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LES FÊTES PATRONALES de SIMACOURBE

Les fêtes de Simacourbe ont connu un « blanc » en 2020 en raison


de la pandémie. Avec beaucoup de précautions, (gestes-barrière, pass
sanitaire, vigiles, autorisations nécessaires et respect des consignes par
les festivaliers), elles ont repris en 2021, l’espace d’un samedi soir le 21
et d’un dimanche matin le 22 août, donnant un bel entrain à la jeunesse
du village, du canton et même à la population tout entière, « jetant dans
l’oubli », espérons-le, le millésime manqué de 2020 !
Pendant cette demi-jachère temporaire, nous sommes penchés sur
le passé de ces réjouissances ! Connaît-on l'histoire des fêtes de notre
village, dites patronales, mais appelées, de plus en plus, locales?
Le comité lève le voile, dans la limite de ses connaissances !

- La fête du village, dite « patronale », ou fête « votive* dans


certaines contrées, était une réjouissance organisée en hommage au
saint patron de la paroisse.

Une fête votive* dite aussi patronale.

Son origine, au départ, était bien, religieuse. Les préceptes de la religion


catholique entre autres, étaient sévères et l’excommunication s’avérait être,
jusqu’au XXème siècle, un châtiment redouté et une arme redoutable à la
disposition des évêques. Néanmoins, quelques distractions mi-religieuses, mi-
païennes remontant au Moyen-Âge étaient permises comme autant de
« respirations » pour les fidèles. Citons les fêtes de la mi-carême (carnaval), la
fête de la Saint-Jean et ces fêtes patronales ou votives qui permettaient à la
population de desserrer l’étreinte. Cette tradition votive serait originaire du
sud-est de la France. Dorénavant, avec l'appauvrissement de la pratique
religieuse, la locution "fête locale" est plus souvent employée pour désigner
cette manifestation festive.

Période des fêtes.

Auparavant, elles s'étalaient, en général, sur tout l'été et attiraient dans


le village toute la jeunesse des communes voisines qui arrivait en bande, à
cheval, à pied, plus tard à vélo, bien avant l'automobile. Ces festivités, en
fonction de leur date, marquaient soit, une trêve dans les gros travaux des
champs soit, la joie des premières et fructueuses récoltes. Elles étaient
l’occasion de réjouissances simples, comme savaient le faire nos aïeux, de
bombances aussi, s'ils en avaient les moyens, malgré une vie rude. (Réf :
Portail des fêtes de tradition).

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A partir du XIXème siècle, les fêtes allaient respecter les dates calendaires
attribuées aux saints et s’étaler sur toute l’année. C’est ainsi, qu’elles
coïncidaient avec la date de la fête du saint patron de la paroisse communale.

Qui l’organisait ? Une commission des fêtes, les conscrits.

Traditionnellement une fête votive ou patronale devait comporter des


attractions foraines, un repas pris en commun sur la place publique, une
grande tombola gratuite et un bal nocturne. Chaque région les agrémentait,
suivant ses traditions (taurines dans le sud-est, courses landaises dans le sud-
ouest). Chaque village pouvait désigner un "comité officiel", souvent issu de la
"commission des fêtes" du conseil municipal à partir du XIXème siècle. Il avait la
charge de la préparation de la fête. Mais, pendant des décennies, ce sont les
conscrits de l'année, venant de fêter leur 18 ans et auréolés du "Bon pour le
Service Militaire" obtenu devant le conseil de révision cantonal qui
s'occupaient de l’organisation des fêtes. N’oublions pas qu’ils organisaient
déjà, depuis belle lurette, « La Fête des Conscrits » !
Sous la mandature de M. René Lacrouts, la tradition était respectée. Les
conscrits de l’année avaient carte blanche pour l’organisation. La municipalité
versait une maigre subvention et le renflouement de la majorité des dépenses
faisait appel à la débrouillardise des futurs jeunes appelé au service militaire.
Le dimanche après-midi, lors d'une sérénade, les conscrits s'arrêtaient
devant chaque maison arborant fièrement leur cocarde, glanée au conseil de
révision. Un ou deux musiciens entamaient l'aubade et le chef de famille
donnait "la pièce" et un "coup à boire". Au temps du « noah », l'éthylotest en
aurait rougi de honte… Les dons récoltés aidaient les conscrits à boucler
positivement leur trésorerie. En 1954, les conscrits avec Dédé Cazenave-
Campagnolle à leur tête, avaient réquisitionné une superbe Citroën 11 CV
décapotable de couleur blanche et avaient sillonné le village, tout le dimanche
après-midi. Un accordéoniste jetait des trilles de valse musette à la façon
d’Yvette Horner, très célèbre, à cette époque, avec le Tour de France cycliste !
Les musiciens allaient déjeuner et dîner chez l’habitant jusqu’aux années
1960, ce qui limitait les dépenses.
Sous la mandature de M. Jacques Gaye, c’est la commission des fêtes,
élue par le conseil municipal qui était chargée de l’organisation des fêtes,
amenant à la longue une sclérose certaine, sans la participation de toute la
jeunesse ! Les fêtes étaient programmées, les flonflons ruisselaient sur le
champ Laborde et sur la piste de la salle des fêtes dans une certaine
indifférence, d’autant que le comité des fêtes de Lembeye avait instauré un
conflit en venant plaquer leurs fêtes sur les dates de celles de Simacourbe !
(Voir page 16).

L’installation de buvettes n’était pas autorisée sur les lieux de fêtes et de


bals. Il est vrai, qu’à cette époque, les cafés et auberges étaient nombreux

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dans chaque village et les propriétaires de cafés n’auraient pas apprécié. Cela
n’allait pas durer.

Dans certaines contrées, certaine organisation ne convenait pas à tout le


monde et des rivalités entre bandes pouvaient amener des affrontements selon
les villages. Nous ne parlerons pas des animosités entre communes voisines
qui, souvent, dégénéraient pendant tout l'été, en se déplaçant de fêtes en fêtes.
Quelquefois, dans ces occasions, les habitants des bourgades étaient affublés
de sobriquets plus ou moins chatoyants, recensés par Vastin Lespy au XIXème
siècle dans son ouvrage "Dictons et Proverbes du Béarn »".
Ainsi, les habitants de Bordes (Arricau-Bordes), étaient
surnommés "Lous Truquetaulès", (Désoeuvrés, tapageurs). On leur reprochait
de « trop suivre les fêtes et d'y causer du désordre" ! A Castéra (Castéra-Loubix),
dans le canton de Montaner, ils étaient appelés « Lous Patacassès de
Castéra ». C'était, suivant le dicton, des "querelleurs allant dans le voisinage pour
susciter des bagarres et se battre" !

Où se déroulaient elles ?

Les conscrits se chargeaient d'aménager un programme sur un, deux,


trois jours, suivant la taille de la cité et les finances soit, attribuées par le
conseil municipal soit, venant de dons. À Simacourbe, pendant de nombreuses
années, deux jours (dimanche et lundi), étaient festifs, puis trois et quatre dans
les années 1980/90.
La recherche d'un terrain ou d'un abri pour le bal populaire ne posait pas
de problèmes insolubles. Un pré, avec son herbe rase, faisait l'affaire et en cas
d'intempéries, une grange bien nettoyée était réquisitionnée. Tout autour, on
disposait des madriers juchés sur des briques ou des moellons pour servir de
bancs et même des bottes de paille. Les commissions de sécurité n’existaient
pas encore ! Des lampions éclairaient l’espace pour la nuit. C’était d’un confort
sommaire, mais l’essentiel était de se retrouver réunis, dans une ambiance de
fête.
A Simacourbe, de mémoire d’ancien, le bal se déroulait en plusieurs
endroits du bourg. À la châtaigneraie, sous les gros chênes qui bordaient
l’ancien chemin menant au château de Parage. Il empruntait aussi la cour de
l’école dans les années après la 1ère guerre mondiale de 1914/1918 (voir photo),
le pré Loustalan (voir photo). Le pré Bazet, près de l’ancienne forge, servait
également de « piste de danse ».
Puis, dans les 1940, 1950, jusqu’au milieu des années 1960, c’est le pré
de M. Albert Laborde, actuellement, en grande partie, propriété de Danièle Bié
(Chantre) et de la famille Castets, devant leur maison, anciennement Guire, qui
faisait l’affaire.
L’ancienne piste goudronnée de la salle des fêtes, datant de 1946,
entourée d’acacias, allait prendre la relève au milieu des années 1960.

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Réaménagée au début des années 1980, élargie, cimentée, elle offrait une plus
grande surface pour l’installation de chapiteaux, avant l’avènement de la salle
polyvalente en 1992.
Lors d’intempéries, le bal se repliait à partir des années 1920 dans le
quiller de l’auberge d’Armand Lube-Molou, ou au quiller de l’auberge « dou
Rey », près de la Poste et plus tard, dans la salle des fêtes (le foyer
actuellement) construite en 1946/1947 et restaurée à partir de 1971.
Le lundi, deuxième jour de fête, (le jour des cuisinières, disait-on ?), les
villageois et leurs invités se retrouvaient dès 10 heures, au centre du village où
se trouvaient les auberges.

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- L’auberge « À Menet » qui devint par mariage l’auberge « Lube-


Molou », était gérée par ce dernier, puis par son fils Léon qui cédait la gérance,
à Mme Appolonie Baix, grand-mère de Maryse Castaing. En prenant sa retraite,
Mme Baix laissait la gérance à M. Paulin Armagnacq jusqu’au milieu des années
1960. Mme Duval née Lafenêtre, native de Juillacq, appelée familièrement Loly,
prenait la relève, aidée par son mari Jeannot. Armand Lube-Molou allait la faire
vivre pendant les années 1980 après un intermède mouvementé. Depuis, elle
est fermée.
Là, l’orchestre était convié à se produire pendant une bonne heure. Les
hommes consommaient, à l’intérieur et à l’extérieur. Certains « tapaient » le
carton *. Les amoureux de la danse, filles et garçons tournoyaient dans la
grange tandis que le quiller résonnait des chocs de quilles.
* À la belote.

À l’époque, les vins cuits étaient à la mode : « Ambassadeur »,


« Bartissol », « Byrrh », « Cinzano », « Dubonnet », « Kina-Lillet », « Martini »,
« St-Raphaël », et bien sûr les apéritifs anisés tels que : « Berger »,
« Casanis », « Pastis Duval », « Pastis 51 », « Pernod », « Ricard ». La « Suze »
avait de nombreux adeptes. Mais les chopines de vin rouge et de blanc, le
blanc-limé, les panachés étaient très prisés. L’absinthe avait droit de cité au
XIXème et début du XXème siècle. Elle était ensuite interdite en France de 1915 à
2011.

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L’auberge Lube-Molou, au centre du village, vers 1930.

Ci-dessus, on prenait même l’apéritif au milieu de la nationale 943, à


cette époque. On reconnaît le personnage debout à droite, Antonin Loustalan.
(Photos Romain Loustalan).

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Deux autres bistrots étaient honorés de la même façon. L’orchestre et la
foule se déplaçaient de bistrot en bistrot.

- L’auberge « Au Repos des Voyageurs » dite « Au Rey », à côté


de la Poste. Ouverte et tenue au XIXème siècle par la famille Rey dont la fille
Marie épousa Pierre Lamarque-Curon d’Arricau. Leur fille se mariera avec
Bernard Lom qui lui épousera Jeanne Laborde et auront un fils, Victor. Puis,
par héritage, par la famille Lom-Pouchan et enfin la famille Laborde, héritière
de la dernière possédante Mme Lom, receveuse de la Poste de Simacourbe de
1895 à 1926. Depuis la fin de la seconde guerre et jusqu’en 1956, Jean-Marie
Cabanot et son épouse assuraient la gérance de l’auberge. Il y avait un quiller.
Victor Laborde, facteur à Morlaàs, propriétaire, ouvrait l’auberge, pour les fêtes
seulement, afin de conserver la licence IV. Le commerce s’éteignait avec la
vente de l’immeuble aux époux Bernède.

L’auberge « Au Rey » à côté de la Poste vers 1960. (Studio Philippe Pau).

Vers les 13 heures, la foule et l’orchestre changeaient de lieu et se dirigeaient


en « procession », si l’on peut dire, vers la troisième auberge.

- L’estaminet dit « À Condérine », qui se trouvait face à la gare était


le 3 rendez-vous. Il était tenu aux alentours des années 1900 par Mme Jeanne
ème

Castaibert jusqu’à son décès en 1904, et ensuite par son fils Paul Castaibert.
Après le départ de ce dernier vers l’Argentine 1908, sa sœur Mme Baziline
Condérine reprenait les destinées de ce lieu de convivialité. Au milieu des
années 1920, M et Mme Denis Hau-Sans prenaient la gérance de ce bistrot
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jusqu’en 1955, date à laquelle, M et Mme Paul Rolle, fraîchement retraités des
P.T.T, s’adjugeait le fonds de commerce après avoir acheté les murs en 1955.
Là aussi, les « quillous »* s’en donnaient à cœur-joie. L’auberge allait être
ouverte jusqu’au décès de M. Paul Rolle en 1965.
* « Quillous » : joueurs de quilles.

Au centre, M. Denis Hau-Sans et son épouse Catherine et leurs enfants devant


l’auberge Condérine vers 1936. (Photo de famille Hau-Sans).

La préparation du programme.

La recherche d'un orchestre, n'était pas problématique, presque tous les


villages avaient des musiciens. Pas de « chichis », ils s'assemblaient pour
composer un orchestre pour l’occasion et jouaient les airs du temps
(quadrilles, valses, tangos, polkas, javas, charleston) sur une estrade
improvisée (une charrette, une remorque avec une bâche pour protéger de la
pluie). Un éclairage sommaire, avec des ampoules, entourait le terrain. Dans
ces orchestres, on retrouvait souvent Jean Loustalan, trompettiste de talent,
Jean Brouquère accordéoniste de Moncaup, qui avait sa propre formation,
Jean Meilhanne de Saint-Laurent-Bretagne, Cabana de Sévignacq, Henri
Martinou de Momy..etc… Dans l’entre-deux-guerres, il y avait eu aussi, Baptiste
Loustalan à la trompette, Jean-Marie Terrade à la clarinette, Prosper Cazenave-
Campagnolle au saxo, Jean-Marie Armagnacq à la trompette, tous de
Simacourbe, Jean Pailhas, de Lespielle qui, tous, avaient une solide formation
musicale et surtout, une bonne oreille musicale car, ils n’étaient pas nombreux
à savoir déchiffrer le solfège.

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Les contrats avec ces orchestres n’existaient pas. Les musiciens
demandaient un dédommagement ; c’était une enveloppe avec des espèces,
des paiements en nature (jambons, barricots de vin, repas, etc…)
A partir des années 1950, avec l’arrivée d’orchestres mieux organisés,
quasi-professionnels (certains jouaient même en semaine et allaient d’un
village à l’autre, traversant les « frontières départementales »), les contrats
apparaissaient. Les conditions étaient convenues sur papier (emplacement,
prix alloué à l’orchestre, dates, horaires de début et de fin de prestations, repas
chez l’habitant ou au restaurant le tout signées par le chef d’orchestre et le
« représentant » du comité d’organisation des fêtes.
C’est, dans ces années-là, que l’État s’intéressait à ces manifestations
festives. Il s’immisçait avec la promulgation et l’imposition de taxes.
La SACEM (Société des Auteurs et Compositeurs et Éditeurs de
Musique) tout d’abord. Ainsi, les orchestres devaient et doivent déclarer, les
titres des œuvres jouées, l’endroit etc…et le comité paie une redevance à cet
organisme. Puis, les cotisations sociales allaient alourdir les frais
d’organisation; chaque musicien salarié étant assujetti à la Sécurité Sociale, à
une mutuelle de santé, à des assurances prévoyance etc..». Les organisateurs
depuis, doivent faire une déclaration et payer la part dévolue. A la suite de ce
supplément de charges, les quêtes, dons, petites aides de la commune sont
devenues insuffisantes.
À partir des années 1960, les comités installaient des buvettes à
l’intérieur du parc festif au grand dam des bistroquets, cafetiers et autres
commerces qui voyaient dans ces ouvertures une concurrence déloyale. Ces
buvettes étaient tolérées par le service des impôts et les douanes moyennant
une déclaration et le paiement d’une taxe symbolique. Elles procuraient une
recette essentielle à la vie des comités des fêtes. Les gendarmes du coin
venaient régulièrement, durant ces jours de fêtes, contrôler et demander la
production de l’attestation d’ouverture. Les alcools forts étaient interdits. Les
bières en canettes*, la limonade, le blanc-limé (vin blanc additionné de
limonade), les jus de fruits et les vins cuits au faible degré d’alcool .avaient
droit de cité.
*Les bouteilles en verre, des bières, des jus de fruits, de limonade étaient
consignées, du vin aussi.
Les horaires de fermeture des bals étaient stricts (2 heures du matin) et
la maréchaussée y veillait. Mais, depuis quelques années déjà, le maire a toute
latitude pour accorder des dérogations d’ouverture et de fermeture et avec la
mise en place de l’horaire d’été (1976), un chamboulement d’habitudes a
contribué à ignorer ces règles.
De nombreux orchestres se formaient et se déployaient dans toutes les
fêtes.
Quant aux orchestres, ils ont évolué : Au début des années 1950, une
formation de Bizanos était souvent conviée : « Les Mélodians Sanchez » avec
son pianiste aveugle et son frère saxophoniste. Les petits orchestres, « René

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Jo » de Castetpugon, « Indifférence » de Jean Bérat de Lasserre écumaient les
fêtes rurales, avant l’arrivée de nombreuses formations « huppées » : « Pépé
Nunca » (Jean Hargous, Oloron), « Pédro Pial » (Pierre Pialat Pau), « Jean
Dassy » (Jean-Louis Dounès Laroin), « Roger Desjean », « Patrick Gérard »,
« Pedrito Percal » de Bayonne (André Dumoulin au piano , Jean-Claude
Fourticq à la trompette), « Horizon 80 », « Éric Gardner » de Bordeaux,
« Heptagone» qui existe toujours, « Lagalaye » de Ger …

Quelques musiciens de Simacourbe de l’entre-deux-guerres. X…, Jean


LOUSTALAN, Jean PAILHAS, Baptiste LOUSTALAN. (Extrait d’une photo de
mariage à Simacourbe).

Orchestre « Indifférence » en 1958. De g à d : Paul BÉRAT, Henri MARTINOU,


Jean MEILHANNE, NECTOUTE, CARRÈRE et Jean BÉRAT accordéoniste,
patron de la formation. (Photo anonyme famille Bérat).

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Les jeux.
La mise en place de jeux, pour grands, avec les quilles de 9 ou de 6 et
pour les petits, course aux œufs, course au sac, etc… étaient des amusements
traditionnels. Une fête foraine pour tous, s'installait avec différents jeux
(chamboule-tout, tirs à la carabine et loteries. Il faut dire que, jusqu'à la fin des
années 1950, les fêtes, pour les habitants des villages, étaient l'occasion de se
réunir et de danser. Point de clinquant, point d'effet de mode, avec des moyens
de locomotion limités ! Les distractions étaient rares et les envies également,
car la vie à la campagne, loin des tentations citadines, était rude. Au début des
années 1960, une épreuve de course de fond allait tenir en haleine la foule du
lundi matin : un jeune homme de l’Assistance Publique, René Pons,
domestique chez Lauzet, provoquait une admiration certaine, tant il avalait les
kilomètres à vive allure !

Les invités, le repas.


Les familles recevaient la proche parentèle, arrivant parfois de loin, à
pied ou en carriole, des amis, tous, sur leur "trente et un" pour l'occasion,
venus pour festoyer, se raconter, après avoir assisté à la messe dominicale et
matinale. Cette messe solennelle amenait une belle assistance à l’église. A la
sortie, après la cérémonie au monument aux morts, présente depuis les
années 1920, les chefs de famille profitaient de l'occasion pour courir
d'auberge en bistrot, à la grande satisfaction des tenanciers, avant de rejoindre
le logis, tandis que les maîtresses de maison se dépêchaient de rentrer après
l’office, afin que tout soit prêt à l’arrivée des invités.
Ce dimanche de fête, à partir de 14 heures, était l'occasion de repas
interminables où, le savoir-faire de ces maîtresses de maison, mis à rude
épreuve, excellait. Tout était paré, les cuivres astiqués, les rideaux des fenêtres
lavés et bien tendus. La grande table avait été dressée pour l’occasion, avec
des rallonges si besoin, parée d’une superbe nappe blanche, bien repassée et
les beaux couverts étaient de sortie. La cuisinière préparait le festin, depuis
quasiment deux jours, voire trois.
Dans ces repas qui commençaient, nous l’avons dit, au mieux, vers 14
heures, on retrouvait au menu :
Le potage :
- Succulent, au fumet odorant avec les fameuses perles du Japon
cuites dans le bouillon du pot-au-feu ou, ou des vermicelles « cheveux d’ange ».
En entrée :
- Une assiette de charcuterie : avec du jambon de la ferme, du saucisson
maison entourés d’une parure de coquillettes de beurre.
- Les œufs mimosas à la mayonnaise, entourés d’un lit de rondelles de
tomates crues, du jardin, persillées, à la vinaigrette.
- Le pot-au-feu de bœuf *, assaisonné, avec son accompagnement de
sauce tomate maison

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Les plats de résistance :
- Le poulet de la ferme rôti, farci de croûtons aillés, entouré de grenailles de
pommes de terre rissolées.
- Le rôti de veau *, bien paré, juteux, cuit à merveille, et sa coupelle de jus.
En légumes :
- Les haricots verts, des petits pois du jardin, des flageolets aussi.
- La salade de saison du jardin suivait, précédant une assiette de fromages
achetés, pour l’occasion.
- Le tout était accompagné de vin blanc et de vin rouge de la maison ou,
quelquefois, acheté chez les producteurs des alentours.
En desserts :
- La traditionnelle crème anglaise, souvent parée d’îles flottantes.
- Les gâteaux, pastis, massepain, quatre-quarts.
- Un vin mousseux était quelquefois proposé : « Royal-Béarn » de la cave
Doléris à Lembeye ou du « Chaverou » bordelais, acheté dans les épiceries de
Francine Peyré, d’Anna puis Alice Dufau et à partir des années 1950 chez
Marguerite Chantre.
- Le café arrivait, accompagné de liqueurs et surtout de la « gnole »,
l’eau-de-vie distillée par le bouilleur de cru itinérant à partir du vin maison.
- Le pain était fourni par les boulangers : Denis, puis son fils Hildevert
Armagnacq, Maurice Ramualde ou Joseph Prat de Monassut.
- * Pour l’occasion, le pot-au-feu de bœuf et le rôti de veau avaient été
achetés chez les bouchers de Lembeye, MM. Lasserre qui desservait le village à
bord de son Citroën « Tube », Saint-Martin ou Garrot-Loustau.
Souvent, certaines familles accueillaient un ou deux musiciens et assuraient,
ainsi, leur participation aux frais d'organisation.

(Document Paul Laporte-Galaà)


Publicité du mousseux « Royal Béarn » produit par le chai Doléris au pied
de la côte de Lembeye, à l’initiative du Docteur Jacques Amédée Doléris, maire
de Lembeye, conseiller général, dont la réputation de médecin accoucheur
n’était pas une légende. Mais c’était, aussi, un grand défenseur du vignoble
béarnais et un fin œnologue.

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- Quelques musiciens des années 1940, 1950 et 1960. (Documents famille
Bérat)

Henri MARTINOU de Momy Jean BROUQUERE de Moncaup.

CABANA de Sévignacq Paul BÉRAT de Lasserre

Et les jeunes, garçons ou filles avaient-ils toute liberté ?


Un bal était programmé le dimanche après-midi à partir de 5 heures (17
h) jusqu’à 8 heures (20 h) comme il était dit à cette époque. Puis le dîner
amenait tout le monde à la maison et la soirée dansante suivait à partir de 10
heures (22 h).et durait jusqu’à 2 h, rarement plus!.
A partir de 22 heures, dans ces bals nocturnes, les jeunes gens
entamaient leurs premiers pas de séduction.
Sur les bancs, les mères veillaient au grain pour leur progéniture, les
filles surtout. (Étreintes trop visibles, éloignement suspect, toujours le même
cavalier, celui-ci, pas toujours désiré par la maman), avec la crainte d'une
mésalliance, tant redoutée.
Dans le monde rural, la fille unique, l’héritière de la "grosse" ferme du
coin, « le bon parti en quelque sorte », et le « grand » « paysan » étaient très
convoités. Prétendants et prétendantes lorgnaient !
Les jeunes gens allaient inviter les jeunes filles reluquées ! Des œillades,
traversaient la piste de danse et pouvaient se révéler efficaces ! Qui sait ? A
chaque entame d’un morceau, joué par les musiciens, un étrange manège se
produisait : les jeunes hommes allaient inviter une jeune fille. Patatras !
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Campé devant la souhaitée le refus ! « La veste » en argot, tant redoutée…elle
refroidissait les ardeurs. Les célibataires endurcis esquissaient quelques
timides approches ! Les vieilles filles faisaient « tapisserie » et se
morfondaient ! Les entremetteurs, certaines fois, entraient en scène et
« réussissaient » quelques rencontres et même des mariages inespérés !

Le bal des fêtes de Simacourbe en 1926, dans la cour de l’école. (Photos Romain
Loustalan).

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Un bal vers les années1935, sur un terrain Loustalan au centre du village. (Photo
Romain Loustalan).

Bal de la fête patronale le 3 août 1931, organisé dans le quiller de l’auberge


d’Armand Lube-Molou. (Photo Romain Loustalan).

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Le qu’en dira-t-on ?

Et, le qu'en dira-t-on ? Dans ces moments-là, celui-là, sans visage ou


bien connu, s’invitait toujours ! Les parents le redoutaient, et pour les jeunes
gens, la réputation bonne ou mauvaise était à la merci de commérages, car
tout était épié, colporté dès le lendemain !
Le deuxième jour, vers 2 heures du matin, les lampions s'éteignaient.
Les anciens disaient « vive l'année prochaine », tandis que la jeunesse se
promettait des retrouvailles le dimanche suivant dans une des fêtes d’un
proche village. Dans certaines communes, une refête, sous la forme d’un bal,
était organisée un mois après.
Les communes essayaient d'honorer cette tradition de la fête patronale
ou votive* en respectant l'espace calendaire dédié au saint protecteur ou à la
sainte protectrice de la paroisse. Mais, certaines communes dérogeaient à la
tradition, pour de bons ou mauvais prétextes. Qu'importe !

* Votive : fête du saint auquel est vouée une paroisse


** Simacourbe, fête la Saint-Pierre-ès-Liens. C'est la célébration de la
délivrance par un ange, de Saint-Pierre, enchaîné dans les geôles d'Agrippa
1er, appelé aussi Hérode, la nuit précédant la date de son exécution. Le pape
Sixte III, en 439, institua cette fête le 1er août de chaque année pour
commémorer cette libération du prince des apôtres en lui donnant ce
patronyme symbolique.

- Savoureux, les cancans de fêtes et d’après-fêtes.

En béarnais.

« As-bist la gouyate de ……dab lou hilh de……, quin que la sarre de près ? » - « O que
caù disé qu'ey bet drun beroye ! » - « Mes et tabé qu'èy û fier gouyat ! » - « E t'estoune
? La soue may qu'ère coum ûe poupée, et lou sou pay tabé qu'ère heyt per espia ! » - «
N'es soun pas desséparats de toute la sérade! » - « O e puch, que soun partits amasse
tabé ! » - « Nou sèy pas so qui ba passa-s permou et, que la sé minyabe dous oelhs ! »
- « E toutu que m'abèn dit que ére, que s'espérabe l'aynat de……. » - « Ah qu'èy û
beroy partit puch qu'èy l'érétè ! » - « E beds si n'èy abisade la maynade, mes toutû
qu'y sourtide dab l'auté! » - « O mes la may qu'ous surbelhe de près! » - « O, e as bist,
qu'èy même partide au darrè d'ets ta que ne hassen pas péguesses ! » - « As enténut a
disé que lou caddèt de…… qu'abéré bistes sur la Marie d'aquet gran paysannas dou
soum…… ? » - « Aquet qu'en a roumen dou bielh ! » - « E creds qu'a brigue de
chances d'abouti ? » - « O nou sèy pas: Lou pay qu'èy abisat ! » - « Ede ségu que s'y
ba espia a dus cops abans dé-s prené û yendré pelat coum û harri ! »... etc…

Traduction en français.

« As-tu vu la fille une telle avec le fils untel ? » - « Elle est très belle ! » - « Oh !
et lui n’est pas mal ! » - « Qu’est-ce que tu veux, avec une mère jolie et un père
superbe ! » - « Ils ont dansé tout le temps ensemble ! » - « Et tu as vu, ils sont
aussi partis ensemble !» - « Je ne sais ce qui va se passer, il ne l’a quitté pas
des yeux ! » - « Je ne sais pas, mais celle-là, elle « vise » l’aîné de la famille X. »
- « Normal c’est l’héritier ! » - « Elle ne se trompe pas ! » - « Hum ! la mère
veille ! » - « Tu ne l’as pas vue, elle est partie derrière eux pour ne pas qu’ils

15
fassent des bêtises ! » - « Celui-là fréquente la fille du grand paysan d’en
haut… » - « Là, il y en a des sous ! » - « Ca va se terminer par un mariage » - «
Ne vas pas trop vite ! » - « Le grand paysan, comme tu dis va y regarder à deux
fois »…etc…

(Un grand merci à M. Alexis ARETTE-HOURQUET pour cette traduction en béarnais).

- Dans le canton de Lembeye, voici les saints patrons des paroisses des
communes avec, la date de leur fête.

le 15 août: Notre-Dame de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie pour


Anoye, Arrosès, Boast ****, Lembeye, Lussagnet-Lusson.
le 29 juin: Saint-Pierre pour Aurions-Idernes, Castillon, Lannecaube, Lucarré.
le 4 mai: Saint-Girons pour Bassillon-Vauzé.
le 11 novembre: Saint-Martin pour Arricau-Bordes, Cadillon, Gerderest,
Lalongue, Lasserre, Lespielle, Maspie-Lalonquère ****, Monassut, Peyrelongue-
Abos.
le 1er mai: Saint-Orens pour Corbères-Abère, Escurès.
le 10 août: Saint-Laurent pour Coslédaà ***, Monpezat.
le 24 juin ou le 29 août: Saint-Jean-Baptiste pour Lube ****, Crouseilles, Gayon,
Juillacq****.
le 3 février: Saint-Blaise pour Luc-Armau.
le 25 juillet: Saint-Jacques pour Momy.
le 13 décembre: Sainte Lucie pour Moncaup.
le 24 août: Saint-Barthélémy pour Samsons-Lion.
le 22 janvier: Saint-Vincent pour Séméacq-Blachon.
le 1er août: Saint-Pierre-ès-Liens pour Simacourbe **.

*** Boast, Coslédaà et Lube ne font plus qu'une seule et même commune mais
ont gardé des fêtes patronales distinctes.
**** Maspie, Juillacq et Lalonquère sont une même et seule commune mais
Juillacq et Maspie célèbrent leur fête distinctement.

Pourquoi la fête de Simacourbe est-elle programmée le 3ème dimanche


d’août ? Jusqu’aux années 1960, la fête de Simacourbe se déroulait le 1er
dimanche d’août, conformément à la date de la fête du saint patron de la
paroisse, St-Pierre-ès-Liens, fixée au 1er août.

Le comité lembejeois, souvent gêné durant ses festivités (courses


landaises en particulier), par les orages d’août très fréquents à l’époque,
avançait la date de ses fêtes et empiétait sur celles de son voisin
simacourbais. La mairie protestait timidement.

Et c’est ainsi qu’en 1955, le comité des fêtes de Lembeye déplaçait la


date de ses fêtes, les proposant dorénavant lors du 1er week-end d’août. Cette
année-là, elles se déroulaient les 4, 5 et 6 août en même temps que celles de
Simacourbe. Il en fut ainsi quelque temps !

Jusqu’alors, les fêtes de Lembeye se déroulaient les 21, 22 et 23 août


pour 1954 ; 30, 31 août et 1er septembre pour 1952 ; 25, 26 et 27 août pour 1950

16
par exemple. A la fin des années 1940, les fêtes lembejeoises étaient
proposées aux alentours du 15 août, respectant la fête de la Ste patronne de la
paroisse de Lembeye Notre-Dame-de-l’Assomption-de-la-Vierge-Marie.

Ne pouvant lutter à armes égales, le conseil municipal de Simacourbe,


dirigé par M. Jacques Gaye, décidait en 1960 de reculer les fêtes au 3ème
dimanche d’août, gênant lui aussi, par la même occasion, certaines communes
voisines. Honoré Tisné, conseiller municipal était le délégué de la commission
municipale des fêtes et, à ce titre, organisait les festivités avec l’aide de
certains conseillers et de conscrits.

Les différents comités des fêtes de Lembeye ne s’étaient point gênés


depuis fort longtemps, puisqu’au XIXème siècle, et au début du XXème siècle, on
trouvait leurs fêtes patronales en octobre, en septembre, fin août et mi-août.
Evidemment, aucune commune alentour n’osait protester. Voilà pourquoi, les
fêtes de Simacourbe se sont trouvées dans une obligation de survie et
demeurent, dorénavant, reléguées au 3ème dimanche du mois d’août.

Lembeye, n’était pas le seul à procéder de la sorte. La cité de Garlin


également, changeait souvent de date durant le mois d’août avant de stabiliser
ses fêtes… fin juillet. Il n’a pas si longtemps, les chefs-lieux de canton jouaient
l’air de la condescendance vis-à-vis des communes environnantes ! Leur
marché hebdomadaire était le bienvenu et indispensable pour les paysans,
mais aussi, par ricochet pour les commerçants des chefs-lieux qui faisaient ce
jour-là, la recette de la semaine !

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La fête de Moncaubet de la Saint-Martin avait lieu les derniers dimanche et


lundi de novembre ; deux jours de fête, avec un vrai orchestre de plusieurs
musiciens. Bal et auberge se tenaient d'abord chez Sériès, puis chez Monge : bal
dans la grange, auberge dans la maison. Les jeunes filles invitées se partageaient
entre le service des consommateurs et le bal. Puis la fête ne se fit, qu’un seul jour :
une année à Péré-Bielh, puis « au Plech » pendant quelques années, et pour finir, à
Simacourbe, chez Conderine, l’auberge près de la gare, tenue par Denis et Catherine
Hau-Sans.

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Durant les deux guerres (1914-1918 et 1939-1945), les fêtes n’eurent pas droit
de cité. Elles furent carrément interdites par l’arrêté préfectoral du 22 juillet 1943.
Néanmoins, pendant la seconde guerre mondiale, quelques bals clandestins eurent
lieu.
Celui du 6 août 1944, en particulier, organisé par un jeune Simacourbais de 23
ans, Henri MATHIEU, passionné de musique et de valse et qui se termina mal. Se
déroulant clandestinement, dans un pré au centre du village, sans l’accord du
propriétaire, utilisant « à la dérobé » les lignes de transport d’électricité, il fut
agressé par des Maquisards, peut-être de la dernière heure. Son matériel - TSF et le
pick-up - furent détruits et la gendarmerie de Lembeye avertie. Vous trouverez, plus

17
loin, le procès-verbal de la gendarmerie de Lembeye (page 18) et le procès-verbal de
classement de l’affaire, établi par le groupement de gendarmerie de Pau (pages 19 à
21). Cette journée aurait pu se terminer plus tragiquement, car la période de la fin de
la guerre et de l’épuration, qui allait suivre, engendra des scènes pas toujours à
l’honneur de l’être humain. Dénonces, vengeances, jalousies mal contenues,
marché noir, actions punitives gratuites, tout fut possible malheureusement,
assorties de violences. Arrestations arbitraires, exécutions sommaires, tonte de
femmes soupçonnées d’avoir trop bien accueilli l’occupant allemand…etc…etc…

Extrait de la photo de mariage de Lucienne SÉBASTIE en 1949.

Extrait de la photo de mariage de Maurice Chantre avec Marguerite Poumetha


en 1950. Henri Mathieu assurait la partie musicale de la soirée de mariage avec un
pick-up. (Photo Philippe Pau).

18
Enfant de l’Assistance Publique, recueilli par Mme Larrieu à Moncaubet, il avait
fréquenté l’école publique de Simacourbe de 1926 à 1933. Le fils de la maisonnée,
Pierre se mariait avec une demoiselle Justine Lamarquette de Lalongue et allait
« monter » un commerce de chaussures, puis un restaurant qui allait devenir en
1968, avec bonheur et prospérité, l’Hôtel-Restaurant Larrieu de Lalongue.
Henri Mathieu touche-à-tout, bricoleur, doué d’un sens artistique, allait
devenir « auto-entrepreneur », si l’on peut dire. Il allait explorer le domaine
électrique, assurant de nombreuses installations et réparations dans les foyers de la
contrée. Pendant et au sortir de la dernière guerre mondiale, il a été - sans le savoir -
un disc-jockey avant l’heure. Avec un autre pick-up qu’il avait acheté avec ses
maigres économies pour l’accoupler à un poste T.S.F servant de haut-parleur, il
assurait l’animation dans les mariages d’après-guerre dans une période de pénurie.
Il avait une autre corde à son arc : la coiffure hommes. Il a coupé les
cheveux, à la tondeuse mécanique et au ciseau, à nombreuses têtes masculines
qu’elles soient adultes, adolescentes ou enfantines. Marié, père de cinq enfants, il a
vécu à Lalongue, route de Burosse, jusqu’au 7 mars 2016 où, il décédait à l’âge de
95 ans.

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21
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Ci-après, les nombreuses photographies vont
peut-être, vous rappeler des souvenirs de fêtes
passées et des visages, que vous avez connus.

La jeunesse de Simacourbe éprise de liberté retrouvée et réunie en 1946 lors de la


préparation d’une fête. (Photo anonyme).

Debout de g à d : Antoinette Bazet, Renée Cazenave, Michèle Ramualde, Paul Bazet,


Victor Laborde, Henriette Cazenave, Andrée Laborde, X…, X…, Jeannette Sébastie,
Léontine Pouey, Lucette Mauhé, Paulette Laborde, Georgette Bazet.
Accroupis de g à d : Micheline Armagnacq, Raymonde Gayet, Francis Loustalan,
Marcel Legagnoa, Jean-Marie Azaban, Maurice Ramualde, allongé, Roger Pédepau,
avec, à sa gauche, Louis Peyré dit « La Miche ». (Photo anonyme famille Castets).

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1971 - Création du comité des fêtes à Simacourbe.


En 1971, les jeunes gens et jeunes filles de Simacourbe décidaient de créer un
comité des fêtes sous la forme d’association loi 1901, déclaré à la Préfecture de Pau. Le
1er avril de cette année-là, ils se réunissaient en assemblée générale constitutive, dans la
salle des fêtes, dont ils avaient appris peu de semaines auparavant, qu’elle appartenait à
l’association loi 1901 intitulée Union Sportive de Simacourbe.
Là, ils mettaient au point les statuts. Le conseil d’administration était élu et le
bureau formé.
Le dossier (statuts, conseil d’administration, bureau et la demande
d’enregistrement) était apporté à la préfecture des Pyrénées-Atlantiques.

23
Ci-dessus, le brouillon d’élaboration des statuts et du conseil
d’administration.
Les statuts suivent sur les 3 prochaines pages avec la signature du président
élu Robert GAYE.

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27
- Le 17 avril 1971, une assemblée générale extraordinaire était convoquée
par Robert GAYE, le président du nouveau « Comité des Fêtes de Simacourbe ». Le
conseil d'administration et le bureau étaient mis officiellement en place et déclarés
en préfecture.
Président : Robert GAYE Vice-Présidents : Georges ANSELM et Marc BAZET
Secrétaire : André GAYE Secrétaire-Adjointe : Liliane LEVANGE, Trésorier : Jean-
Claude BAZET Trésorier-Adjoint : Émile SARRAILH ; Membres : Nelly VAN-OPSTAL,
Jean-Paul ANSELM, Marc CATALA, Serge CHANTRE, Roland MAUHÉ, Alain
THOURON.
Étaient présents à l’assemblée générale extraordinaire : Mado ANSELM, Jacqueline
ANSELM, Maria VAN-OPSTAL, Michel CHANTRE, Lucien LANNES, Jean LANNES,
Guy LEVANGE, Roger PISSOAT, Émile SARRAILH, Jean-Louis SARRAILH, Élie
GAYE, André CAZENAVE, Émile BERDEU, Eugène SARRAILH, Georges BIDAURY,
Christian CAZEILS, Ambroise ANSELM, Yves COURRÈGES, Adrien LACROUTS-
BORIÉ et Honoré TISNÉ, délégué de la commission des fêtes du conseil municipal.

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Les fêtes de 1971.
Les fêtes de 1971 étaient donc, les premières festivités organisées par le
tout récent comité des fêtes, présidé par Robert Gaye.
Le samedi 21 et le dimanche 22 août allaient accueillir le 1er concours de
ball-trap, animation nouvelle dans le secteur du Vic-Bilh.
Comme l’avait souhaité l’un des membres du comité, Émile Sarrailh, il
fallait : « Une organisation qui ne coûte pas cher, mais qui rapporte gros ! »
Plusieurs décisions étaient prises.
- Deux jours de fêtes, le samedi et le dimanche, rompant ainsi avec la
tradition du dimanche et du lundi.
- Installation d’une buvette au nom du comité des fêtes sur les lieux de
festivités, après accord avec les gérants de l’Auberge Jean et Loly Duval.
- Messe solennelle le dimanche à 11 heures, en accord avec l’abbé Honoré
Capdevielle, suivie d’une cérémonie au monument aux morts avec la
« Marseillaise » jouée par des membres de l’orchestre.
- Demande d’une subvention communale auprès du conseil municipal.
- Organisation d’un ball-trap sur les deux journées. C’était une
nouveauté !
- Restauration des musiciens chez Larrieu-Latapie à Lalongue aux frais du
comité des fêtes.
- Appel à un orchestre connu et réputé : « Orchestre Roger Desjean ».
- Installation de guirlandes dans le bourg du village.
Tous les membres mettaient la main à la pâte, aidés par des anciens heureux
de voir la jeunesse prendre sa destinée en mains.
- Il restait à trouver un terrain propice pour ce genre de manifestation. Le
terrain du Pigeonnier appartenant à Mme Lube-Molou était idéal. Deux membres
élus allaient en demander le prêt et l’autorisation d’organisation auprès de Mme
Suzanne Lube-Molou qui résidait à Pau.
- Scinder le concours en trois catégories : Licenciés, chasseurs, locaux et
féminines.
- Recenser les tireurs régionaux et les contacter pour les faire venir.
- Récupérer gratuitement de beaux lots pour récompenser les meilleurs de
ces tireurs.
- Affichage sur toute la région.
- Contacter le seul commerçant achalandé en matériel de ball-trap
(pouleuse, cartouches), qui se trouvait à Bayonne et avait pour nom les Ets
Bernizan. La commande était passée et la date d’enlèvement était fixée au jeudi
19 août.
- Récupérer un véhicule utilitaire pour aller chercher tout ce matériel.
Ambroise Anselm avec son combi Volkswagen, aidé de membres du comité,
allait se charger de ce transfert.
- Location d’une bâche « Saint-Frères » à Lembeye auprès des Ets
Lacoustille pour couvrir l’estrade des musiciens. Le président faisait le
nécessaire.
- Le vendredi 20 août, creusement d’une fosse sur le terrain Lube-Molou
pour y placer le lanceur (pouleuse), abritée, par un auvent en tôle ondulée pour
la protection.
- Installation de bancs et de guirlandes lumineuses autour de la piste de
danse.

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- Le vendredi, en fin de journée, essais avec les jeunes chasseurs de
Simacourbe.
- Mise en place de tous les lots dans la salle des fêtes et répartition
suivant les catégories et les places.
- Durant de temps, MM. Élie Gaye, André Cazenave, Eugène Sarrailh, Yves
Courrèges aidés par les jeunes intrépides du comité construisait l’estrade
munie de son auvent pour accueillir l’orchestre sur une piste de danse
débarrassée de son herbe et des pousses d’acacias parasites.
- Élagage des abords, mise en place de tables et bancs pour le vin
d’honneur du dimanche midi. Fabrication d’une clôture pour sécuriser les
abords du large fossé d’évacuation des douves, au fond de la piste.
- Nettoyage du monument aux morts où Émile Sarrailh laissera son
empreinte : Le vase terminant la stèle était à terre depuis plusieurs années. Il
avait l’idée de le remplir d’un ciment-colle et de le placer, en position
retournée, au sommet du monument. Il est toujours ainsi, depuis lors.
- Achat d’un mortier et d’une bombe de fête pour annoncer l’ouverture des
festivités.
Le vendredi soir, tout était prêt comme le montre cette photo !

Les jeunes du village (en haut), Jean-Louis Sarrailh, Régine Constantin, Guy
Levange, Roland Mauhé et la jeune relève (en bas) Pascal Gallais, Nadine
Constantin, Gérard Bazet et Jean-Michel Renon) présentaient les lots offerts aux
tireurs du 1er ball-trap, organisé durant le week-end des fêtes les 21 et 22 août 1971.
Pdt du comité des fêtes Robert Gaye. Quelle expédition pour aller chercher la
pouleuse, les cartouches et les plateaux chez Bernizan à Bayonne. Et le creusement
de la fosse, la mise en place de la guérite de protection, quel chantier ! Avec
l’enthousiasme !... (Photos anonymes).

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Guy Levange
Jean-Louis Sarrailh

Pascal Gallais
Gérard Baze

De g à d : Vendredi en fin d’après-midi, essais de tirs. Jean-Michel Renon,


Roland Mauhé fusil en mains, M. Gallais, Gérard Bazet, Guy Levange, Nadine
Constantin, Régine Constantin, Jean-Louis Sarrailh, fusil en mains indiquant la
direction des plateaux qui vont être tirés par la « pouleuse » et Pascal Gallais.

31
Les résultats du 1er ball-trap des fêtes de Simacourbe des 21 et 22 août 1971.

L’orchestre « Roger Desjean » qui animait les fêtes 1971 et 1972 avec l’ami
Gérard Jouandoudet, debout, 2ème en partant de la gauche, décédé en 2018.
(Publicité).

32
La jeunesse de Simacourbe 1971 se mettait en place devant l’estrade de
l’orchestre « Roger Desjean » pour la photo-souvenir du dimanche 22 août.
(Photo anonyme).

--------

Ces fêtes très réussies donnaient au comité des fêtes une certaine
aisance financière. Bilan : Pas de subvention communale en raison du solde
laissé par la commission des fêtes du conseil municipal au nouveau comité
soit, 2.090,00 frs: Dépenses : 6.711,29 frs – Recettes : 8.916,00 frs
Avec le fonds de caisse (2.090,00 frs), laissé par la commission des fêtes
du conseil municipal, organisatrice des fêtes précédentes, le comité affichait
11.006,00 frs en solde bancaire.
Sous l’impulsion de Robert Gaye, le comité des fêtes décidait d’aider
l’Union Sportive à réhabiliter la salle des fêtes, point névralgique pour la
jeunesse de l’époque en allouant 1500,00 frs pour les travaux de restauration à
venir.
Il était décidé en concertation avec les anciens, MM. Élie Gaye, Georges
Bidaury, André Cazenave, Émile Berdeu, Eugène Sarrailh, Yves Courrèges de
réaliser dans une première période de travaux :
- Une chape cimentée sur le sol en terre battue de la salle des fêtes.
- Fabrication de nouveaux contrevents et portes afin de remplacer les
existantes délabrées.

Avec 2.794, 71 frs, le comité pouvait organiser les fêtes 1972. L’orchestre
Roger Desjean était reconduit pour l’animation des bals et le 2 ème ball-trap
poursuivait la nouvelle aventure.
33
Les travaux étaient exécutés en mai et juin 1972.

Durant quatre samedis, plusieurs membres du comité des fêtes, de l’union


sportive de Simacourbe et des sympathisants ont travaillé d’arrache-pied pour
améliorer le sort de la salle des fêtes, laissée en décrépitude depuis le milieu
des années 1950.
Nous allons citer tous ceux qui ont œuvré pour cela sous la direction de :
Élie Gaye, assisté de :
André Cazenave, Yves Courrèges, avec Jean-Paul Anselm, Jean-Claude Bazet,
Marc Bazet, Eugène Berdeu, Christian Cazeils, Serge Chantre, Christian
Levange, Roland Mauhé, Roger Pissoat, Eugène Sarrailh, Émile Sarrailh, Jean-
Louis Sarrailh, Louis Castets, munis de pelles, de râteaux, de balais, de bonne
volonté et d’enthousiasme.
Préparation de la salle, du mortier, fabrication des contrevents et portes,
peinture, faisait que la première tranche des travaux de réhabilitation allait se
dérouler parfaitement et livrer un intérieur de salle, plus à même de recevoir
des manifestations conviviales, tels que les repas ou les réunions.

- Les fêtes locales 1972 – Les fêtes 1972 se déroulaient les 19 et 20


août.

La jeunesse de Simacourbe, avec quelques joueurs de l’USS, photographiée le


dimanche 20 août 1972. Pdt du comité des fêtes Robert Gaye. (Photo anonyme).

34
Devant la buvette, le dimanche 20 août 1972. Au premier rang, on reconnaît de
g à d : Michel Chantre, Liliane Levange, X…, X… (Photo anonyme).

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Les articles sur les journaux concourraient à faire connaître les fêtes.

Bilan des fêtes : Subvention commune : 1200,00 frs ; Dépenses : 7.493,58 frs :
Recettes : 11.665,86 frs ; Bénéfice : 1.377,56 frs. Avec cet excédent, le comité
des fêtes assurait la réparation de l’installation électrique de la salle des fêtes,
payant en plus les factures EDF de consommation et l’assurance
responsabilité civile du bâtiment. La somme de 552,59 frs était déboursée pour
cela, laissant au comité, un solde bancaire de 3.619,68 frs.

36
- Les Fêtes locales 1973 –

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L’orchestre « Éric Gardner » » pour le samedi 18 août 1973. (Publicité).

L’orchestre « Patrick Gérard » pour le dimanche 19 août 1973, avec notre


ami, Gérard Jouandoudet (debout, 4ème à partant de la gauche), disparu en 2018.
(Publicité).

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- Les Fêtes locales 1973 –

Le dimanche 19 août sur le coup de 13 heures, Robert Gaye trinque avec les
hôtesses du comité Andrée Boutiéresse (Mme Georges Gaye), Jacqueline
Anselm, Monique Gaye dans le stand de la buvette sous le regard de Charly
Padial. À gauche, de dos, cheveux longs, Philippe Roques. (Photo anonyme).

Après les fêtes de 1973, marquées par un temps un peu pluvieux, le succès ne
s’était pas démenti. Le comité avait fait un effort plus important au niveau des
orchestres avec pour le samedi, la formation bordelaise « Éric Gardner » qui
venait pour la première fois dans les P.A. et pour le dimanche la formation
paloise de « Patrick Gérard ». Le débours de 1.400,00 francs était plus
important que les années précédentes. Subvention commune : 2.000,00 frs ;
Dépenses : 9.954,93 frs ; Recettes : 10.853,80 frs ; Bénéfice net de ces
festivités 898,87 frs.
Le comité engageait des dépenses de travaux auprès de la salle des fêtes
durant les mois de mai et juin 1974.
- Achat d’extincteurs pour 911,04 frs
- Installation de blocs autonomes de sécurité dans la salle à la suite d’une
visite de la commission départementale de sécurité convoquée inopinément
par le maire de la commune M. Jacques Gaye. Dépense 703,80 frs.
- Matériaux pour le crépi des murs extérieurs de la salle pour 790,00 frs.
- Assurances incendie et divers 200,18 frs.
- Soit une dépense totale de 2.605,02 frs.
Au 1er août 1974, le compte bancaire du comité affichait un solde créditeur de
1.913,53 frs. Les fêtes 1974 pouvaient se dérouler avec deux nouveaux
orchestres. « Horizon 80 » le samedi 17 août moyennant 1900,00 frs et « Guy
LodettI » pour 2300,00 frs le dimanche 18 août et le 3ème ball-trap.

39
- Les Fêtes locales 1973 –

40
- Les Fêtes locales 1973

41
- Les fêtes locales 1974 –

42
- Fêtes locales 1974

L’orchestre du samedi soir . HORIZON 80

43
Le bal 1974 – Martine Chantre à la buvette. (Photo Serge Chantre).

Les jeunes de Simacourbe et de l’US Simacourbe le dimanche 18 août 1974.


Pdt du comité des fêtes Robert Gaye. (Photo anonyme).

44
Apéritif d’honneur des fêtes 1974. A la table de g à d : André Cazenave, Éloi
Laulhé, Jean-Marie Armagnacq, Francis Loustalan, Réné Pébernard conseiller
général, Raymond Hau-Sans faisant fonction de maire, Jacques Gaye étant
empêché, Honoré Tisné, Jen Mauhé, Louis Castets Jean Constantin. Debout :
Lucien Lube-Molou. Au second plan : Marcel Couet-Lannes, appuyé sur la table,
debout Jean Gaye avec lunettes rt Jeanne Gaye, son épouse, embrassant son
neveu Georges Gaye. (Photo Serge Chantre).

La presse régionale et en particulier « La République des Pyrénées » avec son


correspondant local Serge Chantre, Henri Abadie de Morlaàs, Jean-Claude
Soubie à la rédaction des pages locales et « Éclair des Pyrénées » avec ses
rédacteurs André Bouscarel, Jean-Pierre Aren, Guy Pécoste ont beaucoup aidé à
faire connaître les fêtes et ses animations.

« Après la messe célébrée par l’abbé Capdevielle, curé de Simacourbe, la cérémonie


au monument aux morts a rassemblé la totalité de la population et ses invités sauf les
maîtresses de maison. La conscrite Régine Constantin et son conscrit Philippe Dupont
ont déposé la gerbe au pied du monument aux morts en présence de M. Hau-Sans,
adjoint au maire M. Gaye, malheureusement absent empêché pour cause de maladie et
de Robert Gaye, président du comité des fêtes. Au vin d’honneur, en dehors des
personnalités déjà citées, nous avons noté MM. Jean-Paul Anselm, président de
l’U.S.S, de l’adjudant Séby, chef de la gendarmerie de Lembeye, et du gendarme
Abadie et de tous les conseillers municipaux ainsi que de nombreux maires des villages
voisins. MM. Labarrère député-maire de Pau, Sibor sénateur et Pébernard conseiller
général étaient excusés ». Henri ABADIE.

45
Le samedi 17 août 1974, au départ du tour de Simacourbe à trottinettes. (Photo
Maria Van Opstal).

46
La buvette installée sur le champ de tir du ball-trap des fêtes 1974. (Photo Maria
Van Opstal).

47
Commentaires d’après-fêtes par le correspondant de Morlaàs Henri Abadie

- Assemblée générale du comité des fêtes.

Les membres du comité tenaient leur assemblée générale d’après-fête au


restaurant « Le Quiller » à Monassut où les recevaient M et Mme Petit pour un
excellent repas.

48
En novembre, Robert Gaye, chemise à carreaux, faisait le bilan des fêtes 1974
au restaurant Petit de Monassut où tout le comité avait été convié,
mais…chacun payait son repas. De d à g : Robert Gaye, Josette Monge, Martine
Chantre , X…, ?Jean-Louis Sarrailh, Christian Levange, Robert Duhard, Michel
Chantre, Evelyne Roques, Mme Levange Guy, Guy Levange. (Photo Serge
Chantre).

Même réunion du comité des fêtes à Monassut. (Photo Serge Chantre).

Robert Gaye en profitait pour présenter le bilan des fêtes 1974. Subvention
commune : 2.000,00 frs ; Dépenses : 10.917,58 frs ; Recettes : 11396,52 frs ; Le
prix des orchestres réduisait le bénéfice qui s’élevait à 478,94 frs.

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- Les Fêtes locales 1975 –


Elles s’annonçaient parfaitement avec le 4ème ball-trap qui attirait de plus en
plus de bons tireurs et tireuses de pigeons.

Les orchestres étaient de plus en plus chers, vu leur qualité.

« Pedrito Percal » (2.800,00 frs) pour le samedi 16 août et « Horizon 80 »


(1.900,00 frs) pour le dimanche 17 août. « Pedrito Percal » animait les fêtes de
Bayonne avec un trompettiste de renommée, Jean-Claude Fourticq.

49
Les membres du comité présentent les fêtes 1975 avec un petit souci au tirage
de la photo. (Photo Serge Chantre).De g à d : Jean-Jacques Gaye, X…, Thérèse
Lannes, Jean-Michel Renon, Françoise Lannes, X…, X…, Nadine Constantin.

Les fines gachettes du comité testent le pas de tir du ball-trap 1975. De g à d :


André Gaye, Roland Mauhé, Jean-Louis Sarrailh. (Photo Serge Chantre).

50
51
Les champions à l’œuvre. Tirs du 5ème ball-trap le dimanche 17 août 1975. Pdt
du comité des fêtes Robert Gaye. (Photo Serge Chantre).

52
Les Fêtes locales 1975 – 5ème Ball-trap, à gauche, Lucien Lannes ajuste le
pigeon. (Photo Serge Chantre).

53
Ball-trap 1975 – Dans la salle des fêtes, Mado Anselm remet les prix aux
vainqueurs des différentes catégories de tireurs du ball-trap. (Photo Serge
Chantre).

54
Les Fêtes locales 1975 - Samedi 16 août – Tour de Simacourbe à trottinettes.

55
Départ de la première étape, soleil couchant dans le dos.

Prêts pour le départ de la 1ère étape du tour de Simacourbe à trottinettes.


(Photos Serge Chantre).

56
1975 - Tour de Simacourbe à trottinettes. Sur le chemin de la Châtaigneraie,
Patrick Lescalle, Jean-Jcaques Gaye, Philippe Castagnet, et Emmanuel Pauly.
(Photo Serge Chantre).

57
58
Les Fêtes locales 1975. Cérémonie du souvenir avec Jean-Paul Pommiès et
Liliane Lescalle « conscrits de l’année « . La « Marseillaise » était jouée par
l’orchestre « Pedrito Percal ». (Photo Serge Chantre).

L’apéritif-concert du dimanche midi 17 août 1975. Trois membres (debout) du


comité sont en train de servir de g à d : Mado Anselm, André Gaye et à
l’extrême droite Émile Sarrailh au côté de Lucien Lube-Molou en sombre. Pdt
du comité des fêtes Robert Gaye. (Photo Serge Chantre).

59
L’orchestre « Horizon 80 » le samedi 16 août des fêtes 1975. (Publicité).

Le dimanche, la formation basque « Pedrito Percal », ci-dessous, prenait la relève.


À droite, chemise à carreaux, Philippe Poulit de Cadillon. (Photo Serge Chantre).

60
La table « officielle », avec de g à d : Éloi Laulhé, Jean-Marie Armagnacq avec le
béret, Francis Loustalan, Roger Pédepau, Mme Maryse Bernède, Roger Bernède,
l’abbé Honoré Capdevielle, Honoré Tismé, Jean Constantin, Jean Mauhé,
Jacques Gaye, Raymond Hau-Sans et Robert Gaye, pdt du comité des fêtes.
(Photos Serge Chantre).

De g à d : Robert Gaye qui sert, Jean-Marie Armagnacq, Francis Loustalan,


Roger Pédepau, Maryse Bernède, Roger Bernède, abbé Honoré Capdevielle,
Monique Gaye, Janine Gaudin, Émile Sarrailh, Raymond Hau-Sans, Jacques
Gaye, Jean Mauhé, Louis Castets, Honoré Tisné, Jean Constantin, Elie Gaye
debout à droite.

61
- Le bilan des fêtes 1975 - Excellent : Subvention commune : 2.000,00 frs ;
Dépenses : 12.617,80 frs ; Recettes : 15.448,15 frs. Bénéfice 2.830,35 frs et solde
bancaire : 4.501,73 frs.

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- Les Fêtes locales 1976 –


Deux orchestres inconnus dans la région.
« Michel Guillon », orchestre toulousain, officiait le samedi 21 août, pour un
débours de 3.000.00 frs et le dimanche 22 août, c’était l’orchestre nantais de
« Claude Billy », pour 2.500,00 frs. Le 6ème ball-trap était organisé.

62
Tour de Simacourbe à trottinettes 1976.

Tour à trottinettes, le samedi 21 août 1976. De g à d : Emmanuel Pauly, X…,


Christophe Lortet, Sandra Pauly, Renaud Couet-Lannes, Philippe Castagnet,
Gilles Gayet. Derrière Patrick Lescalle, Jean-Jacques Gaye et M. Baliros qui
observe. Pdt du comité des fêtes Robert Gaye. (Photo Serge Chantre).

Tour à trottinettes 1976 - Renaud Couet-Lannes négocie le virage à pleine


vitesse et fonce vers l’arrivée. (Photo Serge Chantre).

63
Tour à trottinettes 1976 - Christophe Lortet arrive à roue libre et passe la ligne
d’arrivée. (Photo Serge Chantre).

Tour à trottinettes 1976 - Renaud Couet-Lannes met le dernier coup de rein, le


regard sur la ligne d’arrivée. (Photo Serge Chantre).

64
Tour à trottinettes 1976 - Michel Monge à l’arrivée.

Apéritif-concert des fêtes du dimanche 22 août. Pdt du comité Robert Gaye.


Sur la droite, on aperçoit l’ancienne piste de danse entourée d’acacias, les
bancs sur des moellons, et l’éclairage sommaire. (Photo Serge Chantre).

65
Après ball-trap 1976 – Après le ball-trap et la remise des prix, apéritif à la table
de la famille Robert Bellot qui sert son épouse sous le regard de leur fille.
(Photo Serge Chantre).

Jean-Paul Anselm et Robert Gaye remettent le jambon gagné par Régine


Constantin. (Photo Serge Chantre).
Le bilan des fêtes 1976 : Subvention commune : 2.000,00 frs. Dépenses :
15.562,36 frs ; Recettes : 18.021,40 frs ; Bénéfice 2.459,04 frs. 820,50 frs étaient
consacrés à réfection de la toiture de la salle des fêtes à la suite de la tempête
de décembre 1975.

66
- Les Fêtes locales 1977 –
- 7ème ball-trap avec des prix en espèces et des lots.
- Bals avec l’orchestre pour les deux soirées « Pedrito Parcal » pour
6400,00 frs.

Le samedi 20 août 1977, une nombreuse affluence suivait les exploits des
tireurs. (Photo Serge Chantre).

Le samedi soir après la journée ball-trap 1977, Paul Anseim, Georges Bidaury,
Eugène, Sarrailh, André Cazenave attablés. (Photo Serge Chantre).

67
La buvette le samedi 20 août 1977. Gérard Bazet au service. Au premier plan,
Renaud Couet-Lannes.

Le dimanche 21 août - Cérémonie au monument aux morts. Les conscrits


Gérard Bazet et X…. Le maire, Jacques Gaye sous le parapluie. Pdt du comité
des fêtes Robert Gaye. (Photo Serge Chantre).

68
Le bal du samedi soir 20 août 1977, perturbé par le mauvais temps, se déroulait
dans la salle des fêtes. Pdt du comité des fêtes Robert Gaye.

- Le bilan des fêtes 1977 : Dépenses : 17.408,48 frs ; Recettes : 21.522,52


frs ; Bénéfice 4.119,04 frs. 399,00 frs étaient consacrés au paiement d’une
facture de réparation électrique à la salle des fêtes en faveur d’Henri Mathieu.
---------------------------------------------
- Les Fêtes locales 1978 –
Robert Gaye a passé le flambeau du comité à Michel Chantre. L’orchestre
« Pedrito Percal » fera les deux soirées pour 6.950,00 frs

Une partie des membres du comité présentent les fêtes 1978. De g à d : X…,
Gérard Bazet, Bernard Loustalan, Patrick Lescalle, Claire Lafforgue, Jean-
Michel Renon. Pdt du comité Robert Gaye. (Photos Serge Chantre).

69
- Le vendredi 18 août 1978 : Concert à l’église avec le trompettiste Jean-
Claude Fourticq et l’abbé Guy Marrimpouey au piano. Participation libre.

Jean-Claude Fourticq et l’abbé Marrimpouey en concert à l’église. (Photo Serge


Chantre).

Fêtes des 19 et 20 août 1978. Cérémonie du souvenir au monument aux morts,


déplacé et rénové. Conscrits de l’année Cécile Lafforgue et Philippe Castets.
Parmi le public, on reconnaît de gauche à droite : Paul Benquet, Jean-Marie
Castagnet, Christian Castaing tenant dans ses bras sa fille Sandra, Jacques
Sériès, Florence Couet-Lannes, Fernande Chantre. Pdt du comité des fêtes
Michel Chantre. (Photos Serge Chantre).

70
Apéritif d’honneur des fêtes 1978. On reconnaît à l’extrême gauche, assis,
Émile Berdeu. À l’extrême-droite Michel Arnaud, à sa gauche Roger Pissoat. Au
centre, Jacques Sériès et avec la moustache Marc Desclaux.(Photo Serge
Chantre).

Apéritif d’honneur des fêtes 1978. On reconnaît : Au loin, debout, Roger Sériès,
au milieu assis les mains sur les cuisses, Jacques Sériès ; à ses côtés, avec
moustache Denis Desclaux. Première table, Roger Pissoat, Michel Arnaud,
Monique Gaye, Robert Gaye. Pdt du comité des fêtes Michel Chantre.

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Les mêmes personnes vues par l’autre bout de table.

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- Les Fêtes locales 1979 –

Le comité des fêtes présente le programme avec le 8ème ball-trap. De g à


d : Jean-Michel Renon, Jean-Jacques Gaye, Cécile Lafforgue, Philippe Castets,
X…, Philippe Denis, Claire Lafforgue, Bernard Loustalan, assis, Michel Chantre,
pdt du comité des fêtes. (Photo Serge Chantre).

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- 18 et 19 août : 8ème ball-trap avec des prix en espèces pour les 10
premiers.
- Exposition de cartes postales et de vues sur Simacourbe. 60 années en
rétrospective.
- Concours de pétanque sur les deux jours.
- Bals avec le samedi, l’orchestre parpignanais « Eric Burton » et le Fêtes
1975 1976 1978dimanche l’orchestre toulousain « Yohan Saint-Denis » animait
la grande soirée.

Contrat d’engagement de l’orchestre « Burton » par le comité des fêtes de


Simacourbe pour la soirée du samedi 18 août 1979. (Archives comité des fêtes).

73
Contrat d’engagement de l’orchestre « Burton » par le comité des fêtes de
Simacourbe pour la soirée du samedi 18 août 1979. (Archives comité des fêtes).

74
Contrat d’engagement de l’orchestre « Yohan Saint-Denis » par le comité des
fêtes de Simacourbe pour la soirée du dimanche 19 août 1979. (Archives comité
des fêtes).

75
Contrat d’engagement de l’orchestre « Yohan Saint-Denis » par le comité des
fêtes de Simacourbe pour la soirée du dimanche 19 août 1979. (Archives comité
des fêtes).

76
- Les Fêtes locales 1980 –

Les Fêtes locales 1980. Le comité des fêtes présente le programme. De g à d :


Patrick VanWymeersch, Patrick Lescalle, Florence Couet-Lannes, Dominique
Boitière, Jean-Jacques Gaye, Rachel Capéraà, Cécile Lafforgue, Renaud Couet-
Lannes. Pdt du comité des fêtes, Michel Chantre. (Photo Serge Chantre).
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- Les Fêtes locales 1981 –
Banda « Harmonie Garlinoise »
Vendredi Podiums inter-danse : « Fusion 2 » - Samedi Podium
inter : « Ariane et Luc » - Dimanche : « Orchestre Spring-Set »

La piste de danse était élargie avec l’abattage des arbres côté droit, laissant un
espace plus vaste, cimenté en 1981. Elle en avait besoin. Le goudronnage
(Photo Serge Chantre).
77
Vendredi 21 août 1981

Le groupe basque « Biez Bat » de Bassussary à l’église le vendredi 21 août des


fêtes 1981. Pdt du comité des fêtes Michel Chantre. (Photo Serge Chantre).

78
Samedi 22 août 1981.

Les fêtes de Simacourbe accueillaient pour la première fois des podiums


mobiles. Le vendredi 21, « Fusion 2 » et le samedi 22 août 1981, « Ariane et
Luc », venus de Nantes et habitués du célèbre podium inter-danse de Radio-
France du samedi soir. Pdt du comité des fêtes Michel Chantre. (Publicité).

Au monument aux morts en 1981, présidée par M. Jean-Marie Monge, maire,


avec les « conscrits » Claire Lafforgue et Philippe Azaban. Pdt du comité des
fêtes, Michel Chantre. De g à d : Yves Courrèges, Jean-Marie Monge maire,
André Richard, Justin Monge, Roger Bernède. (Photo Serge Chantre).

79
Après la Marseillaise devant le Monument aux Morts, l’Harmonie Garlinoise
amène le cortège vers le vin d’honneur.

Un habitué du vin d’honneur, M. Bergeret de Gerderest arrivant avec son


équipage.

80
L’apéritif des fêtes animé par « l’Harmonie Garlinoise » le 22 août 1981 avec le
chef Piarrou. Pdt du comité des fêtes Michel Chantre. (Photo Serge Chantre)

Sur la droite, le maire de Lespielle Boy s’entretient avec l’abbé Capdevielle.

81
Une vue des invités à l’apéritif-concert des fêtes le 22 août 1981. Pdt du comité
des fêtes, Michel Chantre, au centre, entre M. Jean-Marie Monge, maire et
Raymond Hau-Sans, 1er adjoint. On reconnaît Lucien Lube-Molou au centre, à
gauche avec le béret, au premier plan, Marcel Monjouste, Mathieu Minvielle, Jean
Mauhé, Roger Bernède. (Photo Serge Chantre).

Le sénateur Pierre Sallenave vient d’arriver et s’est assis antre MM. Monge et
Hau-Sans.

82
Une autre vue de l’apéritif d’honneur

Toujours les fêtes, le dimanche 22 août 1981 avec « l’Harmonie Garlinoise ».


Pdt du comité des fêtes Michel Chantre. Au premier plan, avec lunettes de
soleil, Roger Sériès, de dos, Gaby Castagnet et Albert Péhau. (Photo Serge
Chantre).

83
Une autre vue du vin d’honneur des fêtes 1981. (Photo Serge Chantre).

Fêtes 1981. Jeux inter-quartiers de Simacourbe. Un supplice ! Forcé à goûter


les yeux bandés ! (Photo Serge Chantre).

84
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- Les Fêtes locales 1982 –

Le groupe vocal béarnais « Lous Esbagats d’Asson », chers au guitariste-


chanteur Jean-François Daban (à droite), le vendredi 19 août des fêtes 1982.
Pdt du comité des fêtes Michel Chantre. (Photo Serge Chantre).

85
Vin d’honneur des fêtes 1982. De g à d : Jacques Gaye, abbé Honoré
Capdevielle, René Pébernard, conseiller général, Michel Chantre, pdt du comité
des fêtes, Louis Castets, conseiller municipal. (Photo Serge Chantre).

Jeux inter-quartiers du dimanche après-midi 1982. Le ramasse-pommes avec la


bouche dans la piscine, bras liés dans le dos. (Photo Serge Chantre).

86
« L’Harmonie Garlinoise » animait les jeux inter-quartiers. (Photo Serge Chantre).
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- Les Fêtes locales 1983 –

La fanfare bavaroise de « Bade-Liebenzell » le vendredi 19 août des fêtes 1983


à l’église de Simacourbe. Pdt du comité des fêtes, Michel Chantre. (Photo Serge
Chantre).

87
- Les Fêtes locales 1984 –

1ère Ronde des Générations avec l’accordéon-club d’Artix de Gérard Avril, sous
le chapiteau installé sur la piste de danse. (Photo Serge Chantre).

- Les Fêtes locales 1985 –

Renaud Couet-Lannes et Patricia Lacrouts-Borié, conscrits de l’année,


déposaient la gerbe du souvenir. (Photo Serge Chantre).

88
La 2ème « Ronde des Générations », bal musette, le lundi 19 août 1985, sous un
chapiteau. Décor « saloon » et chapiteau garni de danseurs et de spectateurs. On
reconnaît Gaby Castagnet en robe rayée au premier plan. (Photo Serge Chantre).

Une autre vue de cette soirée musette, animée par l’accordéon-club de Lourdes. La
mise en place de tables avec des chaises autour de la piste de danse a beaucoup
apporté au succès de ces soirées musette du lundi soir ! (Photo Serge Chantre).

89
Michel Lecoz, Renaud Couet-Lannes, X…, Robert Sempé en serveurs « saloon », le
19 août 1985 pour la 2ème « Ronde des Générations » avec « l’Accordéon-club de
Lourdes ». Pdt comité des fêtes Jean-Jacques Gaye. (Photo Serge Chantre).
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- Les Fêtes locales 1989.

L’apéritif-concert du dimanche midi 20 août des fêtes 1989, sous chapiteau.


De face, Pierre Blandie, en face Marielle Deleuze. Pdt du comité des fêtes,
Jean-Michel Renon. (Photo Serge Chantre).

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L’apéritif-concert du dimanche midi 20 août des fêtes 1989, sous chapiteau. De
g à d : Jean-Marie Monge, Marc Bazet, Maryse Castaing, Michel Chantre maire
de Simacourbe, X…, Chef de la gendarmerie de Lembeye. A droite, Jean Roger,
Armand Lube-Molou, Francis Routis maire de Lannecaube. (Photo Serge
Chantre).

L’apéritif-concert du dimanche midi 20 août des fêtes 1989, sous chapiteau. De


g à d : Guy Lamouroux, Guy Gallais, maire de Lalongue, debout, Jean-Michel
Renon, pdt du comité des fêtes, Henri Hourcade, directeur des écoles. Jean-

91
Marie Monge, Michel Chantre, maire de Simacourbe, Robert Mesplé, maire de
Burosse, X…, X…, Louis Lacoustille, maire de Gayon. (Photo Serge Chantre).

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20 août 1989 après-midi, Pampi Laduche et Jo Tellechéa en concert à
Simacourbe.

Les techniciens de Radio-Mélodie en action au milieu de la salle.

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Spectacle le dimanche après-midi 20 août des fêtes 1989, avec le tour de chant
de Pampi Laduche et Jo Tellechéa sous la houlette de « Radio Mélodie »
d’Oloron. Une vue des spectateurs. Le chapiteau était rempli de gens
enthousiastes. Pdt du comité des fêtes, Jean-Michel Renon. (Photo Serge
Chantre).
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- Les Fêtes locales 1990 –

Jean-Michel Renon, président du comité des fêtes, volontaire lors du spectacle


de fakirs, le dimanche après-midi des fêtes le 19 août 1990. « Même pas
peur » ! (Photo Serge Chantre).

95
- Les Fêtes locales 1991 –

Ronde des générations du lundi des fêtes, 19 août 1991, avec l’orchestre
musette de « Jean Roberty ». Pdt du comité des fêtes Dominique Boitière.
(Photo Serge Chantre).
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- Les Fêtes locales 1992 –

Les « Mariachis de l’Institut National des Beaux-Arts de Mexico », le vendredi


21 août, lors des fêtes 1992. Pdt du comité des fêtes Dominique Boitière. (Photo
Serge Chantre).

96
Les « Mariachis de l’Institut National des Beaux-Arts de Mexico », le vendredi
21 août lors des fêtes 1992. (Photo Serge Chantre)
.

Les « Mariachis de l’Institut National des Beaux-Arts de Mexico », le vendredi


21 août, lors des fêtes 1992. (Photo Serge Chantre).

97
L’orchestre des « Mariachis de l’Institut National des Beaux-Arts de Mexico », le
vendredi 21 août, lors des fêtes 1992. (Photo Serge Chantre).
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- Les Fêtes locales 1993 –

Le groupe folklorique russe « Razdolye de Lipietsk » le vendredi 20 août 1993.


Pdt du comité des fêtes, Dominique Boitière. (Photo Serge Chantre).

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Le groupe folklorique russe « Razdolye de Lipietsk » le vendredi 20 août, des
fêtes 1993, remercie le public enthousiasmé. (Photo Serge Chantre).

Le public le vendredi 20 août 1993 applaudit debout les danseurs russes. Pdt du
comité des fêtes, Dominique Boitière. (Photo Serge Chantre)

99
Le groupe folklorique russe « Razdolye de Lipietsk » en 1993 se restaure au
foyer, après le spectacle. Pdt du comité des fêtes, Dominique Boitière. (Photo
Serge Chantre).

Vin d’honneur des fêtes 1993. (Photo Serge Chantre).

100
- Les Fêtes locales 1994 –

Groupe « Danza Argentina » le vendredi 19 août, lors des fêtes 1994. Pdt du
comité des fêtes, Dominique Boitière. (Photo Serge Chantre).

Les danseurs argentins dansent avec le public le vendredi 19 août des fêtes
1994. Pdt du comité des fêtes, Dominique Boitière. (Photo Serge Chantre).

101
- Les Fêtes locales 1995 –

Une partie du comité des fêtes. Pdte Véronique Lombré. De g à d : Véronique


Lombré, Céline Cassou, Séverine Arnaud, Cédric Chantre, Christian Lombré,
Arnaud Martres, Mario Raffo, X…, Jean-Michel Renon, Viviane Roulet,
accroupis : X…, Pascale Chantre. (Photo Serge Chantre).

Le 18 août 1995 - Groupe folklorique « Guatèque » de Porto Rico lors des fêtes
le 20 août 1995. Pdte du comité des fêtes Véronique Lombré.
102
Le 18 août 1995 - Groupe folklorique « Guatèque » de Porto Rico lors des fêtes
le 20 août 1995. Pdte du comité des fêtes Véronique Lombré. (Photos Serge
Chantre).

Le 19 août 1995, en l’église, concert classique avec la pianiste paloise Sandra


CLOT, invitée par l’association JADE. (Photo Serge Chantre).

103
Le 20 août 1995 - Cérémonie du souvenir du 21 août. De g à d : Michel Chantre,
maire, Véronique Lombré, Pdte du comité des fêtes, Séverine Arnaud et Cédric
Chantre, « conscrits de l’année ». (Photo Serge Chantre).

Fêtes locales 1995, le 20 août - La table d’honneur de l’apéritif-concert du 21


août. Pdte Véronique Lombré. De g à d: Alain Latisnère (Lalongue), Élie
Lacamoire, maire Lalongue, Louis Althapé, sénateur, Marc Bazet, Robert Gaye,
André Blanquine, maire de Cadillon; à d : Mme Althapé, Michel Chantre, maire
de Simacourbe, Georges Labazée, député. (Photo Serge Chantre).

104
Les Fêtes locales 1995 - Le 21 août 1995, la 12ème Ronde des Générations avec
l’orchestre musette de Pascal Mangier « Ambiance ». (Photo Serge Chantre).
---------------------------.
- Les Fêtes locales 1999 –

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.

108
- Les Fêtes locales 2000 –

Allez un « Paquito » avec le leader Bernard Cassou, qui écrase Colette Capéraà,
qui écrase Marie Latapie, ….. (Photo Serge Chantre).

109
. Les Fêtes locales 2002 –

Vin d’honneur le dimanche à midi 18 août, lors des fêtes 2002 dans la salle. Pdte
du comité des fêtes Pascale Chantre. De g à d : Monique Gaye, Aurélie Gaye,
Julian Gaye, André Gaye. (Photo Serge Chantre).
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- Les Fêtes locales 2003 –

Réunion du comité des fêtes présidé par Pascale Chantre.

110
- Les Fêtes locales 2004 –
Article sur les journaux présentant les fêtes 2004. Vendredi 20 août : Banda
« Los Goleadores del Rey » de Laroin. 21 : Podium « Light Music ». 22 août : Vin
d’honneur avec « Les Tatayous de Lembeye » et Podium « Light Music ». 23
août : Ronde des générations avec « Musette 2000 ».

Un « Paquito » endiablé lors des fêtes 2004 avec la banda de Laroin « Los
Goleadores ». (Photo Serge Chantre).

111
- Les Fêtes locales 2005 –

Bifteckade du vendredi soir 19 août des fêtes 2005 animée par « Los Beretes ».
(Pdt comité des fêtes Pascale Chantre. Photo Serge Chantre).

Le repas animé par la banda « Lous Berretes » d’Aureilhan.

112
« Lous Berretes » mettent l’ambiance dans la salle. (Photos Serge Chantre).

Clio Brouste et Aurélien Lafenêtre déposent la gerbe du souvenir au pied du


monument aux morts - Yves Courrèges porte-drapeau et « La Marseillaise » par
la banda « Lous Tatayous » de Lembeye (Photos Serge Chantre).

113
Le comité des fêtes en tenue de soirée le lundi soir des fêtes 2005. Pdte du
comité des fêtes Pascale Chantre. De g à d : Aurélie Bazet, Clio Brouste, Lionel
Bazet, Vanessa Zurita, Marion Benquet, Anne-Sophie Anselm, Benjamin
Benquet, Sandra Capmartin, Arnaud Martres, Marc Barats, Aurélien Lafenêtre,
Marie-Laure Martres, Pascale Chantre, Mathieu Cassou, Amélie Castets. (Photo
Serge Chantre).

Le bal de la 17ème Ronde des Générations du lundi soir 22 août 2005. Pdte du
comité des fêtes Pascale Chantre (Photo Serge Chantre).

114
Le bal de la 17ème Ronde des Générations du lundi soir 22 août 2005. Pdte du
comité des fêtes Pascale Chantre. (Photo Serge Chantre).

115
- Les Fêtes locales 2007. Avec la banda « Los Berettes
d’Aureilhan »

La banda d’Aureilhan déchaîne l’ambiance.

Et se déchaîne !

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Le « paquito » commence !

Et progresse…

117
Les tablées résistent…

Puis se vident !

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Le comptoir du bar tient bon

- Le vin d’honneur du dimanche midi vu de l’intérieur.

119
- Les Fêtes locales 2008 –

- Concours de pétanque. Pdt du comité des fêtes Lionel Bazet. (Photo Serge
Chantre).

120
- Les Fêtes locales 2010 –

Comité des fêtes 2010. Pdt Lionel Bazet. (Photo Serge Chantre).

121
- Les Fêtes locales 2011 –

Une réunion de préparation du comité des fêtes 2011. (Photo Serge Chantre).

122
- Les fêtes locales 2012 –

Le comité 2012 présente les fêtes. Pdte du comité des fêtes Marie-Laure
Martres. De g à d : Laborde, Marie-Laure Martres, Anne-Sophie Anselm, Axelle
Lahondaà, Aurélien Lafenêtre, Régis Bazet, Clément Rey, Benjamin Benquet,
Kevin Renon, Urielle Lahondaà, Vanessa Zurita. (Photo Serge Chantre).

La bifteckade du vendredi soir 18 août des fêtes 2012. On reconnaît : Jeannette


Schneider jupe imprimée, sa 3ème fille Nadine Tassy (ceinture noire), de dos
Viviane Roulet, en face, Jacqueline Schneider (haut rouge), et Christiane
Schneider avec lunettes, Nicolas Macre à droite. (Photo Serge Chantre)

123
Les Fêtes locales 2012. Cérémonie du souvenir avec dépôt de la gerbe par « les
conscrits » de l’année. (Photo Serge Chantre).

124
Les Fêtes locales 2012. Marie-Laure Martres s’adresse à l’assistance lors de la
cérémonie du souvenir. (Photo Serge Chantre).

Le comité chante la « Marseillaise » lors de la cérémonie au monument aux


morts du dimanche 19 août des fêtes 2012. (Photo Serge Chantre).

125
L’apéritif d’honneur du dimanche midi des fêtes 2012. Plusieurs tablées. (Photo
Serge Chantre).

Apéritif-concert du dimanche 19 août des fêtes 2012. Pdte du comité des fêtes
Marie-Laure Martres. Photo Serge Chantre).

126
127
- Les fêtes locales 2014 – Vendredi : Banda « Los Alegres »
Samedi et dimanche : Podium « Insomnia ».

Le comité des fêtes 2014 présente le programme. (Photo Serge Chantre).


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- Les fêtes locales 2015 – Vendredi : Banda « Los Alegres »
Samedi et dimanche : Podium « Insomnia ».

Le comité présente le programme des fêtes.

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Les Fêtes locales 2015 ont attiré les camarades de promo de Marion Benquet
(étoile), venus de Paris et Montpellier. A d : Benjamin Benquet. (Photo Serge
Chantre).
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- Les fêtes locales 2016 – Vendredi : Banda « Los Alegres »
Samedi et dimanche : Podium « Insomnia ».

Le comité des fêtes 2016 présente les dates des festivités. (Photo Serge
Chantre).

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Les Fêtes locales 2016 - Cérémonie du souvenir. Porte-drapeaux : de dos, Mme
Viviane Roulet pour une de ses dernières sorties et M. Michel Castera. Pdt du
comité des fêtes Aurélien Lafenêtre. (Photo Serge Chantre).

- Les fêtes locales 2017 – Vendredi : Banda « Los Alegres »


Samedi et dimanche : Podium « Insomnia ».

Séance de « Paquito » le vendredi soir, 18 août des fêtes 2017. Pdts comité des
fêtes, Aurélien Lafenêtre, Kevin Renon. (Photo Serge Chantre).

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Les amis de Marion Benquet étaient déchainés en ce soir de ripaille. (Photo
Serge Chantre).

Le vin d’honneur sous les ombrages.

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Le vin d’honneur du dimanche midi, 20 août des fêtes 2017. Pdt comité des
fêtes Kevin Renon. (Photos Serge Chantre).

Une autre tablée réjouie sous les ombrages.

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Une petite trêve pour le comité lors du vin d’honneur du dimanche 20 août des
fêtes 2017. Pdt comité des fêtes Nicolas Hort. (Photos Serge Chantre).

- Les Fêtes locales 2018.

133
- Les Fêtes locales 2019 - Vendredi : Banda « Folies Banda »

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Samedi et dimanche : Podium « Insomnia ».
Vendredi pendant l’apéritif précédant le repas animé par la banda « Folies
Banda ».

Vendredi, le repas a commencé et la banda va enflammer l’ambiance.

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Plusieurs vues du repas du vendredi 16 août 2019, animé par la banda « Folies
Banda ». Pdt du comité des fêtes Nicolas Hort. Une tablée du repas du
vendredi soir 16 août 2019. (Photo Serge Chantre).

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« Folies Banda » en action pendant le repas du vendredi soir 16 août 2019. 250
convives ont apprécié la musique et l’excellent menu, préparé par les anciens
ci-dessous et servi par les jeunes du comité des fêtes. Pdt du comité des fêtes
Nicolas Hort. (Photo Nicolas Hort).

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Les cuisiniers ont préparé au mieux le pavé de bœuf tendre et savoureux à
souhait et les frites qui l’accompagnaient. De g à d : Marc Bazet, Serge Zurita,
Loïc Rey, Gaël Bazet. Pdt du comité des fêtes Nicolas Hort. (Photos Serge
Chantre).

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Cérémonie du souvenir du dimanche 18 août 2019. La gerbe déposée par
Matthias Gautier.( Photo Serge Chantre.)

La minute de recueillement devant le monument aux morts. (Photo Serge


Chantre).

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La « Marseillaise » jouée par la banda « Zig-Bilh » de Lembeye. (Photo Serge
Chantre).

Le maire Michel Chantre, au centre, durant son intervention. (Photo Serge


Chantre).

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Fêtes 2019. Une partie du comité des fêtes avant la sérénade. Pdt du comité des fêtes
Nicolas Hort. (Photo Serge Chantre).

La bande de Lembeye « Zig-Bilh » anime l’apéritif-concert du dimanche 18 août


2019. (Photo Serge Chantre).

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Recherches et écriture par l’association JADE (Jadis, Aujourd’hui, Demain) de
Simacourbe (2021).

- Pas de fêtes locales en 2020 à cause de la pandémie de COVID


19.
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- Les fêtes locales 2021 –

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Les membres du comité Sarah Malechaa, Mathis Débat et Nathan Renon
s’affairent dans la préparation de l’enceinte bouclée destinée à recevoir les 180
inscrits pour le repas et les « festayres » dans le cadre de la jauge sanitaire
fixée à 550 personnes pour la soirée.

Les techniciens du podium en phase de réglage.

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De g à d : Méline Ducoin, Kévin Renon, Virginie Barbé, Nicolas Hort, Aurianna
Broucaret, Héléa Ducoin, Margo Salent, Mathilde Hort, Aurélien Bouissou,
Marie Hourticot, Louis Bonnemason, Nathan Renon, Mathias Gautier, Thomas
Renaulaud, Honorine Roques.

Une vue d’ensemble

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Le podium

Les premières entrées.

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Le flot s’épaissit !

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Tout est paré y compris la couleur des nuages qui semblent s’adapter aux
couleurs des feux envoyées par le podium !

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Les personnes s’installent pour le repas animé par « Folies Banda ». Le repas a
été préparé par Marc Bazet et Frédéric Debat.

Avant de s’asseoir, un petit apéritif entre amis.

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« Folies Banda » en action.

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La soirée pour les « jeunes » commence avec l’animation orchestrée par
le podium toulousain « Pro-Night ». Puissants projecteurs de lumière laser,
feux d’artifice, décibels, ambiance, tout pour satisfaire un jeune public, sevré
de sorties depuis plus d’une année.

La soirée remarquablement organisée par le comité présidé par Nicolas


Hort a su conjuguer l’envie de se retrouver autour d’une table pour les moins
jeunes, les « fourmis dans le jambes et dans la tête » de la jeunesse, les
contraintes sanitaires, l’obligation du PASS sanitaire et la nécessité de faire
respecter les directives gouvernementales et préfectorales en s’adjoignant la
présence de quatre vigiles qui ont eu la tâche de contrôler avec doigté et
fermeté toutes les entrées, facilitant ainsi le bon déroulement d’une
manifestation festive qui fera date à Simacourbe.
En suivant ; plusieurs photos de cette soirée ! (Photos Nicolas Hort, Thomas
Renaulaud et Jean-Michel Renon)

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Fabien Rey, Helea Ducoin et Mathias Gauthier sur scène.

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Plusieurs photos du feu d’artifice.

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Le dimanche, la messe, célébrée en l’église Notre-Dame-de-la-Rencontre par le
père Anastase, le recueillement s’achevait devant le monument aux morts par
un dépôt de gerbe par deux membres du comité.

Après la cérémonie devant le monument aux morts, autour du maire de


la commune Michel Chantre, empreinte de solennité et de simplicité à la
mémoire des jeunes hommes de Simacourbe et Moncaubet tombés au champ
d’honneur de la guerre de 1914/1918 et 1939/.1945, un vin d’honneur, offert par
le comité des fêtes et la commune, réunissait les présents leur permettant de
fêter ces deux journées bien singulières où, le mot COVID était sur toutes les
lèvres, sous des visages masqués. Une fête qui fera date !

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À l’intérieur de l’Escape Game.

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Pour remercier tous les bénévoles qui ont contribué au bon déroulement des
fêtes et à son succès, le comité des fêtes s’est octroyé un moment de détente à
Pau à l’Escape Game et de réconfort, autour d’une bonne table.

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- Les fêtes locales 2022 –

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Simacourbe : les fêtes
approchent

Le comité des fêtes autour du président Mathias Gauthier, troisième en partant


de la droite, casquette à l’envers.

PUBLIÉ LE 11 AOÛT 2022 À 11H42.

Le programme des fêtes des 19, 20 et


21 août a été bouclé.
Les fêtes du village auront lieu les 19, 20 et 21 août prochains.
Le jeune comité des fêtes a arrêté le programme, que voici :
- Vendredi 19 août : 19h30, apéritif animé par « Folies
Banda » ; 20h30, dans la salle polyvalente, repas beefstakade
sur réservation (15€ pour les adultes, 6€ pour les enfants) ;
23h, concert avec le groupe Pickup sur la scène de « ProNight
Discomobile ».

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- Samedi 20 : 14h30, concours de pétanque en doublette sur le
boulodrome du fronton (10€ par équipe). 19h30, apéritif du
comité.
20h30, repas moules-frites pour 6€ ; 23h30, bal animé par le
podium toulousain « ProNight Discomobile ».
- Dimanche 21 : 11h, messe solennelle en l’église du Carmel.
12h, cérémonie au monument aux morts. 12h15, vin
d’honneur offert par le comité et la municipalité.
Infos et réservations : Margo (06 17 94 16 21) ou Mathias
(07 86 51 88 50).

Simacourbe : vendredi, les


fêtes commencent

Une vue des fêtes de 2021.

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PUBLIÉ LE 16 AOÛT 2022 À 10H37.

Les réservations pour le repas sont encore


possibles.
Après un millésime 2021 sous surveillance mais réussi, les
festivités 2022 s’annoncent sous de meilleurs auspices.
Elles débuteront ce vendredi avec une mise en bouche
apéritive qui sera servie dès 19 h 30, sous la conduite de Folie
Bandas, formation animatrice de la première partie de la
soirée.
À 20 h 30, la fête se poursuivra avec le repas d’ouverture, en
extérieur, avec melon, jambon, steak grillé assorti de frites,
fromage, glace, café et vin compris, pour 15 € pour les adultes
et 6 € pour les enfants.
À 23 h, le groupe Pick-Up prendra la suite sur le podium de
ProNight Discomobile et mettra l’ambiance pour la nuit.
Réservations pour le repas : Margo au 06 17 94 16 21 ou
Mathias au 07 86 51 88 50.

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PUBLIÉ LE 19 AOÛT 2022 À 15H37.

Les fêtes entament leur seconde journée ce


samedi 20 août, pour se terminer dimanche.

Après la soirée festoyante et électrique de ce vendredi


19 août, les fêtes entament leur seconde journée samedi pour
se terminer dimanche.
Au programme de ce samedi 20 août : à 14 h 30 tournoi de
pétanque en doublettes (10 € par équipe), doté de nombreux
lots ; 19 h 30 apéritif du comité suivi du repas moules-frites
pour (6 €) ; 23 h 30 bal animé par le podium toulousain
« ProNight Discomobile ».
Dimanche : à 11 h messe solennelle en l’église du Carmel
Notre-Dame de la Rencontre ; 12 h cérémonie au monument
aux morts ; 12 h 15 vin d’honneur offert par le comité des
fêtes et la municipalité.

Contacts, inscriptions : Margo au 06 17 94 16 21 ou Mathias


au 07 86 51 88 5 ou comité des fêtes Simacourbe sur
Facebook, Instagram et TikTok.

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Vendredi 19 août, l’apéritif d’ouverture des fêtes 2022

Avec la banda « Folies Banda » qui s’est surpassée pour embraser cette avant-
soirée.

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Les gens s’installent autour des tables avant de savourer le repas.

Le repas pour plus de trois-cent-vingt convives dans une atmosphère sereine


d’une douce nuit d’été.

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Et « Folies Banda » enchaîne, « Paquito », « Les Fêtes de Mauléon » et tant
d’autres tubes propres aux fêtes du Sud-Ouest.

Ce qui a le don d’exciter les festayres.

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Tandis que la majorité lève la fourchette et le verre à la santé des fêtes.

Autre vue de la salle de restaurant en plein air.

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Autre vue de la salle de restaurant en plein air.

Autre vue de la salle de restaurant en plein air.

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L’orchestre « Pick-Up » a pris possession de la soirée sur le coup de 23h15. Et,
dès l’entame, le rythme, la sonorité de la percussion, les basses et les aigus
des guitares électriques, quelques larmes d’accordéon, les airs anglo-saxons
mêlés à la voix chaude de la chanteuse et à son déhanché confirmaient la
tendance folk-rock de la soirée. Une belle idée d’avoir embauché un orchestre
pour le vendredi et un podium pour le samedi !

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Les musiciens de l’orchestre « Pick-Up » ont donné le meilleur d’eux-mêmes.

Quarante-huit doublettes se sont affrontées sur le boulodrome du fronton.

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Dans la nuit simacourbaise de ce samedi 20 août, le podium étincelle.

Autre vue

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Pour certains, le spectacle vaut bien une pause.

Le disc-jockey enflamme la piste.

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La jeunesse adore tous ces jeux de lumière mêlés aux décibels de la sono.

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Le podium « ProNight Discomobile» en délire !

DES FÊTES TRÈS RÉUSSIES


La Mairie de Simacourbe tient à saluer la réussite du Comité des Fêtes
Simacourbe pour l’organisation de ces trois jours de festivités, où la
convivialité et la joie de se retrouver étaient les maîtres mots de ce week-end
festif.
Plus de 640 repas servis sur le week-end et une forte affluence aux
animations bandas, orchestres et sonorisations.

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- Novembre 2022 – Le comité fait le bilan des fêtes.

- Pour les membres du comité des fêtes, autour de leur président


Mathias Gauthier, rien de vaut, dans une ambiance conviviale, une bonne table
dressée cette année au « Relais des Vignerons » à Diusse, pour faire part du
bilan très positif des festivités 2022, se réjouir du succès mais aussi, de la
sérénité exemplaire de la manifestation.

Documentation, en 2021, recherches et écriture par l’association JADE (Jadis,


Aujourd’hui, Demain) de Simacourbe. Actualisé en décembre 2022.

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