Voix active

et voix
passive
Discours
rapporté
Mode
conditionnel

LE
CONDITIONN
EL PRÉSENT

Le
conditionnel
passé

1) Pour exprimer l’irréel, l’imaginaire dans le passé

2) Pour donner une information qui n’a pas été confirmée, procédé fréquemment
utilisé
par la presse, incertitude
 3) Pour exprimer un regret (souvent utilisé avec le verbe devoir)
4) Pour faire un reproche
5) Pour faire une supposition (avec « au cas où »)

1) La condition (ou l’hypothèse) exprimée dans la subordonnée introduite par «

Systèmes
si » peut être probable, c’est-à-dire avoir quelques chances de se réaliser.
hypothétiqu
● Si + Verbe au présent de l’indicatif, Verbe au futur simple ou au présent
es de l’indicatif
○ Si le temps ne se couvre pas, nous irons en bateau.
● Verbe au futur simple, Si + Verbe au passé composé de l’indicatif
○ Nous irons cueillir des framboises, si tu as été sage.

2) La condition (ou l’hypothèse) peut être irréelle, c’est-à-dire n’avoir aucune

chance de se réaliser vu l’état actuel des choses, on parle d’irréel du présent.

● Si + Verbe à l’imparfait de l’indicatif, Verbe au conditionnel présent

○ Si nous étions en Australie, nous verrions sauter des kangourous.

3) La condition n’a pas pu se réaliser dans le passé, on parle d’irréel du passé.

● Verbe au conditionnel passé, si + Verbe au plus-que-parfait de l’indicatif
○ Vous auriez mieux compris, si vous aviez lu le texte en entier.
○ Il lui aurait décroché la lune s’il avait pu.
Les pronoms
relatifs
Production Écrite
Ecrire un Mettre l’essentiel d’abord
article de Les éléments d’information sont classés par ordre d’importance décroissant en
presse répondant
aux questions fondamentales : Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Pourquoi ?
Les titres : doivent inciter lire ; doivent être concis, accrocheurs, originaux.
Les intertitres : doivent ménager un circuit de lecture au lecteur.
Le chapeau : doit résumer brièvement l’essentiel de l’article.
L’attaque (début de l’article) : doit accrocher l’attention du lecteur, l’inciter à
poursuivre.
La chute : (fin de l’article) moment de prendre congé du lecteur : touche finale
d’émotion, d’humour,
d’originalité ou ouverture de la réflexion.