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Qu’as-tu appris ?
J’ai appris la condition des femmes en 1960, grâce à ce roman j’ai pu découvrir que certains
foyers de cette époque son hors du commun. J’ai appris qu’être une femme à cette époque
était très compliqué supporter aux quotidiens.
J’ai aussi appris comment se passait l’école à cette époque et l’évolution du comportement
des maitresses par rapport à aujourd’hui. A l’époque les gens en général se permettaient
beaucoup plus de choses qu’aujourd’hui.
Il y a notamment une phrase de la maitresse de la narratrice qui me vient en tête « tu seras
épicière comme ta mère ».
J’ai aussi appris qu’entre guillemet j’avais de la chance de vivre à l’époque à laquelle je vis et
à quelle point les mentalités ont changés.
Résumé détaillée : PAS POUR ORAL POUR MOI
Faisons une petite insertion dans sa jeunesse, dans sa famille rien ne fonctionne comme
dans presque toutes les autres familles dans les années 1940. Effectivement, sa mère est
épicière, elle travaille sans relâche, elle fait la comptabilité. Sa mère ne s’occupe pas comme
toutes les autres mères de la cuisine, du ménage… On pourrait dire que sa mère est un peu
atypique pour l’époque.
Quant à son père, il est très attentionné, adore jardiner, il fait la vaisselle, la cuisine, il attend
sa fille à la sortie de l’école. Il se sent à l’écart par rapport aux autres mères devant la grille
de l’école.
On a l’impression que les rôles se sont inversé par rapport aux autres familles.
Sa mère voulait que sa fille fasse des études et ne devienne pas une fée du logis. Elle veut
que sa fille privilégie les études avant tout. Heureusement, la petite fille était très douée à
l’école.
Sa fille, à travers l’école rencontre de nouvelles personnes avec qui elle parle de sa vie et elle
découvre des choses assez étranges. La petite fille va découvrir que toutes les autres mères
s’occupent de la cuisine, du ménage et font à manger lorsque le père rentre du travail. C’est
à l’école qu’elle comprend que le rôle des genres. Elle apprend que les filles sont inférieures
aux garçons. Cependant, la jeune fille ne veut pas vivre sa vie comme elle l’apprend à l’école.
Elle veut déjà avoir des relations crues avec les garçons.
Malgré tout, son adolescence la façonne un peu, ses professeurs, ses amis, lui explique
comment doit être une femme.
Dans le roman, la petite fille a notamment une amie Brigitte qui lui fait comprendre que sa
mère n’est pas normale, la narratrice la corrige un grand nombre de fois en disant que sa
mère lui a appris à cuisiner, coudre et ordonné.
Après, alors que Brigitte et presque marié et que la narratrice part au lycée, elle découvre
une nouvelle violence, celle de sa classe. Effectivement, les filles de sa classe viennent des
beaux quartiers.
La narratrice se pose beaucoup la question de savoir si elle va trouver un garçon qui va lui
plaire. C’est une question qui l’angoisse : comment trouver le bon ? Vais-je le trouver ?
Comment leur plaire ?
Elle va ensuite rentrer en fac de lettre et mettre à part toutes ces questions qui la torture.
Après la fac, la narratrice va rencontrer un homme qui deviendra le tyran du logis. Il voudra
qu’elle fasse comme les familles qu’elle a connu pendant son enfance. Pourtant, il partageait
les mêmes idées qu’elle.
La narratrice va se laisser faire par son mari, ses parents voudront qu’elle se marie, elle va
donc de moins en moins ne cours. Elle s’occupe de la cuisine, du ménage… Son mari souhaite
un enfant, la narratrice va donc devoir s’occuper de ses enfants, elle repousse donc le capes.
La narratrice va entretenir un calvaire pendant que son mari termine tranquillement ses
études et ne se préoccupe absolument de l’avenir de sa femme.
Lorsque que leur enfant née, elle comprend qu’elle va devoir s’occuper de lui 24h sur 24.
Son programme de la journée est déjà fait : s’occuper de son enfant, faire la cuisine pour le
retour de son mari, ranger la maison et essayer tant bien que mal de réussir son capes. Elle
se rend compte que sa vie ressemble au manuel de sa jeunesse. Malgré ce que l’on pourrait
penser, elle réussit ce programme à merveille et réussit même à décrocher son capes. La
narratrice mène une vie avec 18 heures de travail par semaine et un enfant a élevé.
Elle n’a pas encore 30 ans mais plus rien ne l’atteint, c’est une femme gelée.
Citations :
« Naïveté de ma mère, elle croyait que le savoir et un bon métier me prémuniraient de tout,
y compris le pouvoir des hommes ».
« les petites filles sont des êtres doux et faibles, inférieurs aux garçons ».
« Voyager et faire l’amour, je crois que rien ne me paraissait plus beau à 10 ans ».
« (…) nous les filles sommes là pour sauver le monde par nos prières et notre conduite. »
« Oui, je vivais de la même manière qu’un garçon de mon âge, qui se débrouille avec
l’argent de l’Etat, l’aide modeste des parents, le baby-sitting et les enquêtes, va au cinéma,
lit, danse et bosse pour avoir ses examens, juge le mariage une idée bouffonne »
« tu sais je préfère manger à la maison plutôt qu’au restau U, c’est bien meilleur ! »
« Jouir le plus longtemps possible des derniers moments avec un seul enfant. Toute mon
histoire de femme est celle d’un escalier qu’on descend en renâclant. »