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Sujet n°1 

: communication

Notre entreprise est spécialisée dans la production des sacs en cuir de haute qualité d’une
production local « made in bladi », notre marché principal c’est le marché algérien, à cet effet
nous mettons en vente nos principaux produits sur un dizain de boutiques qui se situent dans
le territoire national.

En ces temps ou les consommateurs notamment nos clients sont exposées à des certains de
messages publicitaire par jour, il est indispensable de réussir à ce démarquer. Pour ne pas être
noyée dans le flot continu des compagnes de communication locale mises en avant par nos
concurrents, notre entreprise doit réussir à se positionner inélégamment afin de sortir de lot,
pour cela il faut connaître nos prospects et connaître leurs attentes sur plusieurs fronts.

Les clients veulent de la qualité. Sur la forme et sur le fond, nos prospects et clients veulent
être en contact avec une entreprise qui met en avant la qualité de ses produits. Nous devons
donc être mis en œuvre dans ce sens : site internet fonctionnel, visuels de promotion
attrayants, un magasin bien ordonné dans lequel il peut recevoir des conseils pertinents et un
service après-vente efficace.

Les clients veulent se sentir unique. Pour cela, la personnalisation de nos campagnes de
communication est indispensable et donne toute son importance à la segmentation marketing.
Personnalisez nos campagnes emailing ou SMS, proposez un suivi personnalisé de nos
clients...

Les clients aiment les belles histoires. Racontez l’histoire de la marque et de nos équipes,
rendez votre enseigne humaine et sympathique.

Pour cela en tant que responsable de communication, je vais proposer une technique qui
pourra faire démarquer notre entreprise dans le secteur concurrentiel, une newsletter originale
qui ne présente pas que nos meilleures offres.

Outil de communication efficace et peu cher, les campagnes emailings sont très répandues. Le
problème est le suivant : avec cette abondance de newsletters, comment faire en sorte que le
prospect s’attarde plus sur votre message que sur celui de votre concurrent ?

La plupart des entreprises (ou presque toutes) proposent aujourd’hui aux visiteurs de leur site
internet de s’inscrire à la newsletter de la marque. Seulement voilà, à force, la boîte mail de
nos clients et prospects est inondée de messages promotionnels.
Tout le monde aime ouvrir ses emails le matin pour y lire de bonnes nouvelles ou des
messages drôles et bienveillants. Sortez du lot en proposant à notre liste d’abonnés une
newsletter attractive que l’on a envie de lire chaque matin (ou soir !) car elle nous met de
bonne humeur. C’est par exemple ce que font les leaders en glissant une pointe d’humour
dans toutes leurs campagnes. Toutes leurs communications ont un ton bien particulier, très
original et vraiment reconnaissable. Cette originalité nous fait tout de suite oublier le
caractère promotionnel de la campagne.

Sujet 2 : gestion bancaire

Loi 12/01/1988 :

via la loi de 1988, l'Etat algérien a délégué ses prérogatives à des fonds de participation érigés
en sociétés par action afin de gérer la nouvelle catégorie d'entreprises crées sous l'appellation
entreprise publique économique dite EPE » et dont l'entreprise bancaire en faisait partie .
Selon la loi de 1988 , la banque a été définit comme une personne morale . commerciale
appelée à avoir une plus grande autonomie dans la gestion de son métier

Cette loi apporte plusieurs modifications concernant notamment les activités de la banque
centrale et la création de filiales et de sociétés financières. Ces aménagements ont été adoptés
conformément aux lois Nos. 88-01 et 88-03 du même jour sur les entreprises publiques
économiques et les fonds de participation

Loi 14/04/1990 :

Suite au choc pétrolier de 1986 , il a été relevé la défaillance du système bancaire algérien
fournissant des prestations à une économie nationale via des opérations de financement direct
issu des programmes de développement économique et social à l'ère de l'économie dirigée et
plusieurs défauts ont été observés tels que les lenteurs bureaucratiques causées par la
centralisation des décisions , le manque de technicité des banques et le financement orienté
principalement vers des entreprises publiques . L'objectif de la promulgation de la loi n ° 90-
10 du 14 avril 1990 était de remédier à ces défauts tout en faisant progresser les méthodes de
travail du tissu bancaire national et instaurer une concurrence et une amélioration de
l'intermédiation bancaire via l'ouverture du champ au capital privé national et étranger mais
aussi , la libre détermination des taux d'intérêt bancaire par les banques sans intervention de
l'Etat . Cette loi ciblait également , l'autonomisation de la banque centrale et sa libération du
joug de la gestion administrative de l'Etat et du Trésor Public d'une part et de la séparation de
la sphère monnaie / crédit de la sphère des entreprises publiques ou privées d'autre part
substituant ainsi les rapports de commercialité à ceux du dirigisme . Par ailleurs , les articles
11 et 12 de cette loi ont porté sur le changement de la dénomination de la « Banque Centrale
d'Algérie » en vigueur depuis Décembre 1962 à « Banque d'Algérie » en vue d'accompagner
le caractère d'indépendance qui lui a été notifié tout en mettant en place un «Conseil de la
Monnaie et du Crédit » qui via l'article 44.
Les investissements privés étrangers sont désormais autorisés dans toutes les activités
économiques , sauf celles expressément réservées à l'Etat , et non plus limités à des
participations minoritaires dans le cadre de coentreprises ; ils bénéficieront , ainsi que leurs
intérêts , d'une garantie de rapatriement ; ils devront en retour être orientés vers des activités
créatrices d'emploi et favoriser les transferts de technologies . Les banques étrangères
pourront aussi ouvrir des succursales en Algérie . Les investissements privés algériens sont
également encouragés .

Ordonnance n°01-01 du 27 / 02/ 2001 :

Cette ordonnance est venue modifiée et compléter la loi n°90-10 via des aménagements
touchant principalement, le conseil de la monnaie et du crédit qui a de ce fait, était divisé en
deux organes :

-Le premier organe est constitué du conseil d'administration chargé de la direction et de


l'administration de la Banque d'Algérie,

-Le second organe est quant à lui constitué par le conseil de la monnaie et du crédit jouant le
rôle d'autorité monétaire.

Ordonnance n°03-11 du 26 / 08/ 2003 :

L’année de 2003 est marquée par la mise en faillite de deux banques privées à savoir: EL
KHALIFA BANK et la Banque pour le Commerce et l'Industrie d'Algérie (B.C.I.A). Ce
scandale financier a poussé les pouvoirs publics à chercher une refonte de la loi sur la
monnaie et le crédit.

Trois principaux objectifs ont été recherchés via ce nouveau texte législatif permettre à la
Banque d'Algérie de mieux exercer ses missions, renforcer la collaboration entre la Banque
d'Algérie et le gouvernement sur les questions financières du pays et permettre une meilleure
protection des acteurs financiers de la place ainsi que de l'épargne publique.

Ainsi, la mission attribuée à la Banque d'Algérie a été plus détaillée, la libéralisation du


secteur bancaire a été maintenue tout en renforçant les conditions d'installations de nouvelles
institutions et de nouvelles prescriptions ont été introduites en matière de supervision et
contrôle du tissu bancaire et financier national.

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