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Introduction
Introduction
Corrélation de BUKACEK
• Exemple :
Coefficients fonction
de T donnés par
des TABLES ou
Programmes de simulation les équations de GdF
thermodynamique (PRO II, HYSYS…)
1 – Quelle est la teneur en H2O d’un gaz naturel à 200°F et 3000 psi.a ?
280
…………. lb/MMSCF
2 – Pour la même pression de base (3000 psi.a), quelle sera la teneur en H2O de ce même gaz naturel à une
température inférieure (100°F) ?
33
………… lb/MMSCF
Conclusion : la teneur en humidité d’un gaz naturel diminue, lorsque la température ……DIMINUE……
……………………
3 – Pour la même température de base (200°F), quelle sera la teneur en H2O de ce même gaz naturel à une
pression inférieur (1500 psi.a) ?
480
…………. lb/MMSCF
4 – Quelle est la température de rosée à 1000 psi.a de ce même gaz naturel (saturé en humidité à
200°F et 3000 psi.a) ?
……………
150 °F
5 – Quelle est la pression de rosée à 100°F de ce même gaz naturel (saturé en humidité à 200°F et
3000 psi.a) ?
170
……………. psi.a
où
M : Poids moléculaire (kg/kmole)
Sp.Gr : Densité
6 – Quelle sera la teneur en H2O de ce même gaz naturel (saturé en humidité à 200°F et 3000 psi.a) si
nous appliquons le facteur de correction pour la densité (poids moléculaire de 23,2 kg/kmole) ?
Un facteur de correction Cs peut être appliqué pour tenir compte de la salinité de l’eau
de formation.
Ce facteur de correction est inférieur à un.
7 – Quelle sera la teneur en H2O du même gaz naturel (saturé en humidité à 200°F et 3000 psi.a) si
le facteur de correction pour la salinité de l’eau de formation est également appliqué (teneur
en sel : 3% poids de l’eau salée) ?
8 – Comparer la teneur en H2O calculée avec la méthode de McKETTA à celle obtenue avec la
méthode de BUKACEK pour le même gaz naturel (saturé en humidité à 200°F = 93,3°C ;
3000 psi.a = 206,9 bar.a ; M = 23,3 kg/kmole et 3 % poids de sel dans l’eau salée).
McKETTA BUKACEK
Tables Équations GdF
Introduction
• méthode de CAMPBELL
• méthode de GASUNIE
9 – En utilisant la méthode de CAMPBELL, quelle sera la teneur en H2O du même gaz naturel (saturé
en humidité à 200°F et 3000 psi.a) pour une teneur en H2S de 4% mole et une teneur en CO2 de
6 % mole.
Par mesure de simplification, les corrections pour la densité et la salinité ne seront pas
appliquées.
…………………
Conclusion : la teneur en H2O d’un gaz naturel augmente lorsque l’acidité ………AUGMENTE…….
Définition :
• On dit que le gaz saturé en eau, dans des
conditions données de P et T, est au point
de rosée eau quand le gaz est légèrement GAS WATER DEW POINT CURVE
refroidi à une P constante et que la vapeur
commence à se condenser. 160
Pressure (bar a)
100
Si un gaz est saturé en eau à 70 bars et 30°C, son point de rosée eau à 70 bars est 30°C ●
………………..
L’influence du CO2 sur la teneur en eau d’un gaz est plus importante que celle de H2S ●
………………..
Les gaz naturels sont presque toujours saturés en humidité car ils sont souvent
en contact avec une phase aqueuse (sauf bien évidemment après une phase de
déshydratation et/ou de réchauffage au contact de l’eau).
Plus la pression d’un gaz naturel diminue et plus sa température augmente,
plus sa teneur en eau à saturation augmente.
La saturation en eau d’un gaz naturel diminue lorsque la masse moléculaire
augmente.
La saturation en eau d’un gaz naturel diminue lorsque la salinité de l’eau en
contact avec le gaz dans le séparateur augmente.
L’acidité d’un gaz naturel se traduit par une teneur en eau plus élevée à
saturation (corrections des teneurs en H2S et CO2 du gaz naturel nécessaires
au-delà de 5 % mole)
31
Back Up slides
Méthodes de calcul de la teneur en H2O – Cas des gaz non acides
Corrélation de Bukacek – Équations de GDF pour le calcul des coefficients a et b
Coefficients A et B
Les coefficients A et B de la corrélation de BUKACEK peuvent être calculés à partir des
équations développées par Gaz de France dans les systèmes d’unités suivants :
W : teneur en eau des gaz saturés en humidité à la P et T en mg/Nm3
P : pression de service en bar.a
T : température de service en °C
A et B : coefficients de BUKACEK, fonction de la température de service en °C,
obtenus à partir des équations suivantes :
Coefficient A Coefficient B
En utilisant la méthode de GASUNIE, quelle sera la teneur en H2O d’un gaz naturel saturé
en humidité à 30°C et 80 bar.a) pour une teneur en H2S de 4% mole et une teneur en CO2
de 6 % mole.
Par mesure de simplification, les corrections pour la densité et la salinité ne seront pas
appliquées.
Molécules
d’hydrocarbures
Méthane biogénique
généré dans des
sédiments océaniques
peu profonds jusqu’à
1000 m
Méthane piégé
Prouvé
Déduit
Potentiel
La courbe de rosée eau est à gauche de la La courbe de rosée eau croise la courbe de La courbe de rosée eau est à droite de la
courbe de formation d’hydrates formation d’hydrates courbe de formation d’hydrates
Ces méthodes sont basées sur les équations fondamentales des équilibres de
phases.
• Quand les hydrates se forment T, P et les potentiels chimiques sont les mêmes dans les
phases gaz, eau liquide et hydrates (solides)
Remarque : PRO II ne prend pas en compte la quantité réelle d’eau dans le gaz
• Il suppose tout le temps que de l’eau liquide LIBRE est présente
• Il considère que le gas est saturé en eau, i.e. il augmente la quantité d’eau si la saturation
n’est pas effective
160
140
120
Pressure(bar abs)
100
80
60
20
0
0 20 40 60 80 100
Temperatue (°C)
PHASE DE CONCEPTION
général
● Injection de solutions aqueuses de glycol (MEG ou DEG)
● Injection d’inhibiteurs cinétiques d'hydrates (KHI)
PHASE OPÉRATIONNELLE
Déshydratation des gaz
Chauffage/Isolation thermique
Formation des hydrates Option 1 : déshydratation ● Isolation thermique
● Circulation d’huile chaude
● Traçage
● Installation d’un réchauffeur indirect
Suivi permanent des paramètres clés :
● Point de rosée eau du gaz
● Teneur en eau du gaz
Un pipeline bouché par des hydrates peut être débouché en réduisant la pression du
pipeline des deux côtés du bouchon.
Réduire la pression d’un seul côté est EXTRÊMEMENT DANGEREUX !!! Le bouchon
d’hydrate solide peut se briser et se libérer. La pression du pipeline entraîne alors à
très grande vitesse ce bouchon d’hydrate dur comme de la glace vers le côté où la
pression a été réduite. À cette vitesse, lorsque le bouchon atteint un coude ou une
restriction, il peut rompre une conduite voire même la déterrer. Ce type d’accident a
déjà coûté des vies et causé de lourds dommages aux équipements.
Plus la densité du gaz est élevée, plus le risque de formation d’hydrates l’est également. ●
………………..
La température de formation d’hydrates augmente quand la densité du gaz augmente
Un bouchon d’hydrate peut être enlevé en toute sécurité en diminuant la pression en aval. ●
La………………..
dépressurisation doit être faite graduellement des DEUX COTES du bouchon.
Pour une pression donnée, la température et donc les risques de formation d’hydrates augmentent quand la densité du gaz
augmente
La présence d’ H2S augmente les risques de formation d’hydrates
La formation des hydrates commence doucement. Ce phénomène s’accélère ensuite de façon exponentielle et se termine par
un bouchage des installations. Une surveillance régulière afin de détecter le début de la formation des hydrates est donc
fortement recommandée.
Eliminer un bouchon d’hydrate est dangereux et peut être très difficile.
Les principaux moyens permettant d’éviter la formation d’hydrates sont:
Supprimer un bouchon d’hydrates par depressurisation peut demander des jours d’interruption de production.
EP 20267_a_F_ppt_10 - HYDRATES & PREVENTION DES HYDRATES
© 2010 - IFP Training
24
Back Up slides
HYDRATE FORMATION CONDITIONS – IFP
RESERCH FACILITIES
4à5
bars
Patm
Bouchon
d’hydrate
• Une dépressurisation rapide du pipeline pourrait causer un refroidissement du gaz jusqu’à des températures négatives
(détente de Joule-Thompson) qui favorisent la formation de glace et prolongent le temps de fonte du bouchon d’hydrate.
• Pour prévenir un tel évènement, la bonne pratique est de contrôler la température du gaz pendant la dépressurisation.
• D’un autre côté, la dépressurisation rapide favorise la dissociation des bouchons lorsque plusieurs bouchons d’hydrates se sont
formés dans le pipeline.
2ème étape :
• Injecter du méthanol du côté du pipeline où la pression est la plus élevée lorsque la pression commence à diminuer.
• Le faible débit ainsi créé pousse le méthanol vers le bouchon d’hydrate et une fois au contact de ce dernier favorise sa
dissociation.
PHASE DE CONCEPTION
général
● Injection de solutions aqueuses de glycol (MEG ou DEG)
● Injection d’inhibiteurs cinétiques d'hydrates (KHI)
PHASE OPÉRATIONNELLE
Déshydratation des gaz
Chauffage/Isolation thermique
Formation des hydrates Option 1 : déshydratation ● Isolation thermique
● Circulation d’huile chaude
● Traçage
● Installation d’un réchauffeur indirect
Suivi permanent des paramètres clés :
● Point de rosée eau du gaz
● Teneur en eau du gaz
ISOLATION
THERMIQUE
ISOLATION PAR
LE VIDE
CHAUFFAGE PAR
CONDUCTION
CHAUFFAGE PAR
INDUCTION
CHAUFFAGE ELECTRIQUE
EP 20268_a_F_ppt_05 - PREVENTION DES HYDRATES - ISOLATION ET CHAUFFAGE
Techniques de contrôle des températures – Combinées
L’isolation est assurée par enrobage avec un isolant thermique ou par le vide
Le chauffage est assuré par circulation d’un fluide chaud dans l’annulaire ou par un
moyen électrique.
Le réchauffage en ligne par circulation dans un bain d’eau ou d’huile chaude est
PHASE DE CONCEPTION
général
● Injection de solutions aqueuses de glycol (MEG ou DEG)
● Injection d’inhibiteurs cinétiques d'hydrates (KHI)
PHASE OPÉRATIONNELLE
Déshydratation des gaz
Chauffage/Isolation thermique
Formation des hydrates Option 1 : déshydratation ● Isolation thermique
● Circulation d’huile chaude
● Traçage
● installation d’un réchauffeur indirect
Suivi permanent des paramètres clés :
● Point de rosée eau du gaz
● Teneur en eau du gaz
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
Les inhibiteurs thermodynamiques sont des substance ajoutées dans l’eau pour réduire
l’activité de la phase liquide aqueuse et prévenir la formation d’hydrates
Les inhibiteurs à faible dosage (LDHI, ou Low Dosage Hydrate Inhibitors ) retardent la
formation ou la croissance des hydrates mais ne les stoppent pas.
AVANTAGES INCONVENIENTS
Inhibiteurs Thermodynamiques
Transport Se dissout dans les HC
MeOH : Methanol Volatil (pertes importantes)
CAPEX faible OPEX élevé
MEG : Monoethylene glycol Regeneration (pertes faibles) Viscosité élevée
DEG : Diethylene glycol Risque de cristallisation
TEG : Triethylene glycol OPEX faible CAPEX élevé
Anti-agglomerants
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
O O O O
O O O O O O
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
CHOIX À FAIRE
• Quel type d’inhibiteur ?
• Injection continue ou intermittente ?
• Régénération ?
• Quelle concentration d’inhibiteur régénéré “pauvre” ?
• Quelle quantité et concentration d’inhibiteur “riche” ?
DONNÉES À RECUEILLIR
• Débit ?
• Pression minimale et maximale dans l’unité ?
• Composition du fluide (dont composants lourds) ?
• Température minimale dans l’unité ?
• Spécification du point de rosée eau ?
MÉTHANOL :
• technique ÉPROUVÉE,
• MAIS : produit hautement TOXIQUE et INFLAMMABLE, PERTES importantes dans le gaz et
le condensat, à injecter en GRANDES QUANTITÉS (OPEX, logistique, régénération),
souvent utilisé pour les inhibitions PROVISOIRES quelle que soit la température.
• Les glycols sont préférés lorsqu’une injection permanente de méthanol > 120 l/h est
nécessaire.
GLYCOLS :
• technique ÉPROUVÉE,
• MAIS produit couteux (CAPEX), régénération possible mais problématique si l’eau de
production est salée,
• MEG : inhibition continue à T< -10°C (pertes de vaporisation à des températures
supérieures),
• DEG : inhibition continue à T> -10°C (haute viscosité, séparation du condensat et du DEG
+ eau difficile).
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
Qatargas I « schéma SEC » CARTE GÉNÉRALE DE South Pars 2&3 « schéma HUMIDE »
NORTH FIELD
RAS
LAFFAN
≅ 0.9 BScfd
CONDENSATS
SEPARATION au traitement
PRIMAIRE
PLATEFORMES PUITS “SALT RECLAMING”
(Aucun Traitement)
REGENERATION
BACS FILTRATION
MEG riche du MEG
BACS DE
STOCKAGE MEG pauvre
"PIGGY-BACK LINE"
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
Volume injecté = quantité dans l’EAU libre + pertes dans le GAZ + pertes dans l’HC
LIQUIDE
∆T . M W . Ki
W = 100 . OR ∆T =
K i + (M . ∆T) 100 . M − W . M
• W : % en poids d’inhibiteur pur dans la phase eau liquide
• ΔT : abaissement de la température de formation des hydrates (°C)
• M : poids moléculaire de l’inhibiteur (kg/ kmole)
• Ki : constante d’Hammerschmidt (°C.kg /kmole)
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
Pertes MeOH
dans le gaz
Pertes MeOH par
dissolution dans
Effluent gazeux les condensats
MeOH dissous dans l’eau
libre, c’est le seul MeOH
utile pour l’inhibition des
hydrates
2 – Calculer la quantité d’eau de condensation aux conditions de service (10°C et 100 bar.a).
Utiliser la corrélation de Bukacek, sans correction pour la densité.
Température 40 °C 10 °C
6 – Calculer la perte de MeOH dans les condensats (50 mg/Sm3), pour de l’octane
normal (nC8).
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
2 – Une concentration de 60% masse de MEG dans la phase aqueuse (au LTS) est elle suffisante pour
inhiber la formation d’hydrates? Justifier.
………………………………………………………….……………………….………………………………………………………………………
Hammershmidt: pour W= 60% masse on atteint un sous-refroidissement de 53.7°C (> à ce qui est requis
=………………………………………………………….……………………….………………………………………………………………………
18°C - 4.4°C). Ainsi, il n’y a pas de risques de formations d’hydrates au LTS.
3 – Calculer la quantité d’eau de condensation aux conditions du procédé LTS (4,4°C et 70 bar.a).
Utiliser la corrélation de Bukacek, sans correction pour la densité.
CONDITIONS DE SATURATION CONDITIONS DU PROCÉDÉ LTS
Température 40 °C 4,4 °C
Pression 70 bar.a
Coefficient A de Bukacek 56 121
…………. 6 385
………….
Coefficient B de Bukacek 267.51
…………. 53.50
………….
Quantité d’eau de condensation aux conditions LTS (4,4°C et70 bar.a) : ………….
≈ 925 mg/Sm3 (A)
EP 20269_a_F_ppt_13 - PREVENTION DES HYDRATES - INHIBITION
APPLICATION 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
= Q
MEG pauvre MEG riche MEG riche MEG pauvre Eau de condensation
Conservation du MEG : 80% x Q = 60% x Q et conservation des débits globaux : Q + Q
Poids Poids Poids Poids Poids
60%
= 60% x Q ⇒
MEG pauvre MEG pauvre Eau de condensation MEG pauvre Eau de condensation Eau de condensation
80% x Q + Q Q = x Q =3 x Q
Poids Poids Poids Poids 80% − 60% Poids Poids
Les pertes de Glycol (MEG or DEG) dans les condensats (phase hydrocarbure
liquide) et dans la phase gazeuse sont faibles mais peuvent finir par représenter
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
Fort dosage
Préoccupations HSE
Début d’utilisation par grands fonds (sous-refroidissement > 15°C et/ou BSW > 50%)
Golfe du Mexique (Shell)
La matière active est chère mais pourrait être intéressante car utilisée à faible dosage
Remarque : avant de prendre la décision d’utiliser ces additifs, des essais expérimentaux doivent
être réalisés pour optimiser la formulation de la matière active et calculer le taux d’injection
SOUS-REFROIDISSEMENT SOUS-REFROIDISSEMENT
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
INHIBITEURS THERMODYNAMIQUES
• Principe
• Critères de sélection
• Exemples d'applications sur champ
• Corrélation d'Hammerschmidt
• Application 1 : inhibition par le méthanol (MeOH)
• Application 2 : inhibition par les glycols (MEG ou DEG)
Les cristaux croissent dans les gouttes d’eau mais ne peuvent pas se regrouper
39
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Inhibiteurs thermodynamiques – Principe
Le volume de méthanol nécessaire au séchage du pipe peut être calculé par la formule:
Avec:
volume de méthanol nécessaire :
Lorsque l’eau de production contient des sels, ces derniers s’accumulent dans la boucle MEG, forment
des dépôts et peuvent éventuellement boucher les conduites
La régénération est nécessaire pour maintenir la quantité de sels sous les niveaux de saturation
Technologies de régénération possibles :
• Précipitation des sels par évaporation
• Échange d’ions
30 °F Subcooling
3000
2000
0
30 40 50 60 70 80 90
Temperature (°F)
EP 20269_a_F_ppt_13 - PREVENTION DES HYDRATES - INHIBITION
HYDRATES ET PRÉVENTION DES HYDRATES
DÉSHYDRATATION DU GAZ
PHASE DE CONCEPTION
général
● Injection de solutions aqueuses de glycol (MEG ou DEG)
● Injection d’inhibiteurs cinétiques d'hydrates (KHI)
PHASE OPÉRATIONNELLE
Déshydratation des gaz
Chauffage/Isolation thermique
Formation des hydrates Option 1 : déshydratation ● Isolation thermique
● Circulation d’huile chaude
● Traçage
● installation d’un réchauffeur indirect
Suivi permanent des paramètres clés :
● Point de rosée eau du gaz
● Teneur en eau du gaz
Les glycols sont couramment utilisés pour la déshydratation du gaz naturel (TEG)
Procédé au glycol
• Des dizaines de milliers d’unités de traitement du gaz au glycol déshydratent du gaz dans le monde
• Principe de fonctionnement simple
− Contact direct entre le gaz et le glycol à la pression de service
− Glycol circulant en boucle fermée
Le triéthylène glycol (TEG) est l’absorbant le plus utilisé pour les raisons suivantes :
• Stabilité thermique élevée
• Régénération efficace à des températures de rebouillage élevées (jusqu’à 204°C)
On peut obtenir une concentration supérieure à 99,9+ % en poids
• Faibles pertes par vaporisation
≈ 830 mg/Sm3
CALCUL DU
DIAMÈTRE DU CONTACTEUR TEG
1 liter = 0.264 US
galon
8 – Quel est le diamètre de la colonne de
stripage (régénérateur de TEG) ?
PLATEAUX À CLOCHE
Il est rare que le corps de colonne, appelé still column (colonne de stripage), soit muni de
plateaux (4 plateaux suffisent). En général, la colonne comporte deux lits de garnissage
en vrac (un mètre de hauteur minimale pour chacun), souvent des anneaux ou selles en
acier inoxydable (éléments en céramique sont déconseillés).
Avant d’être recyclé en tête de contacteur, le TEG pauvre est refroidi à une température de 5
à 10°C supérieure à celle du gaz sec à la sortie du contacteur. L’eau de refroidissement (eau
de l’échangeur) peut être utilisée à cet effet si disponible ; sinon l’air ambiant peut être
utilisé (refroidisseur d’air).
La filtration est un POINT CLEF pour assurer un bon fonctionnement de l’unité. Elle permet
d'éviter les problèmes de moussage, de corrosion et de perte de glycol, en éliminant :
• les particules solides (produits de corrosion, sédiments,...),
• les hydrocarbures liquides,
• les produits générés par la dégradation du TEG.
La filtration est assurée par un filtre mécanique (obligatoire), suivi d'un filtre à charbon actif
installé souvent en dérivation. L’ensemble est installé :
• Le plus souvent à la sortie du ballon de flash, ce qui permet de protéger les équipements en aval et
essentiellement le rebouilleur, des particules susceptibles de s'y déposer. Ceci a l'inconvénient de
générer de fortes pertes de charge (température basse, donc viscosité élevée), et surtout si la
filtration vise des micro particules.
• Dans certaines unités, à la sortie de l'accumulateur (température élevée, donc faible viscosité), en
amont de la pompe (faible pression).
Filtre mécanique
• Son objectif est d'éliminer les particules solides, typiquement 99% des particules de taille supérieure
à 10 µm (25 µm pour le démarrage).
• Étant donné l'apparition très progressive de ces contaminants, il suffit de ne filtrer qu'une
partie du débit total de la boucle de TEG (10 à 20%). Le reste du débit bipasse le filtre à
charbon (installation en dérivation).
Remarque : dans le cas où un filtre à charbon actif est installé, il y a nécessité d'installer
en aval de celui-ci un filtre à particules afin de retenir les particules de charbon pouvant
être entraînées avec la solution de TEG.
PROGLY a pallié ces inconvénients en utilisant une section de finition sous vide de
dimension réduite.
Principales caractéristiques :
• Le système sous vide permet d’obtenir un glycol d’une pureté allant jusqu’à 99,7% en
poids.
• Pas de gaz de stripage.
Njord-Norsk-Hydro 2007
Principe : les Btex et les hydrocarbures absorbés par le contacteur sont récupérés pour
constituer la boucle de solvant
Boucle de solvant :
− Aérocondenseur
− Séparateur triphasique
− Sécheur de solvant
− Vaporisateur de solvant
Le procédé DRIZO® résout le problème des émissions de BTEX et de CO2 des systèmes de
déshydratation à base de glycol
Les émissions en tête de colonne de stripage sont pratiquement nulles
L’obligation d’atteindre un point de rosée bas devient compatible avec les faibles émissions
pH 7-7,5
Teneur en HC < 0,3 % en poids
Teneur en fer < 15 mg/l
Teneur en eau < 1,5 % en poids
Solides en suspension < 200 mg/l
Tendance au moussage résorbée en 5 secondes
Couleur jaune clair ou légèrement ambré
Condensats d’HC
SLUDGE
AVANTAGES INCONVÉNIENTS
Le gaz naturel à déshydrater circule à travers un lit de solides adsorbants qui adsorbent
l’eau de manière sélective
Le procédé est cyclique car le lit d’adsorption doit être régénéré périodiquement par
réchauffage (à 200 – 315 °C) et vaporisation de l’eau adsorbée
Les adsorbants solides les plus courants sont les suivants :
• tamis moléculaires (zéolites),
• alumine,
• silicagels.
Des mélanges de plusieurs types d’adsorbants peuvent être utilisés (par ex. technologie
propriétaire à lits multiples d’Axens)
Règle du pouce :
• Les molécules polaires et de petite taille sont adsorbées de préférence
• Les molécules non polaires et de grande taille ne sont pas adsorbées
Le procédé d’adsorption
Adsorbat extrait par
Eau
l’adsorbant
Hydrocarbures
Fin de réchauffage
AVANTAGES INCONVÉNIENTS
Train B
Manifold
injection gaz
TEG
RÉGÉNÉRATION DU
RÉGÉNÉRATION
TEG
Déshydratation compacte
156-350 bara
MANIFOLDS DE PRODUCTION
TR= 5 min
SÉPARATEUR
1er étage
75°C
45°C B/jBP
stage
SÉPARATEUR
SÉPARATEUR
2ndBP
stage 2ndBP
SÉPARATEUR
stage
SÉPARATEURSÉPARATEUR
TR= 5 min
SÉPARATEUR Huile brute vers
cuves
Electrostatic Électrostatique
TR= 5 min MÉLANGEUR
DéshydrateurSTATIQUE Déshydrateur
Eau de mer
TR= 12 min
TR= 12 min
Gaz humide
Gaz de charge
saturé Gaz sec
0oC
Longue expérience accumulée, depuis les années
Gas
50, principalement en Amérique Two Tubes In
Hydrate Gas
brevetée)
• Rendement de la séparation gaz-liquide amélioré par des
tubes d’entrée tangentiels (séparation cyclonique)
• Compact et léger
AVANTAGES INCONVÉNIENTS
• Compact et léger • Pertes de charge élevées (~30%)
• Zéro émissions
La pureté du TEG est déterminante dans l’abaissement du point de rosée eau du gaz sec. Plus la pureté du
TEG est élevée plus la teneur en eau du gaz sera basse et donc plus bas sera son point de rosée eau.
Les améliorations du procédé conventionnel au TEG permettent d’améliorer la pureté du TEG. Les
techniquesproincipales sont:
• Le gaz de strippage
• Drizo®; utilisation d’un strippage au solvant
Une bonne élimination des goutelettes de liquide et une filtration efficace sont fondamentales pour une
bonne performance des unités de déshydratation au TEG et permettent de minimiser les tendances au
moussage et les pertes de glycol.
L’adsoption physique par des dessicants solides est une autre technique de déshydratation des gaz qui
permet d’obtenir des gaz extrêmement secs et ayant donc un point de rosée eau très bas.
L’utilisation d’alumine comme dessicant est plus efficace quand le contenu en eau est élevé et celle des
tamis moléculaires quand la teneur en eau est faible.
La déshydratation et la séparation des LGN à basse température peuvent être couplées dans un procédé
75
Back Up slides
Déshydratation du gaz – Twister
Il est nécessaire de prévoir une pompe de secours (2 x 100%). Dans certains cas de grande
DRY GAS
STILL
COLUMN
FLARE
HEADER
HEAT
MEDIUM
GLYCOL
CONTACTOR FLASH
DRUM
STRIPPING
CLOSED COLUMN
DRAIN REBOILER
STRIPPING
WET GAS GAS
SURGE TANK
GLYCOL/GLYCOL
HEAT EXCHANGER
FREE
LIQUID PURIFYER
FILTER
DRIZO LOOP
SOLVENT / WATER
CONDENSER
FILTER TO
INCINERATOR
HEAT
MEDIUM
SURGE TANK
WET GAS
SOLVENT
GLYCOL/GLYCOL
HEATER
EXCHANGER
SOLVENT
COALESCER
Humidité relative
Lorsque la teneur en eau est faible, les tamis moléculaires sont plus efficaces,
des concentrations d’eau plus faibles en sortie peuvent être atteintes
Gaz déshydaté
(70 bars, 5 ºC)
Détente à la
vitesse supersonique
(Mach 1,3 / 500 m/s)
Condensation de l’eau et
des liquides du gaz naturel
(30 bars, -40 ºC)
Tube(s) du
Twister
Échangeur
gaz-gaz
Séparateur
d’entrée
(<10μm)
Refroidisseur
air-eau de mer
Cuve de
dégazage des
liquides
5 – EXEMPLES DE PROCÉDÉS
Le terme LGN (Liquides de Gaz Naturel) est un terme générique qui s’applique aux
liquides récupérés à partir du gaz naturel et des gaz associés et notamment l’éthane et
des produits plus lourds (mélange d’éthane, propane, butanes, condensats).
COMPOSANTS
TERMINOLOGIE ABRÉVIATION
5 – EXEMPLES DE PROCÉDÉS
GAZ
DE CHARGE
(riche en LGN)
5 – EXEMPLES DE PROCÉDÉS
AVANTAGES INCONVÉNIENTS
5 – EXEMPLES DE PROCÉDÉS
“Procédé auto-réfrigérant” :
La baisse de température dépend principalement de la baisse de pression : - 0,4 à 0,5 °C / bar
(en règle générale)
GAZ TRAITÉ
GAZ DE CHARGE
(riche en LGN)
Détente de Joule-
Échangeur Thompson
gaz/gaz
LIQUIDES DE
Principe d’extraction des LGN par détente dans une vanne de Joule-Thompson (J-T)
EP 20313_b_F_ppt_01 Extraction et fractionnement des LGN 19
PROCÉDÉ LTS : DÉTENTE DANS UNE VANNE DE J-T
AVANTAGES INCONVÉNIENTS
5 – EXEMPLES DE PROCÉDÉS
GAZ TRAITÉ
TURBINE
TURBO-EXPANDEUR
COMPRESSEUR
COMPRESSEUR
GAZ DE
CHARGE
(riche en LGN)
LIQUIDES DE
AVANTAGES INCONVÉNIENTS
6 – EXEMPLES DE PROCÉDÉS
Détendeur Tout le temps utilisé pour sa simplicité. Peut être couplé à une boucle
de réfrigération pour gaz lourds.
Cryomax Pour les gaz légers ou lourds (avec une boucle de réfrigération si la
pression est trop basse)
Costain Pour les gaz légers ou lourds (avec une boucle de réfrigération si la
pression est trop basse)
Ortloff Pour les gaz légers
ABB Randall Pour les gaz lourds à basse pression
Faible efficacité du cycle de réfrigération seul. Peut être avantageux pour un gaz
lourd à basse pression.
Procédé ABB Randall moins compétitif en raison de sa forte consommation
d’énergie. Peut être intéressant pour un gaz lourd à basse pression.
Les procédés Cryomax et Costain sont proches l’un de l’autre en termes de
Composition de la charge, débit, température, Impuretés dans la charge telles que du mercure,
pression du dioxyde de carbone, du sulfure d’hydrogène
Valeur nette de chaque produit pour faire les Préférence pour une construction modulaire ou
calculs économiques non
5 – EXEMPLES DE PROCÉDÉS
5 – EXEMPLES DE PROCÉDÉS
●
- la Tension de Vapeur de Reid (TVR ou RVP en anglais)
●
- la Densité
36
Back Up slides
PROCÉDÉ LTS : PRINCIPE
140
120
100
Pression, bar
80 POINT DE ROSÉE
Point critique
POINT DE BULLE
FRAC LIQUIDE= 5% MOLE
60
FRAC LIQUIDE = 10% MOLE
C
B
D
B C
A
D
A
COMPRESSEUR
0,225 kWh /
kmole
TURBINE
25
75
COMPRESSEUR
Total : 10 000 kmole/h
C1 : 8 910 kmole/h
C2 : 700 kmole/h
C3 : 300 kmole/h
C4+ : 90 kmole/h
Application: A
cryogenic process for
gas fractionation to
recover C3+
hydrocarbons from
natural gas.
With this process, more
than 98% propane is
extracted from natural
gas. High efficiencies
are achieved with a
dual-column system
associated with a turbo-
expander. Multi-stream
plate-fin exchangers
increase efficient heat
integration.
Application: To recover
ethane and higher
components from natural
gas streams. This process is
especially adequate with
lean and semi-lean gas
streams.
This process is also adapted
for the rejection of ethane
and production of LPG and
heavier streams. Recoveries
for ethane product are
95+%. Energy consumption
is between 50 and 70
HP/million scfd depending
on gas conditions.
Description: The inlet gas is treated and conditioned to remove contaminants and water that cannot be processed
Faible efficacité du cycle de réfrigération seul. Peut être avantageux pour un gaz
lourd à basse pression.
Solvants :
• Absorption chimique (amines)
• Absorption physique
• Absorption physico- chimique (solvants hybrides)
Inhibiteurs liquides
Procédé cryogénique
CONTAMINANTS À ÉLIMINER :
• H 2S
• CO2
Adoucissement
du gaz Gaz commercial
Stabilisation et traitement
Huile traitée
Spécifications du gaz :
H2S < 2 à 4 ppm mole
CO2 < 50 ppm mole
COS et RSH : le moins possible
GNL
Vers réinjection
Vers unité de récupération du soufre (SRU)
Vers incinération + évent
Réduction
grossière du CO2
et/ou du H2S
Gaz acide
Adoucissement
du gaz Gaz dirigé vers un traitement aval
Séparation
Huile et gaz
huile et gaz
Membranes
Solvants physiques
Solvants hybrides
Carbonate chaud
Oxydo-réduction (Redox)
Adsorbants régénérables
Solvants :
• Absorption chimique (amines)
• Absorption physique
• Absorption physico- chimique (solvants hybrides)
Inhibiteurs liquides
Procédés cryogéniques
PRIMARY
AMINES AMINES
PRIMAIRES SECONDARY
AMINES AMINES
SECONDAIRES TERTIARY AMINES
AMINES TERNAIRES
N N O N N
O O O O N
O O O O
Specific
DensitéGravity
à 20°Cat 20°C kg/m3 1.018 1.057 1.095 0.999 1.043
Solubility
Solubilitéin vapeur
water atà 20°C
20°C %%poids
weight 100 100 96.4 87 100
Critical temperature
Température critique °C 350.0 407.6 442.1 399.2 401.9
Critical
Pressionpressure
critique bar.a 59.9 37.7 32.7 37.7 38.8
Amine solution de
Concentration concent.
la solution en%amine
weight 15 àto20
10 25 50 to 65
à 65 30 àto40
25 40 30
30 to 40
à 40 35
35 to 50
à 50
Heat of reaction (H2S) kJ/kg H2S 1,907 1,190 1,140 1,050
45 °C
1,9 bar
50 °C
69 bar
110 °C
2,1 bar
40 °C
70 bar
70 °C 130 °C
70 bar 2,5 bar
5 Millions Sm3/jour de gaz permet Un train GNL de 4 Mt/an demande une puissance procédé d’environ
d’obtenir: 150 MW (compression de la réfrigération).
La réfrigération utilisant généralement l’eau de mer, avec une
3 760 t/jour de GNL ou 1.3 Mt/an (1 % du différence de 6°C entre entrée et sortie, le besoin en eau est
marché mondial)
d’environ 35 000 m3/h.
1 000 MW de puissance électrique dans un
cycle combiné
SPECIFICATIONS COMMERCIALES
Pouvoir Calorifique Supérieur (PCS) MJ/Sm3 or Nm3 Dans la fourchette du réseau du client (1)
MJ/Sm3 or Nm3
Indice (ou nombre) de WOBBE Comme pour le PCS
ppm volume
Teneur en H2S Inférieure à 4
mg/Sm3
Teneur en soufre total 30 max.
SPECIFICATIONS PROCEDE
Teneur en CO2 ppm volume Inférieure à 90 (normal 40/90)
ppm volume
Teneur en C6+/Aromatiques 10 max. (2)
ppm volume
Teneur en vapeur d’eau 1 max. (3)
% mole
Teneur en azote Généralement inférieure à 1.5
ng/Sm3
(1) Par exemple, dans le réseau français, le PCS doit être entre 36.4 et 43.2 MJ/Sm3
(2) Le point de rosée hydrocarbure est bien inférieur à celui requis par le client dans son réseau
(3) Le point de rosée eau est bien inférieur à celui requis par le client dans son réseau
(vers Stockage)
45 à 60 bar abs
Fractionnement GPL
(vers Stockage)
Eau Hg
Gasoline
(vers Stockage)
Gaz combustible
Gaz combustible
Gaz acides (CO2 et/ou H2S)
Gaz sec
et liquéfaction
(Gaz brut)
PIEGE A MERCURE
(vers Stockage)
Recycle GPL
Fractionnement GPL
(vers appoint réfrigération, Stockage)
Gasoline
(vers Stockage)
Emplacement de la
liquéfaction
Module transporté
par barge et coulé
in situ
50/60 m de haut
250 tonnes à vide
510 t en opération (3Mt/an)
Jusqu’à 5m de diamètre
Tubes et calandre en aluminium
STEEL TANKS
N.A
REQUIREMENT FOR
DIKE (European YES NO NO NO
Bacs GNL
LES METHANIERS
(Transport du GNL à -160 deg.C à pression atmosphérique)
Technique
GAZ TRANSPORT
Membrane en
INVAR
(acier à 30% Nickel)
Technologies
Autres 5%
Capacité
Moyenne : 130 à 140 000 m3 actuellement
En commande : 153 000 m3
1
Réception des 3
navires méthaniers Regazéification du GNL
et déchargement en fonction des
de leur cargaison besoins du réseau
2 4
Stockage du GNL Émission sur le
dans les réservoirs réseau de transport
cryogéniques (-160 °C) national
Terminaux de
regazéification avec
bacs GNL à complète
intégrité
-60 -40 -20 0 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200 240 280
H2O Content of saturated wet gas (lb/MMSCF)
80000 80000
1.0
0.8
20000 20000
0.7
0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8
10000 10000
Specific gravity versus air
8000 8000
6000 6000
1,00
4000 4000
0,98
Cs : Correction for salimity
0,96
0,90
25
1000 0 1 2 3 4 1000
% Salts in brine
50
800 800
400
100
600
600 200 600
0
100
300
0
500
0
000
0
Warning: dashed lines are
2
800
100 000
400 400
800 00 4
00
0
6
150
meta-stable equilibrium. Actual
0
300
equilibrium is lower water content.
0
HYDRATE FORMATION LIMIT
50
Angle is a function of composition.
200 200
100 100
80 80
60 60
40 40
20 20
10 10
7P
composition
8 8
14.
25
5 5
50
100
400
600
200
4 4
300
0 100
500
0
200
800
150
2 2
1
00040_A_A
1
-60 -40 -20 0 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200 240 280
379.495
!"#$$%&'()( *+,-.*(/0#1/2()( *+- 3.(/0#%/2()((44444((55/(67!8/9+ Temperature (°F)
18.02
© 2009 - IFP Training
BUKACEK correlation : A and B coefficients (British units)
T emperature A B T emperature A B T emperature A B
(deg.F) (deg.F) (deg.F)
-40 131 0,22 68 16100 7,10 176 326000 69,5
-38 147 0,24 70 17200 7,17 178 341000 72,0
-36 165 0,26 72 18500 7,85 180 357000 74,8
-34 184 0,28 74 19700 8,25 182 372000 77,2
-32 206 0,30 76 21100 8,67 184 390000 79,9
-30 230 0,33 78 22500 9,11 186 407000 82,7
-28 256 0,36 80 24100 9,57 188 425000 85,8
-26 285 0,39 82 25700 10,0 190 443000 88,4
-24 317 0,42 84 27400 10,5 192 463000 91,4
-22 352 0,45 86 29200 11,1 194 483000 94,8
-20 390 0,48 88 31100 11,6 196 504000 97,7
-18 434 0,52 90 33200 12,2 198 525000 101
-16 479 0,56 92 35300 12,7 200 547000 104
-14 530 0,60 94 37500 13,3 202 570000 108
-12 586 0,64 96 39900 14,0 204 594000 111
-10 648 0,69 98 42400 14,6 206 619000 115
-8 714 0,74 100 45100 15,3 208 644000 119
-6 786 0,79 102 47900 16,0 210 671000 122
-4 866 0,85 104 50800 16,7 212 698000 126
-2 950 0,91 106 53900 17,5 214 725000 130
0 1050 0,97 108 57100 18,3 216 754000 134
2 1150 1,04 110 60500 19,1 218 785000 139
4 1260 1,11 112 64100 20,0 220 816000 143
6 1380 1,19 114 67900 20,9 222 848000 148
8 1510 1,27 116 71800 21,8 224 881000 152
10 1650 1,35 118 76000 22,7 226 915000 157
12 1810 1,44 120 80400 23,7 228 950000 162
14 1970 1,54 122 84900 24,7 230 987000 166
16 2150 1,64 124 89700 25,8 232 1020000 171
18 2350 1,74 126 94700 26,9 234 1060000 177
20 2560 1,85 128 100000 28,0 236 1100000 182
22 2780 1,97 130 106000 29,1 238 1140000 187
24 3030 2,09 132 111000 30,3 240 1190000 192
26 3290 2,22 134 117000 31,6 242 1230000 198
28 3570 2,36 136 124000 32,9 244 1270000 204
30 3880 2,50 138 130000 34,2 246 1320000 210
32 4210 2,65 140 137000 35,6 248 1370000 216
34 4560 2,81 142 144000 37,0 250 1420000 222
36 4940 2,98 144 152000 38,5 252 1470000 229
38 5350 3,16 146 160000 40,0 254 1520000 235
40 5780 3,34 148 168000 41,6 256 1570000 242
42 6240 3,54 150 177000 43,2 258 1630000 248
44 6740 3,74 152 186000 44,9 260 1680000 255
46 7280 3,96 154 195000 46,6 280 2340000 333
48 7850 4,18 156 205000 48,4 300 3180000 430
50 8460 4,42 158 215000 50,2 320 4260000 548
52 9110 4,66 160 225000 52,1 340 5610000 692
54 9800 4,92 162 236000 54,1 360 7270000 869
56 10500 5,19 164 248000 56,1 380 9300000 1090
58 11300 5,48 166 259000 58,2 400 11700000 1360
60 12200 5,77 168 272000 60,3 420 14700000 1700
62 13100 6,08 170 285000 62,5 440 18100000 2130
64 14000 6,41 172 298000 64,8 460 22200000 2550
66 15000 6,74 174 312000 67,1
Gas Water Content W ( LB water/MMSCF wet gas ) = (A / P) +B
P (psia ) : Ope ra ting P re ssure
A a nd B from ta ble a t the Ope ra ting T e mpe ra ture
Example : At 1450 PSIA and 122 deg.F, W = (84900 / 1450) + 24.7 = 83.25 LB water/MMSCF
BUKACEK correlation : A and B coefficients (metric units)
T emperature A B T emperature A B T emperature A B
(deg.C) (deg.C) (deg.C)
-40,0 145 3,52 20,0 17786 113,73 80,0 360145 1113,3
-38,9 162 3,84 21,1 19001 114,85 81,1 376716 1153,3
-37,8 182 4,16 22,2 20438 125,75 82,2 394391 1198,2
-36,7 203 4,49 23,3 21763 132,15 83,3 410963 1236,6
-35,6 228 4,81 24,4 23310 138,88 84,4 430848 1279,9
-34,4 254 5,29 25,6 24857 145,93 85,6 449628 1324,7
-33,3 283 5,77 26,7 26624 153,30 86,7 469514 1374,4
-32,2 315 6,25 27,8 28392 160,19 87,8 489399 1416,1
-31,1 350 6,73 28,9 30270 168,20 88,9 511494 1464,1
-30,0 389 7,21 30,0 32258 177,81 90,0 533588 1518,6
-28,9 431 7,69 31,1 34357 185,82 91,1 556788 1565,0
-27,8 479 8,33 32,2 36677 195,43 92,2 579987 1617,9
-26,7 529 8,97 33,3 38997 203,44 93,3 604292 1665,9
-25,6 586 9,61 34,4 41428 213,05 94,4 629701 1730,0
-24,4 647 10,25 35,6 44079 224,26 95,6 656214 1778,1
-23,3 716 11,05 36,7 46841 233,87 96,7 683833 1842,2
-22,2 789 11,85 37,8 49824 245,09 97,8 711451 1906,2
-21,1 868 12,65 38,9 52917 256,30 98,9 741279 1954,3
-20,0 957 13,62 40,0 56121 267,51 100,0 771107 2018,4
-18,9 1050 14,58 41,1 59545 280,33 101,1 800935 2082,4
-17,8 1160 15,54 42,2 63081 293,14 102,2 832972 2146,5
-16,7 1270 16,66 43,3 66837 305,96 103,3 867219 2226,6
-15,6 1392 17,78 44,4 70814 320,37 104,4 901466 2290,7
-14,4 1525 19,06 45,6 75012 334,79 105,6 936818 2370,8
-13,3 1668 20,34 46,7 79320 349,21 106,7 973274 2434,8
-12,2 1823 21,63 47,8 83960 363,62 107,8 1010835 2514,9
-11,1 2000 23,07 48,9 88821 379,64 108,9 1049501 2595,0
-10,0 2176 24,67 50,0 93792 395,66 110,0 1090376 2659,1
-8,9 2375 26,27 51,1 99095 413,28 111,1 1126833 2739,2
-7,8 2596 27,87 52,2 104619 430,90 112,2 1171022 2835,3
-6,7 2828 29,63 53,3 110474 448,52 113,3 1215212 2915,4
-5,6 3071 31,56 54,4 117102 466,14 114,4 1259401 2995,5
-4,4 3347 33,48 55,6 122626 485,37 115,6 1314638 3075,6
-3,3 3635 35,56 56,7 129254 506,19 116,7 1358828 3171,7
-2,2 3944 37,80 57,8 136988 527,02 117,8 1403017 3267,8
-1,1 4286 40,05 58,9 143616 547,84 118,9 1458254 3363,9
0,0 4651 42,45 60,0 151349 570,27 120,0 1513491 3460,0
1,1 5038 45,01 61,1 159082 592,69 121,1 1568728 3556,2
2,2 5457 47,74 62,2 167920 616,72 122,2 1623965 3668,3
3,3 5910 50,62 63,3 176758 640,75 123,3 1679202 3764,4
4,4 6385 53,50 64,4 185596 666,38 124,4 1734439 3876,5
5,6 6894 56,71 65,6 195539 692,01 125,6 1800723 3972,6
6,7 7446 59,91 66,7 205481 719,24 126,7 1855960 4084,8
7,8 8042 63,43 67,8 215424 746,47 137,8 2585087 5334,2
8,9 8672 66,96 68,9 226471 775,31 148,9 3513067 6888,0
10,0 9346 70,80 70,0 237519 804,14 160,0 4706184 8778,2
11,1 10064 74,65 71,1 248566 834,57 171,1 6197580 11084,9
12,2 10826 78,81 72,2 260718 866,61 182,2 8031445 13920,3
13,3 11600 83,14 73,3 273975 898,65 193,3 10274063 17460,4
14,4 12484 87,78 74,4 286127 932,29 204,4 12925434 21785,4
15,6 13478 92,43 75,6 300489 965,93 215,6 16239648 27231,8
16,7 14472 97,39 76,7 314850 1001,17 226,7 19995757 34119,8
17,8 15466 102,68 77,8 329212 1038,01 237,8 24525182 40847,7
18,9 16571 107,97 78,9 344678 1074,85
Gas Water Content W ( mg water/Sm3 wet gas ) = (A / P) +B
P (ba r a ) : Ope ra ting P re ssure
A a nd B from ta ble a t the Ope ra ting T e mpe ra ture
Example : At 100 bar a and 50 deg.C, W = (93792 / 100) + 395.66 = 1333.6 mg water/Sm3