La maternité est aujourd’hui perçue comme le meilleur moyen de reproduction des

êtres humains.

Dans nos sociétés ce thème est considéré comme une obligation pour les uns (dans nos
villages et tribus) et comme un choix pour les autres (nos sociétés actuelles).

Dans ce travail, nous exposerons les idées des quelques différents grands auteurs
féminins à l’occurrence Simone de BEAUVOIR, Yvonne PELLE DOUELLE et Ousmane
SEMBENE. Nous donnerons par la suite notre point de vue sur ce thème.

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1. Pour Simone de BEAUVOIR

L’auteur de la maternité n’était pas mot lot, la maternité n’est pas une vocation pour la femme
moins encore une préoccupation primaire. Elle définit la maternité comme étant un frein à la
vocation humaine de la femme en général. Dans son cas, se serait un frein à sa carrière
d’écrivain. En conclusion, pour Simone de BEAUVOIR, la maternité ne doit pas être l’objectif
principal de la vie de la femme.

2. Pour Yvonne PELLE-DOUELLE

L’auteur soutient l’idée que la maternité n’est pas une obligation pour la femme mais
plutôt un choix libre et volontaire. En effet, l’auteur voit plutôt une société où la femme n’est
pas un instrument de plaisir sexuel, ni une machine de reproduction ce qui est le cas dans
plusieurs de nos sociétés africaines (villages) ; mais plutôt un être vivant libre et égal à
l’homme, ayant accès aux mêmes privilèges et droit que l’homme.

3. Ousmane SEMBENE

L’auteur se base sur le respect des valeurs de la femme parce que c’est d’elle que
découle toute grandeur.

4. Notre point de vu

Depuis trop longtemps dans nos sociétés et villages, la femme a été considérée comme
être inférieur à ‘homme, comme un outil de plaisir sexuel, comme une machine destinée à la
procréation, comme un instrument de travail pour des travaux champêtres, des tâches
ménagères, etc.

En limitant ses droits d’accès à l’instruction, la femme n’avait plus qu’une seule option
pour sa vie à savoir, la maternité.

De nos jours, avec l’avènement de la parité et l’égalité pour tous, la femme commence
à intégrer petit à petit la société en réclamant ses droits les plus légitimes qui lui ont été
longuement privés.

Par exemple dans le domaine politique en RDC, pour la première fois une femme fut
président de l’assemblée nationale en occurrence l’honorable Jeannine MABUNDA.

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 Plusieurs auteurs ont lutté contre l’idée que la femme a pour principal objectif dans sa
vie la maternité. Dans les précédentes lignes on a vu que pour Simone par exemple, la maternité
n’est pas une obligation mais plutôt un libre choix. Même chose qu’Yvonne qui s’aligne dans
le même ordre d’idée et soutien aussi l’idée qu’on ne né pas mère mais on choisit de le devenir.

Après ce large tout d’horizon, nous estimons que la maternité ne s’impose pas mais
c’est plutôt un choix libre et volontaire.

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