Il étire un peu plus ses lèvres en posant son glaive sur le comptoir, sortit de son

fourreau, tout en fouillant dans une sacoche a l’arrière de sa ceinture. Il en

tireras une pierre a aiguiser et commenceras doucement a passer le cailloux le long
du fil de l'arme. Il dévie doucement son regard vers l’épée.

Oh tu sais, une pinte de bière suffiras vieil homme. Et tu sais, par les temps qui
court, l'inquisitions, l’armée, tout le monde... bah nous oooh nobles Umupira que
nous sommes on roule pas sur le travail. Alors réserve moi la paillarde, ça seras
amplement suffisant pour mes rhumatisme. C'est que je me fait vieux moi aussi tu
sais. Il souffle un peu du nez. La chaleur et l'odeur caractéristique de l'auberge
apaisait déjà un peu plus son anxiété naturel.

Et tu n'aurais pas de piste pour le travail ? A tout hasard hein...