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Emeline Di Clemente : Récap Matériaux 3

KOBRA
Concernant l’objet de mon travail, j’ai décidé de choisir un logement une personne d’un projet
de logements résidentiel à Bruxelles.
DETAIL :
- Lors de la 1ère session, j’avais choisi un détail de plancher intermédiaire qui ne
représentait pas tellement un pont thermique.
- Pour cette session, j’ai décidé de choisir un détail plus parlant en termes de réel « pont
thermique ».
Ici, un changement de géométrie, de matériaux, et donc d’épaisseur, avec ma
terrasse/fondation/baie vitrée, qui peut constituer un point sensible dans l’enveloppe
du bâtiment.
- J’ai placé le seuil en pierre bleue en-dessous du châssis, conformément à la norme.
En-dessous de ce seuil se trouve une membrane (qui aurait pu être aussi du DIBA), qui
passe sous mon châssis également, et qui vient se coincer dans mon sol pour assurer
une bonne isolation thermique.
Cette membrane est volontairement marquée, en réalité, on coupe cette partie lorsque
la pose de cette dernière est correcte.
- La membrane DIBA continue jusqu’au pied de ma chape isolante, et vient aussi se glisser
dans mon sol, de telle sorte que l'eau de pluie qui pourrait s'infiltrer à cet endroit ne
passe pas dans le mur portant, et se protéger au maximum contre l’humidité capillaire
ascensionnelle.
è J’aurais peut-être dû passer mon DIBA derrière mon bardage-bois, c’est purement
esthétique cela dit, petite erreur de ma part !
CARACTERISTIQUES :
1) Flexible même quand basses températures
2) Haute résistance à la compression, à la perforation et à la déchirure
3) Imputrescible et résiste à la majorité́ des produits chimiques utilisés dans la
construction.
- La membrane d’étanchéité à l’air vient se coller au pied du châssis et vient entourer
mes deux chapes.
- La membrane étanche (PLATOEN) qui s’occupe du sol en lui-même vient contourner
mon drain et s’arrête au pied du mur.
- J’ai préféré un isolant naturel (laine minérale) car il est incombustible et évite donc la
propagation du feu au maximum.
J’ai voulu isoler un maximum mon détail ainsi qu’être assez complète quant à la question de
l’étanchéité.
- Mon facteur de température est au-delà de 0,7 ce qui me rassure quant à la qualité de
ma proposition.
- Pour des valeurs comprises entre -10° et 20° qui sont les normes pour KOBRA, voici mon
détail, où l’on voit une légère perturbation au niveau de la baie mais qui est
relativement vite gérée au fur et à mesure que nous rentrons à l’intérieur.
La partie bleue résulte de la partie non-viable de mon logement, vu que c’est le sol.
- La transmission thermique à travers la paroi est proche d’une valeur moyenne d’une
paroi pour un bâtiment passif : 0,12 W/m2K, elle aurait pu être plus basse, ce qui aurait
été mieux.
VELUX
- L’appartement bénéficie de peu d’ouvertures et donc de peu de lumière naturelle.
- J’ai pris l’été comme cas de base, et j’ai voulu améliorer la perception, notre ressenti de
la lumière dans cette partie de logement.
- J’ai décidé de ne pas agrandir la baie vitrée pour ne pas dénaturer le projet, j’aurais pu
le faire. Mais j’ai décidé d’offrir un gain supplémentaire à la cuisine, qui était coincée
dans un espace nécessitant un éclairage artificiel sans aucun doute.
- J’ai donc eu des résultats satisfaisants pour les saisons, et j’ai pu améliorer de presque
1% le facteur de luminosité par rapport à la saison de mon cas de base, ce qui est idéal
et dans la norme, sans pour autant être exacerbant !
- Flux lumineux = quantité de lumière émise par la source dans toutes les directions par
unité de temps (lumen)
- Éclairement (lux)
- Luminance = aspect visuel de ce qui nous entoure, ce qu’on perçoit des surfaces. On
peut voir une nette amélioration dans les deux premières lignes de l’analyse, l’espace
nous parait déjà plus agréable à vivre. Une simulation d’une ouverture de baie plus
grande aurait montré (je pense), un éblouissement trop important, qui aurait demandé
une protection solaire telle que des teintures ou des stores.
è ICI, avec cette stratégie architecturale que j’ai amenée, j’ai réussi à faire un bon
compromis en offrant de la lumière naturelle en conséquence pour la cuisine, sans pour
autant exposer directement la pièce de vie à un éclairement trop important.
- Les différents facteurs de lumière du jour sont optimaux pour chaque saison.

S-MV // BE PASSIVE
- Le commissionning : vise à faire fonctionner le bâtiment comme les concepteurs l’ont
imaginé. Un immeuble sans cette notion et dont la maintenance est défaillante
consomme ++ que prévu, avec un environnement de vie ou de travail nul.
Une fois livrés, beaucoup de projets souffrent d’un commissionning inadéquat par
manque de clarté dans l’attribution des responsabilités.
Rôle des professionnels de l’équipe de conception pour y participer et améliorer la
qualité des informations qui le rendront pertinent, robuste et efficace.
Sur des projets, il peut y avoir un agent de commissionning.
è Des bâtiments à partir de leurs paramètres réels d’utilisation et d’occupation, plutôt
qu’à partir des seules informations données au concepteur, permettrait de réduire de
5% à 10% la consommation d’énergie.
Commissioning même léger = efficacité énergétique et confort prévus en conception
- Le coût du passif « sur le terrain » : passif impliqué un coût peut-être supérieur car : +
grandes épaisseurs d’isolant, meilleure étanchéité à l’air, ventilation double flux
- La thermographie :
L’utilisation d’une caméra infrarouge permet de vérifier exactement où sont les
déperditions d’énergie, avec l’avantage d’un contrôle non-destructif.
!!! La caméra ne « voit » pas les températures, elle enregistre un rayonnement
infrarouge.
L’œil humain est aveugle au spectre infrarouge. Comme le rayonnement
électromagnétique est lié à la température, une camrapeut calculer la température
d’une surface à partir du rayonnement qu’elle émet.
Permet de :
- Visualiser les déperditions d’énergie
- Détecter les défauts ou l’absence d’isolation
- Détecter les fuites d’air
- Déceler l’humidité dans l’isolant, le toit et les murs, à l’intérieur comme à l’extérieur
- Détecter la moisissure et les zones mal isolées
- Identifier les ponts thermiques
- Visualiser les erreurs de construction
C’est un bon outil mais !!! il faut savoir interpréter les images produites en connaissant le
bâtiment et les lois physiques :
- Béton est lent à changer de température quand d’autres sont + rapides
- Voir si une variation importante de température s’est produite peu avant le test et qui
pourrait affecter les relevés de température (24h)
- Dans un mur, une ossature est plus froide quand elle est vue de l’intérieur (supposé
chauffé) et c’est l’inverse quand on l’observe de l’extérieur (supposé froid)
- Motif trompeur : la pluie mouille la surface et la refroidit : au séchage, l’évaporation
refroidit encore la surface
- Caméra infrarouge actuelles sont opérationnelles à partir d’un écart stable entre 10°
entre les températures intérieures et extérieure
- !!! différence d’émissivité et de perte quand ombre/soleil sur façade
- La combinaison de la thermographie et du test Blower-Door permet de déceler
d’éventuels défauts de manière très précise. La caméra infrarouge ne vit pas l’air lui-
même mais permet de visualiser les zones refroidies par le flux d’air
è Plinthes : fuites d’air à la baie des cloisons
è Infrarouge (orange/jaune/verte/bleu) : défauts au raccord d’angles de murs
èInfrarouge + Blower-Door (orange/jaune/verte/bleu très foncé) : défauts
complémentaires liés au mauvais raccord de l’étanchéité à l’air du toit
è Photo montrant le risque de moisissures
QUESTIONS D’EXAMENS

B-D/IR/ETANCHEITE
1) Blower-Door et étanchéité à l’air au niveau de la plinthe :
- QUOI ?
Blower-Door mesure la qualité de l’étanchéité à l’air d’un bâtiment.
- FONCTIONNEMENT ?
Bâche qu’on installe facilement à l’entrée d’un bâtiment avec un petit aérateur :
Il va mesurer en fonction de la quantité d’air qui rentre, quelle est la quantité d’air qui
fuit.
Il faut être en-dessous de 0,6 vol/h (débit de fuite) = le bâtiment est très bien
calefeutré.
On le fait en pression (prendre l’air de l’extérieur) et en dépression) rejeter l’air vers
l’extérieur).
- La combinaison IR + Blower-Door permet de déceler possibles défauts + précisément.
- La caméra IR ne voit pas l’air lui-même mais plutôt les zones refroidies par le flux d’air.
- ANALYSE ?
On voit que c’est froid en bas du mur.
è Fuites d’air à la base des cloisons, problème d’étanchéité suite à une mauvaise
pose de la membrane d’attente, la continuité entre le plâtre (étanchéité à l’air) et
béton n’est pas assuré è il ne va pas jusqu’en bas du mur, on aurait dû terminer par
une languette en plastique qui joue le relais dans la continuité d’étanchéité à l’air (elle
doit descendre plus bas que la dalle flottante)
- IR permet de voir les fuites d’air, pas son flux mais sa T°.

2) Analyser des photos de thermographie au niveau d’un toit avec structure en bois +
test blower-door (différencier 2 détails)
- On remarque qu’il y a un problème au niveau de la jointure de la colonne, et cela se
voit à l’aide de la caméra infrarouge = un thermographe.
- Si on rajoute cela au test Blower-Door, l’air va être aspiré et les pertes se verront
d’autant + et c’est le cas ici ! è On voit qu’il y a des pertes et donc des accumulations
d’eau dans les poutres et la charpente donc condensation.
- PHOTO 1 è caméra infrarouge : vue thermographique e la zone froide
- PHOTO 2 è on montre qu’on a mis une membrane (pare-vapeur ou freine-vapeur).
MAIS les membranes ne sont pas fermées sur la poutre è condensation

3) Comment empêcher la condensation surfacique ?


- SUPERFCIELLE :
a. Hotte
b. Fenêtre ouverte
c. Radiateur à proximité sur surface froide pour maintenir la T° de rosée
- SURFACIQUE :
a. Limiter les ponts thermiques : maintenir la T° de surface au-dessus du point de rosée
b. Limiter les défauts à l’étanchéité à l’air : si transfert par convection arrêtés è risque
de condensation interne aussi
c. Limiter les transferts par diffusion : réguler l’humidité au sein des parois = prévoir des
composant dont la résistance à la diffusion de vapeur soit dégressive de l’intérieur
vers l’extérieur è limitation de la quantité vapeur

4) PARE-VAPEUR = PARE-AIR ? è OUI, car air transporte vapeur d’eau


5) PARE-AIR = PARE-VAPEUR ? è PAS TJRS, certaines sous toitures peuvent être pare-air
et pare-vent et donc doit être perméables à la diffusion de vapeur d’eau et ne sont
donc pas des pare-vapeur

6) QUAND pare-vapeur ou freine-vapeur ?


Valeur ud (u.e) è
> 10 m = pare-vapeur (= limite fortement la diffusion de vapeur d’eau) (fermé è en
été, va bloquer les molécules d’eau côté extérieur et donc ça va condenser, le fait de
bloquer ces molécules venant de l’extérieur è champignons), TOITURE PLATE car
toiture est complètement fermée et la vapeur reste enfermée dans la toiture, on
attend l’été pour que le flux s’inverse et que la vaper revient à l’intérieur
< 10m = freine-vapeur (ouvert è en été, ça ne va pas bloquer et donc ça empêchera
la condensation, couche-continue)
((Pare-pluie : doit être étanche à l’eau et donc doit être très ouvert à la vapeur, car on
veut que la vapeur sorte)

7) Expliquer frein-vapeur hygrovariable, et dans quel cas l’utilise-t-on ?


- Variable en fonction de l’humidité détectée
- Garanti le potentiel de séchage, si HR est élevée, il va s’ouvrir pour le séchage et donc
est relativement fermé à la vapeur quand HR est faible
- On l’utilise quand c’est du bois et aussi en rénovation parce que rénovation intérieure

8) Ou mettre le compteur électrique ?


Dans le volume chauffé. Il n’y aura que le câble d’étanchéité à l’air qui devra traverser
du chauffé vers le non-chauffé.

9) Définir U, Psy et Xi
- U = transmission thermique à travers une paroi, W/m2K, 1/R1+R2+…
avec R = d( épaisseur)/ lambda (conductivité thermique d’un matériau)
- Psy = pont thermique linéaire
- Xi = Pont thermique ponctuel

10) Isolation nécessaire qui enveloppe toute la fondation ou pas ?


- On se demande souvent jusqu’où il faut descendre l’isolation pour annuler le ^pont
thermique mais c’est au niveau de tout l’ensemble du projet qu’il faut analyser
l’impact, la profondeur ne fait pas tout !
- On peut le faire mais il faut faire attention aux solutions comme les pieux entourés de
polyuréthane et les semelles entourées de polystyrène, car ça compte dans un
premier temps très cher et ça peut mettre la stabilité du bâtiment en péril.
- On va préférer à cette solution, isoler + la toiture/façade/colonnes du RDC.
11) 2 détails d‘isolation de fondation, lequel est le meilleur ? (Celui qui est continu) et est-
ce qu’on a parfois le choix ? Non, béton structurel peut pas toujours être interrompu.
12) Quel est le K qui caractérise l’absorption et déjection.
13) Quelle est la meilleure technique entre le table/balloon-frame ?
- TABLE-FRAME :
+ courant, vapeur d’eau est coincée par le pare-vapeur.
- BALLOON-FRAME :
En « intercalé », façade où on va intégrer des éléments intérieurs.
- Pour ce type de structure, il est très important de définir la position exacte de la
membrane. Dans les deux cas, l’étanchéité est parfaitement continue.
è MAIS, on constate que dans la situation du Table-Frame : la membrane passe du côté
froid de l’isolation ; ça pourrait créer un point de condensation dans la structure.
è SOLUTION : rajouter une couche d’isolant.

14) A quoi ça sert d faire apparaître la ligne des 12° ? Pourquoi c’est 12° et pas une autre
température ?
- T° de rosée, avec une ambiance intérieure de 20°, HR à 60% et à 12° c’est la T0 à
laquelle j’atteins 100% d’HR, c’est là qu’on risque d’avoir de la condensation

15) Qu’est-ce que le facteur f ?


- Indique quant au risque à partir des seuls flux de chaleur
- T° surfaces INT et EXT (minimales) / T° ambiances (maximales) = 0,7
- SI < 0,7 è mauvais !!!

PONTS THERMIQUES
16) Problématique d’avoir des ponts thermiques dans un bâtiment, sous quelles
conditions ? On fait comment pour les évaluer ?
Pour autant que ceux-ci ne posent pas de problèmes sanitaires (12° pour 60%
d’humidité relative). (HR = àpd de quand on est saturés en humidité d’eau-
humidèeau)
Et que le bilan global reste inférieur à < 15 kW/m2.K.an

17) Comment on a des ponts ponctuels ?


Quand on a des éléments en métal qui viennent soutenir les tablettes de fenêtres par
exemple ou des rambardes qui sont maintenues par des pieds. è ancrages è
perturbation d’un raccord ponctuel dans le transfert de chaleur.
COMMENT REDUIRE ?
a) Allonger le trajet de la chaleur de l’intérieur vers l’extérieur
b) Intercaler des coupures thermiques incompressibles
c) Minimiser les points de contacts

18) Qu’utilise-t-on pour calculer les déperditions avant et pendant le chantier pour
calculer les déperditions ?
En phase projet ou avant-projet :
- Pont thermique : Kobra/Trisco (calcul pont thermique / programme par élément finis)
- Comportement hygrothermique de la paroi : Wufi (logiciel dynamiques)(chaleur et
humidité)
En phase chantier et après :
- Thermographie : performance thermique des bâtiments, détection qualitative des
irrégularités thermiques sur les enveloppes de bâtiment.
Plus la température d’un objet est élevée, plus la radiation infrarouge émise est important.
Les infrarouges nous permettent de voir ce que nos yeux ne peuvent voir.
- Blower-door test : test en pression et en dépression. Performance thermique des
bâtiments.
Deermination de la perméabilité à l’air des batiements. 0,6 vol/h -> valeur à obtenir
- Pipe de Karsten .
- Hygromètre

19) Pourquoi les psy sont parfois exprimés en négatifs ? ça veut dire quoi un pont
thermique négatif ?
- Car au raccord on a moins de perte que par rapport à la surface pure.
è Quand on calcule les pertes vers l’extérieur, on calcule les pertes d’un côté et puis
de l’autre mais ça veut dire qu’on calcul deux fois les pertes qui agissent dans le coin hors il
n’y a pas autant de pertes, alors on peut se permettre d’enlever une des deux valeurs ou
réduire l’épaisseur du mur à ce niveau.

20) Expliquer quelle paroi correspond à U1 et U2 dans Kobra ?


- Ce sont deux choses différents è risque de pont thermique
- Celui qui est le + élevé est le + conducteur
- U = coefficient de conductivité thermique // il faut prendre en compte les 2 !

21) Comment améliorer le U ?


- En jouant sur l’isolation, on change l’épaisseur ou l’isolant, ou alors le lambda

22) Dans une construction en bois, à quoi être attentif pour l’isolation ? (caissons
préfabriqués, avec à l’intérieur de l’OSB étanche à l’air, isolation c’est de la cellulose et
à l’extérieur y’a un panneau en fibres de bois qui joue le rôle de pare-pluie)
a. U’est-ce je dois regarder pour les caractéristiques de ce panneaux pour que la
paroi fonctionne bien ?
b. Et pour voir si c’est perméable à la vapeur d’eau on regarde quoi ?
c. Quel est l’intérêt ?
d. Ou mettons-la membrane d’étanchéité ?

23) Schéma d’un mur pour une construction en bois, expliquer quel type de parois il faut
mettre à l’intérieur et à l’extérieur pour que l’isolant ne se remplisse pas de vapeur ?
- Pour éviter que l’humidité stagne dans l’isolant, les couches successives vont être de
plus en plus ouvertes à la vapeur.

24) Expliquer frein-vapeur hygrovariable, et dans quel cas l’utilise-t-on ?


Variable en fonction de l’humidité détectée
Garanti le potentiel de séchage, si HR est élevée, il va s’ouvrir pour le séchage et donc est
relativement fermé à la vapeur quand HR est faible
On l’utilise quand c’est du bois et aussi en rénovation parce que rénovation intérieure
25) Avec quels matériaux peut-on faire un raccord dans le châssis ou dans le plancher ?
- Parois blocs : certaines bandes collantes permettent de réaliser la jonction entre le
plafonnage et le châssis en bois
- Peinture étanche à base de polyuréthane si pas de membrane
- Plafonnage : étanche

HUMIDITE
26) Quel traitement applique-t-on a un mur en brique contre l’humidité ? Quel outil de
vérification utilise-t-on pour vérifier l’absorbtion ?
- A = coefficient d’absorption (kg/m2.s1/2)
- Absorption = quantité d’eau qui va être absorbée par le matériau, par capillarité
- Traitement hydrofuge : mélange à base d’eau et de silicione (placé au rouleau, au
pinceau) : il vient tapisser la façade mais il est encore ouvert à la vapeur mais va
diminuer la quantité d’eau absorbée lorsqu’il pleut et que les précipitations vont être
absorbée par le mur sur 2-3 cm
- « Hydrofuge perspirant »
-
27) Quel risque si on construit en briques et comment mesurer, quel critère pour pont
thermique soint considéré ?
- Risque de gel si façade pas hydrofugée
- Mesurer à l’aide de logiciels
-
28) % max pour l’humidité du bois ?
- Bois sec si il y a moins de 20% d’humidité

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