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‫الجمهورية الجزائرية الديمقراطية الشعبية‬

République Algérienne Démocratique et Populaire


‫وزارة التعليم العالي و البحث العلمي‬
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
Scientifique
‫الجلفة‬-‫جامعة زيان عاشور‬
Université Ziane Achour–Djelfa
‫كلية علوم الطبيعة و الحياة‬
Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie
‫قسم علوم االرض و الكون‬
Département des Sciences de la Terre et de l'Univers

Module : infrastructure et risque

Expose sur :

Comparaison entre la gestion du risque Nucléaire


dans la ville de Tchernobyl (Ukraine) et la ville de
Three Miles Island (l’Etat Unis)

Fait par : Sous l’encadrement de :


- GOURIDA Bachir Mr. HAIED N

2020/2021
Sommaire
Introduction générale………………………………………………………………………..1
CHAPITRE I. Présentation des zones d’étude
I. 1. Introduction ………………………………………………………………….2
II. 2. Localisation des zones d’étude : - Tchernobyl en Ukraine ………………….3
- Three Mile Island en Pennsylvanie Etat Unis ….4
I. 3. Etude climatique des zones d’étude : - Tchernobyle………………………………5
- Three Mile Island…………………………5
I. 4. Etude géologique des zones d’étude - Tchernobyle……………………………….6
- Three Mile Island…………………………7
I. 5. Relief: - Tchernobyle……………………………………………………………….8
- Three Mile Island………………………………………………………….8
I. 6. Vegetation: - Tchernobyle…………………………………………………………..9
- Three Mile Island…………………………………………………….10
I. 7. Conclusion…………………………………………………………………………..11
CHAPITRE II. Causes et conséquences.
II. 1. Introduction…………………………………………………………………………12
II. 2. Causes générales du accidentes nucléaire…………………………………………..13
II. 3. Causes du risque étudié dans les deux villes choisis : - Tchernobyle………………13
- Three Mile Island…………14
II. 4. Conséquences générales du accidentes nucléaire…………………………………...16
II. 5. Conséquences du risque étudié dans les deux villes choisis : - Tchernobyle……….18
- Three Mile Island…...…21
II. 6. Conclusion…………………………………………………………………………..22
CHAPITRE III. Comparaison entre la gestion du risque.
III. 1. Introduction……………………………………………………………………….23
III. 2. Législation : De – Ukraine……………………………………………………24
- Etat Unis…………………………………………………..25
III. 3. Comparaison entre les législations dans les deux pays…………………………..26
III. 4. La gestion des deux crises ou risques : - Ukraine ………………………….26
- Etat Unis………………………..27
III. 5. Comparaison entre la gestion des deux crises ou risques………………………..28
III. 6. Conclusion………………………………………………………………………..29
Conclusion générale…………………………………………………………………………30
Références bibliographiques…………………………………………………………………31
Introduction
Depuis la découverte de la radioactivité en 1896 par Henri Becquerel et celle du
noyau atomique par Ernest Rutherford en 1911, des progrès scientifiques importants
ont été accomplis en physique nucléaire. La maîtrise des réactions nucléaires a permis
en particulier, dès le milieu du XXe siècle, la mise au point des réacteurs et des
armements nucléaires. Malgré son abandon par de nombreux pays et les oppositions
qu’elle suscite en raison des risques qu’elle présente pour les populations et
l’environnement, l’énergie nucléaire est toujours tenue, spécialement en France, pour
la seule véritable solution permettant de répondre aux besoins énergétiques de
demain. (1)
La mise en œuvre de l’énergie nucléaire engendre plusieurs types de risques :
celui de la sûreté et du démantèlement des installations d’abord, celui de la gestion
des déchets ensuite. D’importants progrès ont été réalisés en matière de confinement
des réacteurs. Mais les nombreux accidents nucléaires qui se sont produits depuis
1945 soulignent l’importance des risques. Par ailleurs, reste la difficulté à gérer les
déchets.(2) L’appréciation des risques liés à l’industrie nucléaire, en particulier de ce
qui conduirait à un accident nucléaire grave, constitue un thème central du débat.
Comme l'écrivent Jean-Claude Debeir, Jean-Paul Deléage et Daniel Hémery dans
leur ouvrage d'histoire de l'énergie . Le risque d’accident nucléaire grave ou d’un autre
problème impliquant l’industrie nucléaire est universellement reconnu et le débat porte
d’une part sur l’évaluation de sa probabilité et, d'autre part, sur la gravité des
conséquences. L’évaluation combinée de ces deux facteurs offre à une perception
globale du risque. (3)
Alors dans se travaille on à comparer entre la gestion de risque de deux
accidents dans différents payes dans période de 15 ans , donc on à choisie le
catastrophe de la ville de Tchernobyl en Ukraine de le 26 avril 1986 et de le
catastrophe de Three Mile Island de Pennsylvanie d’ Etat Unis de le mercredi 28
mars 1979 . Ce travaille est compose de trois chapitres : le premier chapitre qui porte
de présentation de zone d’étude des villes en suit une chapitre pour les causes et les
conséquence et enfin de chapitre de comparaison de gestion de risque .

1- Le source le site : www.universalis.fr/encyclopedie/nucleaire/


2- Le source le site : www.universalis.fr/encyclopedie/nucleaire/2-les-risques-du-nucleaire/
3- Source le site :Débat sur l'énergie nucléaire — Wikipédia (wikipedia.org)

1
Chapitre : présentation des zones d’étude
I -1- Introduction :
Dans l’étude de quelque phénomène reliée à l’espace il faut définir le zone
d’étude pour plus de détaille cette définition ou présentation joue un rôle décisive dans
l’analyse de ce phénomène par ce que les caractéristique de ce site-elle différente de
autre.
Dans ce chapitre on à citer le la localisation de chaque ville et leur
caractéristiques climatique pour plus d’interprétation les raisons qui engendre les
catastrophes et les actions de la gestion de risque fait par l’état sur chaque ville selon
le leur caractéristique géographique, géologique et climatique.

2
I - 2- localisation des zones d’étude :
Tchernobyl :
Est une ville de l'oblast de
Kiev, en Ukraine. Elle se trouve
à 96 km au nord de Kiev.(1)

La centrale nucléaire de
Tchernobyl aussi désignée
sous le nom officiel de
« centrale nucléaire V.I.
Lénine », est une centrale
nucléaire à l'arrêt depuis 2000, Carte 01 : la ville de Tchernobyl par rapport l’ Ukraine .
source Tchernobyl localisation - Bing images
située en Ukraine dans la ville
de Pripiat, à
18 km au nord-ouest
de Tchernobyl,
16 km de la frontière
entre l'Ukraine et la
Biélorussie, et
environ 110 km au
nord de Kiev. (2)

Carte 02 : la centrale nucléaire de Tchernobyl par rapport


l’ Ukraine . source Tchernobyl localisation - Bing images

1- Source Tchernobyl — Wikipédia (wikipedia.org)


2- Source Centrale nucléaire de Tchernobyl — Wikipédia (wikipedia.org)

3
Three Miles Island :

La centrale de Three Mile Island


est située sur le territoire de la
commune de Middletown dans l'Etat
de Pennsylvanie (USA), au bord de la
Susquehanna River, à 15 km de la
capitale de l'Etat, Harrisburg. (1)

Carte 03 : Three Miles Island par rapport l’Etat de


Pennsylvania . Source three mile island localisation - Bing
images

Carte 04 : localisation de réacteur du Three Miles


Island . Source three mile island localisation - Bing
images

1- Source Ouvrage les risques technologiques major. Patrick Lagadac

4
I – 3 - Etude climatique des zones d’étude :
Tchernobyl :
Le climat est de type continental tempéré sur les 4/5e du territoire, et de
type pontique en Crimée et sur les côtes du Boudjak. Les précipitations sont
irrégulièrement distribuées, fortes dans le nord et l'ouest, plus faibles dans l'est et le
sud-est. Les hivers, neigeux, varient de doux au sud à froid dans les plaines centrales.
L'été est tiède dans le nord, et très chaud dans le sud. (1)
Le catastrophe de
Tchernobyl elle été à le TEMPERATEUR MOYENNE
26/04/1979 donc les JOURNELIARE
données climatique de
temperateur moyenne journeliare
ces années est
impossible nous avent 20
estiment à partir les 15
donnes de même 10
5
période d’autre années
0
4/ 13/ 20 …

4/ 21/ 20 …

4/ 29/ 20 …
04/ 02/ 2 …
04/ 03/ 2 …
04/ 04/ 2 …
04/ 05/ 2 …
04/ 06/ 2 …
04/ 07/ 2 …
04/ 08/ 2 …
04/ 09/ 2 …
04/ 10/ 2 …
04/ 11/ 2 …
04/ 12/ 2 …

4/ 14/ 20 …
4/ 15/ 20 …
4/ 16/ 20 …
4/ 17/ 20 …
4/ 18/ 20 …
4/ 19/ 20 …
4/ 20/ 20 …

4/ 22/ 20 …
4/ 23/ 20 …
4/ 24/ 20 …
4/ 25/ 20 …
4/ 26/ 20 …
4/ 27/ 20 …
4/ 28/ 20 …

4/ 30/ 20 …
on choisi le plus ancien
est les données de
avril 2005 .

Figure01 : graphe montre le variation de température de mois Avril 2005. Source


Weather Chornobyl' – Monthly Weather History| freemeteo.co.uk traité par auteur

Three Mile Island :


L’accident était en 28 15
TEMPÉRATUER MOYENNE JOURNOULIAIR
mars 1979 alors en
étude les 10 températuer moyenne journouliair
températures de le
jouer d’accident. 5

0
3/ 13/ 1979

3/ 26/ 1979
3/ 14/ 1979
3/ 15/ 1979
3/ 16/ 1979
3/ 17/ 1979
3/ 18/ 1979
3/ 19/ 1979
3/ 20/ 1979
3/ 21/ 1979
3/ 22/ 1979
3/ 23/ 1979
3/ 24/ 1979
3/ 25/ 1979

3/ 27/ 1979
3/ 28/ 1979
3/ 29/ 1979
03/ 05/ 1979

03/ 09/ 1979


03/ 01/ 1979
03/ 02/ 1979
03/ 03/ 1979
03/ 04/ 1979

03/ 06/ 1979


03/ 07/ 1979
03/ 08/ 1979

03/ 10/ 1979


03/ 11/ 1979
03/ 12/ 1979

-5

Figure02: graphe montre le variation de température de mois Mars 1979. Source


Weather Chornobyl' – Monthly Weather History| freemeteo.co.uk traité par auteur

1- Source le site : Géographie de l'Ukraine — Wikipédia (wikipedia.org)

5
On remarque que le jouer d’accident le température moyenne est égale 4o C, c’est à
dire les accidente ne pas à une cause de élevé de température. Ou une cause
naturelle tel que les inondations ou les séismes. Dans les deux villes .

I- 4 -Etude géologique du zones d’étude :


Tchernobyl :

Carte05 : carte géologique de Ukraine source . Europe_geological_map-en.jpg


(5408×5504) (wikimedia.org) traité par auteur

le zone d’étude est situé dans le vert cercle .


on remarque que la zone d’étude la ville de
Tchernobyl dans le roche de paléogène .
(Selon la carte 06)
le zone d’étude dans le zone le a niveau
d’exposition faible à les séismes.(selon carte07)

Carte06 : la position de ville tchernobyl source


. Europe_geological_map-en.jpg (5408×5504)
(wikimedia.org) traité par auteur

Carte07 : carte estimation d’exposition des


payes au alea naturelle source . les zones
6
seismique dans Ukrain - Bing images
Three Miles Island :

Carte08 : carte géologique de pennesylvine source . Carte


géologique de Pennsylvanie Modèles de géologie | Etsy

Le zone d’étude est situé dans le Sud Est du paye.


Selon (carte 07) le Etat unis à un niveau très forte exposition à les alea.

Carte09 : carte géologique de Etat Unis montre le zone d’etude


source . Les catastrophes naturelles aux Etats-Unis (atlas-mag.net)
7
Nous remarquons que le zone d’étude est situe dans le zone de base zone d’exposition
a les séismes.

I-5- Reliefs :
Tchernobyl :
À l’exception du vaste plateau de Podolie (alt. 472 m), qui occupe l'ouest du
pays, l'Ukraine est un pays relativement plat, avec les terres fertiles du bassin
du Dniepr en son centre, ce qui lui permet, grâce au tchernoziom, d'avoir une
agriculture productive. Les montagnes de l'Ukraine sont :
- Les Carpates ukrainiennes, avec le Hoverla qui culmine à 2 061
mètres 48° 10′ 12″ N, 24° 34′ 12″ E, ce qui en fait le plus haut sommet du
pays.
- Les Monts de Crimée, surplombant la mer Noire dans le prolongement
du Caucase, et culminant à plus de 1 500 mètres.

Carte10 : carte topographique de Ukrain source . Les catastrophes


naturelles aux Etats-Unis (atlas-mag.net)

A partir la carte topographique le zone d’étude dans terrain plat est il ne y pas de
obstacles topographiques.

Three Miles Island :


L'accident nucléaire de Three Mile Island s'est produit le 28 mars 1979 dans
la centrale nucléaire de Three Mile Island (3,3 km2). L'île est située sur la
rivière Susquehanna, près de Harrisburg, dans l'État de Pennsylvanie aux États-Unis.
À la suite d'une chaîne d'événements accidentels, le cœur du réacteur no 2 de la
centrale de Three Mile Island (TMI-2) a en partie fondu,

8
Carte11 : carte topographique de Pennsylvanie source . Les
catastrophes naturelles aux Etats-Unis (atlas-mag.net)

Le site est dan un il a la Rivier de Susquehanna (selon le cart11) l’altitude de site est
entre 0et 45.71m.

I-6 -végétation :
Tchernobyl :

Dans le image satellitaire elle


montre que la végétation en toure
le recteur no 4 .
On remarque le site est entouré
par les forêts et un lac mais dans
nouveau image elle dégrade.
Est le ville proche de site
d’accident elle est abandonné à
cause de radiation.

Figure 03 : image satellitaire de la centrale de Tchernobyl source.


google_earthe

9
TMI :
Le site de centrale de TMI est dan une ile de 3km2 elle contint de couver végétale
modère et entoure par d’autre iles contient des agricultures.

Figure 04 : image satellitaire de la centrale de Three Miles Island


source. google_earthe

10
Conclusion :
A partir de la présentation de zones d’études des accidente nous remarquons
que les caractéristiques des deux sites elle est moins expose au risque d’aléa naturelle
c’est-à-dire les deux accidents de centrale de Tchernobyl et la centrale de Three Miles
Island est d’Origin industrielle.
Le climat dans deux sites est froid par c’est qui éliminer le risque d’élève de
température qui cause augmentation de la température dans les réacteurs
Les deux sites ne pas expose de risque de séisme ou inondation à cause de leur
situation dans le surface rocheuse et l’emplacement dans les terrains plat.

11
II- Chapitre II : causes et conséquence
II- 1- Introduction :
Après la présentation de zone d’étude on à détermine les causes et les
conséquences de accidente qui touche les villes proches par radiation nucléaire, mais
il faut connaitre les causes générales de ce type des accidente et puis la cause
spécifique de chaque zone. Il faut aussi connaitre les conséquences de ces accidents
en générale et de chaque zone pour faire une comparaison dans le dernier chapitre
entre les deux accidents avec les accidents similaire dans le monde.

12
II -2- causes générale de l’accident nucléaire :
L'accident nucléaire peut survenir dans toute installation
nucléaire de base : site de l'industrie électronucléaire (usine
d'enrichissement de l'uranium, centrale nucléaire, usine
de traitement du combustible usé, centre de stockage
de déchets radioactifs) ou établissement exerçant une
activité nucléaire (site militaire, hôpital, laboratoire de
recherche, etc.), ou encore dans un sous-marin, porte-avions
ou brise-glace à propulsion nucléaire. Les accidents peuvent
aussi se produire lors des transports de matières radioactives
(notamment à usage médical, mais également combustible
nucléaire, déchets radioactifs ou armes nucléaires).(1)
Figure 05 : avertissement de la pollution
par le nucléaire source. les causes
generale de catastrophe nucliaire - Bing
images

II-3- Causes de risque étude :


Tchernobyl :

Une série d’erreurs conduit à l’explosion du réacteur

Au début 1986, 100 000 personnes habitent à Tchernobyl, à une centaine de


kilomètres de la capitale Kiev (Ukraine). La ville profite de l’essor économique de sa
centrale nucléaire, mise en service entre 1977 et 1983 et située à près de 15 km.

La centrale est composée de 4 réacteurs mais ne dispose pas des équipements de


sécurité intégrés dans la plupart des centrales occidentales, comme par exemple la
double coque de protection.

 Le 25 avril au matin, un test du réacteur 4 est planifié à l’occasion d’une


opération courante de maintenance, sous les ordres du contremaître Anatoly
Dyatlov. Ce test de l’alimentation électrique de secours consiste à couper
l'alimentation de la turbine afin de vérifier si celle-ci conserverait la puissance
suffisante pour démarrer les pompes à eau servant à refroidir le cœur du
réacteur.
 Le 25 avril à 14h (heure locale), le système d'alarme du système de
refroidissement du réacteur est débranché en prévision du test, au mépris des
principes élémentaires de sécurité.
 La puissance du réacteur 4 est réduite comme prévu de 1 000 à 700 MWt,
puissance atteinte le 26 avril à 0h05. (2)

1- Source le site : Accident nucléaire — Wikipédia (wikipedia.org)


2- Source le site : Catastrophe nucléaire de Tchernobyl : explications, bilan, conséquences
(connaissancedesenergies.org)

13
 La puissance continue alors à baisser, contrairement aux conditions prévues par le
test. Le 26 avril à 0h28, une erreur d’un opérateur fait chuter la puissance du
réacteur à 30 MWt. Cela provoque un empoisonnement du réacteur
au xénon (accumulation de xénon-135, produit fissile qui absorbe des neutrons et
perturbe le processus de fission nucléaire).
 À 1h23, le test sur le réacteur 4 se poursuit alors que le cœur est très difficile à
maîtriser. Une série d’erreurs et de mauvais choix de la part des équipes provoque
une hausse de la température du réacteur. Le mélange d’hydrogène et d’oxygène,
créé par la radiolyse de l’eau, provoque de petites explosions qui éjectent les barres
de contrôle du réacteur.
 Selon le Département de l'Énergie américain, l'explosion de Tchernobyl se produit
le 26 avril 1986 à 1h23 et 44s. La partie supérieure du cœur du réacteur se retrouve
à l’air libre et le graphite prend feu. L’incendie est entretenu par l’intense chaleur
dégagée dans le cœur, qui est principalement due aux désintégrations radioactives
des produits de fission et qui n’est plus évacuée. Il n’est définitivement arrêté que
le 9 mai. (1)

Cause directe :

L'accident s'est produit à la suite d'une série d'erreurs commises par les techniciens
de la centrale en supprimant plusieurs sécurités sous les ordres de leur supérieur et
sans en analyser les risques : « faute de préparation suffisante des conditions
nécessaires à l’essai prévu, et par manque de temps lors de sa réalisation, les
opérateurs n’ont pas respecté toutes les règles de conduite. Ils ont par ailleurs commis
des violations de règles en inhibant de très importants systèmes de sûreté. »

TMI :
- Panne de la pompe alimentaire du circuit secondaire : L’accident nucléaire
de TMI commence le 28 mars 1979 à 4 heures du matin par une simple panne
technique de la pompe alimentaire du circuit secondaire. Cet incident fait
augmenter la température dans le circuit primaire puisque la chaleur dégagée
n’en est plus ôtée. Le dispositif de sécurité automatique fait chuter des barres
de contrôle dans le cœur du réacteur et arrête le processus de fission. La
réaction en chaîne est arrêtée.
- Défaillance de la soupape du pressuriseur :Les pompes de secours
alimentent en eau le générateur de vapeur mais la pression augmente
néanmoins dans le pressuriseur. Jusque là, la situation est « normale » car une
soupape de sécurité surplombant le pressuriseur doit permettre d’évacuer cette
pression. C’est la défaillance de cette soupape qui provoque l’accident en tant
que tel : alors qu’elle doit se refermer suite à la baisse de pression, elle reste
ouverte. En salle de commande, les opérateurs pensent qu’elle est fermée, comme
l’indiquent les indicateurs. De l’eau du circuit primaire s’échappe alors par la soupape
et le cœur du réacteur commence à manquer d’eau de refroidissement. (2)

1- Source le site : Catastrophe nucléaire de Tchernobyl : explications, bilan, conséquences (connaissancedesenergies.org)

2- Source le site :Accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island (1979) : étapes et conséquences
(connaissancedesenergies.org)

14
Or, même si la réaction en chaîne est arrêtée, il reste dans le cœur une puissance dite
résiduelle (quelques % de la puissance thermique initiale). Elle est due à la
décroissance radioactive des éléments issus de la fission de noyaux d’uranium et il
faut absolument la retirer, faute de quoi les éléments combustibles s’échauffant
finissent par fondre.

- Arrivée d’eau arrêtée et fusion partielle du cœur : Deux pompes déclenchent


automatiquement une nouvelle arrivée compensant les fuites mais les
opérateurs, qui manquent d’informations, limitent cet apport (loss-of-coolant
accident). Ils arrêtent même les pompes du circuit primaire, qui commençaient
à vibrer à cause du mélange d’eau et de vapeur et aggravent la situation.

Les barres de matière fissile, qui ne sont plus complètement immergées,


commencent à fondre et la température atteint près de 5 000°C. Les opérateurs
remarquent alors l’état de la soupape et la ferment. Des substances
radioactives se sont répandues dans l’enceinte de confinement dans cet
intervalle de temps. Les autorités sont prévenues de la situation d’urgence par
l’exploitant Met Ed vers 7 heures.

La fusion du tiers du combustible du cœur du réacteur n’est alors pas détectée.


Elle ne le sera que trois ans plus tard, lors des opérations de décontamination.

Dans l’après-midi du 28 mars, une poche d’hydrogène gazeux provoque une


explosion dans l’enceinte de confinement. Ce nouvel évènement ne cause
cependant pas de dégât majeur.

La situation se stabilise, une fois le cœur refroidi. Lors des jours suivants, les
autorités craignent cependant des rejets de gaz radioactifs ainsi qu’une
explosion au cœur du réacteur. Le 9 avril, le directeur de la NRC annonce que
la situation est rétablie.(1)

En résumé l’accidente est une succession d'erreurs

Défaillances techniques et erreurs humaines se mêlent dans ce qui a pu être qualifié


d’accident « organisationnel ».

L’arrêt d’une pompe du circuit secondaire constitue le premier problème technique


mais l’accident lui-même provient d’un défaut de conception du pressuriseur (la
soupape de sécurité ne se referme pas lors de la baisse de pression).

La formation des opérateurs pour gérer de tels accidents est inadaptée. Ceux-ci n’ont
jamais été entraînés à gérer de tels concours de circonstances. De plus, les salles des
commandes sont mal agencées et les trop nombreux voyants ne permettent pas
d’identifier les priorités.

Le facteur humain a donc joué un rôle très important dans l’accident. Cette conclusion
a conduit à refondre toutes les procédures de conduite. .(2)

1- source le site : Accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island (1979) : étapes et conséquences
(connaissancedesenergies.org)
2- source le même source précèdent

15
II – 4 – conséquence générale de risque :
La catastrophe nucléaire portant des conséquences grave celles ces radiations pour
la santé, à proximité de la centrale nucléaire mais également à distance.
Les conséquences sur le sante de population à proximité :

- Une contamination :
L’irradiation est encourue par les travailleurs dans la centrale. Elle est la
conséquence directe d’une exposition externe du corps.
Quant à la contamination, ce sont les particules radioactives qui entrent dans
l’organisme par la peau et les voies respiratoires. On peut aussi être
contaminé en ingérant des aliments contaminés
Les principales molécules radioactives sont représentées par l’iode et le césium. La
quantité d’iode d’un nuage radioactif se divise par deux tous les 8 jours, tandis que
cette période est de 30 ans pour le césium.
- Le cancer de la thyroïde : La thyroïde utilise l’iode pour fabriquer les hormones
thyroïdiennes. En cas d’exposition, ingérer de l’iode non radioactif empêche la
thyroïde de capter l’iode radioactif.
- Sieverts :Un sievert correspond à la dose de rayons reçus, pondérée selon le
type de rayonnement et la zone exposée. 2 mSv est l’irradiation d’origine
naturelle à laquelle nous sommes exposés. Avec une exposition de 1 Sv
(1.000 mSv), des vomissements apparaissent. Une exposition au-delà de 6 Sv
entraîne la mort.
- Des lésions de l’ADN et donc des cancers : La contamination finit par provoquer
des lésions de l'ADN des cellules et donc des cancers, notamment du poumon, du
côlon et des leucémies. La contamination peut également entraîner des
malformations fœtales. (1)

Conséquences sur l'environnement :

De façon générale, les estuaires sont des écosystèmes très riches. Après la
catastrophe, la biodiversité va très certainement diminuer, et les génotypes
sélectionnés seront ceux plus adaptés à la radioactivité. En se basant sur les
observations réalisées à Tchernobyl, les populations les plus menacées sont les
populations d'oiseaux et les conifères. (2)

1- Source le site :Radiations, catastrophe nucléaire, conséquences des radiations pour la santé, (e-sante.fr)
2- Document : Catastrophe nucléaire et résilience. Apolline Louvet .3 pages. la centrale du Blayais,
france

16
Or, beaucoup d'oiseaux se trouvent dans l'estuaire, et la forêt des Landes commence
à quelques dizaines de kilomètres de la centrale. De plus, la centrale se trouvant dans
un marais, les eaux seront très contaminées, ce qui accentuera d'autant plus le
phénomène de contamination de l'estuaire. A plus long terme, les questions de la
propagation de la radioactivité risquent aussi de devenir problématiques. En effet, les
feux de forêt sont assez fréquents, propageant les cendres radioactives à plusieurs
dizaines de kilomètres aux alentours, y compris sur Bordeaux. De plus, l'estuaire de la
Gironde est très prisé des animaux migrateurs.(1)

Conséquences sur l'économie :en cas de centrale de Blayais, France

L'activité qui sera bien évidemment la plus impactée par la catastrophe sera l'activité
viticole. En effet, une très grande partie du vignoble bordelais se situe assez près de
la centrale, y compris des propriétés parmi les plus prestigieuses du Bordelais. Pour
le vignoble qui sera encore accessible après la catastrophe, l'activité sera beaucoup
moins rentable, sans doute plus assez. En effet, la viticulture est une activité qui,
particulièrement dans le bordelais, repose sur une image de marque. Si on se base
sur l'exemple de Fukushima, préfecture dans laquelle la pêche était très importante,
après la catastrophe, les poissons en provenance de Fukushima ne se sont plus du
tout vendu, en dépit des taux de radioactivité pourtant faibles. Le tourisme souffrira
aussi beaucoup de la catastrophe. Le littoral est une région très prisée des vacanciers,
mais là aussi, le tourisme repose sur une image de marque. La filière bois, si on se
base sur l'exemple de Fukushima, sera elle aussi affectée du fait des inquiétudes des
consommateurs, mais dans de moindres proportions. Le problème de la mort des pins
du fait de la contamination sera à prendre en compte, mais quand même assez limité
du fait de l'éloignement des forêts de la centrale. Enfin, la filière industrielle, beaucoup
moins sensible à ce genre de risques, pâtira du départ de certains de ses employés,
mais ce départ ne peut être que temporaire en fonction des politiques du
gouvernement. (2)

1- Document : Catastrophe nucléaire et résilience. Apolline Louvet .3 pages. la centrale du Blayais,


France
2- Même source précèdent

17
II – 5 - Conséquences du risque étudié dans les deux villes :

Tchernobyl : les conséquences face par l’autorité

Silence et atermoiements des autorités russes

Pendant plusieurs semaines, le gouvernement russe sous-estime les conséquences


de l’explosion et opère une campagne de désinformation. La première conférence de
presse russe a lieu 15 jours après l’accident et de nombreux journalistes occidentaux
réalisent la dissimulation de la situation par les autorités russes.

Malgré cet accident, la centrale de Tchernobyl continue de fonctionner à la surprise


générale. Les autorités attendront 1991 pour arrêter le réacteur 2 et l'an 2000, soit plus
de 14 ans avant d'arrêter le réacteur 3.

Révisions de la sécurité des centrales

En Europe occidentale, Tchernobyl conduit tous les États équipés de centrales


nucléaires à relever le degré de sécurité de leurs installations et à revoir dans le détail
l'organisation de la sécurité nucléaire, notamment les plans d'urgences locaux.

Différentes mesures, en particulier concernant l'alimentation électrique, sont prises le


2 mai dans de nombreux pays européens (Pologne, Danemark, Norvège, Finlande,
Suède, Royaume-Uni, Pays-Bas, Allemagne, Autriche, Italie, Grèce etc.). L'Italie met
en place un contrôle de contamination à ses frontières, dans le but de refouler les
produits contaminés venant de France où aucune mesure n'a été décidée.

En 1991, l'OMS crée le Programme International sur les Effets Sanitaires de l'Accident
de Tchernobyl (IPHECA). Depuis cette date, l'OMS achète et fournit des médicaments
et des équipements médicaux au Belarus, à la Russie et à l'Ukraine.

Polémique en France

Le 30 avril 1986, le Pr Pellerin, directeur du SCPRI (Service central de protection


contre les rayons ionisants) indique qu' « aucune élévation significative de la
radioactivité n'a été constatée ». C'est le lendemain que toutes les installations
nucléaires détectent une importante radioactivité et en informent le SCPRI. Le Pr
Pellerin diffuse à de nombreux destinataires un communiqué qui affirme que « les
prises préventives d'iode ne sont ni justifiées, ni opportunes ». Il avoue le 10 mai au
journal télévisé de TF1 que les mesures de radioactivité sont « anormales » depuis le
30 avril, ce qui ne veut pas dire qu’elles soient dangereuses (pas de prise préventive
d’iode requise étant donné le nombre de becquerels émis). (1)

1- Source le site :Catastrophe nucléaire de Tchernobyl : explications, bilan, conséquences


(connaissancedesenergies.org)

18
C'est en raison de la perception d'un manque de transparence à la fois de l'Etat et du
SCPRI (ancêtre de l’IRSN qui effectue alors les mesures officielles) qu'une poignée de
scientifiques prennent la décision de créer une commission indépendante,
la CRIIRAD, dans les semaines qui suivent afin de réaliser leurs propres mesures de
la radioactivité en France. Leurs résultats sont sans appel et confirment la toxicité des
légumes et du lait durant la première semaine du mois de mai 1986.

Bilan humain
Les estimations de la mortalité liée à l'accident de Tchernobyl restent aujourd'hui
difficiles et très débattues : « les nombres avancés se sont échelonnés de quelques
mille à quelques centaines de mille, sans que soient apportées de justifications
convaincantes » selon l'IRSN.

En septembre 2005, le « Forum Tchernobyl », initiative des Nations unies sous


l’égide de l’Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de l’OMS, estime le
nombre total de décès en raison des irradiations de Tchernobyl à environ 4 000 à
terme.

Ce chiffre inclut une cinquantaine de morts suite à une irradiation aiguë et une
dizaine d’enfants décédés d’un cancer de la thyroïde, mais pas certaines régions
moins contaminées (en ex-URSS ou ailleurs en Europe). Il est très contesté par des
organismes comme Greenpeace qui évaluent le nombre de victimes, sans détailler
leurs méthodes de calcul, en dizaines, voire en centaines de milliers de victimes
indirectes.

La pondération précise de la responsabilité de l’accident de Tchernobyl en termes de


cancers reste délicate et sujet à polémique. Le comité d’experts de l’OMS ayant
participé au Forum de Tchernobyl estime que seuls les « liquidateurs » fortement
exposés ayant travaillé autour du réacteur en 1986-1987 (240 000), les personnes
évacuées en 1986 (116 000) et les résidents des zones strictement contrôlées
fortement contaminés (270 000) ont reçu des doses nettement au-dessus des
niveaux de rayonnement naturel (en moyenne 2,4 mSv par an).

Tableau 01 : Calcul des doses radioactives totales reçues en moyenne par les
populations les plus exposées de Tchernoby . source (©OMS, Aide-mémoire 2006)

19
Notons que l'effet pathogène des doses reçues de radioactivité inférieures à 100
mSv n'est pas démontré. En revanche, l'effet pathogène de ces doses est
systématique (et non probabiliste) pour les doses supérieures à 1 000 mSv.

Seul le risque de cancer de la thyroïde peut être clairement imputé au rayonnement


de Tchernobyl selon les examens de ce groupe d’experts. Au Belarus, en Ukraine et
en Russie, près de 5 000 cas ont été diagnostiqués jusque 2006 chez des enfants et
des adolescents âgés de 18 ans au plus au moment de l’accident.

L’incidence de l’accident de Tchernobyl sur les pathologies dans les régions fortement
exposées est également difficile à circonscrire car le dépistage des maladies est
beaucoup plus développé par rapport à la période antérieure à l’accident.

Bilan environnemental

Les conclusions demeurent également incertaines en ce qui concerne les


conséquences environnementales. La clairance des sols (temps au bout duquel la
contamination est divisée par 2), comprise entre 10 et 25 ans pour le césium 137, et
la présence d’animaux et de végétaux pourraient plaider en faveur d’une
décontamination du site.

Néanmoins, ce processus est extrêmement lent et le césium 137 et le strontium 90


continuent à migrer verticalement dans le sol de 2 à 4 centimètres par an, rencontrant
des racines qui peuvent faire remonter ces éléments radioactifs. De même, l’état de
santé des animaux reste difficile à évaluer.

Le bilan de Tchernobyl fait donc encore débat mais tous reconnaissent que la situation
n’est pas « réglée », ne serait-ce qu’en raison des quantités de combustible encore
sur le site, protégés par un sarcophage vieillissant.

Bilan psychologique

Au-delà de ses conséquences chiffrées, la catastrophe de Tchernobyl constitue un


traumatisme en Europe occidentale et continue de nourrir la peur de l’énergie
nucléaire, à l’image de la ville fantôme de Pripyat, « martyre de l’atome ». L’accident
de Tchernobyl a eu d’importantes répercussions sur la santé mentale et le bien-être
des populations touchées. (1)

1- Source le site :Catastrophe nucléaire de Tchernobyl : explications, bilan, conséquences (connaissancedesenergies.org)

20
TMI : conséquences de accidente
Les médias et le grand public subissent la communication déficiente de l’exploitant
et des autorités. Le 30 mars 1979,
le gouverneur et la NRC font
évacuer les femmes enceintes et
les très jeunes enfants dans un
rayon de 5 miles (près de 8 km)
autour de la centrale. Cet ordre
d’évacuation intervient après
plusieurs messages contradictoires
renforçant l’angoisse de la
population. La visite du président
américain Jimmy Carter et de sa
femme sur le site nucléaire rassure
la population sur la dangerosité du
lieu. (1) Figure 06 : la visite de président Jimmy Carter du central de TMI.
source Accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island
(1979) : étapes et conséquences (connaissancedesenergies.org)

Chiffres clés

 Plus de 200 000 personnes se réfugient dans des caves ou dans les États
voisins suite aux alertes.
 Au moment de l'accident de TMI, il existe 72 réacteurs nucléaires en service
aux États-Unis.
 Après l’accident, les travaux de décontamination de l’unité 2 durent près de 14
ans, coûtant près d’un milliard de dollars. Ce nettoyage prend fin en décembre
1993 mais le réacteur restera sous contrôle permanent jusqu’à son
démantèlement total.
 En définitive, l’accident n’aura fait aucune victime directe.

Concrètement :
Si l’accident de TMI a été très médiatisé et classé à un niveau 5 sur l’échelle INES, il
n’a causé aucune victime directe. L’eau qui s’est échappée par la soupape est sortie
de l’enceinte de confinement sous forme de vapeur. Une partie des « gaz rares »
radioactifs s’est ainsi échappée dans l’atmosphère. Les taux de matières
radioactives rejetées en dehors du site sont néanmoins considérés comme minimes
et les mesures réalisées corroborent ce sentiment.
Selon l’étude du centre d’études SCK CEN, la personne la plus exposée en dehors du
site aurait reçu une dose atteignant 1 millisievert (mSv) au maximum (niveau égal à
un tiers du rayonnement naturel ambiant annuel aux États Unis). (2)

1- Source le site :Catastrophe nucléaire de Tchernobyl : explications, bilan, conséquences


(connaissancedesenergies.org)
2- Même source précèdent

21
Conclusion :
Les cause de les deux accidente des centrales nucléaires sont le même d’origine
d’imprudence humaine d’une coté et de panne matérielle mais elle différente entre
eux et le plus gravité et l’accident de Tchernobyl par ce qu’il Ya de manque dans le
système de protection contre les risques similaires. On plus de sa des operateur
moins formé.
Malgré les deux accident cause de radiation mais l’accident de TMI ne pas a la
même intensité de Tchernobyl a cause de contrôle de la radiation après 15 jours de
l’accident a l’envers de centrale de Tchernobyl.

22
III- Chapitre III : comparaison entre les gestions des risques
III- 1- introduction :
Après le présentation des zones d’études est connaissance de caractéristique
des milieu physique, et lecture des causes et conséquence dans chaque zone
d’études on a passe à la plus important et le but de ce recherche :
Dans ce chapitre on essaye de faire une comparaison entre la législation de
chaque pays a concernant les risques naturels et leur gestion par la conclusion quelle
stratégie dans les stratèges de gestion de risque est le plus fiable. Et déterminer le
point fort et les points faibles dans chaque action.

23
III-2 – législation de chaque paye :
Législation de l’Ukraine :ou bien l’URSS dans ce jours
Pour Gorbatchev, la catastrophe constitue la première mise en œuvre de la politique
de glasnost (« transparence ») présentée au cours du XXVIIe congrès du PCUS (25
février – 6 mars 1986), et qui a rencontré de fortes oppositions. Dans son esprit,
l'accident constitue « un nouvel argument fort en faveur de réformes profondes » (1)
Glasnost :
La « publicité [des débats] », traditionnellement traduit par « transparence ») est une
politique de liberté d'expression et de la publication d'informations qui s'amorça par
l'accident nucléaire de Tchernobyl 1 puis fut portée en URSS par Mikhaïl Gorbatchev à
partir de 1986.
Avec la glasnost, le but du numéro 1 soviétique était notamment de mettre la pression
sur les conservateurs du parti qui étaient opposés à sa politique de restructuration
économique (la perestroïka). Cependant, cette dernière va échouer devant la
résistance passive de l'administration et des décideurs qui avaient beaucoup à y
perdre, accentuant la crise économique de l'URSS, ce qui va provoquer une montée
des contestations.
À travers cette politique, Gorbatchev approfondit la déstalinisation, politique mise en
place en 1956 par Khrouchtchev au XXe congrès du Parti communiste de l'Union
soviétique, et renoue avec les principes jadis défendus par Lénine avec sa nouvelle
politique économique, par l'économiste soviétique Evseï Liberman et par le socialisme
à visage humain. Gorbatchev dénonce également les crimes de Staline, mais cette
fois-ci, ce n'est pas sous forme de rapport secret publié à l'intérieur du PCUS, mais
bien publiquement que ses crimes sont reconnus au grand jour.
La glasnost donna de nouvelles libertés au peuple, comme la liberté d'expression et
d'association, ce qui signifiait un changement important dans la mesure où le contrôle
des idées et des citoyens avait été la « colonne vertébrale » du système soviétique.
Des milliers de prisonniers politiques et beaucoup de dissidents furent également
libérés du goulag et de nombreux camps fermèrent.
La glasnost va permettre ce qui était auparavant impensable : des manifestations
massives ainsi que le début des grèves. Elle contribuera aussi au réveil des identités
nationales des peuples non-russes de la fédération soviétique, jusque-là soumis à
la russification.
Cependant, le but essentiel de Gorbatchev, qui était de moderniser l'Union soviétique
via la glasnost et la perestroïka, ne fut pas atteint, et l'Union, largement basée sur la
contrainte étatique, s'effondra en hiver 1991, plus précisément le 25 décembre
1991 lors de la démission de Mikhaïl Gorbatchev.(2)

1- Source le site : Catastrophe nucléaire de Tchernobyl — Wikipédia (wikipedia.org)


2- Source le site : Glasnost — Wikipédia (wikipedia.org)

24
L’Ukraine il na avait pas des législation claire pour les accidents nucléaire par
ce que il avait sous le contrôle de soviet union. Et le accidente lui-même qui changes
de certaine détaille dans la législation de Mikhaïl Gorbatchev.

Législation de l’Etat Unis face à les accidentes nucléaire :

Mise en place de nouvelles normes

Deux commissions d’enquête sont mises en place par le gouvernement fédéral


(Commission Kemeny) et par la NRC (Commission Rogovin) après l’accident de la
centrale de TMI. Dès octobre 1979, celle mise en place par l’autorité fédérale livre ses
recommandations. Elle préconise une législation plus contraignante avec des normes
renforcées de sécurité, de surveillance ainsi qu’une meilleure formation des
opérateurs.

L’importance du facteur humain mis en évidence lors de l’accident modifie la formation


dispensée aux opérateurs et aux superviseurs.

Une académie nationale pour la formation nucléaire voit le jour. Le tableau de


commande est simplifié et une approche basée sur les symptômes se développe ainsi
que de nouvelles procédures pour parer aux incidents éventuels. Les procédures
ultimes (U) doivent notamment permettre de limiter les relâchements de produits
radioactifs à l'extérieur de l'enceinte de confinement, et donc dans l’environnement, en
cas de fusion du cœur.

La NRC impose une réglementation plus contraignante et augmente le nombre


d’inspections de sécurité. Toutes les centrales nucléaires américaines sont contraintes
de rédiger un plan d’urgence détaillé pour 1981.

Si aucune centrale n’est interdite, de nombreux réacteurs en cours de construction


subissent de nouvelles adaptations coûteuses. Le réacteur 1 de TMI, non touché par
l’accident de la centrale, est soumis à de nouvelles normes techniques et reste à l’arrêt
pendant six ans, jusqu’en 1985.

Notons néanmoins que l’expansion du programme nucléaire américain a déjà été


enrayée lors du premier choc pétrolier, près de cinq ans avant l’accident de TMI.

L’industrie met en place un garde-fou : l’INPO (Institute of Nuclear Power Operations)


qui délivre des normes de sécurité maximales afin d’optimiser le fonctionnement des
centrales nucléaires.

En 1983, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) met en place l’Incident


Reporting System qui oblige les autorités nationales des États membres à lui notifier
leurs incidents et accidents nucléaires. (1)

1- Source le site : Accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island (1979) : étapes et conséquences
(connaissancedesenergies.org)

25
III-3- comparaison entre la législation :
L’Ukraine dans le jour d’accidenta il été partie de soviet union qui rôles par la
rousse et la Rousse ne contint pas des législation face a des accidente nucléaire mais
cet accident impose à la présidente de URSS pour faire de changement décisif dans
sa politique le chose qui a rencontré de fortes oppositions. Dans son esprit, et leur
politique. Dans l’autre partie l’Etat Unis a applique des nouveaux politiques et des
règles dans la prévention des accidents nucléaire est revole jusqu’à le monde.
Mais les deux payes ne possèdent pas de législation de prévention avant les
accidents. Par contre l’Etat Unis pose de législation nouvelle et des décision décisive
et de changement dans les critères de sécurité nucléaire, et le reprendre le travail 6
ans après l’accidente par contre la centrale de Tchernobyl qui est contamine jusqu’à
aujourd’hui

III-4- la gestion de risque dans les payes :


L’Ukraine : Après l’accident :
La lutte contre l’incendie : Durant cette nuit, avec l'aide des électriciens du quart
d'Akimov, Davletbaiev essaie de remplacer l'hydrogène du générateur par de l'azote
pour éviter l'explosion35. Ils vident l'huile des bacs de la turbine dans les réservoirs
de secours situés à l'extérieur de la tranche. Les bacs d'huile sont noyés d'eau35.
Cette intervention évitera notamment la progression des flammes jusqu'à la salle des
machines, l'effondrement du toit du réacteur et la propagation de l'incendie aux
autres réacteurs qui eux-mêmes auraient pu exploser36.
Afin d'éteindre l'incendie, Brioukhanov appelle simplement les pompiers. Ceux-ci,
venus de Prypiat, située à 3 km de la centrale, interviennent sur les lieux sans
équipement particulier. Cependant, les matières nucléaires ne peuvent être éteintes
avec de l'eau. Les pompiers, gravement irradiés, sont évacués et mourront pour la
plupart.
Le principal danger de l'incendie est que les dégâts qu'il occasionne à la structure
risquent de provoquer l'effondrement de la matière en fusion (corium) dans les
parties souterraines qui sont noyées. Un contact entre l'eau et le réacteur en fusion
provoquerait une explosion qui disperserait d'immenses quantités de matière
radioactive. Ainsi, au cours des jours suivants, des plongeurs sont envoyés afin de
fermer les vannes et installer un système de pompage pour vider les salles noyées.
L'incendie finira par être éteint par projection dans le brasier de sacs de sable et
de bore depuis des hélicoptères. (1)
Etouffement de coure de réacteur en fusion(26avril- 14 mai) : L'incendie éteint,
les techniciens de la centrale prennent conscience de l'étendue des dégâts provoqués
par la retombée du toit sur le réacteur, qui est désormais fissuré. Le graphite toujours
en combustion, mélangé au magma de combustible qui continue de réagir, dégage un
nuage de fumée saturé de particules radioactives (2)

1- Source le site : Catastrophe nucléaire de Tchernobyl — Wikipédia (wikipedia.org)


2- Le même source precedent

26
. Il faut donc au plus vite maîtriser le feu de graphite et faire face à la présence de
débris hautement radioactifs projetés aux environs par l'explosion. Ce n'est qu'ensuite
que le réacteur pourra être isolé par un sarcophage.
- La première opération, menée par plus de mille pilotes, est réalisée grâce à un
ballet d'hélicoptères militaires de transport. Il s'agit de larguer dans le trou béant
5 000 tonnes de sable, d'argile, de plomb, de bore, de borax et de dolomite. un
mélange qui permettra de stopper la réaction nucléaire et d'étouffer l'incendie
du graphite afin de limiter les rejets radioactifs
- Construction du premier sarcophage et décontaminé nation 14mai 1986
- Evacuation tardive des population

L’etat Unis :
Selon l'Agence internationale de l'énergie atomique, l'accident de Three Mile Island a
été un tournant considérable dans le développement mondial de l'industrie nucléaire.
Three Mile Island a conduit les États-Unis à abandonner la construction de nouvelles
centrales, à la suite d’une décision prise par le président Jimmy Carter. Un chantier de
centrale est abandonné en 1981 sur le site nucléaire de Phipps Bend.
Jusqu'en 1989, les procédures qui avaient été utilisées pour la conduite en situation
incidentelle et accidentelle étaient fondées sur une approche de type
« évènementiel ». Cette approche consiste, pour des évènements initiateurs
conventionnellement sélectionnés, à définir par avance les actions de conduite
nécessaires au maintien des fonctions de sûreté (sous-criticité, évacuation de la
puissance, confinement des matières radioactives). À partir d'un diagnostic initial
unique, les opérateurs sont donc amenés à engager une stratégie de conduite
prédéterminée. L'accident qui a affecté le 29 mars 1979 la centrale de Three Mile
Island (TMI) a mis en évidence les limites de la conduite évènementielle. Celle-ci ne
permet en effet pas de gérer les situations où se trouvent cumulées, en plus de
l'évènement initiateur, des défaillances humaines ou matérielles. EDF a de ce fait
décidé d’abandonner progressivement l’approche « évènementielle » pour passer à
une approche nouvelle, dite « par états » (APE). Cette dernière consiste à adapter la
conduite de l’installation à l’état réel de la chaudière. L’état de la chaudière est défini
à partir de six « fonctions d’état » qui recouvrent les trois fonctions de sûreté
susmentionnées. La conduite APE a ensuite pour objectif de restaurer la ou les
fonctions d’état dégradées, selon une grille de conduite qui définit les priorités (1)

1- Source le site : Accident nucléaire de Three Mile Island — Wikipédia (wikipedia.org)

27
III. 5. Comparaison entre la gestion des deux crises ou risques :
Le actions de gestion de risque dans elle relative a le niveau d’accidents du
Tchernobyle est a niveau 7 le plus grave et Three miles Island a niveau 5.
Mais le facteur qui aggrave le contamination dans Tchernobyl est le inefiicasté de ce
action des gestion comme les liquidateurs qui estimé de 240000 personne qui
fortement expose a les radiation. Ils sont Apple sont mesure de protection de radiation,
Selon le rapport officiel de l'Organisation mondiale de la santé de 2005, jusqu’à
4 000 personnes au maximum pourraient éventuellement à terme décéder des suites
d'une radio-exposition consécutive à la catastrophe de Tchernobyl, dans le cas d'une
échelle linéaire sans seuil. (Les échelles "linéaires avec seuil" ou avec effet d'hormèse,
donnent un maximum théorique encore beaucoup plus faible.)
Selon le rapport de l'UNSCEAR de 2008 , les décès attribuables « de façon fiable » au
rayonnement produit par l'accident sont estimés à 62 décès et se déclinent ainsi :

 28 pompiers morts du syndrome d’irradiation aiguë ;


 19 pompiers morts de lésions de la peau ;
 15 personnes dans la population environnante mortes de cancer de la
thyroïde.
Le rapport conclut que « la grande majorité de la population n'a pas à vivre dans la
peur des conséquences graves sur la santé de l'accident de Tchernobyl ». Ce rapport
est critiqué par les organisations militantes antinucléaires qui proposent leurs propres
contre-analyses. Cependant ce rapport a été publié dans des revues scientifiques à
comité de lecture « peer reviewed » ce qui n'est pas le cas des contre-analyses.
Mais par rapporte l’état Unis Plusieurs rapports scientifiques concluent que cet
accident n'a provoqué ni décès, ni blessures ou effets néfastes sur la santé c’est à
cause de stabilisation de plus vite de accidente.
Cet accident aussi pouce l’Etat pour faire de changement sur les systèmes de
protection et abandonné les anciens réacteurs et passe a nouveaux qui écologique

28
III-6- Conclusion :

Les actions des risques dans les deux villes Tchernobyl et Harrisburg ne pas
fonde a des législation bien déterminer a cause de le connaissance limites a des
accidente.
Cette connaissance limitée a cause de L’ukrainien de dégâts forte plus que l’Etat
Unis et aussi cette ignorance engendre les accidente au début des catastrophe
spécialement dans la centrale de Tchernobyle.
Malgré cet accident l’Etat Unis bonifie de cette défaillance est mise en œuvre de
nouvelle centrale après le leçon de TMI

29
Conclusion générale

Les accidente le plus destructive dans le monde est les accidente nucléaire elle
est cause généralement a l’imprudence humaine ou d’un panne matérielle . leur
dommage est grave est entendue des plusieurs d’années après l’accident comme le
cas étude de Tchernobyl.
Si le catastrophe est cause il faut de d’avoir d’action pour limités ces
conséquences, dans le deux catastrophe étude on remarquent que les accidentes sont
gérer différemment les seules actions similaires sont d’évacuation des populations
mais dans Tchernobyl il est retardé au Dangerous d’accident et les liquidateurs sont
des pompiers non mobilise à ce type d’accident le facteur qui multiplié les
contaminations. La situation dans la centrale de TMI elle est plus contrôlé est la
déclaration d’alerte était plus rapide et les liquidateurs sont équipé.
Concernant les actions de gérer mené par l’autorité sont différent dans l’Etat Unis le
autorité et présente dans le déroulement de évènement est fait de décision logique par
contre Ukraine qui été sous l’autorité de l’Union soviétique qui été sélénieux au début
d’accident et après prenez de décision moins experte.
Enfin les accidente nucléaire doive de traité par un maximum précaution vue de
leur destructive a la sante de population expose proche ou loin des centrale ou des
zones de contamination.et doive être suive le disposition de sureté nucléaire pose par
l’Autorité de Sécurité Nucléaire le (ASN).

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Références bibliographiques :
Ouvrages:

- Les risques technologiques major. Patrick Lagadac .250 pages

Documents :

- Catastrophe nucléaire et résilience. Apolline Louvet .3 pages. la centrale du Blayais, France


- Coure 01 : Gestion des Risque Urbain. AMMICH Alaoua et DAOUD Karima -Ecole Nationale des
Ingénieurs de la Ville. 21 pages
- Nucléaire «civile» : qulle rationalité ? .Annie Thébaud-Mony et Paul Jobin- sociologues CEFC
Taipei et INSERM. 7 pages

Les articles :

- OGM comment analyser les risques. Claire Marris.4 pages. Décembre 1999 47

Les sites :

- Accident nucléaire de Three Mile Island — Wikipédia (wikipedia.org)


- Accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island (1979) : étapes et conséquences
(connaissancedesenergies.org)
- Carte géologique de Pennsylvanie Modèles de géologie | EtsyLes catastrophes naturelles aux
Etats-Unis (atlas-mag.net)
- Catastrophe nucléaire de Tchernobyl : explications, bilan, conséquences
(connaissancedesenergies.org)
- Centrale nucléaire de Tchernobyl — Wikipédia (wikipedia.org)
- Débat sur l'énergie nucléaire — Wikipédia (wikipedia.org)
- Géographie de l'Ukraine — Wikipédia (wikipedia.org)
- Glasnost — Wikipédia (wikipedia.org)
- Radiations, catastrophe nucléaire, conséquences des radiations pour la santé, (e-sante.fr)
- Tchernobyl localisation - Bing images
- Tchernobyl — Wikipédia (wikipedia.org)
- Weather Chornobyl' – Monthly Weather History| freemeteo.co.uk
- www.universalis.fr/encyclopedie/nucleaire/

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