre est celui d Gewandhaus de mises (pour parodier Richepin):
/•Ml I

Leipzig dirigé par Kurt Masur Vraiment, il ne manque qu'une


(son chef depuis 1970). Masur et chose à cette sauterie: Zubm
Mehta à la direction. Rien de;
Le Beethoven die

le Gewandhaus n'en sont pas à
leurs premiers Brahms: il y a
quelques mois paraissait, sous
bien sérieux, donc. Aujourd'hui;
le disque parait. Demain, il sera
oublié.
leur signature, et é g a l e m e n t

I
Iinr
Bernstein: du travail sérieux! chez Philips, une intégrale des
quatre Symphonies qui, par ses
qualité musicales et techniques,
Avec l'enregistrement du Con-
certo pour violon, le problème
est différent. Salvatore Accardo
Leonard Bernstein a main- . Beethoven en faisant abstrac- est à placer parmi les plus belles est avant tout un virtuose et, ai
mouvement «adagio e molto can- tôt rare dans les enregistre- cet égard, ses deux intégrales
tenant abandonné le Broad- tion de ses préjugés... mais tabile», lui le prend tel qu'indi- ments de la Neuvième, on en- actuellement (coffrer de 4 d.,
way et West Side Story; il a lais- 6769 009; également en cassette). Paganini ( l e s six Concertos et
comment ne pas en avoir quand qué, en lisant bien: «adagio mol- tend clairement le texte chanté les 24 Caprices), parues chez
sé à d'autres la Philharmonique on a entendu la précédente inté- to e cantabile». Chez Bernstein, parle choeur. De Brahms, encore, Masur et
son orchestre ont enregistré, Deutsche Grammophon, sont;
"de New York et le style Von Sup-' grale Beethoven de Bernstein, cet «adagio molto» (i.e. «très exceptionnelles. Comme inter-?
pé. Il est devenu Européen. faite dans les années 60, à l'épo- lent») s'exprime dans un mouve- Cette intégrale a été réalisée plus récemment, les deux Con-
pour une maison qui a déjà qua- certos pour piano, avec Misha prête, il est plutôt à l'aise dans*
Mieux encore: un chef d'orches- que de son règne à la Philharmo- ment constamment retenu qui les musiques faites avant tout»
t r e profond et racé, au dynamis- tre intégrales Beethoven à son Dichter, entendu ici la saison
nique de New York — cette inté- évoque les mentions dernière. pour plaire, les musiques, di-:
me toujours bien caractéristique grale avec ses mouvements sac- «zuruckhaltend» («retenu») catalogue: une de Bôhm avec le
même orchestre; une de Kubelik sons, peu profondes. Ainsi, son;
_de_sa personnalité, mais un dy- cadés et violents, ses cuivres au qu'on rencontre si souvent dans intégrale des neuf oeuvres pour
namisme maintenant contrôlé et son cru, s e s bois aux rubatos les partitions de Mahler. Il y a en avec un orchestre différent pour
chaque symphonie; et deux de violon et orchestre de Bruch,!
débarrassé de cette vulgarité d'un goût douteux... effet presque quelque chose de Les deux disques de concertos chez Philips également, est a b -
qui autrefois entachait tant de mahlérien dans cet adagio de Karajan et la Philharmonique
de Berlin. Deutsche vient juste- pour instruments à cordes, qui solument irrésistible.
ses interprétations. À 60 ans Rien comme l'écoute compa- Bernstein... Ce serait ma seule nous occupent pour l'instant,
g r o s s e s , il était plus que temps r é s e r v e , — et encore! puisque ment de rééditer, en Resonance, Par contre, ii manque une;
rative: d'une intégrale à l'autre, sont décevants. Surtout le pre- dimension à son Concerto de;
que l'heure de la sagesse sonnât ce n'est plus le même chef, ce cette retenue constante se fait la version Karajan de 1962, iné-
gale par rapport à sa version de mier disque (Concerto pour vio- Beethoven, paru l'an dernier. De!
pour M. Bernstein. C'est fait. n'est plus le même orchestre sans le moindre «schmalz»! lon et violoncelle). Rencontré
1977, laquelle est la meilleure m ê m e , son Brahms est hors de}
Le «nouveau» Bernstein s'était (certainement p a s ! ) , ce n'est Il y a un autre aspect de cette brièvement après son récital style. Un large vibrato ne donnej
révélé au disque dès 1978 plus le même son (que de pro- des quatre mais trouve mainte-
interprétation de Bernstein sur nant, avec Bernstein, une sérieu- au LMMC Heinrich Schiff, par- pas nécessairement sa v r a i e
i^Ptinnée même de son (JOe anni- grès techniques réalisés en 20 lequel, j e pense, il y a lieu d'in- lant de cet enregistrement, s'é- couleur germanique au Concertoï
v e r s a i r e ) avec des enregistre- ans! ) . . . bref, ce n'est plus la se concurrence... tait contenté de ce commentaire
sister, et par lequel son appro- de Brahms, non plus qu'un phra-
m e n t s , d'une qualité musicale même musique! che diffère sensiblement de celle L'intégrale Bernstein porte la laconique: «Très mauvais!» Je sé complaisant ne lui confère de
•étonnante de sa part, de la Tout serait à citer dans cette des autres. Tout au long de l'au- mention «enregistrements pu- n'avais pas poursuivi davantage spiritualité. Je dois dire qu'au*
Taust-Symphonie de Liszt et du nouvelle intégrale: chaque mou- dition, on est conscient non seu- blics». Etrange, car j a m a i s le la conversation, les musiciens niveau de la pure production vio-ï
Fidelio de Beethoven, tous deux vement de chaque symphonie, et lement de la totale immersion du moindre bruit de salle n'inter- ayant, comme on le sait, d e s lonistique (jeu et sonorité), c'est
.parus chez Deutsche Grammo- m ê m e chaque passage majeur chef dans la pensée beethové- vient; on entend tout au plus opinions parfois fort étranges là un disque extrêmement plai-j
phon (ne pas confondre cette de chaque mouvement. Far ex- nienne, mais encore de sa con- Bernstein taper du pied dans des sur la musique et notamment sant à écouter, et bien des gens |
nouvelle Faust-Symphonie avec emple, le fugato de la Marche naissance profonde et complète m o m e n t s de grande tension ou sur l e s disques, y compris les s'en contenteront. Mais Brahms
son ancienne et inférieure ver- funèbre de V Eroica; le trio du de la structure même de c e s chantonner (à peine) ici et là. Ce leurs... Je m'étais dit que l'inté- n'est pas Bruch: il n'est pas plai-
sion, parue chez Columbia). Scherzo, dans la Septième; l'épi- oeuvres magistrales. Bern- qui dit la qualité de la prise de r e s s é parlait sans doute de la sant... Il requiert davantage,
sode «andante moderato» du stein est lui-même compositeur son: précise, naturelle, avec une prise de son. une vie intérieure et, à c e t «
mouvement lent de la Neuviè- (il a écrit trois symphonies) et il belle clarification des passages Recevant le disque, je consta- égard, il faut bien dire que M. t
CLAUDE GINGRAS me... À chacune de c e s sélec- polyphoniques.
sait, pour servir des fins expres- te que M. Schiff ne parlait cer- Accardo n'est pas Milstein...
Avec ce Liszt et ce Fidelio, tions, et à chacune des sympho- s i v e s , c o m m e n t mettre.en évi- tainement pas de la prise de son,
nies, un auditeur, ignorant qui Au plan textuel, notons l'exé- Pour l'op. 77, la plus récente \
LJggrnslein se plaçait parmi les dence les composantes de cette cution de presque toutes les re- qui est irréprochable, mais de sa version de Milstein (sa troisiè-
^«hefs importants de l'heure. Son dirige, apposerait sans hésiter musique, où les groupes orches- propre exécution, qui est en effet
les noms des plus grands chefs prises, ce qui, notamment en ce me) reste donc parfaitement»
«intégrale des neuf Symphonies traux se répondent", se qui concerne les reprises de exécrable. Dès sa toute premiè- recommandable (Deutsche j
Vffë. Beethoven, qui vient de paraî- beethovéniens actuels sur ces re entrée — un long récitatif non
interprétations tour à tour lyri- «provoquent» même, les uns les p r e m i e r mouvement, donne à Grammophon, 2530 592). Pour
tre, également chez Deutsche, le autres. chaque symphonie une dimen- a c c o m p a g n é , de 21 mesures — l'op. 102: la version Oïstrakh*-'
confirme dans cette position. ques mais dépourvues de senti- il est clair que quelque chose ne
mentalité, dramatiques mais Au résultat, il est évident aussi sion nouvelle. Rostropovitch (Angel, SFO-36032f>
Bien sûr, le passé d'un homme que lés musiciens de la Philhar- va pas. Et il en sera ainsi pen- ou la version Szeryng-Starker
ne s'oublie pas si vite et il ne sans théâtralisme, tumultueuses dant toute la durée du concerto:
aussi mais sans trivialité. Le monique de Vienne, qui ont joué BEETHOVEN: les neuf Sympho- (Philips, 6500 137). |
sera pas facile de convaincre les pour les plus grands chefs de nies. Orchestre Philharmonique de montées laborieuses, valeurs de
seul indice qui pourrait donner notes non r e s p e c t é e s , accents La présente version Accardo-<
vrais connaisseurs que, oui, lors- l'histoire, ont accordé à Bern- Vienne: Gwyneth Jones, soprano,
déplacés, mauvais phrasés et Schiff est complétée avec l e s t
qu'on parle de grande musique, quelque indication: le mouve- stein le traitement royal... Les Hanna Schwarz, contralto, René Kol-
ïo, ténor, Kurt Moll basse, et Choeur mauvaises «respirations», porta- Variations sur un thème de,
plus précisément de grandes in- ment lent de la Neuvième. Dans quatre solistes du finale de la Haydn, tirée de l'intégrale Ma-
terprétations, Leonard Bern- les notes accompagnant le cof- de l'Opéra de Vienne dans le mouve- mentos gros c o m m e le bras,
Neuvième sont irréprochables ment final de la Symphonie no 9. sur des quatre Symphonies.
stein est un nom qu'on devra fret, Bernstein explique que, ( s e u l e s deux ou trois notes du passages manquant de justesse,
dorénavant prendre au sérieux, contrairement à la plupart des
Dir.: Leonard Bernstein (Deutsche passages où violoncelle et violon C. G.
récitatif sont-elles un peu éle- Grammophon, coffret de8d., 2740
tl faut aborder cette intégrale chefs, lesquels prennent ce vées pour la basse) et, chose plu- 216; également en cassettes).
ne sont pas parfaitement ensem- BRAHMS: deux concertos, avec l'Or-
ble... et, justement, à propos du chestre du Gewandhaus, dir.: Kurt Ma-
— E N BREF violon, jeu et sonorité du genre sur, sous étiquette Philips;
Us CfEflNTSUtj
Une présentation CKOl-FM
BLUES ••••••
••••• • • • •
• • • • • • •
_•• ••
• • • • • • • • • • • • • • • • •
•••• . . . . . . . . . . . . . .
J.S. BACH: 92
oeuvres pour
tôt: le non-style, qui
a fait détester Bach
«laçrimoso» convenant davanta-
ge à Sarasate ou Wieniawski...
Concerto p. violon, violoncelle et
orch., la min., op. 102. Salvatore Accar-
do, vi, Heinrich Schiff, vcL + Variations
une production Spectra Scene Veuillez noter, orgue. Peter Hur- et l'orgue. Un enre- «Très mauvais!», avait dit M. sur un thème de Haydn, op. 56a (9500
vu le conflit qui sévit à la ford, org. (Argo, gistrement inutile. Schiff. Il n'en a pas moins signé 623; également en cassette);
SiMEDl 10 MAI Place des Arts le concert de trois coffrets de 3 d. SCHUBERT: oeu- le disque — lui, ainsi que son col- Concerto p. violon et orch., ré maj., op.
B.B.KINC lundi soir 5 mai de .orchestre chacun. D120D3, vres p. piano à qua- lègue, tous deux musiciens pro- 77. Salvatore Accardo, vl. (9500 624; éga-
ABONNES de chambre McGill sous la D138D3, D150D3; tre mains: Fantai- fessionnels et hommes responsa- lement en cassette).
nvb
lDY n^swi WATERS DE
direction d Alexandre Brott
(solistes: Ida Haendel. violon
et Denis Brott. violoncelle)
é g a l e m e n t en cas-
s e t t e s ) . Les trois
premiers volumes
sie, fa min.; Grand
Rondeau, la m a j . ;
Andantino varié, si
j un s <wro\ ut vit ^ORCHESTRE
DE CHAMBRE
aura lieu à la
salle Claude Champagne
au 200. rue Vincent D'Indy à
d'une intégrale Bach
enregistrée sur des
orgues d'Angleterre,
min.; six Ecossai-
s e s . Emil et Elena
Gilels, pianistes
20h30 (lundi 5 mai) Tous les
JOHN LEE HOOKER McGILL billets seront honorés mais d'Australie et même
du Canada (un Casa-
(Deutsche Grammo-
phon, 2531 079). Un
les sièges ne seront pas
réservés. Venez tôt pour un vant mécanique de choix représentatif
meilleur choix de places. 1965, à Toronto). de la considérable
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Préludes et Fugues, production pour pia-
Sonates en trio, Cho- no à quatre mains de
rals de la Ciavierù- Schubert et, de Gi-
B L I N D J O H N DAVIS bung, tout e s t pré- lels et sa fille, une
senté pêle-mêle, lecture toujours
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sans souci d'ordre
ou de progression,
rythmiquement ri-
che et précise, tou-
'ÏÏMSAMÏ*
D E
L'UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL et, surtout, tout e s t jours aimable, l'é-
• »*'M«*nm«*mnr 2050. Edouard Monîpetil— Metro Laurier — Autobus 51 CONCERTS ET ARTISTES CANADIENS INC. joué uniformément cho d'une époque
présenté — fort proprement, heureuse de «con-
c e r t e s , et avec de versation musi-

FAUST
belles registrations, cale à deux»... Bril-
mais sans musicali- lante reproduction
té et sans esprit. Le du Bôsendorfer utili-
style m ê m e , ou plu- Salvatore Accardo: absent à l'OSM mais présent au disque.
sé.
Opéra do Charles Gounod

180 ARTISTES EN SCÈNE

et l'intégrale du ballet
mardi et mercredi
"LA NUIT DE WALPURGIS"

Production du Théâtre d'Avignon


iiwt t?i>ti m i u u t s i i i u i c t u s

direction Aidera «• SaulnU r


44'OSM
directeur Raymond Duffaut 1
Cour d'Honneur du Palais des Papes Juin 1979 ' M u s i q u e Sacree *
mai 13,14 mai
itJItalie et (U:lllemaque DUTOIT-FOUQUET- RAVEL
BILLETS: $25 $30 MAYER Concerts Ciala
1* dimanche 4 mai 1980, à 20H30 GRANDS CONCERTS Ce concert p»t
Ce conteri r»t commandite par
EN VENTE: Place des Arts. Montréal Eglise St. James The Apostle commandite par Northern Bell Canada
Trust PVM, Sauvé & Frères angle Sainte-Catherine et Bishop, I fir. M M Canada limitée Oiarlr». Outoit. rhnf
rue St-Hubert, Galeries d'Anjou, metro Guy Cru»!»"- Dutoit, d'orchestre
< nef d'ortheitra
Carrefour et Centre Laval. RAVEL
MARC PROGRAMME Guy Touquet,
violoncellMe
Pavane pourune infante
Charles Dutott défunte
COMMANDES POSTALES à Uri Maver. alto
Monteverdi Pachelbel Pergolesi Concerto pour piano
DURAND PIANISTE Concerts et Artistes Canadiens Inc. Buxtehude Telemann
MOZAKl
symphonie no -Hi K 5S»>
en *ol majeur
t )aphrm H Chloé. ballet
F SCHUBERT C. DEBUSSY F. CHOPIN . 2090 Sherbrooke ouest Frescobaldi et Froberger PCBUSSY |eu*
K STRAUSS Oon
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l Autobus 51 En collaboration avec I OH.ce o>s
Tourr>é#» du Conseil c*»t Art» du Canada, Fleury-Coutu, alto; David Doane,
, BILLETS (non numérotés) $5.00 la villa d Avignon al Air Canada. ténor; Roland Gosselih, basse;
• et $ 4 . 0 0 (étudiant* et age d'or) en vente à la
Anthony King, orgue Tous les concerts 0c I OSM «ont présentes les mardis et m e r o e f l ^ .> OTCHBSITC
?Oh30 S«*l»e W i f ' i d Ppiiet-ei Renseignements Place des Arts fSminfh&at
l e 12mai Librairie Hugo 29 et 31 MAI 19 h 30 2 et 4 J U I N Billet* dis|xmibles à l'entrée. Prix $5.00

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dim.: 14:15. 1 7:10. 20:05. Du lun. au Auj. à compter de 11:00. A compter de
LCÎNÉMA. ven.: 18.35, 20:05.
Greenfield (3): «Buffet froid»: Sam.,
LCÎNÉ-] 20:30.
Vieux-Laprairie (Salle de théâtre, 247
A compter de mer.: Rated R/: à compter
de 20:00.
jeu.: exposition «La Mer».
Galerie Treize (4015, Drolet) — Des-
Ste-Marie) — «Sur le matelas», de Mi- Le Pretzel (2112, Clark) — Cano. Ce sins et aquarelles de Robert Savoie. Du
dim.: 13:00. 14:40, 16:20. 18:00, chel Garneau. Ven., sam., dim. 20:30. soir et dem., à compter de 20:30. mar. au dim., de midi à 18:00. '
19:40. 21:25. En sem.: 18:00. 19:40. Jusqu'au 11 mai. The Maples Inn (121, Lakeshore, Poin- Graff (963 est. Rachel) — Lithographies
A t w a t e r ( 1 ) : « Kramer v s Kramer*: Sam., 21:25. Ciné-parc Odéon ( 1 - Transcanadien-. ' Théâtre du Vieux Fort (120, chemin St- te-Claire) — Ce soir et dem., The Hunt: de Peter Daglish. Du lun. au ven.. de
dim.: 13:00, 15:00. 17:05. 19:10, Guy: «The Psychiatrist*: 12:20. 15:05. ne. sortie 98, St-Bruno): «C'est l'Apoca- Jean, LaPrairie) — «Qui est le père?», à compter de 20:30. 10:00 à 17:00. Sam., de midi à 1.7.;00.
21 :1 5. Du lun. au ven.: 1 7:05. 19:10. 17:50, 20:35. « Doctor and his women »: lypse». «Tueur d'élite»: àcompterde de Félix Leclerc. Ven., sam. 21:00. Dim. Auberge du village (45, Chemin d'Au- Guilde Graphique (9 ouest, St-Paul) —
13:50. 16:35,19:20. 22:00. 19:30. 17:00. Jusqu'au 11 mai. teuil, Candiac) — Frank Kapasi. Du mer. Gravures. Auj. et dem., de 13:00 à
Atwater (2): «Ffolkes»: Sam., dim.: Jean-Talon: «Elle»: Sam., dim.: 13:50, Théâtre du Chiendent (453 Lindsay, au dim., à compter de 19:30. 17:00. Tx
1 7:50, 21:50. Du lun. au ven.: 21:30. Ciné-parc Odéon (2): «Le commando
13:30. 15:30, 17:30, 19:30. 21:30. Du des tigres noirs*. «Istambul, mission Drummondville) — «La vie c'est comme La Petite Galerie (296 ouest, St-Paui)
lun. au ven.: 1 7:30.19:30. 21:30. «Les naufragés dé l'île perdue»: Sam., impossible»: à compter de 19:30. la vaisselle, c'est toujours à recommen-
dim.: 12:00. 16:00. 20:00. Du lun. au — A compter de lun.: peintures dé'Vahé
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Sam., dim.: 12:05, 14:15. 16:45. 19:00. ven.: 19:30. sam. 20:30. Jusqu'au 7 juin.
Kent: «The Tin Drum»: Sam., dim.: dienne, sortie 95): «Kramer contre Kra- midi à 17:00.
y 21:10. En sem.: 16:45. 19:00.21:10. mer». «Le prive de ces dames»: à Cégep de Saint-Hyacinthe (Salle Léon- Musée de l'Oratoire (3800. Reine-Ma-
Otkx
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Avenue: «Best Boy»: Sam., dim.: 13:00,
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18:30. 21:05. compter de 19:30.
Ciné-parc Boucherviile (2): «Aéroport
Ringuet, 3000 B o u l l é ) — «Le tigre»,
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Sylvia Daoust et Fernand Py. Tous les
19:00.21:00. La Scala: «Justice pour tous»: Sam., soir et dem. 20:00.
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x 14:50. 17:40. 20:30. - Split Beaver 15:40, 19:40. Du lun. au ven.: 19:30. Ciné-parc Châteauguay (4 milles du rier, Beloeil) — «Eh! qu'mon chum est Musée d'Art contemporain (Cité du Yves Auclair, Paul Grégoire. Robert
girls-: 13:40. 16:30. 19:20. 22:10. Laval (1): «Le champion»: Sam., dim.: pont Mercier vers Châteauguay): «Le platte», de Sylvie Prégent et André Bou- Havre) — Exposition «Dessin et surréa- Michon, Luce Roy, Louis Bouchard et
B!"•' Berri: «Le commando des tigres noirs»: 12:15,16:45. 21:20. «Le retour»: Sam., commando des tigres noirs». «Le trian- langer. Jeu., ven., sam. 21:00. Jusqu'au lisme au Québec» et «L'estampe au Yves Auclair. Auj. et dem., de 13:00 à
T. 14:35. 18:15. 21:55. «Le triangle des dim.: 14:25, 19:00. En sem.: 19:00. gle des Bermudes»: à compter de 17 mai. Québec 1970-1980» et oeuvres de Wil- 18:00.
Bermudes»: 12:50. 16:20. 20:00. Laval (2): «Jeux d'amour au collège de 19:30. Manoir Saint-Castin (Lac Beauport) — liam Vazan. •
Bijou: «L'assistant fait des ravages»: filles»: Sam., dim.: 12:35. 15:35. 18:35. Ciné-parc Laval (1-Autoroute des L a u - «La céleste bicyclette», de Roch Car- Galerie Basque (1402 ouest. St-Ger-
12:30. 15:05. 17:45, 20:20. «Un harem Musée des Beaux-Arts de Montréal
21:40. «Les passions de Monique»: r e n tides, sortie 14): «Le commando des rier. Ce soir 19:30, 22:00. (3400, av. du Musée) — Expositions main. Rimouski) — Peintures de Marcel
très spécial»: 14:00. 16:45. 19:15. Sam., dim.: 14:05. 17:05. 20:10. En tigres noirs». «Istambul mission impos- Théâtre d e n i e d Wellington, Hull) — A Gagnon. Tous les jours, de 13:00 à
21:50. «L'épreuve du génie»: cinq siècles d'es-
sem.: 18:35. 20:10. sible»: à compter de 19:30. compter de mer. «L'école des femmes», tampes tirées de la collection de la Gale- 1 7:00. sauf lun. jeu., ven., de 1 9:00 à
Bonaventure (1): «Apocalypse now»: Laval (3): «Gabrielle»: Sam., dim.: Ciné-parc Laval (2): «Elle». de Molière. Du mer. au ven. 20:30. Sam. rie Nationale du Canada et «Laque du 21:00. J
Sam., dim.: 12:50. 15:30, 18:15. 21:00. 13:00. 15:00, 17:00. 19:00, 21:00. En « Capricorne I » : à compter de 19:30. 19:00, 22:00. Dim. 19:30. Jusqu'au 30 Japon». Galerie Michel Bigue (315, Principale,
Du lun. au ven.: 18:15, 21:00. sem.: 19:00. 21:00. Ciné-parc Laval (3): «Rocky 2, la revan- mai. St-Sauveur-des-Monts) — A compter de
Bonaventure (2): « The Changeling. Musée McCord (690 ouest. Sherbroo-
Laval (4): «La fille»: Sam., dim.: 13:15. che». «La malédiction de la panthère Centre National des Arts (Ottawa) — ke) — Expositions «La Sculpture archi- dem.. oeuvres de Renée Durocher.
Sam., dim.: 13:00. 15:05. 1 7:10. 19:15. 15:15. 17:15, 19:15. 21:15. En sem.: rose»: à compter de 19:30. «Notre petite ville», de Thornton Wilder, Galerie Brien (21. boul. Brien. Repenti-
21:20. Du lun. au ven.: 17:10. 19:15. tecturale: Montréal 1840-1940» et
19:15.21:15. Ciné-parc Laval (4): «Kramer contre 20:00. Jusqu'au 31 mai. «Notre port». Du mer. au dim., de 11:00 gny) — Peintures de Umberto Bruni, A.
21:20. Laval (5): «Buffet froid»: Sam., dim.: Kramer». «Guerre et Passion»: à comp- Bertounesque, Yvon Breton, Mario Jvlau-
à 17:00.
B r o s s a r d (1): «Le commando des tigres 12:45. 14:25, 16:10. 18:00. 19:45. ter de 19:30. ro. René Richard, A. Rousseau, M. Do-
noirs»: Sam., dim.: 13:00. 16:20. 19:45. Musée d'Art de Saint-Laurent (615,
21:25. En sem.: 18:00.19:45. 21:25. Ciné-parc St-Mathieu (route 1 5 sud. boul. Ste-Croix) — Oeuvres de Jean- mingue, C. Dionne-Valois, W. Corbeil,
Du lun. au ven.: 19:45. «Les Borsalini»: Loews (1): «Godsend»: 13:10. 15:10, vers Plattsburg): «Elle». «Capricorne I»: Paul Bodain. Dim., du mar. au ven.. de Maurice LeBon et Gordon Pfeiffer. Sam.,
Sam., dim.: 14:45. 18:00. 21:30. Du
lun. au ven.: 21:30.
17:10.19:10.21:10.
Loews (2): «Foxes»: 13:00, 15:00,
à compter de 19:30.
Ciné-parc Vaudreuil (1-Autoroute Mira- LMUSÎQUE 11.00 à 17:00.
Musée du Québec (Québec) — Sculp-
de 1 3:00 à 1 7:00. Dim., de 13:00 à
17:00. Mer., de 13:00à 18:00. Jeu.,
Brossard (2): «Elle»: Sam., dim.: 12:45. 17:00, 19:00. 21:00. bel, sortie Vaudreuil)— «Kramer contre tures de Jordi Bonet. Tous les jours de ven.. de 13:00 à 21:00.
1 7:10. 21:35. Du lun. au ven.: 21:35. Loews (3): «When time ran out»: 13:10, Kramer». «Guerre et Passion»: à comp- 9:00 à 1 7:00. Mer., de 9:00 à 23:00. Galerie de l'Ambiance (49, boul. Sei-
«Les chaînes du sang»: Sam., dim.: 15:10.17:10. 19:10. 21:10. ter de 19:30. Citadel (2085, Drummond) — Auj.. Dim., de 10:00 à 17:00. gneurial, St-Bruno) — Gravures de Gil-
14:50,19:15. Du lun. au ven.: 19:30. Loew8(4): «Heart Beat»: 13:05. 15:10. Ciné-parc Vaudreuil (2): «Rocky 2. la 17:00. Musica Camerata Montréal. Galerie Nationale du Canada (Ottawa) les Gingras.
Brossard (3): «Kramer vs Kramer»: 17:15. 19:20.21:25. revanche». «La malédiction de la pan- Oeuvres pour cordes de Boccherini, Galerie du Vieux Palais (St-Jérôme) —
mm. Sam., dim.: 13:15. 15:15. 17:15. 19:15. — Peintures de l'Inde impériale et prin-
Loews (5): «Mad Max»: 13:00. 15:00. thère rose»: à compter de 19:30. Martinu, R. Strauss et Mozart. cière. Oeuvres de Line Villeneuve.
S£ 21:15. 17:00,19:00. 21:00. Ciné-parc St-Jèrôme: «Le commando Université McGill (Pollack Hall, 555 o., Galerie Environnement'(991, bout. Ri-
casC Broadway: «Emmanuelle prisonnière Galerie A (680 ouest, Sherbrooke) —
Mascouche (1): «Mon nom est Bulldo- des tigres noirs». «Le triangle des Ber- Sherbrooke) — Auj., 20:30, Anton Bannières de Marie Décary et Lise Nan- chelieu, Beloeil) — Oeuvres de Claude
2J£** des cannibales». «Entre chattes». zer»: Sam., dim.: 15:20, 20:00. Du lun. mudes»: à compter de 19:30. Kuerti, pianiste, Robert Aitken, flûtiste. tel. Du lun. au sam., de 11.00 à 17:00. Laviolette. Auj. et dem.. de 13:00 à
«PB»° «Partiesfines». au ven.: 19:30. «Les oies sauvages»: Ciné-parc Verdun: «Jeux intimes à do- Shmuel Ashkenazi, violoniste, et Mel- 17:00.
Champlain (1): «Kramer vs Kramer»: Sam., dim.: 13:00, 17:30. 22:00. Du micile»: Dim.: 13:50. 16:25. 19:00. vin Berman, hautboïste. «L'Offrande Galerie Gilles Corbeil (2165, Crescent) Galerie Armand-Filion (475, boul. de
tr- Sam., dim.: 13:30. 15:30. 17:30. 19:30, lun. au ven.: 21:30. 21:40. Du lun. au sam.: 19:30, 22:10. musicale» (Bach). l'Avenir, Laval) — Oeuvres de Germaine
«Etreintes déchaînées»: Dim.: 12:30, — Céramiques de Monique Bourbon-
21:30. Du lun. au ven.: 1 7:30, 1 9:30. Mascouche (2): «Elle»: Sam., dim.: Église Notre-Dame-de-Lourdes nais, Ferron, Louis Gosselin, Enio Le- Pigeon. Tous les soirs, de 19:00 à
2£ 21:30. 13:20. 1 7:20, 21:20. Du lun. au ven.: 1 5:05, 1 7:45. 20:20. Du lun. au sam.: (Verdun) — Dem., 20:30, Sarah Fraser 22:00. Sam., dim., de 14:00 à 17;00 et
18:15. 20:50. gros, Jean-Yves Leblanc et Pierre Lan-
1 . Champlain (2): «C'est l'Apocalypse»: 21:20. «La grande menace»: Sam., et Réal Gauthier, organistes. Oeuvres dry. Auj., de 10:00 à 17:00. de 19:00 à 22:00.
Sam., dim.: 12:50. 15:30. 18:15. 21:00. dim.: 15:30. 19:30. Du lun. au ven.: Ciné-parc Dollard (1): «Godsend»: de Bach, Buxtehude, Franck, Marchand, Galerie André-Georges (224 ouest, St- Galerie Frédéric (11 70. Victoria, St-
Du lun. au ven.: 18:15.21:00. 19:30. «Wild Geese»: à compter de 19:30. Vierne, etc. Entrée libre. Paul) — Oeuvres de Toller Craaston, Lambert) — Sculptures de Yves Tru-
a t * Château (1): «Le champion»: 12:30. Mercier: «Le commando des tigres Ciné-parc Dollard (2): «Every which Église St. James t h e Apostle (angle Ross MacCulloch, Gilles Gagné. Julien deau. Du lun. au mer., de 9:00 à 18:00.
16:55. 21:20. «Le retour»: 14:40. noirs»: Sam., dim.: 12:50. 16:25. 20:05. way but loose». «Hooper»: àcompter Ste-Catherine et Bishop) — Dem., Paradis. Ephraim Eyal, Danièle Choui- Jeu., ven.. de 9:00 à 21:00. Sam-, de
KE£ 19:05. Du lun. au ven.: 20:00. «Le triangle des de 19:30. 20:30, Ars Choralis, avec instruments nard, Ginette Beausoleil et Albert Breau. 9:00à 18:00. Dim.,de 13:00à 17:00
Château (2): «Jeux d'amour au collège Bermudes»: Sam., dim.: 14:40. 18:15, Ciné-parc St-Eustache (1-Autoroute anciens. Dir.: Aldérice Saulnier. Motets Du mar. au dim., de midi à 18:00. Galerie-Telier Hébert-Gaudreault 1(66,
de filles»: 12:55. 15:50. 18:45. 21:40. 22:00. Du lun. au ven.: 18:15, 21:50. des Laurentides. sortie 21): «Mon nom (Monteverdi), Magnificat (Pergolesi), Galerie Gilles Gheerbrant (307 ouest. Raymond Lasnier, Trois-Rivières) —
js^fc 20:1
«Couple complice»: 14:20, 17:15, Montenach (2-Beloeil): «Morsures»: est Bulldozer». «S.O.S. danger ura- «Cantate funèbre» (Telemann). Ste-Catherine. suite 555) — Tapis tri- Gravures. Auj. et dem., de 14:00 à
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mOè 19:00. «Onion field*: 19:15. mui. juin. , V-l I I I I . .
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A C Çiné-parc St-Eustache (2): «On a volé Laurier) — Oeuvres de Lauréat Marois. la Rivière du Nord. St-Canut) — Oeu-
jJJjJJ; «Cocoanuts»: 21:15. «Norma Rae»: Montenach (2-Beloeil): «Jésus de Naza- la cuisse de Jupiter». «L'homme en co- Galerie Libre (2100, Crescent) — Pein- vres de Baudraz. Stéphanie et Buçlin.
•MJP» 21:45. «Gimme Shelter*: minuit. Dim.: reth»: Lun.: 19:00. lère». «Zorba»: à compter de 18:30. tures de Louis Belzile. Du mar. au ven., Mar., jeu., ven., de 14:00 à 22:00.
«Norma Rae»: 19:00. «Alien»: 19:15. Odéon Laval (1): «Kramer vs Kramer»: Ciné-parc St-Eustache (3): «Ben». de 10:00 à 18:00. Sam. de 10:00 à Galerie L'Anse-aux-Barques (24,
55m «Luna»: 21:15. «Amarcord»: 21:45. Sam., dim.: 13:15, 15:15, 17:15, 19:15, «L'héritage des Vargas». «Le motel de 17:00. Grand-Champlain, Ilot Place Royale,
« P > Cinéma de Montréal (1): «Un couple en 21:15. Du lun. au ven.: 19:15. 21:15. la terreur»: à compter de 18:30. Québec) — Sculptures de Robert Pou-
Ciné-parc St-Eustache (4): «Lâchez les Galerie Optica (1029, Beaver Hall) — lin.
fuite»: 13:00. 16:35. 20:15. «Tendre Odéon Laval (2): «Le commando des Dessins de Marilyn Milburn.
Z combat»: 14:45. 18:20. 22:00. tigres noirs»: Sam., dim.: 14:20. 18:05. bolides». «Assaut sur la ville».
«L'animal»: à compter de 18:30. Galerie Yajima (1434 ouest, Sherbroo- Galerie Les Deux B (948. du Rivâqe.
'^Sr Cinéma de Montréal (2): «Justine»: 21:50. «Ciao, les mecs»: Sam., dim.: ke) — Peintures de Richard MMI. Auj.. Saint-Antoine-sur-Richelieu) — Oeu-
12:30. 15:45, 19:00. 21:45. «La sé- 12:25,16:10, 19:55. Du lun. au ven.: Ciné-parc St-Eustache (5): «Hide in
plain sight ». «International Velvet »: à de 11:00 à 17:00. vres d'Edouard Lachapelle. A compter
- questréedesSS»: 14:05. 17:15. 20:10. 19:00. Atelier 858 (858 est. Marie-Anne) — de dem., oeuvres de Roland Giguère. Du
^ Cinéma La Cité (1): .«Littie Darlings»: Ouimetoscope (1): Sam.: «Le syndrome compter de 18:30.
Peintures de James Brown. mer. au dim., de 14:00 à 22:00.
2 £ Sam., dim.: 13:00. 15:00. 17:00. 19:00. chinois»: 14:45, 17:00. 19:15, 21:30. Ciné-parc Mont St-H i la ire (Trans- Bibliothèque Nationale (1700. St-De- Galerie sur la Côte (44. Côte de là Mon-
2£= 21:00. En sem.: 19:00. 21:00 Dim.: «Retour»: 14:15. 16:45. 19:15. canadienne, route 20, sortie 115): «Mon nis) — Photographies de Yvon Poirier. tagne. Québec) — Eaux fortes de Marc-
«p*= Cinéma La Cité (2): «The Sériai»: Sam.. 21:45. nom est Bulldozer». «Poursuite inferna- Auj.. de 9:00 à 17:00. Antoine Nadeau. Andrée Laliberté-
3 E dim.: 12:50. 14:30. 16:10. 17:50. Ouimetoscope (2): «Les grands en- le». «Avalanche»: àcompterde 18:30. Centre d'Art du Mont-Royal (1260. Bourque et Lucienne Cornet. Lithogra-
1' 19:30. 21:15. En sem.: 19:30.21:15. fants»: En sem.: 19:00. 21:00. Sam., Remembrance) — Exposition «La se- phies de Tib Beament. Paul Béliveau et
25 Cinéma La Cité (3): «The Rose»: Sam., dim.: 13:00. 15:00. 17:00. 19:00. Ciné-parc Repentigny (Route 40, sortie Fernand Bergeron. Sérigraphies! de
100): «Mon nom est Bulldozer». maine de la gravure». Tous les jours de
ave* dim.: 13:15. 15:45. 18:15. 20:45. En 21:00. 10:00 à 20:00. Louis Jaque. Guy Paquet. Antoine Pré-
meo* sem.: 18:15. 20:45. Outremont: Dim.: «Tout ce que vous «S.O.S. danger uranium». «A plein vost et Jean-Philippe Vogel.
gaz»: à compter de 18:30. Le Club des Arts de Montréal (1410,
Cinéma Lumière: «Un violon sur le toit»: avez toujours voulu savoir sur le sexe Guy, suites 15 et 16) — Oeuvres de Lil- Galerie Tournesol (Galeries LaTuque)
Sam.: 13:30. 1 6:1 5, 1 9:30. En sem.: sans jamais oser le demander»: 19:00. Ciné-parc Repentigny (2): «Ben». lyan Niebuhr et Jeanette Matkoski. Tous — Peintures de Gaétan Simon. Jusqu'à
19:30. Dim.: 13:30. 16:15. «Voyage au bout de l'enfer»: 20:45. «L'héritage des Vargas». «Le démon»: les jours de midi à 18:00. Jusqu'à mer. mer.
S Cinéma Répertoire: Sam.: «Jerk»: Palace: • Every which way but loose ». àcompter de 18:30. Coin des Arts (Gare Centrale) — Oeu- Maison André-Benjamin-Papineau
*MMC 17:30. «Harlan County USA*: 19:15. 14:00, 17:45. 21:30. «Hooper»: 12:15. vres de G. Legault et M. Kesseler. (Gare (5475 ouest, boul. St-Martin, Chome-
r£jjj «Rebecca»: 21:30. «Rocky Horror 16:00.19:45. Windsor) — Oeuvres de M. Domingue, dey) — Aquarelles d'Ernest Lemay.
r-uar, Show»: minuit. Dim.: «Fiddler on the Papineau (1): «Les amusants jeux eroti- G. de Rome. M. L. Dionne. L. Piedimonte Tous les jours de 9:00 à midi et de
fjgg Roof»: 16:00. «Jerk»: 19:15. «Boys in ques de nos voisins»: 11:50, 14:20, et S. Ward. Tous les jours de 8:00 à 13:00 à 17:00.
-^7' the Band»: 21:30. 16:50. 19:20,21:50. «Clarisse»: 13:10. 23:00. Jusqu'à jeu. Musée D'Art de Joliette (145. Wilfrid-
Fille debout ( 1 9 1 0 ) de Erich
vet* Cinéma Rive-Nord (1-Repentigny):
«L'incroyable Hulk*. «Buck Rogers»:
15:40, 18:10, 20:40.
Papineau (2): - Schoolgirls Escapades»: LTHÉATRE Heckel, une des estampes de
Galerie Ars Nova (304 est. Notre-Dame)
— Peintures de Jean-Pierre Langlois et
Corbeii) — Salle contemporaine: tapis-
series de Pierrette Mondou. — Galerie
MMB En sem.: à compter de 19:30. Dim.: à 13:35, 16:10, 18:50. 21:25. «Fireworks six: tapisseries d'Angèle Thibodeau.
J " ^ compter de 13:30. l'exposition que présente le sculptures de Laurent Pilon. Mar., mer.,
Woman.: 12:30.15:05,17:40. 20:15. Théâtre du Nouveau Monde (84 ouest, ven., de 10:30 à 17:30. Jeu. de 10:30 à Auj. et dem.. de 14:00 à 17:00. ; r

S i Cinéma Rive-Nord (2-Repentigny): Paradis (1): «Mon nom est Bulldozer»:


«Soupirs d'extase». «Couples compli- Ste-Catherine) — «L'impromptu d'Ou- M u s é e des b e a u x - a r t s jus- 21:00. Sam., de 10:30à 17:00. Dim.,
Sam., dim.: 13:00, 17:40, 22:10. «Les tremont», de Michel Tremblay. Avec de 13:00 à 17:00.
JJjJJ ces»: En sem.: à compter de 19:30. oies sauvages»: Sam., dim.: 15:10, q u ' a u 18 m a i dans le cadre
mm*. Dim.: à compter de 13:30. Rita Lafontainc, Denise Morelle. Moni- Galerie Art-Annexe (3700, St-Denis) —
19:50. Du lun. au ven.: 19:30. que Mercure et Eve Gagnier. Du mar. au de la présentation intitulée « Dessins de Richard Miron et peintures
Cinéma 7e Art: «Le syndrome chinois»: Paradis (2): «Le ciel peut attendre»:
En sem.: 19:15. Sam.: 19:15. Dim.:
14:45,19:15. «L'express de minuit»: En
Sam., dim.: 13:20, 17:40, 21:50. Du
lun. au ven.: 21:40. «Mort sur le n i l * :
ven., 20:00. Sam. 1 7:00, 21:00. Dim.
19:00. Jusqu'au 31 mai.
Théâtre du Rideau Vert (4664. St-De-
L'épreuve du génie: 5 siècles
d'estampes tirées de la col-
de Philippe Valois. Mar. mere, de 11:00
à 18:00. Jeu., ven.. de 11:00 à 21:00.
Sam., de 11:00 à 17:00.
LMNSE Mi

sem.: 21:30. Sam.: 17:00, 21:30. Dim.: Sam., dim.: 15:20, 19:30. Du lun. au nis) — «Apprends-moi. Céline», de Ma- Galerie Articule (1012. de la Montagne)
12:30,17:00.21:30. ven.: 19:10. ria Pacome. Avec Catherine Bégin, Jani-
lection de la Galerie nationa-
— Oeuvres de Bernard Gamoy, Gheri Tritorium (Cégep du Vieux-Montréal.
Cinémathèque québécoise: Sam.: Paradis (3): «Justine de Sade»: Sam., ne Sutto, François Trottier, Louise Des- le». Celine, Ormsby Ford, Jennifer, Gordon,
«Entre tu et vous»: 19:30. «L'Acadie. dim.: 15:05, 18:20, 21:35. Dulun.au chatelets et Jean Deschenes. Du mar. 255 est, Ontario) — Laura Dean, Dan-
Julia Grant, Tony de Melo, et François cers and Musicians. Programme:
l'Acadie»: 21:30. ven.: 21:05. «La séquestrée des SS»: au ven. 20:00. Dim. 19:00. Jusqu'au 7 Jolly.
Claremont: «Littie Darlings*: Sam., Sam., dim.: 13:30, 16:50, 20:05. Du juin. «Music», chor. et musique de L a u r a
Galerie Art Plus... (398 ouest, Laurier, Dean. Dem., 20.30.
dim.: 13:00, 15:00. 17:00, 19:00. lun. au ven.: 19:30. suite 200) — Oeuvres de J. Barbeau, L.
21:00. En sem.: 19:00. 21:00. Parallèle: Sam.: «Ice»: 20:00. Dim.: Théâtre d'Aujourd'hui (1297, Papi- Bellefleur, L. Belzile, G. Congant, M.
Commodore: «Femmes en cage». «Films pour enfants»: 13:30. «Ice»: n e a u ) — «Nasopodes et autres bêtes Salle Claude-Champagne — Lun.:
20:30, Orchestre de chambre McGill. Fecteau. M. Ferron, R. Giguère. Louis
«Toutes les couleurs du vice». «Merci 15:00. merveilleuse», de Michel Garneau, Jaque, J.-P. Riopelle, A. Rousseau, R.
- nmj
mesdames les putes». Parisien (1): «Le tambour»: 13:00. 20:30, sauf lun. Jusqu'au 1 er juin. Dir.: Alexander Brott. Ida Haendel, violo-
niste et Denis Brott, violoncelliste. Oeu- Sabourin, C. Jesteau et Vermette A
Complexe Desjardins (1): «Les bons 15:30.18:15.21:00. compter de jeu.: Oeuvres de Maurice
débarras»: 12:45, 14:55, 17:00. 19:10,
21:20.
Parisien (2): «La cage aux folles»:
13:10, 14:55, 16:40, 18:34, 21:10,
— «Nasopodes et autres bêtes merveil-
leuses», de Michel Garneau, 20:30,
vres de Beethoven, Tchaikovsky et
Brahms.
Brault. LPOUR ENFANTS
sauf lun. Jusqu'au 1 er juin. Galerie Art Select (6810. St-Denis) —
Complexe Desjardins (2): Sam.: «Une 21:50. Oeuvres de peintres québécois. Du mar.
passion»: 12:05, 14:00. 15:55. 17:50. Parisien (3): «Buffet froid»: 12:50. Théâtre de Quat'sous (100 est. ave des Monument National (1182, St-Laurent)
Pins) — «Les folies du samedi soir», de — Jeu. et vend., 20:30, «Kopernikus», au sam., de 10:30 à 17:00. Dim., de Atelier-Théâtre Les Mains (371-est.
19:45. 21:40. Dim.: «L'heure du loup»: 14:30.16:15.18:00.19:45,21:30. 13:00 à 17:00.
13:00, 14:40. 16:20. 18:00. 19:40. Marcel Mithois. Avec Andrée Lachapel- opéra de Claude Vivier (création). Atelier R o y ) — «Le vieil arbre». Auj. et dem
Parisien (4): «La fille»: 13:30. 15:20. le, Lenie Scoffie. Gabriel Gascon et Galerie Suzèle Carie (430. Bonsecours)
21:25. 17:20,19:15.21:15. de jeu scénique et Atelier de musique 14:00.
Yvon Dumont. Du mer. au dim. 20:00. contemporaine de l'Université de Mont- — Oeuvres de Jean-Jacques Hofstetter. Place des Arts: «The Firebird»; Auj.
Complexe Desjardins (3): «Martine la Parisien (5): «Et la tendresse Bordel»: Jusqu'au 14juin. Galerie Michèle Châtelain (7813, St-
masseuse»: 13:25, 16:15, 19:06", 12:20. 14:05, 16:00, 17:50, 19:45, réal. Dir.: Lorraine Vaillancourt. Entrée 10:00, 11:30 (en français).
Aux 4 Saouls-Bar: «Boris Vian Poker- libre. Denis) — Oeuvres de C. Carette, R. Café-Théâtre Quartier Latin (4303- St-
21:55. «Quelles chaleurs»: 12:05, 21:35. Gagnon, J.-P. Jérôme, H. Hasson et C.
14:55. 17:45,^0:35. Place du Canada: «AH that jazz»: Sam., blues». Avec Markita Boles, Judith Che- Denis) — «Les 3 petits cochops»
valier, Alain Fournier, Francisco et Pier- Gamache. (marionnettes). Dem. 14:00. *•-»•
Complexe Desjardins (4): «Cause tou- dim.: 12:40, 14:50. 17:00. 19:15, Galerie Colbert (1396-A ouest, Sher-
jours tu m'intéresses»: 12:30.14:20, 21:25. Du lun. au ven.: 19:00. 21:10. re Moreau. Lun., mar. 21:00. Dim.
15:30. Ven., sam. 23:00. Jusqu'au 3 brooke) — Aquarelles de Luigi Tiengo.
16:10, 18:00, 20:00.21:40. Place Ville-Marie: «Being There*: Auj., de 10:00 à 17:00. Dem., de 13:00
Conservatoire d'art cinémato- 12:10. 14:30, 16:50, 19:10,21:35. juin.
Théâtre Denise-Pelletier (4353 est. à 17:00.
graphique: Sam.: « Master of Cérémo- Place Ville-Marie: (petit cinéma):
nies». « Man of marble- 19:00. Dim.: Ste-Catherine) — «L'amour des trois Galerie Crescent,(2142, Crescent) .— - M
«Nijinski»: 13:15, 15:35, 18:00, 20:20. Oeuvres de Natacha Wrangel.
«Caméra Buff»: 19:00. «Zorba the Pusaycat: -Maraschino Cherry»: 12:00, oranges»: Ce soir, 20:30. Lun., mer.,
Qreek»: 21:00. jeu. 14:00. Mar. 19:30. Galerie des Artisans du Meuble Québé-
14:50. 17:40, 20:30. «Dirty Pool»: cois (88 est, St-Paul) — Exposition
Côte-des-Neiges (1): «Ffoikes»: Sam., 13:40,16:30.19:20, 22:00. Le Conventum (1237 Sanguinet) — Centre Sportif de l'Université de Mon- ce y
«Fais-moi mal juste un peu», d'Elizabeth tréal (2050. Edouard-Montpetit) — Auj., «Soie et argent». Du lun, au sam., de I MM
dim.: 13:20, 15:20. 17:20, 19:20. Rio: «Emmanuelle prisonnière des can- 10:00 à 17:00. Dim., de 13:00 à 17:00.
Mj 21:20. Du lun. au ven.: 19:20, 21:20. nibales». «Entre chattes». «Parties fi- Bourget. Ce soir, 19:30. 22:00. Dem. jjem., lun., 21:00, Ginette Reno. «MM
20:30. L'Imprévu (Hôtel Iroquois, 446, Place Galerie Écho (6287. St-Hubert) —
mm Côte-des-Neiges (2): «Apocalypse nes». Oeuvres de Leonore Fini, Gino Hollan-
now»: Sam., dim.: 13:00, 15:40. 18:25, Théâtre des Voyagements (5145 St- Jacques-Cartier) — Pocketwatch Paul . J
Rivoli (1): «Gabrielle»: 14:50,18:10. et les Rythem Rockets. Ce soir, 22:30, der, Mikulas Kraviansky, Lebadang et
21:10. Du lun. au ven.: 18:25, 21:10. 21:30. «3 hommes d'Istamboul»: t3:15, Laurent) — A compter de mar.: r ~-i

«Audience et vernissage», de Vaclav ï :15. Dem., 22:00, minuit. Marcelle Stoaianovich. Mar., mere, de .1-* '.^

rmy Crémazie: «C'est l'Apocalypse». Sam., 16:35.19:55. Outremont (1248 ouest, Bernard) — 11:00 à 18:00. Jeu., ven., de 11.00 à
;

«p. dim.: 13:00. 15:30. 18:15. 21:00. Du Havel. Avec Vincent Bilodeau, Robert
Rivoli (2): «Buffet froid»: 13:25, 15:05, Duparc, Nadine Marchand et Jean-Ma- Richard Séguin. Ce soir, 20:30. 21:00. Sam., de 11.00 à 17:00. >?mt
mmm lun. au ven.: 20:00. 16:45. 18:25, 20:05.21:45. Café Campus (3315, Chemin de la Galerie Jacquie (1437, Stanley) —
Dauphin(1): «Cordélia» Sam., dim.: rie Moncetet. Du mar. au ven. 20:30.
Saint-Denis (1): «Ils sont fous ces sor- Sam. 19:00, 22:00. Jusqu'au 7 juin. Reine-Marie) — Le groupe Abbitibi. Oeuvres de Bruno Bruni. Hundertwasser
13:00, 15:10. 17:15. 19:20. 21:30. Du ciers»: Sam., dim.: 12:05, 15:50. 19:35. Lun., 21:30. et Felon.
***** lun au ven.: 19:20.21:30. Café Molière (1200 St-Hubert) —
Du lun. au jeu.: 19:35. «Brèves vacan- «Damnée Manon, sacrée Sandra», de Le Soleil Levant (286 ouest, Ste-Cathe- Galerie Jourdan (1234. Bishop) —
«•^•Dauphin (2): «Manhattan»: Sam., dim.: ces»: Sam., dim.: 13:50, 17:35, 21:20. rine) — Ce soir et dem., Ellen Mcllwai-
2£ 13:30. 15:30. 17:30, 19:30. 21:30. Du Michel Tremblay. Du mer. au lun. 20:30. Oeuvres de peintres canadiens. Lun.,
Du lun. au jeu.: 21 20. Jusqu'au 2 juin. ne. A compter de mar.: Chicago Blues & mar., m e r e , sam., de 10:00 à 17:30.
* * * lun. au ven.: 19:30, 21:30. Saint-Denis (2): «Mon nom est Bulldo- Boogie: à compter de 21:30.
Décarie Square (1): «Ail that jazz»: Café Nelligan (550 est, Dorchester) — Jeu., ven.. de 10:00 à 19:30.
zer»: 12:30, 16:40, 20:55. «La poursui- Atelier continu (1200 est, Laurier) — Galerie Walter Klinkhoff (1200 ouest.
Sam . dim.: 12:30. 14:50. 17:00. 19:15. te infernale»: 14:50,19:00. «Guillaume tel quel», de François Cami-
rand. Ce soir et dem. 20:30. La Pouet Pouet Band. Jeu., ven., sam., Sherbrooke) — Peintures de Joe Plas-
21:30 Du lun. au ven. 19:00.21:15. Saint-Denis (3): «Le mariage de Maria dim. 21:00. kett. son
3 L" Décarie Square (2): «Kramer vs Kra- Braun»: 1,2:05, 14:20. 16:35. 18:50, Café Nooaphère (816 est, Ontario) — MM
| mer»: Sam., dim.: 13:00. 15:00, 17:00. 21:05. «Sur le matelas», de Michel Garneau. Théâtre des variétés (4530 Papineau) Galerie L'Aquatinte (1320 ouest. Sher-
19:00, 21 00 Du lun. au ven.: 19:00, Ce soir, 21:00. — «Filles demandéea pour...». Avec brooke) — A compter de mar.: gravures
Seville: Sam.: «The marriage of Maria Gilles Latullpe, Louise Latraverse, Fran- et dessins de Francine Beauvais. Du
21:00. Braun»: 19:00. «The Rose»: 21:15. Le Groupe de la Veillée (2281 est, Ste-
Catherine)— «Corne-Muse». Avec Da- çois Lemieux, Gisèle Dufour et Michel' mar. au ven., de midi à 18:00. Sam., de
* Dorval (1): «Littie Darlings*: Sam, dim.: «The Rocky Horror picture show»: mi- Noël, 20:00. 10:00 à 17:00.
JS? 13:20. 15:15. 17:10. 19:05. 21:00. En nuit. niel Baillargeon, Marie-Jacqueline Cor- -•me

sem.: 19:05, 21:00. bel, Denise Mercier, Julien Poulin et Le Portage (Hôtel Bonaventure) — The Galerie Lauze (4935 ouest. Sherbroo-
Snowdon: «Being There»: Sam., dim.: Rick Sheppard show. Du lun. au sam., ke) — Gravures de James Colgnard.
Dorval (2): «The Serial*: Sam., dim.: 13:30, 16:00. 18:30. 21:00. En sem.: Jean-François Thuot. Du jeu. au dim.
20:30. Jusqu'au 25 mai. 22:00, minuit. Paul Maxwell, Claude Weisbuch, To-
13:25. 15:20, 17:15. 19:10. 21:05. En 18:30, 21:00. bias8e, Hamilton, Freda Guttman Bain,
sem.: 19:10. 21:05. U.Q.A.M. (Pavillon Lafontaine, rue Sher- Aux Pierrots (114 est, St-Paul) — Ce
Van Home*: «Emperor Jones»: Sam., brooke) — «Si les ils avaient des el- soir, Marc Lepage et En Portage. 20:00. Sarah Gersoviz, Zao Wou-Ki, Yves Laro-
Dorval (3): « Foxes*: Sam., dim.: 13.05, dim.: 13:00. 15:00. 17:00. 19:00. che et Ariel Ben-David. Du mar., au ven.
15:05. 17:05. 19:05. 21:05. En sem.: les...». Présentation du Théâtre de Car- Dem., Bernard Blanc et Jos Leroux,
21:00. En sem.: 19:00. 21:00. ton. Ce soir et dem., 20:30. 14:00. En Portage et Marc Lepage, de 11:00 à i 8 : 0 0 . Sam., de 11:00 à
, 19:05.21:05. Verdun: «Kramer vs Kramer»: Sam., Café-Théâtre Klick (2351 Chambly) — 20:00. 17:00.
Elysée (*!}: «Un aecontf souffle»: En dim.: 13:45, 1 7:35. 21:30. Du lun. au «Qui a peur de Virginia Woolf?». d'E- Galerie François Lemai (1437, Stanley)
sem.: 19:30, 21:30. Sam.: 17:30, ven.: 19:40. «L'amour sur béquilles»: Aux Deux Pierrots (104 est, St-Paul)-r-
19:30. 21:30. Dim.: 13:30. 15:30. Sam., dim.: 15:35. 19:40. Du lun. au
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(AFP) — Pour de nombreux Braun», elle a participé à toujes


cinéphiles, Hanna Schygul- les nouvelles créations de Fass-
la, actrice ouest-allemande, est binder; «la Troisième Généra-
Maria, l'héroïne du «Mariage de tion», une comédie satirique $ur
Maria Braun» de Rainer Werner le t e r r o r i s m e , «Berlin Alex^n-
Fassbinder. Depuis sa présenta- d e r p l a t z » , feuilleton t é l é v i s é
» tion à la B e r l i n a l e 79 (dont le d'après le roman d'Alfred Dbe-
j u r y a décerné à Hanna Schygul- blin, dont le t o u r n a g e est pres-
la le prix d'interprétation fémi- que achevé.
nine), plus de un million de spec- Dès juillet prochain, elle sera
t a t e u r s ont vu ce film qui a été Wilkie d a n s «Lili Marlene», He
vendu d a n s une t r e n t a i n e de Fassbinder, «film qui, dit-efle,
pays. Aux Etats-Unis, il est pro- donne une i m a g e positive dejla
j e t é dans vingt villes depuis plus femme, d'une femme courageu-
de cinq mois et figure en tête du se, engagée et conséquente dans
box-office. ses actions».
A v a n t de c o n n a î t r e ce t r i o m - Commentant sa réconciliation
phe international, tout à fait avec Fassbinder, elle avoue c^ue
inattendu de son propre aveu. c'est un metteur en scène fasci-
H a n n a Schygulla a v a i t déjà n a n t et puis, ajoute-t-elle, fil
r e m p o r t é un grand succès dans s ' e s t a v é r é que nous étions en
son p a y s , en 1974, a v e c «Effi q u e l q u e s o r t e faits l ' u n . p o u r
Briest», une mise en images par l'autre».
Fassbinder d'un roman de Theo- Hanna Schygulla ne cache p&s
d o r F o n t a n e . Sa c a r r i è r e est toutefois q u ' e l l e a i m e r a i t biçn
d'ailleurs intimement liée à celle tourner aux Etats-Unis avec des
de ce c i n é a s t e , dont elle a été cinéastes comme Francis Ford
l ' h é r o ï n e féminine de p r e s q u e Coppola, John Cassavetes, Mar-
toutes les oeuvres. tin Scorcese, Robert Altman bu
Sa c o l l a b o r a t i o n avec lui ne Michael Cimino. Elle a déjà
• Bernard Blier et Gérard Depardieu. d a t e p a s d ' h i e r . E l l e a fait sa reçu des offres — on lui a propo-
c o n n a i s s a n c e d a n s une école sé de jouer au côté de Marlon
d'art dramatique de Munich où Brando, et Alan Pakula l'a pres-
BUFFET FROID elle s'était inscrite alors qu'elle
é t a i t é t u d i a n t e en L e t t r e s
sentie pour le rôle principal dans
«le Choix de Sophie» d'après un
(allemand et langues romanes). roman de William Styron 4-
«Je suivais des cours à l'univer- mais elle a dû refuser en raison
s i t é p a r c e que j ' e n a v a i s les d'engagements pris auparavant
m o y e n s m a i s j e s a v a i s que j e en Allemagne fédérale, au théê-
n'étais pas faite pour une carriè- t r e n o t a m m e n t . Elle a ioué r é -
re universitaire. J e voulais mon- cemment dans «l'Idiot» de Dos-
t e r sur ies planches.» t o ï e v s k i , e x p é r i e n c e qui l'a d£-
Ayant interrompu ses études, H. Schygulla çue à cause d'une mise en scène
elle entre dans la troupe théâtra- t r o p c o n v e n t i o n n e l l e . «Ce qtoi
le munichoise «Actions-Theater» nue la favorite du public ouest- puis aux Etats-Unis qu'elle tra- m'intéresse au théâtre, c'est le-
dont elle fera p a r t i e j u s q u ' à ce a l l e m a n d et que la p r e s s e l'a v e r s e en a u t o - s t o p a v e c une v a n t - g a r d e , tout ce qui a un ca-
que F a s s b i n d e r l ' e n g a g e dans consacrée «meilleure jeune ac- amie, de l'Atlantique au Pacifi- r a c t è r e e x p é r i m e n t a l . Mais de
son «Anti-théâtre» (Antitheater) t r i c e de RFA», elle r o m p t sou- q u e . De 1974 à 1978, m a l g r é de toute façon, j e p r é f è r e le ciné-
pour y interpréter «Antigone». dain les ponts avec sa vie profes- nombreuses offres, elle ne joue m a , j e m e s e n s mieux d e v a n t
Avec Buffet froid, son qua- M a i s , à m e s u r e que l'action Dès lors, les deux artistes, qui une c a m é r a , on peut s'y e x p r i -
progresse, on devine que le réali- sionnelle et décide de vivre. «À q u e dans deux films: « F a u x
t r i è m e long m é t r a g e , Ber- ont la m ê m e conception du ciné- trente ans», déclare-t-elle à cette mouvement» de Wim Wenders et m e r avec beaucoup plus d'aisan-
trand Blier a voulu transmettre sateur s'est abrité sous le para-
ma, vont devenir inséparables. époque, «il est nécessaire de fai- «Points de vue d'un clown» d'a- ce que s u r une s c è n e . E t puis £e
une i m a g e r é a l i s t e de cette so- pluie de l ' a b s u r d e s a n s é v i t e r
complètement d'être éclaboussé En 1969, Hanna fait ses débuts à re le point avec soi-même.» près Heinrich Boell, de Voitech théâtre, c'est trop routinier poijr
ciété décadente. Ses héros (qui l ' é c r a n d a n s « L ' a m o u r e s t plus A p r è s s e p t a n s de t r a v a i l en Jasny. moi, avoir à jouer tous les soiÇs
n ' o n t pas froid aux yeux) sont p a r la t e n t a t i o n de l'esbroufe.
Sous s e s d e h o r s de fable, avec froid que la mort», premier film commun, elle quitte Fassbinder: E n 1978, elle a c c e p t e d ' i n t e r - la m ê m e c h o s e ne me convient
d'authentiques vilains. Ses flics de Fassbinder. Dans les années «Ma séparation d'avec lui était préter Maria Braun («le Maria- pas.»
d é f e n d e n t c o u r a g e u s e m e n t le s e s d i a l o g u e s qui cultivent le
paradoxe, ses situations systé- qui suivent, elle tiendra les princi- devenue nécessaire, dit-elle au- ge de Maria Braun») sous la di-
vice. Toujours évidemment l'i- p a u x rôles féminins de la plu- jourd'hui. Notre relation était au r e c t i o n de F a s s b i n d e r , une À 36 a n s , a u c u n o b s t a c l e nie
nattendu arrive dans ce film et, m a t i q u e m e n t d é t o u r n é e s par
p a r t des r é a l i s a t i o n s du j e u n e point mort, notre travail ne pro- femme qui participe au miracle s e m b l e d é s o r m a i s e n t r a v e r 1£
bien entendu, l'injustice finit par rapport à une certaine normali-
cinéaste. Elle y apparaîtra tan- g r e s s a i t p l u s . . . J e j o u a i s tou- économique et qui va s'identifier carrière d'Hanna Schygulla, fi
a v o i r gain de c a u s e . Comme té, Buffet froid reste finalement
tôt naïve et timide, tantôt sexy .et jours les m ê m e s rôles, des per- complètement avec l'Allemagne ce n'est elle-même.
dans la vraie vie, quoi! un film plutôt vide. d é p r a v é e , c o m m e une s o r t e de sonnages pétrifiés.» d ' a p r è s - g u e r r e , un rôle qui lui
i
: Sa cible? Ce d é s a r r o i qui ca- • M a r i l y n des f a u b o u r g s » , sen- Toujours en quête de nouvelles
i Pendant plusieurs années, à la plaît particulièrement: «Les rô-
r a c t é r i s e le m o n d e a c t u e l , ces suelle et lascive. Hanna Schygul- expériences, se remettant sanjs
recherche d'elle-même, Hanna les que je p r é f è r e sont ceux où
LUC PERREAULT édifices a b r u t i s s a n t s en béton la contribue alors, avec Fassbin- c e s s e en q u e s t i o n , l ' a c t r i c e qui
S c h y g u l l a peint, s ' a d o n n e au l'on doit montrer sa propre natu-
qui poussent comme des champi- der et son équipe, au renouveau ne se sent vraiment intégrée nul-
y o g a et à la m é d i t a t i o n , m o n t e re, donner le plus possible de soi-
gnons, ce modernisme invivable du cinéma germanique. le part, pourrait bien à nouveau
Qu'on ne s'y m é p r e n n e p a s : une pièce a v e c des e n f a n t s , même.»
qui n'a plus rien d'humain. E n 1974, alors qu'elle est deve- nous s u r p r e n d r e et s'engage}-
cette histoire n'a pas été écrite voyage en Hollande et en Suisse, .Depuis «le Mariage de Maria
D a n s Play Time Tati avait dans une autre voie.
p a r un idiot, s e u l e m e n t p a r un
souligné cette absurdité par un I
cinéaste qui, dans sa jeunesse, a ;
peut-être trop fréquenté Beckett
ou Ionesco. L'absurde fait avec
humour attendri qui faisait fina-
lement appel aux ressources de OEIL CLAIR, TIMIDITE ET COMPREHENSION f
i
i
l ' i n d i v i d u , à son bon s e n s , pour •

s
Blier son entrée dans le cinéma
français. J e doute qu'il y déclen-
che une vague aussi forte qu'a-
faire m a r c h e a r r i è r e . Blier se-
r a i t plutôt le p r o p h è t e d'une
a p o c a l y p s e finale. Ses p a u m é s
I I• • I I
A / • • A Ï M m* I •i Ae
~ il 1I V
i

I vec ses Valseuses.


Il faut p o u r t a n t a d m e t t r e
des Valseuses paraissaient bien 51 VI WWI f r
f
t

i n n o c e n t s à côté de ceux de ce
qu'en un premier temps Buffet Le s y m p a t h i q u e J a c q u e s montre capable, auprès de Fran- nous deux» en 1979), aucun dej>
d e r n i e r film. T i r a n t la conclu-
froid s u r p r e n d a g r é a b l e m e n t . Dutronc est en train de s'im- çoise d'apprécier simplement la deux ne l'a ébranlé. J
sion de son analyse de notre so-
Quand le héros (Gérard Depar- poser comme l'un des cinq ou six vie qui p a s s e , s a n s se m o n t r e r Le ciel t o m b e r a i t , il ne se
ciété, son film en appelle finale-
d i e u ) perd son c o u t e a u d a n s le grands acteurs français de pre- dans les night-clubs, les premiè- d é m o n t e r a i t p a s , r e s t a n t luî-
ment à des solutions extrêmes.
m é t r o pour le r e t r o u v e r quinze m i e r p l a n . P o u r t a n t nul n ' e s t res, ni «là où il faut aller». «Plus m ê m e , c o m m e le r e s t a i t Jeafi
M ê m e la n a t u r e n'y peut rien,
minutes plus tard dans le ventre moins a r r i v i s t e que lui: ambi- de dix a n s , dit-il, j ' a i connu les Gabin à t r a V e r s la colère pu la
soutient-il.
d'un inconnu, on sent que le buf- t i e u x , p e u t - ê t r e ; m a i s p a s à la galas, les tournées et leur tohu- tendresse. E t ceci admis, si ori-
Il r e s t e alors la solution d'en
fet en question sera servi assez manière de tout un chacun: seu- bohu. Il faut p o u r tenir d a n s le g i n a l , à sa façon, d a n s son jeu
rire. Mais ce rire, dernière réac-
froid m e r c i . Q u a n d , plus t a r d , lement quand l'ambition corres- régime du show-business un côté qu'il intéresse les plus difficile^
tion h u m a i n e possible, r e s t e
l ' a s s a s s i n de sa f e m m e se pré- pond au g a r ç o n qu'il est, s a n s p . . . que je n ' a i m e p a s . M a i n t e - des r é a l i s a t e u r s c o m m e Jearç-
malgré tout inquiétant.
s e n t e à son d o m i c i l e et est ac- g o n f l a g e , é c r i t à son sujet la nant j ' a p p r é c i e le côté père tran- Luc Godard en personne, lequel
cueilli en héros en présence d'un BUFFET FROID, de Bertrand revue «Cinéma Français». Par- quille, loin de ces jours fous.» lui confie «Sauve qui peut» au-
voisin, commissaire de police à Blier, aux Parisien, Rivoli, Green- lez-lui de sa «vedette», des pro- Jacques Dutronc, pour autant, près d'Isabelle Huppert. J
;
ses heures, il est difficile de res- field, Laval et Versailles. positions mirobolantes qu'on lui a-t-il dit a d i e u à l ' a d o l e s c e n t Là e n c o r e il t r o u v e r a un ter-
t e r froid devant ce spectacle in- fait s a n s c e s s e , vous ne v e r r e z farceur, capable de tours penda- rain d'étude à la fois technique,
i solite. pas son oeil turquoise s'allumer b l e s , qu'il fut m ê m e a p r è s ses psychologique et portant sur là
d e la plus infime lueur d'or- premiers grands succès? Non! Il communication humaine. D'au-
EN PRIMEUR gueuil. garde à ses heures un côté pieds- cuns sont déjà curieux d'apprei]-
i Au contraire, presque rougis- nickelés... «Mais, reconnaît-il, d r e c o m m e n t Godard « v e r r a *
V
trouve de son goût. Il s'en émeut, se fait s a n t , D u t r o n c c i l l e r a , gêné, en j ' a i mis du vin d a n s mon e a u , Dutronc et vers quels retranche-
\ LES VOLEURS DE JOB ments (ou extériorisation inat-
Film québécois ( 1 9 8 0 ) de Tahani Rached.
des scrupules, hésite, pu''s cède à la pas- tirant sur son sempiternel hava- c'est normal.»
Images: Alain Dostie Montage: Annik de Bei-
sion. Il est d'autant plus tourmenté qu'il a
n e , puis il a b r i t e r a son r e g a r d L ' a c t r i c e J a n e B i r k i n , qui tendue? ) il va le pousser. j
toutes les raisons de croire que cette jeu-
lefeuille Musique: Ti Lou Babin et Eglal Ra- derrière des verres fumés. connaît bien le couple Dutronc, Avec ses partenaires les plue
ched Son:Serge Beauchemin et Andre Dus- ne femme est sa propre fille puisqu'elle
sault. 68 min. RIALTO (mercredi, jeudi et ven- est l'enfant de son ancienne maîtresse. Le Nul n ' e s t «moins comédien» déclare: «En Jacques comme en caractéristiques, Romy Schnei-
dredi prochains). que lui. Il dit: «J'ai cette chance, Françoise, fille d'une classe par- d e r , I s a b e l l e Adjani, Marlènfc
Documentaire sur les immigrés pour
quinquagénaire et la jeune femme se re- J. Dutronc J o b e r t , Léa M a s s a r i , B r i g i t t f
trouvent à Madrid. Qu'importe qu'il soit c ' e s t tout, d ' ê t r e d e m a n d é au faite, il y a une zone cachée, très
qui Montréal n'est pas fou/ours la terre Fossey, d'autres comédiens
promise. Ayant quitté des pays où la si-
son père, elle l'aime passionnément! Puis, c i n é m a à une époque où on ne il c a m p e un j e u n e a v o c a t qui, attirante. J e le trouvais railleur,
tuation économique ou politique leur
se ravisant, elle le quitte discrètement joue plus tel personnage à grand désespéré de n'avoir pas sauvé g o u a i l l e u r , t r o p s û r de lui. E r - auraient cherché à jouer dans lé
pendant qu'il regarde au cinéma reur: ce n'était qu'une attitude. ton, comme faisaient les parte-
rendait la vie impassible, ils sont venus ici renfort de tics, mais où il est bon la t ê t e d'un c l i e n t , r o m p t avec
«Vampyr» de Cari Dreyer.
dans l'espoir d'y trouver une terre hospi- de copier la v i e . Moi, d e v a n t la son milieu. C'est «un personnage Un jour j ' a i découvert sa vérita- naires de Garbo, ou de Marlènp
A SMALL CIRCLE OF FRIENDS
talière. Ils parlent de leur condition, de c a m é r a , j ' e s s a i e que le person- peu conventionnel, plein de fan- ble n a t u r e et son c h a r m e énor- Dietrich, qui s'alignaient. Jaa-
Film américain (1980) de Rob Cohen Scena-
leur travail. Et on les voit, devenus ci-
rio: Ezra Sacks Images: Michael Butler. Mon- n a g e se confonde avec le quoti- taisie, d'invention, d'ironie, de me». Jane Birkin ajoute: «Je le ques D u t r o n c lui, qui est la d i i
toyens à part entière, prêter serment à sa tage: Randy Roberts. Musique: Jim Steinman. dien. Les grands acteurs à ronds c h a r m e en un mot». C e t t e d e s - situe comme un des trois grands crétion même, suit sa ligne: son
majesté la reine du Canada. Après quoi Avec Brad Davis. Karen Allen. Jameson Par-
ker. Shelley Long. John Friedrich. Gary Sprin- de bras et de j a m b e s , ça m'épa- cription, c'est Dutronc craché. D avec Depardieu et Dewaëre.» jeu, tout en nuances, continue de
certains d'entre eux, employés pour faire
ger. Craig Richard Nelson 113 mm. WEST- te. C'est du spectacle! » faire m e r v e i l l e — s a n s qu'il
le ménage, passent le balai et épousset- MOUNT SQUARE.
Cet excellent acteur a conquis Idole de la Chanson Un vrai empêche une seconde sa parte
tent les meubles.
BUFFET FROID
brad Davis, le héros malheureux
m Midnight Express», se retrouve dans le
de
son droit de cité, il s'est imposé Chanteur-compositeur très professionnel naire d'être elle-même, fût-ellfe
Film français (1979) Acrit et réalisé par Ber- rôle d'un étudiant américain, à la fin des
a u p r è s des p r o d u c t e u r s . Ces a p p l a u d i d a n s les a n n é e s 60, Indolent, p r e n a n t les choses explosive. Comment fait-il? «Eh
trand Blier Images: Jean Penzer Montage: années soixante. La guerre, au Vietnam, d e r n i e r s r ê v a i e n t d'un g a r ç o n q u ' e s t - c e qui l ' e m p ê c h a d ' ê t r e comme elles viennent, Dutronc bien, j ' e s s a i e tout s i m p l e m e n t
Claudine Merlin. Musique Johannes de me comporter devant Isabel-
Brahms. Avec Gérard Oepardieu. Bernard fait rage et la jeunesse américaine en a qui serait à la fois un lunaire, un une véritable idole, comme tant ne l'est q u ' e n a p p a r e n c e : la
Blier. Jean Carmet. Geneviève Page. Denise ras le bol. Au pays, les étudiants sont amoureux distrait et tendre, un d'autres? Le fait, s a n s doute, n a i s s a n c e , l a f a b r i c a t i o n d'un le, Léa, Romy, e t c . . comme je lfe
Gence. Michel Serrault 95 min. PARISIEN 3. f e r a i s , c o m m e je le s e n t i r a i }
RIVOLI 2. GREENFIELD PARK 3. LAVAL 5 et
politiquement engagés. C'est encore l'é- impénitent marginal, capable de qu'il s e s e n t a i t à p a r t d a n s le film à tous niveaux, les rushes,
VERSAILLES 3. poque de la contestation. Brad Davis s e fourrer d a n s d e s s i t u a t i o n s show-business, univers trop bril- le m o n t a g e , tout le p a s s i o n n e . d a n s la vie de tous les j o u r s . J e
forme avec Karen Allen et Jameson Par- ne suis p a s le type à c a s s e r les
Un film merveilleusement absurde mais impossibles, personnage qu'on lant, forcené, où la foule s'élec- S u r le p l a t e a u il s ' i n t è g r e à l'é-
ker un trio d'inséparables. Par moments,
qui, malheureusement, traîne en lon- pouvait rencontrer, outré, dans trise sous le typhon des décibels. q u i p e . Là, c ' e s t un a u t r e Du- a s s i e t t e s d a n s les s c è n e s dfc
le film saute quelques années et nous
gueur. Il commence dans une station de
montre ce que sont devenus ces étudiants les films comiques, tout àu plus. J a c q u e s c'était la nuance, l'hu- tronc, copain avec tous, qui fait m é n a g e , ou à c a s s e r le divaQ
métro. Un homme est poignardé; il dit d i r e à son a m i J e a n - M a r i e P é - dans les scènes d'amour.» •
d'hier. E t voilà que D u t r o n c , «mine de m o u r farfelu, un rien fleur
avant de mourir: ^Reprenez votre cou-
rien», incarnait cet oiseau rare à bleue. r i e r , lequel le fit d é b u t e r à l'é- Dans «Nos intentions sont paî-
teau, vos empreintes sont dessus». Geste
aimable pour un moribondl l'autre re-
THE GODSEND l'écran. Mieux, on s'apercevait cran dans «Antoine et Sébastien»: cifiques», que Gérard Pires réat
prend son couteau sans savoir comment il
Film américain 1980) oe Gabrielle Beaumont.
n
qu'il pouvait réussir aussi bien Pour ne pas rompre avec cette «Sa p r é s e n c e s e u l e , a u t o u r des Usera prochainement, prendraj
Scénario: Olaf « r»oley. d après un roman de c a m é r a s , est rassurante, bénéfi-
est arrivé dans le ventre du bonhomme. Bernard Taylor Images: Norman Warwick. d a n s la c o m é d i e («Antoine et f a n t a s m a g o r i e de p o è t e s a n s t-il une autre toise, une autre di-
Et ça continue comme ço. Un inspecteur Montage Michael Ellis. Musique: Roger S é b a s t i e n » ) que d a n s le d r a m e d o u t e , il t r o u v a la m o d e r n e que, comme son humeur égale. r e c t i o n ? Non, et c'est t a n i
de police félicite l'assassin, un cinglé Webb Avec Cyd Hayman. Malcolm Stoddard.
(«L'important c'est d'aimer»), «Ophélie» qui «collait» parfaite- Jacques évite tout d r a m e et fait m i e u x : il y s e r a Olivier,, ud
Angela Pleasance. Patrick Barr 9 0 min.
étrangle les femmes pour entendre chan- LOEW S 1. d a n s le t h r i l l e r («Le bon et les ment avec lui: Françoise Hardy, régner la bonne humeur. Ma dé- paumé désenchanté, rêvant tl'aC-
ter les oiseaux. On finit par se rendre
Depuis le fracassant succès de mîhe méchants») que dans la comédie e l l e - m é m ^ t r è s peu s o u c i e u s e , finition de lui? Un F r a n ç a i s venture, qui commet un minablf
compte que la machine tourne à vide. m o y e n qui ne r e s s e m b l e à per-
Exorcist» en 1974, le Diable est à la de m o e u r s («Violette et F r a n - m a l g r é ses «tubes» de chanteu- hold-up avec son copain. Ils ont
LA FILLE
f mode. Voici, dons le même genre, mais
çois»). se, de toute célébrité tapageuse. sonne». Mais ne pas se fier à son prémédité de faire màii
(Cosl come M l )
en moins violent, l'histoire d'une petite
A travers ces intrigues diver- Aujourd'hui, les voilà installés flegme, à son insouciance appa- b a s s e s u r le t i r o i r - c a i s s e d ' u n e
Film italien (1978) d Alberto Lattuada. Scéna- fille recueillie par un brave couple dans r e n t s : c ' e s t un professionnel à
rio Ennco Oldoinl et Lattu»3a d après une un coin perdu de la campagne anglaise. ses, tout en collant parfaitement dans une rue vieillotte et provin- épicerie de quartier. Résultat: \f
histoire de Paolo Cavara et Oldoint Images:
à elles, Dutronc gardait cette c i a l e du X l V è m e a r r o n d i s s e - fond. p r o p r i é t a i r e furibond les bom»
José-Lui s Aie aine Montage: Sergio Mor.tana- L'enfant semble posséder des pouvoirs
rf. Musique: Enmo Morncone Avec Marcello maléfiques et sa venue ne comblera pas a r m e redoutable: son oeil clair, ment de Paris. Rien n'a c h a n g é d e p u i s ses b a r d e à coups de g r e n a d e s , ei
Mastroianni. Nastassja Kinski. Francisco plein de t i m i d i t é et de c o m p r é - voilà Jacques-Olivier à la carri-
Rabat. Monica Randal. Gluliana Galandra.
d'aise ses parents adopt h. Il perdront d é b u t s . Il a pu p a s s e r p a r la
I Ania Piefoni 105 min PARISIEN 4 et LAVAL
r
\eu quatre enfants et la pauvre femme hension h u m a i n e et son i m p e r - Détestant le Paris bruyant, il c a m é r a perfectionniste de Sau- p a g n e , où il se met au v e r t , efl
fera une fausse couche. Comble de mal- turbable naturel. Dans «Le mou- se glisse souvent hors de chez lui
4.
tet, deux fois p a r celle inspirée à r ê v a n t d'îles, de tropiques hrt-
Un homme dans la cinquantaine se heur, le père deviendra stérile aprèz
ton noir-, de J e a n - P i e r r e Mos- à l'aube, pour courir la campa- l ' e m p o r t e - p i è c e de C l a u d e Le- possibles... ^ ;
rend compte qu'un belle jevne femme le avoir attrapé les oreillons.
cardo, l'un de ses derniers /ilms. gne a v e c son fils T h o m a s , ç t se louch (dont il a i n t e r p r é t é «A
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 3 MAI 1980
D 19
ELASTIQUES 1

LES ANNÉES 70 EN SURVOL i

wt i ^ r i s s a n t g r a v u r e québécoise
L ' a r t de la gravure fleurit évident souci de regrouper par
au Québec. Depuis une di- affinités plastiques et thémati-
zaine d'année, ce moyen de créa- ques les oeuvres choisies.
Ut tion a connu un tel essor qu'il est Cela nous permet de se rendre
devenu aujourd'hui l'une des bien compte de l ' e m p r i s e de la
plus prisés de nos créateurs. Le figuration — comme s'il s'agis-
phénomène est étrange. Contrai- sait du retour du refoulé — sur la
rement à la vocation p r e m i è r e g r a v u r e des dix d e r n i è r e s an-
de l'oeuvre multiple qui était de nées. Figuration liée de près à la
rejoindre le plus grand nombre culture de masse, figuration au .A

et à des coûts a c c e s s i b l e s , la s e r v i c e d'un j e u sur la forme,


gravure québécoise semble figuration tributaire de recher- m
•y
avoir fait davantage la conquête ches conceptuelles; elle est om- 1

des a r t i s t e s que des collection- niprésente et symptomatique de


neurs. la vieille problématique qui op-
Le Musée d'art contemporain,
dans le c a d r e de La semaine de
la gravure organisée par le Con- GILLES
seil de la gravure du Québec, a TOUPIN
mis sur pied une imposante ex-
position d'estampes québécoises
qui r a s s e m b l e quelque 136 oeu-
vres de 48 graveurs. Les organi- 1
sateurs ont ainsi tenté de faire le V*-
bilan des années soixante-dix
dans le domaine en proposant au
public cet aperçu des principales posait les tenants de l'art figura-
tendances qui ont marqué la tif à l'art abstrait. 1

décennie. Il est possible, se sont dits ces


Il y a dans la présentation une g r a v e u r s , de c o n c i l i e r un souci
tentative évidente de clarifica- d'autonomie plastique des oeu-
tion de ce qu'il faut bien appeler vres à des formes en étroite rela-
l'embrouillamini des courants et tion avec le monde des apparen-
des engagements des artistes c e s . J e pense notamment à la
g r a v e u r s . Il est néanmoins grande Suite nordiquede René
dommage qu'une exposition de Derouin qui, au lieu de nous don-
ce genre ne soit pas a c c o m p a - ner le sentiment que nous som-
gnées d'un catalogue où le vis- mes devant un paysage réel, 6

«Yashica 6 3 5 » , de Pierre teur aurait pu être éclairé par un nous souligne, surtout par la
frontalité de son e s p a c e , qu'il i
Ayot. essai substantiel sur l'ampleur
du phénomène. R e s t e que r a c - s'agit bel et bien d'une oeuvre
c r o c h a g e a été pensé dans un d'art faite de main d'homme. Il
en va de m ê m e pour la figura- i
tion p a y s a g i s t e d'un L a u r é a t I
Marois ou de Ann McCall. Les
signes, les cadrages, les super-
positions de structures nous si-
gnalent que c e sont là des ima- i
ges entièrement centrées sur le
code représentationnel plutôt
«La naissance d'un nouveau monde», de Cari Daoust. i
$
que sur le sujet de ces représen- position n'ont-elles pas pour vaux à tendance caricaturale de
tations. Des exercises réussis
assises une référence Denis Forcier (en particulier son
L ' e s p r i t populaire qui s'est photographique? Cela permet grand t i m b r e intitulé Boubou Enfin, le t r a v a i l de transfor-
e m p a r é de c e r t a i n e s branches évidemment de donner aux ima- t'es timbré et de Michel Fortier. mation ou d'altération de c e t -
de la g r a v u r e québécoise n'a ges gravées un certain caractè- Sans compter les réflexions noi- tains objets identifiables (veste,
d'ailleurs pas été non plus au re d'authenticité — puisque la res et délicieuses d'inspiration boîte, soulier, empreintes de fera
détriment de la réflexion sur la photo rend compte objective- surréaliste d'un Cari Daoust ou repasser, etc.) attire plusieurs
perception visuelle. Pierre Ayot ment, croit-on, du réel — mais d'un Louis Pelletier qui, en quel- c r é a t e u r s . L a veste de B e t t y
ou Michel Leclair ont certes uti- cela donne surtout aux artistes ques i m a g e s , nous donnent une Goodwin, pour donner un exem-
lisé des t h è m e s tirés du monde la liberté de se libérer de la con- vision dantesque du monde. ple, est l'une des plus belles piè-
matériel de nos sociétés, mais ils ception ou du choix du motif ces parmi ce type d'oeuvres.
les ont toujours fait servir avec pour se tourner davantage vers Ailleurs, les choses se passent
humour et fraîcheur, à j o u e r les propriétés chromatiques et plus s é r i e u s e m e n t . Cette fois Dans l'ensemble, l'exposition
avec la représentation, à la dé- formelles du médium. c'est l'ordinateur ou l'utilisation est représentative de ce qui s'est
c o n s t r u i r e et à la démystifier. d'un système logique qui régit la fait depuis dix ans dans le do-
Dans le cas d'un Serge Tousi- création de l'oeuvre. Luc Bour-
Voir pour eux, c'est aussi s'amu- gnant, d'une Suzy Lake ou d'un maine de la gravure au Québec.
s e r , rire de nos t a r e s , de notre bonnais et J a c q u e s Palumbo Il y a cependant des oeuvres
J e a n Noël, l'utilisation de la pho- représentent cette tendance.
façon de vivre en s o c i é t é et de to se prête bien à la réflexion dans cette exposition qui présen-
nos habitudes perceptuelles. Il y Aussi, sous de multiples facet- tent un intérêt certain du côté dju
ludique ou purement con- tes, une gravure plus intimiste,
a n é c e s s i t é chez c e s graveurs ceptuelle: chez Tousignant, travail sur la forme mais aucun
d ' é t a b l i r une corrélation entre r a t t a c h é e à des visions parfois en ce qui à trait à la couleur. Il Jy
par exemple, la réflexion sur l'il- fort éloignées les unes des au-
ces pôles qui, il n'y a pas si long- lusion et le concept de la vision a par contre d'autres oeuvrefc
temps, semblaient irréconcilia- tres, connaît encore la faveur de qui nous font voir un travail r £
prennent le dessus dans son oeu- plusieurs a r t i s t e s . La gravure
bles. vre réalisée à l'aide de photogra- che sur la couleur mais peu atti-
C'est comme si, d'une part, la expressionniste au sens large du rant du côté de la forme. Et il y a
phies d'un coin d'appartement. terme, voire lyrique, débordante
plupart des graveurs québécois beaucoup d'oeuvres qui sont des
Bref, il n'y a rien d'alarmant de gestualité, est encore présen-
éprouvaient le besoin de s'affir- exercises assez bien réussis des
dans cette surenchère figurati- te chez beaucoup de nos gra-
mer en résistant aux codes mo- points de vue de ia couleur et de
ve. Elle est même le signe enco- veurs et sous de multiples for-
dernistes et, d'autre part, c'est la forme mais qui ont peu à dire
re frêle d'une volonté admirable m e s . C'est un peu là que tout a
c o m m e si en m ê m e temps ils m a l g r é tout. C'est un peu le
de donner à notre gravure son commencé en gravure moderne
voulaient conserver les avanta- d r a m e de bien des e s t a m p e s
c a r a c t è r e propre en tâchant le chez nous et c ' e s t là que nom-
ges de légitimisation que ces québécoises, dans c e foisonne-
plus possible d'éviter les formu- bres d'artistes désirent encore
codes leur procurent. La part ment d'oeuvres qui sont produi-
lations régressives. oeuvrer. Certaines oeuvres sont
qu'a joué l'utilisation de la pho- tes chaque année, que de s'en
tographie depuis dix ans en gra- E t puis, il faut bien le dire, particulièrement frappantes tenir au simple exercise.
vure n'est certainement pas notre gravure a tout aussi le sens dont Aire de femme I et II de
é t r a n g è r e à ce déchirement. de l'humour que celui du clan- F r a n c i n e Simonin et Raphidia L'ESTAMPE AU QUEBEC, 1970-
Combien d'oeuvres de cette ex- destin. Il n'y a qu'à voir les tra- de Robert Savoie. 1980, au Musée d'art contemporain,
jusqu*au 15 juin 1980.

«Boubou t'es timbré», de Denis Forcier.

rv f

v
« Aire de femrile», de Francine Simontfr, «Suite nordique», de René Derouin.
D 20 LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 3 M A I 1 9 8 0

ARTS

ONE PRIM
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.2 ia
S

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Un grand éclat de soleil dans les gaieries


( A F P ) — Un grand1 éclat de au premier plan quelques m â t s splendide pour moi», écrit-il à un où il v i v r a jusqu'à sa mort en j a r d i n floral a v a n t d'y faire
H i^FJ? Hî .
ries du Grand P a l a i s , à 1P a r i s ,
g rand éc,al
soleil a jailli7 dans les g a l e - . d e
de n a v iPremier
a u
r e s pointant»: c ' e s t lam â t s Museum de New York), «la Pla-
plan quelques
d e s c r i p t i o n qu'il en donne lui- ge à Sainte-Adresse» ou la vue de
critiques quelques
splendide pour moi»,s eécrit-il
m a i n e sà un 1926. oùLila i vs si va rnat libre
jusqu'à sa mort
cours à sa en creuseri a r d ilen bassin
floral aux
a v a nymphéas
n t d'y U
après son installation. Sept ans passion pour les fleurs, il trans- e n j a m b é par le f a m e u x «pont
dont les cimaises avaient rare- m ê m e . «On me demande le titre «Saint-Germain-l'Auxerrois», plus tard, il achète la propriété, f o r m e Giverny en un i m m e n s e
m e n t été à p a r e i l l e fête: cent japonais».
pour le catalogue, ça ne pouvait e x é c u t é e d e p u i s l e s s a l l e s du
t r e n t e t a b l e a u x de Monet, ja- v r a i m e n t pas p a s s e r pour u n e Louvre. C'est encore, pour Mo-
m a i s e n c o r e r a s s e m b l é s en un vue du Havre, ajoute-t-il. Je ré- net, une période d'énormes diffi-
m ê m e lieu, et dont quatre ou pondis «mettez impression». On cultés financières.
cinq seulement suffiraient déjà en fit i m p r e s s i o n n i s m e et l e s M a i s à L o n d r e s , où il part au
à illuminer un printemps maus- plaisanteries s'épanouirent». Le début de la guerre franco-prus-
sade... tableau est aujourd'hui au Mu- sienne, il va faire la connaissan-
P o u r c e t t e r é t r o s p e c t i v e Mo- sée Marmottan à Paris, avec ce de P a u l D u r a n d - R u e l , qui
net, qui constitue un événement, ceux donnés à l'Institut de Fran- deviendra son marchand et son
les m u s é e s de France se sont sé- ce par le fils du peintre, Michel a m i , ainsi que c e l u i de tous l e s
ml \ Monet — un musée qui renferme
p a r é s p r o v i s o i r e m e n t de leurs impressionnistes, et qui l'aidera
"'Il
M o n e t , et plus de vingt m u s é e s une belle collection de Monet et considérablement.
étrangers ont accepté d'envoyer que, malheureusement, les visi- Après Londres, c'est la période
1
I ' t e u r s qui s ' é c r a s e n t au Grand
l e s t o i l e s les plus i m p o r t a n t e s d'Argenteuil (1872-1877), qui
,
I **
I
q u ' i l s p o s s é d a i e n t du «père de Palais ne fréquentent guère. verra l'épanouissement de l'im-
l'impressionnisme». Le résultat p r e s s i o n n i s m e . Monet r e ç o i t
**« i

est une merveilleuse avalanche Le «Déjeuner» souvent chez lui Manet, Renoir,
de couleur et de poésie qui, véri- en morceaux Sisley, Pissarro, Cézanne. L'a-
I » I tablement, réchauffe comme un N é à P a r i s en 1840, Monet de- m i t i é e n t r e c e s p e i n t r e s e t la
r a y o n de soleil. C'est la beauté vait passer toute son enfance et c o m m u n a u t é de leurs r e c h e r -
f a i t e l u m i è r e , l'émotion faite ches aboutissent à l'organisation
son a d o l e s c e n c e (de cinq à d i x - de c e t t e f a m e u s e e x p o s i t i o n de
couleur, la tendresse et la poésie neuf ans) au Havre. C'est là que,
au bout du pinceau. Le tout, sur- 1874, à Paris, où Monet présente
dès l ' â g e de quinze a n s , son ta- «Impression, soleil levant». Le
tout vers la fin de la vie du pein- lent se manifeste, mais un talent
tre, dans une sorte de flou irréel tableau, par l'intermédiaire du
de c a r i c a t u r i s t e , dont les o e u - marchand Durand-Ruel, est
et rayonnant qui est un enchan- vres étaient exposées chez le li-
tement pour l'oeil. acheté cher par un amateur for-
braire d'à côté. Le «révélateur» tuné, E r n e s t H o s c h e d é . M a i s
du j e u n e peintre s e r a B o u d i n , q u a t r e ans plus tard, lorsque
son premier maître, qui l'incita H o s c h e d é , ruiné, d e v r a le v e n -
«Bon Dieu, surtout à peindre en plein air. dre, il n'atteindra qu'un prix
quel oeil!» À Paris, quelques années plus dérisoire. Hoschedé et sa femme
tard ( a p r è s un pénible s e r v i c e A l i c e a l l a i e n t d e v e n i r les a m i s
L ' o e i l , quel oeil? Celui, au-
jourd'hui, du spectateur. Celui,
m i l i t a i r e en A l g é r i e , d'où il r e -
viendra malade), il se lie d'ami-
tié avec le peintre Bazille, qui le
de Monet qui, a p r è s la mort de
sa f e m m e C a m i l l e et c e l l e de
,<4
il
h i e r , du p e i n t r e , dont Cézanne Hoschedé, épousera Alice avec
fera v i v r e durant s e s l o n g u e s laquelle il avait déjà une liaison
d i s a i t : «Monet, c e n'est qu'un
oeil, mais. Bon Dieu, quel oeil!» années de dénuement et de soli-
tude. Monet a u s s i se m o n t r e r a
et subviendra aux besoins de ses m
En vérité, toute sa vie Monet n'a six enfants. Alice élèvera de son
g é n é r e u x e n v e r s lui, a c h e t a n t côté les deux enfants de Camille

otre mm
voulu être qu'un oeil qui saisis-
nombre de ses toiles et l'encou- avec les siens.
s a i t l'instant p r é s e n t . Son pin-
ceau, au service de son regard,
r e t r a n s c r i v a i t non pas ce qu'il
rageant sans cesse.
A r g e n t e u i l e s t l'époque des V a m
Londres et
avait vraiment en face de lui (au
d i a b l e le r é a l i s m e ! ) m a i s ce
gqu'il ressentait devant une natu-
Argenteuil
D e Camille, qu'il a l l a i t é p o u -
«Coquelicots» (l'un des plus célè-
b r e s t a b l e a u x de l ' i m p r e s s i o n -
n i s m e ) , des « R é g a t e s à A r g e n -
teuil», et d e s v u e s de «la G a r e
maman i

ne mérite-t-elle pas
re changeante dont la tonalité se s e r u n juin 1870 à Trouville (un
m o d i f i a i t a v e c la l u m i è r e et S a i n t - L a z a r e e n f u m é e » qui en-
de s e s t é m o i n s fut C o u r b e t ) , thousiasmèrent Zola.
B
ta
l'heure du jour. Une Monet fit un p r e m i e r v é r i t a b l e P u i s le p e i n t r e s ' i n s t a l l e à
Vétheuil, dans une maison dont
il immortalisera le jardin avant
celui de Giverny. Vivant en bor-
dure de la Seine, peignant m ê m e
les plus belles fleurs au
«
sur un bateau-atelier, Monet al-
lait ê t r e aux p r e m i è r e s l o g e s
pour contempler la grande débâ-
cle de la Seine, dans la nuit du 4
monde?
au 5 janvier 1880, et Its grandes
m inondations qui s'ensuivirent. Il
m
m brosse plusieurs tableaux de cet-
w
te débâcle spectaculaire: sur le
f l e u v e tout en l a r g e u r , l e s gla-
m
çons disloqués reflètent la lumiè-
**** * 'Js re s u r l ' e a u , e n c a d r é s sur les
bords par une végétation désolée
et tragique. Monet met au point
:

lui Les Floralies.


d a n s c e s t a b l e a u x la t e c h n i q u e
des «séries» qu'il illustrera de
façon magistrale avec la Cathé- *

drale de Rouen: le sujet ne chan-


ge pas, seule change la lumière
' vV.
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vont j u s q u ' à s e d i s s o u d r e pour passeport régulier â
«impression», c o m m e cette portrait, en pied, en robe verte, ne plus laisser que des silhouet- n'importe quelle succursale
« I m p r e s s i o n , soleil levant» qui qu'il présenta au Salon de 1866 et tes é m e r g e a n t d'une b r u m e lu- BANQUE de la Banque Royale. Floralies
a l l a i t donner son nom à tout un qui r e m p o r t a un vif s u c c è s . D e mineuse — c o m m e pour les vues
t c e t t e époque, qui p r é c é d a la du Parlement de Londres.
• n v A
i—y—r i
i Cette réduction royale se 1980
mouvement après avoir suscité
i
l bien des c o m m e n t a i r e s ironi- g u e r r e de 1870,. datent a u s s i En 1883, Monet s'installe avec termine le 15 mai 1980. Les Ê-kxattes inter nationales (Je Montréal

i
» ques, et qui date de 1872. Monet a quelques-uns des très beaux ta- sa nombreuse famille à Giverny,
i peint ce tableau de sa fenêtre, au b l e a u x de Monet, c o m m e «les dans l'Eure. «Je suis dans le ra-
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t Havre. «Du soleil dans la buée et Régates à Sainte-Adresse» vissement, Giverny est un pays
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Les manuscrits enluminés de René Char


P A R I S ( A F P ) - Les m a n u s -
ques manuscrits illustrés p a r des Et voici q u ' u n poète f r a n ç a i s , la p a g e b l a n c h e qui fait face au et p o é s i e se répondent et s e sou- d u r a n t la R é s i s t a n c e , il y a v a i t
•*

crits enluminés, c'était Papanage peintres du 15e siècle comme Jean René Char, aujourd'hui âgé d e 72 t e x t e , soit i m b r i q u e r l i b r e m e n t tiennent en un alliance parfaite- appris la souffrance et la fraterni-*
• i n c o n t e s t é de c e s moines du
Fouquet. Les livres, imprimés en ans, a eu l ' i d é e m e r v e i l l e u s e de peinture et dessin entre les lignes ment homogène. té d e s h o m m e s e t ne d e v a i t j a - '
£ Moyen Age qui s'usaient les yeux plus ou moins g r a n d e q u a n t i t é , r e n o u e r a v e c c e t t e t r a d i t i o n ou- ou m ê m e les mots. mais plus l'oublier.
a c a l l i g r a p h i e r et à i l l u s t r e r au
peuvent toujours, il est vrai, être bliée du m a n u s e r t i e n l u m i n é . Ce sont ces trente manuscrits, René Char, d'abord marqué par
«.pinceau Bibles, Codex, Psautiers illustrés, et ils le sont souvent, par G r a n d a m i d e s p e i n t r e s dont il j a m a i s présentés au public dans l'influence du surréalisme, colla- Le premier artiste auquel René
g ou L i v r e s d ' H e u r e s , t r é s o r s uni-
les plus g r a n d s a r t i s t e s . Mais parle superbement et qu'il appelle leur intégralité, que la Bibliothè- b o r a n t n o t a m m e n t a v e c A n d r é Char confia un manuscrit à enliK »

S q u e s qui font aujourd'hui la gloire


c'est toute la différence entre l'il- poétiquement ses «alliés substan- que N a t i o n a l e d e P a r i s e x p o s e B r e t o n et Paul E l u a r d , d e v a i t miner («Poèmes») fut le peintre*
5 de quelques bibliothèques et mu- lustration reproduite (lithogra- tiels», il l e u r a confié, p e n d a n t aujourd'hui, enluminés par vingt- devenir, après la guerre d'Espa- catalan Joan Miro, à son retour en
£ sées du monde entier. phies, gravures etc.) et l'enlumi- trente ans, ses manuscrits, le plus sept des plus grands peintres con- gne, un poète engagé dans la lutte 1948 d e s E t a t s - U n i s où il a v a i t
nure ( p e i n t u r e , g o u a c h e , l a v i s , souvent présentés en feuillets sim- pour la dignité, la justice, le cou- passé huit ans. Miro devait Mus-; i
;
temporains parmi lesquels Picas-
* Puis vint l'imprimerie, et il n'y d e s s i n , a q u a r e l l e ) d i r e c t e m e n t ples ou doubles, ou encore en ca- so, B r a q u e , Miro, Max E r n s t , rage — poète, il est vrai, souvent trer au total douze libres de René
«.eut plus, ou presque, d'exemplai- apposée sur un manuscrit unique, hiers non cousus, afin que les ar- Giacometti, Vieira da Silva. Pas- quelque peu hermétique mais tou- C h a r , dont le c é l è b r e « M a r t e a u "
(Oc re unique, à l'exception de quel- calligraphié. tistes choisis puissent soit utiliser sionnante exposition où peinture j o u r s lyrique, Cher d e m a q u i s sans Maître» qui date de 1934. «
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l'ignorance de la chose. Bien au contraire. Chaque fois que Zola — fête avec photo souvenir p o m m e s fraîches à la can-
surtout Zola — Flaubert ( c e dernier avec moins de bonheur) et de SPÉCIAL FÊTE DES MÈRES n e l l e e t le c a f é o u t h é à v o -
Maupassant (celui-ci avec sa faconde habituelle) ont traité des • Une rose faite à la main en soie du Japon lonté.
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qu'il s'agit d'un amoncellement de mots entassés là pour «épater le
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précise. Un fromage n'est pas «jaune» parce que c'est la couleur
générique: Zola cherche et trouve beaucoup mieux que cela. A lire
et à relire m ê m e si on devient quelque peu désespéré devant tant
de talent, disons tant de génie! Or, il est connu que Zola attachait
pas plus d'importance qu'il ne fallait à la cuisine. Un repas était un
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fautes, disons plutôt les maladresses, sont nombreuses et un char-
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l'écrivain confond les terrines et les pâtés. Conduit par l'enthou-
P s i a s m e , oubliant sa rigueur habituelle, Flaubert insiste surtout sur
" " ^ l a richesse et l'abondance des victuailles sans attacher plus d'im-
_ portance qu'il n'en faut à la description parfaite des mets et des
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festin de noces. fraîches à la cannelle, et le
I Avec Guy de Maupassant nous sommes en compagnie d'un gas- café ou le thé à volonté.
tronome dilettante qui n'oublie j a m a i s d'accorder aux choses de la C ' e s t un dîner c o m p l e t sans f r a i s s u p p l é m e n t a i r e s o u cochés. Et p o c e q u e C l u b de nuit
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table l'intérêt qu'elles méritent. Nous mangeons pour vivre, n'est- n o u s s o m m e s situes a u c o e u r d u c e n t r e - v i l l e vous nous t r o u v e z sans cher- LA C A C H E T T E
ce pas, les écrivains c o m m e les a u t i e s . L'oeuvre de Maupassant c h e r ! Si v o u s n ' a v e z pas le g o û t d ' u n steak, e s s a y e z n o t r e p o u l e t avec côte- L E Danse tous les soirs
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définissent la morale. Gastronome, disons la vérité, Maupassant •»

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cré à l'alimentation mais, en revanche, l'oeuvre de Maupassant en écoutant loi plus grands artistes portugais
m fourmille de certaines observations sur le rôle de la bonne cuisine
et sur l'importance d'une nourriture saine.
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séductions auxquelles les mouvements autour des tables. assiettes rebondies et des por- entrée célèbre. Le «vongole» est tendreté et servies avec une
restaurateurs n'échappent pas Le décor réussit à créer une Scampis Negroni tions confortables... d'autant un tout petit coquillage que l'on sauce légère au vin blanc. L a
puisqu'ils savent que nous y som- atmosphère d'une certaine cha- plus que, contrairement à ce qui ne trouve pas ici et que Le cuisson des légumes était par-
mes sensibles. A tous les points Linguine vongole se fait en Italie, le plat principal Negroni remplace par de la faite.
leur, avec un découpage d'ar-
cardinaux, on dirait que réguliè- ches de briques et des teintes Cailles vigneronnes est largement garni de trois lé- chair de palourde coupée en
rement s'accroche une nouvelle harmonisées des murs à l'habil- Escalopes du chef gumes. L e véritable antipasto, le menus morceaux. L e résultat Le sabayon à l'Amaretto di Sa-
enseigne aux accents latins. Des lement des tables. Malgré un Sabayon à l'Amaretto di hord-d'oeuvre qui précède l'en- obtenu est heureux, le mariage ronno est un dessert dont il ne
petites, des grandes, de celles choix de lampes aux formes in- Sarrono trée de pâte, serait là vraiment de la pâte et de la chair marine faut pas se priver, doux et léger
qui ne dureront que l'espace téressantes l'éclairage n'est pas de trop. bien réussi. L a présentation est comme doit l'être tout sabayon
d'une saison et de celles qui tien- Café jolie avec un« coquille garnie au bien fouetté, à peine sucré con-
parfaitement adapté. La clarté
dront contre vents et marées. Tisane L'entrée de scampis Negroni est centre du plat. trairement à ceux que l'on sert
Nouveau venu, le Negroni a eu le un plat en soi. Sur un riz en la plupart du temps et délicate-
FRANÇOISE K A Y L E R grains détachés qui n'a aucune ment parfumé avec cette saveur
courage de s'appuyer sur une Menu pour d e u x , sans Les deux plats de viande avaient
parenté avec le riz à grains particulière d'amande qu'à cette
façade anonyme intégrée dans diffusée donne facilement une vin. Avant taxe et service: courts avec lequel on prépare les les mêmes qualités de prépara-
une série de devantures d'un liqueur italienne.
impression de tristesse. Le ser- $ 3 3 . 8 0 . Une bouteille de entrées de riz en Italie, les scam- tion et le même défaut
centre d'achat de L a v a l . Cette vice a toutes les qualités aux- pis étaient de la taille d'une gros- d'abondance: trois cailles d'un
situation n'est pas automatique- Valpolicella $1 3. côté, trois escalopes de l'autre et
quelles nous ont habitués les se crevette, tendres et moel- Le Negroni
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maisons se sont bâti des répu- tif, aimable et discret il fait pas- plaire au palais et aux papilles. de pommes de terre et d'un légu- Laval
tations enviables dans des dé- me cardé. Les cailles étaient 687-6912
ser le repas en douceur sans italienne», fait l'effort d'inscrire Une sauce crème très légère et Fermé le dimanche
cors semblables. Une fois la por- bousculer personne. des plats de spécialités et prend parfumée avec délicatesse nap- dodues et tendres, préparées
te poussée, on oublie que l'exté- Le menu, relativement court la peine de présenter en entrée pait avec discrétion. dans une sauce à saveur bien
rieur n'est pas beau. mais bien composé, a une présen- des pâtes qui ne font pas partie définie et agrémentée de champi-
La salle à manger a des di- tation impeccable. Il annonce du corps de la carte. Le Linguine vongole est une ré- gnons nombreux. Les escalopes
mensions qui donnent l'impres- son intention de présenter de la Le Negroni respecte la bonne plique de la préparation aux pa- étaient bien coupées dans un
sion de pouvoir respirer à Taise «cuisine gastronomique tradition italienne de servir des lourdes qui caractérisent une veau de bonne qualité, cuites à

MUSIQUE ET DANSE
v e n d r e d i — samedi et dimanche H.
FESTIVAL
«LA D I L I G E N C E »
2 HOMARDS
VUE PAR 12 MONTRÉALAIS VICTORIA STATION VIVANTS
«Une chaude atmosphère... j'aime les antiquités!» D. Proulx Bouillis o u grillés

«Le personnel est toujours tellement aimable!» G. Lacerte


FRUITS DE MER ET GRILLADES Incluant: Soupe, salade et café
' dont l'ambiance unique du plut grand
ri-itaurant de fruits de mer en Amérique par
«Les prix sont demeures raisonnables... ce n'est pas partout personne
pareil!» A. Charlebois • Table d'hôte: $Q95
«La Diligence offre le plus merveilleux des comptoirs de sala- repas c o m p l e t à partir de 5J,, ;

des» T. Lanthier
INCLUANT:
«C'est l'unique restaurant que je connaisse où vous pouvez
Soupe,sad coupe
commander un verre de jus d'orange fraîchement pressée ou à volonté.
contenant pour apporter. » * H. Pencer

«Leur «tarte à la boue» est un délice je ne peut expliquer ce Réservations: 8 4 5 - 0 2 2 3 Ouvert 7 jours par semaine
417 o u e s t , r u e SAINT-JACQUESP r o . de McGHI a t du m é t r o V i c t o r i a
que c'est mais c'est délicieux essayez-là.» j . Schlein

«Je suis souvent astreinte à suivre un régime, et rares sont les Le J o u r de sa fête, Facilite» p o u r reception* j u s q u ' à 2 3 3 perioi.no*

restaurants qui nous offrent des menus spéciaux.»

«Les légumes sont toujours tellement frais...


K. Kingston

je crois qu'ils sont


M a m a n mérite
l e v i e u x r a f i o t
CUltS à la vapeur. » R. Verreault ce qu'il y a de mieux! 406, rue Saint-Sulpice 288-7770
«Leur veau...» D.McPhee
Tous les dimanches
«La Diligence n'offre pas de spécialités... mais tout ce que j'y à partir de 13h. Du jeudi au samedi, l'équipage

ai goûté était succulent!» j . Harvey


Le 11 mai, maman mérite bien le du Vieux Rafiot vous propose

«Les rondelles d'oignon à la Tony Roma délicieuses et raison- meilleur rôti de boeuf en ville — chez FANTASTIQUE A PARTIR DE 20h30

nables. » M. Leduc Victoria Station (ou, qui sait, elle BUFFET LA SOIRÉE DE LA MARINE
UNIQUE AU CANADA
CHAUD ET FROID * victuailles en abondance
«Dès l'entrée, vous voyez les rôtissoires et humez l'odeur du
préférera peut-être l'un de nos à volonté * omphore d» vin rouge
feu de bois — le plaisir de la vue s'ajoute aux plaisirs de la * spec tod t bidon

dégustation. » M. Garetick. succulents plats de fruits de mer). Faites Le service est fait
par des clowns
*
*
occordéon musette
service en patins à roulettei

De nombreux Montréalais nous ont dit ce qui leur plaisait à La Diligence. Etes- vos réservations dès maintenant. en patins à roulettes
* danse
FÊTONS, BUVONS,
vous venus nous voir récemment... et, à propos... que faites-vous ce soir? Dès midi le dimanche
Menu spécial pour enfants. RIONS, ROULONS
un soul prix par personne
Table d'hôte spécial Seulement
Pour la Fête des Mères personne

Montréal • 7500, avenue Victoria, près


IJaltltgence boulevard Jean-Talon • (514) 739-3317.
«Plus qu'un restaurant... un mode de vie»
DÉCARIE ET JEAN-TALON
Réservation 731-7771
s t a t i o n n e m e n t graîuis
En spécial le soir dès 16h
Salle à diner ouvert tous les jours Soupe à l'oignon gratinée
7h a.m. à 2h a.m. ou
Sauf le dimanche, 10h a.m. à minuit soupe du jour et salade du chef
Déjeuner d'affaires Spectacles (ou* les Entants rçoir»
Le homard grillé ou bouilli $1495
RESTAURANT vous invite à venir spécial mercredis, jeudis, Rôti de côte de boeuf au |us S 9.50 $5 00
vendredis et samedis dans
vous régaler l u n d i à vendredi la salle à mander
Filet mignon avec champignon'. $12.00 $7 50
au quai des gourmets. B? il l u 11hà15h leune dinde rôtie avec • '

a a:, Réservations: sauce aux canneberges S 675


Son architecture est vraiment unique!
Spécialités: poissons,
wl LICtNCt COMPLET!

317, b o u l . Saint-Jean
697-0510 Surf'N Turf
Patte* de crabes a la Provençale
Shish Kebah Mode Orientale
$12.50
S H 50
$ 8.50 $4"'.
t.

s/s *9S* (Centre d'achats Pointe-Claire) J


Pour arriver a bon port : Pren- fruits de mer et bifteck. La finesse de nos mets de poisson, de
assiette du Pêcheur $12.95
dre (autoroute des Laurenti- Des salles pour banquets — réceptions, meeting et t o u t f s autres occasions spéciales sont disponl-
des (15). la quitter a la sortie
13. prendre ia route 1 î 7 en di-
rection du nord et. passe le
oont de Sainte Rose, parcourir
Déjeuners d'affaires à partir de
Danse le vendredi et le
dimanche sur la musique de
fruits de mer, de veau, d'agneau et de
boeuf vous amène à jouir pleinement de Le vieux bles à prix m o d i q u e s .

0.5 km l'organiste Henri Groulx.


220, boul. Labelie.
ces moments privilégiés que vous vous ac-
cordez chez nous.

Une chaleureuse bienvenue


St-Chartes
C a r t e s m a j e u r e s acceptées.
Rosemère
Réservations:
(514) 621-5670
RÉSERVATIONS: 6 2 0 - 4 4 4 4
3 8 7 2 , b o u l . SAINT-CHARLES,
1
PIERREFONDS
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CUISINE FRANÇAISE '
T R A N S C A N A D I E N N E OUEST SORTIE 50 NORD
F ê t e d e s m è r e s
Un verre de champagne et du caviar grec pour tous
Célébration spéciale pour les mamans
7 menus Table d'hôte sûre de plaire à chacun
DU LUNDI AU VENDREDI Réservez tôt
C'EST REPARTI MON KIKIl S p é c i a l de la S e m a i n e Soupe à l'oignon gratinée ou escargot bourguignonne.
chateaubriand bouquetière, dessert et café

le v i e u x r a f i o t Pour 2 personnes
$2950
406, rue Saint-Sulpice, Vieux-Montréal Danse a u s o n d e s E o u z o u k i s
N o u s sommes fiers d'annoncer q u ' a v e c l a n o u v e l l e saison DIRECTION: Autoroute Decane. Transcana-
dienne ouest, sortie 62, Cote Vertu, mais de- Reservations: 3 3 2 - 1 8 7 3
nous reprenons notre
Spécialités : meurez sur la voie de service vers «-hemin Bois- 2800, rue Botham
Franc longeant l'autoroute 1 3.

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bifteck sur c h a r b o n de fabuleuse dégustation de homards Ferme le dimanche

bois, f r u i t s d e m e r ,
W^m J K ^L- M
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RESTAURANT cuisine française
WÊÊÊËËL, "fi
et de côte de boeuf rôtie
Une soupe aux fruits de mer frais, deux homards vivants du lundi ou
SOIREES MUSICALES (reçus le jour même par avion) froids ou bouillis ou grillés,
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Chansons d'hier et d'aujourd'hui beurre à l'ail, une superbe tranche de côte de boeuf rôtie X "1 HJ^k
V e n d r e d i , s a m e d i , d i m a n c h e soir au jus, pomme au four, un magnifique bar de salades fraî- •
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Jean-Pierre CORBEIL et Solange ROCHAS
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849-2225
7064 A BOUL P I E U 727 3540 :

 2040, r u t d t la Montagne
MONTREAL DimorKhe ferme — Stohonnement foule

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