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Laurelle Ngako

LE
VIEPARCOURS D’UNE
Tome 1

B.D.C EDITION
BAFOUSSAM
2020
Biographie de l’auteur
Laurelle Ngako est une jeune écrivaine
Camerounaise née en 2002 à
Bafoussam dans le département de la
MIFI à l’ouest du Cameroun. Elle a fait
ses études primaires au complexe
privé Odilias et poursuit toujours ses
études secondaires au lycée bilingue
de Bafoussam en classe de Terminale allemande bilingue. Agée
seulement de 17 ans, elle est membre de club journal et du
club art de son établissement et participante aux émissions «
youths on the world » et « fréquence laser » tous deux
diffusés sur la chaine de radio régionale « POALA FM ». Elle
est l’unique fille de ses parents et l’heureuse cadette de trois
garçons. Elle est passionnée par la musique et a fait
partie du groupe « Die Afrikanische Princesse ». Elle est
aussi à la tête de sa propre entreprise « Beauty Design
Company » qu’elle a créé en 2018 avec l’aide sa meilleure
amie : Farelle Ewoudou. « Le parcours d’une vie » est sa
toute première œuvre ; il raconte l’histoire d’une jeune
femme prénommée « Luciana » dont la vie commence
à changer lorsqu’elle quitte son pays natal et sa famille
accompagnée de sa cousine « Olivia » pour poursuivre ses
études à ATLANTA dans l’état de Géorgie aux U.S.A. La vie de
cette jeune femme est remplie de haut et de bas. S’en sortira-t-
elle ? Lisons pour le savoir.
DEDICACE AUX
AFRIKANISCHE
PRINCESSE ET A WINNIE
Liste des personnages principaux :
Luciana Torretto ; Olivia Torretto ; Cameron Calloway ;

Riggie Won Calloway ; Melissa Won ; Marie-charlz Calloway ;

Cassandra Calloway ; Julius Calloway ; Ryan Gabriel Walker ;

Daphné Johnson ; Bay Johnson ; Zoé Gabriella Walker ;


CHAPITRE 1 :
Quand j’étais enfant dans l’ouest du pays, ma mère malgré le
fait qu’elle n’avait pas suffisamment de temps pour s’occuper de mes
trois frères et moi, nous faisait souvent part de quelques proverbes.
Par exemple, « si je savais viens toujours trop tard », « qui conjugue
son présent au brouillon retrouvera son futur à la poubelle », « la vie
n’est pas rose »… Parmi tous ses proverbes, trois ont marqués m’ont
existence et ont forgés mon caractère même si étant petite fille,
j’avais beaucoup de mal à les comprendre. Premièrement, « la
vengeance est un plat qui se mange froid » ; deuxièmement, « un
démon est un ange qui a été chassé du ciel » et troisièmement, «
l’on ne comprend la valeur d’une chose que lorsqu’on ne l’a plus ».
Je suis une fille plutôt simple avec mes cheveux crépus que
j’aime beaucoup parce qu’il me donne un style particulier. Je
m’habillais presque toujours en pantalon accompagné d’un pull,
d’un teeshirt ou d’une veste. Quesque je pouvais bien y faire…
c’était mon style et je l’aimais.
Si vous avez ce bouquin dans les mains, cela signifie que ma vie
vous intéresse. Je me trompe ? Certainement non. Alors laissez-moi
éclairer votre lanterne.
« Je m’appelle LUCIANA TORRETTO et voici mon histoire. »
CHAPITRE 2 :
Etant née d’une famille aisée sur le plan financier, physiquement
je ne manquais de rien mais psychologiquement, il y avait un gros
vide. D’abord ma mère, Julia Torretto est une femme très stricte.

Elle n’avait pas de temps pour mes trois frères et moi, elle
travaillait tout le temps, quittait beaucoup le pays pour des missions
monétaire, bref elle n’était presque jamais là. Ensuite, je n’avais pas
de sœur avec qui jouer à la poupée, à la marelle ou à d’autres jeux
de petites filles. Et enfin, j’étais la cadette de trois garçons, d’abord
les jumeaux Alfredo et Humberto Torretto.

Et ensuite mon ainé direct, Camillo Torretto.


Les trois me menaient la vie dure. Vous devez bien vous imaginer
qu’une fille au milieu de trois garçons, pire encore étant la cadette,
n’est pas évident à vivre. Mais si vous n’arrivez pas à comprendre
pourquoi ce n’est pas évident parce que vous n’êtes jamais passés par là
ou que vous ne connaissiez personne qui soit passé par là, je vais vous
l’expliquer. Alfredo me prenais pour son ballon de football, Humberto
comme sa testeuse de champoing et de tous ses produits pour le corps
pour éviter que ça n’ait d’effets secondaires sur lui, Camillo, lui, ne me
voyais juste pas, pour lui je n’existais même pas. Quand j’avais trois ans
je m’efforçais d’être une petite fille normale malgré tout ça, j’aimais
beaucoup les dessins animés, les jouets, j’étais calme, douce et gentille,
enfin bref j’étais juste normale. Mais c’est impossible de rester normale
lorsque t’a trois frères comme ceux que j’ai. C’est un peu comme si on
balance une souris au milieu de vipères, la pauvre souris n’a pas le choix
que de se transformer en une autre espèce de vipère encore plus
dangereuse pour espérer survivre.
Je me suis transformé en garçon et j’ai bien réussi ma
transformation. Je suis devenue chiante, agaçante, insolente et
agressive. Mes films préférés sont devenus ceux d’horreur, j’en étais
fascinée. Depuis ce temps-là c’est comme ça que je suis. Certains
camarades au primaires me traitaient très souvent de sorcière mais ça
ne me gênais pas du tout, au contraire j’en étais fière et je prenais sa
pour un compliment. A vrai dire je me fichais pas mal de ce qu’on
pourrait penser de moi, je n’étais qu’une gamine alors pourquoi m’en
faire. J’adorais aller à l’école en teeshirt avec ma bandoulière et ma
mère me tressais les cheveux. Je regardais très souvent les gens de
haut et j’en profitais pour être insolente.
CHAPITRE 3 :
Etant donné que j’étais devenue comme eux, mes frères
commencèrent à m’apprécier. Nous étions devenus inséparables.
Notre père Emilio Torretto, est un homme charismatique, beau, élégant
et surtout souciant du bien-être de ses enfants.

Il n’était pas vraiment content de la situation ; il aurait souhaité que


moi, Luciana, étant son petit rayon de soleil, la petite princesse de la
maison, que je me conduise comme tel et non comme un des soldats
de la cour (mes trois frères). Pour cette raison, il demanda à son frère
Mauricio Torretto de lui envoyer ses 02 filles pour quelques temps,
comme ça elles pourraient me tenir compagnie.
Mon oncle Mauricio est un homme très beau (comme tous les
membres de ma famille), bon et surtout très préoccupé par le
boulot.
Je n’ai pas connu sa femme puisqu’elle est morte en donnant
naissance à sa deuxième fille ; depuis lors il ne s’est pas remarier et
a trouvé consolation dans le travail pour pouvoir offrir à ses deux
filles tout ce que leurs cœurs désiraient même si cela signifiait
n’être presque jamais là.
Deux semaines plus tard, Gabriella et Olivia Torretto, mes
cousines, arrivèrent et s’installèrent chez nous.
Pour un début, Gabriella était insupportable avec ses airs de diva,
mais je dois avouer qu’elle était vraiment très belle avec sa peau
claire, ses yeux noirs et ses longs cheveux bruns; elle était une vraie
mini bimbo.

Olivia était très différente de sa grande sœur, elle était


adorable, gentille et surtout très calme même si elle était moins
belle que Gaby et plus noir qu’elle.
Je trainais beaucoup plus avec Olivia ; je l’aimais beaucoup parce
qu’on avait le même âge avec un jour d’écart et qu’on s’entendait à
merveille. Olivia m’a légèrement changer, pour un début ; mais vous
savez ce qu’on dit : « mauvaise compagnie… ». Apres quelques mois
passés avec nous, Gabriella et Olivia ont commencée à changer et à
s’endurcir. Elles étaient comme moi mais moins bizarres et plus
féminines. Gabriella est devenue surtout très sournoise, malgré son
jeune âge, elle utilisait souvent sa beauté pour obtenir des faveurs
ou de l’argent de la part des petits garçons de sa classe au primaire.
Nous avions une famille vraiment spéciale, pas seulement à cause de
sa richesse mais aussi à cause de ses membres et de son histoire,
vous comprendrez plu tard à quoi je fais allusion.
CHAPITRE 4 :
Les années passèrent, environ 9 ans. Nous n’étions plus ces petits
enfants de 12 ans (pour Alfredo et Humberto), de 08 ans (pour
Camillo), de 06 ans (pour Gabriella) et de 05 ans (pour Olivia et moi).
Maintenant nous étions grands, beaux, prédateurs attentionnés et
professionnels de la drague (juste les garçons). Ma mère, Julia
Torretto fut affectée dans le littoral du pays trois ans plus tard; nous
dûmes donc tous déménager.
Nous avons emménagé chez le deuxième petit frère de mon
père qui habitait cette région, mon oncle Georges Torretto et sa
femme Valeria.

Ils avaient une de ces maisons hyper grandes, luxueuses et super bien
équipées, il y avait même une salle de sport et une salle de jeux ;
bref, il y avait tout pour s’y plaire et être alaise. Oncle Georges et sa
femme Valeria avaient trois enfants, Trevor qui avait 20 ans comme
Camillo
Et les jumelles Anne et Angel qui avaient 18 ans comme Olivia
et moi. Elles se ressemblent mais pas comme deux gouttes
d’eaux comme mes frères.

Nous menions une vie presque parfaite même si de temps à autre


il y avait des bagarres à propos de tout et de rien ; nous nous y
sommes habitués. Les filles avaient 3 chambres et les garçons en
avaient 2 ; comme ma tante Valeria le disait, chaque paire de
jumeaux avait droit à une chambre. Gabriella était la seule qui
possédait sa propre chambre parce qu’elle n’avait ni jumeau, ni
correspondant en âge dans la maison et que personne n’était assez
fou pour accepter de partager une chambre avec elle ; tout le
monde tenait beaucoup trop à sa vie.

Un peu plus tard cette année-là, oncle Mauricio fut assassiné si


sauvagement et cruellement que nous ne pûmes voir son corps
avant l’enterrement. Il fut tué lors d’un voyage d’affaire à Mexico ;
quel genre d’affaire, ça nous l’ignorions, du moins nous les
enfants mais tout ce dont je me souviens c’est d’avoir malgré moi
surpris une conversation entre mon père et oncle Georges ou
ils programmaient une vengeance contre un certain Dimitrio Del
Patronne qui vivait à mexico. Je n’y ai pas prêté plus d’attention
que sa à ce moment-là,
pour moi s’était un peu comme remué le couteau dans la plaie
comme on le dit chez nous.

Cette même année, Alfredo et Humberto quittèrent le pays en


direction de paris, la capitale de la France pour « continuer leurs
études » (nous les enfants étions persuadées de cela).
Jusqu’aujourd’hui, je ne sais toujours pas quelle filière ils faisaient
à Paris ; je ne sais même pas s’ils avaient vraiment y été envoyé
pour l’école ou pour autre chose que j’ignorais.

Nous autres, nous fumes inscrit à « Royal’s Place », une école de


bourgeois située au centre de la ville. Nos parents mirent une
Avanza 7 places à notre disposition pour aller à l’école. Nous étions
les plus populaires de l’école surtout parce que nos parents étaient
hyper giga riches.
CHAPITRE 5 :
Camillo et Trevor avaient pris deux chemins totalement opposés au
début de cette année-là. Camillo devint un hors la loi, il était à la tête
du gang le plus redouté de la ville, il commença même à dealer de la
drogue ; étant donné qu’il ne voulait plus continuer ses études malgré
le fait qu’il soit en terminale, ma tante Valeria et ma mère jugèrent
bon de l’envoyer à l’étranger pour qu’il puisse se débrouiller dans le
business, mon père et oncle Georges finirent par choisir le Mexique non
seulement parce qu’ils voulaient perpétuer l’héritage familiale que leur
pères leurs avait transmis (le fameux et très célèbre cartel Torretto
qu’ils avaient abandonné pour pouvoir élever leurs enfants ) mais aussi
parce que Camillo faisait pression sur eux, il disait pouvoir se débrouiller
plus facilement là-bas et que là-bas il deviendrait facilement milliardaire
comme notre grand père le légendaire Eduardo Torretto.

Trevor quant à lui fini normalement ses études et eu son


baccalauréat et obtenu une mention excellente puis il alla à Montréal
au Québec pour continuer ses études.
Plus la maison se vidait de garçon, plus elle devenait nase. La
maison n’appartenait plus qu’aux filles. Désormais, nous avions chacune
notre propre chambre, plus question de partager donc s’était très
difficile de nous voir ensemble. On se voyait juste pour le petit
déjeuné, aller à l’école, rentrer de l’école et le diner en famille ;
appart ça, nous n’étions jamais ensemble.

Nous ne nous entendions pas vraiment avec ma mère et ma tante


Valeria, elles avaient beaucoup trop de règles et étaient trop strictes
envers nous et le pire c’est qu’elles passaient tout leur temps à nous
crier dessus. A cause de tous cela, nous avions toutes hâtes de quitter
la maison. Un an plus tard, Gabriella était déjà en terminale et nous
autres (Olivia, Anne, Angel et moi) étions toutes en première. Nous
espérions en finir rapidement, quitter enfin cette prison dorée et
commencer une nouvelle vie ailleurs, loin de nos parents et surtout
loin des lois. Nous allions enfin goutées à la liberté absolue.
CHAPITRE 6 :
Hors mis la vie familiale, j’avais un petit ami, jack ; mais cela n’a
pas duré longtemps. Il était plutôt cool lorsqu’il était d’humeur mais
la plupart du temps il ne l‘était pas, il était plutôt capricieux,
jaloux, orgueilleux, arrogant et trop sûr de lui. J’ai eu marre de
son comportement et on a rompu. J’avais bien grandi
depuis tout ce temps mais je n’avais pas changé tant que ça.
J’avais toujours mon sal caractère, ma manière étrange de
m’habiller et mon air hautin. Lorsque t’essayait de te frotter à
moi, juste mon regard te faisait dégager sur le champ.

A l’école, tout le monde nous surnommaient les « jumelles »


Olivia et moi parce que nous étions de la même famille et nous
n’avions qu’un seul jour d’écart.

Gabriella était la fille la plus populaire et la miss de l’école, elle


sortait avec « Samuel », le mec le plus riche, le plus populaire et le
plus beau de l’école ; toutes les filles enviaient Gabriella, non
seulement à cause de sa beauté mais aussi à cause de son petit
ami et de son rang social, elles voulaient toutes être à sa place
même si s’était carrément impossible. Gabriella profitait de toute
cette attention pour paraitre encore plus belles qu’elle ne
l’était déjà.

Anne de son coté, aveuglé par sa jalousie, essayait sans relâche


de prouver à tout le monde qu’elle était meilleure que Gabriella
dans tous les domaines mais elle n’a jamais réussi, dès qu’elle
trouvait un moyen de se faire admirer, ses efforts était réduit à
néant face à la riposte de Gabriella qui tenait à son titre et à sa
réputation. Anne s’habillait toujours hyper classe, chic et sexy
avec un maquillage parfait mais cela ne servait pas à grand-
chose, elle gardait toujours la seconde place. Angel quant à elle
n’agissait pas comme sa jumelle, elle vivait sa vie tranquillement
et se foutait de ce que les gens pouvaient penser d’elle ; elle
était capitaine de la troupe de danse hip-hop pro de notre
établissement et sortait avec « Nelson », le
capitaine de l’équipe de foot. Elle s’habillait assez simplement,
pas trop maquiller et ne portant presque pas de bijoux.

Olivia, confectionnait tous les costumes des différentes pièces de


théâtre à l’école, elle était fascinée par la mode et la couture ; elle
sortait avec « Daniel » le président des délégués de classes de
l’école. Elle était super jolie mais n’avait pas suffisamment confiance
en elle donc elle préférait rester dans l’ombre de Gabriella.

Gabriella réussi son baccalauréat avec Brio cette année-là, mais


elle décida de passer d’abord un an comme mannequine dans la
maison de couture de ma tante Valeria en attendant que nous
ayons toutes notre baccalauréat pour pouvoir quitter la maison
ensemble. Gabriella présentait toutes les nouvelles collections de
tante Valeria dans des cérémonies prestigieuses et aux différents
tapis rouge.

Les efforts de Gabriella furent récompenses puisque nous avons


toutes obtenu notre baccalauréat l’année qui suivit. Nous étions si
heureuses, enfin nous pourrions quitter la maison. Chacune d’entre
nous réfléchissait déjà au pays qu’elle allait choisir.

Le moment du choix arriva enfin mais tous ne se passa pas


comme prévu.
CHAPITRE 7 :
A notre grande surprise, mon père ainsi que mon oncle George nous
expliquèrent que nos destinations avaient déjà été présélectionnées.
Nous n’avions le choix qu’entre la France, Le Mexique et le Québec
(ses trois destinations étant celles ayant déjà été choisies par les
garçons). Olivia et moi avions protesté sur le champ en disant que ce
n’était pas juste tandis que les autres se sont contentées d’accepter
sans rien dire mais pour Olivia et moi, cela était insensé.

Dans un premier temps, leurs refus à notre requête fut catégorique


mais à la suite de notre insistances pertinentes et agaçantes, ils
finirent par cédé. Olivia et moi avons reçu la possibilité de choisir
notre propre destination.

Ayant constatées que la réponse à notre requête était positive, les


autres décidèrent de protester à leur tour mais c’était déjà trop
tard, leurs billets avaient déjà été payé. Gabriella avait choisi de
s’envoler vers le Mexique où Camillo résidait déjà pour continuer
dans le mannequinat, Anne et Angel partirent pour le Québec
pour continuer leurs études en droits et aussi parce que leur grand
frère Trevor y vivait déjà.

Le jour du départ étant arrivé, nous les accompagnâmes à


l’aéroport Olivia et moi, nous les regardâmes s’éloigner dans leurs
différents vols en nous disant que nous ne les rêverions peut-être
pas pendant les 5 ou 10 prochaines années.

Olivia et moi avons passé une semaine à chercher le pays qui


nous conviendrait le mieux à toutes les deux et qui aurait nos
différentes branches d’études ; nous avons fini par choisir les U.S.A
plus précisément la ville d’ « Atlanta » dans l’état de Géorgie non
seulement à cause de nos gouts et préférences mais aussi parce que
d’après les photos que nous avions vu c’était une ville magnifique.
Tante Valeria n’était pas d’accord avec ce choix, elle disait qu’il
fallait choisir une ville où quelqu’un de confiance pourrait nous
accueillir à l’aéroport et nous aider à trouver rapidement un
appartement. Nous avons passé trois jours à y penser et maman se
souvint qu’elle avait une amie : « Cassandra Calloway », qu’elle
avait rencontré à Boston lors d’un voyage d’affaire et qui avait
récemment déménagé à Atlanta avec sa famille. Maman lui
passa rapidement un coup de fil et elle accepta de bon cœur de
nous recevoir chez elle jusqu’à ce qu’on trouve un logement. Une
fois ce problème réglé, nous nous sommes inscrites à l’université
d’Atlanta en ligne et nous reçûmes nos honoraires quelques
heures plus tard. Nous étions enfin prêtes à quitter la maison et
dire oui à la vie et à la liberté.

La veille de notre départ, nous avons rangé nos valises et passé la


soirée avec les parents à la maison. Le lendemain matin, nous
partîmes pour l’aéroport impatient de découvrir Atlanta et de
commencer une nouvelle vie. Nous nous étions habillées comme de
vrais américaines. Bon je dois avouer que moi, j’étais toujours
habillée bizarrement comme d’habitude mais Olivia était super jolie.
CHAPITRE 8 :
Je me souviens que nous sommes arrivées à Atlanta un samedi
après-midi. Tout était si beau et en plus il y avait beaucoup de noirs
dans la rue. Cassandra Calloway nous avait indiquer un café tout près
de l’aéroport où elle devait venir nous chercher puisque cela devrait
être très compliqué à l’aéroport puisqu’elle ne nous avait jamais vu
et nous non plus. Je sais ce que vous vous dites, vous pensez sans
doute qu’on aurait pu l’appeler et lui dire comment nous étions
habillé etc… Mais c’était pas si simple, étant donné que nous
n’étions plus dans notre pays notre ligne téléphonique ne marchait
plus donc s’était impossible de la joindre. Nous nous sommes rendus
au café, avons commandé un thé et nous avons patiemment
attendu.

Quelques minutes plus tard, une dame très élégante s’approcha


de nous et nous parla :
- Excusez-moi mesdemoiselles (nous dit-elle), deux jeunes filles
étaient sensées m’attendre dans ce café mais je ne les connait pas
de face donc sa risque d’être un peu compliqué de les retrouver.
Voulez- vous m’aider ?
Olivia me regarda et sourit, une manière de me demander
de prendre la parole.
- En effet madame (dis-je à la dame), je pense que c’est vous que
nous attendons depuis près d’une heure. Vous devez être Cassandra
Calloway.
- Oui en effet (répondit la dame), c’est moi. Et vous, vous
êtes… Luciana et Olivia Torretto.

- Oui madame Calloway (répondit Olivia), enchantée

- Enchantée (dit la dame en nous prenant dans ses bras), appelez-moi


« Tante Cassie ».
-Ok d’accord (lui répondis-je), dis-moi tante Cassie…humm…où
escequ’on va ?
-Je vais d’abord vous emmenez chez moi (me répondit tante Cassie),
vous s’y passerez quelque temps en attendant qu’on vous trouve un
appartement qui vous conviendra. D’accord ?
- D’accord, (répondîmes Olivia et moi).
Nous la suivîmes donc. Nous avons fait plus ample connaissance
dans la voiture. Tante cassie nous as expliqué qu’elle mourait d’envie
de nous rencontrer ; elle nous raconta aussi comment maman et elle
s’était rencontrées et comment elles étaient devenues amies.
CHAPITRE 9 :
Nous sommes arrivées chez elle. C’était une immense résidence
non loin du parc, elle était juste à tomber par terre tellement elle
était époustouflante. Nous nous sommes garées dans le garage ou il
y avait 3 autres voitures de luxe : une Cadillac, une Ferrari et une
Jeep. Olivia fut très étonner par le nombre de caisses que
possédaient Tante Cassie alors elle lui demanda lorsque nous
étions en train de prendre nos valises à l’arriéré de la voiture :

- Tante Cassie ? (dit-elle timidement)

- Oui Olivia. (répondit Tante cassie)

- Pourquoi as-tu 4 voitures ? (demanda-t-elle) Une ou deux


n’étaient- elles pas suffisantes?

- Eh bien Olivia…, (répondit tante cassie un peu amusée par


la question) les trois autres ne sont pas à moi.

- Vraiment ? (L’interrogeais-je étonnée) Dans ce cas à qui sont-


elles alors ?

- La Cadillac est celle de mon fils ainé Riggie, la Ferrari est celle
du deuxième Cameron et la jeep est celle de la dernière Marie
charlz. (me répondit tante Cassie)
- Ils ne sont pas un peu jeune pour avoir des caisses pareilles ?
(ajoutais-je perplexe parce que vu son âge tante Cassie ne
pouvait pas avoir des enfants de plus de 20 ans)

- Trop jeunes ? (répondit Tante Cassie en riant légèrement)

- De toute façon ce n’est pas nos affaires. (Nous coupa Oliva)


Tante Cassie s’il te plait es-ce-que nous pouvons enfin entrer dans
la maison pour que je puisse aller aux toilettes ?

- Oui bien sûr. (répondit Tante Cassie) Allons-y.

Nous entrâmes enfin dans la maison, elle paraissait encore plus


grande et plus somptueuse de l’intérieure et la décoration était
juste magnifique ; le fait que sa maison soit aussi grande et
luxueuse éveilla un peu notre curiosité parce que d’après ce
que maman nous avait raconté elle n’était pas riche du tout, mais
nous n’avons pas abordé le sujet avec Tante Cassie.
CHAPITRE 10 :
Tante Cassie commença par nous montrer notre chambre,
s’étaient grande chambre avec deux lit chacun placer dans un coin de
la chambre, elle comportait aussi un dressing de taille moyenne et
une superbe salle de bain, la déco n’était pas mal mais trop girly à
mon gout par contre Olivia adorait. Apres nous être changées et
défais nos valises, nous descendîmes dans la cuisine ou Tante Cassie
nous préparait un en-cas.

Apres avoir mangé, Olivia et moi commençâmes à visiter la


maison. Les enfants de Tante Cassie n’étaient toujours pas là et
comme nous mourions d’envie de voir à quoi ils ressemblaient nous
sommes allées inspecter les murs du salon et ceux de la salle à
manger en espérant trouver une photo de famille mais à notre
grande surprise, il n’y avait aucune photo sur les murs du salon et
de la salle à manger. Tante Cassie nous rejoint environ cinq minutes
plus tard et je lui demandai :

- Tante Cassie, (dis-je) vous avez l’air de ne pas beaucoup aimer


les photos ici.
- Au contraire, (dit-elle) tout le monde ici aime beaucoup les photos
- Alors pourquoi il y’en a aucune sur vos murs? (l’a coupa
Olivia) Même pas une seule photo de famille.
- Tu l’aurais su si tu m’avais laissé terminer. (lui répondit tante
Cassie) En fait nous y avons consacré toute une pièce.
- Aux photos ? (Dis- je étonné)
- Oui aux photos. (me répondit tante Cassie) Et nous appelons
cette pièce la « Galerie Familiale ». Si vous voulez on ira la voir
tout à l’heure, laissez-moi juste prendre cet appel.

- Pas de problème. (Lui répondis-je ravis)

Tante Cassie quitta la salle à manger et alla dans sa chambre


pour prendre son appel ; environ cinq minutes plus tard, un jeune
homme d’environ 25 ans entra dans la maison.

- C’est moi. (dit-il) …. Maman ?... j’ai invité Missie à diner avec
nous ce soir donc elle sera bientôt là … Maman ? Mais où est tu
à la fin ?
Il entra dans la salle à manger et nous vit, il resta figé à l’entrée
de la salle à manger comme si il avait vu des fantômes puis il
s’approcha de nous.

- Bonsoir (nous lança-t-il)


- Bonsoir. (Nous répondîmes toutes les deux)
- Euh… vous êtes ? (nous interrogea-t-il)
- Je m’appelle Luciana Leanne Torretto. (Dis-je)
-Et moi je suis Olivia Morgane Torretto. (ajouta Olivia)
- Vous êtes les filles de tante Julia Torretto ? (demanda-t-il)
- Oui effectivement. (Lui répondis-je)
- Maman m’avait dit que vous arriviez aujourd’hui mais ça
m’était sorti de la tête. (ajouta-t-il)
- Ce n’est pas grave. (dit Olivia en se rasseyant)
- Et tu es… ? (L’interrogeais-je)
- Je m’appelle Riggie Won Calloway. (Me répondit-il) Je suis le
fils ainé de Cassandra
- Non… sans déconné … t’es sérieux là ? (Dis-je surprise)
- Oui ! (me répondit-il)
- Pardonne moi d’être indiscrète mais t’as quel âge
exactement Riggie ? (Lui demandais-je toujours sous le choc)

- J’en ai 25. (répondit-il) … Vu ta réaction, tu ne t’attendais pas à


cette réponse ; tu croyais que le premier enfant de cassie devais avoir
approximativement quel âge ?
- Je me disais qu’il devait avoir environ 15 ans. (Répondis-je)
-Waouh ! (dit-il en riant) Aucun enfants dans cette maison n’a moins
de 20 ans Luciana. Mon petit frère en a 23 et ma petite sœur 21.
- C’est vraiment difficile à avaler. (dit Olivia)
- Oui je sais. (dit –il) Mais c’est la stricte vérité.
- Personne n’a dit que c’était faux. (Lui lançais-je)
- Tu n’as pas tort. (me répondit-il)….T’as du cran, je sens qu’on
va bien s’entendre toi et moi.
- Peut-être. (Dis-je) Nous verrons bien.

Peu après, tante cassie nous rejoint dans le salon ; elle salua
Riggie et lui demanda à quelle heure Missie devait arriver. Il lui
expliqua qu’elle devait arriver avec Marie-charlz dans une heure
environ.
Environ une demi-heure plus tard, nous bavardâmes encore
lorsqu’une ravissante jeune femme entra dans le salon.

-Salut tout le monde. (dit-elle en s’approchant de nous)


-Bonsoir. (Nous répondîmes tous à l’unisson à l’exception de
Riggie qui dit autre chose)
-Salut chérie ! (dit Riggie en lui faisant un câlin) T’es toute seule ?
-Non pas du tout. (répondit-elle) Je suis avec M-Chuck ; elle a fait
un tour rapide au petit coin d’abord.

-Sacrée M-Chuck ! Elle ne changera jamais, (dit Riggie en souriant


puis il s’adressa à Olivia et moi). Les filles, je vous présente Melissa,
ma fiancée, (puis il s’adressa à Mélissa). Missie, je te présente
Luciana et Olivia.
-Enchantées de te connaitre Melissa, (dis-je tandis qu’Olivia
acquiesçait en secouant la tête).
-Moi de même les filles, (nous répondit-elle en souriant). J’espère
qu’on sera de bonnes amies.
Nous étions sur le point de répondre lorsqu’une autre fille
entra dans le salon.

-Quesque ça fait du bien d’être enfin à la maison. (dit-elle en


s’affalant sur le canapé)

-Marie-charlz ? (dit tante Cassie) Tu ne vois pas qu’il y’a des


étrangers à la maison ? Arrête de te comporter comme une gamine
et viens dire bonsoir.
-Maman… ! (répondit-elle en se levant difficilement) Je suis fatiguée!

Elle finit quand même par obéir à sa mère et vint nous dire
bonsoir ; nous fumes connaissance et elle était plutôt sympa, le
courant passa rapidement entre nous puisqu’on avait qu’un an de
différence.

Epuisée par le voyage et par toutes les tracasseries de la route,


je décidai de me coucher hyper tôt donc je n’eus pas l’occasion de
rencontrer tout le monde. Olivia quant à elle, décida de rester pour
faire plus ample connaissance avec tout le monde puisqu’elle n’avait
pas sommeil.
CHAPITRE 11 :
Le lendemain, je me suis réveillée au environ de 5h et demi. Ne
voulant pas réveiller Olivia qui était encore profondément endormi,
je me levai de mon lit en faisant le moins de bruit possible, je pris
mon ordinateur portable et mon casque dans mon sac à dos puis je
m’assieds sur mon lit avec l’intention de regarder tranquillement un
film mais des bruits de pas dans le couloir me firent changer d’avis.
Je me levai de mon lit et collai mon oreille sur la porte pour mieux
écouter et savoir si mon imagination ne me jouait pas des tours. Les
pas se firent entendre de nouveaux dans les escaliers, je pensai qu’il
y’avait peut-être un voleur dans la maison alors j’entrouvris la porte
juste assez pour me glisser à travers. Je pris la batte de baseball de
Riggie devant la porte de sa chambre et je me mis à suivre les pas à
distance… Une fois dans le hall, je n’écoutais plus les pas ; un peu
comme si la personne s’était arrêté. Moins d’une minute plumard,
j’entendis le réfrigérateur se refermer, je me dirigeai donc vers la
cuisine. Une fois sur place j’avançais aussi silencieusement que je le
pouvais vers le réfrigérateur, batte à la main prête à frapper si jamais
c’était un voleur mais il n’y avait personne. Je me tue pour essayer
d’entendre à nouveau les pas mais la lumière de la cuisine s’alluma
ce qui m’aveugla pendant quelques secondes, c’est là que j’écoutai
une voie.
- Alors, (me lança la voie)… on m’espionne ?
- Non non (dis-je en ouvrant légèrement les yeux pour voir
qui c’était), je ne t’espionne pas du tout.
J’ouvris complétement les yeux et je vis un jeune homme
adosser sur un mur de la cuisine avec un vers de jus d’orange a la
main.

- Si tu ne m’espionne pas (reprit-il), que fais-tu donc la ?


- Je… suis… venu prendre un jus d’orange (répondis-je hésitante)
- Vraiment ?
- Oui vraiment, ou n’ai-je plus le droit de boire
? -Si si, t’as le droit… mais un détail m’échappe.
-Lequel ?
-La batte de Baseball… pourquoi as-tu une batte à la main ?
Tu espérais trouver quoi dans le réfrigérateur ? Une bête ?
- Non mais on ne sait jamais… c’était au cas où. (Je me dirigeai vers
la porte de la cuisine mais il m’interrompit)
- Tu n’auras pas oublié quelque chose ?
- Euh… non je ne crois pas, tu penses que j’ai oublié quelque chose ?
- Oui, ton jus d’orange… je croyais que c’était ça que tu étais
venu chercher.
- Non, c’est bon. Je n’ai plus soif (je sortis de la cuisine et me
dirigea vers les escaliers à toute vitesse, je voulais regagner ma
chambre le
plus facilement possible. Il déposa son verre, me courut après et
fini par me rattraper au niveau de la chambre de Riggie)
- Attends une minute (dit-il en m’attrapant le poignet pour que
je m’arrête)
- Lâche-moi ou tu risques de ne pas apprécier mon point dans
tes cotes.
- Doucement, on se calme ‘‘Wonder Woman’’. (dit-il en me
lâchant) Je voulais juste te poser une question.
- D’accord vas-y mais dépêche toi
- Qui es-tu ?
- J’allais justement te demander la même chose.
- Tant mieux, alors tu es…
- Luciana Leanne Torretto et toi tu es…
- Cameron… Cameron Calloway mais ici tout le monde m’appelle
‘‘Cam’’.
- Ok, enchanté Cam… Je suis arrivé hier, je suis là pour…
- L’école je sais… j’ai rencontré Olivia hier soir. J’avais juste
oublié qu’elle m’avait parlé de sa sœur.
- D’accord (dis-je gêné)
Une fois de retour dans la chambre, j’allai directement prendre
une douche froide pour me remettre les idées en place.
Au environ de 8h, tante Cassie appela tout le monde pour
prendre le petit déjeuné. Elle avait pancakes et des œufs brouillés.
Tout se déroula sans embuche ni commentaires ; le petit déjeuné
se passa dans un calme paisible, aucune parole, juste quelques
regards.
CHAPITRE 12 :
Apres le petit déjeuné, chacun rentra dans sa chambre y compris
Olivia et moi.
- Luciana, qu’est-ce que tu vas faire aujourd’hui ? (me demanda
Olivia en s’asseyant sur son lit)
- Je ne sais pas trop (lui répondis-je), je pensais peut-être visiter
la ville, faire shoping et faire un tour à l’université pour ne pas
être totalement paumé lundi en arrivant. Et toi, t’as prévu quoi
?
- Je n’ai rien de prévu, je peux venir avec toi ?
- Oui bien sûr (on frappa a la porte), tu peux ouvrir s’il te plait ? (dis-
je a Olivia)
Elle alla ouvrir et c’était marie charlz, Olivia la fit entrer.
- qu’est-ce que vous faites les filles ? (nous demanda marie charlz
en s’asseyant sur la table)
- Eh bien comme tu peux le constater marie charlz, nous ne
faisons rien d’intéressant. (Lui répondis-je)
- Vous pouvez m’appeler M-Chuck ou M.C comme tout le monde
vous savez ? (nous lança marie charlz)
- D’accord (lui répondis Olivia)
- Je vais faire un tour en ville et je me suis dit qu’on pourrait y
aller ensemble ; je pourrais faire visiter la ville et l’université.
(Dit m- Chuck) Alors qu’en dite vous ? On y va toutes les trois
?
- Ouais c’est une super idée (répondis Olivia toute excité), et en
plus on pourrait apprendre à mieux se connaitre. Moi je suis
partante.
- Super (répondit M.C à Olivia puis elle se tourna vers moi), et
toi Luciana, tu nous accompagnes ?

- Ouais je viens avec vous mais juste parce que visiter la ville toute
seule sera beaucoup trop ennuyant. (Lui répondis-je avec sarcasme).
M.C sortit pour nous laisser nous préparer. Quelques minutes plus
tard nous descendîmes dans le salon. Tante Cassie était au
téléphone et avait de se disputer avec son interlocuteur.

- Julius, (dit-elle l’air exaspérée) je t’ai déjà dit que j’y assisterais
la prochaine fois alors je ne vois pas pourquoi tu insistes.
-…
- Et alors, j’y assisterais l’année prochaine… ce n’est qu’une
stupide réception de vieux blancs de toute façon.

Pour ne pas la déranger nous nous dirigeâmes vers la sortie


en faisant le moins de bruit possible, mais Olivia fit tomber son
téléphone ce qui attira l’attention de tante Cassie.

-Et vous deux ! (nous lança tante cassie pour qu’on s’arrête puis
elle s’adressa a son interlocuteur) Je te rappelle Julius. (Puis elle
vint vers nous) ou est-ce que vous allez comme ça ? Et pourquoi
filez-vous en douce ?
-Nous sortons avec Marie-charlz tante cassie (lui répondit Olivia)

- Ok mais vous aurez pu au moins me le dire (ajouta tante cassie)


-Nous en avions l’intention tante cassie (répondis-je), mais nous
avons vu que tu étais au téléphone et nous ne voulions surtout pas
te déranger.
-D’accord vous êtes pardonné (nous répondit tante Cassie). Je
discutais avec mon petit frère, il vit aussi ici mais il est en
déplacement. Il devrait bientôt être de retour.
-Ok nous avons hâte de le rencontrer (répondit Olivia)

Finalement M.C descendit, nous avons dit au revoir à tante cassie


et nous sommes sorti. Cam et Riggie faisais une partie de basketball
donc nous leur avons juste fais un coucou de la main avant de
partir. Nous avons passé une superbe journée, nous avons visité la
ville puis l’université et ensuite nous avons du shoping. Une fois le
shoping terminé, nous nous sommes arrêtées dans un café du
centre commercial, nous avons commandé des cupcakes et
des boissons et nous discutions.

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