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Se réaliser
Se fixer des objectifs, et les atteindre !

PRODUCTIVITÉ / PSYCHOLOGIE / SANTÉ


!4

Quel est l’impact des réseaux


Impossible aujourd’hui de totalement se passer des réseaux sociaux. Que ce soit au
niveau professionnel ou personnel, nous sommes tous des utilisateurs plus ou moins

sociaux sur notre bien-être ?


actifs de Twitter, Facebook, LinkedIn, Instagram ou autres TikTok. S’il est certain que ces
derniers peuvent présenter un intérêt du point de vue du business ou des relations
personnelles, ils peuvent également avoir des conséquences négatives.

Les réseaux sociaux sont en effet conçus pour capter et retenir notre attention.
L’utilisateur moyen y passe ainsi environ 2h30 par jour. Que ce soit du point de vue du
bien-être ou de la productivité, on peut donc vite pâtir de leur utilisation. Mais comme
toujours, tout n’est pas blanc ou noir. Après tout, tous ces services ne sont que des
outils.

Alors, quelles sont les effets positifs et négatifs des réseaux sociaux ? C’est ce que je
vous propose de découvrir dans cet article.

Une place de plus en plus importante et


incontournable
Dans le monde professionnel, il devient difficile de faire l’économie de la communication
sur les réseaux sociaux. Même une petite entreprise ne peut aujourd’hui plus se passer
d’une présence en ligne, même sommaire. Et au niveau personnel, il devient également
difficile de s’en défaire complètement, ne serait-ce que pour suivre les actualités sur les
sujets qui nous intéressent. Il ne s’agit donc pas de savoir comment s’en passer
définitivement, mais plutôt d’identifier les moyens de s’en servir intelligemment. Mais
pour ce faire, il faut d’abord prendre conscience de leurs effets négatifs éventuels.

Les effets négatifs des réseaux sociaux


Les réseaux sociaux, comme tout outil, peuvent provoquer des conséquences négatives
en fonction de leur utilisation. Les lieux de socialisation en ligne peuvent par exemple
vite constituer des caisses de résonance. Sans démarche proactive de curiosité, les
algorithmes favorisent notre inclinaison naturelle à fréquenter des gens qui pensent
comme nous. On manque alors de hauteur sur certains sujets, et cela peut finir par nous
jouer des tours dans notre vie personnelle ou professionnelle.

Les réseaux sociaux peuvent par ailleurs également donner l’impression que notre vie
est terne en comparaison de ce que les autres affichent en ligne. Ceci peut même
provoquer un sentiment d’isolement.

Enfin, l’exposition publique liée à l’utilisation de ces réseaux peut aussi prêter à des
pratiques de cyber-harcèlement, de plus en plus répandues.

Effets sur la santé mentale


Historiquement, la recherche
sur les effets négatifs des
réseaux sociaux s’est
principalement concentrée sur
les effets de Facebook, le
réseau le plus massivement
utilisé dans le monde.

À la suite de certains travaux,


des chercheurs ont avancé
qu’une utilisation
problématique des réseaux
sociaux avait toutes les
caractéristiques de la perte de
contrôle (utilisation excessive,
efforts infructueux pour
arrêter, envie pressante d’utilisation). Il semblerait effectivement qu’on puisse aboutir à
une certaine forme d’addiction dans les cas les plus extrêmes1.

Des travaux ont également souligné le fait que le volume d’utilisation des réseaux
sociaux était un facteur prédictif des problèmes de santé mentale. Il y aurait ainsi un
lien entre le nombre d’heures passées sur les réseaux sociaux et les symptômes
dépressifs et anxieux2,3. Néanmoins, d’autres études n’ont pas montré de lien direct
entre ces deux facteurs4,5.

À l’heure actuelle, on considère ainsi qu’il n’y a pas de lien direct entre l’utilisation des
réseaux sociaux et la dépression, mais plutôt qu’il existe des facteurs de médiation qui
font la connexion entre ces deux éléments. En clair, c’est vraisemblablement la manière
dont chacun appréhende et fait l’expérience des réseaux sociaux qui peut, si leur
utilisation atteint un certain seuil, provoquer des symptômes dépressifs. Par ailleurs,
d’autres facteurs, comme l’impact des réseaux sociaux sur le sommeil, pourraient
expliquer les effets délétères observés en termes de santé mentale6.

Impact sur les relations et les compétences


sociales
Si les réseaux sociaux permettent d’établir des relations en quantité, cette dernière
n’est pas nécessairement synonyme de qualité. Certains chercheurs suggèrent ainsi que
l’obsession avec le monde social en ligne diminue la qualité des relations saines que l’on
construit en face à face.

En effet, dans les relations « hors-ligne », une grande partie des informations sont
transmises par la communication non verbale (le ton de la voix, l’expression facile, la
posture, le contact oculaire, etc.)7. En ligne, ces indices sont perturbés voire interrompus.
On a moins d’informations pour interpréter les choses correctement. Or c’est essentiel
pour construire des relations positives, indispensables à notre équilibre. Et même si
l’utilisation des emojis vient en partie combler ce manque, cela reste tout à fait
insuffisant.

L’effet de comparaison sociale


Les grands médias en parlent désormais régulièrement. Un des danger des réseaux
sociaux est de considérer le contenu qui y est proposé comme une retranscription
fidèle de la réalité. Or, qu’il s’agisse d’amis ou à plus forte raison d’influenceurs, le
contenu partagé sur les réseaux est la plupart du temps filtré et construit pour être
flatteur. Tout ceci favorise la comparaison sociale. Et ceci peut favoriser l’envie, la
jalousie, le ressentiment ou la dévalorisation de soi. Le contenu consulté nous ramène
à notre propre situation. On peut alors se sentir moins heureux, abouti et accompli par
rapport à ce que les autres nous donnent à voir.

Néanmoins, si cela se transforme en inspiration ou en admiration, cela peut alimenter


la croissance personnelle. Il faut néanmoins avoir suffisamment de recul, faire preuve
d’autocompassion et s’inscrire dans une démarche proactive pour tirer de tels bénéfices
de l’utilisation des réseaux sociaux. C’est pourquoi l’insatisfaction semble tout de même
dominer dans les études.

Impact sur l’image corporelle et l’estime de soi


Via l’effet de comparaison sociale que nous venons d’aborder, c’est même l’estime de
soi qui peut être dégradée par l’utilisation des réseaux sociaux8. Plusieurs études chez
les adolescents et les adultes ont ainsi identifié une corrélation entre l’utilisation des
réseaux sociaux et une faible estime de soi9,10.

Les réseaux sociaux favoriseraient les comparaisons sociales ascendantes (le fait de se
comparer à des personnes qu’on perçoit comme supérieures à nous) et généreraient
des émotions négatives11. Comme ce qui est partagé sur les réseaux sociaux est
rarement une représentation sans filtres de la réalité, la comparaison sociale qui en
découle s’appuie dès lors sur des référentiels d’évaluation inappropriés et
inaccessibles12.

Impact sur le sommeil


Outre les éléments cités plus haut, les réseaux sociaux peuvent aussi jouer contre nous
à cause de leur influence sur notre sommeil. Certains peuvent avoir l’impression que le
fait de parcourir un fil twitter peut être source de détente avant l’endormissement. Or la
recherche indique que ce type d’usage peut influencer négativement la qualité du
sommeil6. Et cela est d’autant plus important quand on utilise les réseaux sociaux 30
minutes avant d’aller au lit13. Ce type de pratique peut même décaler l’endormissement
et réduire le temps de sommeil total14,15.

Sans surprise, tout ceci semble être à la fois lié à une excitation cognitive et
émotionnelle, ainsi qu’à la lumière bleue émise par les écrans, qui bloque la sécrétion de
mélatonine, une hormone importante pour la régulation du sommeil16,17. Il est donc
préférable d’éviter les écrans 30 minutes avant le coucher, surtout si ce temps d’écran
est consacré à la consultation de divers réseaux sociaux.

Les aspects positifs des réseaux sociaux


À la lecture des précédents paragraphes, on peut
vite avoir une vision extrêmement négative des
réseaux sociaux. Il ne seraient que source de
mal-être et n’apporteraient strictement rien. Or,
il ne faut pas oublier que tous ces services ne
sont que des outils. Seulement certains types
d’utilisations, certes favorisées par les
algorithmes, peuvent participer à l’émergence
d’effets négatifs.

Par ailleurs, il est essentiel de souligner que les


études citées montrent que l’effet négatif des
réseaux sociaux est globalement extrêmement
faible, et qu’il n’existe pas de lien de cause à
effet direct entre l’utilisation des réseaux
sociaux, la dépression et l’image de soi négative.

Il n’y a donc pas que des mauvais côtés à l’utilisation des réseaux sociaux. Il existe
même souvent des bénéfices tangibles : sentiment d’appartenance, expression
personnelle, curiosité, connexion sociale. La technologie peut aussi soutenir le bonheur
et le bien-être en nous permettant de garder le contact avec des personnes éloignées,
de faire de nouvelles rencontres ou de découvrir de nouvelles choses.

Je vous propose donc d’approfondir quelque peu les bénéfices que l’on peut tirer d’une
utilisation saine des réseaux sociaux.

Impact sur les relations et les compétences


sociales
Grâce aux réseaux, on peut rester en contact avec des proches partout dans le monde
et développer des amitiés avec bien plus de personnes au travers de communautés en
ligne. En cela, tous les services qui permettent de se connecter à des individus qui
partagent des centres d’intérêt communs peuvent encourager les comportements
prosociaux et contribuer à notre bien-être18,19.

En clair, les réseaux sociaux sont un mode de communication qui permet de créer des
liens, et notamment d’approfondir les relations hors-ligne naissantes. Les gens qui
passent plus de temps sur les réseaux sociaux ont ainsi un capital social plus
important, surtout s’ils sont proactifs et impliqués émotionnellement20. Tout ceci
nécessite bien entendu de ne pas tomber dans l’excès. Les relations en ligne peuvent
fournir un soutien social uniquement si cela permet de maintenir et de développer des
connexions proches et si l’image de soi qu’on renvoie sur les réseaux est sincère21.

Impact sur le bien-être


Plus globalement, certains travaux ont montré que l’utilisation régulière des réseaux
sociaux pouvait être positivement associée au bien-être, à la santé mentale et à la
santé22. Même si ces outils ne peuvent représenter un vecteur suffisant pour construire
des relations riches et épanouissantes, il est certain qu’ils peuvent grandement y
contribuer.

Une question d’équilibre


In fine, les réseaux sociaux peuvent être une bonne manière de développer, de
maintenir et de renforcer les liens sociaux, en ligne et hors ligne. Il faut simplement
veiller à ne pas tomber dans l’excès. Tout ce que nous disent les travaux les plus
complets sur le sujet, c’est que l’impact négatif des réseaux sociaux sur le bien-être est
plutôt très faible23,24. Ces derniers ont donc probablement un rôle indirect sur
l’épanouissement personnel, qui peut-être autant négatif que positif en fonction des
circonstances.

En ce qui concerne la productivité, le lien entre les services de messagerie, applications,


réseaux sociaux et efficacité suit un courbe qui ressemble à un U inversé25. Le juste
niveau d’utilisation rend plus productif, mais il est assez aisé d’aboutir à un excès. En
sachant que l’utilisation moyenne d’un smartphone est d’environ 160 minutes par
jour, c’est surtout les notifications et consultations excessives des différents réseaux
qui perturbent la concentration plutôt que la nature intrinsèque des services utilisés.

Comment améliorer ses pratiques ? 7


pistes pour vous aider
Puisque les réseaux sociaux n’ont rien de fondamentalement positif ou de négatif par
essence, c’est donc bien notre manière de les utiliser et certaines prédispositions
personnelles qui peuvent en faire une menace redoutable ou une ressource précieuse.
Quelle que soit votre utilisation actuelle de Facebook, Twitter, Instagram et autres
réseaux, il y a donc toujours moyen d’optimiser vos comportements pour plus de bien-
être et d’efficacité. Voyons quelques pistes pour ce faire.

1. Prendre conscience des émotions que


l’utilisation des réseaux sociaux provoque en nous
Comme toujours, il est important de commencer par observer ses propres ressentis.
Prenez conscience des émotions négatives ou positives que chaque utilisation de tel ou
tel réseau provoque chez vous. Cela devrait vous aider à faire les bon choix quant à votre
manière de consommer ces contenus.

2. Prioriser et être sélectif


Inutile de suivre tout le monde, d’être à jour sur tout, ou de s’infliger inutilement des
émotions négatives. Certes, il est important de se confronter à l’altérité et aux idées
différentes des siennes pour ne pas se retrouver enfermé dans une « bulle » où toute
pensée divergente serait exclue. Néanmoins, il n’est pas pour autant utile de s’imposer
des débats stériles qui provoquent des émotions négatives sans susciter de réels
échanges.

3. Pas de réseaux sociaux avant de s’endormir


Ce qui vaut pour les écrans vaut également pour le contenu qu’on y consulte. Évitez
donc de consulter les réseaux sociaux au moins 30 minutes avant l’heure du coucher.
Cela est d’autant plus vrai si ces derniers provoquent des émotions fortes ou impliquent
une activité importante de votre part.

Par ailleurs, avec


suffisamment de
contacts et
d’abonnements, le
défilement du
contenu peut être
sans fin. Une petite
consultation de
quelques minutes
peut alors se
transformer en
demi-heure,
décalant d’autant
l’heure du
sommeil.

4.
Surveiller
sa
consommation
Si vous avez besoin d’objectiver les choses, n’hésitez pas à quantifier le temps que vous
passez sur les réseaux. Les applications liées et les smartphones proposent souvent
cette information nativement.

Si le chiffre affiché vous paraît déraisonnable, vous pourrez vous fixer des objectifs
concrets pour rétablir une juste consommation. Vous pouvez même fixer des limites de
temps sur les applications concernées ou utiliser des logiciels comme Cold Turkey pour
bloquer certains sites à certaines heures de la journée.

5. Faire une pause régulièrement


La recherche a montré que le fait de se déconnecter de Facebook pendant une semaine
permettait d’améliorer la satisfaction dans la vie et les émotions positives26. Cela est
notamment vrai pour les gens qui utilisent beaucoup les réseaux sociaux, et de manière
passive (consultation sans interactions).

N’hésitez donc pas à faire une pause, au moins une fois par semaine. Planifiez d’autres
activités à ce moment-là et restez loin des réseaux et des notifications. Une petite
balade, un peu de lecture ou de sport, des moments en famille ou entre amis
permettent parfaitement de passer le temps autrement.

6. Avoir une approche active des réseaux sociaux


Nous l’avons vu, c’est surtout la consultation passive des réseaux qui peut s’avérer
néfaste (surtout pour une utilisation non professionnelle). Si vous vous contentez de
suivre les contenus des autres sans que cela ne vous procure d’émotions positives ou
soit source d’inspiration, songez à utiliser ce temps à autre chose ou soyez plus actifs
sur les réseaux. C’est quand on lance des échanges et des conversations qu’on tire le
plus de bénéfice de ces plateformes27. À condition bien sûr que ceux-ci restent
constructifs !

7. Utiliser les réseaux sociaux pour soutenir le


bonheur
Pour favoriser le bien-être, il est également essentiel d’avoir une utilisation sincère des
réseaux sociaux. C’est lorsqu’on partage et qu’on échange sincèrement avec les autres
que ceux-ci sont source d’émotions positives et de soutien social, au moins à court-
terme21.

Par ailleurs, les réseaux sociaux constituent un vecteur de choix pour exercer notre
gratitude et notre bonté, et ainsi soutenir notre bonheur. Ils peuvent également
représenter un gisement de contenu et de conversations susceptibles de stimuler notre
curiosité et de nous inspirer. Avec une approche stratégique, ces nouveaux outils
peuvent être une véritable source d’émerveillement et d’opportunités !

Conclusions
Les réseaux sociaux sont des services qui ne sont pas mauvais ou positifs par nature.
Certes, les géants de la tech s’appuient depuis longtemps sur les recherches en
psychologie cognitive et en neurosciences pour vampiriser notre attention. Néanmoins,
de Twitter à TikTok, il est toujours possible d’utiliser chaque application pour le
meilleur ou pour le pire. Prendre un peu de recul permet souvent d’instaurer une
relation plus saine à ces réseaux et de les exploiter pour en tirer du positif. Ils peuvent
être à l’origine de belles rencontres, d’échanges instructifs et de découvertes
inspirantes. Il est même possible d’approfondir ou de maintenir des relations qui, sans
eux, se seraient délitées.

Alors apprenez à vous appuyer sur les réseaux lorsque cela vous apporte du positif, que
ce soit via les plateformes les plus connues, ou au travers d’outils communautaires
comme les forums ou les serveurs discord. Et n’oubliez pas de développer vos relations
hors ligne dès que cela est possible. S’il y a bien quelque chose que les confinements et
couvre-feux récents nous auront appris, c’est que ces deux approches sont
complémentaires !

Références
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Tags: bien-être efficacité facebook LinikedIn productivité relations réseaux sociaux santé TikTok

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Bastien Wagener
Docteur en psychologie et Maître-praticien PNL, je suis passionné à la fois par le
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Bastien Wagener # 1 année plus tôt '

Merci d’être passé(e) sur le site et d’avoir pris le temps de lire cet article ! J’espère que vous
Auteur l’avez apprécié. N’hésitez pas à me laisser un commentaire ci-dessous si vous avez des
questions ou des remarques. Je fais de mon mieux pour lire et répondre à tous les
commentaires postés sur le blog, alors ne soyez pas timide ! Et si vous appréciez le contenu
proposé sur se-realiser.com, vous pouvez vous inscrire à notre newsletter (formulaire
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(pas de spam, pas de revente… Voir plus »

0 Répondre

Audrey-Ann Savard # 5 mois plus tôt

Bonjour, votre article est bien détaillé ! Il est intéressant de noter les conséquences des
réseaux sociaux par type d’impacts. Je peux aussi noter un impact nocif psychologique lié au
mode de vie de la société. En effet, de nos jours, la société promeut l’usage de réseaux
sociaux afin de rester en contact quotidiennement. Cela affirme l’idée que consommer du
contenu sur les réseaux sociaux quotidiennement est normal et renforce les problèmes
psychologiques reliés au contenu rapide consommé. En effet, le cerveau est stimulé de façon
extrême de sorte que cela peut devenir une addiction et nuire à notre mode… Voir plus »

0 Répondre

Bastien Wagener # 5 mois plus tôt

! Répondre à  Audrey-Ann Savard


Auteur
Bonjour Aurdey-Ann et merci pour votre commentaire.

On est bien d’accord, c’est avant tout une question d’équilibre et de juste mesure.
Lorsqu’on tombe de l’excès et que les réseaux sociaux créent des comportements
d’addiction, ils sont clairement contre-productifs. Il n’est pas toujours évident
d’apprendre à se discipliner pour tirer le meilleur de ces outils sans en subir les effets
pervers !

0 Répondre

Assi Assi # 8 mois plus tôt

J’ai beaucoup aimé

$Dernière édition 8 mois plus tôt par Bastien Wagener

0 Répondre

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