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Annie Ernaux, née le 

1er septembre 1940 à Lillebonne, est une professeure de lettres et écrivaine française.


Elle née dans un milieu modeste ou ces parents était ouvrier. L’un de ces roman les plus connu est « armoire
vide » ou elle raconter les évènements de sa vie.

Dans ce livre Annie Ernaux va nous faire part de sa vie en tant que femme adolescente et enfant. A travers
tout cela elle va qualifier ces parents d’égalitaire ou son père va rester a la maison, va s’occuper du foyer plus
précisément faire les taches ménagère, faire la vaisselle, s’occuper des enfants etc… tandis que sa mère va
travailler dans une boulangerie. Néanmoins ce livre auras une fin tragique, Plus elle va grandir moins elle
aura de liberté à cause des hommes.

Les 3 arguments :

Tout d’abord avant de lire femme gelée j’ai lu roman autobiographique intitulé « la place », un roman
autobiographique racontant les événements importants de la vie avec son père, celle-ci va raconter comment
la relation avec son père s’est graduée.

Ce livre m’a influencé à lire femme gelée car il y continent le même style d’écriture, c’est donc pour cela que
j’ai été intéresse par ce livre. ( question si jamaisssss c’est quoi le style d’écriture : c’est un style d’écriture
plate qui est invoquée dans « la place »c’est un style qui emploi les choses de manière embarrassante et de
manière péjoratif.)

Argument 2 :

J’ai continuer a lire du a une question d’originalité de différence sur le sujet du féminisme, elle s’exprime
envers nous comme un journal intime et grâce a cela j’ai pu en tirer bcp de leçons morales qui nous font
réfléchir ( okaou question quel moral ta fait réfléchir : bcp de leçon moral par rapport à l’éducation et on ne
doit pas faire la mm chose que l’homme a Annie Ernaux du a son comportement envers les femmes.)

Argument 3 :

J’ai garder ce livre puisque d’abord il est précieux pour moi puisque c un prix Nobel et cela a été un déclic
pour certaine femme qui se sont identifiée et cela a donner de la visibilité pour les femmes qui n’ont pas
cette chance d’être visible et qui veulent se battre contre leur cause comme plusieurs femme héroïnes dans le
passer ( olympe de gouges )
Agrégée et professeur de lettres modernes maintenant à la retraite, Annie Ernaux a passé son enfance et sa
jeunesse à Yvetot, en Normandie. Elle est née dans un milieu social plutôt modeste : ses parents étaient
d’abord ouvriers, ensuite petits commerçants. Contrairement à ses parents, Annie Ernaux allait
régulièrement à l’école et apprenait bien. Elle a fait ses études à l’université de Rouen.

Elle est successivement devenue institutrice, professeure certifiée puis agrégée de lettres modernes. Elle a
enseigné au début des années 70 au collège d’Evire à Annecy.

En 1984 elle a obtenu le prix Renaudot pour un de ses ouvrages à caractère autobiographique, La Place.

Très tôt dans sa carrière littéraire, Annie Ernaux a renoncé à la fiction pour revenir inlassablement sur le
matériau autobiographique constitué par son enfance dans le café-épicerie parental d’Yvetot. À la croisée de
l’expérience historique et de l’expérience individuelle, son écriture, dépouillée de toute fioriture stylistique,
dissèque l’ascension sociale de ses parents (la Place, la Honte), son adolescence (Ce qu’ils disent ou rien), son
mariage (la Femme gelée), son avortement (l’Événement), la maladie d’Alzheimer de sa mère (Je ne suis pas
sortie de ma nuit), puis la mort de sa mère (Une femme), son cancer du sein (l’Usage de la photo, en
collaboration avec Marc Marie). Elle écrit sur (mais non pas dans) la langue de ce monde ouvrier et paysan
normand qui a été le sien jusqu’à l’âge de dix-huit ans, âge auquel elle a commencé, à son tour, à s’élever
socialement.

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