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remplir une bonne pinte avant d'aller la poser sur la table de son client. Même
pour un tenancier potentiellement alcoolique, cette homme était un auroch. Il
mesurait facilement 2 mètres, et étais aussi large que deux sanglier, ce qui étais
sûrement le plat qu'il engouffrait le plus pour maintenir tout ce corps en forme.
Une fois posé sur un siège près de la table, il donna la pinte à son destinataire.
La taverne étant assez vide pour le moment, les deux hommes pouvait partager un
petit moment ensemble pour discuter du bon vieux temps. De sa voix grave, le buffle
donna un tuyaux à son client tieffelin
-Ecoute mon gars, il paraît qu'un démon rôde en ville, du côté de l'armuerie du
Gros Jhode. C'est un noble qui tiens c't'endroit, un humain. Les forgerons de là-
bas sont venus après avoir pissé dans leurs braie ce midi. Ils ont décrit ça comme
un créature qui imite une scène de torture, un monstre venu les punir pour les
pêchés de leur patron. Bon le gros tavernier cracha au sol, puis se remis à
regarder son interlocuteur les gens sont con, alors j'ai bien compris qu'on avait
affaire à un pil-machintruc là. Donc si tu veux, je te propose un marché. Tu vas
taper cette chose, en échange je t'offre le logit et le menu. Condition
supplémentaire, essaie de dire que je t'ai filé le tuyaux, ça me fera de la pub.
Alors ?
Durant l’énoncer du tenancier, il ne quittât pas son glaive des yeux. Une lame bien
aiguiser ne donne pas d'avantage significatif en combat, surtout contre un Pilgrim,
mais chaque petit détails peut faire la différence en combat. Precautionneusement,
il rengaineras sa lame, en sortant ensuite sa pipe a herbe, et quelque petit brin
de vert qui fait rire. Il tasseras le tout dans le réceptacle en bois de cèdre,
puis dans un mouvement simple, tireras un briquet d'amadou pour allumer le tout.
-Une créature qui imite une scène de torture tu dit... Ça doit pas être un petit
bestiaux. Tu peux m'en dire plus sur ce noble la ? Le patron. Autrement je suis
d'accord pour m'occuper de cette bête la.
Une fois la pipe allumer, il tend ses doigts fins pour attraper la chope qu'il
porte a ses levres avant de descendre une graaaaaande rasade.
Curieux, le tavernier posa ses yeux sur le glaive un instant, étonné de voir une
arme si bien entretenu par la personne qu'il connaissait comme étant un je m'en
foutiste, qu'on retrouvait à rire tout seul au milieu de la nuit. Une fois le
glaive rangé, et d'un pas pressant, le grand gaillard se leva, et marcha jusqu'à
son comptoir,non sans faire trembler un peu le sol, commençant à se servir une
bonne pinte.