Dans quelle mesure la mondialisation peut-elle faire face aux changements climatiques 

Aujourd’hui je vais vous parler d’un sujet qui est en liens avec deux chapitres que j’ai vu cette
année en SES et qui m’ont beaucoup plu : le chap sur le commerce internationale et le chap sur
l’environnement. Le réchauffement climatique est un sujet omniprésent et la mondialisation peut
avoir un fort impact dessus.
Nous nous demanderons alors dans quelle mesure la mondialisation peut8elle faire face aux
changements climatiques ?
Dans un premier temps, nous verrons que la monidalisation ne pourra pas continuer à fonctionner
de la même manière que aujourd’hui. Puis nous verrons que si nous changeons notre façon de faire
des perspectives plus positives sont envisageables pour la mondialisation face aux changements
climatiques.

La mondialisation ne pourra pas continuer ainsi face aux changements climatiques. Bcp
entreprises vont vouloir continuer à favoriser leurs activités sans se soucier des dégats
environnementaux qu’elles causent. Des réglementations ont pourtant été mises en place dans les
pays du Nord. Le problème est que cela a pour effet de donner un avantage compétitif aux
pays les moins rigoureux en matière d'environnement.Si les pays du Sud ne respectent
pas les même restrictions que celles du Nord elles pourront alors fabriquer leurs produits
à des coûts beaucoup moins élévés et ainsi vendre de grandes quantités à des prix
moindres. Par conséquent, elles attireront plus de clients et elles vont aussi attirer les
entreprises des pays du nords, des délocalisations d’entreprises que l’on appelle aussi
des dumping environnementaux ce qui aurait pour effet de conduire à un recul des
normes environnementales dans les pays développés. Les efforts fournies par les
entreprises du N seront annulées face à l’augmentation des gaz à effets de serres du à
une plus grandes production et de la pollution importée dans les pays du sud.

La surexploitation des biens communs par les entreprises est un sérieux problème pour
l’environnement. D’après Hardin si tout le le monde exploite les ressources naturelles comme il le
souhaite, il n’y en aura plus. Le problème est bien illustré par le dilemme du prisonnier :Si les deux
acteurs surconsomment, la raréfaction des ressources contribue à un faible bien- être global (5 ; 5).
Si un acteur adopte une consommation raisonnable, ses sacrifices entraîne une perte de son bien-être qui n’est pas compensée par une
préservation optimale des ressources, alors que l’acteur qui surconsomme ne supporte pas les sacrifices mais bénéficie de
l’amélioration relative de la soutenabilité des ressources. Donc sans l’intervention de l’État il y aura toujours des passagers
clandestins. EX ressources halieutiques

Enfin, il faut être prudent car certaines entreprises nous font croire qu’elles sont devenus plus vertes
grâce à certains logos ou revendications mais ce n’est pas toujours la réalité, elles profitent des
clients qui sont prêt à payer plus pour etre plus responsable . On parle d’illusion verte, comme par
exemple les voitures éléectriques ont besoin d’une batterie qui n’est pour le moment pas
entièrement recycable et qui utilisent des matériaux polluants

TRANSITION :Si les acteurs de la mondialisation continuent à agir ainsi il y aura des conséquences
désastreuse pur l’environnement. Mais nous allons voir maintenant que nous pouvons espérer une
amélioration du fonctionnement de la mondialisation, une perspective plus positive pour pallier les
emissions de gaz à effet de serre
L’État est un acteur avec un rôle de très grande importance dans la préservation de l’evironnement
car il peut mettre en place des lois, des normes et par la suite controler les entreprises. Certains
accords comme l’accord de Paris qui a pour objectif de renforcer la réponse mondiale à la
menace du changement climatique en maintenant l'augmentation de la température
mondiale à un niveau bien inférieur à 2 degrés. Il y a aussi la normes ISO En 1996, dans
le but d’impliquer les entreprises à la sauvegarde de l’environnement. De par les normes ISO
14000, les entreprises ont un repère permanent pour évaluer leur participation à la
pollution de l’environnement et donc une visibilité sur la stratégie corrective à adopter. De
plus cela permet aux entreprises d’augmenter leurs chifres d’affaires.

Dans notre exemple, cela permet de justifier l’imposition de quotas de pêche pour les pêcheurs.

On pourrait espérer que l’économie verte créer à partir des énergies et des technologies plus
vertes créé un avantage concurrentiel entre les pays. Que cela stimule les Etat à être les leaders dans
les énergies renouvelables par exemple. Le GREEN NEW DEAL montre bien, mis en place par Biden il
vise à réduire les inégalités sociales en créant de nouveaux emplois qui participerait à une nouvelle
économie verte, des objectifs sont fixés ; atteindre la neutralité carbonne d’ici 2050.

De plus si les pays du Nord aident les pays en développement, en les aidant à investir dans
des technologies/energies plus vertes ainsi qu’en réduisant les inégalités de pauvreté, nous
pourrions espérer à une diminution de la pollution plus rapidement.
En effet la courbe environnementale de Kuznets qui provient des recherche de Grossman et Krueger
en 1994 le montre. Elle suppose qu’un enrichissement de la population s’accompagne d’une demande
d’un environnement plus sain . On remarque alors au début une augmentation de la croissance
économique et de la pollution mais lorsque la courbe a atteint un certain seuil quand les besoins
primaires sont pourvus, on atteint un seuil où le souci pour l'environnement s'accroît et où la tendance
s'inverse. La société a alors les moyens et la volonté de réduire le niveau de pollution et l'utilisation de
ressources pour créer une unité de PIB (de richesse) qui tend à diminuer.

Enfin, on pourrait espérer que l’économie verte créer à partir des énergies et des technologies
plus vertes créé un avantage concurrentiel entre les pays. Que cela stimule les Etat à être les leaders
dans les énergies renouvelables par exemple. Le GREEN NEW DEAL montre bien, mis en place par
Biden il vise à réduire les inégalités sociales en créant de nouveaux emplois qui participerait à une
nouvelle économie verte, des objectifs sont fixés ; atteindre la neutralité carbonne d’ici 2050.

En conclusion la mondialisation doit changer son fonctionnement si elle veut faire face aux
changements climatiques. Les perspectives envsagés ne seront possibles que si les Etats et les
entreprises jouent le jeu et se préoccupent plus de leur environnement car c’est eux qui ont le plus
d’impact.

Originellement appelé courbe de kuznets, celle ci décrit la relation entre le niveau de richesse d'un
pays (mesuré en PIB/hab) et son niveau d'inégalité. Elle s'inspire des travaux de Simon Kuznets parus
en 19551 sur le développement économique des années 1950.