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PRESENTATION

Phase Pré-programmation – Analyse HQE du Site

Groupe scolaire élémentaire – Site Caserne de Bonne - Grenoble


PRESENTATION

Groupe scolaire élémentaire


METHODE

IMPLANTATION
1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES
• Transports
• Voiries
V ii
• Accès
• Stationnements
1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle

• Parcelle desservie par le


réseau viaire essentiellement
sur un côté,
• Priorité aux flux piétons (pour 5
côtés / 6 de la parcelle),
• Structure assurant les besoins
de proximité,
• Prévision
P é i i d de 18 classes
l (2 x
9), et 476 élèves
• Une unité de restauration (270
rationnaires
ti i en 2 rotations),
t ti )
• Surface utile de 2300 m² +
cours de 1900 m², sur parcelle
d 3500 m².
de ²
Plan de masse
1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul

• Positionnement envisagé des


bâtiments très structurants,
construisant les limites de la
parcelle (front de parc, et
alignement urbain)
urbain),

Implantation demandée des bâtiments


1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul

Accès principal

• Accès principal sur parc et


amphithéâtre végétal, devant
être parfaitement traité,
marquage fort du projet, mais
transparence et légèreté
indispensable, espace
sensible
sensible.

Accès principal
1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul

Accès principal
Accès livraison

• Accès techniques
envisageables sur rue de
Narvik, pour proximité du
réseau viaire
viaire.

Accès livraisons
1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Accès principal
A è lilivraison
Accès i
Aire livraison

• Organisation de l’espace pour


gérer le stationnement
ponctuel
ponctuel.

Accès + aire livraisons


1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Accès principal
A è lilivraison
Accès i
Aire livraison

Accès
ccès déc
déchets
ets
Aire déchets

• Intégration de l’aspect
multifonctionnel de l’espace
l espace.

Accès + aire déchets


1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Accès principal
A è lilivraison
Accès i
Aire livraison

Accès
ccès déc
déchets
ets
Aire déchets

Accès personnel
Aire dépose minute

• Articulation forte avec la ville et


ll’espace
espace urbain
urbain.

Accès personnel + dépose minute


1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite
Li it dde lla parcelle
ll
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Accès principal
Accès livraison
Aire livraison
Accès déchets
Aire déchets

Accès personnel
Aire dépose minute
Stationnement crèche

• Espace sensible à travailler


avec soins.
i
Stationnement crèche + personnel ?
1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Accès principal
A è lilivraison
Accès i
Aire livraison

Accès
ccès déc
déchets
ets
Aire déchets

Accès personnel
Aire dépose minute
Stationnement crèche
Passage public ?

Passage public éventuel ?


CONSTAT DU THEME 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTE

La zone à l’angle de la rue Narvik et de l’allée du Jardin Hoche, est une articulation
importante avec la ville; elle doit être traitée avec soins, pour garantir :

• Une grande praticité dans la gestion des flux (aire de dépose scolaire, aire de
livraison aire d’enlèvement
livraison, d enlèvement des déchets
déchets, entrée secondaire pour le personnel
personnel,
espace de stationnement ponctuel, voire permanent devant l’espace crèche),
• Un traitement architectural qualifiant depuis la ville, l’édifice scolaire et sa fonction,
• Une continuité visuelle à travers l’espace central nécessaire à appréhender la
fonction de l’édifice depuis la zone,
• Un traitement de sol et un marquage signalétique renforçant le statut demandé à
l’espace,
• Une structuration de la zone en « limite épaisse »,, intégrant ll’ensemble
ensemble des
fonctions citées ci-dessus sans risques de perturbations croisées.
METHODE

IMPLANTATION
2 – TRAITEMENT DES LIMITES
• Enceinte
• Orientation
O i t ti
• Topographie
2 – TRAITEMENT DES LIMITES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle

• Implantation au sein d’un parc


urbain,
urbain
• Projet assurant l’articulation
entre espace urbain et espace
paysager,
paysager
• Projet construisant les limites
de la parcelle, en front de parc,
comme sur l’alignement
l alignement
urbain,
• Majeurement orienté sur
ll’espace
espace piéton (5 côtés / 6)
6),
• Zone interne créant la
connexion avec la crèche et la
liaison avec le parc
parc.

Caractérisation des limites de la parcelle


2 – TRAITEMENT DES LIMITES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain

• Statut privilégié de l’allée


l allée du
Jardin Hoche, interface
minérale entre la ville et l’école
• Ancrage avec le réseau viaire
viaire,

Une voie d’accès principale


2 – TRAITEMENT DES LIMITES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice

• Matérialité de l’entrée par la


présence du parvis,
• Création d’une continuité
spatiale en articulation entre la
ville
eeet le
e pa
parc,
c,

Une articulation spatiale


2 – TRAITEMENT DES LIMITES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Limite « épaisse »

• Nécessité d’un ancrage urbain


fort, pour conserver la lisibilité
de l’institution depuis le réseau
viaire,
• Traitement de l’espace
(architecture, revêtement de
sol, mobilier urbain, zone
d’attente), à travailler avec
beaucoup de soins

Une limite épaisse structurante


2 – TRAITEMENT DES LIMITES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Limite « épaisse »

Zone d’articulation
avec la
l ville
ill

• Reflexion sur une articulation


des flux sur cet espace (accès
enseignants et personnels
techniques, livraisons, sortie
déchets), et des implications
en terme architectural, spatial,
et de sécurité.
sécurité

Une articulation urbaine


2 – TRAITEMENT DES LIMITES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Limite « épaisse »

Zone de « couture »
avec la
l ville
ill

Perméabilités visuelles à
maintenir depuis les
espaces extérieurs

• Réflexion sur la nécessité de


ménager des perméabilités
visuelles depuis certains
espaces extérieurs (parvis,
parc dépose)
parc, dépose).

Des perméabilités visuelles


2 – TRAITEMENT DES LIMITES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Limite « épaisse »

Zone de « couture »
avec la
l ville
ill

Perméabilités visuelles à
maintenir depuis les
espaces extérieurs
Continuité visuelle du
mail vers la place
• Maintien demandé de la
continuité visuelle depuis le
mail vers l’espace
l espace central
central.

Une continuité struturante


2 – TRAITEMENT DES LIMITES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Limite « épaisse »
Zone de « couture »
avec la ville
Perméabilités visuelles à
maintenir depuis les
espaces extérieurs
Continuité visuelle du
mail vers la place
Végétal interne

• Espace central végétal en


articulation avec la crèche et le
parc
parc.

L’articulation végétale
2 – TRAITEMENT DES LIMITES
Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Limite « épaisse »
Zone de « couture »
avec la ville
Perméabilités visuelles à
maintenir depuis les
espaces extérieurs
Continuité visuelle du
mail vers la place
Végétal interne
Minéral interne

• Espace central minéral en


articulation avec le parvis et la
ville
ville.

L’articulation minérale
CONSTAT DU THEME 2 – TRAITEMENT DES LIMITES

Le groupe scolaire articule l’espace urbain avec le parc :

• Il doit qualifier l’institution


l institution, tout en s’ancrant
s ancrant sur ces deux espaces
espaces,
• De ce fait, le traitement architectural du bâti, comme des espaces extérieurs, doit
qualifier l’édifice scolaire aussi bien depuis la ville (limite fonctionnelle épaisse de
la zone de dépose), que depuis la place (statut du parvis et de l’entrée), ou encore
depuis le parc (articulation avec l’espace paysager).
• Ce besoin d’articulation
d articulation impose de laisser des percées visuelles directes, afin de
créer des effets « dedans – dehors », favorisant ces ancrages.
• La transversale du mail planté en direction de l’espace central de la place,
maintient un axe structurant
structurant. La continuité visuelle réduit l’effet de blocage dû à la
position du groupe scolaire en bout de l’îlot, sur l’amphithéâtre de verdure.
• Une structuration de l’espace Sud en « limite épaisse », intégrant l’ensemble des
fonctions techniques, participe à créer le recul nécessaire pour marquer
l’institution sur cette zone en articulation avec la ville,
METHODE

IMPLANTATION
3 – CONTRÔLE CLIMATIQUE
• Ensoleillement
• Vents
V t
• Précipitations
3 – CONTRÔLE CLIMATIQUE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle

• Parcelle en multi-orientations,
• Une obligation de structurer
l’espace urbain, conduisant à
une implantation de bâtiments
au droit des limites de la
parcelle,
• Situation imposant des
linéaires orientés en majorité
vers l’Est et l’Ouest (aucun
linéaire en orientation franche
au Nord et au Sud)
Sud),
• Une orientation Nord Ouest à
Nord Est dégagée vers le parc,
sensible aux effets du vent
vent.

Organiser le confort climatique sur la parcelle


3 – CONTRÔLE CLIMATIQUE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
• Nécessité de bâtiments
fragmentés, maintenant ces
multi-orientations,
• Architecture ouverte
(évidement, mise sur pilotis,
niveau « flottant »),
augmentant la sensibilité
thermique de l’édifice,
• Situation imposant des
protections thermiques et
climatiques très performantes
pour l’ensemble
l ensemble des façades
façades,

Sensibilité du bâti
3 – CONTRÔLE CLIMATIQUE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Roue solaire
Course solaire hiver

• En hiver : La cour intérieure


doit pouvoir bénéficier du soleil
hivernal (végétation caduque,
concept architectural)
architectural),
• Les façades doivent profiter
des entrants solaires gratuits
lorsque cela est possible
possible,

Apport solaire hivernal


3 – CONTRÔLE CLIMATIQUE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Roue solaire
Course solaire hiver
Gradients de sensibilité
des façades en été

• Les façades Ouest - Sud


Ouest sont les plus sensibles,
notamment le bâtiment entrée
dont l’inertie
l inertie sera plus faible
faible,
• Toutes les façades nécessitent
des protections thermiques et
visuelles très performantes
performantes,

Contrôle solaire estival


3 – CONTRÔLE CLIMATIQUE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Roue solaire
Course solaire hiver
Gradients de sensibilité
des façades en été
Végétal / espace central

• Le végétal doit participer au


contrôle climatique de l’espace
central, avec réversibilité de
ll’effet
effet en hiver,
hiver

Protection végétale
3 – CONTRÔLE CLIMATIQUE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Roue solaire
Course solaire hiver
Gradients de sensibilité
des façades en été
Végétal / espace central

Vent en hiver et en été

• Les façades sur parc


(notamment l’entrée), seront
sensibles aux vents en hiver
hiver,

Effets des vents hiver et été


3 – CONTRÔLE CLIMATIQUE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Bâtiments R+2
Articulation volumes
Bâtiment R+1 seul
Roue solaire
Course solaire hiver
Gradients de sensibilité
des façades en été
Végétal / espace central

Vent en hiver et en été


Zone de drainage des
eaux pluviales
• Favoriser le drainage des eaux
pluviales de l’espace
l espace central
central.

Drainage des eaux pluviales


CONSTAT DU THEME 3 – CONTRÔLE CLIMATIQUE

La parcelle impose pour des contraintes d’alignement aux limites, des orientations
thermiques très sensibles à l’ensemble des bâtiments :
• Façades majoritairement en orientation Est et Ouest,
• Bâtiment entrée à faible inertie (sur pilotis), et orientation très sensibles de la façade
i té i
intérieure (S
(Sud
dOOuest).
t) Risques
Ri th
thermiques
i iimportants
t t en confort
f t d’été,
d’été
• Bâtiment sur parc prévu évidé en RDC, avec un pignon plein Ouest. Façade Sud
Est bénéficiant de l’ensoleillement matinal,et plus facile à contrôler,
• Bâtiment sur allée Jardin Hoche, à plus forte inertie potentielle, mais avec façades
orientées en Est et Ouest,
• Protections solaires et visuelles indispensables pour la totalité des façades du
projet, très grande attention à la qualité du confort d’été du fait de la réduction
sensible de l’inertie de certaines parties,
• Retenir des matériaux à forte inertie à surventiler en phase nocturne, travailler sur le
concept de paroi (limite épaisse) pour assurer une protection des surfaces vitrées
comme de la masse du bâti.
METHODE

IMPLANTATION
4 – INSERTION PAYSAGERE
• Bâti
• Minéral
Mi é l
• Végétal
4 – INSERTION PAYSAGERE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle

• Articuler les espaces du projet


(minéral comme végétal), avec
l’environnement de proximité,
• Concevoir une architecture
favorisant l’articulation entre
espace bâti et non bâti, entre
ville et espace naturel,
• Retrouver cette articulation
dans le concept de façade,
comme dans les matériaux,
• Utiliser le végétal dans toute
sa dimension (balisage,
transparence, protection
climatique filtrage acoustique)
climatique, acoustique),

Intégrer le projet dans son environnement


4 – INSERTION PAYSAGERE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice

• Façades urbaines minérales,


en articulation sur la ville
ville,

Rapport urbain minéral


4 – INSERTION PAYSAGERE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Espace minéral interne

• Espace central minéral en


liaison avec les façades
urbaines minérales
minérales,

Rapport urbain minéral


4 – INSERTION PAYSAGERE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Espace minéral interne

Espace végétal interne

• Espace central végétal en


liaison avec les façades
naturelles du parc
parc,

Rapport urbain végétal


4 – INSERTION PAYSAGERE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Espace minéral interne

Espace végétal interne


Limite opaques

• Limites construites minérales


(front massif) en liaison avec
les façades urbaines minérales

Rapport urbain minéral


4 – INSERTION PAYSAGERE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Espace minéral interne
Espace végétal interne
Limites opaques
Limites transparentes

• Limites construites
transparentes (pilotis) en
liaison avec les façades
urbaines végétales

Rapport urbain végétal


4 – INSERTION PAYSAGERE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Espace minéral interne

Espace végétal interne


Limite opaques
Limite opaques
Intégration visuelle

• Intégration visuelle de l’espace


central dans le parc urbain
urbain,

Rapport urbain végétal


4 – INSERTION PAYSAGERE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Espace minéral interne

Espace végétal interne


Limite opaques
Limite opaques
Intégration visuelle
Traitement végétal

• Traitement végétal envisagé


pour l’espace externe et
prolongé pour l’espace
l espace central
central,

Traitement végétal
4 – INSERTION PAYSAGERE

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Espace minéral urbain
Parvis d’accès à l’édifice
Espace minéral interne

Espace végétal interne


Limite opaques
Limite opaques
Intégration visuelle
Traitement végétal

• Traitement végétal
complémentaire dans l’espace
central, pour le contrôle des
nuisances (voir ci-après)
ci-après),

Traitement végétal complémentaire


CONSTAT DU THEME 4 – INSERTION PAYSAGERE

Le traitement bâti, minéral et végétal doit participer à articuler l’ensemble du projet


avec l’espace urbain :
• Les façades sur l’allée
l allée du Jardin Hoche peuvent être plus massives et minérales
minérales,
• Les façades sur l’entrée et le parc doivent être plus légéres et végétales,
• L
L’espace
espace central doit assurer la continuité visuelle entre le parc et la ville
ville,
• Les façades bâties doivent intégrer dans leur traitement (façade épaisse), cette
transition urbaine, mais également permettre :
• la maîtrise climatique,
• le contrôle visuel et l’éclairement
• le traitement acoustique
• Le végétal doit :
• baliser
b li l’espace
l’ (di
(disposition
iti ett iimplantation
l t ti par rapportt aux ffaçades),
d )
• Garantir la transparence (haute tiges pour libérer la vision),
• Contrôler l’ensoleillement
l ensoleillement et la lumière,
• Filtrer partiellement les nuisances acoustiques (hautes tiges – voir nuisances).
METHODE

IMPLANTATION
5 – GESTION DES RESSOURCES
• EnR
• Réseaux

• Disponibilités locales
5 – GESTION DES RESSOURCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle

• Utiliser au mieux le solaire passif,


• Profiter des ressources locales,
• Initier ll’usage
usage des EnR
EnR.

Bénéficier des ressources locales


5 – GESTION DES RESSOURCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Façades captatrices

• Certaines façades pourront


bénéficier de l’ensoleillement
l ensoleillement en
hiver. Leur concept devra permettre
d’utiliser au mieux cette énergie
gratuite, sans risques de
surchauffes estivales.
estivales

Solaire passif
5 – GESTION DES RESSOURCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Façades captatrices
Ventilation naturelle
d ffaçades
des d

• Un concept de façade « épaisse »


peut être mis à profit pour
bénéficier de ventilation traversante
en façade en été et demi saison
(vents au Sud).
Sud)

Ventilation traversante
5 – GESTION DES RESSOURCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Façades captatrices
Ventilation naturelle
d ffaçades
des d
Capteurs solaires à eau

• L’éloignement des corps de


bâtiment sur la parcelle permet
d’envisager l’utilisation de capteurs
solaires pour le pré-chauffage de
l’ECS (restauration).
• Il est nécessaire d’intégrer
d intégrer ce
dispositif dès l’approche
architecturale de l’esquisse,
compte tenu de la nature de 5ème
façade de l’ensemble
l ensemble des toitures
toitures.

Capteurs solaires à eau


5 – GESTION DES RESSOURCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Façades captatrices
Ventilation naturelle
d ffaçades
des d
Capteurs solaires à eau
Capteurs photovoltaïques

• Selon les besoins et/ou la vocation


pédagogique de cet usage, il peut
être envisagé la mise en œuvre de
panneaux photovoltaïques en
toiture (éclairage extérieur,..)
• Comme précédemment, il est
nécessaire d’intégrer
d intégrer ce dispositif
dès l’approche architecturale de
l’esquisse, compte tenu de la
nature de 5ème façade de
ll’ensemble
ensemble des toitures.
toitures

Capteurs photovoltaïques
5 – GESTION DES RESSOURCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
Façades captatrices
Ventilation naturelle
d ffaçades
des d
Capteurs solaires à eau
Capteurs photovoltaïques
Pompe à chaleur

• La présence d’une nappe d’eau


abondante sur le secteur de
Grenoble, permet d’envisager son
usage dans la production d’energie
thermique (PAC eau / eau).
• La nappe peut également
permettre si nécessaire un apport
de frigories en été dans certaines
zones (plancher direct sur nappe)
nappe),

Utilisation de la nappe
5 – GESTION DES RESSOURCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Façades captatrices
Ventilation naturelle
des façades
Capteurs solaires à eau
Capteurs photovoltaïques
Pompe à chaleur

Chauffage Urbain

• La présence d’un réseau de


chaleur urbain sur le secteur de
Grenoble, permet d’envisager son
usage dans la production d’energie
thermique (échangeur / réseau).
• La nappe peut toujours permettre
un apport de frigories en été dans
certaines zones (si plancher
chauffant envisagé),
envisagé)

Réseau de chaleur urbain


CONSTAT DU THEME 5 – GESTION DES RESSOURCES

Le projet se doit d’utiliser au mieux les ressources disponibles du site :

• L’ensoleillement
L ensoleillement en hiver reste limité compte tenu des orientations du projet
projet,
certaines façades pourront cependant utiliser le solaire passif,
• La position des toitures et la distance aux bâtiments de proximité, permettent
l’implantation de capteurs solaires à eau (ECS pour la restauration), ou de
panneaux photovoltaïques (intérêt financier à valider selon usage),
• La présence d’une
d une nappe d’eau
d eau importante doit assurer la mise en œuvre d’un
d un
principe de production thermique par pompe à chaleur (PAC),
• La présence du réseau de chaleur permet également la production de chauffage,
par un échangeur raccordé au réseau
réseau,
• Ces principes favorisent des émetteurs à basse température (type plancher
chauffant). L’usage de planchers à eau permettrait d’envisager si nécessaire un
complément de traitement en été par échange direct sur la nappe phréatique.
METHODE

IMPLANTATION
6 – MAÎTRISE DES NUISANCES
• Pollutions
• Sonores
• Visuelles
• Olfactives
• Risques
• Technologiques
• Naturels
• Déchets
6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p

• Contrôler le maintien du droit au


soleil des bâtiments et espaces
centraux,
• Prévoir un traitement acoustique de
qualité des espaces internes
sensibles,
• Préserver les riverains des
nuisances sonores générées par le
groupe scolaire,
• Assurer une bonne qualité d’air
d air au
sein des zones,
• Maîtriser les nuisances visuelles,
• Contrôler les nuisances olfactives
olfactives.

Maîtriser les nuisances de proximité


6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p

• Il est demandé au projet de


respecter une hauteur de 3 niveaux
sur les façades coté Parc et allée
du Jardin Hoche,, et 2 niveaux sur
la place centrale. Cette hauteur
maintient un ensoleillement
suffisant de l’espace central.
Toutefois une réduction d’un étage
g
du dernier tiers du bâtiment Sud,
augmenterait sensiblement
l’ensoleillement de l’espace central
et de la cour de la crèche.
• Compte tenu de sa position au
Nord de la Crèche, le projet
perturbe globalement peu
ll’ensoleillement
ensoleillement de celle
celle-ci
ci en hiver
hiver.

Effet de masque sur l’environnement


6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p

• Pour des raisons de praticité


(accés au réseau viaire, livraison),
l’espace de restauration doit être
sur le corps de bâtiment Sud Sud. De
ce fait, il peut être intéressant de
regrouper les différentes fonctions
administratives et techniques, sur
le premier niveau de ce bâtiment
bâtiment.
• Les salles de cours sont ventilées
sur les espaces supérieurs et les
autres corps de bâtiments.
• Cette disposition permet un
meilleur séquençage des espaces
(zonage acoustique, thermique, et
fonctionnel)
fonctionnel).

Répartition des espaces


6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Nuisance sonore de la cour

• Le traitement acoustique le plus


sensible sera le niveau sonore de
la cour de récréation vis à vis des
bâtiments et espaces de proximité,
proximité

Nuisance acoustique
6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Nuisance sonore de la cour
Amortissement des parois

• Le traitement des façades devra


tenir compte d’un nécessaire effet
d’amortissement acoustique, à
travers les formes et les matériaux
utilisés.
• Il est indispensable d’éviter
d éviter un effet
complémentaire de réflexion de
l’onde sonore sur les parois et de
concentration vers la crèche et/ou
les bâtiments de proximité.
proximité

Amortissement par les façades


6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Nuisance sonore de la cour
Amortissement des parois
Amortissement du végétal

• Le végétal doit participer au


traitement acoustique de la cour,
• La cour se trouvant en contre bas,
des arbres à haute tige sont
préferables pour laisser une bonne
transparence visuelle et amortir
l’onde sonore,
• De même, la position du bâtiment
d’entrée en R+1 est intéressante
pour réduire la propagation vers les
immeubles d’habitation
d habitation.

Amortissement par le végétal


6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Nuisance sonore de la cour
Amortissement des parois
Amortissement du végétal

Effet des dispositifs

• C’est dans le croisement de


plusieurs dispositifs que doit être
réaliser le contrôle de la nuisance
acoustique de l’espace
l espace central
central.

Amortissement multiples
6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Nuisance sonore de la cour
Amortissement des parois
Amortissement du végétal

Effet des dispositifs


CTA extraction
t ti restaurant
t t

• Il sera nécessaire de contrôler


également les nuisances sonores
du traitement d’air, et notamment
des tourelles d’extraction du
restaurant (niveau d’émergence en
zone d’habitat)
d habitat).

Extraction d’air
6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Nuisance sonore de la cour
Amortissement des parois
Amortissement du végétal

Effet des dispositifs


CTA extraction
t ti restaurant
t t
Traitement des fumées

• Il sera nécessaire de contrôler


également les nuisances olfactives
issues des tourelles d’extraction du
restaurant (immeubles d’habitation
ou crèche sous vents dominants en
hiver)
hiver).

Nuisances olfactives
6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Nuisance sonore de la cour
Amortissement des parois
Amortissement du végétal

Effet des dispositifs


CTA extraction
t ti restaurant
t t
Traitement des fumées
Traitement d’air
d air global

• Réflexion sur le principe de


traitement d’air , pour maîtrise de
l’énergie, et en cas de pollution
sévère (2 usines sous contrôle
SEVESO en périphérie)

Qualité de l’air
6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Nuisance sonore de la cour
Amortissement des parois
Amortissement du végétal

Effet des dispositifs


CTA extraction
t ti restaurant
t t
Traitement des fumées
Traitement d’air
d air global
Protection visuelle

• Mise en œuvre systématique de


protections visuelles réversibles de
qualité, assurant un contrôle de
l’éblouissement, mais un maintien
du FLJ (facteur Lumière du Jour).
Jour)

Qualité de l’air
6 – MAITRISE DES NUISANCES

Réseau viaire
Réseau piétonnier
Bâtiments existants
Limite de la parcelle
p
Nuisance sonore de la cour
Amortissement des parois
Amortissement du végétal

Effet des dispositifs


CTA extraction
t ti restaurant
t t
Traitement des fumées
Traitement d’air global
g
Protection visuelle
Circuit dechets

• Réflexion sur le circuit déchet, et le


point central de regroupement
(zone restauration pour faciliter
ll’enlèvement)
enlèvement).

Gestion des déchets


CONSTAT DU THEME 6 – MAITRISE DES NUISANCES

Le projet se doit de contrôler les nuisances en provenance ou générées sur le site :

• Maîtriser les nuisances acoustiques internes par une implantation judicieuse des
espaces et la mise en œuvre de matériaux d’isolement et de correction performants,
• Maîtriser les nuisances acoustiques générées sur l’environnement par un traitement
des façades sur cour centrale (matériaux d’enveloppe, formes architecturales,..), et
par l’usage judicieux du végétal, interne et externe à l’espace, ainsi que l’usage de
pièges à son performants sur les tourelles d’extraction d’air et autres appareils,
• Maîtriser les nuisances olfactives par une position choisie des extracteurs et un
filtrage performant des rejets en toiture,
• M
Maîtriser
ît i la
l qualité
lité d’
d’air
i d
dans lles espaces, par lle principe
i i retenu,
t lla di
disposition
iti d des
entrées et rejets d’air, ainsi que la possibilité d’isolation du circuit en cas de pollution,
• Contrôler l’éblouissement et la q
qualité d’éclairage
g naturel, p
par la mise en œuvre de
protections performantes et adaptées,
• Réfléchir au circuit interne des déchets, à la position du local de regroupement, et à
son intégration réussie dans l’espace
l espace.
METHODE

CIBLE HQE
7 – PRIORISATION DES CIBLES
• Matrice d’analyse
• Synthèse
S thè
MATRICE D’ANALYSE
MATRICE DE SYNTHESE

G
Groupe scolaire
l i élé
élémentaire
t i – Site
Sit Caserne
C d
de B
Bonne - Grenoble
G bl

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