Résumé de l’œuvre Une Vie de Guy de Maupassant

Jeanne est une fille issue d’une famille noble et très respectée. Elle passa la majeure partie de
son enfance dans un couvent ou elle reçue une éducation sainte et droite ; ce jusqu'à ses dix-
sept ans. Dès l’entame de cet œuvre, on la vit tout excitée a l’idée de devoir quitter le couvent
afin de retrouver les siens après plusieurs années d’absence. Son père, le baron vint la
chercher et la ramena au château. Apres quelques jours, ils reçurent la visite du vicomte de
Lamare nommé Julien. Ce fut un jeune homme beau et apprécié par le baron et son épouse.
Très vite, il tomba sous le charme de la magnifique et ravissante Jeanne et les fiançailles se
firent. Par la suite, ils organisèrent une grande cérémonie de mariage. Comme tout mariage
digne de ce nom, une nuit de noce s’impose une fois la célébration terminée. Mais ce ne fut
pas une tâche facile pour un Julien qui voulut veiller au respect de cette loi et pour une Jeanne
qui apparemment ignorait l’existence de cette loi. Toute la nuit, il essaya tant bien que mal
d’accomplir son devoir marital ; mais Jeanne en était confuse car tout ceci fut nouvelle pour
elle qui venait de sortir du couvent. Il finit par abandonner et s’endormit. Quelques jours
après, ils firent un voyage de noce pendant deux mois ; loin de leurs connaissances. Pendant
ce voyage, Jeanne découvrit peu à peu les secrets et intimités du mariage et s’en accommoda
très rapidement. Une fois leurs voyage de noce terminé, ils rentrèrent chez eux ou les
attendaient les gens qui avaient de l’estime pour eux. De retour de ce voyage, les choses
furent différentes pour Jeanne ; elle se sentait différente de celle qu’elle avait été avant son
voyage. A partir de ce moment-là, elle ne ressentit plus aucun sentiment de joie, ni de
bonheur. Quand a Julien, il adopta un comportement autre que celui d’avant ; il se négligeait,
n’eut presque plus d’amour et ne ressentit presque plus aucun désir pour cette femme qu’il
adorait tant. Par la suite, le baron et la baronne s’en allèrent dans une autre propriété et
laissèrent le jeune couple déguster leur amour librement. Quelque temps après, ils
constatèrent la grossesse de leur bonne du nom de Rosalie. Julien voulut l’éjecter hors de la
maison ; mais Jeanne, pour l’amour et l’estime qu’elle portait pour cette fille avec qui elle
avait passé son enfance, refusa et voulut en même temps connaitre le père de cet enfant.
Rosalie à chaque fois hésitait et puis, vint le jour ou l’enfant naquit. Un soir, alors que Jeanne
se rendait dans la chambre de son époux parce qu’elle ne se sentait pas bien, elle rencontra
Rosalie blottie contre Julien. Cette découverte la rendit folle au point où elle eut des pertes de
mémoire instantanées. Suite à cet incident, les parents de Jeanne virent pour s’en quérir de
l’état de leur fille. Là, ils apprirent la vérité sur la grossesse de Rosalie ; c’était Julien qui en
était l’auteur d’après la bonne et cette relation avait duré ce depuis sa première visite au
château. Jeanne fut exaspérée par cette nouvelle et en voulut a mort a son époux qui était
l’auteur de sa grossesse et en même temps de celle de sa bonne. Le curé vint et apaisât la
situation qui prenait déjà une toute autre tournure. Quelques temps après, Rosalie quitta la
maison et s’en alla. Jeanne qui ne pouvait pas absoudre a la trahison faite par son époux, ne
ressentait plus aucun amour pour cet homme pour qui elle avait tant d’affection autrefois. Un
soir, un dénommé Désiré Lecoq vint et demanda Rosalie en mariage. Puisqu’il n’était pas
comme on le dit souvent «  né avec une cuillère en or dans la bouche », le baron leur offrit
une somme de vingt mille francs et une ferme afin qu’ils puissent y vivre et y pratiquer des
activités qui leur permettra de survivre. Jeanne fut paisible pour un temps ; mais cela ne fut
que de courte durée. Sa mère, contre toute attente mourut et laissa Jeanne dans une nouvelle
tristesse qui la pousserait dans une série de question sur l’injustice de la vie. Peu de temps
après la mort de sa mère, elle craignit qu’un danger puisse arriver à son fils Paul ; donc, par
anticipation, elle voulut faire un autre enfant. Mais cette décision fut des plus difficiles vu sa
situation actuelle avec son époux. Conseillée par l’abbé, elle simula une grossesse car son
mari ne voulant plus faire d’enfant. A force d’en parler tout le temps, il se fit à l’idée et
continua ses activités sexuelles avec sa femme sans y prendre des précautions. Cela a marché
comme l’abbé l’avait prévu et Jeanne tomba enceinte pour de vrai cette fois ci. Quelques
temps après, elle accoucha d’une mort-née. Et Julien mourut par la suite. Jeanne, voyant son
monde s’écrouler autour d’elle, dirigea toute son amour et son affection vers son fils Paul.
Tant elle l’aima qu’elle refusa qu’il aille au collège de peur de le perdre ; mais ramenée a la
raison par son père et ses proches, elle se fit a l’idée que tout cela était pour le bien du petit.
Paul n’avait pas une conduite exemplaire au collège ; il n’allait plus au collège tous les jours,
il ne visitait que sa famille rarement. En fait, il avait totalement changé. Sa mère essaya tant
bien que mal de le remettre sur le droit chemin, mais il s’entêta. Il avait porté disparu avec
une fille qu’il aimait et écrit de temps en temps de petites lettres à sa mère soit pour la
rassurer qu’il allait bien, ou pour lui demander un peu d’argent sur l’héritage laissé par son
père dont il en aura le total usufruit a l’âge majeur. Mais tout ce qui comptait pour sa mère,
c’était qu’il ne l’avait point oubliée ; et en même temps elle exécrait cette fille qui lui avait
pris l’amour de son fils. De temps en temps, celui-ci demandait sans cesse de l’argent. Le
baron eut à hypothéquer quelques de ses fermes afin de faire plaisir à cet enfant ; mais à
chaque fois il en demandait toujours plus. Par la suite, le baron mourut à son tour et laissa
Jeanne dans un autre chagrin qui commençait à faire partie intégrante de sa vie. Rosalie, dont
le mari avait aussi rendu l’âme, revint au château et ce définitivement. Son retour changea
beaucoup de chose ; elle contrôla ses dépenses, l’argent qu’elle envoyait a Paul. Elle suggéra
à Jeanne de vendre le château si elle ne voulait pas se retrouver sans un radis dans les jours à
venir. Cette idée lui déplut fortement, mais voyant la réalité en face, elle accepta et le vendit.
Avec l’argent obtenue lors de la vente, elle acheta une nouvelle maison. Elle fut aidée pour le
déménagement de ses affaires par Denis ; le fils unique de Rosalie ; celui qu’elle avait eu
avec Julien. Il était travailleur et persévérant. Le déménagement se fit donc et elle aménagea
dans sa nouvelle maison avec sa bonne. Une fois la- bas, inquiète par le silence de Paul, elle
lui écrivit une lettre annonçant son arrivée ; mais il ne fit aucun signe de vie. Jeanne décida
donc de le retrouver à Londres. Elle fut surprise dès son arrivée car il avait déménagé. Puis,
peu de temps après, elle reçut des plaintes à propos des multiples dettes de Paul. Ensuite, sous
la recommandation de Rosalie, elle revint chez elle toute déçue. Elle culpabilisa, n’était plus
elle-même. Des jours après, elle reçut une lettre de son fils lui annonçant la naissance de sa
fille, la maladie de sa compagne, et sauta sur l’occasion pour lui demander un peu d’argent
comme toutes les autres fois d’ailleurs. Mais Rosalie s’y opposa ; elle prit donc la décision
sous le consentement de Jeanne d’aller chercher cet enfant craignant le pire. Elle voyagea
donc et revint avec la petite. Elle annonça par la même occasion la mort de la femme de Paul
puisqu’elle avait tout mis en œuvre pour qu’ils se marient avant sa mort. Jeanne reçut donc
l’enfant avec amour et s’en réjouit fortement.

Written by STEVE WAMBO