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2.4 Exercice de création d’une portion de la carte de Bamako avec ArcMap et Arccatolog . 52
Affichage d’une image scannée ..................................................................................................... 52
Géoreferencement ......................................................................................................................... 53
Ajouter un système de projection à la carte .................................................................................... 56
Créations de nouvelles des entités ................................................................................................. 56
3 ANALYSE .....................................................................................................................63
BIBLIOGRAPHIE .................................................................................................................99
En mettant en place un SIG, l’objectif visé est que le SIG va nous permettre de donner des
éléments de réponse à un certain nombre de question que nous nous posons.
Quelques unes de ces questions générales sont les suivantes :
a) où est l’objet A ?
b) où est A par rapport à B ?
c) quelle est la valeur de la fonction Z à la position X ?
d) de combien est large B (surface, périmètre …….) ?
e) quel est le résultat des différentes variétés de croisement entre les données
spatiales ?
f) reclassification des objets ayant une certaine combinaison d’attributs ;
g) utiliser la base de données numériques comme un modèle du monde réel, simuler
l’effet d’un processus P au bout d’un temps T pour un scénario S.
Plusieurs de ces questions d’ordre général sont difficiles à répondre en utilisant les
méthodes conventionnelles.
On a aussi la carte thématique qui est plus spécifique à des sujets données net qui est
comme source d'information utile à l'exploitation et à la gestion des ressources. Exemple de
cartes thématiques :
◊ Carte géologique
◊ Carte pédologique
◊ Carte des limites administratives
d) les données attributaires
Dans ce type de données on rencontre les données ponctuelles qui sont :
◊ Les coordonnées de points de contrôle provenant de GPS
◊ Données statistiques
◊ Données de forages (PT.EP ALT…)
◊ Données de sondage
◊ Données géochiques
◊ Données hydrochimiques des eaux souterraines
◊ Les piézomètres etc.…
Toutes ces données sont géoréférencées ou sont des attributs d’autres éléments eux-
mêmes géoréférencées.
qu'il y a de classes caractérisant les occurrences de l'entité. Dans le premier cas, les entités
seraient des "zones d'occupation du sol" avec comme attribut le type d'occupation. Dans le
second cas, chaque occupation est vue comme une entité. On aurait donc une table
d'attributs pour les parcs, une autre pour les aéroports, etc. Le fait de choisir l'une ou l'autre
des solutions dépend de ce qu'on veut ou non associer des attributs à chaque type, ce qui
dépend des objectifs de la base de données.
En résumé : on place presque toujours des entités distinctes sur des couches distinctes et
très souvent non-reliées. Les exceptions utiles sont rares. Le manquement à la règle " une
entité, une couche " occasionnera des problèmes de structuration tout au long de la
constitution du S.I.G.
a) le mode vecteur
Pour le mode vecteur, trois entités principales sont utilisées ;
◊ le point (x,.y)
◊ la ligne X Y
◊ la surface
A chaque entité on peut affecter un attribut (le point peut représenter un forage)
La primitive de base est donc un segment qui est utilisé pour coder la description
positionnelle d'un objet et représentée par une chaîne de coordonnées de points
Les zones fermées sont modélisées comme des polygones représentées par l'ensemble
des segments qui constituent les frontières.
Le format vecteur un stockage facile des données spatiales dans une base de données avec
des attributs et il occupe moins d'espace mémoire
Un point est une simple coordonnée (X, Y)
Une ligne deux pairs de coordonnées (X, Y) _________ (X, Y)
Un arc, une chaîne ou une ficelle est une série de plusieurs (X,Y) coordonnées une ligne
complexe continue.
Par contre l'analyse spatiale est relativement difficile dans ce format.
► Avantages :
- Bonne représentation des phénomènes des structures de données ;
- La topologie peut être complètement décrite avec les liaisons réseau ;
- Précision des graphes.
► Inconvénients :
- Structures complexes ;
- La climatisation de plusieurs vecteurs polygone et les cartes en mode raster à
travers la superposition est rendu difficile ;
- La simulation est difficile parce que chaque unité a une forme
topologique différente ;
- L'analyse spatiale et le filtrage à l'intérieur des polygones sont impossibles.
Mode raster
► Avantages
- Structures de données simples ;
- La superposition et le croisement de données cartographiques avec les données
de télédétection est facile ;
- La simulation est facile parce que chaque unité spatiale à la même taille et la
même forme.
► Inconvénients
- Volume de données graphiques trop important ;
- L'utilisation de cellule réduire les volumes des données veut dire que la
reconnaissance phénoménologie des structures peut être perdu avec une perte
sérieuse d'information ;
- Les cartes en mode raster (grossière sont considérés moins belles que les cartes
dessinées avec des lignes fines (vecteurs).
-
Selon ces deux définitions très voisines, une base de données, est caractérisée par sa
structure qui permet à la fois l'enregistrement et l'accès aux données correspondant à des
faits ou à des événements se rapportant à un organisme ou à un phénomène. Elle
représente une masse d'informations brutes ou traitées permettant d'alimenter un système,
leur synthèse apportant es connaissances plus exploitables.
En d'autre termes, une de données est donc l'ensemble de données stockées de manière
structurée sur un support identique dont la gestion et le procédé de stockage sont assurés
par un logiciel appelé Système de Gestion de Base de Données (SGBD). C'est dans cette
partie que se situe l'information sur la zone d'étude. Une structuration de l'information selon
la localisation des unités spatiales quelques soit le format de couches, le système de gestion
doit garantir que, les couches qui seront combinées lors de l'analyse décrivent bien la même
zone d'étude selon les unités spatiales. Toutes les couches sont aussi liées à des tables
attributaires. Les tables attributaires sont des fichiers servant de lien entre l'information
graphique et l'information descriptive ; ce sont elles qui définissent les entités graphiques et
leurs types.
Ces tables sont créées en pratique, automatiquement avec les couches dans la base de
données. Elles contiennent des informations générées par la machine (des identifiants, les
polygones, les polylines etc.). Pour ajouter des données complémentaires telles que les
localités et autres informations caractéristiques des différentes entités de la couche, on peut
créer de nouveaux champs en prenant soin de préciser le type de données (nombres
entiers, réels ; chaîne de caractère. Cela s'appelle "définir la base de données".
◊ Les ordinateurs
◊ La table à numérisation
Elle sert à numériser ou à digitaliser les cartes ; c'est à dire à les introduire
dans l'ordinateur en créant des fichiers numériques. Ces fichiers sont
indispensables à la mise en place d'une base de données numériques
géographiques.
◊ Le scanner
◊ L'imprimante
CONCLUSION
Un SIG est un puisant outil d'aide à la décision dont la mise en place est complexe et
nécessite une approche pluridisciplinaire. On peut regrouper toutes les composantes d'un
SIG en deux catégories fondamentales :
◊ Les données (géobase et banque de données thématiques)
◊ Les traitements :
- SGBD
- Capture et traitement d'images
- Analyse statistique
- Analyse spatiale et cartographique
APPLICATIONS DE ARCGIS
La gamme ArcGIS est un produit édité par ESRI (Environmental System Research
Institute).La société ESRI a été fondée en 1969 par Jack Dangermond et était spécialisée
dans un premier temps dans le conseil dans le domaine de l'occupation du sol. Dans ce
cadre, les premiers projets d'ESRI se concentrèrent sur les principes d'organisation et
d'analyse de l'information géographique. Dans les années 80, ESRI développa et mit en
application un ensemble d'outils informatiques qui constituèrent les premiers éléments de ce
qu'on appelle aujourd'hui un SIG (Système d'Information Géographique).
En 1981, ESRI lança son premier logiciel SIG commercial appelé ArcInfo, qui combinait
l'affichage d'entités géographiques points, lignes ou polygones avec des outils de gestion de
base de données pour assigner des attributs à ces entités. Ce modèle de données
géographiques appelé « modèle géorelationnel » a été utilisé jusqu'à la version 7 d'Arc/Info.
En 2000, ESRI a lancé la version 8 d'ArcInfo, qui introduit de nouvelles applications
bureautiques pour Windows NT, ainsi qu'un nouveau modèle de données, la « géodatabase
» tout en conservant l'ancien modèle relationnel.
La gamme SIG de ESRI destinés à la cartographie s'appelle « ArcGis » et peut se
décomposer en trois « versions » aux fonctionnalités croissantes : ArcView, ArcEditor et
ArcInfo :
COMPOSANTES DE ARCGIS ?
Chacune des 3 « versions », ArcView, ArcEditor et ArcInfo fonctionne dans l'environnement
« Desktop », c'est à dire avec les trois applications ArcCatalog, ArcMap et ArcToolBox.
La version complète ArcInfo possède de plus un environnement « Workstation »
correspondant à l'ancienne version d'ArcInfo. ArcInfo version 8 ou 9 est donc composé de
deux logiciels « indépendants » qui peuvent être installés individuellement.
EXTENSION ARCGIS
La plate forme ArcGis, bien que très complète ne permet pas de faire des traitements
approfondis de données ou d’optimiser l’utilisation de données vectorielles. Il existe donc un
certain nombre d’extensions à cette suite logicielle, indépendantes les unes des autres et
d’ArcGis, qui permettent des traitements de données additionnels.
Voici une brève présentation des principales extensions existantes :
• Spatial Analyst :: fonctions avancées pour l'analyse spatiale en mode vecteur et
raster.
Spatial Analyst permet de créer une base de données raster, de réaliser des
analyses sur les bases de données raster et vecteur, d enrichir les données
existantes, d interroger des données réparties dans plusieurs couches et d exploiter
simultanément des données vectorielles et raster.
ArcGIS Spatial Analyst intègre les fonctions suivantes :
Conversion d'éléments (points, lignes ou polygones) en données raster
Création de zones tampon raster basées sur la distance ou la proximité
Génération de cartes de densité à partir de points
Création de surfaces continues à partir de points
Calcul de carte en isolignes, carte de pente, carte d'orientation et carte d'ombrage
à partir de MNT
Algèbre cartographique - requêtes logiques et calculs algébriques entre couches
raster
Analyse zonales et de voisinage entre couches raster
Analyses pixel
Classification raster
Utilisation de nombreux formats standards tels que TIFF, BIL, IMG, USGS DEM,
SDTS, DTED, etc
volumineux sous différents angles, interroger une surface et créer des vues
perspectives réalistes.
L'utilisateur peut également draper des données raster et des données vectorielles
sur une surface et extruder des entités deux dimensions en entités trois dimensions à
l'aide des données d'attribut.
ArcGIS 3D Analyst intègre les fonctions suivantes :
Construction de modèles surfaciques à partir de n'importe quelles données
Visualisation interactive 3D incluant les fonctions zoom, déplacement; rotation,
inclinaison, survol, trajectoires utilisables pour l'analyse et la représentation
Modélisation d'objets réels tels que des bâtiments
Modélisation d'objets souterrains : puits, mines, nappes phréatiques
Génération à la volée de surfaces 3D à partir d'attributs altimétriques
Application de normalisation et exagération des données à la volée
Drapage et visualisation de données bidimensionnelles sur un modèle 3D
Calcul de surface, volume, pente, orientation et ombrage
Génération d'isolignes sous la forme de géométrie 2D ou 3D
Calculs de visibilité et d'inter-visibilité, interpolation de points altimétriques, calculs
de profils et de chemins de plus courte pente
Utilisation de toutes les données supportées par ArcGIS y compris les formats
CAO, Shape, coverages ArcInfo et images.
Interrogation tri-dimensionnelle sur la base des attributs ou de la localisation
Export de données sur Internet au format VRML
Navigation globale avec ArcGlobe et ArcScene inclus au produit.
ArcScan pour ArcGIS : vectorisation et nettoyage de rasters
ArcScan pour ArcGIS® offre un jeu d'outils pour la conversion de rasters en
vecteurs. Le travail de post-traitement est allégé grâce aux fonctionnalités de
vectorisation par lots d'ArcScan qui permettent de créer des entités vectorielles à
partir d'une image complète ou par traçage interactif de zones particulières.
Ces fonctionnalités permettent de convertir rapidement des données raster en
couches d'entités vectorielles, par exemple des fichiers de formes et des classes
d'entités de géodatabase. Les outils d'ArcScan sont entièrement intégrés à
l'environnement de mise à jour des outils SIG de base.
ArcScan permet de :
créer des entités linéaires et surfaciques d'un fichier de formes ou d'une
géodatabase directement à partir d'images raster;
effectuer une conversion, en mode interactif ou par lots, des données raster en
données vectorielles;
nettoyer les parties à écarter d'une image raster avant la vectorisation par lots;
utiliser les fonctionnalités de capture de raster pour rendre le traçage plus exact et
plus efficace;
sélectionner des groupes de cellules raster en interrogeant des zones
connectées.
Vectorisation par lots
Parmi les fonctionnalités-clé d'ArcScan, citons la possibilité de convertir
automatiquement des données raster en entités vectorielles. Ce processus, appelé
vectorisation par lots, permet un gain de temps considérable dans la vectorisation
d'images numérisées.
ArcScan prend en charge deux types de méthodes de vectorisation : d'axe médian et
de contour. En fonction de vos besoins et du type d'images numérisées que vous
utilisez, la méthode de vectorisation que vous adopterez sera différente.
- La vectorisation d'axe médian génère des entités vectorielles sur le centre des
éléments linéaires du raster. Cette méthode est généralement adoptée pour
vectoriser des cartes de parcelles et des plans de masse numérisés.
- La vectorisation de contour génère des entités vectorielles sur la limite des éléments
linéaires du raster. Cette méthode est généralement adoptée pour vectoriser des
cartes numérisées d'occupation des sols et de la végétation.
La vectorisation par lots fait appel à des paramètres qui influencent la manière dont
les entités vectorielles en sortie seront générées. Ces paramètres, appelés styles,
peuvent être enregistrés et réutilisés avec des images raster dont les caractéristiques
sont similaires.
• GPS Analyst : Permet la collecte de données GPS terrain à partir de l’application ArcGis.
Le Shapefile est en fait un ensemble de fichiers (jusqu’à 5) qui caractérise la géométrie et les
attributs des entités. Ces fichiers possèdent des extensions spécifiques et doivent être
conservés dans le même répertoire. Voici la description des fichiers associés à un shapefile.
*.shp : fichier contenant la géométrie des entités géographiques
*.shx : fichier contenant l'index de la géométrie des entités géographiques
*.dbf : fichier de base de données (dBase) contenant les informations d'attribut des entités
géographiques.
*.sbn et *.sbx : fichiers contenant l'index spatial des entités géographiques. (Ces fichiers
n'existent qu'après avoir effectué une requête ou jointure spatiale) .
metadata. Un fichier metadata est un fichier contenant des informations complètes d’une
application ou d’un autre fichier. Sous ArcCatalog, le mode Metadata permet d’afficher une
description spatiale (limites géographiques) et des attributs du fichier.
Cette interface est la plateforme cartographique d’ArcView. Elle permet de visualiser les
données, de les mettre à jour, d'effectuer des analyses thématiques ou spatiales, de
cartographier et de mettre en pages des données .Le terme carte (map) est à considérer
comme étant une superposition de couches d’informations (Layers). Par exemple, une carte
d’occupation du sol peut être issue d’une superposition de plusieurs couches : une couche
ne contenant que des forêts, une couche ne contenant que des surfaces d’eau libre, une
couche ne contenant que des surfaces bâties, une couche contenant le réseau routier et les
chemins et une couche contenant les surfaces agricoles. On peut admettre que la dernière
couche est plus variable d’une année à une autre. Les autres couches peuvent être
considérées comme des thèmes relativement stables dans le temps. Ces différentes
couches sont appelées Layers sous ArcGIS. Un ensemble de couches peuvent appartenir
au même cadre (Frame). . Les documents ArcMap se présente sous forme d’une carte
(document ArcMap) et sont stockés sous forme de fichiers sur le disque dur de l’utilisateur
(fichier*.mxd).
Une couche peut être enregistrée indépendamment des autres couches dans un fichier layer
ayant l’extension lyr.
Une carte peut comporter des données géographiques (vectorielles et images), des
légendes, des titres, des flèches du Nord etc....
L’interface ArcMap propose deux manières d’afficher une carte :
• Mode « Données » : pour consulter ou mettre à jour les données. Ce mode de consultation
utilise deux modes d’affichages :
Les données
de forme…) stockée ou non sur le disque dur de l’utilisateur. Une couche possède diverses
propriétés qui définissent la façon
dont les données géographiques sont dessinées sur la carte :
Chaque couche d’information affichée dans l’interface ArcMap (Shapefile, classes d’entités
d’une géodatabase) peut être enregistrée sous forme d'un "fichier de couche" (*.lyr). Il
contient la description de ces propriétés mais fait simplement référence aux données. Il est
ainsi possible de créer sur une même carte une série de couches avec des propriétés
différentes, à partir des mêmes données (notamment des symboliques différentes). Les
fichiers de couches permettent de conserver les analyses thématiques et les légendes
affectées à une couche d’information par l’utilisateur plusieurs couches peuvent être
combinées sous forme d’un groupe de couches, ce qui permet de travailler avec plusieurs
couches comme si elles n'en formaient qu'une. Pour créer un groupe de couches,
sélectionner les couches d’informations à regrouper (utiliser la touche « CTRL » du clavier
pour sélectionner plusieurs couches). Par un clic droit sélectionner la fonction « Grouper ».
Le nouveau groupe de données est ajouter au gestionnaire de couches.
ATTENTION : Certaines fonctionnalités de ces interfaces sont limitées dans ArcView mais
sont accessibles dans ArcEditor ou ArcInfo.
Explorer un dossier
1- Cliquer sur le dossier DNAT et voir dans la fenêtre droite de l’espace de travail de
ArcCatalog.
Avec metadata on a :
Exercice 1
Ouvrez dans ArcCatalog les fichiers SIG dans le répertoire
C:\DNAT\Patsm_V8\F200\Bambara_Maoudé
1-Voir le contenu des fichiers SIG du dossier
2-Voir les métadonnées de chaque couche
3-Voir l’aperçu de chaque couche
4- Voir les systèmes de coordonnées de chaque couche
5- Voir les attributs de chaque couche
6-Voir la description de chaque couche
Important : Une base de données SIG est complexe. Les différentes couches sont souvent
liées entre elles et à la base de données tabulaires. Souvent, la modification d’un fichier
génère des modifications de tous les autres fichiers qui lui sont liés et le retour en arrière est
souvent difficile. Il est important de créer un répertoire de sauvegarde qui contiendra les
fichiers sources (d’origine) ou des fichiers d’étapes. Les travaux de sauvegarde doivent se
faire à l’aide d’ArcCatalog. Sous ArcCatalog : Créer un sous répertoire de sauvegarde de
données : nommez SAUVEGARDE ce sous-répertoire. Utilisez ensuite le bouton droit de la
souris et l’option copy pour copier un à un les trois fichiers (deux fichiers images et le fichier
texte) et les coller (option paste) dans le répertoire sauvegarde Pour cette raison, il est
toujours conseillé d’utiliser ArcCatalog pour la gestion de la base de données.
Si vous voulez voir une zone en détail vous pouvez utiliser l’outil zoom
1-Cliquer le bouton Zoom Avant
3- Sélectionner avec l’outil la zone que l’on veut explorer
Vous pouvez choisir une autre fonctionnalité dans les options en plus de Zoom to feature(s)
ou Set Bookmark . Une vision sera préservée que l’on peut obtenir en cliquant View ,
Bookmarks et choisir le nom donné à la marque
4- Fermer la boite de dialogue Find
Zoomer une zone marquée
1-Cliquez view et pointer sur Bookmarks
2- Cliquer sur le nom du Bookmark crée
Ajout de couches
La carte est vue sur une page en bloc de données (data frame). Ces blocs sont aussi une
forme d’organisation des couches que l’on veut voir ensemble sur une carte.
Il y a au moins un bloc de données sur une carte celui la s’appelle Layer que l’on peut voir
ici en haut dans la table des matières des couches.
On peut utiliser la barre d’outil de la mise en page pour changer la position et la dimension
de la page .
De même l’on peut utiliser la barre d’outils pour voir l’extension d’un bloc de
données bloc de données
Cliquer sur le coté droit de la souris sur la page et Cliquer Page Setup
Choisir Portrait
On ajoute ensuite la barre d’échelle ,la flèche du Nord ,la légende pour aider le a utiliser la
carte.
Ajout de la légende
1- Dans le menu insert cliquer Legend
Un questionnaire pour la légende apparaît qui vous permet d’indiquer les couches pour
lesquelles on souhaite avoir une légende.
Ici dans ce exercice les valeurs par défaut sont appropriées pour la carte.
Cliquer Next pour accepter la légende
La légende apparaît sur la carte
Placer la légende à droite de la carte
Des options apparaissent et l’on peut choisir l’imprimante par défaut en cliquant sur Setup.
Cliquer sur OK
Vous pouvez quitter ArcMap et ArcCatalog
Exercice 2
Demarrez ArcMap
-Ouvrir dans ArcMap le fichier C:\DNAT\Patsm_V8\F200\Douentza
-Ajouter les fichiers fleuve, disconti et zone géolologique
-Faire une mise en page
-Ajouter la légende
-Ajouter la flèche du Nord
Les données comportant des coordonnées X,Y peuvent être intégrés dans un SIG soit par
saisie manuelle ou peuvent être importées si elles sont sous des formats compatibles (DBF,
XLS, TXT etc.
Des bases de données sont disponibles sur Internet par exemple on peut à partir de ArcMap
ajouter des données a travers Geographical Network.
On peut aussi importer directement des données enregistrées à travers un GPS dans un
SIG .
ArcMap permet de créer et modifier les couvertures ArcInfo, les fichiers de formes, les
géodatabases personnelles et les géodatabases pour utilisateurs multiples.
a) Les outils
Toutes les modifications ont lieu lors d’une session de mise à jour. Les modifications
effectuées sont immédiatement visibles sur la carte mais ne sont pas enregistrées dans la
base de données tant que l'utilisateur n'a pas choisi de le faire.
Les mises à jour peuvent être annulées (et rétablies) tant qu'elles n'ont pas été enregistrées.
Notion de construction :Une construction est une forme représentant une géométrie
d'entité. Une construction permet de voir exactement la composition d'une entité, tous ses
sommets et segments étant visibles. Pour modifier une entité, il faut modifier sa construction.
Pour créer une entité, il faut créer une construction. On crée uniquement des constructions
de lignes et de polygones car les points n'ont ni sommet ni segment. Une construction est
utilisée pour la tâche courante (création d'entité mais aussi par exemple sélection d'entités
incluses dans un polygone tracé à l'écran)
Outils de création de construction
5 outils de construction sont disponibles pour la création de constructions
Copier/ Coller Il est possible de copier une entité et la coller comme faisant partie d’une autre
couche. Il doit s’agir du même type de couche (un point, une ligne ou un
polygone) que celle à partir de laquelle l'entité a été copiée, sauf dans le cas de
la copie d'une couche de polygones dans une couche linéaire.
Diviser Crée des entités suivant un intervalle donné (choix du nombre d'intervalles ou de
la longueur de l'intervalle), le long d'une entité linéaire existante.
Copie parallèle Crée une entité parallèlement à une entité existante à une distance spécifiée :
Agréger Fusionne des entités de différentes couches en une entité, tout en conservant les
entités de départ. Les couches doivent être du même type (linéaire ou
surfacique). La nouvelle entité est créée dans la couche courante, sans valeur
attributaire.
Intersecter Création d'une nouvelle entité à partir de la zone où les entités se chevauchent. Il
est possible de calculer l'intersection entre entités de différentes couches, mais
les couches doivent être du même type (linéaires ou surfaciques). Les entités de
départ sont maintenues et la nouvelle entité est créée dans la couche courante,
sans valeur attributaire.
Enfin, les outils suivants remplacent une entité existante par une ou plusieurs nouvelles :
Environnement de capture
L'environnement de capture permet de se raccrocher à la géométrie d'une entité existante en
cours de saisie ou de déplacement d'une construction. La définition d'un environnement de
capture implique la définition :
d'une tolérance de capture
de propriétés de capture (suivant les couches, capture sur les sommets, les
extrémités ou tout point du contour)
Création d’une couche vecteur sous ArcMap : La création d’une couche en mode
vectoriel sous ArcMap nécessite une préparation préalable du fichier qui contiendra cette
couche. Cette étape s’effectue sous ArcCatalog. Sous ArcCatalog et dans le répertoire
parent, créez un répertoire qui contiendra des entités qui peuvent être confondues à des
lignes (pistes cyclables, chemins, ruisseaux, etc.). Les points sont des entités qui peuvent
être confondues à des points (points de collecte de données, puits, etc.) ;les polygones
(parcelles, bâtiments, etc.). Les lignes et les points se créent de la même manière.
Sous ArcCatalog, cliquez à l’aide du bouton droit de la souris sur le sous-répertoire
vecteurs puis sélectionnez New – Shapefile
Un nouveau fichier est créé et s’affiche sous ArcCatalog A l’aide du bouton droit de la
souris, cliquez sur le fichier Parcelles – Propriétés – Fields – Data Type puis la case
geometry. Dans la colonne field properties – on voit qu’il s’agit d’une géométrie
de type Polygon et d’une projection
Cliquez sur le bouton Editor – Start Editing : Les options Create New feature et
Target sont activées. Target ce qui signifie cible est la couche parcelle. Cette couche
contiendra les nouveaux polygones à créer.
La couche polygone doit être en mode d’édition (option Start Editing active)
Effacer un polygone –: Cliquez sur le polygone concerné puis la touche Supp du clavier ou
Edit – Delete du menu principal. Vous pouvez annuler cette opération par Edit – Undo
delete feature.
c) Géométrie
Il est possible de créer des points à partir de données tabulaires décrivant des
emplacements géographiques sous la forme de coordonnées x, y (par exemple issues d'un
levé GPS). La table importée doit contenir au moins deux champs, l’un contenant les
coordonnées x, l’autre les coordonnées y, dans un système de coordonnées et des unités
éventuellement différentes des données de la carte. La couche de points ainsi créée se
comporte ensuite cartographiquement comme une autre couche. Par contre, pour pouvoir
déplacer les points, faire des requêtes... il est nécessaire d'exporter la couche vers un fichier
de forme ou une classe d'entités.
d) Sémantique
Le "chargeur de données" permet de mettre à jour des données (création de nouveaux
enregistrements) à partir d'un fichier de formes, d’une classe d’entités, d'une classe d'entité
de couverture, d’une table INFO ou d’une table dBASE. Il est possible de :
a. faire la correspondance entre les champs du (ou des) fichier source et les
champs de la table ou classe d'entité cible.
b. définir une requête SQL filtrant les entités chargées.
c. charger l’ensemble des données source dans un sous-type spécifique de la
cible.
d. capturer ou non les entités en entrée avec l'environnement de capture
courant.
e. valider ou non les entités en entrée suivant les règles de validation (définies
par les domaines) associées à la classe d'entité mise à jour.
Il existe plusieurs méthodes pour mettre à jour les attributs d'entités géographiques :
- Mise à jour via la table attributaire (sans nécessairement ouvrir une session de mise
à jour), généralement pour modifier rapidement plusieurs entités en même temps.
Pour un champ donné de la table attributaire, la calculatrice de valeurs de champs
ArcMap permet d’effectuer des calculs, des plus simples aux plus sophistiqués, sur
tous les enregistrements ou bien une sélection. Cette calculatrice permet de remplir
un champ en effectuant un calcul sur les champs avec des fonctions VB simples ou
des instructions VBA pouvant inclure des méthodes ArcMap :
- Mise à jour d'entités spécifiques sélectionnées au préalable, dans une session de
mise à jour (méthode généralement utilisée en parallèle avec la saisie de géométrie).
Il est alors possible de rentrer des valeurs manuellement, soit dans la table
attributaire, soit dans une fenêtre listant les entités sélectionnées (dans cette dernière
fenêtre, on peut modifier un champ pour plusieurs objets en même temps) :
Point repère X Y
A 601000 1398000
B 601000 1394000
C 602000 1397000
D 602000 1394000
GEOREFERENCEMENT
Faites apparaître le point A dans la vue cliquer sur le bout le souris prend la forme d’une
croix .Superposez cette croix sur celle à gauche du point A et cliquez. La couleur de la croix
change en rouge et vert. Cliquez sur le coté droit de la souris
Vous avez alors deux options soit entrez les coordonnees X,Y ou annuler l’opération .
4-Cliquez sur Input X and Y
5-Entrez les coordonnées du point A et tapez Ok
6- Cliquez sur pour réafficher la carte et zoomer en avant pour reprendre les étapes
3-4-5 pour les point B,C,D
7-Apres intégration des coordonnées du 4 e point cliquez sur View Link Table les 4 points
sont placées tans un tableau avec leurs coordonnées par défaut attribuées par Arcmap et les
coordonnées UTM.
4-Choisissez rivière pour Name et Polyline pour Feature Type. Pour la partie description
aucun système de coordonnée n’est défini
6-Cliquez sur Select choisissez le même système de coordonnée que celui de l’image
scannée et georeferencée .
7-Cliquez sur Projected Coordinate System et choisissez UTM
8-Cliquez sur Wgs 1984
9-Choisissez WGS 1984 UTM Zone 29N
10-Cliquez Appliquer
Fermer ArcCatalog.
Répéter les étape 2 à 10 pour la création de fichier Route .shp, limit_colline.shp ,
Zone_urbaine.shp ,fleuve_niger.shp ,ile.shp pour les 3 derniers choisir Polygon comme
Feature Type.
2 -Cliquer 2 fois pour finir de digitalisation la portion digitalisée s’affiche en bleu clair.
3-Dans Editor cliquez Stop Editing et répondez oui à l’invitation d’Enregistrez votre édition
5-Répéter les étape 2 à 10 pour la création de fichier Route .shp limit_colline.shp ,
Zone_urbaine.shp , fleuve_niger.shp et ile.shp .
Lorsque vous décocher la case rectifycarte_bko vous devrez avoir quelque chose comme
ça :
Point repère X Y
A 600286.32 1405918.42
B 600443.29 1380437.52
C 620273.34 1380489.92
D 620221.02 1405866.10
Digitaliser les entités suivants : route ,urbanisation , les cours d’eau, fleuve Niger et
les îles
Saisir la table attributaire des différentes entités
2-
Géoreferencer la portion de la carte géologique de Kayes dans C:\DNAT
Digitaliser toutes les unités géologique en un seul fichier Shape (polygone) et
symboliser par catégorie (ne pas digitaliser les frontières entre les polygones utiliser
autocomplet polygon)
Faire la mise en page
3 ANALYSE
3.3 Sélection
La sélection est l'opération de base pour l'analyse des données. On peut sélectionner des
données :
− Avec l'outil de sélection d'entités, en cliquant sur une entité sur la carte. Si
plusieurs entités sont superposées, elles sont toutes sélectionnées. Il est possible
de rendre certaines couches non sélectionnables. Cet outil permet également de
faire une sélection par rectangle.
− Avec les outils d'édition, il est possible de sélectionner les entités intersctant une
ligne ou une surface dessinée avec les outils de création.
− Dans la table attributaire de la couche, en cliquant sur le ou les enregistrements
concernés. les entités correspondantes sont alors sélectionnées sur la carte.
− Par requêtes
− Des menus permettent de sélectionner toutes les entités, d'inverser la sélection ou
de tout désélectionner sur une couche. Il est également possible de tout
désélectionner sur toutes les couches en même temps.
Quel que soit le mode de sélection, il est possible de choisir une méthode de sélection :
− Créer une nouvelle sélection (méthode par défaut)
− Ajouter à la sélection courante
− Supprimer de la sélection courante
− Sélectionner dans la sélection courante
Les objets sélectionnés apparaissent sur la carte avec un symbole spécifique paramétrable
par l'utilisateur. Ce symbole peut être différent d'une couche à l'autre. De même, l'aspect des
enregistrements sélectionnés dans une table est modifiable.
Il est possible, dans la table attributaire, de ne faire apparaître que les enregistrements
sélectionnés. Dans ce cas, lorsqu'on clique sur un enregistrement, il apparaît en surbrillance
sur la carte, avec une couleur paramétrable. On peut également zoomer sur la sélection,
pour une couche donnée.
Il est possible de créer une nouvelle couche sur la carte, à partir des entités sélectionnées,
afin de leur affecter un symbole différent, d'effectuer des requêtes etc...
Pour faire une requête par attribut à l’intérieur d’une couche SIG avec ArcGis
1. Ouvrir la table attributaire
2. Choisir Options et choisissez Select by attribut
3. Entrez votre requête dans le cadre en bas de la ligne
SELECT from…….WHERE …….
3.6 Jointures
ArcMap propose deux méthodes d’association des données stockées dans des tables aux
entités géographiques : les jointures et les relations. En joignant deux tables, les attributs
d’une table sont annexés à l’autre en fonction d’un champ commun aux deux tables (les
données jointes apparaissent dans la table aux côtés des données d'origine). La mise en
relation de tables définit un rapport entre deux tables (également en fonction d’un champ
commun) mais n’annexe pas les attributs de l’une à l’autre. Les données sont accessibles
lorsqu'on en a besoin.
ArcMap permet de définir des jointures "à la volée" en n'enregistrant que la façon dont les
deux tables attributaires sont liées et non pas les données jointes elles-mêmes. Pour faire
une copie permanente sur disque de la couche avec les données jointes, il est nécessaire
d'exporter les données vers une nouvelle classe d’entités ou fichier de forme.
5. Selectionner ensuite les 2 autres fichiers tracts et Airport _area en pressant sur Shift
de façons à ce que les trois fichiers se trouvent sélectionnés.
6. Faites la même opération avec tract_pop la table contient aussi la colonne tract_ID
Fermer les tables.
7. Cliquer le coté droit de la souris sur le fichier de nom tracts et cliquez Join Relates
puis Join
3-Cliquez le coté droit de la souris sur Pop_Den et cliquez sur Calculate Values l’option
Calculator apparaît
Nous pouvons alors classifier les zones en fonction de la densité pour voir comment les
populations sont concentrés par rapports aux routes principales aéroport etc.
Cliquez le coté droit de la souris sur tracts et cliquez Proprieties
ArcMap vous choisit un schémas de classification avec un certain nombre de classe que
vous pourrez modifier a votre aise en cliquant sur le bouton Classify .
Cliquez OK
surface.
Cliquez sur OK.
1- Cliquer droit sur layer dans la table des matieres des couches choisir
propriéties puis Coordinate System et definir le systeme de coordonée
souhaité
2- Cliquer droit dans Arcmap dans la table des matières des couche sur le nom
du shapefile
3- Choisir Data puis export data
4- Avant d’indiquer le nom du Shapefile Activer Use the same Coodinate System
As The Data frame
Les données exportées auront le meme systeme de coordonées prédefinie au
point 1
EXERCICE
1- Ouvrez avec ArcMap le projet mali1 dans le dossier DNAT
2- Créez un nouveau fichier shapefile nommé Koulikoro avec ArcCatalog
3- Ouvrez la table attributaire du fichier arrondissement.shp
4-Dans les Options de la table attributaire cliquer Select by Attribut
Dans la carte du Mali on veut extraire la carte de Koulikoro
On doit avoir dans la partie en bas de la table attributaire la requête suivante :
SELECT FROM arrondissement WHERE "ADMIN2" = 'KOULIKORO'
Exercice
Dans la table des requêtes double cliquez sur "Ensemble_l" dans la fenêtre de gauche
ensuite taper = puis cliquez sur 'Groupe de Hombori' dans la fenêtre de droite et cliquez sur
Apply
Vous avez la zone du Groupe de Hombori sélectionnée.
Cliquer le coté droit de la Souris sur Ensemble_l puis sur data et Export Data et choisir
Groupe_Hombori.
Par exemple
Découper la région de Koulikoro dans le polygone contenant les arrondissement du Mali.
Polygone de la région de Koulikoro
Ouvrir Arctoolbox et dans Analysis choisir dans l’arborescence Extract puis Clip
Choisir Arrondissement pour Input feature
Et Koulikoro pour Clip Feature
Specifier le nom du fichier résultant pour Output Feature
Résultat du CIIp
Exercice :
Effectuer les cartes géologiques et /ou du sol de certaines localités du Mali en se basant sur
la fonction clip et les ressources qui sont présentement à votre disposition .
Cliquez à l’aide du bouton droit de la souris sur bama_mnt Events et choisissez l’option
Properties : - Choissez : Symbology – option Catégories (Unique value) – Value Field Z et
ensuite Add All Values - décochez la case all other values de la légende - et validez en appuyant
sur OK.
A ce stade, l’écran de droite affiche des données ponctuelles : l’information Altitude est
connue seulement au niveau d’un point.
A l’aide du bouton droit de la souris, cliquez sur le nom MNT_Hesse Events dans la fenêtre
frame (Layers)- Choisissez ensuite Data – Expot Data – Expot_MNT.shp – Acceptez l’ajout du
fichier à la carte.
Cette opération permet de créer un fichier shapefile de type points.
Vérifiez que les extensions Spatial Analyst et 3D Analyst sont actifs. Sinon, activez
les : menu principal – View – Toolbars – Customize et cochez ensuite ces deux
extensions.
Cliquez sur 3D Analyst - Options – Extent – choisissez As carte_mnt.img : cette
option permet de créer le modèle numérique de terrain de la même étendue spatiale que la
carte.
Contours :
Profil en long : Utilisez l’outil interpolate to line pour tracer le profil le long duquel
A partir d’ArcMap, lancez ArcScene pour visualiser en 3D le tin génér2 dans Arcmap
Geostatistical Analyst :
Exercice :
Prédire les altitudes des forages à Bamako dont les coordonnées sont indiquée dans le
fichier excel.
1- créer avec geostistical analyst une carte d’élévation
2- Ajout du fichier forage
3- cliquez droit dans la table des matières des couches sur le nom du raster et
choisissez prediction.
4- Dans la fenêtre choisir forages comme input data
5- Donner un nom pour le fichier shape qui va contenir les valeurs d’élévation
prédîtes.
Arcscan
Numériser avec Arcscan l’image des parcelles contenue dans le fichier
1- Activer l’extension Arcsan
2- Ajouter le fichier image
3- Ajouter le nouveau fichier shape resultant de la vectorisation
4- Ouvrir une édition
5- procédeR à la vectorisation
5. LES « GEODATABASES »
La structuration des données est une notion importante des SIG. Afin d’organiser les
données en base, il est nécessaire de créer une base de données. La structuration et la
gestion des données SIG (données vectorielles, tables ou relations) il faut utiliser
l’interface ArcCatalog.
La structuration des données se fait à l’aide de bases de données relationnelles appelées
« géodatabases ». Ces bases contiennent des informations géographiques. Le modèle de
géodatabase prend en charge un modèle de données vectorielles orienté objet. Avec ce
modèle, les entités sont représentées comme des objets avec des propriétés, un
comportement et des relations. Une entité du monde réel est représentée par un objet
correspondant à un enregistrement dans une table relationnelle.
Il existe deux types de géodatabases :
• Les géodatabases personnelles : elles prennent en charge plusieurs utilisateurs mais
un seul administrateur des données. Elles sont stockées dans une base de données
Microsoft Access (.mdb).
Remarque : il n’est pas nécessaire de posséder le logiciel MS Access pour utiliser ces
géodatabases.
• Les géodatabases multi-utilisateurs : elles peuvent être lues et modifiées par
plusieurs
administrateurs ; elles nécessitent l’utilisation d’un Système de Gestion de Base de
Données
(SGBD) tel que Oracle ou SQL Server. Ces géodatabases multi-utilisateurs peuvent être
utilisées avec tous les produits de la gamme ArcInfo (ArcView, ArcEditor, ou ArcInfo),
mais elles nécessitent ArcSDE pour la modification et la gestion des structures.
ATTENTION : Il n’est pas possible avec ArcView 8.x de gérer dans une géodatabase des
images (raster). Cette fonctionnalité est accessible dans ArcGis 9.
Structuration des données
Les fichiers Raster peuvent être stockés dans une GeoDatabase. Ils
peuvent être mosaïqués en un seul jeu de Ra ster ou gérés comme un
ensemble de fichiers différents dans un catalogue d’images.
La géodatabase stocke des objets. Ces objets peuvent représenter des entités spatiales
ou non. Une géodatabase est une collection de jeux de classes d'entités, de classes
d'entités, de tables…Contrairement à une couverture (format de fichiers natif d’ArcInfo),
le schéma d'une géodatabase n'est pas prédéfini. L'utilisateur peut organiser les tables,
les classes d'entités et les jeux de classes d'entités comme il le souhaite. La structuration
de la géodatabase est fonction du modèle de donnée défini par l’utilisateur
Jeu de classes d'entités
C'est un ensemble de classes d'entités ayant des relations topologiques entre elles
(éventuellement des relations entre ces classes). Toutes les classes d'entités appartenant
à un même jeu de classes d'entités sont stockées avec la même référence spatiale
(datum, projection). Un jeu de classe d'entités permet également de stocker un réseau
géométrique composé de classes d'entités appartenant au jeu de classe d'entités. La
notion de jeu de classes d'entités est similaire à la notion de couverture (dans une
couverture, les classes d'entités sont les arcs, les points, les polygones...)
Remarque : La référence spatiale d’une classe d'entités décrit son système de
coordonnées, son domaine spatial et sa précision. Le domaine spatial correspond à la
plage de coordonnées autorisée pour les coordonnées x et y, les valeurs m (mesures) et
les valeurs z. La précision décrit le nombre d’unités de système par unité de mesure. Une
référence spatiale avec une précision de 1 stocke des valeurs entières. Une précision de
1 000 stocke trois décimales. Une fois que la référence spatiale d’un jeu de classes
d'entités ou d’une classe d'entités autonome est définie, seul le système de coordonnées
est modifiable, le domaine spatial étant fixe.
Classes d'entités
Les classes d'entités stockent les objets représentant des entités spatiales. C'est un
ensemble homogène d'entités. Toutes les entités d'une même classe ont la même
géométrie (point,polyligne, polygone ...) et les mêmes attributs. Ces attributs sont
stockés dans la table de la classe d'entité. Une classe d'entité peut être stockée en
dehors d'un jeu de classe d'entités. La notion de classe d'entité est similaire à la notion
de fichier de forme (shapefile)
Table
Les tables stockent les objets représentant des entités non spatiales. Une table peut être
reliée ou jointe à des tables ou des classes d'entités de la même géodatabase.
Classes d'annotations
Les annotations dans une géodatabase sont stockées dans des classes d’entités spéciales
appelées classes d'annotations. Toutes les entités d’une classe d’annotations
possèdent une position géographique et des attributs et peuvent se trouver à l’intérieur
d’un jeu de classes d'entités ou d’une classe d’annotations autonome. Chaque annotation
comporte sa propre symbolique (police, couleur, etc.). Les annotations peuvent non
seulement contenir du texte,mais également des formes (boîtes et flèches). Il existe
deux types d’annotations dans une géodatabase :
• les annotations non liées à des entités de la géodatabase
• les annotations liées à des entités : elles sont associées à une entité spécifique d’une
autre
classe d’entités dans la géodatabase via une relation composite. La classe
d’annotations
représente la classe de destination de cette relation composite, et la classe d’entités
annotée la classe d’origine.
ATTENTION : Dans ArcView les annotations liées aux entités sont en mode lecture
seule.
Les relations
Dans une géodatabase, les relations sont stockées dans des classes de relations. Elles
peuvent exister à la fois dans des jeux de classes d’entités ou à la racine de la
géodatabase. La géodatabase prend en charge deux types de relations :
• Relation simple : relient deux ou plusieurs objets de la base de données ayant une
existence autonome. Dans une relation entre un objet A et un objet B, si l’objet A est
supprimé de la base de données, l’objet B continue d’exister
• Relation composite : l’existence d’un objet contrôle celle des objets qui lui sont liés.
Les propriétés des classes d’annotations sont décrites en Annexe 4.
ATTENTION : ArcView permet d’afficher des classes de relations (mode « lecture seule
») mais ne permet pas de les créer ou de les modifier alors qu’ArcEditor et ArcInfo
l’autorisent.
Création d’une géodatabase dans ArcCatalog
Pour créer une géodatabase personnelle dans ArcCatalog, sélectionner le dossier qui
contiendra cette base de données. ArcCatalog étant un explorateur de dossiers et de
fichiers vous pouvez également créer un nouveau dossier si nécessaire.
Dans le dossier sélectionné, dans la fenêtre principale d’ArcCatalog, créer une nouvelle
géodatabase personnelle :
Dans le domaine X/Y, « Précision » correspond à la précision des données dont sont issus
les jeux de données géographiques. Pour les GPS professionnels, une précision
centimétrique est nécessaire par conséquent il est nécessaire d’avoir une précision
supérieure ou égale à 100.
Dans le domaine X/Y, « Précision » correspond à la précision des données dont sont issus
les jeux de données géographiques. Pour les GPS professionnels, une précision
centimétrique est nécessaire par conséquent il est nécessaire d’avoir une précision
supérieure ou égale à 100.
Importer cette fois le jeu de données géographiques qui correspond à la classe d’entité
définie précédemment (la référence spatiale). Le domaine X/Y et les autres domaines se
règlent automatiquement sur cette référence spatiale, ainsi que le système de
coordonnées. Valider ensuite la création en cliquant sur « OK ».
Ajout de classes d’entités
Sélectionner le jeu de classes d’entités et créer une « Classe d’entités ».
Réutiliser la même méthode que précédemment pour créer cette classe d’entité.
Quelques points importants cependant :
Sélectionner cette fois le jeu de données que vous désirez stocker dans la géodatabase
(ce
n’est plus la référence spatiale !)
Penser à bien sélectionner le type de géométrie pour ce jeu de données
Au moment de la création de la classe d’entités il n’est plus nécessaire de spécifier une
référence spatiale, elle se cale automatiquement sur celle du jeu de classes d’entités de
la
classe. Toutefois contrairement à la référence spatiale, cette classe d’entités (et les
suivantes) contiendra des entités (des objets). Il faut donc chargées des données dans
cette classe. Pour cela, sélectionner la classe d’entité créer précédemment et choisir «
Charger des
données… ». Sélectionner de nouveau le jeu de données à importer et cliquer sur «
ajouter » puis suivant jusqu’à « Terminer ». Les données seront chargées dans la classe
après appui sur cette touche.
d’entité.
Sélectionner la géodatabase et choisir « Importer/Assistant fichier de formes vers
géodatabase… ». Cette méthode permet de créer une classe d’entités autonome et de
charger des données directement. sélectionner le Shapefile à importer. Cliquer sur «
suivant » jusqu’à la définition des paramètres de référence spatiale. Choisir « Spécifier
les autres
paramètres ». Cliquer sur « Suivant » jusqu’à la fenêtre « Référence spatiale actuelle ».
Cliquer sur « Change » et « Importer » la référence spatiale de la géodatabase. Cliquer
sur « Suivant » puis « Terminé ». Le fichier de formes est importé dans la géodatabase.
Pour vérifier la présence de données géographiques, cliquer sur l’onglet « Aperçu ».