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2020/2021
Sommaire
Introduction générale………………………………………………………………………..1
CHAPITRE I. Présentation des zones d’étude
I. 1. Introduction ………………………………………………………………….2
II. 2. Localisation des zones d’étude : - Tchernobyl en Ukraine ………………….3
- Three Mile Island en Pennsylvanie Etat Unis ….4
I. 3. Etude climatique des zones d’étude : - Tchernobyle………………………………5
- Three Mile Island…………………………5
I. 4. Etude géologique des zones d’étude - Tchernobyle……………………………….6
- Three Mile Island…………………………7
I. 5. Relief: - Tchernobyle……………………………………………………………….8
- Three Mile Island………………………………………………………….8
I. 6. Vegetation: - Tchernobyle…………………………………………………………..9
- Three Mile Island…………………………………………………….10
I. 7. Conclusion…………………………………………………………………………..11
CHAPITRE II. Causes et conséquences.
II. 1. Introduction…………………………………………………………………………12
II. 2. Causes générales du accidentes nucléaire…………………………………………..13
II. 3. Causes du risque étudié dans les deux villes choisis : - Tchernobyle………………13
- Three Mile Island…………14
II. 4. Conséquences générales du accidentes nucléaire…………………………………...16
II. 5. Conséquences du risque étudié dans les deux villes choisis : - Tchernobyle……….18
- Three Mile Island…...…21
II. 6. Conclusion…………………………………………………………………………..22
CHAPITRE III. Comparaison entre la gestion du risque.
III. 1. Introduction……………………………………………………………………….23
III. 2. Législation : De – Ukraine……………………………………………………24
- Etat Unis…………………………………………………..25
III. 3. Comparaison entre les législations dans les deux pays…………………………..26
III. 4. La gestion des deux crises ou risques : - Ukraine ………………………….26
- Etat Unis………………………..27
III. 5. Comparaison entre la gestion des deux crises ou risques………………………..28
III. 6. Conclusion………………………………………………………………………..29
Conclusion générale…………………………………………………………………………30
Références bibliographiques…………………………………………………………………31
Introduction
Depuis la découverte de la radioactivité en 1896 par Henri Becquerel et celle du
noyau atomique par Ernest Rutherford en 1911, des progrès scientifiques importants
ont été accomplis en physique nucléaire. La maîtrise des réactions nucléaires a permis
en particulier, dès le milieu du XXe siècle, la mise au point des réacteurs et des
armements nucléaires. Malgré son abandon par de nombreux pays et les oppositions
qu’elle suscite en raison des risques qu’elle présente pour les populations et
l’environnement, l’énergie nucléaire est toujours tenue, spécialement en France, pour
la seule véritable solution permettant de répondre aux besoins énergétiques de
demain. (1)
La mise en œuvre de l’énergie nucléaire engendre plusieurs types de risques :
celui de la sûreté et du démantèlement des installations d’abord, celui de la gestion
des déchets ensuite. D’importants progrès ont été réalisés en matière de confinement
des réacteurs. Mais les nombreux accidents nucléaires qui se sont produits depuis
1945 soulignent l’importance des risques. Par ailleurs, reste la difficulté à gérer les
déchets.(2) L’appréciation des risques liés à l’industrie nucléaire, en particulier de ce
qui conduirait à un accident nucléaire grave, constitue un thème central du débat.
Comme l'écrivent Jean-Claude Debeir, Jean-Paul Deléage et Daniel Hémery dans
leur ouvrage d'histoire de l'énergie . Le risque d’accident nucléaire grave ou d’un autre
problème impliquant l’industrie nucléaire est universellement reconnu et le débat porte
d’une part sur l’évaluation de sa probabilité et, d'autre part, sur la gravité des
conséquences. L’évaluation combinée de ces deux facteurs offre à une perception
globale du risque. (3)
Alors dans se travaille on à comparer entre la gestion de risque de deux
accidents dans différents payes dans période de 15 ans , donc on à choisie le
catastrophe de la ville de Tchernobyl en Ukraine de le 26 avril 1986 et de le
catastrophe de Three Mile Island de Pennsylvanie d’ Etat Unis de le mercredi 28
mars 1979 . Ce travaille est compose de trois chapitres : le premier chapitre qui porte
de présentation de zone d’étude des villes en suit une chapitre pour les causes et les
conséquence et enfin de chapitre de comparaison de gestion de risque .
1
Chapitre : présentation des zones d’étude
I -1- Introduction :
Dans l’étude de quelque phénomène reliée à l’espace il faut définir le zone
d’étude pour plus de détaille cette définition ou présentation joue un rôle décisive dans
l’analyse de ce phénomène par ce que les caractéristique de ce site-elle différente de
autre.
Dans ce chapitre on à citer le la localisation de chaque ville et leur
caractéristiques climatique pour plus d’interprétation les raisons qui engendre les
catastrophes et les actions de la gestion de risque fait par l’état sur chaque ville selon
le leur caractéristique géographique, géologique et climatique.
2
I - 2- localisation des zones d’étude :
Tchernobyl :
Est une ville de l'oblast de
Kiev, en Ukraine. Elle se trouve
à 96 km au nord de Kiev.(1)
La centrale nucléaire de
Tchernobyl aussi désignée
sous le nom officiel de
« centrale nucléaire V.I.
Lénine », est une centrale
nucléaire à l'arrêt depuis 2000, Carte 01 : la ville de Tchernobyl par rapport l’ Ukraine .
source Tchernobyl localisation - Bing images
située en Ukraine dans la ville
de Pripiat, à
18 km au nord-ouest
de Tchernobyl,
16 km de la frontière
entre l'Ukraine et la
Biélorussie, et
environ 110 km au
nord de Kiev. (2)
3
Three Miles Island :
4
I – 3 - Etude climatique des zones d’étude :
Tchernobyl :
Le climat est de type continental tempéré sur les 4/5e du territoire, et de
type pontique en Crimée et sur les côtes du Boudjak. Les précipitations sont
irrégulièrement distribuées, fortes dans le nord et l'ouest, plus faibles dans l'est et le
sud-est. Les hivers, neigeux, varient de doux au sud à froid dans les plaines centrales.
L'été est tiède dans le nord, et très chaud dans le sud. (1)
Le catastrophe de
Tchernobyl elle été à le TEMPERATEUR MOYENNE
26/04/1979 donc les JOURNELIARE
données climatique de
temperateur moyenne journeliare
ces années est
impossible nous avent 20
estiment à partir les 15
donnes de même 10
5
période d’autre années
0
4/ 13/ 20 …
4/ 21/ 20 …
4/ 29/ 20 …
04/ 02/ 2 …
04/ 03/ 2 …
04/ 04/ 2 …
04/ 05/ 2 …
04/ 06/ 2 …
04/ 07/ 2 …
04/ 08/ 2 …
04/ 09/ 2 …
04/ 10/ 2 …
04/ 11/ 2 …
04/ 12/ 2 …
4/ 14/ 20 …
4/ 15/ 20 …
4/ 16/ 20 …
4/ 17/ 20 …
4/ 18/ 20 …
4/ 19/ 20 …
4/ 20/ 20 …
4/ 22/ 20 …
4/ 23/ 20 …
4/ 24/ 20 …
4/ 25/ 20 …
4/ 26/ 20 …
4/ 27/ 20 …
4/ 28/ 20 …
4/ 30/ 20 …
on choisi le plus ancien
est les données de
avril 2005 .
0
3/ 13/ 1979
3/ 26/ 1979
3/ 14/ 1979
3/ 15/ 1979
3/ 16/ 1979
3/ 17/ 1979
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03/ 05/ 1979
-5
5
On remarque que le jouer d’accident le température moyenne est égale 4o C, c’est à
dire les accidente ne pas à une cause de élevé de température. Ou une cause
naturelle tel que les inondations ou les séismes. Dans les deux villes .
I-5- Reliefs :
Tchernobyl :
À l’exception du vaste plateau de Podolie (alt. 472 m), qui occupe l'ouest du
pays, l'Ukraine est un pays relativement plat, avec les terres fertiles du bassin
du Dniepr en son centre, ce qui lui permet, grâce au tchernoziom, d'avoir une
agriculture productive. Les montagnes de l'Ukraine sont :
- Les Carpates ukrainiennes, avec le Hoverla qui culmine à 2 061
mètres 48° 10′ 12″ N, 24° 34′ 12″ E, ce qui en fait le plus haut sommet du
pays.
- Les Monts de Crimée, surplombant la mer Noire dans le prolongement
du Caucase, et culminant à plus de 1 500 mètres.
A partir la carte topographique le zone d’étude dans terrain plat est il ne y pas de
obstacles topographiques.
8
Carte11 : carte topographique de Pennsylvanie source . Les
catastrophes naturelles aux Etats-Unis (atlas-mag.net)
Le site est dan un il a la Rivier de Susquehanna (selon le cart11) l’altitude de site est
entre 0et 45.71m.
I-6 -végétation :
Tchernobyl :
9
TMI :
Le site de centrale de TMI est dan une ile de 3km2 elle contint de couver végétale
modère et entoure par d’autre iles contient des agricultures.
10
Conclusion :
A partir de la présentation de zones d’études des accidente nous remarquons
que les caractéristiques des deux sites elle est moins expose au risque d’aléa naturelle
c’est-à-dire les deux accidents de centrale de Tchernobyl et la centrale de Three Miles
Island est d’Origin industrielle.
Le climat dans deux sites est froid par c’est qui éliminer le risque d’élève de
température qui cause augmentation de la température dans les réacteurs
Les deux sites ne pas expose de risque de séisme ou inondation à cause de leur
situation dans le surface rocheuse et l’emplacement dans les terrains plat.
11
II- Chapitre II : causes et conséquence
II- 1- Introduction :
Après la présentation de zone d’étude on à détermine les causes et les
conséquences de accidente qui touche les villes proches par radiation nucléaire, mais
il faut connaitre les causes générales de ce type des accidente et puis la cause
spécifique de chaque zone. Il faut aussi connaitre les conséquences de ces accidents
en générale et de chaque zone pour faire une comparaison dans le dernier chapitre
entre les deux accidents avec les accidents similaire dans le monde.
12
II -2- causes générale de l’accident nucléaire :
L'accident nucléaire peut survenir dans toute installation
nucléaire de base : site de l'industrie électronucléaire (usine
d'enrichissement de l'uranium, centrale nucléaire, usine
de traitement du combustible usé, centre de stockage
de déchets radioactifs) ou établissement exerçant une
activité nucléaire (site militaire, hôpital, laboratoire de
recherche, etc.), ou encore dans un sous-marin, porte-avions
ou brise-glace à propulsion nucléaire. Les accidents peuvent
aussi se produire lors des transports de matières radioactives
(notamment à usage médical, mais également combustible
nucléaire, déchets radioactifs ou armes nucléaires).(1)
Figure 05 : avertissement de la pollution
par le nucléaire source. les causes
generale de catastrophe nucliaire - Bing
images
13
La puissance continue alors à baisser, contrairement aux conditions prévues par le
test. Le 26 avril à 0h28, une erreur d’un opérateur fait chuter la puissance du
réacteur à 30 MWt. Cela provoque un empoisonnement du réacteur
au xénon (accumulation de xénon-135, produit fissile qui absorbe des neutrons et
perturbe le processus de fission nucléaire).
À 1h23, le test sur le réacteur 4 se poursuit alors que le cœur est très difficile à
maîtriser. Une série d’erreurs et de mauvais choix de la part des équipes provoque
une hausse de la température du réacteur. Le mélange d’hydrogène et d’oxygène,
créé par la radiolyse de l’eau, provoque de petites explosions qui éjectent les barres
de contrôle du réacteur.
Selon le Département de l'Énergie américain, l'explosion de Tchernobyl se produit
le 26 avril 1986 à 1h23 et 44s. La partie supérieure du cœur du réacteur se retrouve
à l’air libre et le graphite prend feu. L’incendie est entretenu par l’intense chaleur
dégagée dans le cœur, qui est principalement due aux désintégrations radioactives
des produits de fission et qui n’est plus évacuée. Il n’est définitivement arrêté que
le 9 mai. (1)
Cause directe :
L'accident s'est produit à la suite d'une série d'erreurs commises par les techniciens
de la centrale en supprimant plusieurs sécurités sous les ordres de leur supérieur et
sans en analyser les risques : « faute de préparation suffisante des conditions
nécessaires à l’essai prévu, et par manque de temps lors de sa réalisation, les
opérateurs n’ont pas respecté toutes les règles de conduite. Ils ont par ailleurs commis
des violations de règles en inhibant de très importants systèmes de sûreté. »
TMI :
- Panne de la pompe alimentaire du circuit secondaire : L’accident nucléaire
de TMI commence le 28 mars 1979 à 4 heures du matin par une simple panne
technique de la pompe alimentaire du circuit secondaire. Cet incident fait
augmenter la température dans le circuit primaire puisque la chaleur dégagée
n’en est plus ôtée. Le dispositif de sécurité automatique fait chuter des barres
de contrôle dans le cœur du réacteur et arrête le processus de fission. La
réaction en chaîne est arrêtée.
- Défaillance de la soupape du pressuriseur :Les pompes de secours
alimentent en eau le générateur de vapeur mais la pression augmente
néanmoins dans le pressuriseur. Jusque là, la situation est « normale » car une
soupape de sécurité surplombant le pressuriseur doit permettre d’évacuer cette
pression. C’est la défaillance de cette soupape qui provoque l’accident en tant
que tel : alors qu’elle doit se refermer suite à la baisse de pression, elle reste
ouverte. En salle de commande, les opérateurs pensent qu’elle est fermée, comme
l’indiquent les indicateurs. De l’eau du circuit primaire s’échappe alors par la soupape
et le cœur du réacteur commence à manquer d’eau de refroidissement. (2)
2- Source le site :Accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island (1979) : étapes et conséquences
(connaissancedesenergies.org)
14
Or, même si la réaction en chaîne est arrêtée, il reste dans le cœur une puissance dite
résiduelle (quelques % de la puissance thermique initiale). Elle est due à la
décroissance radioactive des éléments issus de la fission de noyaux d’uranium et il
faut absolument la retirer, faute de quoi les éléments combustibles s’échauffant
finissent par fondre.
La situation se stabilise, une fois le cœur refroidi. Lors des jours suivants, les
autorités craignent cependant des rejets de gaz radioactifs ainsi qu’une
explosion au cœur du réacteur. Le 9 avril, le directeur de la NRC annonce que
la situation est rétablie.(1)
La formation des opérateurs pour gérer de tels accidents est inadaptée. Ceux-ci n’ont
jamais été entraînés à gérer de tels concours de circonstances. De plus, les salles des
commandes sont mal agencées et les trop nombreux voyants ne permettent pas
d’identifier les priorités.
Le facteur humain a donc joué un rôle très important dans l’accident. Cette conclusion
a conduit à refondre toutes les procédures de conduite. .(2)
1- source le site : Accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island (1979) : étapes et conséquences
(connaissancedesenergies.org)
2- source le même source précèdent
15
II – 4 – conséquence générale de risque :
La catastrophe nucléaire portant des conséquences grave celles ces radiations pour
la santé, à proximité de la centrale nucléaire mais également à distance.
Les conséquences sur le sante de population à proximité :
- Une contamination :
L’irradiation est encourue par les travailleurs dans la centrale. Elle est la
conséquence directe d’une exposition externe du corps.
Quant à la contamination, ce sont les particules radioactives qui entrent dans
l’organisme par la peau et les voies respiratoires. On peut aussi être
contaminé en ingérant des aliments contaminés
Les principales molécules radioactives sont représentées par l’iode et le césium. La
quantité d’iode d’un nuage radioactif se divise par deux tous les 8 jours, tandis que
cette période est de 30 ans pour le césium.
- Le cancer de la thyroïde : La thyroïde utilise l’iode pour fabriquer les hormones
thyroïdiennes. En cas d’exposition, ingérer de l’iode non radioactif empêche la
thyroïde de capter l’iode radioactif.
- Sieverts :Un sievert correspond à la dose de rayons reçus, pondérée selon le
type de rayonnement et la zone exposée. 2 mSv est l’irradiation d’origine
naturelle à laquelle nous sommes exposés. Avec une exposition de 1 Sv
(1.000 mSv), des vomissements apparaissent. Une exposition au-delà de 6 Sv
entraîne la mort.
- Des lésions de l’ADN et donc des cancers : La contamination finit par provoquer
des lésions de l'ADN des cellules et donc des cancers, notamment du poumon, du
côlon et des leucémies. La contamination peut également entraîner des
malformations fœtales. (1)
De façon générale, les estuaires sont des écosystèmes très riches. Après la
catastrophe, la biodiversité va très certainement diminuer, et les génotypes
sélectionnés seront ceux plus adaptés à la radioactivité. En se basant sur les
observations réalisées à Tchernobyl, les populations les plus menacées sont les
populations d'oiseaux et les conifères. (2)
1- Source le site :Radiations, catastrophe nucléaire, conséquences des radiations pour la santé, (e-sante.fr)
2- Document : Catastrophe nucléaire et résilience. Apolline Louvet .3 pages. la centrale du Blayais,
france
16
Or, beaucoup d'oiseaux se trouvent dans l'estuaire, et la forêt des Landes commence
à quelques dizaines de kilomètres de la centrale. De plus, la centrale se trouvant dans
un marais, les eaux seront très contaminées, ce qui accentuera d'autant plus le
phénomène de contamination de l'estuaire. A plus long terme, les questions de la
propagation de la radioactivité risquent aussi de devenir problématiques. En effet, les
feux de forêt sont assez fréquents, propageant les cendres radioactives à plusieurs
dizaines de kilomètres aux alentours, y compris sur Bordeaux. De plus, l'estuaire de la
Gironde est très prisé des animaux migrateurs.(1)
L'activité qui sera bien évidemment la plus impactée par la catastrophe sera l'activité
viticole. En effet, une très grande partie du vignoble bordelais se situe assez près de
la centrale, y compris des propriétés parmi les plus prestigieuses du Bordelais. Pour
le vignoble qui sera encore accessible après la catastrophe, l'activité sera beaucoup
moins rentable, sans doute plus assez. En effet, la viticulture est une activité qui,
particulièrement dans le bordelais, repose sur une image de marque. Si on se base
sur l'exemple de Fukushima, préfecture dans laquelle la pêche était très importante,
après la catastrophe, les poissons en provenance de Fukushima ne se sont plus du
tout vendu, en dépit des taux de radioactivité pourtant faibles. Le tourisme souffrira
aussi beaucoup de la catastrophe. Le littoral est une région très prisée des vacanciers,
mais là aussi, le tourisme repose sur une image de marque. La filière bois, si on se
base sur l'exemple de Fukushima, sera elle aussi affectée du fait des inquiétudes des
consommateurs, mais dans de moindres proportions. Le problème de la mort des pins
du fait de la contamination sera à prendre en compte, mais quand même assez limité
du fait de l'éloignement des forêts de la centrale. Enfin, la filière industrielle, beaucoup
moins sensible à ce genre de risques, pâtira du départ de certains de ses employés,
mais ce départ ne peut être que temporaire en fonction des politiques du
gouvernement. (2)
17
II – 5 - Conséquences du risque étudié dans les deux villes :
En 1991, l'OMS crée le Programme International sur les Effets Sanitaires de l'Accident
de Tchernobyl (IPHECA). Depuis cette date, l'OMS achète et fournit des médicaments
et des équipements médicaux au Belarus, à la Russie et à l'Ukraine.
Polémique en France
18
C'est en raison de la perception d'un manque de transparence à la fois de l'Etat et du
SCPRI (ancêtre de l’IRSN qui effectue alors les mesures officielles) qu'une poignée de
scientifiques prennent la décision de créer une commission indépendante,
la CRIIRAD, dans les semaines qui suivent afin de réaliser leurs propres mesures de
la radioactivité en France. Leurs résultats sont sans appel et confirment la toxicité des
légumes et du lait durant la première semaine du mois de mai 1986.
Bilan humain
Les estimations de la mortalité liée à l'accident de Tchernobyl restent aujourd'hui
difficiles et très débattues : « les nombres avancés se sont échelonnés de quelques
mille à quelques centaines de mille, sans que soient apportées de justifications
convaincantes » selon l'IRSN.
Ce chiffre inclut une cinquantaine de morts suite à une irradiation aiguë et une
dizaine d’enfants décédés d’un cancer de la thyroïde, mais pas certaines régions
moins contaminées (en ex-URSS ou ailleurs en Europe). Il est très contesté par des
organismes comme Greenpeace qui évaluent le nombre de victimes, sans détailler
leurs méthodes de calcul, en dizaines, voire en centaines de milliers de victimes
indirectes.
Tableau 01 : Calcul des doses radioactives totales reçues en moyenne par les
populations les plus exposées de Tchernoby . source (©OMS, Aide-mémoire 2006)
19
Notons que l'effet pathogène des doses reçues de radioactivité inférieures à 100
mSv n'est pas démontré. En revanche, l'effet pathogène de ces doses est
systématique (et non probabiliste) pour les doses supérieures à 1 000 mSv.
L’incidence de l’accident de Tchernobyl sur les pathologies dans les régions fortement
exposées est également difficile à circonscrire car le dépistage des maladies est
beaucoup plus développé par rapport à la période antérieure à l’accident.
Bilan environnemental
Le bilan de Tchernobyl fait donc encore débat mais tous reconnaissent que la situation
n’est pas « réglée », ne serait-ce qu’en raison des quantités de combustible encore
sur le site, protégés par un sarcophage vieillissant.
Bilan psychologique
20
TMI : conséquences de accidente
Les médias et le grand public subissent la communication déficiente de l’exploitant
et des autorités. Le 30 mars 1979,
le gouverneur et la NRC font
évacuer les femmes enceintes et
les très jeunes enfants dans un
rayon de 5 miles (près de 8 km)
autour de la centrale. Cet ordre
d’évacuation intervient après
plusieurs messages contradictoires
renforçant l’angoisse de la
population. La visite du président
américain Jimmy Carter et de sa
femme sur le site nucléaire rassure
la population sur la dangerosité du
lieu. (1) Figure 06 : la visite de président Jimmy Carter du central de TMI.
source Accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island
(1979) : étapes et conséquences (connaissancedesenergies.org)
Chiffres clés
Plus de 200 000 personnes se réfugient dans des caves ou dans les États
voisins suite aux alertes.
Au moment de l'accident de TMI, il existe 72 réacteurs nucléaires en service
aux États-Unis.
Après l’accident, les travaux de décontamination de l’unité 2 durent près de 14
ans, coûtant près d’un milliard de dollars. Ce nettoyage prend fin en décembre
1993 mais le réacteur restera sous contrôle permanent jusqu’à son
démantèlement total.
En définitive, l’accident n’aura fait aucune victime directe.
Concrètement :
Si l’accident de TMI a été très médiatisé et classé à un niveau 5 sur l’échelle INES, il
n’a causé aucune victime directe. L’eau qui s’est échappée par la soupape est sortie
de l’enceinte de confinement sous forme de vapeur. Une partie des « gaz rares »
radioactifs s’est ainsi échappée dans l’atmosphère. Les taux de matières
radioactives rejetées en dehors du site sont néanmoins considérés comme minimes
et les mesures réalisées corroborent ce sentiment.
Selon l’étude du centre d’études SCK CEN, la personne la plus exposée en dehors du
site aurait reçu une dose atteignant 1 millisievert (mSv) au maximum (niveau égal à
un tiers du rayonnement naturel ambiant annuel aux États Unis). (2)
21
Conclusion :
Les cause de les deux accidente des centrales nucléaires sont le même d’origine
d’imprudence humaine d’une coté et de panne matérielle mais elle différente entre
eux et le plus gravité et l’accident de Tchernobyl par ce qu’il Ya de manque dans le
système de protection contre les risques similaires. On plus de sa des operateur
moins formé.
Malgré les deux accident cause de radiation mais l’accident de TMI ne pas a la
même intensité de Tchernobyl a cause de contrôle de la radiation après 15 jours de
l’accident a l’envers de centrale de Tchernobyl.
22
III- Chapitre III : comparaison entre les gestions des risques
III- 1- introduction :
Après le présentation des zones d’études est connaissance de caractéristique
des milieu physique, et lecture des causes et conséquence dans chaque zone
d’études on a passe à la plus important et le but de ce recherche :
Dans ce chapitre on essaye de faire une comparaison entre la législation de
chaque pays a concernant les risques naturels et leur gestion par la conclusion quelle
stratégie dans les stratèges de gestion de risque est le plus fiable. Et déterminer le
point fort et les points faibles dans chaque action.
23
III-2 – législation de chaque paye :
Législation de l’Ukraine :ou bien l’URSS dans ce jours
Pour Gorbatchev, la catastrophe constitue la première mise en œuvre de la politique
de glasnost (« transparence ») présentée au cours du XXVIIe congrès du PCUS (25
février – 6 mars 1986), et qui a rencontré de fortes oppositions. Dans son esprit,
l'accident constitue « un nouvel argument fort en faveur de réformes profondes » (1)
Glasnost :
La « publicité [des débats] », traditionnellement traduit par « transparence ») est une
politique de liberté d'expression et de la publication d'informations qui s'amorça par
l'accident nucléaire de Tchernobyl 1 puis fut portée en URSS par Mikhaïl Gorbatchev à
partir de 1986.
Avec la glasnost, le but du numéro 1 soviétique était notamment de mettre la pression
sur les conservateurs du parti qui étaient opposés à sa politique de restructuration
économique (la perestroïka). Cependant, cette dernière va échouer devant la
résistance passive de l'administration et des décideurs qui avaient beaucoup à y
perdre, accentuant la crise économique de l'URSS, ce qui va provoquer une montée
des contestations.
À travers cette politique, Gorbatchev approfondit la déstalinisation, politique mise en
place en 1956 par Khrouchtchev au XXe congrès du Parti communiste de l'Union
soviétique, et renoue avec les principes jadis défendus par Lénine avec sa nouvelle
politique économique, par l'économiste soviétique Evseï Liberman et par le socialisme
à visage humain. Gorbatchev dénonce également les crimes de Staline, mais cette
fois-ci, ce n'est pas sous forme de rapport secret publié à l'intérieur du PCUS, mais
bien publiquement que ses crimes sont reconnus au grand jour.
La glasnost donna de nouvelles libertés au peuple, comme la liberté d'expression et
d'association, ce qui signifiait un changement important dans la mesure où le contrôle
des idées et des citoyens avait été la « colonne vertébrale » du système soviétique.
Des milliers de prisonniers politiques et beaucoup de dissidents furent également
libérés du goulag et de nombreux camps fermèrent.
La glasnost va permettre ce qui était auparavant impensable : des manifestations
massives ainsi que le début des grèves. Elle contribuera aussi au réveil des identités
nationales des peuples non-russes de la fédération soviétique, jusque-là soumis à
la russification.
Cependant, le but essentiel de Gorbatchev, qui était de moderniser l'Union soviétique
via la glasnost et la perestroïka, ne fut pas atteint, et l'Union, largement basée sur la
contrainte étatique, s'effondra en hiver 1991, plus précisément le 25 décembre
1991 lors de la démission de Mikhaïl Gorbatchev.(2)
24
L’Ukraine il na avait pas des législation claire pour les accidents nucléaire par
ce que il avait sous le contrôle de soviet union. Et le accidente lui-même qui changes
de certaine détaille dans la législation de Mikhaïl Gorbatchev.
1- Source le site : Accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island (1979) : étapes et conséquences
(connaissancedesenergies.org)
25
III-3- comparaison entre la législation :
L’Ukraine dans le jour d’accidenta il été partie de soviet union qui rôles par la
rousse et la Rousse ne contint pas des législation face a des accidente nucléaire mais
cet accident impose à la présidente de URSS pour faire de changement décisif dans
sa politique le chose qui a rencontré de fortes oppositions. Dans son esprit, et leur
politique. Dans l’autre partie l’Etat Unis a applique des nouveaux politiques et des
règles dans la prévention des accidents nucléaire est revole jusqu’à le monde.
Mais les deux payes ne possèdent pas de législation de prévention avant les
accidents. Par contre l’Etat Unis pose de législation nouvelle et des décision décisive
et de changement dans les critères de sécurité nucléaire, et le reprendre le travail 6
ans après l’accidente par contre la centrale de Tchernobyl qui est contamine jusqu’à
aujourd’hui
26
. Il faut donc au plus vite maîtriser le feu de graphite et faire face à la présence de
débris hautement radioactifs projetés aux environs par l'explosion. Ce n'est qu'ensuite
que le réacteur pourra être isolé par un sarcophage.
- La première opération, menée par plus de mille pilotes, est réalisée grâce à un
ballet d'hélicoptères militaires de transport. Il s'agit de larguer dans le trou béant
5 000 tonnes de sable, d'argile, de plomb, de bore, de borax et de dolomite. un
mélange qui permettra de stopper la réaction nucléaire et d'étouffer l'incendie
du graphite afin de limiter les rejets radioactifs
- Construction du premier sarcophage et décontaminé nation 14mai 1986
- Evacuation tardive des population
L’etat Unis :
Selon l'Agence internationale de l'énergie atomique, l'accident de Three Mile Island a
été un tournant considérable dans le développement mondial de l'industrie nucléaire.
Three Mile Island a conduit les États-Unis à abandonner la construction de nouvelles
centrales, à la suite d’une décision prise par le président Jimmy Carter. Un chantier de
centrale est abandonné en 1981 sur le site nucléaire de Phipps Bend.
Jusqu'en 1989, les procédures qui avaient été utilisées pour la conduite en situation
incidentelle et accidentelle étaient fondées sur une approche de type
« évènementiel ». Cette approche consiste, pour des évènements initiateurs
conventionnellement sélectionnés, à définir par avance les actions de conduite
nécessaires au maintien des fonctions de sûreté (sous-criticité, évacuation de la
puissance, confinement des matières radioactives). À partir d'un diagnostic initial
unique, les opérateurs sont donc amenés à engager une stratégie de conduite
prédéterminée. L'accident qui a affecté le 29 mars 1979 la centrale de Three Mile
Island (TMI) a mis en évidence les limites de la conduite évènementielle. Celle-ci ne
permet en effet pas de gérer les situations où se trouvent cumulées, en plus de
l'évènement initiateur, des défaillances humaines ou matérielles. EDF a de ce fait
décidé d’abandonner progressivement l’approche « évènementielle » pour passer à
une approche nouvelle, dite « par états » (APE). Cette dernière consiste à adapter la
conduite de l’installation à l’état réel de la chaudière. L’état de la chaudière est défini
à partir de six « fonctions d’état » qui recouvrent les trois fonctions de sûreté
susmentionnées. La conduite APE a ensuite pour objectif de restaurer la ou les
fonctions d’état dégradées, selon une grille de conduite qui définit les priorités (1)
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III. 5. Comparaison entre la gestion des deux crises ou risques :
Le actions de gestion de risque dans elle relative a le niveau d’accidents du
Tchernobyle est a niveau 7 le plus grave et Three miles Island a niveau 5.
Mais le facteur qui aggrave le contamination dans Tchernobyl est le inefiicasté de ce
action des gestion comme les liquidateurs qui estimé de 240000 personne qui
fortement expose a les radiation. Ils sont Apple sont mesure de protection de radiation,
Selon le rapport officiel de l'Organisation mondiale de la santé de 2005, jusqu’à
4 000 personnes au maximum pourraient éventuellement à terme décéder des suites
d'une radio-exposition consécutive à la catastrophe de Tchernobyl, dans le cas d'une
échelle linéaire sans seuil. (Les échelles "linéaires avec seuil" ou avec effet d'hormèse,
donnent un maximum théorique encore beaucoup plus faible.)
Selon le rapport de l'UNSCEAR de 2008 , les décès attribuables « de façon fiable » au
rayonnement produit par l'accident sont estimés à 62 décès et se déclinent ainsi :
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III-6- Conclusion :
Les actions des risques dans les deux villes Tchernobyl et Harrisburg ne pas
fonde a des législation bien déterminer a cause de le connaissance limites a des
accidente.
Cette connaissance limitée a cause de L’ukrainien de dégâts forte plus que l’Etat
Unis et aussi cette ignorance engendre les accidente au début des catastrophe
spécialement dans la centrale de Tchernobyle.
Malgré cet accident l’Etat Unis bonifie de cette défaillance est mise en œuvre de
nouvelle centrale après le leçon de TMI
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Conclusion générale
Les accidente le plus destructive dans le monde est les accidente nucléaire elle
est cause généralement a l’imprudence humaine ou d’un panne matérielle . leur
dommage est grave est entendue des plusieurs d’années après l’accident comme le
cas étude de Tchernobyl.
Si le catastrophe est cause il faut de d’avoir d’action pour limités ces
conséquences, dans le deux catastrophe étude on remarquent que les accidentes sont
gérer différemment les seules actions similaires sont d’évacuation des populations
mais dans Tchernobyl il est retardé au Dangerous d’accident et les liquidateurs sont
des pompiers non mobilise à ce type d’accident le facteur qui multiplié les
contaminations. La situation dans la centrale de TMI elle est plus contrôlé est la
déclaration d’alerte était plus rapide et les liquidateurs sont équipé.
Concernant les actions de gérer mené par l’autorité sont différent dans l’Etat Unis le
autorité et présente dans le déroulement de évènement est fait de décision logique par
contre Ukraine qui été sous l’autorité de l’Union soviétique qui été sélénieux au début
d’accident et après prenez de décision moins experte.
Enfin les accidente nucléaire doive de traité par un maximum précaution vue de
leur destructive a la sante de population expose proche ou loin des centrale ou des
zones de contamination.et doive être suive le disposition de sureté nucléaire pose par
l’Autorité de Sécurité Nucléaire le (ASN).
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Références bibliographiques :
Ouvrages:
Documents :
Les articles :
- OGM comment analyser les risques. Claire Marris.4 pages. Décembre 1999 47
Les sites :
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