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Intérieur d'une voiture Corail Vtu (ici un TER « Intervilles » Marseille – Nice).
Les voitures Corail sont des voitures voyageurs de la Société nationale des chemins
de fer français, mises en service entre 1975 et 1989.
Le nom de baptême « Corail », qui s’applique aussi aux trains composés de ces
voitures, est un mot-valise formé de « confort » et « rail ». Ce nom popularisé par
la publicité évoque également la couleur orange vif des portières qui caractérisait
la première livrée de ces voitures.
Leur livrée d'origine, gris clair avec bande des baies gris sombre et portes
colorées en orange, tranchait avec le « vert wagon » des générations précédentes.
Elles se caractérisent par la généralisation de la climatisation, leurs qualités de
confort, de suspension et d’insonorisation, ainsi que de roulement (équipement
d'anti-enrayeurs sur toutes les voitures et aptitude aux 160 km/h et 200 km/h).
Leur mise en service massive, à près de 4 000 exemplaires, a permis un véritable
bond en qualité du service voyageurs de la SNCF.
Même si la majorité de ces voitures est toujours en service en 2019, les plus
anciennes ont déjà été radiées du parc SNCF. Le nouveau matériel Coradia Liner
devrait prochainement leur succéder. Elles ont connu deux rénovations : Corail Plus
dès 1995 puis Téoz à partir des années 2000. Certaines voitures affectées aux
services TER ont été rénovées par les Conseils régionaux. Depuis 2012, toutes les
voitures Lunéa et Téoz ressortant d’atelier sont vêtues de la livrée Carmillon.
Les trains de nuit, Intercités de nuit (anciennement Lunéa), sont aussi composés de
voitures Corail.
Sommaire
1 Construction
2 Utilisation
2.1 Passée
2.2 Actuelle
3 Les différentes variantes
3.1 Vtu
3.2 Vu
3.3 Voitures transformées
3.4 Voiture standard européenne
4 Les différentes livrées
4.1 Matériel de jour
4.2 Matériel de nuit
5 Les Corail aujourd'hui
6 Radiation
7 Les Corail à l'étranger
7.1 Corail au Portugal
8 Modélisme
9 Notes et références
10 Bibliographie
11 Annexes
11.1 Articles connexes
11.2 Lien externe
Construction
Les voitures Corail ont été imaginées et dessinées par le designer Roger Tallon1.
Elles ont été construites principalement par la société franco-belge de matériel de
chemins de fer (absorbée par Alsthom en 1982), à Raismes, dans le département du
Nord. Alsthom a également participé au programme en assurant la finition des
voitures de seconde classe et des voitures-bar, et a aussi concédé l'autorisation
de construction à la société Sorefame pour la version portugaise.
Utilisation
Passée
Alors qu'à l'origine, elles assuraient toutes les liaisons à longue distance de la
SNCF qui n'étaient pas assurées par des Trans-Europ-Express, leur périmètre
d'utilisation se restreint et leurs parcours se réduisent avec le développement des
TGV.
On les trouve sur certaines relations TER ou Intercités, notamment les lignes
Interloire Orléans – Tours – Nantes et Nantes – Tours – Lyon, la ligne Aqualys
Paris – Orléans – Tours, les TER 200 en Alsace, ou, sur les trains « Un jour à la
mer », de Paris vers Le Tréport.
Ces voitures sont aussi utilisées, sous le nom d'Intercités Normandie, sur les
relations Paris – Caen – Cherbourg et Paris – Lisieux – Trouville-Deauville avec
les 150 voitures rénovées en 2007, et, depuis 2010 grâce à une nouvelle tranche,
sur les trains Paris – Rouen – Le Havre et Paris – Rouen – Dieppe. Enfin, depuis
2003, elles circulent, après avoir été rénovées, sur les lignes Paris – Limoges –
Brive – Toulouse, Bordeaux – Toulouse – Montpellier – Marseille – Toulon – Nice et
Paris – Clermont-Ferrand, assurées par des rames Téoz dans l'attente, incertaine,
du TGV.
Actuelle
Les voitures Corail, dont certaines rénovations sont récentes, devraient encore
être utilisées pendant encore plusieurs années sur les liaisons suivantes,
financées par les régions :
À partir de 2015, de plus en plus de relations Intercités ne sont plus assurées par
des rames Corail tractées au profit du matériel Coradia Liner. C'est notamment le
cas des liaisons :
Paris - Saint-Quentin
Paris - Amiens - Boulogne - Calais
Paris - Compiègne
La région Centre Val-de-Loire, qui a récupéré au 1er janvier 2019 la gestion des
lignes suivantes a également passée des commandes de trains Omnéo Premium, afin de
remplacer toutes les rames Corail subsistantes et leur locomotive :
Paris-Nord – Crépy-en-Valois – Laon (BB 67400 et Corail remplacés en 2015 par des
Régiolis B84500) ;
Orléans – Tours – Angers – Nantes – Le Croisic aussi dit Interloire (BB 26000 et
Corail remplacés par des Regio 2N V200 depuis le 9 juin 2018)9 ;
Paris-Est – Château-Thierry – Bar-le-Duc – Nancy et Strasbourg (BB 15000 et Corail
remplacés progressivement par de Coradia Liner sur le TER Vallée de la Marne).
Les différentes variantes
On distingue deux types d'aménagement (Vtu et Vu), ainsi que des séries proches ou
transformées.
Voiture Vtu A5B5tu en livrée Corail+ Intercités. Ces voitures se distinguent par
leurs portes louvoyantes coulissantes Faiveley.
Les Vtu sont des voitures à allée centrale, à deux salles sans compartiments. Ce
sont les plus nombreuses. Elles sont appelées Vtu 75, Vtu 78, Vtu 80, Vtu 82 ou Vtu
84 selon l’année de leur commande10. Elles sont reconnaissables aux toilettes
situées à l’extrémité des voitures au-delà des portes d’accès. On dénombre selon
les diagrammes d'aménagement :
105 A9u, 50 A10u (et même 70 A11u de première classe, transformées en B11u),
75 A4B6u, mixte,
410 B11u, à 88 places de deuxième classe (dont 70 ex A11u),
6 B11u, à 88 places de deuxième classe, équipées de portes louvoyantes coulissantes
Faiveley au lieu des Mielich11,
10 B7u, avec espace enfants,
120 B6Dd2 et 252 B6Du, mixtes fourgon,
28 voitures-pilote B6Dux,
105 A9c9ux et 320 B10c10ux, couchettes,
50 AcBcux, à couchettes commutables en 1re ou 2e classe,
20 B12u, voitures « Cabine 8 » à 12 compartiments de 8 sièges relax imbriqués en
hauteur et entre compartiments (1986-2001)12,
17 So, voitures-ambulances offrant 40 à 60 couchettes disposées longitudinalement,
elles sont affectées aux trains de pèlerinage (vers Lourdes, principalement, Rome
également) ou couchettes grande-capacité pour les groupes.
Voitures transformées
1989-1994 : 180 B9½tu à sièges inclinables pour voyages de nuit, issues de la
transformation de voitures A10tu ou A10rtu.
2000 : 50 B7c7ux (initialement 35 B8c8ux) issues de la transformation de voitures-
couchettes B10c10ux en dédiant les compartiments d'extrémité l'un au personnel
d'accompagnement, l'autre à un espace cafétéria avec deux distributeurs
automatiques de boissons et aliments, puis un peu plus tard un troisième
accueillant les vélos.
2007 à 2008 : 48 voitures-pilote B5uxh issues de la transformation de voitures
B6Du.
Les voitures devenues surnuméraires du fait du développement du TGV, ont été
reversées aux réseaux régionaux (TER) ou à l'exportation. C'est ainsi que des
voitures rénovées du réseau Est ont été vendues d'occasion fin 2008 aux chemins de
fer marocains.
A9u
Les voitures Vu sont souvent confondues avec les voitures standard européennes
(VSE) qui ne sont pas à proprement parler des voitures Corail. Mais la date de leur
construction (1976 à 1978) et leurs caractéristiques font qu’elles en sont très
proches.
Les VSE de l'Eurofima sont issues d’une commande groupée de six compagnies
européennes (française, allemande, belge, suisse, italienne, et autrichienne) afin
d’offrir un matériel commun sur les trains internationaux. À l’origine, elles
devaient porter une livrée commune orange (C1) mais celles de la SNCF ont
rapidement été repeintes en livrée Corail. La SNCF reçut 100 VSE uniquement en
version « première classe » (A9u) ; elles figurent parmi les véhicules les plus
confortables en circulation. On les distingue des Corail Vu par leurs portes
louvoyantes coulissantes Faiveley et les raidisseurs de la toiture qui ne
descendent pas aussi bas que sur les Corail. Il est par contre peu aisé de
distinguer leur bogies Fiat Ferroviaria Y 0270 S des bogies Y 32 des voitures
Corail : des bielles d'entraînement à la place des câbles du bogie Y 32.
Pendant les années 1990, une nouvelle livrée est appliquée, les voitures deviennent
gris béton, le bandeau anthracite subsiste, il est souligné par une bande blanche
sur toute sa longueur et les portes (dorénavant similaire au TGV) sont de deux
couleurs (vert pour la seconde, rouge pour la première). L'intérieur est aménagé
sur le même principe que les TGV, fauteuils tissus noirs et gris avec moquettes et
rideaux rouges en première, sièges tissus gris et verts avec rideaux verts et
moquette grise en seconde). Une variante Corail+ est proposée à la fin des années
1990 proposant une peinture des portes différentes (continuation du gris béton et
de la bande blanche sur le bas de porte et conservation de la couleur liée à la
classe sur le haut). Les rares voitures-restaurants subsistant prennent la livrée
Corail avec des portes jaunes.
Au début des années 2000, une partie du parc, circulant sur Paris – Strasbourg,
Paris – Clermont-Ferrand, Paris – Limoges – Toulouse – Cerbère, ainsi que Bordeaux
- Toulouse - Marseille - Nice, est totalement rénovée. Il s'agit de la livrée Téoz.
La livrée extérieure devient jaune pour la première, bleue pour la seconde et verte
pour la voiture-services. Différentes nuances et des visuels s'ajoutent à cette
livrée. L'intérieur est totalement revu : blanc, ivoire et crème pour la première,
bleu, blanc et crème pour la seconde. Les compartiments disparaissent comme le
couloir central, différentes configurations sont proposées pour les sièges, cassant
la linéarité des voitures classiques et donnant un véritable aspect de salon. La
voiture-services est séparée en plusieurs espaces (point d'information, salle de
jeux pour enfants, salle de jeux de société, local de service, tables à langer…).
Ainsi, on trouve la livrée TER générique, gris béton avec une bande bleue en bas de
caisse et un logo TER accompagné du logo de la région concernée. L'intérieur est à
base de sièges bleus et gris et rideaux gris en seconde et de fauteuils gris et
rouges avec rideaux gris en première.
À partir de 2007, certaines voitures Corail affectées au service Intercités ont été
rénovées. C'est notamment le cas des Corail Basse-Normandie et des Corail Haute-
Normandie, qui arborent aujourd'hui une livrée spécifique. Les voitures Basse-
Normandie arborent une livrée grise, aux motifs étoilés. Les portes prennent une
couleur nouvelle, violette en première classe, verte en seconde. Les aménagements
intérieurs sont revus, la moquette est généralisée en seconde classe, chaque rangée
de siège reçoit une prise électrique, les sièges en seconde classe virent au gris
et têtière verte, les sièges en première sont dorénavant couleur prune à têtière
blanche. L'ensemble des rideaux des rames deviennent gris. Les voitures Haute-
Normandie arborent la même couleur grise que les voitures Basse-Normandie, mais les
motifs deviennent à cercles et bulles. L'aménagement intérieur est fortement revu,
les sièges prenant une toute nouvelle forme similaire à ceux des Z 26500 de la même
région. Les sièges en seconde sont couleur prune agrémentés de têtières aux
couleurs vertes, blanche ou rouge. Les sièges de première classe sont gris aux
têtières vertes. Les rideaux sont remplacés par des stores coulissants. La couleur
des sièges est donc inversée entre les voitures Basse-Normandie et Haute-Normandie.
Les couleurs de portes sont également inversées, prunes pour la seconde classe,
vert pomme pour la première classe.
Toutes les voitures du parc sortant de révision sont repeintes en Carmillon. Une
nouvelle livrée commune à tous les matériels aux couleurs de SNCF est appliquée,
voiture gris clair, portes Carmillon (dégradé carmin et vermillon aux couleurs
SNCF) et bandeau noir sur les fenêtres. Une bande Carmillon surmonte le bandeau
noir. Les aménagements intérieurs ne sont généralement pas modifiés : certaines
conservent leurs intérieurs Roger Tallon des années 1990 (gris-rouge en 1re et
gris-vert en 2de), d'autres conservent leur intérieur de la fin des années 2000
(violet en 1re et vert pomme-gris en seconde). Les anciennes voitures Téoz arborent
aujourd'hui cette livrée. Leurs aménagements intérieurs ont été quelque peu
modifiés, mais la disposition générale est conservée (sièges, éclairage…).
Matériel de nuit
Avec le programme Lunéa dans les années 2000 plusieurs voitures revêtent une livrée
bleu nuit et une bande bleu isabelle en première, bleu isabelle avec bandeau bleu
nuit en seconde et des motifs visuels gris et jaunes avec portes jaunes. Un mélange
des deux livrées avec des motifs supplémentaires habille la voiture services avec
des portes bleues.
Depuis 2011, les voitures sortant de révision revêtent la livrée Carmillon nuit.
Voiture blanche, portes Carmillon (dégradé Carmin, vermillon aux couleurs SNCF) et
bandeau noir sur les fenêtres. Une bande carmillon surmonte la bande noire.
Cette rénovation fut pourtant jugée insuffisante et, en 2003, sont dévoilées trois
voitures Téoz lors de l’exposition « Train-Capitale », sur les Champs-Élysées, où
une voie provisoire sera même installée pour une présentation statique. Ces
voitures rénovées équipent aujourd'hui les trains sur les grandes lignes non
desservies par TGV, l'amélioration du confort étant censé compenser la vitesse
moindre. Elles se distinguent par une allée centrale décalée au centre de la
voiture, offrant en 2e classe quelques rangées de 3 places + 1 au lieu du schéma 2
+ 2. Une voiture multiservices B3Su voit le jour, avec espace enfant et rangement
vélos. Une voiture de 1re classe à 5 compartiments et la B7tu offrent un espace
fumeurs.
En 2007, la famille des Corail était encore presque complète après trente ans de
service. C'est la dernière grosse commande de voitures en date, mises à part les
commandes de rames régionales ou de banlieue (RIB et RIO, RRR, VO 2N, etc.).
Depuis le 5 janvier 2012, l'appellation « Corail » a été supprimée des noms des
produits commerciaux. En effet, les noms « Corail Téoz », « Corail Lunéa », «
Corail Intercités » et « Corail » sont tous regroupés en un seul nom, « Intercités
».
En 2017, la famille des Corail a commencé à perdre des unités. Mais les commandes
d'autorails à grande capacité et l'ouverture de la LGV Rhin-Rhône, qui a libéré
partiellement les voitures Corail assurant les trains Paris – Belfort – Mulhouse et
Lyon – Strasbourg, ont stabilisé les radiations de ce matériel emblématique…
Jusqu'à la prochaine livraison d'automoteurs — destinés à remplacer tous les Corail
des Intercités et certains TER —, sur la période 2017-2020.
Les plus récentes rénovations des voitures livrées après 1984 devraient leur
permettre de durer encore près de dix ans, mais bientôt[Quand ?] uniquement sur les
trajets courts des TER.
Certaines voitures, modernisées ou non, ont été ou vont être vendues d’occasion.
À partir du printemps 2022, des rames Corail ex-TER (en l'occurrence des voitures
de 2de classe), repeintes avec une livrée majoritairement rose, seront affectés aux
liaisons Ouigo Vitesse Classique15,16.
Radiation
Les voitures sont progressivement radiées de la circulation et recyclées :
à Chalindrey, par Geodis depuis 201417, jusqu’en 2016 où s'est produit un incendie
sur la rotonde de Chalindrey ;
au Mans, sur d'anciens technicentres SNCF18.
Les Corail à l'étranger
De nombreux pays, ont acheté ou fait rouler des voitures Corail construites en
France ou localement : le Portugal (CP), l'Espagne (RENFE), le Maroc (ONCF), la
Roumanie (CFR), le Chili, l'Argentine, l'Iran, le Monténégro, le Luxembourg (CFL)
avec 16 voitures initialement co-financées puis rachetées qui y ont circulé entre
2008 et 201019, l'Italie (Arenaway), les Pays Bas (NS), la Belgique (SNCB) et la
Turquie (TCDD)20.
Corail au Portugal
Ces voitures ont commencé leur carrière à partir du 13 octobre de 1986 dans les
services Rapides existantes à la Ligne du Nord. Avec la livraison de toutes les
voitures, en mai de 1987, le nouveau service Alfa Lisbonne-Porto a été mis en
scène. Un an après, ces voitures assurent aussi les trains IC - Intercidades
(InterCités) Lisbonne-Porto et Lisbonne-Porto-Braga.
En 1994, des séries excédentaires de voitures Sorefame ont été modernisées avec des
conditions de circulation similaires à celles des Corails pour les trains
Intercidades, afin de doter tous les trains de ce type avec les mêmes conditions de
circulation (160 km/h, climatisation, nouveaux intérieurs…).
Avec la mise en service des trains pendulaires du type Alfa Pendular de conception
italienne similaires à ceux exploités par les Chemins de fer italiens, en 1999, le
service Alfa assuré par une rame remorquée (avec locomotive et voitures) a cessé de
circuler et le nom a été repris avec les mêmes compositions, les voitures Corail
ont été affectées aux trains Intercidades.
En octobre 2006, après divers tests, l’UIC autorise ces voitures à circuler à 200
km/h, les tractions à cette vitesse sont réalisées avec des locomotives de la série
5600.
La voiture VIP a été radiée en 2011 afin d'être transformé en voiture de 2e Classe
mais retourne finalement en 2020.
Ces voitures, encore très nombreuses dans les services rapides des CP, seront
toutes modernisées jusqu'à 2026.
Caractéristiques :
échelle HO :
voitures Vtu : CEMP/Mougel (1977), Roco (1977, modèles raccourcis), Lima,
Rivarossi, Piko, Roco (2007, modèles à l'échelle), LS Models (2008) ;
voitures Vu : Jouef (1977), CEMP/Mougel (1978), Lima (1985), Piko, Roco ;
voitures VSE : Roco, Märklin, LS Models.
échelle N : Arnold, Lima, Piko, Roco.
Notes et références
Roger Tallon, père du design SNCF [archive].
« La Bourgogne renonce à ses Régio2N » [archive], 17 novembre 2014.
« L'Etat et la SNCF donnent un coup de TET aux Intercités » [archive], La Tribune,
28 février 2017 (consulté le 23 avril 2017).
« Le Coradia Liner sur Nantes – Bordeaux » [archive], article de Rail Passion du 24
septembre 2017 (consulté le 31 mai 2018).
« Le Coradia Liner V160 en service sur Paris – Belfort » [archive], article de
Ville Rail & Transports du 3 mars 2017 (consulté le 31 mai 2018).
« Paris-Granville : de nouveaux trains sur les rails » [archive], article de La
Manche Libre du 3 novembre 2012, consulté le 14 septembre 2013.
SNCF - Régiolis sur la ligne Paris-Granville [archive] [PDF], dossier de presse du
18 décembre 2013.
CM, « Les futurs trains normands se dévoilent en réalité virtuelle à la Foire de
Caen » [archive], sur france3-regions.francetvinfo.fr/normandie, 22 septembre 2017
(consulté le 18 juillet 2018).
« Les TER Interloire vont passer en Regio 2N - Rail Passion » [archive], sur
www.railpassion.fr (consulté le 20 juillet 2018).
Détail des livraisons de voitures. [archive]
Voitures de présérie pour vente à l'export qui furent versées au programme français
(tranche Vu 83). Les chemins de fer roumains (CFR) ont construit 50 voitures de ce
type sous licence en 1996
Les voitures-couchettes Vu [archive].
Intérieur d'origine d'une salle de classe d'une voiture Corail [archive]
Intérieur d'origine d'une salle de 2e classe d'une voiture Corail [archive].
Adeline Daboval, « Paris-Lyon, Paris-Nantes : Ouigo va lancer des trains low-cost
sur des lignes classiques » [archive], sur leparisien.fr, 23 septembre 2021
(consulté le 24 septembre 2021).
Arnaud Tousch et Sarah Belien, « SNCF : la compagnie relance des trains Corail pour
des trajets low-cost » [archive], sur rtl.fr, 23 septembre 2021 (consulté le 26
septembre 2021).
En Haute Marne une voiture sncf démantelée chaque jour [archive].
Au Mans là où finissent les rames de la SNCF [archive].
« CFL-Voitures CORAIL » [archive], sur http://rail.lu [archive] (consulté le 8
octobre 2018).
« Trains d'Europe : Les voitures Corail à l'étranger » [archive], sur trains-
europe.fr (consulté le 18 mai 2021).
Bibliographie
André Papazian, "Il y a 40 ans, mise en service des voitures Corail",
Rail_Miniature_Flash, no 600, Paris, Rigel Editions, juillet 2015, pages 56-61.
(ISSN 0033-8737)
André Papazian, Encyclopédie du train, volume 2, voitures & wagons, éditions
E.T.A.I., 2002. (ISBN 2-7268-8574-8)
Le Grand Atlas des trains et locomotives, Éditions Glénat, 2002. (ISBN 2-7234-4076-
1)