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Thème : Les normes

IFRS
Problématique : Harmonisation des normes africaines (OHADA) et les
normesinternationales (IFRS)
Sous-questions
PLAN
Introduction
PARTIE I : PRÉSENTATION DES DEUX SYSTÈMES
Notions de OHADA
I- Le système OHADA
1- Les objectifs et les utilisateurs
2- Etats financiers
a- Différents types et éléments d’états financiers

b- Rubrique des états


financiers3- Les immobilisations
a- Corporelles
b- Incorporelle
Notions de IFRS
II- Le système des normes IFRS
1- Les objectifs et les utilisateurs
2- Etats financiers

a- Différents types et éléments d’états financiers


b- Rubrique des états
financiers3- Les immobilisations
a- Corporelles
b- Incorporelles

Partie II : CONVERGENCE ET DIVERGENCE ENTRE LES DEUX SYSTÈMES


INTRODUCTION GENERALE

La mondialisation et la normalisation des marchés suscite le désire face à … d’avoir un


langage commun. Pour assoupir ce désire, plusieurs pays ont jugés opportun d’adopter les
normes IFRS (International Financial Reporting Standards) pour des informations de
qualités et comparables à travers le monde. C’est dans cet élan que l’espace OHADA
(Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires) décide en 2017
d’harmoniser ses normes à celles de l’IFRS.

Pour une parfaite compréhension le thème que nous allons développer est le suivant :
Harmonisation des normes africaines OHADA et les normes internationales IFRS.

Dans le but d’avoir une idée plus nette et plus large de ces deux systèmes, il nous faudra
répondre aux questions suivantes qui nous semble plus que nécessaire à savoir :

- Quelles sont les limites du système OHADA ?


- Sous-questions
- Sous-questions
- Sous-questions

Afin de traiter ces questions, il est nécessaire de présenter dans un premier temps le
système des normes OHADA, dans second temps le système des normes IFRS et pour finir
montrer les convergences et divergences entre les deux systèmes.
PARTIE I : PRÉSENTATION DES DEUX SYSTÈMES

Notions de OHADA

Le système juridique et judiciaire de l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du


Droit des Affaires (OHADA) est l'une des expériences d'intégration juridique les plus
réussies de la fin du 20ème siècle. Créée par le Traité de Port-Louis du 17 octobre 1993
(révisé le 17 octobre 2008 à Québec - Canada), l'OHADA est une organisation
internationale de plein exercice, dotée d'une personnalité juridique internationale, qui
poursuit une œuvre d'intégration juridique entre les pays qui en sont membres.

L'OHADA regroupe aujourd'hui 17 États et compte à son actif dix Actes uniformes déjà
entrés en vigueur dans les États-membres. Les langues de travail de l'OHADA sont le
français, l'anglais, l'espagnol et le portugais.1

1- Les objectifs et les utilisateurs

a- Objectifs

L'objectif de l'OHADA est la facilitation des échanges et des investissements, la garantie


de la sécurité juridique et judiciaire des activités des entreprises. Le droit issu de l'OHADA
est ainsi utilisé pour propulser le développement économique et créer un vaste marché
intégré afin de faire de l'Afrique un « pôle de développement ».

b- Utilisateurs

Ayant au départ quatorze (14) États-membres signataires du Traité constitutif, l'Organisation


compte à ce jour dix-sept (17) États-membres : le Bénin, le Burkina-Faso, le Cameroun, les
Comores, le Congo, la Côte d'Ivoire, le Gabon, la Guinée, la Guinée Bissau, la Guinée
Équatoriale, le Mali, le Niger, la République Centrafricaine, la République Démocratique du
Congo, le Sénégal, le Tchad et le Togo.

1
OHADA.COM
2- Etats financiers

Aux yeux de la législation, toutes les entreprises doivent faire part de leurs états financiers aux
autorités. Il existe deux systèmes de présentation des Etats financiers selon le SYSCOHADA:
le système normal (SN) et le système minimal de trésorerie (SMT).

a- Le système normal (SN)

Ce système concerne les entités dont le chiffre d'affaires annuel (hors taxe) est supérieur aux
seuils suivants :

 60 millions F CFA, pour les activités commerciales et Négoces

 40 millions F CFA, pour les activités artisanales et assimilées

 30 millions F CFA, pour les entités de services

Qu'est-ce que cela implique ?

Le système normal comprend l'établissement :

 Du Bilan,

 Du Compte de résultat de l'exercice,

 Du Tableaux des flux de trésorerie

 Des notes annexes dont les dispositions principales sont fixées dans le Système
comptable OHADA

b- Le système minimal de trésorerie (SMT).

A l’inverse du système normal, ce système concerne les entités dont le chiffre d'affaires annuel
(hors taxe) est inférieur aux seuils suivants :

 60 millions F CFA, pour les activités commerciales et Négoces

 40 millions F CFA, pour les activités artisanales et assimilées

 30 millions F CFA, pour les entités de services

Ce qui implique que, le système minimal de trésorerie comprend l'établissement :


 Du Bilan,

 Du Compte de résultat de l'exercice,

 Des notes annexes dont les dispositions principales sont fixées dans le Système
comptable OHADA

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