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Assainissement

L’assainissement est une démarche visant à améliorer la situation sanitaire globale de l'environnement dans ses différents composants. Il
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comprend la collecte, le traitement et l'évacuation des déchets liquides, des déchets solides et des
excréments .

L'objectif principal est la prévention du contact humain avec des substances dangereuses, spécialement les fèces en mettant en place des
systèmes de traitement et d'évacuation des déchets. Les dangers issus d'un mauvais assainissement sont multi-factoriels, pouvant être à la fois
physique, microbiologique, biologique ou encore chimique. Les déchets, ce qui inclut les excréta d'origine humaine et animale, les déchets
résiduels ou encore les eaux usées, peuvent causer des problèmes de santé majeurs.

Des systèmes d'assainissement plus hygiéniques peuvent s'appuyer sur des solutions technologiques telles que les égouts ou les stations de
traitement des eaux usées. Ces systèmes peuvent aussi suivre une approche plus décentralisée et simple avec par exemple les
toilettes sèches, les
toilettes sèches à séparation d'urine ou les fosses septiques. Enfin l'amélioration du niveau d'assainissement, en particulier dans les pays en voie
de développement, peut s'appuyer sur les stratégies de changement de comportements en hygiène personnel en promouvant par exemple le
lavage régulier des mains.

Fournir un assainissement respectant les standards de base requiert une approche systémique à l'inverse de seulement se concentrer sur le
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toilette en lui-même ou à l'autre extrémité l'usine de traitement des eaux usées.

L'objectif principal de l'assainissement est de protéger et d'améliorer la santé humaine en brisant le cycle de transmission des maladies
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hydriques .

Sommaire
Origines
Objectifs
Domaines d'activité
Eaux pluviales
Eaux usées domestiques, agricoles et industrielles
Excreta
Déchets solides
Organisation
Situation mondiale
Systèmes collectifs, autonomes et autres systèmes écologiques
Financement
Sources
Références générales
Notes
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes

Origines
Littéralement « action d'assainir », l’assainissement est originellement l'ensemble des techniques et méthodes visant à traiter les
eaux usées.

Objectifs
L'assainissement est fortement lié à lasanté publique en raison des nombreuses maladies liées à un milieu malsain.
La proximité avec les eaux usées peut engendrer des maladies à transmission fécale-orale
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(diarrhée, typhoïde, hépatites, choléra), ou liées à un vecteur (paludisme, filariose, dengue) .
D'autres maladies sont également liées à un mauvais assainissement de base et en particulier à
des latrines défectueuses ou inexistantes : bilharziose, nématodes ou autres vers.
L'assainissement vise à assurer l'évacuation et le traitement des eaux usées et des excréments
en minimisant les risques pour la santé et pour l'environnement.

Les déchets solides (reliefs de repas…) subissent une rapide décomposition, et peuvent être des
sources pathogènes. Leur collecte et leur élimination contribue également à maintenir un
environnement salubre. En l'absence d'assainissement, les
déchets à même le sol bloquent les
canaux de drainage.
Domaines d'activité
De manière générale, l'assainissement comprend l'évacuation et le traitement des eaux et des
solides usagés. Ces matières incluent les eaux de pluie, de drainage, de lavage, les eaux usées et / ou provenant de toilettes, les excréments, et
les déchets solides ; ces derniers ont différentes origines (domestique, agricole, industrielle, médicale…).

Eaux pluviales
Les eaux pluviales qui s'écoulent là où le sol est rendu imperméable par la construction de routes et de bâtiments, dites alors eaux de
ruissellement, sont sujettes à la pollution. L'assainissement vise donc à évacuer ces eaux vers le milieu naturel, tels que des cours d'eau ou dans
les zones où l'infiltration est possible.

Il est installé des bassins de rétention d'eaux, des ouvrages de régulation du débit et des stations de pompage anti-crues visant à assurer la
protection du milieu naturel, des biens et des personnes contre lesinondations, les éboulements, « la détérioration desroutes et des bâtiments ».

Effectivement, lors de très forts ou très longues précipitations, les volumes d'eau (à traiter concernant les stations d'épuration (STEP) ou à
réguler pour les ouvrages de rétention) peuvent dépasser les capacités de stockage et de traitement. À ce moment, les excédents d'eaux pluviales
sont rejetées à la rivière afin de garantir le bon fonctionnement des réseaux d'assainissement et de protéger les habitations proches.

Eaux usées domestiques, agricoles et industrielles


Les eaux usées sont celles qui ont été utilisées et
souillées par des activités humaines (domestiques,
industrielles, agricoles). Elles doivent être traitées sur
place par un système d’assainissement individuel
(fosses septiques, phytoépuration, filtre compact ou
microstation) ou envoyées vers des stations
d'épuration distantes sans qu'elles ne stagnent en
surface (source de maladies, de nuisances olfactives,
Vue d'un égout visitable type Bassin de rétention eau paysager
d'émanation de méthane ou de H2S…) et pour
ovoïde à Paris. réalisé en espace public àStains
minimiser la pollution, avant de les retourner au
milieu naturel, une foisépurées.

Dans les grandes villes et les pays développés, un système d'égout remplit ces rôles : le drainage des eaux de ruissellement pluviales est fait en
surface par des caniveaux se vidant régulièrement dans un réseau souterrain séparé (réseau dit séparatif) ou non des eaux usées (réseau
unitaire) ; les bâtiments et les toilettes sont reliés directement aux égouts par des canalisations. Un siphon évite les retours d'odeurs dans le
bâtiment. Un réseau d'égout représente un investissement très élevé, son entretien demande aussi beaucoup de ressources humaines et
matérielles ; il encourage une grande consommation d'eau en déresponsabilisant les utilisateurs ; ses inévitables fuites contribuent à la pollution
du sous-sol.

D'autres possibilités existent : les systèmes autonomes en zones peu denses (assainissement non collectif ou ANC), voire des systèmes
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d'assainissement regroupé dans les lotissements, les campings, les gîtes ou simplement entre plusieurs voisins.
Les réseaux d'égouts séparatifs à faible diamètre permettent de soulager grandement les coûts d'investissement et d'entretien et la charge sur le
système d'épuration (en ne transportant en principe que les eaux usées). Les eaux pluviales peuvent rester en surface si les caniveaux et les
canaux à ciel ouvert sont correctement aménagés. Dans le cas contraire (en ville par exemple), les eaux pluviales empruntent un autre réseau,
d'un diamètre important, ce qui augmente les coûts.

Dans un système séparatif les eaux claires « parasites » doivent être réduites au minimum. Par exemple il ne faut pas brancher les gouttières
provenant des toitures sur le réseau des eaux usées. En réalité, les apports pluviaux sont tels qu'il existe des déversoirs d'orage permettant au
réseau d'eaux usées de décharger le surplus de débit vers le réseau pluvial, ou directement dans les cours d'eau. [réf. souhaitée] C'est pour cela
qu'il peut être déconseillé de se baigner en mer après un orage pendant quelques jours.[réf. souhaitée]

Une difficulté est de veiller à ce que les artisans et industriels ne versent pas d'eaux polluées par des huiles minérales, des métaux lourds, des
biocides ou d'autres produits indésirables dans l'égout. Ainsi, en France en 2013, un tiers des entreprises ne respecterait pas l'obligation de
détenir une autorisation de déversement dans le réseau public alors qu'ils y rejettent des quantités parfois importantes d'ef
fluents industriels.

La proportion de la population mondiale ayant accès à de l'eau salubre est passée de 83 % en 2000 à 87 % en 2008, tandis que l'accès à des
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systèmes d'assainissement a augmenté de 58 % à 61 %. La population passant de 6 milliards à 6,85 milliards de personnes entre-temps.

Excreta
L'évacuation des excreta est probablement l'aspect le plus important au niveau domestique : si les
déchets et les eaux usées peuvent simplement être jetés dans la rue en l'absence de système de
gestion, la défécation non contrôlée est une source importante de maladies et de gêne dans la vie
quotidienne. L'Unicef et l'OMS utilisent l'accès à une latrine améliorée comme indicateur de
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l'assainissement de base , avant de considérer les eaux et les déchets solides.

Au niveau de l'urbanisme, le principal choix pour la gestion des excreta concerne l'évacuation sur
place ou à distance. L'évacuation à distance consiste à relier une toilette soit à un réseau d'égout
(qui évacue à la fois les solides et les liquides), soit à une fosse septique qui retient les solides et
Une toilette, moyen le plus évacue les liquides. Ces deux systèmes ont besoin d'une grande quantité d'eau pour fonctionner :
courant dans les villes des pays 8
plus de 25 litres par jour et par personne . L'évacuation sur place consiste à utiliser une latrine
développés d'évacuer les
située sur une fosse creusée ou surélevée, contenant les matières fécales et laissant éventuellement
excréments.
la fraction liquide s'infiltrer dans le sol si la nappe phréatique est suffisamment loin. Le problème
de la vidange de la fosse se pose alors.

La gestion des excreta peut aussi se faire selon l'assainissement écologique, en dissociant les excreta (gérés avec des toilettes sèches) et les eaux
ménagères (gérées par phytoépuration ou pédo-épuration). Cette approche vise à supprimer les pollutions des milieux aquatiques, et valoriser
les excreta humains pour la fertilisation des sols. Ces systèmes se développent, mais leur acceptation reste compliquée face à l'apparente
simplicité (du point de vue de l'usager) offerte par un système d'égout. Des acteurs de l'assainissement écologique se sont regroupés au niveau
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international au sein du réseau SuSanA qui rassemble et communique sur les programmes d'assainissement écologique menés dans le monde
.

Déchets solides
L'absence de gestion des déchets solides a des conséquences graves au niveau de la santé (lieu de
reproduction de moustiques, de rats), de l'impact environnemental (apparence, odeurs, pollution de
l'eau et de l'air), de la toxicité (notamment pour les déchets médicaux et les métaux lourds), de
l'impact social (pour les personnes vivant à proximité, et pour les personnes vivant de la
récupération des déchets) et de l'infrastructure (les déchets non collectés bloquent les canaux et les
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voies d'accès. Comme une personne produit entre 250 g et 1 kg de déchets solides par jour , les
conséquences d'une mauvaise gestion sont vite catastrophiques pour une ville d'une certaine
Benne à ordures importance.

La gestion des déchets inclut leur collecte, leur transport jusqu'à un site, et leur traitement ; elle
peut aussi inclure le nettoyage des rues. Le ramassage s'ef
fectue dans des poubelles domestiques ou collectives, vidées périodiquement dans une
benne à ordures ménagères qui assure le transport. Dans les endroits moins développés, les déchets peuvent être collectés par brouette. Le
nettoyage des rues peut être fait mécaniquement avec desbalayeuses ou avec des outils dédiés par desnettoyeurs.
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Le traitement des déchets peut être précédé d'une réutilisation et / ou d'un recyclage (lui-même exigeant un tri sélectif préalable) . Le
traitement lui-même peut être fait de trois façons : par dépôt dans une décharge aménagée ou non ; par incinération ; ou par compostage. Si les
pays développés mettent en place des réglementations de plus en plus contraignantes pour le traitement des déchets, dans de nombreux pays en
développement la décharge non contrôlée reste le moyen le plus courant d'enlever les déchets ; ceux-ci sont aussi souvent récupérés par des
personnes pauvres qui récupère ce qui peut encore se revendre.

Organisation

Situation mondiale

Couverture de l'assainissement de base dans le monde d'après une évaluation deOMS


l' en 2002.

La couverture mondiale de l'assainissement de base montrée sur la carte ci-dessus provient d'une estimation effectuée par le Water & Sanitation
Program en 2002 (branche de laBanque mondiale) en utilisant différentes sources. Dans ce contexte, l'« assainissement de base » correspondant
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à l'accès à « un système d'évacuation des excréta amélioré » , ce qui inclut les connexions à un système d'égout, à une fosse septique, à une
latrine à siphon hydraulique, à fosse simple ou à fosse améliorée ventilée. En revanche, ne font pas partie des systèmes « améliorés » les latrines
publiques ou partagées, les latrines à ciel ouvert (cas de nombreuses latrines à fosse simple), les latrines à seau et bien évidemment la défécation
en plein air, en sachet plastique, etc. (voir aussi l'articleLatrine pour plus de détails).

Les Nations unies se sont fixé, dans le cadre des objectifs du millénaire, de réduire d'ici 2015 de moitié le nombre de personnes des pays en
développement n'ayant pas d'accès à l'assainissement. Les Nations unies estiment ainsi qu'en 1990, 35 % (respectivement 49 % pour le monde
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entier) avait accès à un système d'assainissement amélioré, en 2004 la proportion atteint 50 % (respectivement 59 %).

En effet, 2,4 milliards de personnes ne disposent toujours pas de toilettes décentes, et 946 millions de personnes pratiquent la défécation à l’air
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libre.

Systèmes collectifs, autonomes et autres systèmes écologiques


Les méthodes d'évacuation et de traitement diffèrent selon la taille de la ville, selon le type de zone (urbaine, péri-urbaine, communauté
urbaine), selon les moyens disponibles et les habitudes culturelles. Éventuellement un contrôle d'efficacité est mis en place par la collectivité, au
titre de la protection des milieux naturels.

L'assainissement non collectif, également appelé autonome ou individuel, repose avant tout sur l'exploitant de l'installation. En France,
l'assainissement non collectif et semi-collectif répondent à des normes strictes. Les systèmes sont divisés en filières :
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filières traditionnelles, composées d'unefosse septique suivie d'un système d'épandage .
filières agréées, dont la commercialisation nécessite unagrément ministériel. Les dispositifs d'assainissement les plus
représentés sont les micro-stations d'épurationet les filtres compacts.
La gestion de l'assainissement non collectif est effectuée au niveau local par le SPANC, le Service Public d'Assainissement Non Collectif. Le
SPANC est en partie financé par une taxe prélevée aux contribuables. Lorsque le logement est raccordé à l'assainissement collectif, les
contribuables paient également une taxe. Sur ce point, l'assainissement non collectif ne fait donc pas figure d'exception.

Les systèmes collectifs supposent quant à eux un gestionnaire désigné par la collectivité du service public de l'assainissement. Il peut être une
émanation de la collectivité (gestion publique), ou faire l'objet d'un contrat de délégation plus ou moins formalisé. La délégation peut ainsi se
faire au profit d'une association locale, ou d'entreprises informelles pour les systèmes simples de collecte et de traitement des ordures ménagères
ou d'eaux usées. Lorsque les systèmes atteignent une relative complexité, le délégataire est choisi pour ses compétences techniques et
organisationnelles.
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De plus en plus, certains rôles sont délégués à des entreprises privées et notamment l'épuration des eaux, le traitement des déchets et la
plomberie au niveau domestique.
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Une autre approche de l'assainissement propose aussi des systèmes écologiques. Elle prend en compte les cycles biologiques , se démarque
particulièrement par le cycle de la biomasse et prétend à un respect durable de l'environnement. Elle rendrait vétuste, dans de nombreux cas le
procédé conventionnel de traitement (réseaux séparatifs, stations de traitement, etc). De plus, elle apparaît bien moins coûteuse pour l'utilisateur,
pour la société et pour l'environnement.

Financement
Le financement peut se faire au travers de taxes et d'impôts (Grande-Bretagne [réf. souhaitée] par exemple) en général liés au foncier, ou au
travers de redevance perçue sur les volumes rejetés (souvent le volume d'eau potable consommé).

Dans de nombreux pays, notamment en développement, le financement des services publics d'assainissement ne sont pas assurés. La
constitution d'un réseau représente un investissement majeur, avec un amortissement sur des périodes comprises entre 60 et 100 ans. La
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délégation aux entreprises privées peut permettre la mise en place d'une structure de financement , l'inconvénient majeur est que les zones
pauvres et en particulier lesbidonvilles sont mal ou non desservies car sont trop peu rentables. L'État ou la collectivité locale doivent alors jouer
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un rôle de régulateur pour assurer une distribution équitable des services .

Les individus sont aussi de plus en plus sollicités pour des actions devant se dérouler au niveau domestique : tri des déchets, réduction de la
quantité d'eau utilisée …

Les installations d'assainissement non collectif peuvent être très coûteuses, atteignant souvent et dépassant parfois la dizaine de milliers
20
d'euros . Parce que l'assainissement des eaux usées est un enjeu de santé publique, le gouvernement français a mis en place différentes
dispositions pour aider les particuliers à financer leurs installations.
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On trouve entre autres un abaissement de la TVA, un crédit d'impôt et un prêt à taux zéro. Tous les dispositifs ne sont cependant pas éligibles
à tous les types d'aides.

Sources

Références générales
Duncan Mara, Low-cost urban sanitation, 1994, Wiley & Sons.
Duncan Mara, Low-cost sewerage, 1994, Wiley & Sons.

Notes
1. UNICEF Sanitation Programming Handbook, voir surwww.unicef.org (http://www.unicef.org), UNICEF.
2. (en) « Compendium - Eawag » (http://www.eawag.ch/en/department/sandec/publikationen/compendium/), sur www.eawag.ch
(consulté le 19 avril 2017)
3. (en) « Vers des solutions d'assainissement plus durables (in French) - Resources • SuSanA» (http://www.susana.org/en/reso
urces/library/details/269), sur www.susana.org (consulté le 19 avril 2017)
4. Sandy Cairncross et R. Feachem,Environmental Health Engineering in the T ropics, 1993, Wiley & Sons.
5. « ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF REGROUPÉ» (http://www.greentechjournal.fr/assainissement-non-collectif-regroup
e/), sur www.greentechjournal.fr (consulté le 16 août 2017)
6. Charlene Porter, « Les experts de la santé publique notent dix signes d'amélioration au XXIe siècle » (http://iipdigital.usembass
y.gov/st/french/article/2011/06/20110627132322x8.978999e-02.html#axzz1QY iFG3AW), Bureau des programmes
d'information internationale du département d’État desÉtats-Unis d'Amérique, 27 juin 2011 (consulté le 28 juin 2011).
7. (en) Water and Sanitation Programme,Joint Monitoring Programme for Water Supply and Sanitation accessible en ligne (htt
p://www.wssinfo.org/en/32_san_global.html).
8. GHK Research and Training, Strategic Planning for Municipal Sanitation: A Guide(Part C3: Tools for Sanitation Choice),
Londres, 2000.
9. Site de SuSanA - Alliance pour l'assainissement durable(http://www.susana.org/fr/)
10. B. Fawcett, Water & Sanitation for Developing Countries, Lectures Notes, Université de Southampton, 2005.
11. Recyclage des déchets solides.(http://comoreciclar.org/reciclaje-de-residuos-solidos/)
12. Voir les définitions (http://www.wssinfo.org/en/122_definitions.html) sur le site du WSP.
13. Rapport 2006 des Nations Unies(http://mdgs.un.org/unsd/mdg/Resources/Static/Products/Progress2006/MDGReport2006.pd
f)
14. SOLIDARITÉS INTERNATIONAL, « Baromètre de l'eau 2017», Baromètre de l'eau, 2017 (lire en ligne (https://www.solidarite
s.org/wp-content/uploads/2017/05/Barometre-de-leau-lhygiene-et-lassainissement-2017.pdf) )
15. « Réhabilitation de l'assainissement non collectif», Green Tech Journal, 25 mars 2017 (lire en ligne (http://www.greentechjourn
al.fr/rehabilitation-assainissement-non-collectif/)
)
16. Water and Sanitation Programme,Sanitation is a business, approaches for demand-oriented policies , SDC, 2004
(ISBN 3-03798-058-3).
17. Une approche écologique. Site du professeur Joseph Orszagh« assainissement écologique» (http://www.eautarcie.org/02a.ht
ml), sur Eautarcie
18. Water and Sanitation Programme,New Designs for Water and Sanitation Transactions ; Making Private Sector Participation
Work for the Poor, PPIAF [Quoi ?], mai 2002.
19. Water and Sanitation Programme,Building Municipal Capacity To Deliver Services To The Poor, Eighth Meeting Of The Urban
Think Tank, DFID [Quoi ?], 13 mai 1999.
20. « Prix de l'assainissement autonome : guide complet», FactoryFuture, 9 décembre 2016 (lire en ligne (http://www.factoryfutur
e.fr/prix-assainissement-autonome/))
21. « BIC - Réductions et crédits d'impôt - Crédit d'impôt au titre des avances remboursables ne portant pas intérêt pour le
financement de travaux d'amélioration de la performance énergétique des logements anciens - Champ d'application » (http://b
ofip.impots.gouv.fr/bofip/6464-PGP.html), sur bofip.impots.gouv.fr (consulté le 6 mars 2017)

Voir aussi

Articles connexes
Égout Latrine, Toilette, Toilette sèche Eaux pluviales
Assainissement biologique Traitement des eaux usées Droit à l'eau
Assainissement en France Pompage en ligne Observatoire de l'eau
Assainissement durable Glossaire de l'immobilier Liste des technologies
Encrassement biologique Hygiène d'assainissement
Égouts de Londres Watsan Liste des produits
d'assainissement
Épuration des eaux Assainissement non collectif
Déchet, Recyclage Eaux usées

Liens externes
L'assainissement collectif en France, MEEDDM
(developpement-durable.gouv.fr) Sur les autres projets Wikimedia :
Assainissement écologique(Agence Suédoise Internationale
Assainissement, sur le Wiktionnaire
pour le Développement)
fr.irc.nl, International Water and Sanitation Centre

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