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access to Revue Archéologique
SUR
(1) Raoul Rochette, Discours sur les types primitifs de Vart chréti
p. 46.
(2) On sait que quelques écrivains ont voulu voir dans ces rouleaux un symbole
parlant de l'accomplissement des prophéties; d'autres une distinction entre les
apôtres qui ont laissé des écrits et ceux qui n'ont rien écrit; mais ces explications qui
peuvent paraître séduisantes ou ingénieuses au premier coup d'oeil, sont loin d'être
acceptées de tous les savants et surtout des archéologues qui font autorité.
(3) Pitture e sculture sagre , etc.
(4) Osservazioni sopra alcuni frammenti di vasi antichi , etc., chef-d'œuvre
ďérudition et de critique et un des plus beaux monuments de la science archéolo-
gique chrétienne.
(5) Vetera monumenta, savant ouvrage quant au texte, mais dont malheureu-
semeni: les planches sont généralement mal exécutée».
(6) Osservazioni sopra i cemeteri .
(7<) Histoire de Vart . Yoy. les section» Peinture et Sculpture .
(1) II. Emeric David , Discours sur la Peinture, in-8°, p. 49, eile une tradi-
tion qui veut que Constantin ait ea une vision pendant laquelle saint Pierre et
saint Paul lui seraient apparus, et que le pape saint Sylvestre ayant mis sous
les jeux de Constantin une peinture des deux portraits des deux princes de#
apôtres, l'empereur déclara que ces portraits étaient les mêmes que ceux qu'il avait
vus en songe et restés bien présents à sa mémoire , et que ces images , précieuse-
ment conservées & Rome, furent les modèles d'après lesquels les artistes devaient
se guider pour peindre les deux apôtres. On dit que ces deux portraits sont conser-
vés dans la basilique de Saint-Pierre à Rome; ils ont été souvent reproduits. On en
trouve une gravure curieuse dans la Description de la confession de saint
Pierre , par Etienne Borgia, l vol. in-4°, ou Descriptio sanctœ confessionis
beati Petri, opera card. Stephani Borgiœ. Voir à ce sujet la note 2, page 343 du
Ier volume de notre Dictionnaire iconographique des monuments , etc. Paris,
Leleux, édit.
(1) M. l'abbé Crosnier qui cite cette opinion, page 21 de son Iconographie chré-
tienne , ne dit pas où il l'a puisée, ce qui est important pour prouver l'époque plus
ou moins ancienne des sources citées. Nous la trouvons consignée, du reste, dans
Casalius, de Ritibus Christianorum , in-4°, liber I, cap. h, p. 21. Cur autem Pe-
trus cum duabus clavibus regni cœlorum pingatur ? Quarum altera aurea est,
altera argentea ... per clavem auream intelligi potestatem absolvendi ... per
argenteam ex communications, etc. Peut-être est-ce là que ce savant abbé aura
puisé son autorité.
(2) Casalius, de Ritibus Christianorum, édit. in-4° p. 22.
(3) Malgré toutes les préventions des hommes les plus hostiles, si quelques papes
ont abusé du terrible moyen de l'excommunication dans les Ages de foi, on ne niera
pas qu'il ait servi plus d'une fois à protéger la faiblesse contre la force brutale et
à défendre les peuples contre l'arbitraire des puissants de la terre.
(4) Voir tout ce que nous indiquons de monuments à l'appui dans notre Diction-
naire iconographique des monuments de V antiquité chrétienne , etc., t. II,
p. 265, note (3). On y trouve citée surtout une curieuse lettre deTabbé Powyard
à Millin, laquelle nous semble avoir épuisé la question en l'appuyant de nom-
breuses autorités.
en même temps qu'il indique par l'élévation de ses sourcils, sa trop grand
fiance dans ses propres forces. M» l'abbé Guillon» page 82 de son livre
Cénacle de Léonard de Vinci, pense que cette tète de saint Pierre doit êtr
forme à celle qu'Eusèbe dit avoir vue à Césarée et dont une copie aurait b
exister au temps de Léonard de Vinci.
(1) M. Guillon veut y voir une espèce de couteau de chasse, dont saint Pie
servait dans l'exercice de son métier de pêcheur et qu'il devait avoir au jar
Olives, lorsqu'il coupa l'oreille de Malchus. La forme semble repousser
interprétation. Saint Pierre n'aurait pas tenu un couteau de chasse étant
teut s'opposè à le croire. I/Évangile d'ailleurs parle de deux épées et non d
teau de chasse qui était en dehors des habitudes de saint Pierre.
(2) Molanus en donne plusieurs raisons, Histor. imagin. sacr in-4°, p.
plus remarquable serait que saint Jean prêchant l'Évangile à Éphèse, et ay
écrouler par ses prières le temple des faux dieux (sans doute celui de D
n'échappa à la mort qu'en offrant de boire du poison pour prouver sa mis
vine , ce qui fut accepté et entraîna la conversion d'un grand nombre. D'
écrivains prétendent qu'un paysan entendant prêcher saint Jean lui prom
s'il buvait un vase de poison et survivait, il se convertirait ; l'apôtre confi
la parole de son maître, accepta la proposition et but, sans en éprouve
mal, on vase de poison dont la liqueur mortelle avait été éprouvée avant su
criminels: le paysan fut sans doute converti.
(3) Pour cette forme de dragon, animal fantastique si en vogue au moye
et dont les artistes de toutes les époques, et surtout jusqu'au XVIe siècle, ont
si riche parti, voyez le texte du R. P. C. Cahier, Vitraux de Bourges y i
page 77. VHagiologium Lugdunense , de Théoph. Raynaud, in-f°, p. 353
(4) Cet aigle n'a pas toujours appartenu à saint Jean seul, comme att
M. Peignot, dans un Mémoire sur les quatre animaux symboliques des É
listes , in-4°, p. 14, nous apprend que l'aigle, d'après saint Irénée, a été au
l'attribut de saint Marc et saint Irénée. Ce n'est que depuis saint Jérôme
attribut, ainsi que les trois autres, sont restés fixés comme nous les conn
L'aigle, d'après saint Ambroise, fut aussi pris pour un des attributs de
Christ, dont il figurait la résurrection. Lqço cit aiot p. 15.
(1) Voir les raisons, suivant nous, fort peu concluantes, données page 104 et
suivantes. Ceux qui yeulent y voir saint Jacques le Majeur nous semblent mieux
fondés.
(2) Il nous semble que M. l'abbé Grosnier a fait erreur en désignant cette croix
tacrarum, in-4°, édition Pacquol, page 280. Cet attribut ne fut pas to
même, car au siècle de saint Augustin (vers l'an 430), on donnait le lion c
tribut à saint Mathieu; mais l'ange est revenu à son poste, depuis saint J
pour ne plus changer. Voy. Peignot, Notice sur les quatre animaax sym
des Évangélisles , in-4°, p. 15. On sait que cet ange ou cette figure d
représente la nature humaine de Jésus-Christ, ou même la généalogie du
Saint Ambroise, in Homelia ; et p. 102 du Mémoire de madame Félicie
sur les Statues de Chartres , in-8°. Paris, I860. ChezLeleux, librai re-édit
(1) Voir page 101 de son livre sur le Cenacle, qui renferme bien ďau
tails curieux pour les peintres. Cette manière d'analyser une figure et d
no portrait presque ad vivum est très-remarquable dans tout le livre
Guillon ; on peut seulement regretter qoe ces brillantes conjectures ne s
des révélations du peintre même.
(2) Le cabinet des Estampes de Pans possède un bel œuvre ae caiioi qu
environ à 1,500 pièces. L'œuvre de Cranach et de J. Ghein sont égale
cabinet des Estampes de Paris.
(1) Cependant, les Actes des apôtres disent formellement que les
le sort fut jeté sur les deux candidats {Aci. apost., 26), et qu
Mathias ; mais, observe le savant père DeLigny, si cette circon
l'usage du sort peut être admis dans des cas extraordinaires , il
employé depuis longtemps pour le choix des ministres et des past
est même défendu par les canons, par divers motifs inutiles à d
(2) Luc. Evangel., cap. xxii, vers. 30. Sans doute que ces dou
pensée de Jésus-Christ , représentent le monde entier dont ell
expressive.
vil. 20
(1) Saint Augustin en parle ainsi que le pape saint Léon , Fortunat
autres. Rufin la cite comme admise dès le IVe siècle. Voir aussi Mol
imaginum sacrarum , p. 532.
(2) On sait que le vrai titre de ce livre est celui-ci, Chronicaru
Hartmann Schedel , etc., 1493 , Impressum , etc. On en trouve des é
«t allemandes, les dernières sont plus récentes; beaucoup de planc
rieuses, surtout celles de la Création, du Jugement dernier, du Cre
bliothèque du Louvre en possède un exemplaire assež beau , mais so
ridicule s De la création du monde . N° 1168 du catalogue. E. 2.
(3) Ce texte se trouve reproduit sur une mosaïque au IXe siècle, do
vu l'indication dans Ciampini, mais dont nous n'avons pu retrouver
indication était d'autant plus intéressante que la figure de saint And
de ce texte.
L. J. Guenebault.