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Correction Écrit 2012 2013 2014
Correction Écrit 2012 2013 2014
Mémoire de Licence
Remerciement
Introduction :
Chapitre I :
Partie physique
A. Electricité
1. La relation entre le courant i qui travers la bobine parfaite et et la
tension à ses bornes :
1
Avec 𝐿 = 𝐿𝛼 et 𝑅𝛽 = 𝑅
𝐿 𝑈 𝑇 𝑈 𝑇
Car : [𝐿𝛼 ] [𝑅𝛽 ]= 𝑅
= 𝐼 𝑅
= 𝑈
= 𝑇 donc 𝜏 = [𝐿𝛼 ] [𝑅𝛽 ]= 𝑇
𝒅𝒊 𝒊 𝑬
b. Déterminons la solution de l’équation différentielle : 𝒅𝒕
+𝝉= 𝑳
𝑖𝑝 𝐸
On a ip=cte ⇒ =
𝜏 𝐿
𝐸
⇒ 𝑖𝑝 = 𝑅
Determination de ih
𝒅𝒊 𝒊
On a l’équation homogène associe à i(t) est: +𝝉=𝟎
𝒅𝒕
𝐸
On a 𝑖(𝑡) = 𝑅 (1 − 𝑒 −𝑡/𝜏 )
Alors : si t=0 ⇒ 𝑖 𝑡 → 0
𝐸
Si t→ ∞ ⇒ 𝑖(𝑡) → 𝑅
𝑇
2-3) pour ≤𝑡≤𝑇 ⇒ 𝑈=0
2
𝑑𝑖
alors uL+uR=0 ⇒ : L 𝑑𝑡 + 𝑅𝑖 = 0 ⇒ donc l’équation différentielle
𝑑𝑖 𝑖
de i(t) est : +𝜏 =0
𝑑𝑡
Si : t →+∞ ⇒ 𝑢𝐿 𝑡 → 0
Donc :
𝑇
𝐸 𝑒 −2𝜏 − 1
10
B- Optique :
o F
𝛷 d
D L
Si on place des objets à observe à l’infinie, l’œil sera considéré au repos et les images vont se
former sur la rétine qui sera confondue avec le plan focale image de l’œil réduit
Si les objets situés à quelques centimètres de nos yeux paraissent flous pour les voir nettement
nous dévons les déplacer un peut vers l’avant afin que l’œil puisse accommoder et ramener
l’image sur la rétine.
11
On a dans ce cas A0 → ∞ et p → ∞
1 1 1
Alors ; Pmin =𝑝 += 𝑑 = 17.10 −3 = 58.82 𝛿
Donc Pmin=58.82
4. déduire l’amplitude maximale d’accommodation
A=Pmax-Pmin=4𝛿
5. pour les mêmes valeurs de Pmax et Pmin un œil myope possède une
profondeur 𝒅𝒎 =17,5 mm .
a. L’image d’un objet très loin pour un tel œil lorsqu’il n’accommode pas si plan
focal car :
1
A0 ∞ alors = pmin
𝑂𝐴’
1
Donc 𝑂𝐴’ = 𝑃𝑚𝑖𝑛 = 17 𝑚𝑚
Non l’œil myope n’est pas capable de fermer l’image de cet objet sur la rétine car :
A’=F et A0 à l’ ∞
12
on a ( 1/dmin)-(1/op𝑟 )=(1/dmin)+(1/Pr)=Pmin
donc 1/Pr=(pmin -1)/dmin alors :
C'est-à-dire :
(1/dm)-(1/OF’)=Pmin alors 1/OF’ =1/f’=(1/dm)-Pmin
1/f’=(1-dm*Pmin)/dm alors f’=dm/(1-Pmin*dm)
Donc : f’=(17.5*10-3)/(1-(17.5*10-3*58.82))
f’=-59.63 =- 60 cm
f’=-60 cm
13
C-thermodynamique
Pour que la température initiale minimal il faut que 𝑇é𝑞 = 0℃ = 273𝐾. 𝑇é𝑞 = 𝑇0
𝑴𝑺 𝒄𝒑𝒔 𝑻𝟏 +𝑴𝒍 𝒄𝒑𝒍 𝑻𝟐𝒎𝒊𝒏
Alors : 𝑻𝟎 = 𝑴𝑺 𝒄𝒑𝒔 +𝑴𝒍 𝒄𝒑𝒍
14
Sur ce diagramme le corps pur peut exister sous trois phase ,on a donc trois courbes
d’équilibre séparant trois domaines solide S ,liquide L et vapeur V.
-Le point T, lieu ou se coupent les trois courbes d’équilibre ,est appelé point triple T ;c’est
l’équilibre invariant des trois phases et c’est une caractéristique de corps pur .
-la courbe de vaporisation se termine au point critique C dans ce point , le fluide est dit
hypercritique ; il est possible d’observer un changement de phase avec discontinuité des
propriétés physiques .
b) calculons 𝑴𝟎 𝑻𝟎 , 𝑷𝟎 ≡ 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕 𝑻 la pente de la tangente à la courbe de
fusion de l’eau .
𝑑𝑃 𝐿 (𝑇0 ,𝑃0 )
𝑑𝑇 𝑃0 𝑇0
= 𝑇 𝑓(𝑉 =122,34∗ 𝟏𝟎𝟔 𝑱𝑲−𝟏 𝒎−𝟑
0 𝐿 −𝑉𝑆 )
15
Partie Chimie
A-Etude structurale de la molécule d’eau :
1- la géométrie de la molécule d’eau en faisant référence à la théorie
VSPER.
On a H(Z=1) ⇒ 1𝑠1 ⇒
O(Z=8) ⇒ 1𝑠 2 2𝑠 2 2𝑝4 ⇒
D’après la théorème de VSPER la molécule 𝐻2 𝑂
⇒ La forme de la l’atome :𝐴𝐻2 𝑋2
⇒ Géométrie de l’atome est coudée .
Donc la molécule est polaire .
2- Déterminons ∆𝑯𝟎 𝒍𝒂𝒊𝒔𝒐𝒏𝒔 (O-H) d’après la loi de Hess .
On a d’après le cycle :
𝟏
𝑯𝟐 𝒈 + 𝟐 𝑶𝟐 𝒈 ❷ 𝑯𝟐 𝑶(g)
❶ ❸
2H(g)+O(g)
Avec:
𝟏
❶: ∆𝑯𝟎 𝒍𝒂𝒊𝒔 𝑯 − 𝑯 + 𝟐 ∆𝑯𝟎 𝒍𝒂𝒊𝒔 𝑶 = 𝑶
❷: ∆𝒇 𝑯𝟎 𝑯𝟐 𝑶 𝒈
❸: −𝟐∆𝑯𝟎 𝒍𝒂𝒊𝒔 (O-H)
A: T=298K
1
∆f H 0 H2 O g = ∆H 0 lais H − H + 2 ∆H 0 lais O = O − 2∆H 0 lais (O-H)
1 1 1
∆H 0 lais (O-H) =2 ∆H 0 lais H − H + 4 ∆H 0 lais O = O - 2 ∆f H 0 H2 O g
On a : ∆𝑯𝟎 𝒍𝒂𝒊𝒔 (o-o)= ∆𝑯𝟎 𝒍𝒂𝒊𝒔 (H-H)+ ∆𝑯𝟎 𝒍𝒂𝒊𝒔 (O=O)-2∆𝑯𝟎 𝒍𝒂𝒊𝒔 (O-H)- ∆𝐟 𝐇 𝟎 𝐇𝟐 𝐎𝟐 𝐠
A.N/ ∆𝑯𝟎 𝒍𝒂𝒊𝒔 (o-o)=145,9 KJ/mol
16
𝒎𝒐𝒍 𝒎𝒐𝒍
On a 𝑺𝟏 (𝑵𝒂𝑶𝑯 𝒅𝒆 𝑪𝟏 = 𝟏𝟎 ) et 𝑺𝟐 (𝑯𝒄𝒍 𝒅𝒆𝑪𝟐 = 𝟎, 𝟎𝟐 )
𝑳 𝑳
𝑚𝑡 ≅ 2𝑔
𝑉𝑡 =? ?
𝑚𝑡
𝜌 𝑠𝑜𝑙 𝑉𝑡 𝑚𝑡
On a : 𝑑 = 𝜌 = ⇒ 𝑉𝑡 = 𝑑𝜌 =1.68 𝟏𝟎−𝟑 L
𝑒𝑎𝑢 𝜌 𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑎𝑢
17
𝐶2 𝑉2
donc : 𝑉1 = =10−2 𝐿
𝐶1
𝑉1 =10−2 𝐿 → X gouttes
1𝑐𝑚3 → 20gouttes
Alors :x=10−2 × 20 × 103 = 200 gouttes
∆𝑟 𝐻 0
pH=-log 𝐻3 𝑂+ -log (𝑒𝑥𝑝(− ))+log 𝑘𝑒
𝑅𝑇
∆𝑟 𝐻 0
alors : pH=-log (𝑒𝑥𝑝(− ))+ - p𝑘𝑒
𝑅𝑇
2-3) commentaires :
SI T augment pH démunie.
𝐸1 = 𝐸 0 1 +0,06pH ; 𝐸2 = 𝐸 0 2 + 0,06𝑝𝐻
18
19
Partie Physique
Electricité
A-déflexion d’un faisceau d’électron
1) L'expression du champ électrostatique entre P1 et P2 en appliquant :
dV
E gradV j
dy on obtient :
20
3) On applique le PFD :
eE eUy
Fext ma eE ma a m md j
On projette sur x, y, z :
ax 0 v x 0 x 0
eUy eUy eUy 2
ay vy t y t
md md 2 md
az 0
v z v0
z v 0t
4) L'équation cartésienne de la trajectoire d'un électron
z eUy
On a d’après la question (3) z v 0 t t on remplace t dans y t 2 alors
v 0 2md
eUy
L'équation cartésienne de la trajectoire est : y (t ) 2
z2
2 mdv 0
5)
a. En quittant les plaques de déflexion l'électron est soumis à une force électrostatique.
Faux
b. La vitesse de l'électron à la sortie des plaques est v0. Faux
c. Après les plaques la trajectoire de l'électron est une droite qui passe par le point K.
Vrai
e U
d. Les coordonnées du spot sont : xS =D ; ys D md v 2 Faux
y
6)
21
t
u (t ) u u A exp E
Alors c ssm par
22
n t
n tn
à n % alors 1 umax umax (1 e ) 100 exp
uc (t) umax
100
100
Donc tn ln
n
pour n=10 % prés : t ln10 RC ln10 or ln10 = 𝟐 = 2.3
𝐥𝐨𝐠 𝒆
2 RC
Donc t
log e
OPTIQUE
Partie A : Mesure de la distance focale image d’une lentille convergente L
11)
a. L'épaisseur de la lentille est négligeable devant ses rayons de courbures. Vrai
b. L'image d'un objet réel donnée par la lentille est toujours réelle et renversée. Faux
c. Dans l'approximation de Gauss les rayons sont inclinés sur l'axe optique. Faux
d. La lentille utilisée en loupe est un système convergent qui fait croître le pouvoir
séparateur. Vrai
23
1 1 1
12) D’après la relation de conjugaison :
OA' OA f'
1 1 1 x D x D
OA' D x et OA x alors D x x f '
D x x D x x
x2 Dx f 'D 0 D2 4 f 'D 0 D 4 f ' Alors Dmin 4 f '
13)
24
1
n sin45 sin n 2 Donc n 2
2 sin45
15)
a. La lumière l1 se réfléchit totalement sur la face AC. Faux
b. La lumière l2 se réfléchit totalement sur la face AC. Vrai
c. L'angle d'émergence est i' = 60°. Faux
d. L'angle de déviation du rayon incident est D = 40,6°. Vrai
25
Thermodynamique
16)
a. Q C p T avec C p Cv R et Cv 2,5R soit C p 3,5R
La variation d'énergie interne du dioxygène durant cette transformation est égale à 2,08 kJ.
Vrai
d. U Q W W U Q 2,08 2,9 0,82 kJ 820 J
17)
nRT1 nRT2
On a P1 V1 P2 V2 et on sait que P1 et P2 alors
V1 V2
V
nRT1 V1 1 nRT2 V2 1 donc
T2 T1 ( 1 ) 1 300 120,4 810 K.
V2
26
18)
A pression constante : Q2 nCp T avec nCp 1 J K1 Donc Q2 300 810 510 J.
nRT
Travail élémentaire des forces de pression pdV dV nRT dlnV
V
Intégrer entre Vinitialet Vfinal on trouve:
à T 300 K
V1
rapport des volumes 32,432
V3
1
nCp nC v nR 0,286 J K 1 donc :
nR 1
1,4
W 0,286 300 ln 32,432 298 J.
27
CHIMIE
STRUCTURE DE LA MATIERE
Système étudie : (M, m, e-), électron dans le référentiel terrestre supposé galiléen Rg ;
Bilan des forces : le poids et l’interaction électrostatique exercée par le proton (O). le
poids étant négligeable devant cette dernière force et on a :
- z e2
Fext F er
4 0 r 2
Le Principe Fondamentale de la Dynamique appliqué à l’électron donne :
- z e2
ma(M / Rg ) er
4 0 r 2
La base adaptée à une trajectoire circulaire (r=cte) et plane est la base polaire (er , e ) ,
l’accélération de l’électron dans cette base est :
2
v 2 dv
a(M / Rg ) r er r e er e
r dt
v 2 dv - z e2
Le P.F.D s’écrit donc : m er e er
r dt 4 0 r 2
dv
En projetant selon e : 0 v r cte alors :
dt
28
v2 z e2 z e2
En projetant selon er : m v
r 4 0 r 2 4 0 mr
Z e2
ET Ec Ep
Donc l’énergie totale de l’électron est : 8 0 r
24.
25.
Z e2 n2 h2 0
ET Et r on remplace l’expression de r dans ET et on trouve :
8 0 r m Ze2
Z 2 e4 m
ET 2 2 2
8 0 n h
29
Ag 1 e Ag
E E(Ag aq /Ag s ) 0,059 log Ag =E(Ag aq /Ag s ) 0,059 log C
1
E E(Ag aq /Ag s ) 0,059 log
C
31.Dans le bécher 1 on ajoute une goutte de nitrate d'argent très dilué, qui réagit en grande
partie avec les ions chlorure alors la concentration dans le bécher 1 est inférieur à la
concentration dans le bécher 2 : [Ag+] 1 < [Ag+] 2
30
On a :
AgCl Ag1 Cl
K s Ag1 Cl
U E2 E1 0,059log Ag 0,059log Ag
2 1
0,059 log C U
log Ag Ag 4,44 108 mol / L
1 0,059 1
31
ti C Excès 0 0
CH3COO H3O
Ka [CH3COO-]=[H3O+] = C et [CH3COOH]=C(1-).
CH3COOH Avec
C2 2 C 2
K
(C C ) 1
Alors a
Alors
0 H3O (0CH COO ) (0H O
3
3
)
32
0 C (0CH COO ) (0H O
3
3
)
0
C (0CH COO ) (0H O )
3 3
3,288 10 2
Alors 2,18 10 2
(38,6 0,03909 )
C 2 3,86 10 2 (2,18 10 2 )2
Donc Ka 1,88 10 5
1 (1 2,18 10 )2
CH3COO CH3COO
pH pKa log log pH pK
CH3COOH CH3COOH a
CH3COO
10pH pKa 100,3 0,5 alors CH3COO 0,5 CH3COOH
CH3COOH
33
n(CH3COOH) 1,5
VA 0,75 L
CA 2
n(CH3COO ) 0,5
VB 0,2 L
CB 2,5
40.Les valeurs de C1 et C2
Dosage Acide-Base
L’équation de la réaction de dosage: H3Oaq HOaq 2H2O
L’acide sulfurique est un diacide
A l'équivalence :
1 C V 0,20 24,2
CB Ve1 C1dilué 2C2 dilué V0 C2 dilué B e1 C1dilué 0,5
2 V0 20
0,092 0,075 mol / L
C2 10 C2diluée 0,75 = 7,5101 mol / L
34
Physique
A-Electricité :
On pose
RC=L/R=𝜏
à t=0 en ferme l’interrupteur K .
1) l’équation différentielle vérifiée par l’intensité i(t) du courant :
𝑑𝑈𝐶
On a : E= 𝑈𝐿 + 𝑈𝑅 + 𝑈𝐶 = 𝑈1𝑅 + 𝑈𝐿 + 𝑈𝑅 et on a 𝑈𝑅 = 𝑅𝑖 et 𝑈1𝑅 =R 𝑖₁et 𝑖₂=c →
𝑑𝑡
1
𝑈𝐶 = 𝐶 𝑖₂𝑑𝑡 alors :
𝑑𝑖 1 𝑈1𝑅 1
E= R 𝑖 + L𝑑𝑡 + 𝐶 𝑖₂𝑑𝑡 et on a : 𝑖₂= 𝑖- 𝑖₁= 𝑖 - = 𝑖-𝑅 (E-𝑈𝐿 -𝑈𝑅 )
𝑅
1 𝑑𝑖
⇒ 𝑖₂= 𝑖 − 𝑅 (E-Ri- L𝑑𝑡 )
𝑑𝑖 1 1 𝑑𝑖
donc : E=Ri+ L𝑑𝑡 +𝐶 ( 𝑖𝑑𝑡 − 𝑅 𝐸𝑑𝑡 − 𝑅𝑖𝑑𝑡 − 𝐿 )
𝑑𝑡
𝑑𝑖 1 1 𝑑𝑖
𝐸 = L𝑑𝑡 + 𝑅𝑖 + 𝐶 𝑖𝑑𝑡-𝑅𝑐 (𝐸 − 𝑅𝑖 − 𝐿 𝑑𝑡 )𝑑𝑡
𝒅
On dériver l’équation par 𝒅𝒕 alors :
𝑑²𝑖 𝑑𝑖 1 1 𝑑𝑖
0=L𝑑𝑡² + 𝑅 𝑑𝑡 + 𝐶 𝑖 − 𝑅𝐶 (𝐸 − 𝑅𝑖 − 𝐿 𝑑𝑡 )
𝑑²𝑖 𝑑𝑖 𝑖 𝐸 𝑅𝑖 𝐿 𝑑𝑖
0=𝑑𝑡² + 𝑅 𝑑𝑡 + 𝐶 − 𝑅𝐶 + 𝑅𝐶 + 𝑅𝐶 𝑑𝑡
35
→ 𝑈𝐶 𝑡 = 0 = 𝑖 𝑡 = 0 − 𝑖𝑅 𝑡 = 0 = 0
1 𝐿 𝑑𝑖 𝑡 = 0
𝐸+ 𝑅𝑖 𝑡 = 0 = 0
𝑅 𝑅 𝑑𝑡
𝐸 𝐸 𝐸 𝐸 𝐸
− 𝐴 + 𝐵 = 0 → 𝐵 = 𝑅 + 𝐴 = 𝑅 − 2𝑅 =2𝑅 donc : A=-B
𝑅
𝒕
𝑬 𝑬𝒆− 𝝉 𝒕 𝒕
Alors : 𝒊 𝒕 = 𝟐𝑹 + (−𝒄𝒐𝒔 + 𝒔𝒊𝒏 )
𝟐𝑹 𝝉 𝝉
36
𝐓
𝐄 𝐭 ∈⦌𝟎, 𝟐 ⦋
𝑻
A 𝒕 ∈ ⦋𝟎, 𝟐⦌ l’équation différentielle s’écrit :
𝒅𝑼𝑪 𝟏 𝟏 𝑡
+ 𝝉 𝑼𝑪 = 𝝉 𝑬 → 𝑈𝐶 = 𝐴𝑒 − 𝜏 +𝐸
𝒅𝒕
𝑻 𝑻 𝑻
→ 𝐥𝐨𝐫𝐬𝐪𝐮𝐞 𝐭 ↗ → 𝑼𝒄 ↘ 𝒅𝒐𝒏𝒄: 𝑼𝒎𝒂𝒙 = 𝑼𝒄 𝒕 = = 𝑬 𝟏 − 𝒆− 𝟐𝝉 − 𝑼𝒎𝒂𝒙 𝒆− 𝟐𝝉
𝟐
𝐓
𝟏 − 𝐞− 𝟐𝛕
𝐔𝐦𝐚𝐱 = 𝐄 𝐓 = −𝐔𝐦𝐢𝐧
𝟏+ 𝐞− 𝟐𝛕
Les conducteurs :
4).la densité superficielle de cette sphère est :
𝑄
sachant qui 𝑉 = 4𝜋𝜀 ₀𝑅 ⇒ 𝑄 = 4𝜋𝜀₀𝑅𝑉
5).le potentielle auquel il faut porter la sphère pour le disque se soulève est :
On a la force électrostatique dF subit par la charge 𝜍𝑑𝑆
De la part de l’ensemble des autres charges du conducteur est une force de pression alors :
d’après la force de pression
37
𝜍² 𝜍² 𝜀₀²𝑉²𝜋𝑟²
𝑑𝐹 = 𝑑𝑆 → 𝐹 = 𝜋𝑟²𝑒𝑧 = 𝑒
2𝜀₀ 2𝜀₀ 2𝜀₀𝑅² 𝑧
pour que le disque se souléve il faut que :
𝐑 𝟐𝐦𝐠
𝐕= 𝐫 𝛑𝛆₀
ε₀V₁ πr 2 R 2
= ² × ε₀ R+Z ² = mg
R
2
2
ε₀V₁ πr 2 R2 (ε₀V₁)²πr²
𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 ∶ R + Z = × =
R ε₀mg ε₀mg
ε₀V₁r π
⇒ (R+Z)= mg ε₀
Vr ε₀π
Et on a d’après ❺ qui : mg = 2R
ε₀V₁r π 2R RV ₁ 2
alors : R + Z = × Vr =
ε₀ πε₀ V
donc :
𝑹𝑽₁ 𝟐 𝑽₁ 𝟐
Z= − 𝑹 =R( − 𝟏)
𝑽 𝑽
38
C C 𝐄(M)=E(M)𝒆𝝆
- l’invariance :
tout rotation suivant l’axe (oz) est invariante ⇒ E(M)=E(𝜌, 𝑧)
tout translation suivant l’axe (oz) est invariante ⇒ E(M)=E(𝜌)
application de la théorème de Gauss :
avec :𝝆=a
𝑄𝑖
𝐸𝑑𝑠 = = 𝐸𝑆
𝜀₀
On choisira une cylindre de hauteur h et de rayon a une surface de Gauss :
avec : a= 𝑟
𝝀𝒉 𝛌
Alors :ES=E2𝝅ah= 𝜺₀ ⇒ 𝐄 = 𝟐𝛑𝐚𝛆₀
39
𝑒 −𝐵𝑙𝜗
Alors : e= -Bl𝜗 ⇒ 𝑖 = 𝑅 = 𝑅+𝑙𝑟 +2𝑟𝑥 ʹ avec: 𝑥ʹ =∣ 𝑥₀ ∣ −𝜗𝑡
𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙
−𝑩𝒍𝝑
Donc : 𝒊 = 𝑹+𝒍𝒓+𝟐𝒓(∣𝒙₀∣−𝝑𝒕)
40
41
On a le champ magnétique crée par un fil conducteur infini par un point M de l’espace
𝜇₀𝐼
et donnée par :𝐵 𝑀 = 2𝜋𝑟
𝜇₀𝐼𝑎 𝜇₀𝐼𝑎 𝐷+𝑏 𝑑𝑟
Alors :𝑑𝛷 = 𝐵𝑑𝑆 = 𝑑𝑟 ⇒ 𝛷 = 𝐷
2𝜋𝑟 2𝜋 𝑟
𝜇₀𝐼𝑎 𝐷+𝑑
𝛷= ln
( ) ⇒ c’est le flux pour un spire ∗ 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑁 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑒 ∶ 𝛷 =
2𝜋 𝐷
𝜇₀𝑁𝐼𝑎 𝐷+𝑑
𝑁𝛷𝑠𝑝𝑖𝑟𝑒 = ln
( )
2𝜋 𝐷
𝛷
. 𝑜𝑛 𝑎 𝛷 = 𝑀𝐼 ⇒ 𝑀 = 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑀: 𝑐𝑜𝑒𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑 ′ 𝑖𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑢𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒
𝐼
𝝁₀𝑵𝒂 𝑫+𝒅
𝑑𝑜𝑛𝑐 ∶ 𝑴= 𝐥𝐧
( )
𝟐𝝅 𝑫
11) si le courant dans le fil es alternatif sinusoïdal 𝑰 = 𝑰𝒎 sinwt l’intensité i
du courant induit :
𝑑𝛷
𝑜𝑛 𝑎 ∶ 𝐼 = 𝐼𝑚 𝑠𝑖𝑛𝑤𝑡 𝑒𝑡 𝑒 = 𝑅𝑖 = −
𝑑𝑡
Avec :Φ=MI=𝐼𝑚 𝑠𝑖𝑛𝑤𝑡
𝑑𝛷
𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 ∶ 𝑒 = − = −𝑀𝐼𝑀 𝑤 cos 𝑤𝑡 = 𝑅𝑖
𝑑𝑡
𝑑𝑜𝑛𝑐: 𝑹𝒊 + 𝑴𝑰𝒎 𝒘 𝒄𝒐𝒔 𝒘𝒕 = 𝟎
42
Thermodynamique
43
Et on a QAB=QDC=0
On a d’après le 1ére principe :
∆Ucycle= Wcycle+QDA+QBC = 0 → Wcycle= -QF+QC
D’où R= Qf+QC /Qc=1+ Qf/Qc
Et on a d’après la 2éme principe de la thermodynamique
∆Scycle=Qf /Tf +Qc /Tc = 0 → Qf/Qc =-Tf /Tc
R= 1-Tf /Tc
Donc notre cas Tf= TA et Tc=TB → R=1-TA/TB
Et on a d’après la relation d’une transformation adiabatique : 𝑃𝑉ᵞ = 𝑐𝑡𝑒
PA1-ᵞ TAᵞ=PB1-ᵞTBᵞ
TAᵞ=TBᵞ(PB/PA)1-ᵞ → TAᵞ = TBᵞr1-ᵞ
1−𝛾 1−𝛾
TA= 𝑇𝐵 𝑟 𝛾 = TB×8 𝛾
1−𝛾
TA /TB= 8 𝛾
1−𝛾
Donc R=1-8 𝛾 d’où R= 0.448
15) calculons la variation de l’entropie de l’eau :
On a m=1kg à T1=50°C P1=1.23×104 N.m-2
A T2=150°C P2=4.78×103 N.m-2
On a par définition ∆S=ʃQrév /T
Pour δQ=mcdT+hdP NB h=-V
On suppose que le gaz est parfait alors : δQ=mcdT-VdP
𝑇₂ 𝑃₂
𝑑𝑇 𝑑𝑃 𝑇₂ 𝑃₂
∆𝑠 = 𝑚𝑐 − 𝑛𝑅 = 𝑚𝑐 𝑙𝑛 − 𝑛𝑅 𝑙𝑛
𝑇₁ 𝑇 𝑃₁ 𝑃 𝑇₁ 𝑃₁
𝑇₂ 𝑚𝑅 𝑃₂
∆𝑠 = 𝑚𝑐 ln − 𝑙𝑛
𝑇₁ 𝑀 𝑃₁
150+273 1×8.32×10 ̄³ 4.78×10⁵
A .N⇒ ∆𝑆 = 1 × 1.97 ln − × 𝑙𝑛 1.23×10⁴
50+273 18×10 ̄³
∆𝑺=-1.156 KJ/K
44
𝐝𝐏 𝐝𝐕
+ =𝟎
𝐏 𝐕
𝛛𝐏 𝐏
( )𝐢𝐬𝐨𝐭𝐡𝐞𝐫𝐦𝐞 = −
𝛛𝐕 𝐕
𝝏𝑷 𝝏𝑷
Le rapport des deux pentes : ⇒ (𝝏𝑽)𝒂𝒅𝒊𝒂𝒃𝒂 = 𝜸(𝝏𝑽)𝒊𝒔𝒐𝒕𝒉𝒆𝒓𝒎𝒆
Optique
Système optique :
𝑃𝑓 ′ −4𝑃𝑓 ′ −4𝑓′²
−𝑂𝐴1 = 𝑃+𝑓′
𝟑𝑷 + 𝟒𝒇′ 𝒇′
𝑶𝑨₁ =
𝑷 + 𝒇′
45
3𝑃 +4𝑓 ′ 𝑓′²
𝑂𝐴₁𝑓′ 𝑃 +𝑓′ 3𝑃+4𝑓 ′ 𝑓′ 3𝑃+4𝑓 ′ 𝑓′
OA₂=𝑓 ′ −𝑂𝐴₁ = 3𝑃 +4𝑓 ′ 𝑓′
= =−
𝑓 ′− −2𝑃−3𝑓′ 2𝑃+3𝑓′
𝑃 +𝑓′
19) la condition à laquelle doit satisfaire pour que AB et A₂B₂ soient dans
le même plan est :
C'est-à-dire 2P²+3Pf′=-3Pf′-4f′²
Donc : 2P²+6Pf′+4f′²=0
𝑂𝐴′ 𝑂𝐴₂
Alors : 𝛾 = × 1 × 𝑂𝐴₁
𝑂𝐴
Chimie
Structure de la matière :
On a Ψ est. un fonction d’onde de l’atome de hydrogène dépend de trois nombre
quantique n ;l et m qui la déterminent parfaitement tels que , 𝛹𝐧,𝐥,𝐦 avec :
n : nombre quantique principale , il prend les valeurs 1.2.3 ….n∈ 𝑁 .
l :nombre quantique secondaire il prend les valeurs 0.1.2.3 ..(n -1)
donc : 0≤ 𝑙 ≤𝑛−1
m :nombre quantique magnétique ,il prend le valeur -l, ….,+l .
donc : −𝑙 ≤ 𝑚 ≤ +𝑙
46
21) Pour un même électron ,le triplet possible de nombre quantique est :
Pour n=2 ⇒ 0 ≤ 𝑙 ≤ 𝑛 − 1 ⇒ 0 ≤ 𝑙 ≤ 1 ⇒ 𝑙 = (0 ; 1)
Et – 𝑙 ≤ 𝑚 ≤ 𝑙 ⇒ −1 ≤ 𝑚 ≤ 1 𝑑𝑜𝑛𝑐: 𝑚 = (−1; 0; 1)
Pour n=3 ⇒ 0 ≤ 𝑙 ≤ 2 ⇒ l=(0 ,1,2)
et −1 ≤ 𝑚 ≤ 1 𝑑𝑜𝑛𝑐: 𝑚 = (−1,0,1)
47
3−0,3
Alors : 𝐸1𝑆 = −13,6 = −99,144 𝑒𝑉
1
3−2×0,85
𝐸2𝑠 = −13,6( ) =-15 ,72 Ev
2
Avec : 𝒁∗ = 𝒁 − 𝝇𝒊 = 𝟑 − 𝟎 × 𝟎, 𝟑𝟓 + 𝟐 × 𝟎, 𝟖𝟓 = 𝟏, 𝟑
𝟏,𝟑 𝟐
Donc : 𝑰 = 𝟏𝟑, 𝟔 = 𝟓, 𝟕𝟔𝟒 𝒆𝑽 = 𝟓, 𝟕𝟓 𝐞𝐕
𝟐
48
49
Alors :
1 𝐶1 𝑉1 𝐶2 𝑉2
pH=- 2 log(Ka1 ( ) + Ka2 ( )) avec :
𝑉𝑇 𝑉𝑇
𝐶1 𝑉1 𝑛1 𝐶2 𝑉2 2.10 −2
= = =𝑐= = 0.1 mol/ L
𝑉𝑇 𝑉𝑇 𝑉𝑇 0.2
Donc :
1
PH=- 2 log(c (Ka1 + Ka2)) A.N pH = 2, 35
Préparation d’ un tampon:
31) On mélange une solution d’acide chlorhydrique de 𝑪𝟏 𝟎. 𝟏 𝒎𝒐𝒍 𝒆𝒕 une solution
d’acétate de sodium de 𝑪𝟏 = 𝟎, 𝟐 𝒎𝒐𝒍 , on veut préparer un
𝑽𝑻 = 𝟏𝑳 𝒅′ 𝒖𝒏𝒆 𝒔𝒐𝒍𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒕𝒂𝒎𝒑𝒐𝒏 𝒑𝑯 = 𝟓.
On la réaction de ce mélange est :
𝐻𝐶𝑙 + 𝐶𝐻3 𝐶𝑂2− 𝐶𝐻3 𝐶𝑂2 𝐻 + 𝐶𝑙 −
A t=0 𝑪 𝟏 𝑽𝟏 𝑪 𝟐 𝑽𝟐 - -
A t=tf 𝑪𝟐 𝜀𝑽𝟐 - 𝑪𝟏 𝑽𝟏 𝑪𝟏- 𝑽𝟏
Déterminons 𝑉1 𝑒𝑡 𝑉2 :
𝐶2 𝑉2 − 𝐶1 𝑉1
On a: 𝑙𝑜𝑔( ) = pH - 𝑝𝑘𝑎
𝐶1 𝑉1
𝐶2 𝑉2 − 𝐶1 𝑉1
Alors: = 10𝑝𝐻 − 𝑝𝑘 𝑎 ❶
𝐶1 𝑉1
𝑉1 + 𝑉2 = 1𝐿 ❷ 𝑉1 = 1 − 𝑉2
On remplace dans ❶ :
50
𝐂𝟐 (𝟏− 𝐕𝟐 )− 𝐂𝟏 𝐕𝟏 𝐂𝟐 −𝐂𝟐 𝐕𝟏 − 𝐂𝟏 𝐕𝟏 𝐂𝟐 𝐂𝟐
= 𝟏𝟎𝐩𝐇 − 𝐩𝐤𝐚 = =𝐂 − −𝟏
𝐂𝟏 𝐕𝟏 𝐂𝟏 𝐕𝟏 𝟏 𝐕𝟏 𝐂𝟏
𝐂𝟐 𝐂𝟐 𝐂𝟐
= 𝟏𝟎𝐩𝐇 – 𝐩𝐤𝐚 + +𝟏 𝐕𝟏 = 𝐂
𝐂𝟏 𝐕𝟏 𝐂𝟏 𝐂𝟏 (𝟏𝟎𝐩𝐇 – 𝐩𝐤𝐚 + 𝟐 +𝟏 )
𝐂𝟏
𝟎.𝟐
𝐕𝟏 = 𝟎.𝟐
𝟎.𝟏 (𝟏𝟎 𝟓–𝟒.𝟖 + +𝟏 )
𝟎.𝟏
𝐕𝟏 =0.436 L
𝐕𝟐 =0.564 L
On a :
NaOH de
concentration 𝑪𝒃 et de
volume 𝒗𝒃
HCl de concentration
𝑪𝒂 et de volume 𝒗𝒂
51
𝑪𝒃 𝑽𝒃 𝑪𝒂 𝑽𝒂 𝑪𝒂 𝑽𝒂 −𝑪𝒃 𝑽𝒃
= 𝝀˚𝑵𝒂+ + 𝝀˚𝑪𝒍− + 𝝀˚𝑯𝟑 𝑶+
𝑽𝒃 +𝑽𝒂 𝑽𝒃 +𝑽𝒂 𝑽𝒃 +𝑽𝒂
Donc :
𝑪 𝒃 𝑽𝒃 𝑪 𝒂 𝑽𝒂
𝜍 = (𝝀˚𝑵𝒂+ − 𝝀˚𝑯𝟑 𝑶+ ) + (𝝀˚𝑪𝒍− + 𝝀˚𝑯𝟑 𝑶+ )
𝑽𝒃 + 𝑽𝒂 𝑽𝒃 + 𝑽𝒂
Donc :
𝐶𝑏 𝑉𝑏 𝐶𝑎 𝑉𝑎
𝜍 = (𝜆˚𝑁𝑎 + + 𝜆˚𝑂𝐻 − ) + (𝜆˚𝐶𝑙 − − 𝜆˚𝑂𝐻 − )
𝑉𝑏 + 𝑉𝑎 𝑉𝑏 + 𝑉𝑎
34 ) L’expression de la conductivité en fonction du volume
𝐕𝐛 𝐝𝐞 𝐛𝐚𝐬𝐞 𝐯𝐞𝐫𝐬é 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐥′ 𝐞𝐪𝐮𝐢𝐯𝐚𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐬𝐭:
𝑉
𝜍 = 8.52𝑚𝑆𝑐𝑚−1 – 1.5 𝑆𝑐𝑚−4 (𝑐𝑚𝑏3 )
𝑜𝑟 𝑜𝑛 𝑎 ∶ [ 𝐻3 𝑂+] ≈ [𝑂𝐻 −]
𝐶𝑏 𝑉𝑒𝑞
𝜍 = (𝜆˚𝑁𝑎 + + 𝜆˚𝐶𝑙 − ) A.N: 𝜍 = 2.52 . 10−3 𝑆𝑐𝑚−1
𝑉𝑏 +𝑉𝑎
de calcium à 25°c :
Les réactions mise en jeu sont :
𝐶𝑎(𝐼𝑜3 )2 ⇔ 𝑐𝑎2+ + 2 𝐼𝑜3−
Kcl ⇒ 𝐾 + + 𝐶𝑙 −
1 𝑆 𝑆 1 1 1
Et on a G = 𝑅 = 𝜍 ⇒ = = =𝑅
𝑙 𝑙 𝑅𝜍 𝑅𝑟é𝑓 𝜍 𝑟é𝑓 𝐶𝑎 (𝐼𝑜 3 )2 𝜍 𝐶𝑎 (𝐼𝑜 3 )2
52
𝑹𝒓é𝒇 𝝇𝒓é𝒇
Donc 𝝇𝑪𝒂(𝑰𝒐𝟑 )𝟐 = 𝑹
𝑪𝒂(𝑰𝒐𝟑 )𝟐
=S 𝜆𝑐𝑎 2+ + 2𝜆𝐼𝑜 3−
𝜍 𝐶𝑎 𝐼𝑜 3 2 𝑅 𝜍 𝑟é𝑓
S=𝜆 avec 𝜍𝐶𝑎 𝐼𝑜 3 2 = 𝑅 𝑟é𝑓
𝑐𝑎 2+ +2𝜆 𝐼𝑜
− 𝐶𝑎 (𝐼𝑜 3 )2
3
𝑹𝒓é𝒇 𝝇𝒓é𝒇
Donc : S=
𝑹𝑪𝒂(𝑰𝒐𝟑 )𝟐 𝝀𝒄𝒂𝟐+ +𝟐𝝀𝑰𝒐−
𝟑
Et :
0,06
𝐸2 = 𝐸2° + log 𝐴𝑔+ 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝐴𝑔+ =0,1 𝑚𝑜𝑙/𝐿
1
0,06
𝐸2 =0,799 + log 0,1 = 0,739 𝑉
1
𝐸2 = 𝐸 𝐴𝑔 + = 0,739 𝑉
𝐴𝑔
53
39). La différence de potentiel qu’il faut appliquer entre ses électrodes est :
U>1,02 V pour utiliser cette cellule comme électrolyseur.
Donc :
0,06
𝐸1 = 𝐸1° + log 𝑁𝑖 2+ = - 0, 33𝑉
2
0,06
𝐸2 = 𝐸2° + log 𝐴𝑔+ = 0,67𝑉
1
54
Chapitre II :
55
A-Electricité
On dispose d'une bobine B que l'on assimilera à l'association en série d'une inductance L
et d'une résistance r ( L et r sont des constantes positives indépendantes de la fréquence).
1. Détermination de r.
La bobine est parcourue par un courant i(t).
Exprimer la tension u(t) à ses bornes en fonction de r, L, i(t) et de sa dérivée par
rapport au temps.
𝑑𝑖 (𝑡)
On a : U(t)=𝑈𝑟 + 𝑈𝐿 𝑒𝑡 𝑈𝑟 = 𝑟 𝑖 𝑡 𝑒𝑡 𝑈𝐿 = 𝐿 𝑑𝑡
𝒅𝒊(𝒕)
Alors : 𝑼 𝒕 = 𝒓𝒊 𝒕 + 𝑳 𝒅𝒕
40 × 1
𝐴. 𝑁: 𝑟= − 2 − 40 = 𝟐𝟗, 𝟒𝛀.
0,56
56
b) 𝑈𝑒 = 5𝑉, 𝑈𝑅 = 2,5𝑉
𝑈𝑅 2,5
On a :𝑈𝑅 = 𝑅𝐼 ⇒ 𝐼 = = = 𝟔, 𝟐𝟓 𝟏𝟎−𝟐 𝑨
𝑅 40
57
2𝜋
Donc : 𝛷 = 𝝉 avec 𝝉 𝒆𝒈𝒂𝒍𝒆 ∶
𝑇
6div 1ms
𝟐 𝟏
2div 𝝉 donc : 𝝉=𝟔 𝒎𝒔=𝟑 𝒎𝒔
𝟐𝝅 𝟐𝝅 𝟏 𝝅
Alors : 𝜱= 𝝉= ×𝟑= ≅ 𝟎, 𝟓𝟐𝒓𝒂𝒅
𝑻 𝟒 𝟔
2 1
⇒ 𝑍𝐴𝑀 = 𝑍𝐴𝑀 = 𝑅+𝑟 + (𝐿𝜔 − 𝐶𝜔 )²
A .N : r=29,3 ; L=0,066H
58
B-Mécanique
𝑑𝑂𝑀 𝑑𝑢 𝑟
𝑣= =𝑙
𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝑃 + 𝑇 = 𝑚𝑎
𝑃 = 𝑚𝑔𝑖 = 𝑚𝑔(𝑐𝑜𝑠𝜃 𝑢𝑟 − 𝑠𝑖𝑛𝜃𝑢𝜃 )
𝑇 = −𝑇𝑢𝑟
𝑚𝑔 𝑐𝑜𝑠𝜃 − 𝑇 = −𝑚𝑙𝜃²
−𝑚𝑔 𝑠𝑖𝑛𝜃 = 𝑚𝑙𝜃
1-3 :L’équation différentielle du second ordre vérifie par𝜽.
𝑔
−𝑚𝑔 𝑠𝑖𝑛𝜃 = 𝑚𝑙𝜃 ⇒ 𝜃 + 𝑙 𝑠𝑖𝑛𝜃 = 0
𝑔 𝑔
est la pulsation propre : 𝜔0 ² = ⇒ 𝜔0 =
𝑙 𝑙
59
𝒈
L’expression de 𝜃 𝑡 : 𝜽 𝒕 = 𝜽𝟎 𝐜𝐨𝐬(𝝎𝟎 𝒕) = 𝜽𝟎 𝐜𝐨𝐬
( t)
𝒍
𝒅𝜽 𝟐 𝒈
+2 𝒍 (𝒄𝒐𝒔𝜽𝟎 − 𝒄𝒐𝒔𝜽)=0
𝒅𝒕
1
En intégrant sur 4 𝑑′ 𝑢𝑛𝑒 𝑝é𝑟𝑖𝑜𝑑𝑒 𝑇 alors :
𝑇
𝜃0 𝜃0
4 𝑙 𝑑𝜃0 𝑇 𝑙 𝑑𝜃
𝑑𝑡 = ⇒ =
0 2𝑔 0 (𝑐𝑜𝑠𝜃 − 𝑐𝑜𝑠𝜃0 ) 4 2𝑔 0 (𝑐𝑜𝑠𝜃 − 𝑐𝑜𝑠𝜃0 )
Donc :
𝒍 𝜽𝟎 𝒅𝜽
T(𝜽𝟎 ) = 𝟒 𝟐𝒈 𝟎 (𝒄𝒐𝒔𝜽−𝒄𝒐𝒔𝜽𝟎 )
60
2-4) pour mesurer le temps T nécessaire pour que le pendule fasse une
oscillation, deux méthodes à votre disposition .
La première consiste à mesurer l’intervalle de temps à l’aide d’un chronomètre.
La deuxième méthode consiste à visualiser les oscillations du pendule et à mesurer la
période à l’aide de l’oscilloscope .
3) oscillateur amorti.
𝑓 = −𝛼 𝑣 = −𝛼𝑙𝜃 𝑢𝜃 𝑒𝑡 𝑇 = −𝑇 𝑢𝑟
On a aussi :𝑎 = 𝑙𝜃𝑢𝜃 − 𝑙𝜃²𝑢𝑟
𝜏 𝑅𝑒𝑝𝑟é𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑥𝑖𝑜𝑛 , 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑠𝑡 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑦𝑠𝑡é𝑚𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑎𝑚𝑜𝑟𝑡𝑖.
Donc l’équation différentielle du second ordre vérifie par 𝜃 𝑒𝑠𝑡:
𝟐
𝜽 + 𝜽 + 𝝎²𝟎 = 𝟎
𝝉
3-2) Condition obtient-on un régime pseudopériodique .
2
L’équation caractéristique : r²+𝜏 𝑟 + 𝜔² = 0
1 1
La solution de l’équation caractéristique :𝑟12 = − 𝜏 ∓ 𝑖 𝜔²0 − 𝜏²
𝟏 𝟐𝝅
Pseudo-pulsa on :𝝎 = 𝝎²𝟎 − 𝝉² 𝑒𝑡 𝑝𝑠𝑒𝑢𝑑𝑜-période :𝑻 = 𝟏
𝝎²𝟎 −
𝝉²
61
3-3)Calcule de 𝝉 𝒆𝒕 𝜶.
𝑡 𝑡+𝑇
𝜃 𝑡 = 𝐴𝑒𝑥𝑝 − cos 𝜔𝑡 + 𝜑 𝑒𝑡 𝜃 𝑡 + 𝑇 = 𝐴𝑒𝑥𝑝 − 𝑐𝑜𝑠 𝜔(𝑡 + 𝑇)
𝜏 𝜏
Or : 𝑐𝑜𝑠 𝜔(𝑡 + 𝑇) = cos 𝜔𝑡 + 𝜔𝑇 + 𝜑 = cos 𝜔𝑡 + 𝜑 + 2𝜋 = cos
(𝜔𝑡 + 𝜑)
−𝑡 −𝑇 𝑇
Alors :𝜃 𝑡 + 𝑇 = 𝐴𝑒 𝜏 × 𝑒 𝜏 × cos 𝜔𝑡 + 𝜑 ⇒ 𝜃 𝑡 + 𝑇 = 𝜃(𝑡)𝑒 − 𝜏
Donc le décrément logarithmique :
𝜃 (𝑡) 1 𝑇 𝜃
𝛿 = 𝑙𝑛 𝜃(𝑡+𝑇) = 𝑙𝑛 𝑇 = 𝜏 = 𝑙𝑛 𝜃𝐵
exp − 𝐶
𝜏
𝜃
T=𝑇𝐶 − 𝑇𝐵 = 1,1𝑠 𝑒𝑡 𝛿 = 𝑙𝑛 𝜃𝐵 = 0,11 𝑠
𝐶
𝑇 2𝑚
Donc : 𝜏 = 𝛿 = 10𝑠 𝑒𝑡 𝛼 = = 94 𝑔𝑠 −1
𝜏
62
Chimie
1-1- Donner le nombre d’oxydation de l’azote dans chacun des oxydes
d’azote suivants :
NO3-, NO2, HNO2 et NO.
1-2-
a- Ecrire l’équation bilan de la réaction d’équilibre acido-basique de l’acide nitreux sur
l’eau.
Ka =[NO2-][H3O+] / [HNO2].
1-3-
a- Ecrire la demi-équation de transfert électronique et relation de Nernst
63
K = [H+]2[NO3-][NO2-] / P2NO2.
Calculer, à partir des données, la valeur de K à 25 °C.
A pH >pKa, la forme base NO2- est majoritaire par rapport à la forme acide
HNO2.
64
2- Thermochimie:
2-1- Quel nom porte la grandeur ∆fH0
Il s’agit de l’enthalpie standard de formation de NO(g).
65
c c 3 108
cT f 6,38 1013 Hz 63830 GHz
f 4,70 .10 6
3)
1 1
Ec mA v *2
A mB vB*2 et on sait que v r * alors :
2 2
Ec
m r2
A A mB rB2
2
2
66
4) On a
Ec
1
mA rA2 mB rB2 2
2
2 2
alors mA rA mB rB
mB mA
rA r et rB r
mA mB mA mB
Finalement :
mA rA2 mB rB2
2 2
mB mA
mA r mB r
mA mB mA mB
mB2 mA2
mA r mB
2
r2
mA mB mA mB
2 2
mA mB mA mB
r2
mA mB
2
mA mB 2
r
Donc : mA mB
mC mO 2
r
5) La valeur de I du monoxyde de carbone CO :
mC mO
MC MO MC MO
mC et mO r2
NA NA
on remplace dans I
C O A
M M N
12.103 16.103
(0,115.109 )2 1,51.1046 Kgm2
12.10 3
16.10 3
6,02.10 23
46
Donc 1,51.10 Kgm2
67
2 3 6,63.1034
f 334 GHz
8 2 1,51.1046
3.108
c
d’onde f 4,7.106 6,38.10 Hz 63,8.10 GHz
13 3
J( J 1) h 8 2 .
On a 6,38.10 Hz J( J 1)
13
1145
8 2 h
9) Le texte indique qu’on néglige toute autre interaction que celle due au
ressort
68
10)
k(re r0 ) 0 re r0
* mA mB
12) On a déjà vu que GB r u r u et GA r *
u r ux
mA mB mA mB
B x x A x
D’où en dérivant deux fois par rapport au temps et on trouve les accélérations :
mA d 2 r mB d 2 r
aB ux et aA ux
mA mB dt 2 mA mB dt 2
mA d 2 r
Les deux résultats sont identiques : k(r r0 ) mB m m dt 2
A B
mB mA d 2 X
Puisque r0=re alors kX
mA mB dt 2
69
mB mA d 2 X mB mA d2 X
14) On a kX et on pose k X
mA mB dt 2 mA mB alors dt 2
d2 X k K K (mA mB )
X 0 on pose 0
dt 2
mA mB
Alors X rM r0 cos(0t)
K K (mA mB )
15) On a 0
mA mB et on sait que 0 2 alors :
K
2 K 4 2 2 4 2 (63,8.1012 )2 1,14.1026
K 1,83.103 Nm1
16) Le référentiel barycentrique, dans lequel on travaille reste galiléen .en effet
si on applique le théorème de la résultante cinétique au système complet
q E q E (m m ) a G /R Labo a G /R Labo 0
(A+B) on obtient :
A
B A B
nul puisque qA qB 0
mA d 2 r mA d 2 r
k (r r0 ) qE mB k X qE mB
mA mB dt 2 Soit mA mB dt 2
X
70
m m mA mB
Donc 0 K m m 0 K
2 A B
A B
mA mB
d2 X mA mB
0
2
X q E0 exp jt avec X en exp( jt)
dt 2 mA mB
Alors
mA mB q mA mB
j X 02 X q E0 exp jt X E0 exp jt
2
mA mB mA mB 02 2
q mA mB
X max E0
Donc l’amplitude cherchée vaut : mA mB 02 2
18)
71
c 3.108
Lmax 1.106 m 1000 Km
fmin 300
c 3.108
Lmin 6,67.104 m 66,7 Km
fmax 4500
Donc 66 Km L 1000 Km
La taille de l’antenne est de plusieurs dizaines de Km ce qui est irréalisable.
20) Détermination l’expression de l’ indice de modulation m .
On a :s(t)=ke(t)P(t)+P(t)
Avec : e(t)=𝐴𝑚 cos(2𝜋𝑓𝑚 𝑡)
𝑒𝑡 𝑃 𝑡 = 𝐴𝑃 cos(2𝜋𝑓𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑡)
𝑠 𝑡 = 𝐴𝑃 (1 + 𝑚 cos(2𝜋𝑓𝑚 𝑡)) cos(2𝜋𝑓𝑚 𝑡)
Et price que : s(t)=(ke(t)+1)P(t) donc :
𝑠(𝑡) = (𝑘𝐴𝑚 cos 2𝜋𝑓𝑚 𝑡 + 1)𝐴𝑝 cos(2𝜋𝑓𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑡)
= 𝐴𝑝 (1 + 𝑚 cos 2𝜋𝑓𝑚 𝑡 ) cos(2𝜋𝑓𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑡)
Donc : m= 𝒌𝑨𝒎
21) Détermination de la valeur de 𝒇𝒑𝒐𝒓𝒕 ,𝒇𝒎 𝒆𝒕 𝒎.
𝑚𝐴𝑝
𝑑𝑜𝑛𝑐: 𝑓𝑝𝑜𝑟𝑡 , 𝐴𝑝 ; 𝑓𝑚 + 𝑓𝑝𝑜𝑟𝑡 ; 𝑓𝑚 + 𝑓𝑝𝑜𝑟𝑡 ,
2
signal s(t) :
On a :𝑓𝑚𝑎𝑥 = 𝑓𝑝 + 𝑓𝑚 2 = 185 + 4,5 = 189,5 𝐾𝐻𝑧
𝑓𝑚𝑖𝑛 = 𝑓𝑝 − 𝑓𝑚 2 =185-4,5=180,5 KHz
Donc : BP=𝒇𝒎𝒂𝒙 -𝒇𝒎𝒊𝒏 =189,5-180,5=9 KHz
P(t) = 𝐴𝑝 cos(2𝜋𝑓𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑡)
On a : s′ (t)=k s(t)p(t)
s′ (t)=K𝑨𝑷 (1+m𝐜𝐨𝐬(𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕)) 𝐜𝐨𝐬( 𝟐𝝅𝒇𝒑 𝒕) × 𝐴𝑝 𝒄𝒐𝒔(𝟐𝝅𝒇𝒑 𝒕)
= K𝑨𝑷 ²(1+m 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕)) 𝐜𝐨𝐬²(𝟐𝝅𝒇𝒑 𝒕)
=K𝑨𝑷 ² 𝐜𝐨𝐬²(𝟐𝝅𝒇𝒑 𝒕)(1+m 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕))
𝒄𝒐𝒔 𝟒𝝅𝒇𝒑 𝒕 +𝟏
=K𝑨𝑷 ²( )(𝟏 + 𝐦 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕))
𝟐
𝑲𝑨𝟐𝑷
= 𝟏 + 𝒄𝒐𝒔 𝟒𝝅𝒇𝒑 𝒕 (𝟏 + 𝐦 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕))
𝟐
𝑲𝑨𝟐𝑷
= (𝟏 + 𝐦 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕)) + 𝒄𝒐𝒔 𝟒𝝅𝒇𝒑 𝒕 + 𝒎𝒄𝒐𝒔 𝟒𝝅𝒇𝒑 𝒕 𝒄𝒐𝒔 𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕
𝟐
𝑲𝑨𝟐𝑷 𝒎𝑲𝑨𝟐𝑷 𝑲𝑨𝟐𝑷
= + 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕) + 𝒄𝒐𝒔 𝟒𝝅𝒇𝒑 𝒕 +
𝟐 𝟐 𝟐
𝒎𝑲𝑨𝟐𝑷
𝒄𝒐𝒔 𝟒𝝅𝒇𝒑 𝒕 𝒄𝒐𝒔 𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕
𝟐
73
𝑲𝑨𝟐𝑷 𝒎
26) Le spectre du signal d(t) : ( 𝒇𝒎 , )
𝟐
𝑲𝑨𝟐𝑷 𝑲𝑨𝟐𝑷 𝒎
on a : a(t)= et a(t)= 𝒄𝒐𝒔 𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕
𝟐 𝟐
𝒅(𝒕)
e(t)= =𝑨𝒎 𝒄𝒐𝒔(𝟐𝝅𝒇𝒎 𝒕)
𝑲𝒂(𝒕)
𝜶′
Donc : 𝜶 = 𝜽𝒎 = =0,26’
𝑮𝜶
74
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
− 𝑶₂𝑶₁ = 𝒇′₂ = 𝑷′₁ − 𝑷₁
𝑶₂𝑨′
𝒇′₂𝑷
P′=𝒇₂′+𝑷₁ avec P=f′+f′=125mm et f′=20mm
Donc : P′=17,4mm
31) Le diamètre 𝑫′𝟏 de l’image de la monture de 𝑳𝟏 par 𝑳𝟐 est :
𝑃₁′
On a G=d /4 = P₁′/P₁ ⇒d=4 𝑃₁ = 𝐷₁′
17,4
A .N : D₁′=4× 125 = 5,1𝑚𝑚
32) La distance d faut-il déplacer l’oculaire pour obtenir une image nette de
1 1 1
On a : 𝑂₁𝐴₁ − 𝑂₁𝐴 = 𝑓′₁ avec O₁A₁=f₁′+d
1 1 1 f₁′𝑂₁𝐴
Alor = 𝑂₁𝐴 + 𝑓′₁⇒ f₁′+d=f₁′+𝑂₁𝐴
f₁′+d
115×10 −3 ×(−50)
A .N : d= − 115 = 0,27𝑚𝑚
115×10 −3 −50
𝑳𝟏 est :
π
On a D′≅ 𝜃 × f 1′ ≅ 2,5 × 180 × 115 ≅ 5 mm
75
Chimie
Partie1 : Solutions aqueuses.
1-1- Acido-basicité du dioxyde de carbone dissout.
34) on a la réaction de couple CO₂(d)/HCO₃⁻
CO₂+2H₂O=HCO₃⁻+H₃O⁺
𝐇𝐂𝐎𝟑− .[𝐇₃𝐎⁺]
Kᴀ₁= Avec pKᴀ₁=6
𝐂𝐎𝟐
[𝑯𝑪𝑶₃⁻]
Donc : -logKᴀ₁=-log[H₃O⁺]-log [𝑪𝑶₂]
[𝑯𝑪𝑶₃⁻]
pKᴀ₁=pH- log [𝑪𝑶₂]
[𝑯𝑪𝑶₃⁻]
pH= pKᴀ₁+ log [𝑪𝑶₂]
[𝑯𝑪𝑶₃⁻]
pH= 6+ log [𝑪𝑶₂]
-2ᵉᵐᵉ réaction :
HCO₃⁻+H₂O=CO₃²⁻+H₃O⁺ avec :pKᴀ₂=10
𝐶𝑂 2− . 𝐻 3 𝑂 + [𝐶𝑂₃²⁻]
Kᴀ₂= danc :pKᴀ₂=pH-log [𝐻𝐶𝑂₃⁻]
[𝐻𝐶𝑂₃⁻]
[𝐶𝑂₃²⁻] [𝐶𝑂₃²⁻]
pH=10+ log [𝐻𝐶𝑂₃⁻] Si pH<10 on trouve : log [𝐻𝐶𝑂₃⁻]<0
donc :[CO₃²⁻]<[HCO₃⁻]
𝑛 𝑚 𝐶(𝑚𝑎𝑠𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒 )
On a : n=c ·v → c=𝑉 =𝑀.𝑉 = 𝑀
𝐶𝑂 2− . 𝐻 3 𝑂 +
Et on a Kᴀ₂= et pH=-log[H₃O⁺]
[𝐻𝐶𝑂₃⁻]
[𝐶𝑂₃²⁻] 𝑛 (𝑐𝑜₃²⁻)
Donc : Kᴀ₂=10⁻ᵖᴴ.[𝐻𝐶𝑂₃⁻] → Kᴀ₂=10⁻ᵖᴴ.𝑛(𝐻𝐶𝑂₃⁻) sachant que pKᴀ=-logKᴀ
76
10⁻ᵖᵏᴀ₂ 𝐶 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒
n(CO₃²⁻)= 10⁻ᵖᴴ ·n(HCO₃⁻)=10ᵖᴴ⁻⁻ᵖᵏᴬ²∙ ∙M(CO₃²⁻)
𝑀(𝐻𝐶𝑂 3− )
𝑀(𝐶𝑂₃²⁻)
C(massique de CO₃²⁻)=10ᵖᴴ⁻⁻ᵖᵏᴬ² ·𝑀(𝐻𝐶𝑂₃⁻)·C(massique de HCO₃⁻)
430×60
A .N : C (massique)=10⁻³ × ≅ 𝟎 ∙ 𝟒𝟎𝟑𝒎𝒈/𝑳
61
HCO₃⁻+H₂O=H₃O⁺+CO₃²⁻→HCO₂⁻est un acide
HCO₃⁻ est un ampholyte
HCO₃⁻+H₂O=OH⁻+H₂CO₃→HCO₂⁻ est une base
Le pH est basique ,il y a apparition des ions CO₃⁻que réagissent avec les ions Ca²⁺ : car son
pH >7.
38) Le fonctionnement de la pile envisagée suppose l’oxydation d’un
basique:
40) on réalise une pile utilisant des électrodes de platine ,les ‟combustibles”
77
( CO₃²⁻+8H⁺+6e⁻ CH₃OH+2H₂O)× 𝟏
(H₂O₂+2H⁺+2e⁻ 2H₂O)× 𝟑
CH₃OH + 3H₂O₂ ⇋ CO₃²⁻+ 4H₂O+ 2H⁺
78
𝑇₁ ∆𝐶𝑝
∆ᵣ𝑆 ̊(400𝐾) = ∆ᵣ𝑆 ̊(298𝐾) + 𝑇₀ 𝑇
𝑑𝑇
= −3.47 𝐽 𝐾 −1 𝑚𝑜𝑙 −1
Donc : ∆ᵣ𝑆 ̊(400𝐾) = −129.2 𝐽𝐾⁻¹𝑚𝑜𝑙⁻¹
donc : K₁ ̊= 0.245
79
1−𝛼 1−𝛼 𝛼
Pᵢ à 𝑡𝑒𝑞 𝑃𝑡 𝑃𝑡 𝑃𝑡 𝑃𝑡
2−𝛼 2−𝛼 2−𝛼
𝛼 𝑒𝑞 (2−𝛼 𝑒𝑞 )²
a l’ équilibre : K ̊=(2−𝛼 𝑃 × (1−𝛼 P̊
𝑒𝑞 ) 𝑡 𝑒𝑞 )²𝑃𝑡 ²
𝛼 𝑒𝑞 (2−𝛼 𝑒𝑞 ) 𝑃°
= (𝑃) avec P= 𝑃𝑡
(1−𝛼 𝑒𝑞 )²
𝑃°
K°( 𝑃 ) 1 − 𝛼𝑒𝑞 ₁ = 𝛼𝑒𝑞₁ 2 − 𝛼𝑒𝑞₁ = 2𝛼𝑒𝑞 ₁ − 𝛼²𝑒𝑞 ₁
𝑃° 𝑃°
→ K°( 𝑃 ) − K° 𝛼𝑒𝑞 ₁ = 2𝛼𝑒𝑞 ₁ -𝛼²𝑒𝑞 ₁
𝑃
𝑃° 𝑃°
𝛼²𝑒𝑞 ₁ -(2+ K°( 𝑃 )) 2𝛼𝑒𝑞 ₁ + K°( 𝑃 )=0
80
Composé A :
CH₃-CH₅-CH₂-C(CH₃)(OH)-CH₂-CH₃
81
CH₃
CH₃-CH₂-CH₂-³C-²CH₂-¹CH₃
Br
Donc le nom de se composée : 3-Bromo 3-méthyl Hexane
58) ce produit optiquement actif car la molécule est chirale
Parce que il présent un C˟.
59) le composé A est chauffé en présence d’acide ortho phosphorique .la
formule brute produit minoritaire obtenu est : (B) car :
H₁ - CH₂
CH₃-CH₂-CH-C-CH-CH₃
Hᵦ Br Hᵢ
L’alcène minoritaire est le moins substitute selon Zaytsev. Dépend H₁-Br.
Donc :
CH₃-CH₂-CH₂-C=CH₃
CH₂CH₃
82
Partie chimie
A-structure de la matière
1) Les configurations des atomes d’azote (Z=7), d’oxygène (Z=8) et du
phosphore (Z=15) dans leurs états fondamentaux :
N (Z=7) : 1s22s22p3
O (Z=8) : 1s2s22p4
P (Z=15) : 1s22s22p63s23p3
2) La représentation de Lewis de l’ion nitrate NO3- :
83
-
NO3 : Triangle plan AX3
B-Equilibre acido-basique
84
cav 1000 0 ( NH 4 )
NH 4 0 ( Cl )
Cl
1000 0 ( NH 4 ) CaVa 0 ( Cl )
CaVa
1000 Ca 0 ( NH 4 )
0 ( Cl ) V a
cap 1000Ca 0 ( Cl )
0 ( H 3O ) V C V
a b b 0 ( H 3O ) 0 ( NH 4 )
7) D’après la courbe le volume à l’équivalence est : VaE=9ml
CaVa E 0,1 9
CaVaE CbVb Cb 0, 09 mol / L 0,9 101 mol / L
Vb 10
C-Equilibre de complexassions
85
1
pK d1 =-log(K d1 )=-log =4,2
β1
β
pK d2 =-log(K d2 )=-log 1 =3,4
β2
β
pK d3 =-log(K d3 )=-log 2 =3
β3
β
pK d4 =-log(K d4 )=-log 3 =2
β4
11)
86
20 1
c(NH3 ) NH3 0,5 mol / L d'où pNH3= -log 0,5 = 0,3 cette
12) 20 20
valeur inférieure à 2. D'après le diagramme de répartition ci-dessus,
Cu(NH3)42+ est majoritaire.
20 0,01
c Cu(NH3 )24 Cu(NH3 )24 0,005 mol / L
20 20
87
D-Equilibre d’oxydoréduction
88
Ke Ke
HO . H3 0 Ke HO
On sait que H3 0 10 pH
0,06 K
2 2
E '(Cu / Cu) E (Cu / Cu) log s
2
2
HO
E '(Cu2 / Cu) E (Cu2 / Cu) 0,03 log K s 0,03log OH
2
E '(Cu2 / Cu) E (Cu2 / Cu) 0,03 log K s 0,06log OH
Ke Ke
HO
Or on sait que H3 0 10 pH
K
E '(Cu2 / Cu) E (Cu2 / Cu) 0,03 log K s 0,06log epH
10
89
1014
0,08 0,34 0,06log 9
log K s 10 K s 2,15 1019
0,03
E-Thermodynamique chimique
90
Partie physique
A-Mécanique
91
23)
92
24)
25)
93
26)
27)
28)
29)
94
30)
31)
95
B-Optique
32)
33)
34)
35)
96
36)
37)
97
38)
98
C-Electromagnétisme
39)
40)
99
41)
42)
100
44)
101
102
45)
46)
103
47)
48)
49)
104
50)
105
106
Conclusion
En effet, dès qu’on s’est fixé cet objectif, nous nous sommes penchés sur la recherche et la
collecte des épreuves des années 2012 à 2013, malheureusement quelques-unes sont scannées
et imprésentables, ce qui nous a poussé à les saisir sur Word, ceci nous a pris beaucoup de
temps surtout dans l’écriture des équations et des figures.
Parmi les difficultés que nous avons rencontrées, lors de la réalisation de ce mémoire, nous
citons :
- La non disponibilité des épreuves du concours sous format Word ou PDF, vu la
contrainte du temps nous n’avons pas pu saisir toutes ces épreuves sur PC et nous nous
sommes contentés de placer ces textes papier en annexe.
- L’ambiguïté et la difficulté de certaines questions et sans l’aide de nos professeurs nous
n’aurions pas y répondre.
- La difficulté à saisir les équations et à faire les différents schémas qui interviennent dans
les questions.
107
Bibliographie :
108
LES ANNEXES
109