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- Un crime rituel 

! trop de mort par empoisonneent enregistrée en l’espace de deux semaines


- De nouveau sur les suspects ?
- Demanda madame le commissaire
- Nous avons retrouvé des photos sur le lieu du crime. Celle de Anita Hens. L’assassin à laissé
ses coordonnées à la réception bien que pour le second cas, tout porte à croire que l’assassin
a utilisé une autre identité pour brouiller les pistes mais qu’à cela ne tienne nous allons les
ineterpeller et les auditionner. La présumée assassin s’appelait Messina Germaine Kalba
- Nous avons reçu une plainte contre madame Anita Hens de monsieur Isidore Tallane que
voici elle doit rapiement être interpellée pour répondre de ses actes : bref les deux suspects
doivent être itnerpellés de leur dépositon nous donnera plus de clairvoyance sur la suite de
l’enquête. Vous avez 48h pour me boucler cette première étape
- A vos ordre mon commisaire

Une semaine plus tard, officier Simo et Officier Jarrot préparent une opération en vue de
l’interpellation de madame messina germaine kalba et de madame Anita Hens. Les premiers suspects
de l’enquete ;

Officier Simo, je suggère que nous interpellons madame Germaine Messina pour cette journée et
demain matin nous finalisons avec le cas de Anita Hens suggera Officier Jarrot

- Je pense que le programme est bon, surtout que nous avons pas mal de dossiers à suivre
aujourd’hui
- D’après nos recherches madame germaine Messina Kalba est une commerçante, une
vendeuse de beignets au marché Mokolo, dit Mr SIMO
- C’est quand même curieux non ?

Je pense qu’on se trompe de cette cible, mais nous devons tout de même interpeller cette dame et
seul nos investigations nous permettons de confirmer au d’infirmer notre thèse. Il est 10h Marché
Mokolo. L’un des plus grand marché du Cameroun, madame Messina germaine kalba une maman
âgée d’une cinquantaine d’années prépare déjà la farine des beignets, du haricot et de la bouillie
pour le repas du soir, aidé par son fils Timothée maman makala, communément appelée ainsi par ses
clients est déjà sur son lieu de travail et son beignetariat est déjà bondé de monde toute joyeuse et
dévouée à son petit commerce, elle est loin d’imaginer le pire qui va bientôt lui arriver 1h plus tard,
deux hommes policiers en civils se rapprochent de son comptoir :

- Bonsoir madame
- Bonsoir messieurs
- Je m’appelle officier Jarrot et voici mon collègue Officier Simo de la police judiciaire !

Madame Messina germaine fut éprise de panique et de frayeur !

- Ekié !!!? chef il y a quoi ?


- Que se passe-t-il ?
- C’est bien vous madame Messina germaine Kalba ? demanda officier Simo
- Oui chef c’est bien moi
- Veuillez nous suivre au poste s’il vous plait et je vous conseille de le faire discrètement pour
ne pas attirer l’attention et chasser vos clients.
- Seigneur, mon dieu qu’est-ce qui se passe ? Je n’ai rien fait, je ne connais rien Seigneur
- Ne nous perdez pas le temps madame !
- Maman qu’est ce qu’il y a ?
- Non ça va mon fils reste contrôler les beignets et occupe-toi des clients je m’en vais gérer
rapidement un dossier et je reviens madame germaine et les eux policiers entraient dans un
taxi course et s’en allaient, sous le regard inquiet de Timothé le fils de madame germaine
arrivé à la police judiciaire
- Madame Messina Germaine kalba
- Our chef que se passe-t-il ?
- Demanda la dame toute désemparée
- Nous avons retrouvé votre carte d’identité sur les lieux d’un crime à l’hôtel korador
- Il y a une semaine
- Hein ? Ma CNI ? une montre ? chef ça fait 3 mois que j’ai été agressé au marché mokolo, on
a arraché mon sac avec toutes mes pièces depuis lors chef, je me ballade avec une
photocopie de ma carte en attendant et j’avais prévu en refaire une autre !
- Chef : je n’ai jamais tué de toute ma vie. Je n’ai jamais tué personne de toute ma vie le seul
travail que je sais faire depuis 20 ans pour nourrir ma famille c’est les beignets haricots et la
bouillie, répondit-elle toute effondrée. Je n’ai jamais été dans un hôtel chef, je suis vraiment
déconcertée par cette nouvelle chef
- Hamadou Alim c’est le nom de la victime est –ce que ce nom vous dit quelques Chose ?
- Demanda officier Jarrot
- Non chef je n’en sais rien du tout chef
- Cet homme a été retrouvé mort da uns une chambre d’hôtel et certaines parties de son
corps lui ont été enlevés, notamment le cœur et les reins.
- Seigneur !!! non ! pourquoi moi disait-elle en pleurant
- Chef, je vous le jure ! je n’en sais rien de tout ceci regardez je n’ai pas de carte d’identité
depuis 03 mois voici la photocopie avec laquelle je me ballade dans la ville ! chef ce n’est pas
moi, c’est surement quelqu’un d’autre qui est en train d’utiliser mon nom pour des fins
criminelles chefs croyez-moi je vous en prie !!
- Répondit-elle en pleurant.
- Madame Messina, nous n’allons pas vous relâcher tant que nous n’avons pas de preuve
palpables que vous êtes innocente parce que qui qu’il en soit la présence de votre carte
d’identité sur les lieux du crime est un indice important et fiat de vous une suspecte.
- Madame messina germaine se mis à pleurer
- Oh Seigneur ! pourquoi moi ?
- Pourquoi maintenant, que vais-je devenir en prison ? qui va nourrir ma famille ? se
lamentait-elle
- Vous avez 15 minutes pour contacter votre famille
- Oh mon Dieu Seigneur que vais-je devenir ? Je n’y suis pour rien. Je vous jure chef je n’y suis
pour rien et je ne connais rien de tout ce qui se passe ! oh Seigneur disait-elle en pleurant
dans le bureau des enquêteurs. Pendant ce temps dans le bureau de Madame la
commissaire,
- Officier croyez-vous à la théorie de cette femme ? demanda le commissaire aux enquêteurs
- Seuls les résultats de parquet nous donnera les vrais détails sur cette affaire ne nous fions
pas aux apparences ! répondit officier Simo.
- En effet et combien de suspects avez-vous sous la main
- Nous en avons deux pour le moment, madame germaine messina kalba qui a été interpellée
à l’instant et madame Anita Hens dont nous préparons une opération pur son interpellation
qui est prévue pour demain matin répondit officier Jarrot.
- Très bien nous ferons le point demain sior
Après avoir contacté son fils et quelques membres de sa famille, thimothé le fils de madame
germaine se rend aussitôt à la police judiciaire pour réconforter sa mère.

Mon fils, disait-elle en se jettant dans ses bras toput en pleurs

- Maman que se passe-t-il ?


- Demanda Thimothée
- Je n’en sais rien thimothée
Quelqu’un a utilisé ma carte d’identité pour tuer des gens et me voici incarcérée pour un
crime que ne n’ai as commis
- Mon dieu ! ce n’est pas possible ! mais maman, ça fait 03 mois que tu as été agressée et on
t’a tout dépouilllée ! mais comment ont-ils obtenu ta carte d’identité au point de userper ton
identité pour commettre un meutre ?
- Que veux-tu que je te dise mon fils, je n’en sais rien
- Maman, soit forte, ça va aller nus allons nous battre pour prouver ton innoncence et te sortir
de prison.
- Merci mon fils Dieu est juste et bon, je remets tout entre ses mains, depuis la mort de ton
père il y a deux ans aujourd’hui, la vie est devenue très difficile, c’est avec mon petit
commerce de beignet haricot bouiillie queje me at pour vous envoyer à l’école. Mon fils, tu
es mon aîné et j’aurais plus que jamais besoin de toi occupes toi de mon petit commerce et
veille sur tes petits frères. Je ne sais combien de temps cela va durer. Je ne sais combien de
temps je vais passer en prison mon fils.
- Ne plueurs plus maman, on saura bientôt la vérité sur cette affaire. Je me battrais pour quetu
sortes d’ici et pour le reste, tu peux compter sur moi.
- Rentres à la maison et ramène moi le nécessaire
- D’accord maman, repondit-il et thimoté rentra à la maison pour faire ce que sa mère lui a
demandé.

Le lendemain matin au quartier Mvan, il est 8h du matin. Le jour se lève dous une pluie ardente.

Anita est couchée sur son lit en train de lire et meéditer la parole de Dieu. Pensive et orgoissée
depuis plusieurs emaines à cause des multiples callenges et contentieux qu’elle a avec ses
partenaires, elle recommande son sort à l’Eternel.

- Père Eternel dans mes songes ma vie est sombre, mon âme est attaqué je me vois en
captivité Seigneur, eje te recommande mon sort, que ta volonté soit faite eau nom de Jésus
Christ. Amen prait-elle.

Après sa méditation matinale, Anita se lève de son lit, fait son ménage, prens son bain, prend son
petit déjeuner et s’apprête pour vaquer à ses occupations.30 minutes plus tard quelqu’un toque
à sa porte.

- Toc toc toc


- Qui est-ce ? demanda Anita
- L’air surprise
- Police judiciaire ouvrez cette porte !
- Oh non ! Seigneur ! la police chez moi ? S’exclama Anita, déboussolée et déconcertée. Elle se
leva et alla ouvrir la porte à sa surprise deux policiers en visite chez elle
- Bonjour monsieur, que voulez-vous ?
- Madame Anita Hens, bonjour, e suis l’officier Jarrot et je vous présente mon collège simon en
service à la pocie jjudiciaire. Vous êtes convoquée à la police pour complicité de meurtre,
excroquerie et abus de confiance, vous êtes priée de nous suivre
- Quoi ? meutre ? oh mon dieu
- Vous avez interêt à coopérer
- Ok chez allons y, répondit-elle d’un regard dévasté
- Anita descenit avec les 02 oliciers venus la chercher docmicile. Une voiture les attendait au
bas de l’immeuble, arrivé à la poclice judiciaire Aniat et les deu officiers se rendaient au
bureau de Madame la commisasaire pour une confrontation avec un de ses plaignants qui
l’attendait depuis plus d’une heure.
- Madame Anita Hens
- Oui madame la commissaire
- Nous avons reçu deux plaintes contre vous : la première est de monsieru Hixe Nelson pour
excroquerie et abus de confiance, vous avez collecté via votre société Jamlah art and com
une somme de 15000 eruos destinée à l’achat des produits locaux, destinée à l’exportation
pour la France, mais malhereusement les accord de partenairats établis des le départ et les
délais n’ont pas été respecté. Reconnaissez-vous les faits madame Hens ?
- Anita resta silencieuse pendant cinq minutes.
- Madame Hens c’est à vous que e m’adresse, reconnciassez-vous les faits,
- Oui madame la commissaire, je reconnais les faits répondit Anita
- Madame Anita Hens je veux mon argent ! si dans ceux jours je n’ai pas de suite, vous verrez
de quo i je suis capatble ! vous m’avez déçu madame Anita, vous m’avez trahit, j’avais
confiance en vous et j’ai été amèrement déçu
- Monsieur laissez moi vous expliquer je suis consciente de mon erreur accordez moi de temps
pour réparer ce préjudice, si vous me mettez en prison, ça ne va que compliquer les choses !
Anita reçut une claque sur la joue gauche de son plaignant Monsieur Hixe Nelson et il a été
très vite maitrisé par la police.
- Assez de me prendre pour un imbécile madame Hens
- Monsieur arrêtez ! ça suffit pas de violence dans mon bureau, s’exclama madame la
commissaire
- Officier, faite sorit le pl ayant qu’il se calme !
- A vos ordres commissaire
- J’aurai votre peau madame Hens
Je vous donne 24 h pour me remettre on argent si non vous verrez de quoi je suis capable !
Les policiers tentant de faire sortir le plaignant, ce dernieur leur répondit sérenement
C’est pas la peine de connais la sorite tout ce que je veux cest mon argent je n’ai plus rien à
faire ici ! et le client sorit et s’en alla
Anita resta assise dans le bureau du commissaire tout en larmes et complètement
désemparée
- Madame Hens, pourquoi en êtes-vous arriver là ? et comment comptez-vous faire pour
rembourser l’argent de votre plaignant ?
- Madame la commissaire depuis l’avènement de la pandémie ma société a subi beaucoup de
difficultés et nos ventes ont drastiquement chuté. Ce qui a impacté la production et nous
n’avons pas pu honorer aux engagements de nos partenaires. J’ai tenté de négocier avec
Monsieur Hie il y a une semaine mais nous n’avons pas pu trouver un engagement
- Il y va de votre intérêt de dédommager ce client le plus tôt possible, vous êtes dans une
situation très compliquée et de lourdes charges pèsent contre vous !
- Madame Hens, vous êtes également poursuivie pour complicité de meurtre, connaissez-vous
cet homme ?
- Demanda l’officier Jarrot
- Non chef, je ne connais pas cet homme. Je n’ai jamais tué personne de toute ma vie !

Cet homme a été retrouvé mort dans un hôtel à Bastos et son corps a été mutilé ses sens et son
cœur lui ont été levés et nous avons retrouvé vos photos sur la scène de crime

- Quoi ? Non ce n’est pas possible ! ce n’est pas moi chef, ça doit être une erreur je nai jamais
tué personne
- Les indices nuos prouvent le contraire madame Hens suel les résultats de l’enquête vont
nous nous donner la vérité sur cette affaire !
- Officier ! placez là en garde à vue ! ordonna le commissaire
- A vos ordres commissaire !
- Madame Hens, levez-vous et suivez moi, repliqua officier Simo Anita se leva, toute triste et

complètement désemparée, officier simo descendit avec Anita au rez de chaussée où se

trouve la cellule, à l’entrée de la cellule deux policiers étaient en poste

- Madame Elisabeth, cette dame doit entrer en cellule merci de prendre toutes les dispositions

pour son admission

- Bien reçu officier simo

- Madame, asseyez vous là

- Anita s’asseoit sur la baise à côté de la porte de la cellule

- Debarrassez vos des outils de vleurs que vous avez bijoux, bagues, boucles et autre objet et

contactez votre famille pour les récupérer

- Bien reçu madame répondit Anita d’un air abattue

- Vous avez 30 minutes et après vous allez éteindre votre téléphone et le lassez en consigne au

poste

- Ok madame bien reçu

- Anita, assise sur la chaise en face de la cellule, triste et

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